En quête d'un second souffle, après un laxatif ?
Je lis qu'il va devoir rebondir ? S'il y arrive, car je pense que les flots de critiques sont loin d'être taris, notre chantre pourrait un jour me remercier, ces suppos sont susceptibles de l'alléger : « les politiques sont tous au régime » ou « maigrir pour faire le poids », peut-on lire dans VSD. Je lis aussi que la nouvelle tendance consisterait à bien arborer la banane. J'ai le sentiment d'être encore dans le rang des avant-gardistes, avec d'autres, je fais depuis très longtemps déjà la promotion de ce parfum, la banane. Mais il y a bien plus intéressant dans toute cette presse du moment.
Y a-t-il un barbare qui sommeille en chacun de nous, m'a-t-on demandé hier, dans un forum. Je pense que cette personne venait de parcourir mon blog. Je lui ai répondu non car je pense plutôt que nous sommes tous historiquement frères et soeurs, comme Caïn et Abel. Ce que j'ai lu aujourd'hui, sur LEMONDE.FR, tendrait à le confirmer. Ce que j'ai pu percevoir dans les écrits, les prêches, les comportements et les agissements du pasteur d'Uhrwiller et de sa soeur, le corbeau de l'histoire, tendrait à le confirmer également. Par le passé, l'un de mes avocats m'avait dit qu'il ne fallait surtout pas parler d'argent ; le juge pour enfant était saisi et les tantes maternelles de ma fille Justine s'étaient déjà beaucoup impliquées, avec la Dass et sa justice, « dans l'intérêt de leur nièce ». Et pourtant, quelques temps plus tard, le juge des tutelles me contraignait à parler d'argent, de biens et de successions, suite à une lettre du corbeau !
Je crois que d'autres ont des perceptions assez similaires à la mienne de ces relations « fraternelles », d'entre-aide, du « Care » ou de ces « sauvetages ». Nous sommes à peu près tous bercés par les mêmes cultures, valeurs et messages qu'elles émettent ou transmettent. Il y a peu, je recevais un livre, paru en septembre : Frères et soeurs, Histoire d'un lien, de Didier Lett. Je n'ai pas eu le temps de le lire ni même de le feuilleter. Mais malgré tout, je pense que son contenu illustre bien la complexité - au sens de la diversité - de ce qui peut nous unir. Dans ce même forum et la réponse qu'on me faisait, je relevais une coquille ou comme un cuir : « Bruno, peut-petre ! » J'en ai sourit. J'ai répondu que maintenant, je vais aller paitre, comme c'était déjà prévu. Je pense que je le pourrais, avec la conscience bien tranquille. Il y a un moment, j'ai déjà écrit que j'en avais bien assez lu. J'attends maintenant de constater tout simplement l'absence de réactions à ce que j'ai pu faire, dire, écrire ou même poster au cours de ces 6 dernières années.
Les journaux et les livres, j'ai lu qu'on pouvait les recycler, en faire des sacs à main, des serviettes. Ca me rassure, j'en ai des piles et des étagères remplies. Je pensais qu'ils ne me serviraient bientôt plus à rien.
« Passez un bon dimanche »
Famille : "La question de l'argent reste taboue"
LE MONDE | 17.10.09 | 14h41 • Mis à jour le 17.10.09 | 17h59, extrait
Dans cette arithmétique familiale, qu'est-ce qui fonde les liens de la fratrie ?
Les liens fraternels sont très éloignés de l'idéologie de la fraternité. Ils se construisent dans la durée. Il ne suffit pas d'être frères pour être dans le partage. Le frère qui naît, c'est d'abord un gêneur qui nous fait perdre l'exclusivité du regard parental. Cela peut susciter chez l'enfant une angoisse existentielle très forte. Cette peur s'accompagne de désir de destruction d'autant plus difficile à dépasser qu'il génère une lourde culpabilité. Il incombe aux parents d'établir un lien éthique dans la fratrie en posant les limites de ce qui est à l'un et à l'autre. On ne doit pas imposer aux enfants de s'aimer, mais de se respecter.
Marseille : le légionnaire serait peut-être hors de cause
Début septembre dernier, le légionnaire avait émis ses doutes. Aujourd'hui, l'enquête a encore progressée ; un rapport pourrait disculper le légionnaire. Son avocat, simplement « satisfait », nous invite cependant à la « prudence » car, d'une part, les juges ne sont pas tenus de suivre les experts, et, d'autre part, nous devons respecter un certain rituel... et c'est donc le juge qui choisira un jour de classer tout cela ou de renvoyer, pour un procès quand même.
Pourquoi faudrait-il rester « prudent » ? Y aurait-il d'autres charges contre « les militaires » ? D'après France Soir du 17, « le légionnaire est disculpé, c'est retour à la case départ pour les enquêteurs... » L'article nous dit surtout qu'un mea culpa devrait bientôt suivre. France Soir nous rappelle que cet été, à l'unisson ou tous persuadés, sa hiérarchie, un préfet et des élus présentaient le militaire comme étant le « seul responsable » de cet incendie, aux portes de Marseille.
Hier, j'aurai bien aimé un Monde et le Figaro aussi, mais il n'y en avait plus. Je les trouverais aujourd'hui, ainsi qu'un JDD. Le Point et Marianne sont pas mal aussi... plutôt virulents même, envers « le dauphin » ou « l'usurpateur » et son hyper papa. Dans le Monde, nous apprenons comment et pourquoi certains souhaitent maintenant redéfinir les « valeurs françaises » et notre « identité nationale ». Notre chantre aurait une formule pour caractériser les Français : « ils sont monarchistes et régicides » ? On nous dit qu'il a raison ? Notre presse et toute la critique vont s'en donner à coeur joie.
J'aime bien la Croix du week-end et son message du « 29e dimanche du temps ordinaire » à l'attention de ceux qui « se seront fait » comme violer ou sodomiser par le pouvoir en place et sa justice ? « Le Fils de l'homme n'est pas venu pour être servi, mais pour servir... » Un peu comme ces ours qui font de la glisse avec des pingouins ? Mais voilà l'heure des guignols de l'info ; on nous reparle de l'Epad et du parcours de ce jeune « surdoué », Jean, le fils de l'hyper papa.
Ajout de 14h08... Le journalisme couché, un regard unique sur l'actualité française. 14h16... « Demandez à Laurence Ferrari ». Je crois que la Direction de AFP pourrait en parler aussi. 14h18... Est-ce que la famille, ça compte ? 14h23... Nous pouvons reprendre une activité normale. A lire : L'apôtre, le fervent fonctionnaire, le sceptique et l'idée de charité ainsi que Le chagrin des juges. Mais c'est l'heure du zapping... 14h30... « Pas encore diplômé et pourtant promu à un poste prestigieux ». M. Sarkozy n'est pas l'homme d'un clan ? Ce qui compterait, c'est « avoir fait la preuve par ses études, par son travail... » Fuck You. 14h42... Jean et son « totem d'immunité », aux guignols.
Une politique de l'enfance et de la famille comme une autre,
une image de source et auteur inconnu
L'Amérique « qui nous fait si peur a encore montré son vilain visage »
Nous devrions bientôt entendre Frédéric Mitterrand, notre Ministre de la Culture, houspiller encore une fois ces horribles juges américains. Notre chantre le soutiendra, la France des post ou néo-lumières éteintes, des bougies soufflées et des mauvais procès staliniens d'intentions, à huis-clos, doit encore rayonner à travers le monde. En France, nous pensons mieux, nos discours et opinions autorisées sont tellement plus civilisés, humanisés !
Par le passé, connaissant très bien la nature de certaines opinions et travaux relatifs à la garde alternée, j'avais suggéré qu'il serait parfois impossible d'accorder ou organiser une quelconque forme de garde ou de résidence alternée en faveur de l'enfant d'un couple mixte, ce en raison de profondes divergences culturelles. A l'époque, j'illustrais mes propos en prenant l'exemple d'un couple ou parents et d'une mère bretonne d'origine algérienne et d'un père juif et suisse ou parti vivre là bas, en Suisse.
Indépendamment des distances géographiques et d'éventuelles difficultés d'ordre plus matérielles ou trébuchantes, comment de tels parents pourraient-ils s'entendre sur la durée, dans l'intérêt de l'enfant, sans qu'il n'advienne un jour quelques conflits en raison d'appréciations très différentes de la situation ou de ce qui pourrait être utile ou mieux, pour l'enfant ? Comment les parents d'Elise, une mère russe et un père français, vont-ils faire pour s'entendre, dans l'intérêt de la petite ? Il me semble que la mère d'Elise a un moment déclaré qu'elle pourrait être prête à tout, y compris à tuer, pour sa petite... Le juge Anne Valentini et la maman de Macha ou la grand-mère de Sébastien n'ont jamais pu s'entendre non plus.
A mon humble avis, en astro-psycho-judiciarisant correctement le débat, tout bon JAF ou JPE français saura motiver bien mieux qu'un méchant juge américain. Un JPE et une bonne cour d'appel comme celle de Versailles sauront même motiver mieux une rupture tout à fait définitive et durable entre un enfant et sa famille, son papa, en raison d'un conflit persistant et virulent avec le pasteur d'Uhrwiller et un corbeau lorrain. Tout paraîtra même tout à fait légal, surtout pour qui ne gratte pas le fallacieux et plus grotesque encore des arrêts et jugements rendus, sur plusieurs années.
On ne peut pas dépayser le dossier lorsqu'un juge pour enfant et certains idéologues, procureurs, kapos, corbeau ou pasteur français sont saisis de la situation d'un enfant dit « en danger » de ne pas faire du théâtre dans la bonne chapelle. C'est à mon avis parfois dommage. Je n'ai jamais pu collaborer, je fais d'ailleurs encore appel, de deux décisions, même si je sais que j'ai déjà perdu. C'est là l'usage dans mon secteur, ce sont toujours les autres qui gagnent, jamais moi...
« Une jurisprudence abondante »,
des pages 88 et 89 d'un récent rapport du Défenseur des Enfants français...
L’équilibre de l’enfant est un critère important pour la mise en place de la résidence alternée, d’autant plus lorsque l’enfant a moins de trois ans, le juge privilégie dans ce cas l’importance du rôle de la mère (CA Toulouse, ch. 1, sect. 2, 14 nov. 2006 : Juris-Data n° 2006-330021). Cependant, si l’enfant est mature et en âge de s’exprimer librement sur ses souhaits, le juge tiendra compte de sa volonté dans la prise de décision – il s’agissait en l’espèce d’un adolescent de 16 ans qui manifestait la volonté de vivre chez l’un et l’autre de ses parents (CA Amiens, ch. de la famille, 13 juin 2007 : Juris-Data n° 2007-336305). Le juge examine aussi si l’enfant est à l’aise dans les deux foyers et la qualité des relations avec les demi-frères et demi-soeurs (CA Aix-en-Provence, ch. 6 A, 22 août 2007 : Juris-Data n° 2007-344305), le besoin de l’enfant de se construire dans la dualité des images parentales (CA Aix-en-Provence, ch. 6 A, 22 août 2007 : Juris-Data n° 2007-344305), d’avoir accès à ses deux cultures (CA Aix-en-Provence, ch. 6 A, 27 février 2007 : Juris-Data n° 2007-342859) ou encore la nécessité de mettre un terme à la résidence alternée du fait d’un climat parental passionnel et empreint de souffrance (CA Dijon, ch. civ. C, 8 sept. 2005 : Juris-Data n° 2005-288558), d’un conflit parental permanent qui est entretenu voire avivé par la résidence alternée mise en place (CA Nîmes, ch.civ 2, sect.C, 20 juin 2007 : Juris-Data n° 2007-342720). Le fonctionnement de la résidence alternée est mis en échec par l’absence totale de communication entre les parents (CA Nîmes, 20 juin 2007, précité).
Un couple mixte interdit de mariage aux Etats-Unis "au nom des enfants"
LEMONDE.FR avec AFP | 16.10.09 | 22h19 • Mis à jour le 16.10.09 | 22h19, extrait
Un juge de paix a refusé de marier un Noir et une Blanche en Louisiane, dans le sud des Etats-Unis, au prétexte que leurs enfants seraient rejetés par leurs communautés respectives, rapporte, vendredi 16 octobre, la presse locale. "Je ne suis pas raciste, a assuré Keith Bardwell, juge de paix à Tangipahoa Parish, au journal Hammond Star. J'organise des cérémonies pour des couples noirs ici même, dans ma maison. Je pense d'abord aux enfants." M. Bardwell a précisé au journal qu'il pensait que les mariages mixtes ne duraient pas longtemps et que les enfants issus de telles unions n'étaient acceptés ni par la communauté noire ni par la communauté blanche. "Je ne célèbre pas de mariages mixtes parce que je ne veux pas imposer aux enfants une situation qu'ils n'ont pas voulue eux-mêmes, a ajouté le juge. Dans mon cœur, je sens que les enfants vont souffrir plus tard." "C'EST MON DROIT". Beth Humphrey, qui est blanche, et Terence McKay, qui est noir, ont finalement été mariés par un juge de paix dans une commune voisine.
Surprise !
Les feuilles, finalement, c'est peut-être un peu mieux quand même ? On y relève des surprises, tel ce cadeau en toute discrétion, fait à Gandrange. Sur le net, on ne le percevait pas vraiment, il fallait vouloir le lire ? Dans le Figaro de ce vendredi 16, on ne peut que remarquer l'encart qui figure en bonne place, sous une double page consacrée à son interview.
La vrai surprise est peut être sur la première feuille, mais en page 15, tout à la fin de ce même canard. S'agirait-il d'un très violent retour au réel, après une multitude de buzz ? Un très récent pourrait-il l'avoir finalement contraint à défendre l'enfant « pré-désigné » par la voix d'un grand quotidien national ? Ce serait insoutenable.
Je n'ai pas de problèmes avec son élection. Mais sa justice et son mutisme m'en posent, de très sérieux.
Dans le Monde de demain qui titre que son hyperprésidence montre déjà ses limites, Plantu est toujours aussi taquin. En une du Parisien du jour, on lit bien que ça grince à droite. On le lisait déjà sur la couverture de Valeurs Actuelles. Libé Le tract va plus loin et nous parle d'une mutinerie alors que monte un peu partout l'idée de taxer les banques.
France Soir revient sur l'affaire Grégory. Il y a 25 ans, jour pour jour, son corps était retrouvé dans la Vologne. « J'ai commis des erreurs, les gendarmes aussi », nous a dit depuis le juge Lambert. Il me semble même que l'Etat a été condamné pour les insuffisances de l'enquête... et qu'en tous cas, depuis, la médecine légale aurait été quelque peu réformée.
« Visite surprise », en l'absence de la presse nationale
Tiens, ça tend à se confirmer : « Il » écrit à Sarkozy pour être « castré »
Je pouvais passer pour excessif lorsque je répondais à Adda, ce 1er octobre : « attention, les p'tits nenfants, si vous pouvez être vraiment méchant, on va vous arracher les roustons ! » Dans la pratique, après les annonces récentes de Morano, l'avenir pourrait être pire encore : « parents, veillez bien sur vos rejetons ! dressez les bien, sinon, c'est d'abord à vous qu'on va les arracher ! »
Pourquoi Françis Evrard a-t-il choisi cette période ou moment précis pour demander cette autorisation si particulière à notre chantre ? A-t-on vraiment besoin d'un accord Présidentiel pour ce genre d'opération ? Sur le plan hormonal et de leurs dérèglements, je ne suis pas certain que l'arrachage de roustons soit la pratique idéale, surtout pour des profils inquiétants et alors qu'une telle opération est irréversible. C'est un débat dont des médecins devraient sous peu s'emparer... polémique en perspective alors que quelques médecins se sont peut-être déjà opposés à cette ablation.
Je crois qu'il faudrait aussi penser un jour à promouvoir la vasectomie et la ligature des trompes, tout simplement, à titre préventif. Cette semaine, j'ai entendu que le Planning Familial se plaignait de la restructuration et de la fermeture de certaines structures ; il faut donc déjà oublier l'IVG et autres méthodes de contraception ou de contrôle des naissances ? La vasectomie pourrait être une solution efficace pour ceux qui renonceront à faire des enfants alors que leur avenir est pour le moment plutôt incertain. En effet, pour un oui ou pour un non et surtout si la justice venait un jour à s'en mêler et à s'empêtrer, leur avenir pourrait même virer à glauque. Mais de tels discours pourraient être inaudibles tandis que la France veut encore des enfants, et même beaucoup.
D'habitude, ce sont certaines bêtes qu'on castre, notamment les chiens. Et lorsque rien ne va plus, on « les fait » piquer.
Il écrit à Sarkozy pour être castré
AFP, 16/10/2009 | Mise à jour : 19:54
Francis Evrard, qui comparaît dans dix jours devant la cour d'assises du Nord pour l'enlèvement, la séquestration et le viol du petit Enis en août 2007 à Roubaix (Nord), a écrit à Nicolas Sarkozy pour lui demander d'autoriser sa castration physique, a révélé France 3 Nord/Pas-de-Calais.
Ca chauffe encore et Yade s'est dite « choquée » ?
Qu'est-ce qu'au juste une « assimilation » ou un « amalgame » ? Quand deviennent-ils inacceptables ? Lorsqu'il y en a, qui les produit et où est leur terreau ? J'adore ce qui est souligné plus bas, par une dépêche AP et selon une source policière : « il y avait pourtant du monde dans le wagon mais personne n'a rien fait ».
Un violeur présumé remis en liberté
AFP, 16/10/2009 | Mise à jour : 12:02, extrait
Mis en examen mardi pour des viols répétés sur ses quatre nièces mineures, un homme de 53 ans, condamné par la cour d'assises de Nevers en 1987 pour des faits similaires, a été remis en liberté à l'issue de sa garde à vue, a-t-on appris ce matin de source judiciaire. Il a toutefois été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d'entrer en contact avec les victimes. Selon le Journal du Centre, citant le Parquet de Bourges (Cher) où est installé le pôle d'instruction de la Nièvre, la condamnation de 1987 "ne figure pas (ou plus) au casier judiciaire" du violeur présumé.
Le front social est « apaisé » malgré toutes ces crises ou difficultés ?
Hier soir, j'ai lu un entretien paru sur le Figaro.fr : « le front social est apaisé malgré une crise économique sans précédent ». Aujourd'hui, j'ai lu un article du Parisien.fr. Hier, j'ai également lu que « il ne faut pas confondre le climat du milieu médiatique, qui est par construction politisé et agité... » Les Champs, un milieu « médiatique » ? Hier, nous a-t-on dit qu'il est maintenant devenu inutile voire stupide de lire les journaux, nous rapporteraient-ils vraiment n'importe quoi ?
Lu sur le Figaro, le 15 au soir, rapporté par plusieurs scribouillards... « L'année dernière à la même époque, on nous prophétisait la violence dans les banlieues, l'explosion sociale et la paralysie Outre-mer. Un an après ? [...] La France est, de tous les pays industrialisés, celui qui a le moins souffert de la crise. [...] Cette stratégie [NDLR: Celle de l'autruche, la tête dans le sable et le cul bien exposé] porte ses fruits : les résultats sont là mais on ne sera sorti de la crise que quand le chômage diminuera. » Il faut maintenant attendre, tout finira un jour par s'arranger. Après la crise, la reprise suivra obligatoirement, notre chantre nous l'avait fait savoir il y a de cela quelques mois (c'est au fond de mes notes).
D'hier soir, je retiendrais surtout que Jean, l'enfant « pré-désigné », a des droits et que d'autres se tromperaient...
Economie
Crise agricole
Le coup d'éclat des agriculteurs sur les Champs-Elysées
Le Parisien | 16.10.2009, 07h52 | Mise à jour : 09h02, extrait
Les manifestations des agriculteurs se sont multipliés dès l'aube dans toute la France. Pour la première fois depuis 2002, la FNSEA a appelé ses membres à descendre dans la rue pour protester contre la crise que traverse le secteur à mesure de la chute des cours mondiaux. A Paris, une cinquantaine de jeunes agriculteurs d'Ile-de-France ont bloqué les Champs-Elysées dès 7h30 à la hauteur de la station de métro Georges V.
Cali méro ca li méro... ou l'autruche ?
Je l'avais déjà relu ou entendu encore cette semaine, peut-être sur France Info ou sur RTL. Notre hyper chantre à la tête de tout s'implique et se sent maintenant très directement concerné, ou « visé » même, par tout ce qui se trame, grouille, grenouille ou gargouille autours de lui ? Cela me parait assez naturel. Il y a quelques temps, le comparant à ses prédécesseurs, des spécialistes ont estimé qu'il s'était trop exposé. Le titre de l'article et de cet interview du Figaro est un choix étrange bien que ce sujet, les droits de Jean, l'enfant « pré-désigné », soit depuis quelques jours un sujet d'actualité. On aurait pu parler plutôt de la crise ou de sa justice, l'institution et ses moyens, certaines méthodes ou pratiques archaïques, mais nous parlerons donc plutôt de lui, « visé ». Pourquoi pas ? J'avais pour ma part bel et bien l'intention de l'interpeller avec les faibles moyens dont je dispose. M'a-t-il entendu ? J'en doute très fort. Il parle, beaucoup, mais souvent, il n'entend rien du tout. Il aurait pu nous dire qu'il était à Gandrange, qu'il a enfin fini par retrouver cette route là. Ce sera pour une autre fois.
France, vendredi 16 octobre 2009, le Temps, extrait
L’affaire Jean Sarkozy inquiète la droite
L’image du président Nicolas Sarkozy souffre de la promotion éclair de son fils aîné, qui brigue la direction de l’organisme public qui gère La Défense. «C’est très mauvais pour lui»: voilà le jugement d’un familier du pouvoir sur l’impact de «l’affaire Jean» pour Nicolas Sarkozy. L’arrivée de son fils à La Défense inquiète la droite française, d’autant qu’elle intervient dans une «séquence» difficile, marquée, dans les milieux conservateurs, par l’idée que le président a perdu sa boussole morale.
Népotisme, mercredi 14 octobre 2009, le Temps, extrait
Sarkozy, père et fils, contre-attaquent
Le président de la République dénonce ceux qui donnent son fils «en pâture». Ce dernier affiche des ambitions qui dépassent la gestion du quartier d’affaires de La Défense. Les Sarkozy restent droits dans leurs bottes. Loin de reculer face à la polémique, le président et ses proches ont défendu mardi la candidature de Jean Sarkozy à la tête du conseil d’administration de la Défense, ce quartier d’affaires dont les tours géantes dominent Paris. Non seulement l’étudiant en droit de 23 ans a le profil idéal pour ce poste, selon eux, mais il s’apprête déjà à briguer de plus hautes fonctions.
Cette semaine, je pense que le château a bien reçu ses suppos. En général, la Poste fonctionne bien. Aujourd'hui, j'ai même reçu ma convoc pour le 11 décembre, dans l'un de ses prétoires, à Versailles. Pourvu que les autres s'y présentent... Je verrais cela le moment venu. A la cour d'appel de Versailles, j'ai l'habitude de me faire poser des lapins.
Aujourd'hui, j'ai téléphoné au greffe de la chambre des créatures inférieures. J'ai bien décidé de faire appel de la correspondance ou décision récente que me communiquait le juge Thierry Baranger, vers la fin septembre. Comme je l'ai demandé par lettre, le greffier m'a assuré que cet appel sera joint, le 11 décembre prochain, à celui interjeté contre le jugement rendu en juillet dernier, également par le juge Thierry Baranger. Cet appel ne rime pas à grand chose. Je l'aurai préféré partiel, ça pouvait suffire. Mais ce n'est pas possible avec cette infra-justice. J'aurai même préféré une audience chez le juge pour enfant, puis un nouveau jugement, plus adapté à la situation actuelle qui est à nouveau bien différente de juillet dernier. Mais ce n'est pas possible non plus, Donzelot nous l'a bien expliqué en 1977, au siècle dernier : seul les professionnels peuvent faire appel, etc... pas les parents, jamais ; ils doivent plier ou se démettre.
Justine a de nouveau comme disparue. J'ai de bonnes raisons de penser qu'elle est encore comme fâchée contre nous, pour des futilités, une situation que nous avions déjà connue par le passé, plus particulièrement à la fin octobre 2005, avant qu'elle ne disparaisse pendant 3 à 4 longues années. Tout ce qui a pu se faire et se construire depuis septembre 2008 pourrait bien avoir été balayé depuis la fin août ou plutôt, peut-être, depuis la rentrée, tout début septembre. Nous avions déjà construit par le passé. Mais à chaque fois, tout a été balayé. C'est de l'assistance dite éducative, une sorte de peine sans fin, sans jamais aucun procès ni investigations dignes de ce nom, juste des paroles de cafards, des écrits de corbeaux, des avis de psys ou des prêches du pasteur, puis des jugements... détachés de tout, « dans l'intérêt de l'enfant » dont s'occupent les professionnels et les tiers dits « gardiens » et « neutres » ou « dignes de confiance ».
Dans sa dernière correspondance, le juge Thierry Baranger pouvait se vouloir rassurant, il me rappelait que j'exerce toujours l'autorité parentale sur Justine... quels bons princes, ces magistrats. Mais j'aime bien cette lettre et son contenu, c'est un peu plus qu'une réponse et cela change beaucoup des attitudes des juges qui l'ont précédés.
En kiosque | Une droite sans boussole Réhabilitation du travail ou résignation à la “décroissance” sous l’influence des Verts ? À mi-mandat, de solides arbitrages s’imposent. Coupables : de même que ce mot de trop pourrait bien constituer le tournant majeur du procès Clearstream, de même les “couacs” qui se multiplient dans la majorité suggèrent qu’une étape est atteinte dans l’histoire du quinquennat. Celle qui précède, au choix, une prompte reprise en main… ou l’approfondissement des malentendus. Nicolas Sarkozy, pourtant, avait négocié avec un certain bonheur le tournant de la crise. Certes aidé par le calendrier – le rôle de premier plan offert par la présidence française de l’Union européenne, pendant le second semestre de 2008 –, le président avait su, en quelques mois, convertir la droite au retour en force de l’État (soutien aux banques, création d’un ministère de la Relance chargé de superviser l’aide aux secteurs en difficulté) et, du même mouvement, désarmer les critiques d’une gauche toujours prompte à stigmatiser son “ultralibéralisme” présumé. |
Lorsqu'on fait de bonnes coupes dans l'interview du chantre, voir à la suite, on y retrouve des infos plutôt intéressantes. Il nous parle d'abord beaucoup du passé. Pourquoi donc, puisqu'ensuite, il affirme lui-même que « la situation de l'actuelle majorité est bien différente » ? Jean a des droits, comme tout le monde, oui, on le sait bien. Depuis quelques temps, on nous le répète en boucle tout en nous vantant les utopies d'une démocratie et tout le fabuleux de cette République - bannanière, a-t-on encore pu lire, il y a peu, dans des médias. On a beau me dire ou souhaiter me faire croire que tout est différent, comme d'autres, j'ai une expérience qui me fait plutôt penser que notre chantre a une perception eronnée de ces systèmes qui peuvent profiter aux uns et parfois nuire aux autres, notamment aux dits « petits » - pas au petit Jean, il est « pré-désigné ».
Dans le Monde de demain, Plantu nous suggère d'évaluer la télépathie. J'en parlerais à ma cadette, lorsqu'elle redemandera des nouvelles de sa grande soeur. Pour le moment, ma cadette n'en parle plus ; elle est assez futée et fini par connaitre elle aussi les pirouettes et caprices de sa justice. Elle s'aperçoit en tous cas que la chambre de sa grande soeur reste vide, comme par le passé.
Dans le Monde de demain, on lit aussi que les banques prospèrent. Nous pouvons enfin souffler alors que ce ne sont plus 900 millions mais un peu plus d'un milliard de terriens qui crèvent la dalle. Qu'est-ce qu'on est bien, en France, sous Nicolas Sarkozy. Il y a peu, un clown a fait des bulles dans l'espace. On veut croire à ces grands spectacles, nous en redemandons, comme de ces miracles en une de France Soir. Attention lors de vos voyages d'agréments, à l'étranger : ne faites pas l'autruche, pensez à vous faire vacciner avant le départ.
Dans un interview à paraitre dans le Figaro de demain, on devrait lire quelques conseils rafraichissants : « Il n'est pas interdit de prendre un peu de recul. [...] J'en tire la conclusion qu'il ne faut pas confondre le climat du milieu médiatique, qui est par construction politisé et agité... » Bref, ce qu'on sait bien. Il y a des requins et des loups (plus des éléphants, des lions, des canards, des grenouilles...) sur à peu près tous les territoires, même le dauphin est au parfum.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause... Un son « explicite », posté en septembre dernier.
Quelques canards et une autruche
«Ce n'est pas mon fils qui est visé, c'est moi»
Propos recueillis par Etienne Mougeotte, Gaëtan de Capele,
Philippe Goulliaud, Charles Jaigu, Paul-Henri du Limbert, et Guillaume Tabard
Le Figaro, 15/10/2009 | Mise à jour : 20:32, extraits
Dans un entretien à paraître demain dans le Figaro, le chef de l'Etat revient sur les polémiques récentes.
La majorité traverse une zone de turbulences. Que pensez-vous de cette détérioration du climat politique ?
Il n'est pas interdit de prendre un peu de recul. [...] J'en tire la conclusion qu'il ne faut pas confondre le climat du milieu médiatique, qui est par construction politisé et agité avec la réalité de la société française qui attend du gouvernement qu'il apporte des solutions concrètes aux problèmes des Français : le chômage, la sécurité, l'éducation de leurs enfants, le pouvoir d'achat.
[...] A travers cette polémique [NDLR: l'enfant prodige], qui est visé ? Ce n'est pas mon fils. C'est moi. Ceux qui ne se sont jamais faits à mon élection et qui n'ont rien à dire sur le fond [NDLR: réponds à ma bafouille ou prend des suppos] essayent d'attaquer sur tous les sujets avec une mauvaise foi [NDLR: t'es grotesque, prend un suppo] et une méchanceté qui ne trompera pas les Français [NDLR: Lily allen est toujours top 50, même si elle est descendue à la 24ième place].
Un député UMP encore condamné et un gendarme menacé ?
Y a des trucs à pas dire et d'autres auxquels il ne faudrait même pas penser... sauf si on porte déjà l'étiquette de débile, dans ce cas là, on peut faire et raconter n'importe quoi ?
Un gendarme menacé de radiation pour manquement à l'obligation de réserve
LE MONDE | 15.10.09 | 10h37, extraits
Poursuivi pour "manquement grave à l'obligation de réserve", le chef d'escadron de la région Picardie Jean-Hugues Matelly, 44 ans, pourrait être radié des cadres, c'est-à-dire exclu de la gendarmerie. C'est du moins l'avis rendu par le conseil d'enquête, l'instance disciplinaire de la gendarmerie nationale, mercredi 14 octobre. S'agissant d'un officier supérieur, il revient désormais au président de la République, Nicolas Sarkozy, de signer ou non le décret. La radiation de M. Matelly, pour ces motifs, constituerait une première.
Des requins ?
Dans des prétoires et leurs alentours, j'avais bien repéré des loups et ce qui semblait se profiler derrière eux. Qu'y aurait-il encore, aux alentours ? Des requins, me suggère-t-on ? Un dauphin peut survivre et même s'épanouir parmi eux ?
Jean, l'élu « pré-désigné », nous dit que certains qui le critiquent sont amnésiques. C'est amusant.
Par chez moi, dans le 9-2, d'autres m'intiment depuis des lustres de tout oublier et de tourner la page. Les mêmes ne semblent connaitre qu'une seule et unique forme de « débat démocratique », de nature prétendue éducative, pour créatures inférieures : des attaques de toutes natures, dans le secret de la chambre du conseil.
Ma fille aînée Justine en profiterait beaucoup, depuis plusieurs années déjà, mais elle souffrirait - le plus souvent voire même exclusivement - de mes attitudes ou décisions. Depuis peu, Justine profite également beaucoup de ce que des intellectuels putéolois ont publié sur Internet.
Publié le 15/10/2009 à 11:18 - Modifié le 15/10/2009 à 11:36 Le Point.fr
INTERVIEW AU POINT
La Défense - Jean Sarkozy : "Lorsqu'on s'appelle Sarkozy, les choses sont parfois plus difficiles"
Mise au point. Le futur président de l'Epad s'explique sur la polémique.
Le Point : Népotisme, héritier, dauphin... Que n'entend-on pas à votre sujet depuis l'annonce de votre candidature à la présidence de l'Epad...
Jean Sarkozy : Quand on parle de dauphin, je comprends mieux pourquoi : j'ai vu qu'il y avait un certain nombre de requins autour de moi et que c'était la seule façon de leur résister. Je ne découvre pas le bruit des canons. J'ai été attaqué sur tous les chapitres : mon âge, mon nom, mon activité, y compris sur les éléments les plus intimes de ma vie, comme la religion de ma femme. Ce n'est jamais agréable - et c'est un euphémisme -, mais, en même temps, il n'y a pas d'engagement en politique possible sans attaques. Je comprends certaines interrogations auxquelles je veux apporter une réponse sur le terrain des idées, sur le terrain du projet. Mon ambition est de les convaincre de la pertinence de ma vision pour La Défense. Après, il y a des attaques ad hominem qui sont proférées. Pour moi, le débat démocratique ne doit pas se placer sur ce terrain-là. Laissons parler les actes et qu'on en juge après.
Êtes-vous surpris par l'ampleur de la polémique, qui va au-delà de la gauche et qui dépasse les frontières ?
Est-ce proportionné par rapport à la réalité de ce qui est en jeu ? Non. Est-ce que cela me surprend ? Pas vraiment. Ceux qui critiquent sont un peu amnésiques. De mon élection au conseil général à mon mariage, en passant par mon autre élection à la présidence du groupe, on me fait les mêmes procès. Chaque élément de mon engagement est sujet à la plus grande attention. J'ai compris que, lorsqu'on s'appelle Sarkozy, les choses sont parfois plus difficiles.
... La suite est à lire sur Le Point.fr
« La police des familles », c'est concret et confirmé par Morano ?
On nous avait annoncé la création d'une police des familles, le projet semble se concrétiser selon ce que j'ai pu lire dans France Soir du jour. Aujourd'hui, je pense qu'il faut ou qu'on doit approuver. Par le passé, il y aurait encore eu des débats. Je crois qu'on pourrait aussi lire un vieil article du tract pour un meilleur éclairage à ces sujets.
Je crois que désormais ou depuis quelques temps déjà, ce qui compte en France, c'est d'être bien né, d'avoir des amis attentionnés ou de quelconques relations parmi de très hauts perchés, de ceux qui pourront produire une belle attestation de parfaite moralité, sur papier à entête, un document que le maire et autres autorités ou pouvoirs locaux reconnaitront avec une grande aisance. Les français savent bien cela, on nous l'a encore rappelé il y a peu, à la radio, suite à la polémique suscitée par une tournante à la Réunion et un certain soutien accordé « à la famille ».
Un autre « cas particulier » avait suscité une polémique, celui d'un bébé tué par une pierre, en Corse.
Libé et France Soir du 14
Des jeunes socialistes demandent à Nicolas Sarkozy de les adopter
France Info - 12:56, extrait
Parce que "c’est plus facile quand on s’appelle Sarkozy", des militants du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) demandent au chef de l’Etat de les adopter, dans l’espoir qu’il leur offre "un premier emploi temps plein". Comme à son fils Jean… Ils étaient quatre, chacun équipé d’un panneau recouvert d’un agrandissement de leur propre demande d’adoption. Ils ont tenté de s’approcher de l’entrée principale du palais de l’Elysée, avant d’être gentiment mais fermement priés par la police d’aller discuter plus loin avec les journalistes.
Libé, samedi 10 mars 2007, extraits
«Que gagne-t-on à humilier un père devant son fils?»
A Garges-lès-Gonesse, polémique après l'arrestation des parents de délinquants. Motif: ils se sont «soustraits à leurs obligations légales». Pendant plusieurs heures, ils ont été mis en garde à vue, avec déshabillage intégral à la clef.
Un certain Jean Sarkozy, un « héritier qui dérange » ?
Je pense que mes discours et mes écrits dérangent beaucoup eux aussi, depuis très longtemps, y compris lorsque j'écris au juge des tutelles avec un tampon taillé dans une patate ou même lorsque j'écris ou envoie des trucs au château et à sa chancellerie. Des juges m'avaient intimé de faire brûler mes dossiers, de supprimer mon blog, de tout oublier... et d'aller voir un psy. J'ai désobéi, j'ai écrit plus et, depuis, j'ai empilé plus de papier encore.
Les français sont parmi les plus douillets de l'Europe ? Peut-être est-ce pour cela que la Dass a inculqué à Justine que la médecine, ça ne sert pas à faire soigner les enfants, ça sert juste à disculper des professionnels de la Dass. Je ne suis pas sûr que Justine, encore un peu jeune pour en juger, a perçu que la médecine, le droit et le savoir en général ont aussi beaucoup servis à ces mêmes professionnels pour motiver « mieux » leurs décisions, jugements ou arrêts et « bien » noircir son papa. Polanski tombe malade ? C'est un français, il est probablement trop douillet...
Jean, « un papa absent et une maman gravement malade, protectrice » ? Il n'a jamais été placé, malgré le divorce de ses parents ? Jean aurait un moment été « soudé » à son frère ? La Dass n'a pas d'antenne à Neuilly sa mère ?
C'est quoi, ce son, de RTL ? Ne sont-ils pas un peu taquins dans cette rédac' ?
RTL info | Politique | 13 oct. 2009 | Màj 20h29
Quand Nicolas Sarkozy critique la formation d'élites par la naissance...
Nicolas Sarkozy a salué mardi en la naissance des lycées en 1802 "le geste fondateur de notre éducation nationale", qui signifiait "la fin des privilèges de la naissance". Une déclaration faite à l'occasion de la présentation à l'Elysée de la réforme des lycées. Une phrase qui prend surtout du relief [???] que la polémique fait rage sur le projet de nomination de son fils de 23 ans, étudiant en deuxième année de droit, à la tête de l'établissement public d'aménagement du quartier d'affaires de la Défense (Epad). Une polémique que le Président juge "sans fondement" et "excessive".
Sur RTL, on peut aussi écouter l'opinion et le plaidoyer de Charles Pasqua, en faveur de Jean, « un garçon brillant » [NDLR: Charles est lui même plutôt âgé, il parle donc d'un « garçon » qui débute, en fac de droit], « aux qualités exceptionnelles », qui se serait déjà « énormément documenté, formé, sur tous les problèmes ». On apprend que Jean a « les mêmes qualités de dynamisme que son père » [NDLR: de ce père absent ou vu à la télé?] mais aussi autre chose en lui, qu'il a aussi, « probablement, une bonne part des qualités de sa mère » [NDLR: c'est à dire?]. Charles Pasqua nous assure que Jean sera à sa place, avec d'autres, à la tête de l'EPAD. Dans cet interview de Charles Pasqua, on apprend également que Jean a été « pré-désigné » par le groupe UMP du conseil général, pour être membre du conseil d'administration de l'EPAD. Jean n'aurait-il pas été « élu » par ce groupe ? Que signifie au juste avoir été « pré-désigné » par un groupe de l'UMP, c'est génétique ?
Ajout du 14... entendu sur France Info, peu après 9h00, Jean qui parle et nous dit qu'il a été élu ; je n'ai pas pu enregistrer le début du son au cours duquel il nous dit bien qu'il n'a pas été « nommé ». Jean nous dit peut être surtout qu'en France ou dans la République de son papa, nous avons des lois, très certainement les mêmes pour tout ceux qui ont un scooter et qui portent les codes de Nicolas Sarkozy :
Le Parisien du jour nous reparle encore d'Outreau et de sa justice. Je pensais qu'il s'agissait également d'un épisode à effacer de nos mémoires... Les français sont « méfiants » lorsqu'on leurs parle de sa justice ?
Le Monde du 14, « le surendettement frappe toujours plus »
Très cher divorce... ou « Silence, on souffre »
Doit-on se soucier de ces enfants du divorce « à la cubaine » ? Pas vraiment si l'on se fie à certains discours récents et à l'éventuelle création d'une « police des familles » ? Cette nouvelle « police » - je ne peux que penser à un vieil ouvrage de Jacques Donzelot, de 1977... et à des pratiques archaïques - pourrait éventuellement pallier au désengagement de l'Etat dans le domaine de la protection de l'enfance alors que la Cour des comptes vient elle-même de rendre un rapport public sur ce même sujet, la protection de l'enfance, décrivant une fois encore un dispositif « insuffisant » en France, comme on pouvait le lire depuis plusieurs années déjà, dans de précédents rapports, tout aussi officiels (Inserm, IGAS, appel des 100, chambres régionales, etc, etc).
Il y a peu, tout en m'étonnant encore - c'est vraiment relatif vu la nature de mes discours, de mes écrits et de mes actions en ce qui serait Justice - du silence du château et de sa chancellerie, j'écrivais que le chiffre 450 000 me trottait dans la tête depuis 2005. On sait qu'en France, les chiffres sont réputés farfelus, fantaisistes, c'est en tous cas ce que l'on m'a lancé lorsque j'ai avancé un jour des chiffres extraits d'un épais annuaire de statistiques très officiellement produit par le ministère de la justice... Dans un document de 2006, l'Unicef publiait un chiffre pour la france estimé à 240 000 voire même jusqu'à 820 000 enfants face au risque d'arbitraire. Je crois que la crise actuelle, financière, n'a rien amélioré à ces chiffres ou supputations, bien au contraire. Depuis fin août dernier, en France, les stocks de sangliers et de peines à exécuter ont fait couler beaucoup d'encre et ont suscité des débats parfois très tendus sur la toile. Je me suis d'ailleurs fait sensurer dans un billet de Gascogne, Quand la justice n'exécute plus ; je crois que j'ai été trop virulent envers des professionnels...
Les quelques lignes après ces feuilles du Parisien d'hier datent d'août 2005. Je pense qu'elles ne sont maintenant plus vraiment d'actualité, elles renvoient à il y a 5 ans déjà, avant la crise et à une période au cours de laquelle je pensais que la France et ses autorités travaillait à améliorer vraiment le dispositif de la protection de l'enfance. Mais au fil du temps, on s'aperçoit que des décisions tardent à être prises ; en effet, souvent des guides de « bonnes pratiques », des décrets et de beaux textes de loi restent au fond des tiroirs. Bien sûr, la justice en France n'exécute plus et les jeux du cirque sont aujourd'hui bien différents de ceux d'antan, Dominique Barella nous le confirmait dans le Monde du 2 octobre. En France, nous sommes civilisés, certains règlent même leurs différents dans des prétoires, et ce sont les contenus des journaux qui nous permettent d'y assister, si les victimes ou les cadavres ne sont pas déjà à leurs unes ou parmi les grands titres. Mais j'ai le très net sentiment que l'arbitraire - le loto - socio judiciaire est une réalité, même des professionnels en parlent, un arbitraire qui peut affecter de nombreuses familles, tandis qu'en cas de suicide ou de drame familial, on parlera de libre arbitre et d'usagers qui n'auront pas su tirer profit de dispositifs susceptibles de les aider ponctuellement ou très transitoirement. En 2005, je venais de découvrir vraiment tout le glauque, l'irrationnel et l'absurde de ce dispositif supposé protéger les enfants français. J'aurai alors souhaité que ma fille aînée et les miens puissions rapidement échapper à cet arbitraire. A cette période, tout en me faisant déjà passer pour timbré, certains professionnels m'avait parlé de la nécessité de divorcer... même si mon ex, la maman de Justine, est décédée en 1999, quelques 4 ans avant que le juge pour enfant ne soit saisi, à la mi-2003 !
Lorsqu'on me lit, je crois que je peux souvent passer pour un vrai dérangé, surtout lorsque je préfère rire de certains faits - comme des caricaturistes - plutôt que de m'en offusquer ou de m'indigner, attitude beaucoup commune et consensuelle dans nos sociétés ou contrées dites civilisées ? Mais je suis probablement bien moins dérangé que certains magistrats professionnels de mon secteur, le 9-2 ou le 7-8, qui assureront sûrement longtemps encore avoir toujours oeuvré dans l'intérêt de mon aînée. En effet, comme je l'expliquais dans un billet de juin dernier, dans l'arrêt que Versailles venait de rendre à la fin mai 2009, on peut lire que, en 2004, « la médiatisation des rapports mère/fille organisée par le service gardien avait eu des effets bénéfiques mais pas au point de justifier un retour de Justine au domicile du père... » Bien lire « en 2004 », « la médiatisation des rapports mère/fille »... Tout bon professionnel de la justice, loyal ou très sincère et sous serment, parlera d'une simple erreur de plume. Mais vu leur nombre et leurs natures, vu le nombre de boulettes dans mes divers dossiers qui concernent très directement ma fille aînée, vu également la manière dont des juges de la cour d'appel de Versailles s'était récemment encore appliqués pour rendre cet ultime délibéré, en mai dernier, je parlerais pour ma part, très franchement, de dénaturation des pièces de la procédure, comme pourraient le faire de respectueux ou zélés fonctionnaires du ministère de l'Intérieur ou de l'Immigration et de l'Identité Nationale.
Je parle donc aussi de stocks d'humains et de leur progéniture, de moyens et de fric ou d'emplois aussi, de non exécution de décisions de justice également, peut être un peu comme pourraient le faire des professionnels et des fonctionnaires, en ricanant dans leurs coin - and the question is « who cares ? », voir cette note, du 19 septembre dernier. Mais des professionnels et des chercheurs peuvent être plus sérieux aussi, on s'en apperçoit lorsqu'on découvre des appels d'offres ou des études telles que celle portant sur des chiffres noirs de la justice. Nous rappellera-t-on un jour que « l'homme n'est pas une marchandise comme une autre ? » Que dire de l'enfant ? Qu'en cas de doutes ou au moindre soupçons, de bons professionnels et de gentilles tatas seront toujours là pour les prendre par la main, et partir avec, pour les faire disparaitre et pousser à la campagne, loin des villes ? Fin janvier dernier, pour tuer le temps, souvent long lorsque la justice est saisie, je proposais un exercice de karaoké. Madame Nadine Morano confirmera, elle est de ceux qui savent que la Dass est insuffisante, défaillante. Je crois que des juges et d'autres « pros » pourraient un jour confirmer aussi.
« Ils sont séparés mais doivent vivre sous le même toit », peut-on lire dans le Parisien d'hier. Je me demande là encore ce qui motive ce placement « durable » de ma fille aînée Justine, en Alsace, qui s'éternise, alors que cet été, en famille, tout s'est très bien déroulé. Il faut sauver la face de quelques juges ainsi que celle d'autres professionnels de la justice ou de la protection de l'enfance ? Il faut préserver la réputation du corbeau de l'histoire et du pasteur d'Uhrwiller ? Je pensais que d'autres intérêts que ceux d'adultes et de tiers étaient supérieurs lorsque le juge pour enfant est saisi... j'ai pu très mal interpréter la loi et me tromper pendant toutes ces années, très certainement comme la cour de cassation, en décembre dernier elle n'a pas vraiment suivi les magistrats professionnels de mon secteur... Je serais aussi « malade » ou « débile » que certains magistrats de ces très hautes cours ? C'est un diagnostique « psychiatrique » confirmé par la cour d'appel de Versailles et par des intellos putéolois, ce qui me conviendrait alors tout à fait.
Depuis des années maintenant, je répondais à qui voulait l'entendre que certains combats tel que pour ou contre la garde alternée ou partagée n'étaient pas les bons à mener. Aujourd'hui, quelques militants, des professionnels, des réacs ainsi que des associatifs pourront se réorganiser en conséquence, s'entourer de nouveaux spécialistes, puis se battre à présent en faveur - ou afin de s'opposer - à l'accès partagé à la chambre à coucher. Je pense que d'autres ont déjà tous les outils qui leurs permettront d'arracher des enfants à ces familles là. Les plus mécontents des parents ou proches pourront toujours tenter ensuite de saisir des prétoires tels que de la famille ou de l'enfance, et espérer faire valoir des droits, même des droits de l'enfant ; je leurs souhaite bien du courage.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause we hate what you do, And we hate... Un son « explicite ».
Le parisien du 11/10, un numéro spécial divorce « à la cubaine »,
« et les enfants dans tout ça », juste un stock, à prendre par la main ?
Risque d´arbitraire pour 450 000 enfants
Des extraits d'un de mes billet, du 27 aout 2005, il doit être aujourd'hui sur archive.org
« 450 000 enfants font l´objet aujourd´hui d´une mesure de protection judiciaire : enfants maltraités ou en danger – enfants en grande difficulté ou difficiles, enfants en échec scolaire, adolescents déscolarisés, fugueurs ou délinquants, enfants dont, d´une manière ou d´autre, les parents ne parviennent plus à assurer l´éducation. Or, depuis le mois d´octobre, dans le cadre de la décentralisation, un amendement adopté par le Sénat a transféré une partie de la compétence judiciaire en matière de protection de l´enfance à l´administration, ce qui entraîne pour les familles la perte des garanties tenant au débat judiciaire et un risque d´arbitraire… Cet appel est lancé par l´AFMJ (Association française des magistrats de la jeunesse), le CNAEMO (Carrefour national de l´action éducative en milieu ouvert), le SNPES/PJJ/FSU, le Syndicat de la Magistrature. » Source: Syndicat de la Magistrature, un texte qui semble avoir été d'actualité début 2004.
Ce secteur est une véritable usine si on s'en fie au chiffre 450 000 et au contenu du rapport enregistré le 26 novembre 2003 à l'Assemblée Nationale sous la référence N°1289 relatif à l'accueil et à la protection de l'enfance : « C'est un secteur potentiellement créateur de nombreux emplois (450 000 selon le Plan), à condition que soit proposé un statut suffisamment attractif. »
Un avis du Monde diplomatique d'août 2001 dans un article intitulé « Silence, on souffre », 450 000 vaches saines étaient alors sacrifiées en France à « l’assainissement du marché » : « Les sentiments et les affaires n’ont jamais fait bon ménage, mais il semble quand même qu’on ait franchi les limites du supportable. »
Le Monde diplomatique
Archives — Août 2001, extrait
« La tragédie du jour suivant, écrivait Edward Gibbon à propos des spectacles romains, consista dans un massacre de cent lions, d’autant de lionnes, de deux cents léopards et de trois cents ours. » Le temps de ces spectacles odieux est révolu (même si divers combats de coqs ou de taureaux font penser qu’on pourrait encore remplir un cirque avec des amateurs de sang). Mais la vérité, si l’on consent à la regarder en face, est que notre société fait preuve d’une plus grande et plus secrète cruauté.
Précédé par Finkie, revoilà le porte étendard BHL
Un son diffusé ce dimanche, par RTL, est à mon avis plus intéressant que certaines opinions de philosophes.
RTL info | 11 oct. 2009 | Màj 13h43, un son, de plusieurs
Frédéric Mitterrand va défendre son honneur
Bernard Poirette, 11 oct. 2009. Denis Muzet, polititologue, était l'invité de RTL Matin, pour expliquer pourquoi Frédéric Mitterrand se trouve ainsi dans un engrenage sans fin.
Publié le 12/10/2009 à 10:40 - Modifié le 12/10/2009 à 11:48 Le Point.fr
SONDAGE
Écrits polémiques : Frédéric Mitterrand soutenu par deux tiers des Français
Affaire Mitterrand : BHL attaque la "nouvelle brigade des mœurs" au PS
LEMONDE.FR avec AFP | 12.10.09 | 06h59 • Mis à jour le 12.10.09 | 08h47, extrait
Politique | 12 Octobre 2009, le JDD
Mitterrand: BHL monte au front
Après la rupture, la grande déchirure ou ce phénomène cubain ?
Ce matin, au cours d'une revue de presse par France Info, j'ai appris que les couples et familles françaises seraient à présent effectivement confrontés au phénomène du divorce « à la cubaine ». Ce que je préssentais pourrait donc bel et bien se produire, d'ici très peu de temps : des batailles à couteaux tirés, sur les mêmes territoires ? Il me faut le Parisien du jour, un ultime collector.
Demain, le château devrait donc recevoir des suppos à distribuer à ses résidents. Contrairement à fiston Jean, je ne suis pas en seconde année de droit, je crois qu'ils le savent. J'attends d'éventuelles réactions.
Société
COUPLE
Ils sont séparés mais doivent vivre sous le même toit
Le Parisien | 12.10.2009, 07h00, extrait
Il y a ceux qui aménagent une chambre dans le bureau, ceux qui choisissent l’option clic-clac dans le salon, ceux qui se croisent matin et soir et ceux qui s’arrangent pour ne même plus se voir… De plus en plus de conjoints « séparés » sont contraints de cohabiter. Rien de comparable avec ces modus vivendi « pour sauver la face » dont se sont accommodées bien des générations passées… Ce sont les effets conjugués de la crise économique et du marché de l’immobilier qui obligent désormais les couples à rester sous le même toit. « Sur la trentaine de dossiers de divorce que je traite chaque mois, cinq ou six couples décident de reporter ou tout simplement d’annuler leur projet quand ils prennent conscience du coût d’une séparation, affirme ainsi Me Michel Apelbaum, un avocat parisien. Ils ne peuvent tout simplement pas assumer ça maintenant. »
Polémique autour de l'arrivée de Jean Sarkozy à l'Epad
J.B. (lefigaro.fr) Avec AFP et AP
12/10/2009 | Mise à jour : 08:57, extraits
Si Jean Sarkozy «ne portait pas le nom qu'il porte, est-ce qu'il serait à la place à laquelle il est aujourd'hui ?», s'est ainsi interrogée Royal. «La République, c'est quoi ? C'est la reconnaissance des places de chacun en fonction de ses mérites propres, pas en fonction du nom qu'il porte», a-t-elle lancé. La présidente de Poitou-Charentes a aussi fait allusion aux «enjeux», selon elle, de cette nomination. «Ça peut toujours servir avant une prochaine élection présidentielle, si vous voyez ce que je veux dire, de détenir ainsi des clefs et de brasser des milliards d'euros», a-t-elle lâché, sans en dire plus. [...] Même tonalité dans les critiques de Cécile Duflot. «Dès qu'on sort des limites de l'Hexagone, les gens trouvent ça juste invraisemblable, inouï», a déclaré la secrétaire nationale des Verts. «Il ose tout. Après, tout le monde plie parce qu'il a le nom qu'il a», a-t-elle ajouté tout en soulignant que «les gens (ne doivent pas) être victimes de leur nom» et que Jean Sarkozy «a le droit d'avoir une vie politique bien qu'il soit le fils de son père». Quant à Laurent Fabius, il a manié l'ironie sur France Inter lundi : «Il nous faut un juriste, il est en deuxième année de droit ; il faut quelqu'un qui connaît bien les affaires, je suis sûr qu'il a des prédispositions ; et puis Martin Hirsch a présenté un plan de promotion des jeunes, Jean Sarkozy rentre dans ce cadre». Comparant dans une interview au Monde la France de Nicolas Sarkozy à l'Empire romain, le patron du MoDem, François Bayrou, en a également profité pour dénoncer cette nomination.