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La ministre joue les Pères Noël à Boissettes
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La ministre joue les Pères Noël à Boissettes
Le Parisien | Publié le 25.12.2011, 04h34
Les jeunes pensionnaires du Village d’enfants de Boissettes ont reçu une visite particulière hier matin. La secrétaire d’Etat à la Famille, Claude Greff, est venue en personne leur apporter leurs cadeaux de Noël. Des chocolats et des livres qui doivent faire le bonheur de ces enfants placés par l’administration judiciaire et qui, pour moitié, ne passent pas Noël en famille.
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Un enfant met le feu à un appartement pour ne pas être placé
NDLR : Pas con, le mome... il a pu lire iFrap, Société Civile N°43, janvier 2005. On reprochera ensuite à Valentine, à Arthur ainsi qu'à leurs soutiens d'avoir braillé sur Internet et dans la rue, d'avoir fait appel, d'avoir agit ou réagit si sâgement ?
Un enfant met le feu à un appartement
AFP Mis à jour le 23/12/2011 à 19:21 | publié le 23/12/2011 à 18:30
Un garçon de 10 ans a expliqué avoir mis le feu à l'appartement de sa grand-mère, mardi à Cambrai (Nord), pour éviter d'être placé en famille d'acccueil et "rester avec sa maman", a-t-on appris aujourd'hui de source proche de l'enquête, confirmant une information du site de La Voix du Nord.
"C'est un enfant de 10 ans qui devait être placé en famille d'accueil début janvier. Il a mis le feu dans l'appartement de sa grand-mère en se disant: "comme ça plus aucune famille d'accueil ne voudra de moi et je resterai avec ma maman" ", a indiqué cette source, qui a précisé qu'il avait fait cette déclaration aux enquêteurs "dans son langage d'enfant". L'enfant a été remis pour l'instant à sa mère, en attendant une décision sur la confirmation du placement ou non. Il est convoqué devant le juge des enfants au mois de mars.
L'incendie avait ravagé la presque totalité du deuxième étage d'un immeuble de logements sociaux de Cambrai flambant neuf, puisque ses locataires l'occupaient depuis moins d'un mois. Dix-huit personnes présentes dans les lieux avaient été incommodées par les fumées, dont deux avaient dû être hospitalisées. Les 29 locataires de l'immeuble avaient dû être relogés, mais certains ont depuis pu regagner leur logement.
Il pousse sa brouette de Bordeaux à Paris
Deux Sevres
insolite
Il pousse sa brouette de Bordeaux à Paris
24/11/2011 05:28, La Nouvelle République
Les Niortais ont pu apercevoir hier, traversant la ville, un homme poussant une étrange brouette ornée de divers slogans. Il s'agit de Jean-Louis Guimberteau, 60 ans, qui s'est lancé pour la deuxième fois dans cette aventure symbolique qui consiste à pousser une brouette de Bordeaux (où il habite) jusqu'à Paris. Son périple a débuté le 14 novembre et il parviendra à destination le 13 décembre.
Cette brouette symbolise le véritable fardeau qu'ont représenté, pour lui, les nombreuses décisions judiciaires dont il estime avoir été victime, et ce depuis son enfance. « J'ai été spolié de mes droits de contact avec ma famille paternelle, de mes racines à cause d'un placement en famille d'accueil, explique-t-il, mais aussi plus tard de mes droits de vivre en paix avec mon épouse et mes deux enfants. » Il poursuit : « J'ai aussi été victime d'une spoliation judiciaire de 270.000 € sur mon héritage, alors que j'étais fils unique, non seulement par les juges mais aussi avec la complicité d'auxiliaires de justices, avocats et avoués. »
Tout au long de son périple, Jean-Louis Guimberteau distribue aussi des tracts invitant les citoyens et familles victimes des tribunaux à contacter l'Association nationale des victimes des erreurs et dysfonctionnements judiciaires (ANVEDJ). « Mon combat, c'est aussi celui des adultes ou parents condamnés lourdement par ce système judiciaire car un enfant victime de la séparation de ses parents, une fois devenu adulte et parent à son tour, ne doit plus être traité en sous-citoyen à vie. »
Jean-Louis Guimberteau a mis en ligne un blog sur lequel on peut suivre son périple entre Bordeaux et Paris : http://www.lodd.fr
Pentagone : Bouygues nie les accusations
NDLR : Quel grabuge, si nous apprenions maintenant que TF1, Laurence Ferrari ou SOS Villages d'Enfants n'étaient parfois pas du tout crédibles... ça nous ferait peut-être, en plus, reparler aussi un peu de l'OSE France, de dons, de financements, de difficultés financières également, ainsi que de contrôles inopérants, inefficaces.
Pentagone: Bouygues nie les accusations
Reuters Mis à jour le 14/12/2011 à 22:19 | publié le 14/12/2011 à 19:52
Martin Bouygues, PDG de la société homonyme, annonce dans le journal Les Echos qu'il va assigner Le Canard enchaîné en diffamation pour avoir écrit que le groupe serait impliqué dans une affaire de corruption entourant le contrat du futur ministère de la Défense, ce qu'il dément.
Le Canard enchaîné a avancé le 7 décembre qu'une information judiciaire pour corruption et favoritisme ouverte en février dernier sur ce projet-phare du gouvernement, surnommé le "Pentagone" français, visait le groupe de BTP et de communications. Bouygues avait alors assuré avoir appris par l'hebdomadaire que ce contrat - d'un montant de 3,5 milliards d'euros devant regrouper d'ici 2015 l'ensemble des états-majors et services centraux de la Défense dans un complexe neuf du XVe arrondissement - faisait l'objet d'une enquête.
"Il n'y a rien dans ce dossier qui concerne notre groupe", explique Martin Bouygues dans l'édition de jeudi du quotidien économique. "Je suis en colère et je porte plainte. Nous allons assigner Le Canard enchaîné en diffamation dans les tout prochains jours pour avoir proféré des accusations infondées contre nous et laisser entendre que, dès lors qu'on est dans le BTP, on est malhonnête", poursuit-il. "C'est insupportable. Les dégâts en termes d'image sont énormes".
Deux juges d'instruction, Serge Tournaire et Guillaume Daïeff, sont en effet saisis depuis février. Ils devront déterminer s'il y a bien eu corruption et éventuellement au profit de qui, a récemment dit une source judiciaire.
Sérénité face à la conjoncture
Martin Bouygues déclare également que son groupe n'est pas touché par la crise et se montrant confiant pour l'an prochain. "La conjoncture reste bonne, avec de très belles commandes à l'international et aucun ralentissement perceptible en France", souligne-t-il. "Sur la base de notre carnet et des ventes de logements réalisées cette année, qui se concrétiseront en chiffre d'affaires l'an prochain, nous sommes très confiants et sereins pour 2012. Au-delà, qui peut prédire comment sera 2013? Pas moi. La visibilité ne va pas jusque-là", poursuit-il.
Le groupe avait légèrement relevé mardi son objectif annuel de chiffre d'affaires à la mi-novembre, la performance de ses activités BTP et routes ayant plus que compensé l'abaissement des prévisions de TF1. Martin Bouygues précise que la crise de la dette n'inquiète pas son groupe, qui travaille depuis longtemps à optimiser sa structure financière. "Notre dette obligataire est très étalée, nous n'avons pas d'échéance à court terme", fait-il valoir. "Je ne prétends pas que cette crise des financements n'a pas d'impact sur le secteur du BTP", ajoute-t-il cependant". En particulier, les montages financiers sont plus complexes et plus chers mais les clients tout aussi déterminés."
Le groupe, également propriétaire du géant de la construction routière Colas et de Bouygues Telecom, troisième opérateur mobile français, avait indiqué en novembre que sa génération de cash flow lui avait permis de maintenir l'endettement à 3,8 milliards d'euros à fin septembre, stable sur un an.
Rapport/psychiatres : Breivik le conteste
NDLR : Breivik aurait-il aussi été expertisé par des charlatants ? Son cas particulier et ce que remporteront ses avocats va m'intéresser. Par le passé, en France, en cours ou à l'issue d'une audience, une mère avait poignardé un juge pour enfant, celui de Metz ; elle avait rapidement été internée en psychiatrie, d'où elle a été extraite par ses bavards ; cette mère avait ensuite été assez lourdement condamnée, 13 ans. Prochainement, nous devrions aussi juger Chantal Clos, je ne pense pas qu'elle ait été déclarée « irresponsable au moment des actes », injugeable par de bons et fidèles apôtres ou chrétiens, même si la presse avait rapidement parlé d'un « coup de folie »...
Rapport/psychiatres: Breivik le conteste
Le Figaro, publié le 03/12/2011 à 14:02
L'auteur des attaques du 22 juillet en Norvège, Anders Behring Breivik, conteste le rapport des psychiatres le qualifiant de malade mental, a rapporté un de ses avocats aujourd'hui. "Nous avons examiné une bonne partie du rapport qui détaille les conversations qu'il a eues avec les psychologues. Il a réagi en disant qu'il contenait des erreurs factuelles, des mensonges et que ses déclarations avaient été sorties de leur contexte", a précisé au journal Verdens Gang l'un des avocats de Behring Breivik, Odd Ivar Groen.
L'oeil du pro sur... la germanophobie
NDLR : C'est ce que j'avais bien perçu au cours des années passées, « les stéréotypes ne sont qu’assoupis. »
Actualité > Présidentielle 2012
L'OEIL DU PRO sur la germanophobie
Le Parisien | Propos recueillis par Henri Vernet | Publié le 02.12.2011, 12h34
La germanophobie, nouveau thème de campagne? Dans une charge violente contre l’Allemagne, Arnaud Montebourg a comparé Angela Merkel à Bismarck, le premier chancelier allemand qui déclara la guerre à la France en 1870. Certes, ces propos au canon ont gêné au PS… même si François Hollande critique lui aussi la rigidité de la chancelière. Un thème dangereux, mais qui peut être électoralement payant.
« La germanophobie est un trait profond de notre culture politique, enraciné depuis le XIXe siècle, relève Pascal Perrineau, directeur du centre de recherche politique de Sciences-po. Bien sûr, la perception de l’Allemagne s’est beaucoup améliorée depuis l’affichage de l’amitié de Gaulle-Adenauer, puis Giscard-Schmidt, Kohl-Mitterrand… Mais les stéréotypes ne sont qu’assoupis, ils peuvent se réveiller dans un contexte où l’Allemagne est accusée de ne pas jouer collectif en Europe, d’être trop rigide, où on la soupçonne d’avoir des visées impérialistes… comme lors des trois guerres contre la France! Attention, les mots de Montebourg font mouche, car la France est complexée par cette Allemagne qui s’en sort mieux dans la crise, qui exporte et a gardé son industrie. C’est elle qui est devenue le modèle, ce n’est plus notre pays. »
Tout aussi dangereuse, selon Perrineau, l’allusion à un Nicolas Sarkozy qui serait sur « Le porte-bagages » allemand : « sous-entendu, le président serait un traître, comme le capitaine Dreyfus, l’affaire qui divisa la société française il y a un siècle! » La charge peut-elle avoir un impact? « Oui, au référendum européen de 2005 la dénonciation du plombier polonais avait connu un certain succès. En jouant ainsi sur les ressorts d’une certaine xénophobie, une partie de la gauche fait du populisme et même du social-nationalisme. C’est particulièrement déplacé. »
Le Parisien
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Outreau : nouveaux éléments à charge contre les Lavier
NDLR : On dirait que la presse et la justice travaillent activement, beaucoup en faveur de la réhabilitation du juge Burgaud. Il a peut-être suffisament expié, allons nous bientôt lui confier à nouveau des affaires ?
Société
Outreau : nouveaux éléments à charge contre les Lavier
Le Point.fr - Publié le 01/12/2011 à 13:33 - Modifié le 01/12/2011 à 16:50
Les deux acquittés d'Outreau sont entendus ce jeudi après la découverte de films compromettants.
Par Jean-Michel Décugis
Les fantômes d'Outreau n'en finissent pas de planer. Depuis ce matin, Franck Lavier est entendu par la PJ de Boulogne sous le régime de l'audition libre. Cet après-midi, c'est au tour de sa femme, Sandrine Lavier. Pas de garde à vue pour le couple Lavier qui doit être jugé le 26 janvier prochain pour "corruption de mineurs", car ils avaient déjà été mis en garde à vue par deux fois en mars et en mai dernier. Or les policiers avaient épuisé 43 h 50 sur les 48 heures auxquelles ils avaient droit. En mai, le couple et quatre de ses proches avaient été placés en garde à vue, et leurs ordinateurs saisis. Ce matériel informatique, analysé par la direction interrégionale de la police judiciaire, a livré de nombreuses photos et vidéos qui font état d'autres faits s'apparentant à de la corruption de mineurs. D'où ces nouvelles auditions.
Agnès inhumée, Le Chambon-sur-Lignon tente de tourner la page
International | Politique | Société
HAUTE-LOIRE. Agnès inhumée, Le Chambon-sur-Lignon tente de tourner la page
Publié le 27/11/2011 à 06:00, le Progrès
Alors que les obsèques d’Agnès assassinée la semaine dernière ont eu lieu hier, Le Chambon-sur-Lignon veut regarder l’avenir. Sans oublier.
Ils n’oublient pas, mais veulent tourner la page de cette affaire douloureuse. Trop lourde à porter pour un si petit village.
Au Chambon-sur-Lignon, une semaine après « l’affaire Agnès », les villageois aspirent à retrouver leur sérénité. À passer à autre chose. Ils ne veulent plus parler de ce crime, tellement sordide que personne n’aurait jamais imaginé que cela puisse un jour se produire ici, au pays des Justes. Une terre qui a construit toute son image autour de l’accueil et de la tolérance. Autour de l’ouverture. Autant de symboles aujourd’hui mis à mal par une affaire qui n’appartient plus au village mais qui est devenue affaire d’État.
Alors, au Chambon, on fait en sorte que la vie reprenne ses droits. Hier matin, c’était jour de marché. Comme tous les samedis. Une vingtaine de forains étiraient leurs étals sur la place centrale, le long de la route de Saint-Agrève. Le ciel était bas, le fond de l’air était froid. Et les esprits étaient encore en berne. Dans les conversations, on parle de tout. Et de rien. D’Agnès, mais pas seulement. Parce qu’ici, les habitants ne veulent plus remuer ces mauvais souvenirs. « Vous vous rendez compte ? », demande Thérèse, 78 ans. « Ce qui s’est passé, c’est vraiment épouvantable. Il n’y avait pas besoin d’en rajouter. De créer des polémiques, d’étaler tout ça… ». Un discours sur lequel s’accorde le libraire de la route de Tence. « Ouh là là ! Cette affaire-là, c’est terrible ! Les gens, maintenant, veulent tourner la page. Ils essaient de ne plus parler de ça, de discuter d’autre chose ». Comme pour sortir de la chape de plomb qui s’est abattue sur le village vendredi dernier. C’était le soir de la découverte du corps d’Agnès dans les bois près du lieu-dit « Beaujeu ». Juste au-dessus de la route qui conduit à Tence par l’itinéraire touristique. Ce soir-là, tous les espoirs se sont éteints. Le Chambon est tombé dans la tristesse.
« Aujourd’hui, les habitants demandent le silence et le recueillement. Mais aussi le respect. Il y en a assez ! Tout a été dit », s’écrie Éliane Wauquiez-Motte, maire de la petite commune de 2 800 habitants. La semaine dernière, pour épargner la famille et les enquêteurs, elle acceptait toutes les interviews. Elle en a donné des dizaines, a répété cent fois la torpeur dans laquelle ce drame avait fait basculer sa commune. Reste qu’au Chambon, sur les devantures des dépositaires de presse, les unes et affichettes de tous les magazines rappellent le drame qui, une semaine auparavant, s’est joué dans les bois, à la sortie du village. Chacun reprend les témoignages des habitants du plateau.
En fond, il y a cette image qui servait à illustrer les avis de recherche jusqu’à vendredi dernier, et qui, depuis, hante toutes les mémoires : Agnès, adolescente de 13 ans, cheveux ondulés, tenant le guidon d’une trottinette à la main. L’image d’une jeune fille innocente dont la vie s’est arrêtée cruellement, à l’aube de son anniversaire, dans cet internat de Haute-Loire. Agnès aurait eu 14 ans hier.
Rémi Barbe
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Envoyé Spécial. Cinq ans après, enfants placés, enfances gâchées ?
NDLR : Encore une vidéo qui me fait bondir... du journalisme couché, un tissus de mensonges, une absence de sens critique. Des enfant pourraient avoir envie de rentrer chez eux mais les travailleurs sociaux affirment le contraire ? On ne peut rien vérifier lorsque quelqu'un affirme qu'il s'est passé des choses dans un foyer ? Qu'en dire d'autre, sinon que les journalistes d'envoyé spécial, comme des travailleurs sociaux et des magistrats, sont ici d'une mauvaise foi crasse ? J'adore la prestation de Boutin : « une société se juge à la façon dont elle traite ses enfants ». Elle était sincère, Boutin, sur ce plateau, ou ne fallait-il y voir que l'ultra-catho s'autoflagellant pour nous plaire ? 800 euro par mois par enfant « placé » ? A l'OSE, dans le Val d'Oise, aujourd'hui, le prix de journée serait plutôt de 150 euro par enfant... et à Plaisir, dans les Yvelines, chez Boutin, selon l'ONED, le prix de journée de Villages d'Enfant SOS serait d'environ 140 euro. L'ONED nous exposerait n'importe quoi, comme Dalloz ? Les ouvrages de Dalloz ne servent à rien lorsque le juge pour enfant est saisi ; les miens ont d'ailleurs flambé en décembre 2008, pour le soixantenaire de la DUDH. « Un placement met nécessairement les enfants hors de danger », quelle farce, même Versailles en a souvent douté. Laeticia, je la connais ; je l'ai rencontrée il y a 3 ou 4 ans ; je suis ravi de voir Manon, et surtout, ravi de constater qu'elle est toujours avec sa mère. Je note également que Boutin est à la recherche de 500 signatures ; si elle maitrise ses sujets comme celui de la famille et celui de la protection de l'enfance, la présidence de la Ripoublique devrait lui passer sous le nez.
Cinq ans après, enfants placés, enfances gâchées ?
Mots clés : Consommation Société
France 2, une vidéo
Divorces conflictuels, familles recomposées, fins de mois difficiles, les histoires de Karine, Lætitia et Jocelyne se ressemblent.
Impossible pour elles d’oublier ce jour où la justice les soupçonna d’être de mauvaises mères et ordonna le placement de leurs enfants en foyers ou en familles d’accueil. Il y a cinq ans, Envoyé Spécial avait suivi leur combat pour récupérer la garde de leurs filles et de leurs fils et enquêté sur le fonctionnement des services de l’aide sociale à l’enfance, cette administration chargée de protéger les mineurs victimes de maltraitance.
A l’époque, un rapport estimait qu’un placement d’enfants sur deux pouvait être évité. Comme si le remède était-il pire que le mal… Cinq ans plus tard, Karine, Lætitia et Jocelyne ont-elles remporté leur combat face à l’administration ? Traumatisme ou sauvetage, comment leurs enfants ont-ils vécu cette séparation ? Quelles alternatives au placement ont été mises en place depuis notre précédent reportage ?
L’émission est présentée par Guilaine Chenu. Son invitée sera Christine Boutin.
Saint Brieux. Le consul réclame un enfant à la France
NDLR : Il semblerait qu'avec un consul et une ambassade dans sa manche, ici, celle de Roumanie, il pourrait être plus facile de récupérer un enfant « placé ». Comment se débrouillent les mères françaises qui n'ont pas de tels atouts à portée de main ? Rafler un enfant, c'est bon pour les bas de laine de ces professionnels. Mais c'est également bon pour leurs égos, pour fanfaronner qu'ils en ont « sauvé » un de plus. En rafler d'aussi petits, en maternité ou en services de préma, peut également faire plaisir à des familles accueillantes en grande souffrance ; en France, et depuis que l'adoption internationale est plus compliquée ou beaucoup mieux encadrée, les familles en mal d'enfants se bousculent au portillon de ceux qui nous gouvernent. J'ai le sentiment que dans cette affaire-ci, la rafle de cet enfant né d'une jeune mère Roumaine, la protection de l'enfance française, ces voleurs, a été comme surprise la main dans le sac, dans un utérus ou sur un berceau exposé sur la scène internationale... C'est dingue qu'une petite allégation puisse aboutir à la rupture de la relation mère-enfant : « ne montre pas d'émotion, ni à l'accueil de son bébé ni au moment de le quitter ». Mais puisque les français et leurs magistrats gobent ce genre de salades... Un scan et des références d'un article paru dans l'édition Ouest France de Morlais qu'on m'a communiqué par email :
Obsèques d'Agnès samedi à Paris
Obsèques d'Agnès samedi à Paris
AFP Publié le 24/11/2011 à 12:24
Les obsèques d'Agnès auront lieu à Paris samedi 26 novembre, le jour où l'adolescente, tuée la semaine dernière en Haute-Loire par un lycéen de son internat, aurait fêté son 14e anniversaire. La famille, qui demande à la presse la plus grande retenue, n'a pas souhaité communiquer le lieu de la cérémonie.
Les parents du petit Adolf Hitler perdent la garde de leur nouveau-né
International > Ailleurs sur le web
Publié le 21 novembre 2011 à 11h12 | Mis à jour le 21 novembre 2011 à 11h12, cyberpresse.ca
Les parents du petit Hitler perdent la garde de leur nouveau-né
La Presse
Ils ont nommé leurs trois premiers enfants en l'honneur du 3e Reich, dont un petit garçon baptisé Adolf Hitler. Ils se disent fans de l'époque nazie, mais non-racistes. Ils ne croient pas à l'Holocauste et sont farouchement opposés au métissage racial. Heath et Deborrah Campbell, ce couple du New Jersey devenu «célèbre» pour les prénoms controversés qu'ils donnent à leurs enfants, ont vu les autorités américaines leur retirer la garde de leur dernier bambin, né la semaine dernière.
À couteaux tirés avec le service de protection de l'enfance du New Jersey depuis deux ans...
Le père d'Agnès : « l’espoir que ça ne recommence jamais »
NDLR : Mais bien sûr, « tout le monde a fait son travail ». M. Marin pense-t-il pouvoir un jour démontrer ou faire « établir » autre chose ? « Généralement quand un maillon est faible les autres pallient sa carence », écrivait déjà JPR, dans son billet n° 440. JPR est un juge, un juge ne se trompe jamais. Ou JPR aurait-il menti trop vite ? C'est un pschitt « terrible et inattendu » en pleine campagne pour 2012. Même hors d'une telle période, tous les partis se seraient emparé d'un tel « objet d'actualité »... « Plus jamais ça », a-t-on la possibilité d'adhérer, de signer quelque part ? On peut s'interroger ou même en rire, pour de nombreuses raisons. Mais ce drame ayant tout de même affecté de nombreux jeunes et des déviants ou des réinsérables de bonnes familles, quelque chose pourrait bientôt changer. Allons nous débusquer autre chose qu'un lampiste à châtier ? Je vais acquérir la presse du jour, j'ai déjà celle d'hier. Mais je vais plutôt conserver Technikart de novembre 2011.
Actualité > Faits divers
Le père d'Agnès : «L’espoir que ça ne recommence jamais»
Le Parisien | Louise Colcombet | Publié le 22.11.2011, 07h00, extrait
Frédéric Marin, le père d’Agnès, assassinée au Chambon-sur-Lignon, entend se battre pour qu’un tel événement ne se reproduise pas mais demande à ce qu’il ne donne lieu à aucune politisation ni polémique.
Comment faites-vous face aux événements ?
FRÉDÉRIC MARIN. C’est tellement terrible et inattendu. Nous sommes très entourés et tentons de ne pas sombrer, grâce aux soutiens et aux médicaments. Nous avons la joie de voir que des gens se souviennent d’Agnès, de sa passion pour la vie. Nous tentons de protéger nos autres enfants en les tenant loin de tout ça. Nous-mêmes avons vécu en autarcie jusqu’à ce soir (NDLR : hier ), en privilégiant la famille.
Que pensez-vous de la polémique naissante ?
Nous sommes attristés que tout le monde essaie de polémiquer et de récupérer cette affaire sur le plan politique. J’aimerais que tous les acteurs, dont les médias, traitent cette affaire avec pudeur et retenue, par égard pour la mémoire d’Agnès, une jeune fille qui n’avait que 13 ans. Mais nous serons combatifs sur le plan judiciaire et nous ne nous contenterons pas d’explications du type « c’est la faute à pas de chance », « tout le monde a fait son travail ». Ce serait trop facile et, au fond, inadmissible.
Que souhaitez-vous dans l’avenir ?
Nous allons prendre un avocat pour avoir accès au dossier, comprendre, savoir qui savait exactement quoi. Nous voulons tous les éléments, comprendre quels sont les facteurs qui ont amené à introduire une bête furieuse dans une bergerie. ...
Suicide d'un éducateur : marche blanche
NDLR : Libre arbitre... ou de quoi d'autre pourrait-il s'agir ? Petite nature ?
Suicide d'un éducateur: marche blanche
AFP Publié le 21/11/2011 à 17:55
Environ 700 personnes ont défilé aujourd'hui à Dunkerque lors d'une marche blanche pour rendre hommage à l'éducateur spécialisé qui s'est suicidé jeudi, alors qu'il était sous le coup de sanctions de la part de son employeur. Famille, amis, collègues de l'éducateur, qui travaillait à l'Association d'action éducative et sociale (AAE), ainsi que des anonymes, ont marché silencieusement dans les rues de Dunkerque pour se rendre jusqu'au pont où ce dernier avait été retrouvé pendu.
Un père soupçonné d'avoir tué sa fille
Un père soupçonné d'avoir tué sa fille
AFP Publié le 18/11/2011 à 11:40
Une petite fille de cinq semaines est décédée hier dans un hôpital lillois des suites de blessures que son père, mis en examen et écroué, est soupçonné de lui avoir infligées, selon une source judiciaire.