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L’avocat de Nafissatou veut interpeller DSK à Cambridge
NDLR : A chacun ses plaies et ses soucis profonds, son enfer... Ces derniers temps, j'avais de plus en plus de problèmes avec ma cafetière électrique. Après un bon décrassage et un détartrage, tout s'est arrangé. Je suis content, la précédente que j'avais curée a explosée au cours du détartrage.
Actualité > Les affaires DSK
Info le Parisien
L’avocat de Nafissatou veut interpeller DSK à Cambridge
Le Parisien | Jean-Marc Ducos | Publié le 06.03.2012, 15h22
La participation annoncée de Dominique Strauss-Kahn à un colloque à l'Université de Cambridge (Royaume-Uni), vendredi prochain, suscite bien des réticences. Le comité d'accueil est déjà prêt. Hormis les étudiantes qui ont lancé une pétition contre sa venue, il y aura sur place, selon nos informations, Douglas Wigdor, l'avocat américain de Nafissatou Diallo, la victime présumée de DSK à l'hôtel Sofitel à New-York.
L'avocat est un ancien élève de l'école de Droit de cette prestigieuse université. Il a prévu d'y prendre la parole à l'invitation du syndicat des étudiantes de l'université de Cambridge et d’interpeller l’ancien directeur du Fonds Monétaire International.
Quand la campagne vire à l’acerbe et au trivial
NDLR : C'est cool, je suis en osmose avec les discours de cette campagne, j'ai même un petit temps d'avance alors que j'avais depuis longtemps déjà le sentiment qu'ils glissaient sur ces terrains. Hormi Nicolas Sarkozy et son parti, ces civilisateurs, qui pourrait encore, maintenant, me reprocher d'avoir lancé quelques petites phrases sur la toile, dans la rue, dans des correspondances et même dans des prétoires ?
International | Politique | Société
Politique. Déconnomètre ou épuration: quand la campagne vire à l’acerbe et au trivial
Publié le 02/03/2012 à 15:53, le Progrès
«Je l’emmerde», «déconnomètre» ou, dans un autre registre «épuration», «anormal», «produit de contrebande imaginé par des cerveaux d’extrême droite», «semi-démente": le ton de la campagne présidentielle a glissé vers le trivial et l’acerbe, symptôme, aux yeux de certains, d’une fonction politique banalisée.
Suicide d'un éducateur : marche blanche
NDLR : Libre arbitre... ou de quoi d'autre pourrait-il s'agir ? Petite nature ?
Suicide d'un éducateur: marche blanche
AFP Publié le 21/11/2011 à 17:55
Environ 700 personnes ont défilé aujourd'hui à Dunkerque lors d'une marche blanche pour rendre hommage à l'éducateur spécialisé qui s'est suicidé jeudi, alors qu'il était sous le coup de sanctions de la part de son employeur. Famille, amis, collègues de l'éducateur, qui travaillait à l'Association d'action éducative et sociale (AAE), ainsi que des anonymes, ont marché silencieusement dans les rues de Dunkerque pour se rendre jusqu'au pont où ce dernier avait été retrouvé pendu.
Chatel compare Hollande à Babar
NDLR : Merde, j'ai oublié, c'était la journée de la gentillesse et des gamineries, je n'aurai pas du écrire et publier des vacheries mais juste des trucs pour faire rire des débiles ou avec Chatel. A mon tour, je me rattrape : un troupeau ou un ramas de magistrats surpris en flagrant délire, c'est comme un éléphant, rapidement, ça trompe énormément
Chatel compare Hollande à Babar
AFP Mis à jour le 13/11/2011 à 21:01 | publié le 13/11/2011 à 20:32, extrait
"Puisque c'est la journée de la gentillesse, je vais dire une gentillesse. Il y a un personnage de bande dessinée qu'on connaît bien, qui s'appelle Babar. Babar, il est sympathique, c'est le roi des éléphants. C'est l'histoire qu'on raconte aux enfants pour les endormir le soir", a répondu Luc Chatel à une question du Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro.
Le chercheur fraudait depuis dix ans
NDLR : C'est assez conforme à ce que je soutiens depuis plusieurs années, ces « psy » sont des naïfs, des charlatants, inspirés ou infiltrés par des fraudeurs, par des scientistes. Mais leurs palabres plaisent aux magistrats
Le chercheur fraudait depuis dix ans
Mots clés : fraude, psychologie sociale, PAYS-BAS, Diederik Stapel
Par Cyrille Vanlerberghe Publié le 04/11/2011 à 21:28, le Figaro
Un psychologue néerlandais a falsifié des données dans des dizaines de travaux scientifiques.
Trois grandes universités néerlandaises sont ébranlées par un scandale de fraude scientifique qui a duré pendant plus d'une dizaine d'années, et concerne des «douzaines de publications scientifiques» de haut niveau. L'homme à l'origine de ce scandale est un professeur de psychologie sociale très réputé, Diederik Stapel, âgé de 45 ans. Il a été suspendu de son poste de professeur à l'université de Tilburg en septembre dernier, peu de temps après l'ouverture d'une investigation de grande envergure sur l'étendue des falsifications dont il s'est rendu coupable.
Hébergée par « Libé », l'équipe de « Charlie Hebdo » se remet au travail
NDLR : Penser à faire occasionnellement des sauvegardes, penser aussi à bourrer partout ses petits papiers... Je viens de retrouver des traces d'une procédure qui me touchait, dans des comptes-rendus analytiques de scéances du conseil municipal de la ville d'Asnière-sur-Seine (9-2). Des sauvegardes et de petits papiers ou des notes éparpillées partout, ça peut parfois s'avérer utile. Moi, railleur, taquin, enquiquineur ? Mais pas du tout, jamais
A la Une > Médias
Hébergée par "Libération", l'équipe de "Charlie Hebdo" se remet au travail
LEMONDE.FR | 02.11.11 | 17h26 • Mis à jour le 02.11.11 | 19h45, extraits
Ils viennent directement des locaux de Charlie Hebdo, dans le XXe arrondissement, détruits pendant la nuit par un incendie volontaire. Certains ont pu glaner quelques archives et autres "trucs" récupérés dans les décombres, qu'ils transportent précieusement dans des sacs de toile bleu, imprimés avec des dessins de Riad Sattouf. Comme la chroniqueuse de défense des animaux, Luce Lapin, qui a pu récupérer les archives papier de sa chronique depuis mai 1993. "Un pompier a bien voulu me laisser entrer. A l'intérieur, on a l'impression que tout est brûlé", raconte-t-elle.
Le journaliste d'investigation Laurent Léger, lui, a pu retrouver documents et dossiers en cours. Tandis que la maquettiste, Martine Rousseau, qui ne s'est pas rendue sur les lieux, ne se fait guère d'illusions : "mon bureau est devant la fenêtre, au rez-de-chaussée, donc..."
[...] Pour le moment, l'enquête est en cours et tous sont prudents. "On ne sait pas qui a fait ça. Dans ce numéro, il y a un article sur les catholiques intégristes aussi", précise le dessinateur Riss, qui ajoute : "On a reçu quelques menaces sur Facebook les jours précédents. Il y a toujours eu des crispations autour de Charlie Hebdo, mais on n'aurait jamais imaginé cela." Et lorsqu'on lui demande s'il a peur désormais, il rétorque sans hésiter : "Non. A titre personnel, je n'ai pas été choqué mais surpris et nous voulons savoir qui a fait ça. Cela peut être l'extrême-droite, des fanatiques..."
Luz, l'auteur de la "une", s'interroge : "Est-ce des intégristes musulmans bourrés ?" Tous sont unanimes et sans regrets : "On n'a pas fait un journal particulièrement provocateur. Pour nous, le mot d'actualité de cette semaine était "Charia" et on a traité l'actualité à notre manière." Le rédacteur en chef, Gérard Biard, ajoute : "Le journal de cette semaine n'est pas irrévencieux, il est blasphémateur."
Comment venir à bout des poux
Voir aussi « Quand aux lentes mortes, elles s'en iront naturellement »
A la Une > Rendez-vous
Comment venir à bout des poux
LEMONDE | 28.10.11 | 15h44 • Mis à jour le 28.10.11 | 18h27, extrait
"La pédiculose est favorisée par la promiscuité, le manque de surveillance parentale et parfois la pauvreté. En effet, les produits antipoux coûtent assez cher et ne sont pas à la portée de toutes les familles. De plus, la résistance des poux aux insecticides oblige à répéter les traitements", explique le docteur Izri. A raison de 15 à 20 euros par produit, le traitement d'une famille de 4 personnes renouvelé une fois coûte environ 60 à 80 euros !
Une représentation de théâtre perturbée
NDLR : Je n'ai pas l'impression ou lu que Frédéric Mitterrand avait condamné les réactions des aficionados de ce 8 octobre, à Rodilhan. Ca suivra bientôt, ou certains comportements seraient-ils plus cultivés que d'autres ?
Une représentation de théâtre perturbée
AFP Publié le 22/10/2011 à 13:36
Le ministre français de la Culture, Frédéric Mitterrand, a condamné aujourd'hui l'action de fondamentalistes chrétiens jeudi à Paris contre la représentation d'une pièce de théâtre du dramaturge italien Romeo Castellucci, "Sur le concept du visage du fils de Dieu".
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Liliane Bettencourt mise sous tutelle
NDLR : Ca fait mal, l'exécution provisoire, et l'âge de Mme Bettencourt n'arrangera rien à sa nouvelle situation
ACTUALITÉ Société
Liliane Bettencourt mise sous tutelle
Mots clés : L'Oréal, Bettencourt Liliane
Par lefigaro.fr Mis à jour le 17/10/2011 à 13:17 | publié le 17/10/2011 à 12:29, extraits
La tutelle des biens de la milliardaire, qui souffrirait de «démence mixte» et de la maladie d'Alzheimer, sera exercée par sa fille et ses deux petits-fils. Ses avocats vont faire appel.
Le verdict est tombé. Liliane Bettencourt, héritière du fondateur de L'Oréal, va être placée sous tutelle, le plus haut niveau de protection judiciaire.
La tutelle sur l'octogénaire est confiée à son petit-fils Jean-Victor Meyers. Celle sur les biens de la troisième fortune de France sera exercée par la fille de l'octogénaire, Françoise Meyers-Bettencourt et ses deux fils, Jean-Victor et Nicolas Meyers. La décision du juge est accompagnée d'une mesure d'exécution provisoire, ce qui signifie qu'elle est applicable immédiatement.
[...] Selon l'entourage de la milliardaire, ce rapport est celui rendu par les médecins qui avaient accompagné un juge d'instruction bordelais en juin au domicile de Liliane Bettencourt à Neuilly-sur-Seine, une expertise médicale dont sa défense a demandé l'annulation.
[...] Si le régime de la tutelle n'interdit pas à Liliane Bettencourt de quitter le territoire français, les dépenses afférentes à un tel changement de vie doivent être validées par ses tuteurs. Il est peu probable que ces derniers donnent leur aval.
Les avocats de Liliane Bettencourt ont annoncé lundi matin qu'ils faisaient appel de sa mise sous tutelle, un recours qui ne suspend pas l'exécution du jugement prononcé par la juge des tutelles de Courbevoie.
Affaire Bettencourt : l'ex-juge met en cause Nicolas Sarkozy
NDLR : Pécresse est-elle sérieuse ? Ces prétoires ne fonctionnent pas, ou très mal, et je pense qu'ils fonctionnent encore moins bien lorsque Nicolas Sarkozy est susceptible d'être ennuyé. Saisir la justice... pfff, n'importe quoi
Bettencourt: réaction de Pécresse
AFP Mis à jour le 31/08/2011 à 08:53 | publié le 31/08/2011 à 08:53
"Quand on a des accusations à porter, on ne les porte pas dans un livre ou dans la presse, on les porte devant la justice", a déclaré Valérie Pécresse sur France 2 à propos des informations de presse répercutant des révélations de la juge Prévost-Desprez dans l'affaire Bettencourt. "Si jamais il y a des accusations à porter, on doit les porter devant la justice, c'est la justice qui dit la vérité dans ce pays et la méthode utilisée est pour le moins particulière", a-t-elle ajouté.
ACTUALITÉ Société
Affaire Bettencourt: l'ex-juge met en cause Nicolas Sarkozy
Mots clés : Nicolas Sarkozy, Isabelle Prevost-Desprez, Liliane Bettencourt, Claire Thibout, Philippe Courroye, L'Oréal, LE MONDE
Par lefigaro.fr Mis à jour le 31/08/2011 à 09:27 | publié le 31/08/2011 à 09:26, extrait
Une infirmière de Liliane Bettencourt aurait affirmé à la greffière de la juge Isabelle Prévost-Desprez avoir «vu des remises d'espèces à Sarkozy» en 2007. L'Élysée dément et dénonce des «boules puantes».
Le volet politique de l'affaire Bettencourt va-t-il être relancé ? Libération fait aujourd'hui sa Une sur les révélations de la juge Isabelle Prévost-Desprez, anciennement à la tête de l'affaire. Cette dernière affirme dans un livre à paraître jeudi qu'une témoin aurait vu Nicolas Sarkozy se faire remettre d'importantes sommes d'argent en espèce lors de sa campagne présidentielle de 2007.
«L'infimière de Liliane Bettencourt a confié à ma greffière, après son audition par moi : 'j'ai vu des remises d'espèces à Sarkozy, mais je ne pouvais pas le dire sur procès-verbal'», explique la juge aux journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme pour leur ouvrage «Sarko m'a tuer». Isabelle Prévost-Desprez se dit également «frappée par la peur des témoins» dans cette affaire, qui craignaient de «parler sur procès-verbal à propos de Sarkozy».
ACTUALITÉ Société
Aubry veut une enquête, l'Élysée crie au «mensonge»
Mots clés : Liliane Bettencourt, Nicolas Sarkozy, Martine Aubry, Valérie Pecresse,
Jean-François Copé, Isabelle Prevost-Desprez
Par lefigaro.fr Mis à jour le 31/08/2011 à 10:40 | publié le 31/08/2011 à 10:39, extrait
L'UMP a réagi aux déclarations de l'ancienne juge en charge de l'affaire Bettencourt en soulignant le calendrier de ces révélations et en s'étonnant que la juge n'ait pas porté ces éléments auprès du procureur.
L'Élysée a réagi le premier aux révélations de la juge Isabelle Prévost-Desprez en affirmant qu'il s'agit «d'allégations scandaleuses, infondées et mensongères». Un proche de Nicolas Sarkozy a dénoncé auprès de Libération des «boules puantes» lancées à l'approche de la campagne présidentielle. «Si cette infirmière dit vrai, alors la justice se devait d'ouvrir une enquête. La magistrate avait le devoir de ne pas garder cette information pour elle», explique-t-il. «Et là, comme par hasard, l'accusation ressort un an et demi après les faits. Qu'est-ce-que cela veut dire ? C'est une atteinte grave à la déontologie de magistrat.»
Jean-François Copé, le patron de l'UMP, s'est également étonné que de telles déclarations sortent alors que la campagne présidentielle va débuter. «On est à quelques mois de l'élection présidentielle, donc il ne faut être dupe de rien. Ce sont des allégations qui ont donné lieu à un démenti extrêmement clair de la part de l'Elysée», a-t-il dit sur Canal+. «Je crois comprendre que c'était hors procès-verbal, que ce sont des attaques de la part d'un juge en exercice. Tout cela est quand même un peu étonnant», a-t-il ajouté.
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Loi sur le voile : une forme d'islamophobie ?
NDLR : « La police et la gendarmerie sont là pour appliquer la loi et elles appliqueront la loi ». Quelle fumisterie, une approximation ou un mensonge de plus, mais sommes nous à celui-ci près ? Nicolas Sarkozy, précédement Ministre de l'Intérieur, ou Michèle Alliot-Marie, récemment « écartée », pourraient-ils reprendre et soutenir Guéant, qu'on en rigole un peu plus ? Allez, Sarkozy ou même l'Elysée, un petit effort...
Niqab: une amende aux Mureaux
Mots clés : NIQAB, VOILE INTEGRAL
AFP, 12/04/2011 | Mise à jour : 11:45
Une femme a été verbalisée hier après-midi aux Mureaux (Yvelines) pour avoir enfreint la loi interdisant le port du voile intégral, entrée en vigueur le même jour, selon une source policière. La jeune femme, née en 1983, dont la tenue vestimentaire n'a pas pu être précisée par la source policière, a été contrôlée "sans incident" dans un centre commercial vers 17h30. Les fonctionnaires ont infligé une amende de 150 euros à la jeune femme, a ajouté la même source.
Depuis lundi, le port du niqab ou de la burqa n'est plus autorisé dans la rue, les jardins publics, les gares, les commerces ou les mairies, en vertu de la loi du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage. En France, il y aurait environ 2000 femmes intégralement voilées, selon diverses estimations.
Cette loi controversée est l'objet de vives critiques d'une partie de la communauté musulmane, de certaines personnalités politiques, ainsi que du Syndicat des commissaires de police, dont le secrétaire général adjoint, Manuel Roux, a estimé lundi qu'elle serait "infiniment difficile à appliquer" et "infiniment peu appliquée". Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a pour sa part prévenu que la loi "sera respectée", même si son application est difficile. "La police et la gendarmerie sont là pour appliquer la loi et elles appliqueront la loi", a-t-il déclaré lundi en marge d'un déplacement à Luxembourg.
À la une > France - Les brèves
FRANCE • Loi sur le voile : une forme d'islamophobie ?
12.04.2011 | Gulf News, sur Courrier International
"Le premier jour d'application de la loi bannissant le voile n'est pas passé inaperçu", note le quotidien de Dubaï, qui publie en une la photo de l'interpellation musclée à Paris d'une femme vêtue d'un niqab. Pour le journal, la décision de la France d'interdire le port du voile islamique intégral dans l'espace public remet en question les libertés que ce pays européen représente. "L'entrée en vigueur de cette loi au moment où le parti au pouvoir a lancé un débat sur la place de l'islam dans la société française rend cette interdiction d'autant plus problématique."
Débat sur la laïcité : « Vous voyez, il n'y a pas eu de stigmatisation »
NDLR : Je pense préférer les réunions et les débats publics, plus ouverts, il peut facilement s'y élever des voix dissonnantes, puis des répliques ou des réactions peuvent ensuite être amusantes... Je me demande si les actes du colloque Neutraliser les grands criminels ont finalement été publiés, ou si ces enregistrements se sont perdus, un juge nous avait alors bien fait rire. Puis il faudrait que je me procure un jour les actes du colloque Jugement de valeur, jugement de droit, le Directeur national de la PJJ avait douché l'assemblée de travailleurs sociaux après quelques envolées, par exemple, celle d'un autre magistrat encore... Les rencontres en public organisées par plus à gauche peuvent également faire sourire. Au cours de Culture psychiatrique et culture judiciaire : relire Michel Foucault, une historienne de la psychanalyse avait été embarrassée par quelques mots, une courte citation de Foucault. Lors du colloque Malaise dans la justice, je suis parti bien avant la fin.
A la Une > Politique
Débat sur la laïcité : "Vous voyez, il n'y a pas eu de stigmatisation"
LEMONDE.FR | 05.04.11 | 21h38 • Mis à jour le 05.04.11 | 22h46, extraits
Comment atterrir en douceur, après des semaines de polémique ? C'était la question à laquelle devait répondre le parti de Jean-François Copé, en organisant la "convention" UMP sur la laïcité, mardi 5 avril, dans un hôtel parisien. Avec deux tables-rondes calées en trois heures et une trentaine de propositions énoncées à l'avance, le "débat" qui a fait couler tant d'encre laisse finalement peu de place à l'improvisation ou aux dérapages.
"Vous voyez, il n'y pas eu de stigmatisation", confie rapidement un militant UMP, quand on lui demande ce qu'il a pensé de la première table-ronde sur l'histoire de laïcité. De fait, cet étudiant en droit venu de Nanterre sait que son parti a été accusé de chasser sur les terres du FN. Il avoue ne pas avoir appris grand-chose lors des prises de parole, mais tient à faire passer le message apaisant également délivré à la tribune par Jean-François Copé : "Certains ici ont mal vécu les amalgames" faits par l'opposition, lance le secrétaire général de l'UMP, obtenant quelques applaudissements d'une foule policée, loin des engouements de meeting.
AUTANT DE JOURNALISTES QUE DE SPECTATEURS
Car ce mardi, à l'Hôtel Pullman Montparnasse, il y a presque autant de journalistes que de spectateurs. Les organisateurs parlent de deux cents accréditations. Et en fait de public, il n'y a que des militants très engagés, des salariés du parti et collaborateurs des officiels venus à la tribune.
Plainte de Squarcini : le Canard « pas inquiet »
Plainte Squarcini: le Canard "pas inquiet"
AFP, 10/11/2010 | Mise à jour : 17:28
Le directeur de la publication du Canard enchaîné Michel Gaillard s'est dit "un peu étonné" mais "pas inquiet" après le dépôt de plainte pour diffamation, aujourd'hui, du patron du contre-espionnage, Bernard Squarcini.
"Nous sommes un peu étonnés mais ça ne nous inquiète pas beaucoup", a déclaré à l'AFP Michel Gaillard. "Ca va être un très beau procès", a-t-il ironisé, "puisqu'on va avoir des témoins de grande qualité, à commencer par le chef de l'Etat et le premier ministre qui vient par l'intermédiaire de son directeur de cabinet de faire une note en disant qu'il était illégal de se faire communiquer les fadettes (factures téléphoniques détaillées, ndlr) des journalistes". "Je me demande si l'avocat de Squarcini a eu connaissance de cette note avant de déposer plainte", s'est interrogé Michel Gaillard.
Sarkozy balaye toute polémique après sa visite à un hôpital
Sarkozy balaye toute polémique après sa visite à un hôpital de Villejuif
LEMONDE.FR avec AFP | 18.09.09 | 09h16 • Mis à jour le 18.09.09 | 15h23, extrait
En visite à l'hôpital Paul-Brousse de Villejuif à l'occasion de la 2 500e greffe de foie de l'établissement, Nicolas Sarkozy a été confronté aux accusations du syndicat SUD-Santé de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), qui s'indignait du coût du déplacement. Evoquant un "état de siège", le syndicat parle d'un déplacement qui a coûté 200 000 euros, soit "au bas mot à l'équivalent de huit infirmières sur un an". Le chiffre a été démenti par le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, qui a dénoncé une "polémique absolument ridicule". Le chef de l'Etat a dit ne pas comprendre les raisons de cette polémique. "Je trouve particulièrement incompréhensible qu'il puisse y avoir la moindre polémique liée à la présence du président de la République au milieu des greffés, au milieu des équipes médicales, parce ce que ce qui serait scandaleux, c'est que je n'y sois pas", a-t-il déclaré.
Vers un troisième tour à l'Unesco, Farouk Hosni reste favori
Reuters, 18.09.09 | 20h20, extrait
PARIS (Reuters) - Aucune majorité n'a été trouvée vendredi soir lors du deuxième tour de scrutin destiné à désigner le nouveau directeur général de l'Unesco, compliquant la tâche de l'Egyptien Farouk Hosni. Les deux premiers tours ont consacré le statut de favori du ministre égyptien de la Culture, candidat controversé en raison de ses déclarations jugées anti-israéliennes, voire antisémites par plusieurs personnalités de la communauté juive. En compétition avec huit autres candidats, il a obtenu vendredi soir 23 voix (une de plus que la veille) sur les 58 que compte le Conseil exécutif de l'organisation des Nations unies dédiée à la science, l'éducation et la culture, et dont le siège se trouve à Paris. Les délégations égyptienne, autrichienne, béninoise, équatorienne, russe et bulgare avaient maintenu leurs candidats respectifs au deuxième tour.
La suppression du juge d'instruction pourrait mettre à mal l'affaire des "biens mal acquis"
LEMONDE.FR | 18.09.09 | 18h35 • Mis à jour le 18.09.09 | 19h01, extrait
L'affaire dite des "biens mal acquis" vient de prendre une nouvelle dimension. Depuis la première plainte déposée en mars 2007, ses promoteurs mettent en cause les richesses accumulées en France par des chefs d'Etat africains et se heurtent au refus du parquet (contrôlé par le gouvernement) de valider la procédure. Jeudi 17 septembre devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris, ils ont mis en garde contre un nouveau risque : que la réforme voulue par Nicolas Sarkozy visant à supprimer le juge d'instruction ne tue dans l'œuf leur initiative. La procédure, qui vise les présidents Omar Bongo du Gabon (aujourd'hui décédé), Denis Sassou-Nguesso (Congo) et Teodoro Obiang Nguema (Guinée-Equatoriale), a été relancée, le 5 mai dernier, par la décision inattendue de la doyenne des juges d'instruction de Paris, Françoise Desset, qui a déclaré recevable la plainte déposée par l'association Transparency International (TI) pour "recel de détournement de fonds publics" visant ces chefs d'Etat africains.
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