Aubry dénonce « l'ego » de Montebourg
NDLR : Hier, un email de LGDJ m'informait qu'un « beau livre » paraissait en septembre dernier, Droit civil illustré, chez Defresnois Lextenso... 45 euro. Les images comme les palabres sont instructives, elles constituent d'excellents rappels, d'assez bonnes mises en garde, des incitations à la prudence. Il s'agirait d'un « cadeau idéal pour les passionnés du droit », peut-être même d'un bon ouvrage « pour tous ». Hier, je me demandais à qui ou à quoi un tel ouvrage pouvait réellement servir ; aujourd'hui, je pense avoir des réponses ; en page 15, les auteurs nous présentent une vertue, l'humilité... puis en page 21, le principe de précaution. L'ouvrage très récemment paru chez Defresnois sera parfait pour appuyer les observations que je déposais ce mardi 6 décembre, chez le JAF. Mais pour des passionnés, ceux qui préfèreront les images aux palabres, je recommanderais plutôt des trucs comme Le petit juge illustré, par plantu.
Aubry dénonce "l'ego" de Montebourg
AFP Publié le 10/12/2011 à 10:36
La première secrétaire du PS, Martine Aubry, a dénoncé ceux dont "l'égo a besoin de se démontrer" quitte à "jeter l'oppobre sur toute une fédération", visant sans le citer Arnaud Montebourg qui a dénoncé un système de corruption dans le Pas-de-Calais. "Nous avons tout pour gagner en juin, tout, sauf l'ego de quelques-uns qui ne sont jamais en retard pour faire parler d'eux avec une petite phrase contre d'autres camarades ou une position différente de celle du parti", a déclaré Martine Aubry à La Défense lors d'une conférence de presse, avant l'ouverture de la Convention d'investiture du PS pour les législatives. "Mon rôle c'est de faire respecter non seulement les positions du parti mais celle de notre candidat et de ne plus accepter aucun égo", a-t-elle ajouté, lançant: "je comprends que Jack Lang soit insupporté par les propos d'un de ceux dont l'ego a besoin de se démontrer".
"Jeter l'opprobre sur l'ensemble d'une fédération c'est inacceptable"...
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N'ayons pas peur des mots
NDLR : Catégorie comédie, tout public, à partir de 10 ans, genre traumatisant ? Je suis curieux. C'est sûrement de la même veine que Comment devenir Une Mère Juive en Dix Leçons. Ou serait-ce inspiré par Gogol, Le journal d'un fou ? Je pourrais peut-être en discuter sur place, ce dimanche. Il s'agirait cependant plus d'une scéance-conférence-thérapeutique, et de la promotion d'un bon livre, « Accepter sa mamernalité ». Ce sera donc d'abord enrichissant. J'avais beaucoup appris, en juillet 2010, à l'Ecole Normale Supérieure, lors d'une conférence sur le système pifométrique ; peu de temps après, et avec 100 pages de conclusions tantôt pamphlétaires et souvent grotesques, je faisais enfin désavouer deux juges des tutelles, en infligeant un blâme à l'étude de Maître Charles Halter, notaire à Saint Avold (57). Pour ma part, avec les mots, ça va, même si je sais que certains peuvent « tuer », je n'en ai pas peur. Je me demande si ces artistes, ces Agités, connaissent le travail de Dea Loher, dramaturge, par exemple, Innocence, ou War Zone.
pour MUM, un extrait,
Cette psychologue-conférencière s'explique et s'attaque par le biais de la psychologie à la figure de `'la Mère'. Personnage caricatural, symbole de l'abus actuel de l'utilisation de la psychologie et de sa justification dans tous les domaines et par tous les médias, Eveline Bichon aborde l'universalité de la relation `'Mère-enfant". » de source http://nayonspaspeurdesmots.bzubzu.org
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« Il faut faire confiance à la procédure », nous a dit Christophe Régnard
Je note qu'il y a eu du progrès dans l'affaire dite des fadettes ou du secret des sources. J'essaye d'assimiler qu'il faut faire confiance à la procédure, mais c'est très dur... Pour le moment, j'attends, suite à l'audience d'hier, chez un JAF, dans le bâtiment du tribunal de commerce. Un délibéré doit tomber ce 13 courant, c'est demain.
Par le passé, souvent avec des avocats et fréquemment sans, j'ai fait confiance à la procédure. J'ai l'impression que ce sont les affaires ou procédures dans lesquelles j'ai pu beaucoup me représenter en personne qui ont le mieux progressées ou qui sont le plus abouties.
Les observations, 8 pages, que j'ai déposées, hier, s'assimileraient d'avantage à une « diatribe ». « Diatribe », je trouve cela dénigrant. Je ne regrette pas d'avoir produit ces observations, ni de les avoir présentées à l'audience, ni de les avoir versées à cette ultime prodécure non plus, chez ce JAF. Je prennais des risques, mais je pense les avoir bien mesurés.
Par le passé, dans des conclusions versées à la cour d'appel ou de confirmation de Versailles, exaspéré, je finissais par traiter des magistrats de « proxénètes ». Ca pouvait heurter, probablement outrer aussi. Mais c'est ensuite, seulement, que la Cour semblait avoir compris que j'attendais d'elle qu'elle bouge un peu sa plume, et qu'entre autres choses, je repprochais à des magistrats d'avoir dénaturé des éléments de la procédure « d'assistance éducative ».
Le mois denier, dans un billet du 20, je ne reprennais pas sans raisons une citation prêtée à Jacques Isorni : « Le combat déférent, comme l’épée mouchetée, n’est jamais efficace. ... »
Ajout du 8, dans la nuit... J'ai peut-être mal interprêté ce qui m'a été donné à lire. « Lire des diatribes, c'est respirer les latrines de sa renommée. » Hugo, Choses vues, 1885... Une histoire des haines d'écrivains, j'ai tout de même passé commande. D'un type d'affaire à l'autre, ça ne change finalement pas beaucoup. Dans les unes, ça ferait souffrir les enfants en premier, et les pros comme le pasteur d'Uhrwiller se défilent, tandis que dans ces autres, ça semble faire rire d'abord Madame, une femme, la figure de la victime idéale, c'est assez dans l'air du temps. Et l'enfant, 9 ans, la mineure ici concernée ? J'ai le sentiment qu'elle n'a pas été entendue, pour l'audience de ce 6 décembre... Pourtant, cette audience et cette procédure la concernait ; je ne manquerais pas d'évoquer ce point à la cour de confirmation ; car je ne pense pas me contenter d'une décison du siège, j'ai d'ailleurs plutôt pour objectif de soumettre le tout à la cour de cassation. Pour ce cas particulier, appel et même cassation pourraient suivre d'une façon tout à fait sereine, sans rien envenimer.
« Plaise à Madame ou Monsieur le juge à ces affaires... »
C'est parti
Comme je l'écrivais il y a peu, je dois répondre à cette requête qui me parvenait fin juin dernier, je n'ai pas d'autre choix. Ne pas produire quelques observations et pièces en défense serait en effet suicidaire. Je pourrais me tromper dans ce que je vais communiquer, mais je m'en fous, le cas échéant, la SCP Cordelier, Paris, ira consulter un bon plaideur, un spécialiste du droit de la presse et de la liberté d'expression, puis elle me contraindra à corriger le tir. Pour le moment, je n'en suis au brouillon ainsi qu'à l'introduction, j'espère avoir fini au cours de ce week-end :
Fin juin 2011, alors que Mlle Aurélie X et M. Bruno KANT étaient séparés depuis de longs mois déjà, M. KANT recevait une requête truffée d'approximations, de supputations, d'inexactitudes ainsi que d'omissions, une requête insuffisament fondée en droit, une requête sans ses pièces jointes, et, moralement, une requête extrèmement imprudente, fondée sur des mensonges et des calomnies à l'encontre et au préjudice de M. KANT. En développant ce qu'il introduit à la suite, dans ces présentes observations, en parlant de cette requête couchée sur du papier à entête de la SCP CORDELIER Associés, Avocats à Paris, M. KANT n'hésitera pas à dénoncer une imposture juridique et morale, une escroquerie intellectuelle, une belle fable qui pourrait cependant beaucoup plaire à Mme Jacqueline PHELIP, l'auteur d'un ouvrage noir, ainsi qu'à de nombreux autres millitants, à des victimes supposées ou auto-proclamées, à quelques magistrats et à des professionnels du droit ou de la protection de l'enfance aussi.
M. KANT rappelle qu'en matière de diffamation, qu'elle soit ou non publique, leurs auteurs doivent pouvoir démontrer leur bonne foi, doivent disposer et pouvoir avancer la preuve irréfutable de ce qu'ils allèguent, et que les auteurs des diffamations doivent également démontrer la légitimité des buts qu'ils poursuivaient. M. KANT ne reconnaitra pas la bonne foi de Me Agathe CORDELIER, un professionnel du droit, et exigera une argumentation pertinente... M. KANT doute également assez sérieusement des buts poursuivis par Mlle X, ce qui sera exposé un peu plus en détail, à la suite.
M. KANT apprend à Me CORDELIER et rappelle également à Mlle X qu'en cas de diffamation ou de rumeurs à son encontre, surtout lorsqu'elles sont non publiques, fielleuses et déversées dans des prétoires, M. KANT a pris pour habitude de répondre en public, sur Internet, dans des couloirs et dans des tribunaux aussi. M. KANT a également l'habitude de répondre au parquet, ainsi que de s'exprimer à l'occasion de rassemblements publics se déroulant dans la Cité (manifestations, colloques ou conférences, etc...). Personne ne sera donc supris si M. KANT persiste à s'exprimer encore publiquement, notamment dans son blog, http://justice.cloppy.net, un espace et des billets d'humour hébergés à Paris, comme depuis plusieurs années déjà.
Pour plus de clarté, afin d'être explicite pour beaucoup, compréhensible même par plus d'un débile, et pour des motifs également exposés à la suite, M. KANT n'accepte et n'acceptera plus d'être salit à huis-clos ou en catimini, notament par des couards ou des cafards en robe noire, avec la caution condescendante ou l'insouciance coupable d'employés de bureaux, des fonctionnaires sous serment particulier, des magistrats du parquet et du siège. Ces mascarades dans des prétoires, M. KANT en a assez.
Les écrits ou les discours de M. KANT peuvent heurter, emmerder ; plus d'un magistrat français l'a déjà constaté ou meme souligné ; M. KANT qui en a bien conscience et à qui cela ne pose pas de problèmes particuliers le rappellera aussi brièvement, à la suite, dans ces mêmes observations. De source CNCDH, d'un avis du 18 novembre 2004 qu'il n'est pas inutile de rappeller non plus : « la jurisprudence de la Cour Européenne a, d’une manière constante, jugé que la liberté d’expression `' vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec faveur, considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent ". Il faut rappeler aussi l’importance pour la démocratie et les progrès en matière d’accès aux droits d’une presse libre, informative et contestataire, en tous cas pluraliste. De plus, personne ne peut se soustraire à sa responsabilité pénale en cas d’atteinte à la réputation ou aux droits d’autrui. Les journalistes sont soumis aux mêmes lois que quiconque s’ils diffament ou insultent nommément une personne, et de surcroît s’autorégulent par des règles de déontologie. Informer, rapporter des faits, les décrire, les interpréter sont l’essence même de leur métier. »
Ajout de la nuit... Quel travail, c'était pas du tout prévu, pas prévu par nos lois... et c'est un peu comme si je n'avais pas beaucoup mieux à faire de mon existence et de mon temps libre ! Encore pour ces nouvelles observations :
Un mémoire en défense est à ces sujets particulièrement éclairant, celui de M. Xavier SERRIER, juge pour enfant, répondant à M. KANT, dans le cadre d'une procédure de prise à partie. Aujourd'hui, de mauvais juristes ou des spécialistes, mais de mauvaise foi, pourraient affirmer qu'une telle procédure contre un magistrat du siège ne pouvait pas aboutir... Mi-2008, personne n'en était plus très certain.
M. KANT souligne qu'à l'époque, après un long silence, M. SERRIER avait d'ailleurs bien répondu à des sommations de juger. M. KANT souhaitait alors lui exposer des éléments anciens qui avaient été dénaturés par des magistrats de Nanterre et de la cour d'appel de Versailles. M. SERRIER n'avait rien voulu lire ni entendre. Ce n'est qu'en janvier 2010, près de deux ans plus tard, que la cour d'appel de Versailles reconnaissait enfin, du bout des lèvres et tout en refusant une révision, que de nombreux éléments de la procédure qui concernaient Justine avaient été dénaturés. Avec des mensonges, tout peut paraitre très bien motivé et M. KANT pouvait passer pour dérangé, atteint de « troubles psychiques ».
En 2008, dans son mémoire en défense, M. SERRIER exposait assez bien la situation de M. KANT et de sa fille Justine, tout en exposant aussi beaucoup les raisonnements que M. SERRIER avait suivis pour débouter M. KANT. Son mémoire expose aussi comment M. SERRIER a utilisé ses propres jugements en assitance éducative contre M. KANT, pour sa défense et pour réclamer 2 500 € de dommages et intérets. M. SERRIER n'a pas obtenu ces dommages et intérêts ; « Vu l'article 700 du code de procédure civile, rejette la demande ; », cass. Civ. 1, décembre 2008, pourvoi n° 08-07002.
En lisant le mémoire du juge pour enfant Xavier SERRIER, il faudra surtout bien avoir à l'esprit le serment de la magistrature française : « Je jure de bien et fidèlement remplir mes fonctions, de garder religieusement le secret des délibérations et de me... »
Ajout du 4... Je progresse, d'ici à demain, je pourrais avoir terminé. Mes lecteurs vont se demander pourquoi je vais encore parler du « placement » de ma fille ainée alors que cette histoire appartient déjà au passé, Justine est depuis quelques temps majeure et libre. La réponse est évidente : Me Agathe CORDELIER ou sa SCP tenaient à en discuter avec moi, à huis-clos, avec ou en présence d'employés de bureaux
Tous ces aspects concernant sa fille aînée Justine et ses relations avec son père débordant largement le cadre des débats portant sur l'autorité parentale et les modalités d'exercice de cette autorité sa fille cadette, M. KANT invite Me CORDELIER et sa SCP à en discuter avec lui, mais autre part que dans le bureau du JAF.
Chez le JAF, il sera cependant possible de discuter des conséquences ou de l'impact financier du « placement » de la fille ainée de M. KANT sur ce qu'était sa famille naturelle, un point très sommairement évoqué dans la requête présentée par Mlle X assistée par Me CORDELIER. En effet, parmi les pièces jointes de sa requête, Mlle X semble avoir fait figurer des « factures de la Ville de BAGNEUX » pour les mois de mai et juin 2009.
Après les succès remportés à partir de 2008, par M. KANT, chez le juge pour enfant et à la cour d'appel de Versailles, étrangement, plutot que des féllicitations, M. KANT a essuyé un long déferlement de diffamations et d'injures, publiées sur Internet. Dès début 2009, M. KANT a du faire réaliser plusieurs et couteux constats d'huissiers de ces diffamations, pour se défendre, pour défendre son honneur et sa réputation, pour défendre sa famille et pour assurer à leurs membres un avenir professionnel ainsi que social.
En mai 2009, M. KANT a également pris la décision de faire casser la cour d'appel de Versailles, sa chambre des mineurs. A cette période, M. KANT, qui n'est pas à l'aide juridictionnelle, a du payer un coûteux avocat à la cour de cassation. En octobre 2010, la cour de cassation cassait et annulait effectivement l'arret de la cour d'appel de Versailles de mai 2009 (cass. Civ. 1, 20 octobre 2010, pourvoi n° 09-68141, publié au bulletin, amplement commenté depuis par Lexis Nexis et par Dalloz).
Début 2009, ayant été contraint de lâcher près de 8 000 € pour sa défense, pour un bon pourvoi en cassation ainsi que pour des constats d'huissiers de publications sur Internet, M. KANT avait alors, en effet, et ponctuellement, pu avoir quelques difficultés pour règler des facturettes de la Ville de Bagneux. M. KANT ne regrette pas ce passé et ses décisions, à l'époque, et malgré l'obstination et l'opposition farouche de la protection de l'enfance, Justine avait pu passer des vacances d'été à la maison, la famille et les enfants de M. KANT en avaient bien profité.
Aujourd'hui, le JAF condamnera donc peut-être M. KANT parce qu'en 2009, comme toujours, il a su garder son sang froid, parce qu'il s'est défendu dans des tribunaux, contre des décisions profondément iniques du juge pour enfant de Nanterre et des arrêts de la cour d'appel de Versailles, parce qu'il s'est défendu aussi contre une association de délinquants qui tenaient alors absolument à ternir la réputation de M. KANT...
Tout ceci, finalement, ou, bien évidemment, pour une assez banale procédure visant à définir des modalités d'exercice de l'autorité parentale sur un mineur, « X », pour définir aussi, ou surtout, une pension alimentaire
Ajout du 5... J'imprime, pour l'audience. Et maintenant, objectivement, qu'est-ce qui peut encore se passer ? Demain, à huis-clos, des gens vont pester, rouspéter, m'enguirlander, puis je vais me faire condamner. Et puis on me suggèrera encore de me faire soigner, mieux conseiller, ou même de faire appel si ça ne m'avait toujours pas suffit
Rachida Dati fait appel de sa condamnation pour diffamation
NDLR : J'ai failli ne pas remarquer ou noter que Dati contestait la décision du siège. Mais pouvait-elle faire autrement, ignorer ou accepter cette condamnation ? C'est donc à son tour d'évaluer une cour de confirmation, have fun ! Au cours de ma présentation pour ndh2k11 j'ai lâché un laspus dont Dati n'aurait pas eu à pâlir ; les slides de la nuit sont là, la vidéo de ma présentation est ici, ma boulette tombe dans les 3 premières minutes. Ma prestation pourrait la faire rire à son tour, les lapsus sexuels et les palabres de Dati m'ont souvent beaucoup amusé. Je ne parlais pas trop vite en juin dernier, je ne le pense pas. Par contre, il faisait vraiment chaud chez Mickey, et j'avais très très soif dès le début, puis tout au long de ma présentation
Rachida Dati fait appel de sa condamnation pour diffamation
L’ex Garde des Sceaux s’oppose à Marek Halter
Publié le 23 Novembre 2011 à 10h49 par Jean-Christian Hay, Gala, extrait
L’ancienne Garde des Sceaux a pris la tête des opposants à ce Mur de la Paix et a publié sur le site de la mairie une pétition dans laquelle elle demandait le démontage du monument «pour le respect de la perspective classée du Champ de Mars». Elle se disait «choquée par les méthodes et les déclarations mensongères de M. et Mme Halter en vue d'obtenir la pérennisation de leur création sur le Champ-de-Mars (...), occultant systématiquement le caractère illégal de ce mur».
C’est précisément parce qu’elle a traité de menteurs les époux Halter que Rachida Dati a été condamnée par le tribunal correctionnel de Paris à une amende de 2000 euros avec sursis, 4000 euros de dommages et intérêts et 3000 euros de frais de justice. L’avocat de l’élue, Me Olivier Metzner, a déclaré qu’il était exceptionnel qu’un ancien ministre de la justice soit condamné pour diffamation. En accord avec sa cliente, il a fait appel en expliquant: «Le tribunal considère que Rachida Dati a eu tort de dire que le Mur de la Paix était illégal, alors qu'il est maintenu en toute illégalité, contrairement à ce qu'ont affirmé les différents ministres de la Culture et le maire de Paris». Comme l’avaient précisé Marek et Clara Halter, la dernière autorisation d’installation du monument date de l’été 2010 et doit durer trois ans. Ce que n’a pas manqué de rappeler la 17e chambre.
L’avocat des époux, Me Richard Malka, a déclaré de son côté: «Mme Dati est une habituée des débordements verbaux. C'était le débordement de trop. C'était des propos indignes d'une élue de la République, et davantage encore, d'une ancienne garde des Sceaux». Marek Halter s’était quant à lui interrogé: «C'est curieux comme la paix énerve les gens... Vous savez, Guy de Maupassant détestait la tour Eiffel, il faisait des manifestations contre elle, mais il n'a jamais insulté Gustave Eiffel».
Décembre, c'est bientôt
Répondre ou ne pas réagir ? Ne pas produire quelques observations en défense serait suicidaire. Comme je l'expliquais sommairement dans un billet de cet été, il m'est parvenu copie d'une requête bien chargée ainsi qu'une convocation et quelques précisions. Encore une procédure... et à nouveau « d'ordre privé ».
Les précisions et quelques éléments reçus cet été me suggèraient me faire assister par un bavard, de produire ou de me munir de papier, de prendre des rendez-vous, de visiter d'avantage encore Nanterre et sa région, d'y écouter aussi un Médiateur... ça sort de quel chapeau ou terrier, cette créature ? S'agirait-il du Médiateur que je recherchais vainement et longuement, par le passé ? Que pouvait maintenant m'apprendre ou m'expliquer un Délégué de Nanterre ?
J'ai déjà des correspondances de médiateurs : du Val d'Oise ainsi que de l'Europe. En cherchant bien, je devrais aussi pouvoir retrouver une correspondance du Délégué de la République. Ces médiateurs m'ont à chaque fois renvoyé vers des prétoires de Nanterre, d'Antony et de la cour de confirmation de Versailles... Il me reste quelques jours pour murir une petite bafouille, des observations, en prévision de nouveaux échanges en présence ou avec des employés de bureaux.
« ... vous pouvez y venir seul ou assisté d'un Avocat. » NANTERRE, le 24 juin 2011
Chambon ?
L'actualité ravive une fois de plus quelques un de mes souvenirs, ceux d'épreuves variées ou même de faits plus ou moins divers que la Mémoire et la Magistratüre des français m'intiment de taire et d'oublier. Chambon, Chambon-sur-Lignon, ce pays des Justes, et depuis peu, celui d'une utopie éducative ?
Avant de poursuivre, plus bas, dans des développements qui porteront à nouveau d'avantage sur ce qui s'est passé et tramé il y a longtemps déjà, à Taverny, dans le Val d'Oise, il pourrait être utile d'apporter quelques précisions à nos journalistes et surtout aux parents des enfants actuellement scolarisés ou en internat à Chambon. Par prudence, et suite à ce drame récent, la mort d'Agnès (inutile d'entrer d'avantage dans des détails déjà livrés par tous nos médias), si ce n'est pas déjà fait, ces parents pourraient tous être tentés de retirer définitivement leur progéniture de cet internat cévenole, tentés de renoncer à « son projet éducatif » aux valeurs « humanistes » et « laxistes », d'après le Figaro.
Selon un article du Point de ce 21 au soir, « dimanche », Jean-Michel Hieaux, vice-président de l'Association unifiée du collège Cévenol « s'indignait [...] de ce que l'établissement n'ait pas été informé des raisons pour lesquelles le meurtrier présumé d'Agnès était poursuivi : s'il l'avait su, dit-il, il ne l'aurait pas accepté. » Je crois qu'à ce jour, au lendemain de cet ultime drame ou naufrage de la protection de l'enfance, pour ce cas précis, d'abord un fiasco de la PJJ, après relecture de faits et de « signaux » récents, toutes les opinions convergent et s'accorderont à soutenir qu'un prédateur ou un individu simplement susceptible d'être dangereux ne devrait jamais être « placé » dans une bergerie.
Ceux qui nous gouvernent envisagent d'ailleurs maintenant d'augmenter déjà le nombre de places en CEF (qui n'a de « fermé » que le nom), de renforcer ainsi l'encadrement et le suivi, de renforcer peut-être aussi le contrôle de ces mineurs suspects ou délinquants. Partant d'un tel constat, dans quelques temps, des bergeries telles que celles de Chambon pourraient être un peu plus sûres ? Il faut tout de même lire la presse avec prudence ; on peut souvent y lire tout et son contraire, sans compter que ceux qui nous gouvernent pourraient soudainement changer à nouveau d'avis.. ou, en cette période de disette, avoir du mal à mettre en oeuvre ce qui vient d'être annoncé à ces sujets.
Mais admettons que ces bergeries tel que ce Cévenol soient très prochainement plus sûres. Serait-il alors encore raisonnable de renoncer à l'internat de Chambon et à son « son projet laxiste », cette solution d'un genre « transitoire », mais une solution manifestement maitrisée par les parents et non imposée par des décisions de justice ou l'ASE, très probablement une solution mûrement choisie par ces parents et acceptée par leurs enfants ? A 8 000, puis 12 000 euro par an hors vacances, selon la presse, je veux croire que ces parents ainsi que l'association unifiée du collège Cévenol y avaient bien réfléchi
Balayons rapidement le sujet des frais de scolarité à Chambon, ce « lycée de la seconde chance », ou le sujet de l'argent, un sujet fréquement indécent voire même parfois embarassant lorsqu'il s'agit d'enfances et qu'un juge pour enfant est saisi. Ces parents déboursent donc plus de 1 000 euro par mois pour leurs enfants, lorsqu'on inclue frais divers, tels que transports, et des vacances. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'allocations familiales, à mon avis, la « seconde chance » ou la « réinsertion » de leur progéniture ne coûte pas grand chose à nos collectivités, elle pourrait même, bien au contraire, profiter à Chambon et à sa région. Avec un tel établissement et 200 internes, jusqu'à 2,4 million d'euro par mois peuvent être insufflés dans l'économie locale. La région restera, à mon avis, longtemps nostalgique ou encore très attachée à son lycée, ses valeurs, ainsi qu'à ces parents en quête d'une solution unique et adaptée au profil de leurs enfants Mais suite aux faits récents et après ces critiques formulées par nos journalistes, ces mêmes parents pourraient être actuellement en quête d'une alternative à l'internat de Chambon. Envisageraient-ils plutôt de faire maintenant leur mea culpa, de s'orienter enfin vers l'ASE afin de définir un projet décent et « durable », élaboré par des pros, en faveur de leur progéniture ? Des voisins ou proches ont-ils déjà signalé les situations de tous ces internes à des juges ou bourreaux pour enfants ? Dans le doute et alors que le signalement est une obligation prévue par la loi, nous devrions peut-être tous nous empresser d'écrire à l'ASE ou à des juges, dans l'intérêt de tous ces internes | Voir parmi mes références |
Après ces « signalements » puis quelques jours à plusieurs années, le temps nécessaire à quelques investigations, pour des actions ou pour des prises de décisions appropriées, quelques uns de ces internes de Chambon pourraient finir sous AEMO, à 16 euro par jour, ou être « placés provisoirement », à 150 euro par jour, aux frais de la princesse, nos collectivités. Pour la prise en charge d'un mineur un peu désemparé et pour soulager nos consciences, nous déboursons très volontiers jusqu'à 4 600 euro par mois pour une place ou une couche en foyer. Certains de ces parents pourraient toujours protester ; nous les inciterions alors à faire appel, comme tout le monde. Lorsque le juge pour enfant est saisi, les couacs sont beaucoup plus rares, voire même inexistants - nous en parlons beaucoup moins, ou lorsque nous en parlons, nous les envisageons d'une façon un peu différente, en accablant d'abord les parents ou des proches, surtout ceux qui rouspètent.
Selon le Cahier d'automne 2011 de l'EFPP, la Maison Elie Wiesel, à Taverny, prend actuellement en charge jusqu'à 50 mineurs ou « cas sociaux », ce qui représente un budget mensuel d'environ 200 000 euro, autant que Chambon pour 200 enfants, mais puisés dans nos caisses et non dans les poches des parents. En 2005, le prix de journée de cet établissement s'élevait à 136 euro, il était publié sur le site Internet de la préfecture du 92. Qui penserait à contrôler occasionnement un tel cloaque ou même à lui sucrer ses fonds ou ces prix de journées ? Nous songeons pourtant et de plus en plus souvent à sanctionner les parents de déviants, en les privant de leurs allocations familiales...
Ma fille aîné a donc été « placée » pendant un peu plus de deux ans à Taverny, le temps de me noircir suffisament tout en dépeingnant tout « retour » de ma fille à la maison, auprès des siens, « impensable » - lire ou relire Internat et séparations, par Richard Josefsberg. C'est un processus de dénigrement, de stigmatisation et de manipulation assez long, la rupture des relations parents-enfants doit toujours être parée d'une certaine légitimité, ce qui nécessite également un peu de temps. C'est aussi un processus relativement onéreux pour les caisses sans fond de nos collectivités : pour « sauver » ma fille aînée, il aura fallu plus de 100 000 euro entre prix de journée et toutes les enveloppes pour des missions d'investigations ou d'orientation. C'est assez éloigné des budgets de Chambon-sur-Lignon.
Parlant de Taverny, je n'hésite pas à employer le mot « cloaque », ce qui se veut satirique, moqueur, railleur et surtout, incisif, descriptif d'une réalité assez aisée à mettre en lumière. Lorsqu'aujourd'hui, on lit « cas social » dans un Cahier de l'EFPP, cela se veut « ringard » ? Même s'ils contesteront, une définition de cas social de Wikipedia pourrait être employée pour parler des internes de Chambon : « Situation grave entrainant des risques d’exclusion sociale et nécessitant une prise en charge par la société. » Est-ce suffisament « ringard » alors que l'Oeuvre de Secours aux Enfants ou OSE oeuvre historiquement en faveur de populations juives « défavorisées » ?
J'ai facilement trouvé une définion populiste, populaire à souhait, dans le forum de 123auto.com, un joli carcan linguistique, les parents et cet établissement de Chambon contesteront vivement, l'OSE peut-être aussi : « Habitent généralement en centre ville dans des vieux apparts degueulasses.. 5 ou 6 enfants.... Toujours sales les cheveux gras, des dents en moins pour le père de famille, tatouage bleu sur les avants bras. Se déplacent a pied avec des sachets Norma ou Aldi dans les mains. Au RMI, et bénéficient de toutes les prestations sociales possibles et imaginables. » J'habite en ville, je m'y déplace régulièrement à pied, souvent avec des sachets et très fréquemment avec des journaux... Mais aurais-je quelque chose à prouver ou à contester ?
En découvrant le site de l'EFPP et son Cahier d'automne 2011, il y a 8 jours, j'ai d'abord été outré, j'ai ensuite envisagé de demander l'insertion d'un droit de réponse, puis je me suis dit que de telles démarches seraient parfaitement superflues. Qui peut bien lire ce genre de reflexions pour des éducateurs, ces feuilles à diffusion restreinte ?
Par Richard Josefsberg, une sorte de sachant mieux, un guru de l'internat
« Cloaque », serait-ce excessif ? Je ne le pense pas. A Chambon, on nous dépeint bien un projet éducatif même s'il peut paraître utopique ; sauf cette exception qui n'y avait pas sa place, les enfants s'y autodisciplinent et advienne que pourra. A l'OSE, les professionnels ne semblent pas avoir d'autre projet que celui de « sauver » des enfants, en dévoyant l'assistance éducative, en travaillant comme en 42 ; j'en ai déjà suffisament écrit à ces sujets. A partir de 2004, l'OSE devait organiser des DVH pour ma fille aînée ; mais l'OSE a organisé des disparitions de mineur... etc, etc.
A Chambon, les enfants s'autodisciplinent ? A Taveny, un foyer mixte hébergeant des enfants, à partir de 5 ans, et des jeunes majeurs, jusqu'à 21 ans, ça s'autorégule ; les plus petits vont solliciter les services de plus grands pour taper fort sur de plus téméraires ; Richard Josefsberg expliquera que ses moyens d'alors ne lui permetaient pas de faire surveiller tous les enfants... Et les faire examiner et soigner lorsque nécessaire, les effectifs ne le permettaient pas non plus ? Qu'est-ce que ça a pu m'énerver, m'énerver d'autant plus lorsque je constatais que la Magistratüre fermait les yeux ! Les juges du coin n'ont cependant jamais eu le culot de me répondre que, rue de la Tuyolle, ils connaissaient peut-être pire.
A Chambon, advienne que pourra, ce qui, selon le Figaro, « se paye par un faible taux de réussite au bac pour un établissement privé sous contrat : 63% toutes filières confondues en 2010. » Quel est le taux de réuissite au bac des jeunes « placés » à Taverny, « sauvés » par l'OSE France ? D'après mon expérience et mes lectures, à Taverny, la scolarité, la moralité et la santé des enfants ne sont pas du tout des priorités. A mon avis, Richard Josfesberg ni d'ailleurs la Direction de l'OSE France n'oseront répondre ni, d'aucune façon, s'aventurer à contester quoi que ce soit...
Au colloque « Mon enfant, son école et moi »,
lire Bêtise, un billet de novembre 2009
Chambon... En primaire et alors qu'elle était placée à l'OSE, leur cloaque de Taverny, ma fille aînée, une enfant de boches, a appris ce qu'était la Shoah. Il faudrait que je fasse quelques vérifications dans mes papiers, enterrés depuis un récent déménagement. Sauf erreur, dans le cadre d'une classe découverte, mon aînée a elle-même séjourné quelques temps à Chambon-sur-Lignon ou dans ce secteur, le pays des Justes. Quelle hypocrisie, quelle indécence... surtout de la part du 119, ce numéro national de l'enfance maltraitée ?
Quelques mois avant son départ pour ce pays des Justes, début décembre 2004, dans ce foyer de l'OSE, loin des parents et où tous les monstres sont gentils, mon aînée avait véçu une expérience tout à fait particulière, au cours de la projection d'un film de Polansky, le pianiste. Dans ce film, un handicapé se fait jeter par la fenêtre, par des nazi. Ma fille n'a pas vu la fin du film. Elle s'est fait passer à tabac, ce que l'OSE France s'était bien évidemment efforcé de cacher... Très récemment, j'en avais un peu reparlé à Lise Geraud-Charvet, magistrat à la cour d'appel de Versailles ; je n'ai pu lui en parler qu'un peu. Là bas, à Versailles, il faut toujours plaider en abrégé, puis s'user ensuite à épuiser des voies de recours. Je viens de refaire appel, j'attends une audience. Je pense que j'en reparlerais encore une fois à la Cour.
A l'époque, début décembre 2004, j'aurai souhaité pouvoir faire comme quelques parents d'internes de Chambon, récemment, et retirer ma fille de ce cloaque d'utilité publique, ce foyer de l'OSE France. Mais ça n'a pas été possible. Même les flics de Taverny m'avaient envoyé chier, en me menaçant avec une lacrimo ; je m'y étais déplacé ; j'aurai du insister devant le commissariat, on m'y expliquait que ce qui se passait à l'OSE ne me regardait pas ; si j'avais insisté, j'aurai pu finir en garde à vue, puis déféré au parquet, jugé et condamné pour avoir demandé de l'aide aux flics. Début 2005, la cour d'appel de Versailles avait finalement insisté pour que mon aînée reste « placée » là bas, à l'OSE, malgré tout ce qui avait été exposé au courd d'une audience. Lorsque la justice est saisie, ses décisions s'imposent à tous, c'est ce qui s'en dit. Je pourrais être le seul à les avoir respectées...
En janvier 2010, je ne prennais aucun risque lorsque je publiais Sieg Versailles ! Je n'en prennais pas d'avantage en avril 2011, lorsque je publiais Lise... Je n'ai jamais pris trop de riques dans ce blog, ni même ailleurs, par exemple, devant l'Ecole Nationale de la Magistratüre, à Paris. Je pense avoir toujours été suffisament prudent ou diplomate. Et de surcroit, tout le monde s'en fout, les magistrats, ces irresponsables, en premier
A suivre... je dois encore reprendre mes esprits et me relire un peu. J'en rajouterais.
Justice entends-tu ?
La description, sur Youtube : « Chanson écrite par B-Flash de Fatima CIA pour dénoncer les placements abusifs des enfants en foyer social. Arthur et Valentine font partie de ces enfants, victimes de l'injustice, qui se retrouvent punis pour avoir osé dénoncer ce que leur père leur faisait endurer. » C'est évidemment pour ma rubrique Affaires avant tout.
« Et Moix, et Moix, et Moix... »
J'ai été déçu, une fois de plus. Hier, j'avais lançé un petit appel, pour discuter, dans Paris, devant l'EFPP. Mais personne n'ayant réagit, j'ai trouvé d'autres occupations. Aujourd'hui, je me suis rendu à la Convention nationale du CRIF 2011, pensant pouvoir y entendre puis y rencontrer brièvement Yann Moix. Mais il semble avoir eu une très grosse panne de réveil... | Plus grand... et une autre question |
En 2010, Yann Moix s'était mis la Suisse à dos. Les suisses, des antisémites ? La vague de courroux et de critiques à son encontre avait emporté son compte Facebook ainsi que l'un de ses articles publié sur La règle du jeux, le blog ou site Internet de BHL. Aujourd'hui, j'aurai bien aimé discuter avec Yann Moix pour lui dire de vive voix qu'à mon avis, ce n'est pas la Suisse, lorsque les USA réclamaient l'extradition de Polansky, mais bien la France qui a écarté ses cuisses devant l'oppresseur nazi, surtout aux alentours de juillet 42. Dans son discours de cloture de cette Convention 2011, Richard Prasquier a d'ailleurs lui-même rappelé que la journée s'était déroulée à deux pas du Vel'd'hiv'.
Salle 2, 15h00 : Un point de vue « juif » est-il légitime sur tout ? J'en retiendrais principalement l'intervention de Judith Cohen-Solal. D'ici quelques temps, la vidéo devrait être publiée sur www.akadem.org, parmi d'autres discours ou points de vues tout aussi intéressants, enrichissants. Maintenant que j'ai bien écouté tout ce que nous a dit et très bien expliqué Gilles Bernheim, grand Rabbin de France, je comprend beaucoup mieux le contenu de la conférence de « Loulek » ou du grand Rabbin Meïr Lau, son discours de mai 2010, dans la grande synagogue de Paris, c'était « moral ».
Je rapporte quelques brochures et ouvrages de la Convention du jour, dont le rapport 2010 sur l'antisémitisme en France ainsi qu'un petit pamphlet, L'affaire Al Dura ou Du bon usage de l'indignation. 4 000 personnes pourraient-elles vraiment avoir signé une pétition sans avoir rien lu des détails d'une affaire ? Actuellement, le compteur du Pacte 2012 pour la justice de l'institut du même nom compte déjà... plus de 1 079 788 signataires, je trouve ce chiffre suspect. Page 6 du pamphlet, l'auteur nous rappelle un classique, la loi du 29 juillet 1881 : « La preuve de la vérité des faits doit être parfaite, complète », etc, « ceci afin d'éviter l'imputation de calomnie[s] » ? Je m'apperçois qu'en 30 pages, on peut écrire beaucoup, il va falloir que je songe plus sérieusement à écrire un petit bouquin à agrémenter d'un DVD, l'intégralité du contenu de ce blog.
Aujourd'hui, après une table ronde, j'ai encore glissé une carte de visite tout en discutant en off, tout à fait en off, bien à l'écart. J'ai aussi montré une carte grise. Ca prouve encore quelque chose, une carte grise française ?
Ce 20 novembre, c'était également la journée internationale des droits de l'enfant. J'en avais conscience. Je l'avais d'ailleurs très bien remarqué, hier, à Ikéa Thias, l'Unicef y vendait ses babioles.
Un « pamphlet » de 30 pages seulement...
Boche pour beaucoup...
Une bonne allemande, encore | Boche pour beaucoup, comme je l'ai souvent exposé dans mon blog. En plus, j'ai donc couché avec une allemande, une vrai. J'aime bien les allemandes, je crois... et je l'assume très bien, surtout après avoir été accusé puis trainé dans la boue et tondu par des français, avec le très franc soutien de leur Magistratüre. Mais ça repousse, et pour plagier ou comme me l'écrivait Sarah Choukroun de l'OSE France, en 2005, « lors de votre prochaine visite, il n'y paraitra plus ». Dans ce blog, des fables ? Mais pas du tout |
On va parler de justice ?
Eolas doit être vert, on dirait qu'il n'a pas su convaincre avec son billet du 12 novembre, ou qu'il est intervenu trop tard, qu'il n'a pas pu contrer ou contenir la propagation du virus. Plusieurs millions de personnes pourraient déjà avoir vu la vidéo de l'IPJ ou Institut pour la Justice dans laquelle Joël Censier, trente ans de police, nous incitait à signer le pacte 2012 pour la justice. @SI nous propose une petite enquête à ces sujets, Le combat d'Eolas contre "l'Institut pour la Justice".
Si leur site Internet fonctionne bien, l'IPJ compte maintenant plus de 900 000 signataires, bientôt le million. « Avec un tel coup médiatique, pas étonnant que l'Institut pour la Justice affiche un nombre record de signatures », peut-on lire chez @SI. Et si je les ai bien lu, l'IPJ n'en attendait que 500 000, un nombre qui leurs permettait déjà d'interpeller nos présidentiables.
Nous allons donc devoir reparler de justice d'ici à la mi-2012, et de décisions rendues par des cons, pour des cons... Moi, ça m'arrange, parce que j'en ai de bien belles dans ma besace, des jugements et des arrêts dont plus grand monde ne discute avec moi, hormi en off et avec réticence. Début décembre 2008, sans tout connaitre de mes dossiers et en s'en désintéressant même, Eolas, cet illustre et courageux avocat, un guerrier planqué ou retranché derrière son anonymat, m'avait répondu qu'il me censurerait, ce qui s'est effectivement produit par la suite.
J'admets qu'alors, fin 2008, je ne m'essuyais plus que très mal les pieds lorsque j'allais m'exprimer dans son univers, j'étais outré par l'actualité et par les décisions que des prétoires de Nanterre et de Versailles avaient rendues depuis la mi-2003. Début décembre 2008, Maître Eolas me raillait, je n'avais pas apprécié. Peu après, fin décembre 2008, la cour de cassation rendait un arrêt que personne n'a commenté. En décembre 2009, peu après avoir bien mouché le juge pour enfant de Nanterre, je traitais des juges de Versailles de proxénètes - oui, oui, de proxénètes, dans mes conclusions écrites. Fin octobre 2010, la cour de cassation annulait l'un de leurs arrêts ou torchons... puis en janvier 2011, je finissais par moucher un juge des tutelles et par doucher une étude de notaire. J'ai l'impression que personne ne souhaite plus en discuter avec moi. Eolas le pourrait, je pense, et, en grand censeur, bidouilleur en droit comme en faits, c'est ainsi que je le perçois, Eolas pourrait à nouveau me suggérer d'aller me faire soigner ou mieux conseiller. Je crois plutôt que Eolas va continuer à m'ignorer, je critique trop sa bulle, des charlatants, de prétendus spécialistes ainsi que certains prétoires.
J'ai toujours des marrons au chaud, des procédures en cours. Et j'en suis encore d'autres. En marge de cela, je continue aussi à me documenter. Je viens de me procurer un petit cahier, « Le clair & l'obscur en éducation », un magazine de l'Ecole de Formation Psycho Pédagogique auquel a contribué Richard Josefsberg, 33 ans de travail social. Je n'ai pas fini d'étudier ce magazine, c'est leur numéro d'automne 2011, il a pu paraitre le 17 octobre dernier.
Nous allons donc parler de justice au cours des prochains mois. Mais parlerons nous aussi de la Moldavie française ? Je pense que Joël Censier et l'IPJ seront intéressés par cet espace d'infra-droit où la Cour suit toujours le parquet et la « victime ». Au cours des années passés, le pasteur d'Uhwiller n'a jamais eu à démontrer ni à prouver quoi que ce soit, il a toujours pu se contenter de « dire » et « d'expliquer » pour « gagner », obtenir toujours et à peu près ce qu'il voulait. Les travailleurs sociaux, c'est kif kif, ces dernières années, l'OSE France et l'ARSEA ont pu se contenter de mentir ou de raconter n'importe quoi pour « gagner ». L'étude de Maître Charles Halter, Saint-Avold (57), souhaitera peut-être nuancer tous mes discours...
Les cahiers de l'EFPP n° 14, automne 2011, plus d'infos sur www.efpp.fr
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Deux petits garçons massacrés au couteau
NDLR : Evidemment, des histoires avec des coups de couteaux, par exemple dans des petits garçons, ou même dans de plus grands, ça retient plus l'attention. Où en sont les investigations, à Plougastel-Daoulas ? Le procureur, les enquêteurs et les psychiatres ont-ils pu progresser ? J'ai le sentiment que ça n'a plus avancé ou qu'il n'y a plus grand chose à en dire... Le secteur est-il toujours interdit à toutes personnes étrangères au lotissement ? Est-il utile de préciser que je suis fâché ? Je découvre la une du dernier Nouveau Détective, je le trouverais demain matin. Quelle est cette « effroyable hypothèse » ? Je suis fâché, comme fréquemment, mais ça va ; je ne dois pas l'être beaucoup plus que d'autres blogueurs. .
Ajout du 17 au matin : Le Nouveau Détective est un hebdo assez trash mais tout de même sérieux. Comme les blogueurs, comme la presse people ou d'autres journaux, ce bon tabloïde est susceptibe d'être sanctionné, leurs journalistes ne peuvent pas écrire ou publier n'importe quoi. Dans ce numéro 1522, on peut lire des informations intriguantes. Cette « jeune mère » suivait-elle « récemment » un traitement pour une « petite dépréssion » ? Mais selon le Nouveau Détective, resterait une autre hypothèse, « terrible », émise par un spécialiste... D'après les plus récents articles des quotidiens de l'ouest, personne ne savait si cette mère de famille avait ou non des « antécédants psychiatriques ». J'ai téléphoné à Ouest-France Brest, leur rédaction reste elle-même dans l'attente ; mon interlocuteur n'avait pas lu le Nouveau Détective. D'ici quelques temps, éventuellement des mois, le procureur et surtout les psychiatres pourraient à nouveau communiquer de nouvelles informations. Patientons...
Le Nouveau Détective n° 1522 du 16 novembre 2011
Meurtre d'Océane : « cet homme est un véritable pervers »
NDLR : Le meurtrier présumé d'Océane, un pervers, un vrai tordu, à peu de choses près comme le pasteur d'Uhrwiller et sa soeur, assistance sociale de l'ASE ? Elles sont venues me dénoncer en région parisienne, puis surtout réclamer la garde ou « sauver » leur nièce d'on ne sait plus trop quoi au juste... peut-être d'un père d'abord trop bavard. Se dénoncer, je pense que ces deux femmes n'y ont cependant jamais songé, qu'elles n'y songeront plus. Je crois qu'elles seront encore longtemps trop occupées, l'une à prêcher, à porter la bonne parole dans son village, et l'autre, probablement à « sauver » encore d'autres enfants supputés « maltraités ». Ce genre de créatures n'ont jamais honte de rien, Richard Josefsberg non plus d'ailleurs
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Meurtre d'Océane : « Cet homme est un véritable pervers »
Le Parisien | N.J. ET B.DLC. (À NÎMES) | Publié le 13.11.2011, 07h00, extraits
L’avocate des parents de la petite Océane [...] entend « rétablir la vérité ». [...] « Mes clients sont à leur souffrance et à leur chagrin mais ils m’ont demandé de rétablir en leur nom la vérité. L’homme qui s’est dénoncé est un véritable pervers, assure Me Béatrice Lobier Tupin. Il est venu soutenir la famille d’Océane lorsque sa disparition a été connue, il a même participé aux recherches alors qu’il la savait morte. Comment peut-on définir une personne capable de tels agissements ignobles? »
« Je devrais dormir pourtant... »
Je rentre d'un séjour à l'étranger, quelques semaines durant lesquelles je n'avait pas fait relever le contenu de ma boite aux lettres. Je n'ai pas mal dormi, bien au contraire, même si je me disais qu'à mon retour, dans ma boite aux lettres dégorgeante, je trouverais peut-être une citation à laquelle je n'aurai donc pas pu répondre. Je n'aurai pas pu me défendre, au cours de ces dernières semaines, mon blog était en effet « techniquement » vulnérable, susceptible d'être « fermé ». Ca ne s'est pas produit, « dommage », se diront certains ; ça m'aurait plu, amusé, comme beaucoup d'autres choses.
Dans ma pile de courrier pas relevé, j'ai trouvé une correspondance de ponctionnaire, datée du 25 octobre. Ayant été absent, loin de tout, je n'ai évidemment pas pu réagir. Par le passé, en 2003, je n'aurai pas payé une ou deux amendes, de petites banalités et des montants pas plus élevés. Les services du Trésor public fonctionnent et ponctionnent généralement assez bien ; je pense que pour ces retards ou ces amendes, peanuts, ils ne se sont pas trompé. Par contre, j'ai le sentiment que l'Administration a décidé de me prélever plusieurs fois la même petite somme... probablement par précaution ? Pour la même référence amende, j'ai trois références d'oppositions administratives distinctes dont deux sont déjà parvenues à ma banque ainsi qu'à mon employeur. Je ne suis pas sûr que cette gourmandise ou cette soudaine frénésie soit normale ; les finances publiques sont-elles vraiment si mal en point, aujourd'hui, en France ? Quoi qu'il en soit, je vais téléphoner à Paris lundi, pour tenter au moins d'y voir plus clair, pour essayer si nécessaire de débuger le poste informatique du Comptable public ; ça pourrait m'épargner des correspondances ultérieures pour obtenir des remboursements d'une pluie de prélèvements qui ne me semble pas justifiée, m'épargner pire, des procédures contre un Etat ou pays déjà très endetté... et demain, peut-être insolvable.
Sous cet amas de lettres et de brochures, j'ai trouvé Le bal des hypocrites, le dernier livre de notre nouvelle icône. J'ai commencé à le lire. Arrivé à la page 15, je n'en pouvais déjà plus de rire. Je vais devoir recommencer, lire et relire cet ouvrage, car je voudrais tout de même comprendre un peu mieux Tristane Banon. Ce qu'elle raconte est loin d'être inintéressant. « C'est pourquoi, quand on invente, on précise `'roman" sur les livres »... Ici, dans mon blog, j'édulcore à peine, je n'invente pas ; je n'ai d'ailleurs jamais mentionné qu'ici, il s'agirait d'un « roman ». D'où je m'exprime, la Moldavie française, les gens n'attendent évidemment pas « le nez en l'air [...] que Batman descende du ciel ». Qu'attendre lorsque la justice est saisie, sinon que ça lui passe, ou comme Alain Marécaux, Noël et la joie de hurler par les barreaux ? Qu'attendre ou espérer, sinon « tout et rien », comme Joël Censier, puis essuyer ensuite une déferlante de violentes désillusions... D'accord, d'accord, dans mes petites histoires ou affaires « d'ordre privé », rien n'est très dramatique, « il n'y a pas mort d'homme », on s'en remettra facilement, je me plains juste et depuis plusieurs années déjà de broutilles et beaucoup d'une sorte de rapt de mineur de moins de 15 ans, celui de ma fille aînée, « placée », après le décès subit de sa mère dans des conditions déjà suffisament douteuses.
En couverture du livre de Tristane Banon, je ne lis pas qu'il s'agirait d'un roman. Pourrait-il s'agir d'un bon essai ? « L'auteur m'invente une vie, des intentions, mauvaises... L'auteur n'est pas écrivain, il est tisserrand, il tricote des farces... présente des tissus de mensonges comme de la soie véritable... » Qu'a lu Banon, DSK, un livre en vente à la FNAC ou des jugements de Nanterre, des arrêts de la cour de confirmation de Versailles ? Les jugements et les arrêts, ça se veut un peu plus sérieux qu'un livre en vente à la FNAC, quoi qu'ils exposent sous les cachets de la République, tout le monde a tendance à y croire. Si elle ne connait pas l'essai, Tristane Banon pourrait maintenant lire L'éloge de la barbarie judiciaire, par Thierry Levy. Comment se porterait-elle aujourd'hui si la version initiale de DSK ou cet ouvrage maintenant en vente à la FNAC, chez Virgin et sur Amazon lui était retombé dessus comme une « vérité lâchée du ciel », s'imposant à tous ?
Le bal des hypocrites, page 15... « Et je suis sûr[e] qu'il dort la nuit. »
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Océane : l'agresseur aurait été violé ado
NDLR : Le pasteur d'Uhrwiller « aurait » lui aussi comme un « passé judiciaire » profondément incrusté dans son enfance ou son adolescence, je pense qu'il n'est pas indifférent à certains faits divers. Toute jeune, le pasteur avait été enlevée, séquestrée, violentée, etc, etc, comme ça peut se passer dans ces cas là... Aux alentours de 1998, après une lourde peine de prison, l'auteur de ces faits devait être expulsé de France, la mère de ma fille aînée m'en avait parlé, sa remise en liberté et des menaces de récidive peut-être assez concrètes l'inquiétaient beaucoup. Une « expérience traumatisante » au cours de l'enfance ou de l'adolescence peuvent parfois éclairer de façon assez crue des passages à l'acte d'adultes ou de jeunes majeurs. En novembre 2003, plutot que d'ordonner le « placement » de ma fille Justine, le juge pour enfant de Nanterre aurait peut-être du prescrire des Lexomils à ses tantes maternelles, avec de très gros et vilains monstres en moins dans les imaginaires de ces deux femmes, la situation de ma fille ainée et de ma famille se serait alors sûrement très rapidement améliorée. Et depuis 2003, les magistrats du coin m'ont donc beaucoup reproché de faire appel, de me défendre dans des tribunaux, de contester, de critiquer leur merveilleux boulot ou celui de travailleurs sociaux, de les foutre parfois face et dans leur propre merde, reproché de bavarder, de publier sur Internet, de m'exprimer dans la rue ou de parler à des journalistes... c'est pathétique, consternant, mais depuis quelques temps, je préfère en rire et en ricaner. Quoi faire d'autre lorsque tout le reste a échoué ?
Société | Faits divers | 12/11/2011 - 11:22, le JDD
Océane : l'agresseur aurait été violé ado
Le meurtrier de la petite Océane, une fillette de 8 ans tuée samedi dernier à Bellegarde, dans le Gard, a été victime d'agression sexuelle lorsqu'il avait 13 ans, a indiqué samedi une source proche du dossier, confirmant une information du Parisien-Aujourd'hui en France.
Cet homme de 25 ans, père de trois enfants dont un bébé de deux mois, "a été victime d'agression sexuelle, lorsqu'il était âgé de près de 13 ans, perpétrée par un ami de la famille qui a été jugé et condamné pour ces faits", a précisé cette source.
Titulaire d'un CAP carrosserie, il avait eu comme dernier emploi avant les faits un poste en intérim dans les espaces verts, selon cette source. Auparavant, il avait eu de multiples emplois, notamment dans une grande surface de viande ou en tant qu'ouvrier agricole dans des vignes. "C'est tout sauf un marginal", a-t-elle ajouté.
"Il souffrait d'un problème d'alcoolisme ponctuel, c'est-à-dire que quand il n'allait pas bien, au lieu de prendre un Lexomil, il prenait de l'alcool", a encore indiqué cette source. Sa compagne âgée de 22 ans et mère de ses deux derniers enfants, s'est dite samedi, dans une interview au quotidien Midi Libre, "anéantie" par l'affaire.