Archives pour: 2009
Fiesta !
Aujourd'hui est un jour de fête, un anniversaire, si ce n'est que la première concernée est ailleurs, injoignable depuis hier, « internée » à 500 km d'ici, en Alsace. Ce n'est pas la seule contrainte de cette « solution pour Justine », un « projet » imaginé par d'autres qui prétendront avoir toujours été très soucieux de notre « relation père-enfant » ainsi que de l'enfant elle-même, bien sûr. Je « collabore » comme je peux...
Mais je ne vais pas en faire un drame sans quoi des lecteurs de la Croix seraient là pour me rappeler qu'ils ont eu vent de situations bien plus affreuses, par exemple d'enfants, dans des « haltes-garderies » d'Eric Besson. C'est la fête, et à cette occasion, je vais siffler la marseillaise sur cet air que nous suggérait Siné, à la fin-octobre 2008.
Je note que, d'après le Figaro du jour, une milliardaire pourrait avoir déchainé des passions.
France Soir n° 20200 sur la Croix du 3
70 années se sont écoulées
« Il vaut mieux ne pas remuer la merde », pourrait reprendre un colonel. Je sais, mais c'est plus fort que moi.
Où en sommes nous, 70 ans plus tard ? Les discours d'hier, à Gdansk, « très modérés », ont été salués par la Belgique. Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) nous apprenait qu'il juge « exagérée » la menace nucléaire iranienne. Nous attendons toujours la libération de Clotilde Reiss... et celle de Gilad Shalit.
Ce n'est pas sans raisons que je prend de telles notes. A qui veut l'entendre (pas les juges de mon coin, la plupart sont bouchés), j'explique que j'étudie des conflits de toutes natures, en me demandant parfois quelle est la place de l'enfant - ou de personnes vulnérables voire de « victimes » - dans ces espaces où se querellent des adultes.
D'après des juges, ma fille Justine n'aurait jamais été manipulée. Je pense que les mêmes marteleront qu'elle n'a même jamais été instrumentalisée. Je me dis pour ma part que des adultes peuvent parfois être très cons.
Monsieur Philippe Douste-Blazy aura ici certainement une opinion. Début 2005, peu avant que Justine ne disparaisse pour 3 à 4 années, alors que je m'étais déjà beaucoup plaint auprès des juges et du Conseil général du Val d'Oise, que je me plaignais encore beaucoup de sa situation au sein de l'établissement de l'OSE France de Taverny, ce lieu prétendu « neutre », et du travail des professionnels de l'OSE France avec le corbeau et le pasteur, un congrès avait fait rager quelques adultes. J'en ai encore des notes, certaines sont aujourd'hui au fond de mes références.
Toulouse, lundi 21 mars 2005
2ème Congrès international dans le cadre des
Rencontres Franco-Israéliennes de
Victimologie de l’enfant
Je regrette que certains aient cru possible de réduire le champ de vos travaux à une seule cause, alors que la victimologie des conflits, concerne tous les enfants de la planète et toutes les situations de violence dans le monde. ... Un discours de P. Douste-Blazy.
L'année d'après, en 2006, des adultes avait manifestement été manipulés par des médias. Je vais continuer à mettre en mots tout ce que j'ai étudié au cours des années passées, même si ça pourrait déplaire à certains juges de mon secteur. Je m'en fous, certains ne sont plus saisis, notamment le juge Anne Valentini, tandis que les autres, ceux de la cour d'appel de Versailles, sa chambre des mineurs, je vais les faire perdre encore, si nécessaire.
Je me demande si certains qui se sont prononcés ou qui se sont impliqués ou investis dans cette affaire ont bien conscience de s'être aventurés parfois sur de véritables territoires de guerre, contemporaines, où les débats font très souvent rage. Sur ces territoires, régulièrement des adultes n'hésitent pas un seul instant à manipuler des enfants - souvent même leurs cadavres - pour faire valoir leur point de vue... voire peut-être même, pour dynamiser un marché, tout simplement. Oui, je sais... « L'homme n'est pas une marchandise comme les autres », nous a dit notre chantre.
AP - Mon Jul 17, 2:52 PM ET
Israeli girls write messages on a shell
Voir Online controversy over graffiti by Israeli kids
Qu'en pense Monsieur Bernard Kouchner, lui qui pourrait aujourd'hui très bien connaitre le dossier de l'Arche de Zoé, ces « pieds nickelés » partis « sauver » des « orphelins » du Dafour ? Mais il a peut être tout oublié.
A l'OSE France et alors qu'on peut très raisonnablement affirmer que Justine est une enfant « de boches », Messieurs Richard Josefsberg et Eric Ghozlan pourraient également avoir des opinions à tous ces sujets.
Fin janvier 2007, j'ai assisté aux discours d'inauguration de la maison Ensemble, à Saint Germain. A cette occasion, Monsieur Roger Fajnzylberg m'a proposé un rendez-vous dans son bureau, rue du Temple. J'avais pu lui exposer la nature des difficultés que je rencontrais. Il devait se renseigner puis me recontacter. M. Fajnzylberg m'a finalement simplement dit que les professionnels de l'OSE France avaient tout fait « dans l'intérêt de Justine ».
Au château, qui m'a très souvent renvoyé vers ses dépendances, ses tribunaux, je pense qu'ils sont effrayés, comme à l'OSE France. Le château ne me répond plus depuis de très longs mois. Je n'envisage même plus d'écrire là bas.
Oui, je le sais bien aussi, des juges dans notre secteur ont établi tout à fait autre chose. Par exemple, que ma cadette serait née en 2001, rappelant que ma soeur aînée est trisomique... Maintenant que Justine est à l'internat, à 500 km, plutôt ravie d'y être bien qu'elle se plaigne de la distance qui nous sépare et de contraintes encore, je vais tranquillement pilonner et bavarder, comme depuis toujours, jusqu'à la main-levée de son « placement ».
Y aurait-il différentes manières d'interpréter ces mêmes faits ?
Pour ce soir, on nous avait programmé du « ludique ». Demain, la grille pourrait être un peu plus désagréable ? Je préfère pour ma part ce coupon de dimanche et des mots durs : « un zèle effroyable ».
Qu'en pensent-ils à l'OSE France ? Quelques uns de leurs professionnels pourraient peut-être aussi préciser comment ils lisent eux même du David Hume, ce qu'ils pensent de certains Etats de droit et de nécessités.
"Guy Môquet, un amour fusillé" sur France 5
France Info/Culture, par Danièle Ohayon - 18:30, extrait
Un tour d’horizon des programmes de premières partie de soirée et pour commencer, une soirée de fiction sur France 5, c’est une nouveauté ! Et la première est ce soir. Une manière d’appréhender l’histoire ou les faits de société plus ludique qu’un documentaire. Le programme est présenté par Thomas Hugues. France 5 commence avec la fiction de Philippe Bérenger : " Guy Môquet, un amour fusillé", qui avait été diffusée il y a un an par France 2. On se souvient que le jeune militant communiste et 26 de ses compagnons de détention du Camp de Chateaubriand en Loire Atlantique, ont été exécutés le 22 octobre 1941.
De source Yahoo!, au programme de France 3, demain soir, mardi :
22h00– 22h55 : Les rafles d'août 1942 en zone libre
Un crime de l'Etat français
« Les rafles de l'été 1942 menées en zone libre demeurent encore ignorées du grand public » déplore Serge Klarsfeld. Grâce à de nombreux documents d'archive et des témoignages, c'est un regard nouveau que pose Antoine Casubolo sur le rôle de l'Etat et de l'administration française dans la déportation des juifs. La parole est donnée aux derniers survivants de ces rafles. En août 1942, 10 000 juifs, hommes, femmes et enfants, ont été arrêtés dans le Sud de la France sur initiative de l'Etat français. Durant la Seconde Guerre mondiale, la France est le seul pays d'Europe qui a arrêté et déporté une partie de sa population. En 1945, seuls 270 prisonniers avaient survécu. Un documentaire produit avec le soutien de la Fondation pour la mémoire de la Shoah.
Un bilan
Ma fille n'a pas changée : une tête de mule, née d'une mère butée et d'un bourricot de père. Je crois que la magistrature du coin et la protection de l'enfance ont jusqu'à ce jour été particulièrement gâtés par cette affaire et des personnalités fortes. Les prêches et les comportements du pasteur, les opinions et les intrusions des psychologues, les lettres et les agissements du corbeau, les rapports et les actes des travailleurs sociaux et les paroles ainsi que les décisions des juges n'ont pas eu d'effets particuliers dans nos relations. Mais tout de même, Justine en a souffert, a disparue et est comme séquestrée depuis, ce qui dure près de 4 ans déjà, après un « placement » à l'OSE. Justine veut rentrer, ce qu'elle réclamait déjà par le passé, et nous attendons toujours son retour que nous réclamons depuis très longtemps aussi.
Justine et nous avons pu renouer sans la moindre difficulté, malgré toutes les réticences qui s'y opposaient. Il reste à présent à ressaisir le « nouveau » juge pour enfant et à réclamer encore et encore la main-levée de ce « placement durable » dont je recherche encore les motivations. Le « nouveau » juge pour enfant n'est pas dupe non plus, je pense qu'il est simplement prudent. Je dois le ressaisir, mais je ne sais pas encore quoi ni comment le lui écrire tant ses prédécesseurs m'ont par moments complètement dérouté, déboussolé.
J'ai encore foutu le bordel ces derniers temps, comme depuis plusieurs années. Je crois que j'ai toujours foutu le bordel, depuis tout petit... De nombreuses personnes l'auront remarqué ces jours-ci, certains s'en sont plaint : « pliiiize, silence » ou ses variantes tel que « ne l'écoutez pas, écoutez ma voix ! » C'est un juge qui m'avait recommandé de « foutre le bordel » alors que je dérangeais depuis longtemps déjà, par mes actes comme par mes discours.
Il s'est passé et tramé beaucoup de choses au cours de cet été. J'ai pris de nombreuses notes et j'ai encore engrangé quelques références. Il y a peu, un prix Busiris a été décerné à Franck Louvrier. Certains affirmeront qu'il est le pouvoir ou très proche, confondu peut-être. Mais rien n'est sûr dans ces sphères et je distingue très bien Franck Louvrier de notre chantre.
Avec ses prix Busiris, Maître Eolas nous amuse très souvent. Mais il faut d'abord admettre qu'avec ceux qui nous gouvernent en France, parfois bien chahutés comme avec ces pardons en trois temps qui ont porté sur la scène internationale, nous sommes bien servis. J'attends impatiemment le prochain épisode.
La phrase ou « conclusion-mystère pour clouer le bec » m'a fait sourire. Je n'ai pu penser qu'à Impostures intellectuelles, un travail conséquent que j'ai déjà cité par le passé, écrivant que Avec Internet, on n'est plus vraiment sûr de rien. Avec cette phrase « mystérieuse », on peut facilement constater combien il est aisé de convaincre et d'emporter une audience, surtout peut-être, si celle-ci est en demande.
J'ai pris quelques notes sur ce thème d'Hadopi et du dernier prix Busiris. Brendalf a eu « beau retourner la phrase [...] dans tous les sens, la triturer, extrapoler… » Il écrivait que rien n’y a fait, il affirmait ne pas comprendre.
Seb, bookworm a été plus taquin. Il a été censuré, à moins que sensuré, comme moi, ces derniers jours. Une oeuvre a été citée. Chris m'a demandé si je connaissais le film de François Truffaut, Fahrenheint 451. Seb, bookworm a souhaité nous rappeler que cette oeuvre était inspirée d'un roman de Ray Bradbury car, « après tout », écrivait-il, il faut « que la reconnaissance de la source soit partie intégrante de la construction du sens ».
Mais tout cela ne sont que des mots qui contribuent au spectacle, sur ce grand théâtre du monde, où Internet n'est qu'un territoire, un espace où grouiller et gargouiller parmi les autres. Dans ses mares, des créatures attendent impatiemment la « libération » de Clotilde Reiss. Je crois qu'un juge doit encore rendre un délibéré et qu'assez globalement, cela pourrait prendre un peu de temps.
Fred supposait que cet article publié par le Monde, un « point de vue » de Franck Louvrier, « est la voix du pouvoir ». Pour son propre commentaire, cliquer ici. Une réponse faite à Fred :
88. Le Lundi 24 août 2009 à 00:09 par Bruno
@87 par Fred
Je suis assez d’accord avec vous. Mais selon les réactions que cette tribune pourrait susciter, quelles qu’elles soient, son auteur sera aux premières lignes. Il ne pourra même pas soutenir qu’un journaliste a mal compris ou mal rapporté ses déclarations.
@87 par Fred “Franchement le coup de la dictature iranienne pour limiter le P2P… Respect.”
C’est en effet une manière de le percevoir, on mêle allègrement d’intenses émotions et des intérêts des plus divers, y compris internationaux. Oui, respect.Prix Busiris pour Franck Louvrier
Par moments, j'ai le sentiment de raconter n'importe quoi même si j'utilise un vocabulaire très courant. Pour autant, je ne suis pas prêt d'avoir un prix Busiris ; mais ça ne m'intéresse pas, je les laisse très volontiers à d'autres. On m'a dit que j'aurai des « troubles psychiques ». J'ai d'ailleurs même été détecté, je répondais à pendragon qui voulait parler chiffres... Je pense qu'après les mouchards, une V3 de Hadopi devrait prévoir aussi des bouchons.
Chez Me Eolas, des commentaires disparaissent ; je peux le comprendre. J'en garde donc encore quelques notes perso, ici, ou je peux bavarder beaucoup plus librement, même si ce n'est que tout seul.
212. Le Mercredi 26 août 2009 à 22:12 par Bruno
@180, Me Eolas répondait: “Notez aussi qu’il est plus facile de critiquer ceux qui sont au pouvoir que l’opposition actuelle…”
Tout à fait d’accord. N’est-ce pas pour cela qu’on dit que le silence est d’or? J’ai vu passer cette dépêche, elle pourrait éventuellement expliquer pourquoi certains essuient plus de critiques:
AFP, 18/08/2009 - “Le Conseil supérieur de l’audiovisuel a établi les bilans annuels 2008 des chaînes de France Télévisions…” … le CSA chiffre ainsi pour les journaux à 33,5% le temps accordé à l’opposition parlementaire
Par ailleurs, ce qui circule sur le réseau n’est pas encore évalué, ni maitrisable. Ce n’est que dans le futur qu’on nous indiquera clairement où sont les tracts et où se situe la source du bon sens.
Nicolas Sarkozy poursuit sa conversion à Internet
[ 05/08/09 ] Les Echos, extrait
A mi-mandat, le chef de l'Etat affine sa stratégie Internet dans la perspective de 2012. Le site de l'Elysée sera refondu d'ici à la fin de l'année, pour devenir une « plate-forme d'échanges ». Un profil Facebook qu'il alimente régulièrement depuis quelques semaines, un site de l'Elysée converti au Web 2.0, des projets à l'UMP pour préparer 2012 : Nicolas Sarkozy a décidé d'inscrire la seconde partie de son mandat sous le signe d'Internet. Une vraie évolution pour le président de la République qui, contrairement à François Fillon ou François Bayrou, n'a jamais montré de goût personnel pour les produits high-tech.
205. Le Mercredi 26 août 2009 à 17:23 par Bruno
@204, Seb, bookworm
J’aime bien Internet, on peut depuis très longtemps et très rapidement sonder une mine d’informations. Pourvu que ça dure, j’aurai du mal à m’en passer. Je suis allé questionner l’oracle Google Books. Je lui ai soumis des mots de la phrase mystère qui cloue le bec. Il m’a trouvé “Vous êtes chef? Ce n’est pas si grave!” et “Il faut donc considérer que l’échec fait partie intégrante de la construction de la réussite.” On pourrait attribuer la source aux Shadoks: “plus ça rate, et plus on a de chances qu’un jour, ça marche”. Mais on trouve aussi certains de ces mots ailleurs.
@RG en 177 “Il risque de se passer pour ce projet de loi l’inverse de Hadopi”
Vous pensiez sûrement à Lopsi.
116. Le Jeudi 27 août 2009 à 08:13 par Bruno
@90 par pendragon “bruno, tu n’aurais pas un truc de rentrée à faire (genre les fournitures des enfants à acheter, les cahiers à couvrir ?)”
Plus j’y pense et plus je me dis que vous vous avez raison. Je vais vous laisser à discuter entre vous entre “dames de bon coeur”, de serpillères et de robinets aussi…
Juste un lien, je pense qu’il ne manquera pas d’intérêt. C’est un article de Foucault, publié il y a longtemps, dans Libé (ce “tract”): vous êtes dangereux [fr]. Je vous suggère de le lire en ayant bien à l’esprit des cas tel que celui de Marc Machin.
Tout est en place pour un « homegoroshi »
Tous aux abris, un indicateur a viré au rouge cramoisi dans le blog de Me Eolas.
Il y a quelques mois, à la cour d'appel, alors que je tendais une copie de mes conclusions au pasteur, il m'a répondu que la « polémique » ne l'intéresse pas. Aujourd'hui, je pense qu'il lui sera difficile d'y échapper. En effet, selon ce que m'a communiqué mon avocat à la cassation, le couple Clementz a maintenant une réelle opportunité pour défendre ses opinions.
Il me faut le Monde du 22, pour un point de vue au moins.
Un mal qui répand la terreur,
Mal que le ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom),
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron...
Tout va bien
Les vacances en famille se prolongent un peu. Selon le dernier jugement, elles devaient avoir un terme ce 17 août. Mais comme le pasteur et son mari sont partis en vacances, Justine reste encore avec nous pour quelques jours.
Le « nouveau » juge pour enfant souhaitait que Justine puisse préparer sa prochaine rentrée scolaire et ses affaires, pour l'internat, en Alsace. Ce ne sera donc pas vraiment possible. Justine s'est résignée à cette situation.
Par le passé, j'aurai souhaité que Justine puisse préparer correctement un voyage avec l'école. A l'époque, les professionnels de l'OSE France avaient pour mission d'organiser les vacances de Justine chez sa famille maternelle. Justine avait déjà du se résigner et se débrouiller seule pour préparer sa valise un dimanche soir, pour le lendemain.
La scolarité de Justine n'est manifestement pas bien importante pour cette « justice ».
L'internat scolaire est « un projet pour Justine » qui avait été élaboré par les professionnels de l'ARSEA et les tiers « dignes de confiance ». Selon le couple Clementz, Justine aurait depuis quelques temps des « troubles du comportement » et serait manifestement « manipulée » par son père (j'ai du mal à saisir comment ce serait possible). Justine bavarde à l'école et refuse de suivre les cours d'enseignement religieux... Au delà de ces élucubrations, je note surtout que le rapport et l'avis rendus par l'ARSEA, en juin dernier, ont une fois encore contraint le juge pour enfant de Nanterre à proroger le « placement » de Justine. Ce « placement » aurait très bien pu avoir un terme, dès la fin de cet été.
Par le passé, le corbeau de l'histoire exigeait la garde de Justine. Ca n'a pas pu se concrétiser vu le contenu du dossier d'assistance prétendue éducative, alimenté par le pasteur et le corbeau. Pour respecter un tant soi peu le dernier jugement de Nanterre, Justine prendra bientôt le train, mais pour la Lorraine et non pour l'Alsace. C'est un « arrangement » convenu avec le pasteur ; depuis que cette « justice » est saisie, le corbeau profite...
Je pense qu'il va falloir un outrage pour que cette mascarade ait enfin et très rapidement un terme. Par le passé, j'avais déjà fait un signalement avec mes moyens d'alors. Peu après, Justine disparaissait pour 3 à 4 ans. A l'époque, Justine était en colo ; je pensais qu'elle était en sécurité, dans un lieu vraiment neutre, et que nos autorités allaient réagir. Aujourd'hui, et alors que Justine sera sous peu à l'internat, je pense que peux à nouveau solliciter quelques autorités et services susceptibles de s'émouvoir un jour.
Je vais expédier quelques cartes de visites. D'ici quelques jours, il en parviendra une au Garde des vélodromes. Il en parviendra aussi une à la Direction de l'agence « France frousse ».
A la rentrée, « il faudra fermer bien plus que les écoles » ?
Hier, j'entendais quelques discours diffusés par les ondes de France Info. Depuis, je me demande où Justine ira à la rentrée, en cas de « comportement alarmiste » voire de « pandémie totale ». Si son internat scolaire venait à fermer quelques jours, elle ne souhaitera probablement pas aller séjourner au presbytère.
Je vais écrire au juge pour enfant, par précaution. « Si les circonstances l'exigeaient », Justine pourrait sauter dans un dernier TGV et profiter alors de quelques jour de plus, à la maison. La grande et la petite seront ravies.
Pour Marc Gentilini, on assiste à une "pandémie de l'indécence"
LEMONDE.FR | 06.08.09 | 20h18 • Mis à jour le 06.08.09 | 21h43
Société, 12/08/2009 à 15h06, Libé, extrait
Grippe A : «Il faudra fermer bien plus que les écoles»
Deux médecins spécialistes de la grippe réagissent aux propos du ministre de l'Education nationale qui se dit «prêt à fermer les écoles». Pour eux, le pic de l'épidémie aura bien lieu cet hiver.
Branle-bas de combat au ministère de l'Education nationale. Le ministre Luc Chatel a décidé de prendre le problème de la grippe A à bras-le-corps. Réunion d'une cellule de crise interministérielle le 18 août, circulaires envoyées à tous les préfets et recteurs d'académies: le ministre de l'Education nationale multiplie les initiatives pour anticiper le pic éventuel de l'épidémie de grippe H1N1 à la rentrée. Dans une interview accordée au Figaro, mardi, Luc Chatel dit vouloir «être prêt» en cas de pandémie totale et affirme «se préparer à toutes les éventualités». «Si les circonstances l'exigent, nous nous tiendrons prêt à fermer les établissements», avait-il déclaré.
Un plan pandémie grippale, mis au point par le gouvernement en 2004 lors des permiers cas de grippe aviaire, informe des démarches à suivre. Réédité en février dernier, ce plan draconien préconise par exemple, en cas de niveau d'alerte 6 (la France est aujourd'hui au niveau 5), de restreindre l'accès aux établissements hospitaliers, aux maisons de retraite et aux établissements pénitentiaires en plus de la fermeture des établissements d'enseignement. Le virus H1N1 est néanmoins bien moins virulent. Alors comportement alarmiste ou attitude raisonnable face à la grippe A ?
Une petite bafouille à MAM ?
Selon les magistrats professionnels de la cour d'appel de Versailles, « le nombre et la teneur » de mes correspondances annexées à ce dossier d'assistance prétendue éducative démontreraient quelque chose.
Dati pourrait avoir reçu un poussin.
J'envoie une simple carte de visite à MAM. Elle apprécierait Jean Carbonnier. Il m'arrive de le lire aussi.
Appel, pour des broutilles
J'aurai préféré faire un appel partiel, mais il me semble que ce ne serait pas possible. J'envoie donc un RAR très simple, comme me le suggèrent l'annexe au jugement ainsi que l'article 933 du NCPC, puis j'aviserais.
Le pasteur m’entend régulièrement plaider, depuis l’été 2005. Depuis la même période, il peut aussi facilement me lire, sur Internet. Il s'est donc plaint de mes écrits, en chambre du conseil uniquement. Maître Delphine Roughol, l'avocate de Justine, peut très facilement consulter le dossier construit par les juges pour enfants qui se sont succédés jusqu'à ce qu'intervienne le « nouveau », Monsieur Thierry Baranger. Cette avocate s'est également plainte de mes écrits, sur Internet ; en janvier dernier, à la cour d'appel, elle n'en menait pas bien large ; elle a pu souffler, fin mai dernier, en lisant le délibéré de la cour d'appel de Versailles.
Par le passé, le corbeau de l’histoire et sa sœur, le pasteur ou Mme Clementz, étaient comme cul et chemise ou comme compère et compagnon. En 2006, la cour d'appel l'avait elle même relevé. Aujourd’hui, ce serait moins vrai. En 2003, elles se sont toutes les deux rapprochées de l’ASE des Hauts de Seine. Le corbeau qui est elle même assistante sociale de l'ASE aurait alors souhaité avoir la garde de Justine. Comme je n’étais pas d’accord, le juge pour enfant a été saisi. Par la suite, les professionnels de l’OSE France ont travaillé avec le corbeau puis avec le pasteur. Les professionnels de l'ARSEA ont travaillé avec le pasteur et son mari, le médecin. Je m'en suis beaucoup plaint et les juges du secteur me l'ont très souvent reproché. Avec le « nouveau » juge, ça va mieux.
Fin 2003, Justine a été placée à Taverny, une « maison d'enfants » de l'OSE France. Entre 2004 et 2005, alors qu’elle était sous la responsabilité de l’OSE France, j'ai fait inscrire deux fois Justine au fichier des mineurs disparus. A la même période, la grand-mère maternelle de Justine se plaignait pour sa part de ne plus voir « Justine, sa petite fille »… les juges me l'ont aussi reproché or je n'y étais pour rien : Justine disparaissait en Moselle. Ces disparitions n’ont pas été élucidées ; mi 2006, la police me sollicitait encore à ces sujets. J’ai une vague idée de ce que Rachida Dati pourrait nous en dire.
En 2005, le juge pour enfant Anne Valentini a rendu au moins une décision qui ne m’a jamais été notifiée ; je l’ai découverte en consultant le dossier de Nanterre, au printemps 2008. A peine plus tard, ce même juge rendait encore une autre décision dont je n’ai pas pu faire appel. Fin 2005, Justine « disparaissait » finalement en Alsace, chez le pasteur d'Uhrwiller.
Aujourd'hui encore, le couple Clementz a la qualité de « tiers digne de confiance » or ce sont des « membres de la famille ». Il ne s'agit peut-être que d'une erreur de plume copiée/collée depuis 2005... Ces tiers « digne de confiance » ont des intérêts très particuliers dans les successions de la famille maternelle. D'autre part, le corbeau et des juges du secteur ont pendant longtemps cherché « beaucoup d’argent ». Certains juges chercheraient-ils encore ? Les tantes maternelles de Justine réclamaient sa garde mais semblaient aussi exiger l'administration légale de ses biens tout en calomniant à outrance son papa ; le juge des tutelles n'a pas été dupe.
Depuis quelques années, les juges pour enfant et la chambre des mineurs de Versailles me reprochent de ne plus avoir de relations avec la famille maternelle de Justine. Je n'en ai plus aucune avec le corbeau ; par le passé, il m'avait menacé puis il s'est rapproché de l'ASE des Hauts de Seine. Fin 2004, la grand-mère maternelle de Justine a résilié son abonnement téléphonique. A la mi-2005, la famille maternelle m'a fait chasser par les gendarmes et m'a encore menacé. Le pasteur avait disparu sans me laisser d'adresse ; c'est là bas que Justine a été « placée », en « un lieu tenu secret ». En 2007 et alors que tous mes « droits sur Justine » étaient suspendus, les juges m'intimaient encore de « laisser Justine tranquille » et de cesser de parler d'un « rapt ».
Aujourd'hui, le « nouveau » juge pour enfant semble exiger un terme au conflit entre moi et « la famille maternelle de Justine ». Cela me fait penser à un document publié sur le site de la cour de cassation. J'ai le sentiment qu'il suffirait que le corbeau ou le pasteur fasse encore n'importe quoi dans un proche avenir pour que « la relation père-enfant » soit à nouveau rompue. De même, je pense qu'il suffirait d'un ultime parjure de travailleur social pour que Justine « disparaisse » encore. L'instrumentalisation du « conflit parental » est un sujet aujourd'hui très bien documenté, je l'ai très sommairement évoqué, ce 9 juillet, à Nanterre.
Je pense que dans cette histoire, quelques professionnels de la protection de l'enfance ont fait montre d’une extrême naïveté ou d'une très flagrante mauvaise foi, voire des deux. Je vais aller en rediscuter un peu avec les juges de la cour d'appel puis ils pourront motiver encore, comme d'habitude. On ne change pas une équipe qui perd. J'y citerais une fois encore l'arrêt CEDH Kutzner contre Allemagne.
Nous allons surtout bientôt ressaisir le « nouveau » juge pour enfant. Nous avons pu constater plusieurs fois maintenant qu'il ne travaille pas du tout comme ses prédécesseurs.
Un dossier « épais », « un bâton merdique »
Je vais peut-être faire appel - partiel - de cet ultime jugement rendu ce 16 juillet, par le « nouveau » juge pour enfant de Nanterre. Je m'accorde encore quelques jours avant de prendre une décision. Pour le moment, j'hésite, beaucoup, car je ne connais trop bien les usages de la cour d'appel de Versailles. Si je fais appel, je pense que ce sera sans plus pour accéder une troisième fois à la cassation, pour des broutilles.
Ce 9 juillet, l'audience s'est pour une fois très bien déroulée. En sortant du cabinet du juge, Justine était ravie de pouvoir passer l'été avec nous, en famille. Depuis, Justine a même confirmé à nouveau son souhait de rester définitivement avec nous. Mais selon « la justice », tout irait « trop vite ».
Au cours de l'audience, j'ai pu préciser encore une fois ce que je pensais du contenu de ce dossier « d'assistance éducative » : un fond diffamatoire et calomnieux, à mon encontre, au préjudice de Justine et de sa petite soeur aussi. Le « nouveau » juge qui nous est favorable depuis plusieurs mois m'a répondu qu'il statuerait avec la distance qui s'impose. Il semble bien l'avoir fait - encore une fois - ou Justine ne serait pas à la maison, en ce moment même.
En sortant du tribunal « pour enfant » et sur le chemin de la maison, j'ai expliqué à Justine que malgré ce que nous avions plaidé, ma compagne et moi, ce juge n'aurait certainement pas pu ordonner son retour immédiat et définitif. En effet, même si nos précédentes rencontres, nos échanges ainsi qu'un premier week-end en famille se sont très bien déroulés, vu la situation d'alors et vu ce qu'a construit « la justice », ce « nouveau » juge ne pouvait pas augurer du bon déroulement de ces vacances, en famille, ou de nos reprises de relations, au quotidien.
Pour le moment, Justine reste donc encore « placée ». Mais à la rentrée, elle ira en internat scolaire, en Alsace, à proximité d'Uhrwiller. L'idée de rester au domicile des tiers « dignes de confiance » ne l'enchante plus, elle en parle depuis décembre 2008 (sic). A défaut de pouvoir rentrer enfin à la maison, elle adhère aujourd'hui à l'idée d'une telle période, en internat scolaire. Une nouvelle période en « foyer de la Dass » ou même dans une autre famille d'accueil était exclue ; Justine n'en a pas du tout le profil et garde d'ailleurs de très mauvais souvenirs de Taverny aussi.
L'ARSEA et les tiers « dignes de confiance » avaient élaboré cet ultime projet d'internat « pour Justine ». Ils pensaient certainement que Justine allait rester encore longtemps « placée » en Alsace, comme depuis plusieurs années déjà ? Ce 9 juillet, le juge regrettait l'absence des « professionnels » de l'ARSEA à l'audience. J'avais moi-même regretté que l'ARSEA n'ait jamais répondu à mes convocations, dans le cadre d'un référé suspension, en juillet et septembre 2008. J'avais aussi regretté l'absence de l'ARSEA en hiver puis au printemps dernier, toujours à la cours d'appel. Manifestement, les « professionnels » de l'ARSEA ainsi que certains juges n'ont que faire des débats devant la Cour...
D'après le délibéré du 16 juillet 2009, il serait aujourd'hui « souhaitable » que le juge pour enfant de Strasbourg désigne d'autres « professionnels » que ceux de l'ARSEA. En mai et juin 2008, le juge Xavier Serrier aurait déjà pu s'apercevoir que ces « professionnels » et ces tiers « dignes de confiance » travaillaient très bizarrement. Mais à cette période, le juge Xavier Serrier semblait avoir d'autre préoccupations que celle de faire enfin évoluer cette affaire d'assistance prétendue éducative. En effet, je venais d'engager une procédure de prise à partie à l'encontre de ce même magistrat. Depuis, la cour d'appel de Versailles a fait le nécessaire pour sauver la face du juge Xavier Serrier ; c'est toujours ça ? Je pense que quelques magistrats de la cour d'appel n'ont même pas remarqué l'évolution de la situation de Justine tant ils se sont appliqués à motiver encore son « placement » au presbytère et dans le pré de l'ARSEA.
Peu avant l'audience de juillet dernier, j'ai pu consulter encore une fois le dossier du juge pour enfant. Je n'ai toujours pas pu tout lire, le dossier est « épais », même « très lourd ». J'ai pu prendre quelques photos. Des éléments versés à ce dossier par le corbeau de l'histoire sont absolument ignobles. « Diffamez, il en restera toujours quelque chose » ; je pense que c'est aussi ce qu'on enseigne aux « professionnels » de la Dass. Le « nouveau » juge arrive du 9-3 ; il a pu être d'abord choqué par le contenu de ce dossier puis vraiment surpris par les partis présents à l'audience, ce 9 juillet : un auteur et metteur en scène, un ingénieur, un pasteur, un médecin généraliste.
Une correspondance du corbeau, au dossier de Justine
Aujourd'hui, les tiers « dignes de confiance » et nous sommes priés de nous entendre, « dans l'intérêt de l'enfant », bien évidemment... Par le passé, la famille maternelle de Justine et les « professionnels » de la protection de l'enfance n'avaient jamais souhaité travailler avec moi. Bien au contraire, ils ont tout fait pour rompre « la relation père-enfant » et motiver un « placement durable » en Alsace. J'attends toujours que cette « justice » justifie son travail et l'obstination qu'elle a eu à me noircir, à outrance. Le « nouveau » juge ne connait pas les détails du dossier, construit sur plusieurs années, il ne pourrait pas distinguer le vrai du faux ; à l'audience du 9 juillet, nous n'aurions pas pu débattre de tout ce passé, nous devions discuter de l'avenir.
Pendant trois à quatre années, Justine a été privée de toutes relations avec sa famille et ses amis en région parisienne. Le substitut Felicis, l'ASE des Hauts de Seine, les professionnels de l'ARSEA, les professionnels de l'OSE France, le pasteur d'Uhrwiller et le corbeau de l'histoire auraient-ils quelques explications à avancer, en public ?
En mai 2008, personne n'avait osé répondre aux journalistes qui me suivaient au tribunal pour enfant de Nanterre, pour Faits divers le mag, sur France 2. Au cours de l'audience, en 2008, le substitut Felicis avait tenté de m'intimider, le pasteur d'Uhrwiller m'apprenait qu'il envisageait de faire « supprimer » mon blog et le juge Xavier Serrier m'intimait lui-même de le faire disparaitre de la toile, puis de me taire. En quoi ce blog ou mes discours en public posent-ils tant problèmes à cette « justice » à huis clos et au dossier si difficilement accessible aux parents ?
Des « psychologues » pourraient souhaiter me répondre. Je les invite à commenter d'abord un cas clinique.
Un effet inattendu ?
Voilà que le juge des tutelles - ou son greffier - se réveille et me demande des comptes. Il semble très soudainement se souvenir que je suis toujours l'administrateur légal des biens de ma fille Justine. Il souhaite prendre connaissance du « patrimoine de la mineure » et veut des justificatifs de ses placements et revenus.
Par le passé, la Caisse d'Epargne a laissé « inconnu » intervenir sur les comptes de Justine puis a fini par m'opposer le secret bancaire, malgré l'intervention du juge des tutelles. Par ailleurs, dans le cadre d'une succession de la famille maternelle et avec l'accord du juge des tutelles, un notaire a fait sa cuisine dans son coin, certainement avec le corbeau de l'histoire et sa soeur, le pasteur d'Uhrwiller. Une autre succession, celle de la maman de Justine, s'est vaporisée sans la possibilité d'en faire établir un inventaire ; je n'ai aucune information.
Pour sa part et malgré mes relances suite à des plaintes déposées en 2005, le procureur de la République n'a jamais daigné me répondre. Je n'ai qu'une correspondance de son parquet financier qui m'informe très vaguement d'un classement sans suite.
La justice du secteur n'ayant jamais coopéré avec moi sur ces aspects non plus, j'avais laissé ces dossiers en friche. Aujourd'hui, ma réponse au juge des tutelles sera très simple, probablement de la forme « indéterminé » dans toutes les cases de l'épais formulaire qu'il me demande de lui retourner dument renseigné.
Je pense lui préciser aussi qu'à la mi-2008, le juge pour enfant Xavier Serrier m'a intimé de tout oublier, de détruire mes dossiers, de tourner la page. La cour d'appel de Versailles vient de confirmer en tous points.
Une décision qui ménage le pasteur et le choux ?
Le facteur vient de m'apporter le dernier jugement rendu par Nanterre. Il est assez conforme à ce qui s'est dit à l'audience ainsi qu'à ce que ce « nouveau » juge pouvait rendre, eu égard à ce que ses prédécesseurs, quelques crevures et cafards ont construit. Le « placement » reste prorogé, encore aux frais des Hauts de Seine.
Pour le moment, je n'ai pas le temps de commenter ce jugement et ses motivations.
La Poste, en panne ?
Ce lundi, j'ai téléphoné au greffier, j'ai pu prendre connaissance - très approximative - de la décision qui vient d'être rendue par le « nouveau » juge pour enfant. J'attends maintenant de découvrir les détails du jugement et surtout ses motivations. Il devrait bientôt me parvenir, par la Poste.
J'ai le sentiment que ces derniers temps, le personnel habituel de la Poste - et autres - est en vacances. J'ai pu constater quelques retards et fonctionnements erratiques dans mon secteur. Je ne suis pas pressé, tout fini par arriver, même de Chine, des Etats Unis (j'attends une barrette de RAM) et de l'Allemagne.
La semaine passée, je me suis décidé à déclarer un pourvoi en cassation. Un email vient de m'informer qu'il a été « déposé » ce jour. Comme le « placement » de Justine vient encore d'être prorogé, ce pourvoi sera certainement admis. Les tiers « dignes de confiance » pourraient figurer parmi les défendeurs de ce pourvoi.
La précédente décision rendue par la cour de cassation m'avait donnée entière satisfaction.
Vacances
Depuis hier, la famille est au complet. En effet, après l'audience et les débats de ce jeudi, Justine est rentrée avec nous, pour tout l'été. Pour la rentrée et tout ce qui suivra, on verra bien. Le « nouveau » juge doit encore rendre son délibéré, il s'est donné 10 jours pour trancher entre diverses possibilités pour un proche avenir.
Ce juge pourrait avoir bien compris qu'entre moi, des travailleurs sociaux et d'autres professionnels ou tiers qui me traitent de malade depuis 6 ans, le courant ne passera jamais.