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Enfants en familles d'accueil : sauvetage ou déchirure ?
NDLR : « Ne demandez pas d'aide aux services sociaux, surtout pas ! », n'hésitait pas à dire Catherine Gadot. Elle et moi, nous discutions parfois, par le passé, ainsi qu'avec d'autres parents d'enfants « placés » ou « suivis ». Mme Gadot a une expérience de 20 ans et davantage de ces services, nous parlons plus ou moins la même langue. Comme elle était assez proche de Jean-Pierre Rosenczveig, ce fameux juge de Bobigny, j'avais préféré prendre des distances d'elle, pour la laisser poursuivre son travail avec des pros, quelques parents, des juristes et des avocats. Son association bien connue soutient les parents, sans oublier les enfants, à moins qu'inversement...
Enfants en familles d'accueil : sauvetage ou déchirure ? De quelques sons de France Culture, publié le 11 novembre 2011, à 18:15. « Catherine Gadot, présidente de l’association Le Fil d’Ariane, qui accompagne des parents d’enfants placés, juge très sévèrement les conditions dans lesquelles les placements sont mis en œuvre aujourd’hui. A ses yeux, les parents naturels ne sont pas assez aidés », 16'19" :
Causette #37, juillet-août 2013
NDLR : Un article de Causette, page 48, « Une liaison particulière », divise, ce qu'on peut bien lire et suivre sur Twitter. Je suis de ceux qui sont ennuyés par ce papier, mais j'ai pris le parti d'en rire, comme du reste. Ce numéro va rester deux mois en kiosques, puis suivra le procès de l'enseignante, peut être aussi celui de @LaPeste, susceptible d'être poursuivie par @GregGLD, pour ses tweets et publications, des réactions bien tranchées. L'affaire, le procès de l'enseignante, a récemment été renvoyée au 23 septembre 2013, « pour une meilleure sérénité des débats » ; à cette période, ils seront maintenant susceptibles de faire rage. Bonjour la promo ! Dans une tribune parue sur Rue89, Grégory Lassus-Debat et Liliane Roudière nous ont déjà livré quelques explications ainsi que des excuses ; extrait qui me suffira : « L’article a manqué de précautions, d’un appareillage éditorial qui aurait rendu le doute impossible. Nous avons voulu rendre compte d’une histoire qui, si elle est complexe, n’en relève pas moins d’une situation qui ne doit pas voir le jour : une professeure de collège ayant des relations sexuelles avec l’une de ses élèves, mineure de moins de quinze ans. » « Pédophilie, l'accusation infamante » ; la prose de Causette pourrait bien heurter plus d'un lecteur ; « Nathalie B. ne laissera pas dire. Son nom a déjà été livré à la presse, elle demande qu'ici on la préserve, par respect pour sa mère et son frère, qui la soutiennent. `'La pédophilie, c'est une attirance perverse pour les mineurs prépubères, décrypte son avocate [NDLR : un « rempart » face aux médias, selon Causette #37]. On est pas du tout sur cette configuration dans ce dossier." Et elle referme le couvercle de la boite à fantasmes : `'atteintes sexuelles", ce sont des caresses et des baisers, commis sans violences, sans contraintes, sans menaces, sans effet de surprises. Sinon, la justice parlerait d'`'agressions sexuelles". » Au moment de la suspension de Nathalie B., « administration et famille imaginent une relation platonique. Elle ne l'est pas. L'illusion tombe pendant l'enquête policière. » Dans Causette #37 et en quatre pages, un article tout de même très fouillé, je n'ai pas su relever un bon contre-point d'avocats ou d'une quelconque association de victimes de faits présentant des similitudes ; seule la mère de « l'amante », la collégienne, semble avoir glissé quelques mots pour Causette. Il y a peu, un enseignant britannique a été condamné à cinq ans et demi de prison après une cavale avec une élève de 15 ans.
Une légende, page 50 de Causette #37
Rhône : la directrice d'une école privée soupçonnée de maltraitances
Education
Rhône : la directrice d'une école privée soupçonnée de maltraitances
Par Sandra Méallier
Publié le 22/06/2013 | 09:54, mis à jour le 22/06/2013 | 16:36, rhone-alpes.france3.fr
A Brindas, près de Lyon, le pensionnat Notre-Dame de la Sainte-Espérance a fait l'objet d'un signalement auprès de l'Académie, et la gendarmerie a recueilli des plaintes de parents pour des mauvais traitements infligés à leurs enfants. La directrice devrait être présentée au Parquet dans la journée.
Le colloque de cloture du centenaire de l'OSE, avec François Hollande ?
NDLR : Je me demande encore pourquoi j'ai été enfermé si longtemps, après ce 8 mars dernier, alors que je venais d'escalader le centre Pompidou, le musée national d'art moderne. J'avais pourtant été très bien reçu par Monsieur Christophe Girard, maire de Paris 4ième ; il n'y avait pas eu le moindre incident, ce jour là. Je me demande également encore comment l'AFP puis toute la presse ont alors pu être à ce point enfumés par une source policière ; aurais-je du grimper aussi sur une grue pour pouvoir parler effectivement avec des journalistes ? En visitant le site du CRIF, je viens de remarquer que le colloque du centenaire de l'OSE a pu être placé sous le haut patronage de Monsieur François Hollande, Président de la République ! J'ai toujours pour projet d'escalader la bibliothèque nationale de France, ce sera fait. « L'heure de s'engager... »
L'Autriche rattrapée par un scandale de maltraitance au sein de foyers
NDLR : En France, les autorités sont tout aussi bouchées qu'en Autriche, dans les années 60. Dès 2003, et d'avantage encore en 2004, je me plaignais déjà du travail de la protection de l'enfance. Ensuite n'a suivi qu'un naufrage dont on ne reparlera peut-être que dans 30 ans. D'accord, tout ce qui s'est tramé plus récemment, avec l'ASE, Nanterre, l'OSE France, puis l'ARSEA Alsace, c'était nettement moins grave qu'ailleurs, en Europe, par le passé. Mais elles sont bouchées, nos autorités, Marie Derain ou le Défenseur des droits devraient pouvoir confirmer. Après mon récent passage à la cour d'appel de Paris, son parquet pourrait être en mesure de confirmer, lui également ?
Europe
L'Autriche rattrapée par un scandale de maltraitance au sein de foyers d'enfants
Le Monde.fr | 15.06.2013 à 10h52 • Mis à jour le 15.06.2013 à 10h52
Par Joëlle Stolz
Vienne, correspondante. On les frappait jusqu'au sang, on les violait, on les humiliait en public quand ils avaient mouillé leur lit, on leur plongeait la tête dans la cuvette des WC, on les obligeait à manger leur vomi ou à rester nu dehors en plein hiver en guise de punition. L'Autriche découvre avec effroi un chapitre, longtemps occulté, de son histoire après la seconde guerre mondiale: les sévices perpétrés, jusqu'aux années 1980, dans les foyers pour enfants et adolescents gérés par la Ville de Vienne, bastion de la social-démocratie.
Le rapport publié mercredi 12 juin par une commission d'enquête dirigée par la juriste Barbara Helige, ancienne présidente de l'Association de la magistrature et actuelle présidente de la Ligue autrichienne des droits de l'homme, détaille, sur 344 pages, les traitements, souvent sadiques, infligés aux enfants placés au Wilhelminenberg, une institution logée dans un château sur les hauteurs d'Ottakring, à partir de 1948, afin d'accueillir les cas réputés "difficiles".
Elle avait été fermée en 1977, trois ans après les critiques formulées par une députée du Parti social-démocrate SPÖ, Imtraut Karlsson. Dans un dossier accablant, celle-ci avait démontré que les foyers pour enfants à Vienne étaient de véritables prisons. A l'époque, son réquisitoire avait brièvement ému l'opinion, mais n'avait entraîné aucune sanction pénale ni administrative.
"RESPONSABILITÉ POLITIQUE" DE LA VILLE DE VIENNE
Aujourd'hui, le conseiller municipal en charge des enfants, le social-démocrate Christian Oxonitsch, reconnaît la "responsabilité politique" de la Ville de Vienne. Le Wilhelminenberg, dit-il, n'est pas un cas isolé, mais un exemple éclairant de ce qui se passait dans ces institutions sur lesquelles l'enquête se poursuit.
Des victimes affirment qu'elles ont tenté, dès les années 1960, de raconter leur histoire aux autorités de tutelle... La suite, sur le Monde
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Hospitalisé d'office, le mari a été libéré par le juge
NDLR : « J'ai changé », a promis le « patient », le mari... « Grâce aux médicaments, on peut faire dire n'importe quoi à n'importe qui » ? « C'est caricatural », commentait son avocat, affirmant que « n'importe qui peut vivre ce genre d'enfer ». L'essentiel consiste à s'en extraire, ce qui n'est pas toujours facile. « La grande majorité des décisions consiste en un maintien de la mesure », selon le rapport d'activité 2012 du Controleur Général des Lieux de Privation de Libertés, paru fin février dernier. Puis suit donc le divorce, voire une expulsion du domicile conjugal. Depuis juillet 2010 et les campagnes contre les violences faites aux femmes et aux enfants, nous connaissons aussi la loi permettant l'éviction d'un conjoint violent... Les moyens de mettre un terme à une relation en moins de 24 à 48 heures ne manquent donc plus, et pour qui prendra le temps de lire, mon blog devient un outil redoutable, son contenu permet maintenant de déparasiter facilement un foyer ou même le voisinage ; ce n'était pas le but. Oui, je pense qu'il suffit d'un peu d'hostilités, et d'appels à « l'aide » ou de bons « signalements » ; puis la bienveillance de ceux qui nous entourent se charge ensuite du reste
société
Hospitalisé d'office, le mari a été libéré par le juge
05/10/2011 05:45, la Nouvelle République
L'homme interné à la demande de son épouse a convaincu le juge de le laisser sortir. Il a quitté l'hôpital de La Rochelle hier. Et va demander le divorce.
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Le caractère abusif d'un internement psychiatrique devant la justice
NDLR : La version du Monde avec l'AFP est à peine différente de ce que j'ai perçu. Valérie est une fidèle de l'église évangélique Charisma ? Il semble s'agir d'un courant protestant. Quelques uns de mes propres billets ainsi que ce que j'exposais à la cour d'appel de Versailles a souvent agacé la Cour comme le pasteur d'Uhrwiller. Valérie, fidèle, protestante, ne peut pas recevoir ses enfants, mais le pasteur Clementz, à la perception apocalyptique du monde, était tout à fait apte à s'occuper convenablement de mon ainée ? On va donc enfin parler de sectes, discuter très intelligemment de vrais sectes ou de pratiques parfaitement abjectes. J'adore. Voir aussi, page 2, une réponse que m'avait un jour faite la MIVILUDES, j'avais alors surtout critiqué l'OSE France
Société
Le caractère abusif d'un internement psychiatrique devant la justice
Le Monde.fr avec AFP | 12.06.2013 à 22h02
Le ministère public a demandé mercredi 12 juin aux magistrats de la cour d'appel d'Orléans de confirmer en appel le caractère abusif de l'internement psychiatrique d'une jeune femme, hospitalisée sur décision préfectorale en juin 2010, à la demande de son époux.
L'avocat général a estimé que la décision d'internement de Valérie Dubois, 34 ans, avait été prise sur la base de faux certificats médicaux établis à deux reprises par le médecin de famille, en avril et en juin 2010. Le praticien, sollicité par le mari qui a depuis demandé le divorce, disait avoir examiné la patiente le jour de la rédaction des documents. Or sa dernière consultation remontait au 8 mars 2010, date à laquelle elle était venue le voir pour des violences conjugales.
AUCUN TROUBLE PSYCHIATRIQUE
Selon l'époux, Valérie Dubois, qui fréquente l'église évangélique Charisma, souffrait de délires mystiques qui risquaient de mettre en danger sa vie et celle des deux enfants du couple. Internée en juin 2010 à l'hôpital de Fleury-les-Aubrais (Loiret) sur décision préfectorale, elle en était sortie un mois plus tard grâce à une mainlevée du juge des libertés et de la détention, décision confirmée en appel. Elle a ensuite fait réaliser une expertise qui ne relève aucun trouble psychiatrique. Mais la garde de ses enfants âgés de 9 et 13 ans lui a été refusée, et elle ne peut les rencontrer que deux heures par semaine dans un cadre neutre.
Anne-Marie Pauly, une « mère à abattre »
NDLR : On trouve et lit de tout, sur les réseaux sociaux... Dès qu'on l'ouvre, qu'on proteste et qu'on s'accroche, on est « à abattre » ! « Et à 16 ans, le fis de Anne-Marie Pauly, fait 33kg. Vous trouvez ça normal ? » Ca ne me surprend pas du tout, à 15 ans, le petit-fils de Mireille Millet, également placé, « sauvé » ou caché par l'OSE France et Nanterre, ne pesait que 30kg ; « c'est pas Auschwitz », nous lançait la cour d'appel de Metz, en juin 2010 ! Anne-Marie affirme que sa fille s'est retrouvée en psychiatrie, « shootée de médicaments » ? Ca ne me surprend pas non plus. Voir également « La santé des enfants accueillis au titre de la Protection de l’enfance ».
plus grand... trouvé sur Facebook
Villeparisis : des salariés de l’Armée du Salut soupçonnés de maltraitance
NDLR : C'est ce genre d'embarras, de soucis ou de très mauvaise publicité que le TGI de Nanterre, le Conseil général du Val d'Oise et la cour d'appel de Versailles ont souhaité épargner à l'OSE France, aux alentours de 2005 ? Solution radicale retenue alors par les autorités, pour éviter un scandale de plus : me faire passer pour un débile, notament avec une expertise de Magalie Bodon-Bruzel, et confier ma fille ainée au pasteur d'Uhrwiller
Actualité > Seine-et-Marne
Info le Parisien
Villeparisis : quatre salariés de l’Armée du Salut soupçonnés de maltraitance
Le Parisien | Faustine Leo | Publié le 28.05.2013, 17h00
Le directeur du Domaine de Morfondé, un établissement de l’Armée du Salut accueillant près de 90 jeunes au titre de leur protection physique et morale, a été mis à pied il y a plusieurs jours, confirment aujourd’hui l’association humanitaire et le conseil général de Seine-et-Marne. Un chef de service et deux éducateurs ont été éloignés de l’établissement.
Ceux-ci sont soupçonnés de « maltraitance » à l’égard d’adolescents qui y sont placés par le conseil général ou la justice.
Les victimes de ces mauvais traitements, trois jeunes pensionnaires, ont été retirées de ce centre d’éducation et de formation professionnelle.
« Il s’agit d’une situation délicate », reconnaît un responsable de l’Armée du Salut qui assure « que ces mesures ont été prises dès le lendemain où nous avons eu connaissances des soupçons qui pesaient sur ces personnes ».
Ces mesures disciplinaires ont été prises à la suite d’une enquête menée de façon inopinée les 15 et 16 mai derniers au domaine de Morfondé par des agents de l’Aide sociale à l’enfance, un service du conseil général de Seine-et-Marne.
« Si le Département constatait un défaut d’exécution ou des insuffisances dans les propositions faites par la Fondation de l’Armée du Salut vis-à-vis des injonctions du Département, celui-ci se réserverait le droit de nommer un administrateur provisoire ou de procéder à la fermeture de l’établissement », avertit par voie de communiqué le conseil général de Seine-et-Marne.
LeParisien.fr
Des atteintes à la liberté individuelle
NDLR : A qui ce genre d'articles peuvent-ils être utiles ? A quelques opposants du mariage gay ?
Article 432-4 En savoir plus sur cet article...
Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002
Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, agissant dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, d'ordonner ou d'accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d'emprisonnement et de 100000 euros d'amende.
Lorsque l'acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d'une durée de plus de sept jours, la peine est portée à trente ans de réclusion criminelle et à 450000 euros d'amende.
Article 432-5 En savoir plus sur cet article...
Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002
Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public ayant eu connaissance, dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, d'une privation de liberté illégale, de s'abstenir volontairement soit d'y mettre fin si elle en a le pouvoir, soit, dans le cas contraire, de provoquer l'intervention d'une autorité compétente, est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.
Le fait, par une personne visée à l'alinéa précédent ayant eu connaissance, dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, d'une privation de liberté dont l'illégalité est alléguée, de s'abstenir volontairement soit de procéder aux vérifications nécessaires si elle en a le pouvoir, soit, dans le cas contraire, de transmettre la réclamation à une autorité compétente, est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende lorsque la privation de liberté, reconnue illégale, s'est poursuivie.
Abrogation à l'Assemblée du délit d'offense au chef de l'Etat
NDLR : En janvier 2010, une offense au chef de l'Etat commise fin 2009, à Paris, pour les 20 ans de la CIDE, m'avait valu un très discret rappel à la loi. Je suis ravis de lire que les temps ont définitivement changés ; la France est à présent une démocratie chinoise moderne... La CEDH « a jugé disproportionné le recours à une sanction pénale qui risquait même à l'avenir d'avoir un effet `'dissuasif sur des interventions satiriques" nécessaires au débat démocratique », nous a précisé la Dépêche ? Voir également Le net, c'est du chinois
Actualité > Flash actualité - Politique
Abrogation à l'Assemblée du délit d'offense au chef de l'Etat
Le Parisien | Publié le 15.05.2013, 20h46
Les députés ont supprimé mercredi le délit d'offense au chef de l'Etat mis à mal par la condamnation de la France dans l'affaire de l'affichette "casse-toi pov'con" à destination de Nicolas Sarkozy.
Cette suppression a été actée à l'Assemblée au cours de l'examen d'un texte transposant plusieurs directives européennes et d'adaptation du droit français à des conventions internationales comme la Convention d'Istanbul contre les violences faites aux femmes.
Un amendement PS avait été adopté à l'unanimité en commission des lois au motif que ce délit n'était "plus justifié dans une démocratie moderne".
La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a jugé le 14 mars que la France avait violé la liberté d'expression en condamnant pour "offense au chef de l'Etat" un homme qui avait brandi en 2008 l'affichette "casse-toi pov con" lors d'une visite de Nicolas Sarkozy. Et ce, bien que la peine ait été symbolique (30 euros d'amende avec sursis).
Le délit d'offense au chef de l'Etat, utilisé à six reprises sous le général De Gaulle, était ensuite tombé en désuétude, avant de ressurgir dans le dernier quinquennat. Inscrit dans la loi de 1881 sur la liberté de la presse, il prévoit pour ses auteurs une amende pouvant aller jusqu'à 45.000 euros.
AFP
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Relaxé après avoir fait de l'ombre aux avocats
NDLR : Trouvé par hasard, avec Google, dans les archives du Parisien... et très instructif. J'espère que le nouveau portail imaginé et récemment mis en ligne par Orange, avec la presse française, sera aussi efficace pour brasser les archives ; sinon, tant pis. Je ne sais pas si le barreau de Meaux a fait appel, si le jugement serait confirmé ou non, ou si ce barreau a finalement renoncé à échouer dans ses procédures et démarches contre Louis Gazeau. L'un et l'autre auront peut-être renoncé, après un couac puis un jugement finalement rendu en février 2011. « Les avocats m'attendent au coin du bois », s'est amusé Louis Gazeau ? « Je regrette cette décision [NDLR : une relaxe, mais des frais substantiels pour Louis Gazeau]. Nous verrons si nous faisons appel », s'est interrogé le bâtonnier de Meaux. Je repense maintenant à ma présentation pour ndh2k11, chez Mickey, page 7, « Pas d'excuses, jamais, pour personne, voilà mon principe, au départ. En philosophie comme en politique, je suis pour toute théorie qui refuse l'innocence à l'homme et pour toute pratique qui le traite en coupable. », ou à Voies de justice, « Le châtiment, moyen de mettre hors d'état de nuire, moyen de prévenir les dommages ultérieurs. Le châtiment, moyen de dédommager, sous une forme quelconque, l'homme lésé (même sous celle d'une souffrance). ... » 3000 € de frais, pour Louis Gazeau, c'est élevé, presque une grosse peine, une souffrance, mais on peut tout de même considérer qu'il a « gagné » (avec le concours d'un avocat) ; et on ne l'y reprendra certainement plus ; même s'il ne doit pas d'indemnités à Louis Gazeau, cette relaxe, après un couac et plus de « cinq à six mois » de procédures, était embarrassante pour le barreau de Meaux ?
Actualité > Seine-et-Marne
Jugé pour « avoir fait de l'ombre » aux avocats
Le Parisien | Publié le 04.03.2010
«J'ai obtenu en cinq ou six mois ce qu'ils n'arrivent pas à faire en cinq à six ans! » s'emporte Louis Gazeau. A 71 ans, ce gérant d'une société de recouvrements — Services recouvrements conseils (SRC) — comparaît aujourd'hui au tribunal sur reconnaissance préalable de culpabilité : le barreau de Meaux a déposé une plainte à son encontre pour exercice illégal de la profession d'avocat.
Peut-on aider Mallaury Nataf ?
NDLR : Lire aussi un article plus récent et surtout moins accablant pour Nataf, paru 5 jours plus tard, également dans tvmag : Mallaury Nataf assassine les services sociaux...
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Peut-on aider Mallaury Nataf ?
L'ancienne vedette du Miel et des abeilles s'enfonce, jour après jour, dans la misère en rejetant la responsabilité de sa situation sur l'État et les services sociaux
Tags : Mallaury Nataf
Par Emmanuel Schwartzenberg
Publié le 19/10/2012 à 13:13, le Figaro (tvmag)
Mallaury Nataf se retrouve aujourd'hui dans la situation ou, à force d'avoir crié au loup, son horizon s'est obscurci au point de se retrouver réellement dans la rue. Hormis 20 minutes, les médias ont cessé de l'accueillir dans la mesure où l'ancienne comédienne a fait le procès des personnes qui l'ont fait ou qui lui sont venus en aide.
Bête noire, « condamné à plaider »
NDLR : Je commence seulement à feuilleter plus « la bête noire », paru chez Michel Lafon, en avril dernier... agaçant et enrichissant, ce contenu écrit par un vrai pénaliste, Eric Dupond-Moretti, et un bon journaliste, Stéphane Durand-Souffland. Avec un pareil ouvrage et succès, ce pamphlet est à classer parmi mes références. Je comprend de mieux en mieux Eolas, qui me censure, ou qui m'a répondu des âneries... il pourrait s'être trompé #LOL Arf, page 85, « étudier le parcours des scellés », ceux égarés ou détruits par la Poste ? #pschitt, puis fin de la procédure ! Cessez de me lire, Eolas et plein de juges vous expliqueront que je ne suis qu'un gros débile, à faire soigner à tous prix ! « Eric Dupond-Moretti `'tue les Experts comme jadis..." », avais-je lu chez Mediapart ; oui, c'est assez cela, ha ha ! « Seuls les magistrats sont titulaires quand il s'agit de faire émerger la vérité » ? Dupond-Moretti a presque raison, au civil, ce sont les astrologues et les juges qui tranchent, les juristes confirmeront tous
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Amandine, Sans amour, et l'affaire Viguier, par Durand-Souffland
NDLR : Oui, j'ai bien commandé puis reçu ces deux oeuvres ou ouvrages ; lire Bisous ! L'un, je l'ai déjà rangé et oublié, à quoi pourrait servir un tel livre, tandis que l'autre tourne en boucle, avec 20m², Lily Allen, Fuck You, etc...
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