Catégorie: Non catégorisé
Résultats pour #euthanasie / Laisser ou faire mourir
A la suite, des tops, sur Twitter, pour cette recherche, #euthanasie, tels qu'ils apparaissent pour le moment à mon écran... Actuellement, la pétition sur www.avaaz.org, pour sauver Baby et Népal, compte 57 825 signatures. Hier, 21 décembre 2012, alors que la #FinDuMonde faisait beaucoup rire, nous apprenions que ces deux éléphants ont été condamnés.
La France se mobilise contre l' #euthanasie de deux éléphants à Lyon. Pendant ce temps on veut discuter celle des humains à l'Assemblée? :\
— Abbé Grosjean (@abbegrosjean) Décembre 21, 2012
Août 2012 / Lyon / #éléphants #euthanasie / Laisser ou faire mourir / La plus vieille éléphante d’Europe est morte leprogres.fr/rhone/2012/08/…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 23, 2012
Février 2011 / Lyon / #éléphants #euthanasie / Laisser ou faire mourir / Des éléphants atteints de tuberculose 20min.fr/a/670193
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 23, 2012
#Bugarach #FinDuMonde Le Maya est farceur #éléphants
#FinDuMonde #Bugarach "un poste médical avancé et une équipe médico-psychologique se tient prête à intervenir" lindependant.fr/2012/12/21/un-…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 21, 2012
#Bugarach #FinDuMonde Je devrais pouvoir survivre, j'ai un entonnoir, celui que j'utilise pour faire chier les juges justice.cloppy.net/index.php/epil…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 21, 2012
Ennuyeux, la censure, sur Twitter
Je ne suis pas le seul à subir des suspensions. Fréquemment, sur Twitter, des comptes utilisateurs apparaissent suspendus, ni utilisables, ni consultables par d'autres. Ce mercredi, c'était au tour du compte des Anonymous...
Flash Info
Twitter ferme le compte des Anonymous (MAJ)
Hier à 18h51, Mac4Ever
Malgré ses (presque) 700 000 followers, le compte @YourAnonNews vient d'être fermé par Twitter. Sur un autre compte (@Anon_Central), le groupe confirme la nouvelle, et donne quelques explications : Twitter affirme que le groupe aurait divulgué des informations privées et confidentielles, une pratique contraire aux règles d'utilisation. On imagine que l'affaire n'est peut-être pas aussi simple, il n'est jamais bon de se mettre les Anonymous à dos... [MAJ : le compte semble de retour, sans explication apparente.]
Pour le moment, ça va, cela ne s'est plus reproduit, mon compte Twitter reste actif. Mais deux suspensions, si proches et de façon arbitraire, sans précisions, sans aucun détail des motifs réels de la « sanction », c'était déjà de trop à mon gout ; la première suspension avait déjà failli me dissuader d'utiliser ce réseau. C'est ennuyeux, car lorsque ça vous arrive, l'intégralité des tweets disparaissent ; pour réapparaitre un peu plus tard. Même si je reste en grève, à vaquer à plein d'autres choses, m'y faire clouer le bec pendant 24 heures m’ennuie aussi. Les #MêmesDroitsPourTous... sauf le #droit d'exprimer des opinions plus contrastées sur Twitter, ni surtout des idées très franchement opposées
Mais j'ai pu remarquer un phénomène plus étrange que ces simples suspensions, comme une vrai censure, manifestement suite à des BL (blacklist). Car j'ai encore essuyé un BL ou plus, et en tweetant avec le hashtag #MariagePourTous ; suite à cela, j'ai remarqué que l'un de mes tweets apparaissait bien parmi les miens, mais pas sur le fil du hashtag.
Ce n'est pas la première fois que cela s'est produit. Je l'avais déjà observé avec un autre hashtag, mais sans vraiment approfondir ce qui apparaissait à mon écran ; j'utilisais alors deux comptes utilisateur différents. Je vais essayer de vérifier ce fonctionnement de Twitter, cette censure, car je pense que j’essuierais encore des BL...
Dans cet exemple qui suit, il manquait un tweet sous le fil #MariagePourTous, avant le #tweetprécédent : « Aucun rapport entre #MariagePourTous et la justice ? Et l'adoption alors, en cas de désaccords profonds ? » Des désaccords entre pères, mères ou parents, « pour un enfant », n'entraineront-ils jamais personne vers des prétoires ?
De tous mes tweets / plus grand | Sous hashtag #MariagePourTous / plus grand |
« Mon ex est une mère toute puissante »
NDLR : Un extrait de « TOUS EGAUX », Libération du 15 et 16 décembre 2012... « Mon ex est une mère toute puissante », le récit d'un #JoyeuxDivorce #gay ? J'ai du mal à saisir certaines revendications ou larmoiements des #LGBT, maintenant soutenus par le #PS. En des domaines tels que l'autorité parentale et divers droits, comme l'hébergement des enfants, les #LGBT n'ont-ils pas déjà acquis les mêmes droits ou peines que les hétéros ? Mais oui, c'est dur, ces histoires, et on le sait tous, et les socialistes très bien aussi, les tribunaux, ça fonctionne vraiment mal. Malgré tout, dans ces situations parfois très éprouvantes, il faut saisir un juge, faire appel, patienter, espérer, persévérer, insister, ou aller se faire soigner quand on est « pas content », etc, comme tout le monde. A quoi serviraient, sinon, les tribunaux, à sauver les éléphants du cirque Pinder ? Ils pourraient mourir
C'est quoi ce sketch? Ils sont déjà les mêmes droits que les hétéros, que veulent-ils de plus? #MariagePourTous #LGBT twitter.com/bkant/status/2…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 17, 2012
.@dassouline :« le PS appelle à la mobilisation le 27 janvier aux côtés des associations» bit.ly/TrgmOb
— Parti Socialiste (@partisocialiste) Décembre 17, 2012
Pages: 1 · 2
#MariagePourTous et surtout #égalité ?
Eh ben c'est du propre, cette histoire d'égalité. On a le droit de rire au nez des #LGBT, surtout lorsqu'ils geignent, car ils ne supportent déjà plus les discours de ceux qui s'opposent à leurs revendications ? Si ça continue sur cette voie, dans les prochains jours, mon compte Twitter va rapidement refaire #pschitt, car je vais railler d'avantage
#MariagePourTous #égalité contre l'homophobie affectant tant les #LGBT, des clichés misandres #LOL leparisien.fr/en-images-les-… twitter.com/bkant/status/2…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 16, 2012
Relaxé après avoir fait de l'ombre aux avocats
NDLR : Trouvé par hasard, avec Google, dans les archives du Parisien... et très instructif. J'espère que le nouveau portail imaginé et récemment mis en ligne par Orange, avec la presse française, sera aussi efficace pour brasser les archives ; sinon, tant pis. Je ne sais pas si le barreau de Meaux a fait appel, si le jugement serait confirmé ou non, ou si ce barreau a finalement renoncé à échouer dans ses procédures et démarches contre Louis Gazeau. L'un et l'autre auront peut-être renoncé, après un couac puis un jugement finalement rendu en février 2011. « Les avocats m'attendent au coin du bois », s'est amusé Louis Gazeau ? « Je regrette cette décision [NDLR : une relaxe, mais des frais substantiels pour Louis Gazeau]. Nous verrons si nous faisons appel », s'est interrogé le bâtonnier de Meaux. Je repense maintenant à ma présentation pour ndh2k11, chez Mickey, page 7, « Pas d'excuses, jamais, pour personne, voilà mon principe, au départ. En philosophie comme en politique, je suis pour toute théorie qui refuse l'innocence à l'homme et pour toute pratique qui le traite en coupable. », ou à Voies de justice, « Le châtiment, moyen de mettre hors d'état de nuire, moyen de prévenir les dommages ultérieurs. Le châtiment, moyen de dédommager, sous une forme quelconque, l'homme lésé (même sous celle d'une souffrance). ... » 3000 € de frais, pour Louis Gazeau, c'est élevé, presque une grosse peine, une souffrance, mais on peut tout de même considérer qu'il a « gagné » (avec le concours d'un avocat) ; et on ne l'y reprendra certainement plus ; même s'il ne doit pas d'indemnités à Louis Gazeau, cette relaxe, après un couac et plus de « cinq à six mois » de procédures, était embarrassante pour le barreau de Meaux ?
Actualité > Seine-et-Marne
Jugé pour « avoir fait de l'ombre » aux avocats
Le Parisien | Publié le 04.03.2010
«J'ai obtenu en cinq ou six mois ce qu'ils n'arrivent pas à faire en cinq à six ans! » s'emporte Louis Gazeau. A 71 ans, ce gérant d'une société de recouvrements — Services recouvrements conseils (SRC) — comparaît aujourd'hui au tribunal sur reconnaissance préalable de culpabilité : le barreau de Meaux a déposé une plainte à son encontre pour exercice illégal de la profession d'avocat.
Fucked, mon compte Twitter
Il semblerait qu'après mes échanges avec des militants pro #MariagePourTous, avec des pros du droit, avec des journalistes, avec des militants pro Mediapart ou contre Jérome Cahuzac, etc, quelques twittos auront eu raison de mon compte, à force de me BL. Parmi ceux qui auront remporté la suspension de mon compte, là bas, sur Twitter, je suis sûr que beaucoup militent également en faveur de la liberté de pouvoir dire absolument n'importe quoi, sur Internet, dire n'importe quoi aussi via des journaux, à la télé, exprimer n'importe quoi dans Paris (mon blog y est hébergé, depuis toujours), au cours de colloques, de manifestations ou de rassemblements, ainsi qu'à la radio, pourvu que les discours leurs plaisent, abondent dans des sens bien particuliers...
Les « railleries » et les « critiques » seraient propres à la dynamique de Twitter, et c'est vrai, qu'est-ce qu'on en essuie parfois, sur la toile, plus globalement ! En consultant les archives Twitter, il est possible de constater que j'y échange avec des gens d'horizons et milieux divers, qu'on m'y répond parfois. J'ai souvent essuyé des BL aussi, et commencé à percevoir des problèmes plus sérieux, ce 5 décembre, alors qu'on nous annonçait l'arrivée imminente du pape... Le dernier tweet du soir, à mon attention ; je discutais avec CG, mais ce que je répondais pouvait irriter, et mon compte a donc fait #pschitt ; je ne pense pas que ce soit pur hasard, bien que juste avant, je « polluais » encore #cahuzac :
@bkant Vous ne discutez pas. Je vais choisir de ne plus vous écouter.
— CG. (@au4emeTop) Décembre 14, 2012
Quelques minutes avant cette suspension du jour, parlant du Code civil, CG m'y lançait « Ecoutez ceux qui veulent le changer aujourd'hui ». Devrais-je vraiment, moi-même, me contenter d'écouter, juste d'écouter, passivement et sans jamais réagir, « écouter » ou lire des tweets qui défilent, comme des vaches voient passer des TGV ?
@bkant Ecoutez ceux qui veulent le changer aujourd'hui.
— CG. (@au4emeTop) Décembre 14, 2012
Voyons ce que me répondra Twitter, car j'ai évidement écrit à leur support, pour obtenir le rétablissement de mon compte, près de 20 000 tweets. Ca pourrait prendre un peu de temps, « quelques jours » ; mais je m'en fous des délais, ça me fera des vacances, alors que je suis et reste de toute façon en grève.
Si nécessaire, en échangeant avec ce support, je rappellerais un extrait de l'arrêt CEDH Fressoz et Roire c. France, requête n° 29183/95, il est à mon avis toujours d'actualité : « La liberté d’expression constitue l’un des fondements essentiels d’une société démocratique. Sous réserve du paragraphe 2 de l’article 10, elle vaut non seulement pour les « informations » ou « idées » accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent : ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance et l’esprit d’ouverture sans lesquels il n’est pas de « société démocratique » (arrêts Handyside c. Royaume-Uni du 7 décembre 1976, série A n° 24, p. 23, § 49, et Jersild c. Danemark du 23 septembre 1994, série A n° 298, p. 26, § 37). »
Merci !
Votre demande a été transmise à Twitter. Nous répondons habituellement sous quelques jours, mais certaines questions prennent parfois plus de temps.
Vérifiez dans votre messagerie électronique que vous avez reçu un message du support Twitter. Si vous ne le voyez pas, essayez de vérifier dans vos dossiers de courrier indésirable ou supprimé.
McAfee s'attend à pouvoir « bientôt » rentrer libre aux Etats-Unis
NDLR : Plein de bruit autour de ce pousseur du RER A... et donc, la mort d'un voyageur, « un drame qui aurait pu être évité », c'est ce qu'annonce en tous cas Metro. En suivra-t-il autant pour cet enfant, passé par la fenêtre, fin 2009, à Orly, dans le Val-de-Marne ? Peut-on à nouveau se promener librement, à Plougastel ? J'ai pu louper quelques brèves, je ne suis pas toujours toutes ces chroniques ou déferlantes. A Pau, sinon, les investigations et expertises ont-elles pu progresser ? Plus de 10 jours se sont écoulés, la maman est-elle enfin « moins dépressive » ? Voir également Cynisme et droit, rubrique Sorties... Ne pas louper non plus Le Net, c'est du chinois, puis surtout se souvenir ou bien noter que je suis et je reste en grève. De toute façon, en ce moment, tout le monde est occupé, à soutenir, à blanchir, ou par de simples rumeurs qui salissent Jérome Cahuzac, voire par un traitement de plainte qui pourrait se révéler tout à fait banal. Dans ce même billet « virtuel » ou furtif, je note enfin que Bamberski n'a pas la langue dans sa poche, et j'entends maintenant grelotter ou grommeler « on a froid ! »
Pousseur du RER A : le drame aurait pu être évité
Créé 11-12-2012 19:19 | Mis à jour 11-12-2012 21:53, Metro France
PROCES - Ahmed K., l'homme qui avait causé la mort d'un voyageur sur le RER A en avril 2010 comparaît aux Assises de Paris depuis mardi. Schizophrène, l'accusé n'observait plus ses traitements et les appels au secours de sa mère étaient restés lettre morte.
Malgré ses appels répétés et ses craintes manifestes, elle n'a jamais obtenu gain de cause. Son fils, Ahmed K. qui comparait depuis ce mardi et jusqu'à jeudi aux assises de Paris, a fini par commettre l'irréparable.
Le 2 avril 2010, peu avant 6 heures, le jeune de 29 ans causait la mort d'un voyageur en lui portant un coup de pied dans le dos alors que ce dernier attendait comme chaque jour le RER A à la gare de Lyon (12e arrondissement). Percuté par une rame qui entrait en gare, ce Sri-lankais quinquagénaire, père de quatre enfants et agent de nettoyage au Lido, a été retrouvé mort sur le quai, baignant dans une mare de sang, le crâne fracassé.
Cahuzac contre Mediapart : l'enquête est ouverte
NDLR : Une solution, délier UBS du secret bancaire ? Le Temps semble avoir approfondi cette piste... Je reprend surtout note d'une ancienne opinion Suisse, à propos de secrets ou de cachoteries bancaires, car elle pourrait à nouveau être d'actualité : « Notre devoir consiste à protéger les créanciers et la stabilité du système financier. » Ce 7 au soir, nous avons pu lire une opinion présentant quelques similitudes, sur le site de l'Express : « Le secret bancaire n'est pas là pour protéger l'intéressé ». J'attends maintenant la suite, très probablement quelques publications encore, puis des analyses des méthodes d'investigation, des publications, des éléments de preuves et des interprétations de Mediapart, par la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Sauf nullité ou autre couac, parfois ça arrive, une réponse devrait suivre ; car « Truffé de pièges juridiques, le droit de la presse est une matière redoutable. » Et j'en reste, comme d'autres, aux déclarations ainsi qu'au démenti de Cahuzac, devant l'Assemblée. Pour en rire plus, voir également « C'est pas possible », m'a répondu Renaud Van Ruymbeke... ainsi que Journée du soutien des journalistes et des commentateurs opprimés. Inutile de me faire savoir que un blog peut faire chier ; maintenant, j'imagine un monde différent, dans lequel Mediapart, un canard, ou un organe quelconque n'aurait qu'à « dire » et « expliquer », qu'à prêcher, sans preuves ni jamais aucun débat dignes de ce nom, et nous tous, qu'à croire
Actualité > Politique
Cahuzac contre Mediapart : l'enquête est ouverte
Le Point.fr - Publié le 07/12/2012 à 18:30
Le ministre délégué au Budget est accusé par le quotidien en ligne d'avoir détenu un compte secret en Suisse.
Le parquet de Paris a ouvert vendredi une enquête préliminaire après la plainte en diffamation déposée par le ministre délégué au Budget, Jérôme Cahuzac, contre Mediapart, qui l'accuse d'avoir détenu un compte secret en Suisse, a annoncé une source judiciaire. En matière de droit de la presse, une telle enquête est formelle. Il appartiendra au tribunal correctionnel de se prononcer sur le fond et de dire si les faits de diffamation sont caractérisés.
Mort du métro : le photographe se défend
NDLR : Voilà, ce photographe a bien raison, et j'aurais sûrement pu prendre la même photo que lui. Qui a récemment fait des efforts ou pris des risques pour aider cet individu à remonter sur le quai ? Personne. On a tous pu oublier déjà l'histoire de Yue Yue ; voir Fillette happée en Chine : vers une indignation mondiale ? Ce 20 novembre dernier, à Paris, des associations nous expliquaient qu'en France, environ 400 à 700 enfants meurent tous les ans, #victimes de maltraitance ; j'aurais pu me rendre à leur rassemblement, répondre à leur appel, j'étais disponible, mais je n'en ai donc même pas pris des photos. En 10 ans, je l'ai très bien étudié et éprouvé, ce dispositif supposé « sauver » ou protéger les enfants ; et je me documente encore. Pourtant, en y réfléchissant bien, depuis la fin 2009 et face à tant d'indifférences, face à beaucoup de mauvaises fois aussi, je ne milite plus, plus du tout comme par le passé ; je me contente même de rester en grève, les bras croisés #FuckYou (very much)
LE FLASH > Actualité
Mort du métro: le photographe se défend
AFP Publié le 05/12/2012 à 19:49
"Si ça se repassait dans les mêmes circonstances, que j'aie un appareil photo ou non, si j'avais couru vers lui, je n'aurais absolument pas pu sauver M. Han", poussé sur la voie quelques secondes plus tôt, a déclaré Umar Abbassi sur la chaîne de télévision NBC, expliquant qu'il était "trop loin" lorsque le métro est arrivé.
"Les gens qui étaient près de lui auraient pu l'attraper et le remonter", a également affirmé le photographe pigiste. "Mais personne n'a fait l'effort". "Les gens qui étaient peut-être à 30 ou 40 mètres de lui, il n'ont pas essayé de l'aider", a-t-il insisté.
Cahuzac dément avoir eu un compte en Suisse
NDLR : Il fallait le « sauver », cet inconnu tombé ou projeté sur les voies ? « Aide toi, va faire fait appel, et DIEU t'aidera ». Finalement, je ne fais quasi plus que cela, comme ce pigiste, pour le NYPost. Depuis deux ans ou plus, je prend principalement quelques photos, je lis la meute, je feuillette des livres ou je rassemble des coupons de presse ; je m'amuse ; surtout lorsque je constate que des gens comptaient encore sur des prétoires pour résoudre leurs problèmes ! J'aurai bien eu des choses plus intéressantes à faire ou même à exposer, ce qui n'intéressait personne, ou si peu. Mais bonne chance à tous, surtout à ceux qui croient, ou à ceux qui se précipiteraient.
ACTUALITÉ > International
La photo d'un fait divers scandalise New York
Mots clés : Etats-Unis
Par lefigaro.fr
Mis à jour le 04/12/2012 à 21:53 | publié le 04/12/2012 à 19:47, extrait
Un pigiste du New York Post a photographié un homme juste avant qu'il ne meure, poussé sur les rails du métro. Un cliché qui déclenche l'indignation des Américains, pour qui le journaliste aurait dû essayer de le sauver au lieu de le photographier.
Photographié juste avant de mourir. La mort d'un homme poussé sous une rame de métro a suscité mardi une violente indignation à New York. Le tabloïd New York Post a choisi de publier en Une la photo de la victime, sur les rails: l'individu porte une veste verte, regarde le train qui s'approche, avec le titre «Condamné» en lettres majuscules. «Poussé sur la voie, cet homme va mourir», ajoute le quotidien en grosses lettres.
Les familles d’accueil, autres #victimes de l’Arche de Zoé
NDLR : Voir également Ma vérité, le livre d'Eric Breteau et surtout Razzia... De quoi toutes ces familles d'accueil « bernées » par l'Arche de Zoé pourraient-elles avoir « honte » ? Contourner le droit, mentir, tricher, prélever ou rafler des enfants, dans leur intérêt supérieur, c'est assez courant et toléré, habituellement encouragé, même, non ?
Actualité > France
2/12/12 - 17H44 mis à jour le 2/12/12 - 17H58, la Croix, extraits
adoption | justice | procès
Les familles d’accueil, autres victimes de l’Arche de Zoé
Les responsables de l’Arche de Zoé, qui s’étaient lancés dans une croisade humanitaire au Tchad en 2007, comparaissent lundi 3 décembre devant la justice pour « escroquerie ». [...] Sur les 358 familles d’accueil « victimes » de l’escroquerie humanitaire, seule une quinzaine se sont constituées parties civiles. « Les autres éprouvent sans doute une certaine honte à s’être laissées ainsi berner et à avoir participé à un tel projet », explique Guillaume Le Maignan, avocat de l’association Enfance et famille d’adoption.
MARIE BOËTON
Une avocate marseillaise égorgée dans son étude
NDLR : Evidemment, un meurtre d'une avocate, c'est assez terrible, comme ceux de notables, en Corse. Mais dans l'information immédiate et « éphémère », « tout se perd et tout se vaut », nous a dit le collégien Darcos ; on doit juste être passif devant ces flux d'images et d'informations, on doit voir défiler les tweets, les coupons de presse ou voir passer les billets de blogs comme les vaches voient passer les TGV
Accueil > TopNews
Une avocate marseillaise égorgée dans son étude
Créé le 30-11-2012 à 23h45 - Mis à jour à 23h45, NouvelObs
MARSEILLE (Reuters) - Une avocate a été retrouvée vendredi la gorge tranchée dans son étude du centre-ville de Marseille, a-t-on appris de source policière. Le corps de la victime a été découvert dans l'après-midi par son associé dans leur cabinet de la rue Saint-Ferréol, la principale artère piétonne de la ville. Me Raymonde Talbot, 65 ans, était spécialisée dans le droit des personnes, de l'immobilier et du commerce. Elle avait prêté serment en 1981. L'enquête a été confiée à la police judiciaire. "Il s'agit manifestement d'un acte criminel, d'un homicide", a affirmé à la presse le procureur de la République Jacques Dallest, qui s'est rendu sur les lieux. Le magistrat a précisé que la victime avait été atteinte de plusieurs de coups donnés à "l'aide d'un objet tranchant", vraisemblablement un couteau, à plusieurs endroits du corps. La victime présentait une plaie plus profonde au niveau de la gorge qui pourrait être, de source proche de l'enquête, à l'origine directe de la mort de l'avocate. Les enquêteurs, qui n'excluent aucune piste, ont saisi plusieurs bandes vidéo de caméras disposées dans cette rue très commerçante de Marseille.
Jean-François Rosnoblet, édité par Gérard Bon et Danielle Rouquié
Ni putes ni soumises : « ce qui tue, c'est l'indifférence »
Les temps changent. D'après ce que j'avais fréquemment lu par le passé, promu dans toute l'Ile-de-France, y compris dans ses commissariats, c'était plutôt la violence qui tuait, lorsqu'on se tait. Je ne peux une fois encore qu'approuver, je suis plutôt d'accord avec NPNS ou ces militantes et leurs graphistes, « ce qui tue, c'est l'indifférence » ! On fini par rire de toutes ces belles paroles, intentions et slogans, ou campagnes en faveur des femmes victimes - que j'ai souvent trouvé très peu bavardes, voire très franchement indifférentes lorsque je leurs parlais de mes difficultés « d'ordre privé » ou des problèmes auxquels ma fille aînée était elle-même confrontée. En 2005, les travailleurs sociaux de l'OSE France expliquaient à ma fille et aux juges qu'elle « cherchait » ces coups... J'espère qu'en me lisant, ces militantes #NPNS et des féministes ne vireront pas à couleur « rouge de rage »
Je pense avoir marqué plus d'un esprit au cours des années passées, par des publications ainsi qu'au cours de nombreuses sorties, en discutant, ou en m'exprimant en public. Mais je n'irais pas jusqu'à dire que tout le monde sait ou se souvient. Hier, j'étais au Palais Bourbon, l'Assemblée nationale, pour une journée organisée et proposée par DEI-France. DEI France paraissait se souvenir encore de moi ; je ne les avais plus croisé depuis 2010. D'hier et de ma réplique au Défenseur des droits, j'espère qu'un mot sera bien retenu : « fossoyeur » !
Ce 24 novembre, dans le salon Colbert, le Défenseur des droits, Marie Derain pour l'enfance, intervenait pour nous parler du « rôle de l’Etat comme garant des normes de droit nationales et internationales ». Marie Derain ignore probablement tout de la Moldavie française... Après son intervention, dans le cadre des débats avec la salle, un juge de proximité engagé a pris la parole pour nous expliquer qu'il faudrait que les parents suivent des cours de droit ; ça ira, merci, j'ai bûché assez de droit au cours des années passées ; mon sang n'a fait qu'un tour. J'ai attendu que ce juge finisse de s'exprimer, puis j'ai pris la parole. Après m'être sommairement présenté et avoir rappelé qu'entre 2005 et 2006 le Défenseur des Enfants me renvoyait encore vers des tribunaux, j'ai répliqué à Marie Derain : « Etat fossoyeur ».
Conclusion off de la journée DEI France, a l'Assemblée, ou mon intervention en public a pu agacer : « - oui on sait qu'il y a des gens qui appliquent mal le droit. - dans l'indifférence », précisément. Je reste maintenant moi-même en grève ; qu'on ne me sollicite plus d'aucune façon, ni pour une cause, quelle qu'elle soit, ni pour aucun cas particulier #FuckYou
Quant à toutes ces femmes battues, violées, victimes ou supposées telles... n'y soyons tout de même pas insensible. Qu'elles aillent porter plainte, qu'elles saisissent des juges, qu'elles consultent des avocats ! Déposer une plainte au commissariat, en 2005, m'avait pris 3 ou 4 heures : 20 minutes pour l'enregistrer, le reste du temps pour contraindre les flics et le parquet, ils la refusaient. Au téléphone, le parquet aux OPJ : « enregistrez la, on verra ce qu'on en fera ». Résultat : sans suites connues. Oui, car un moment, les OPJ en avaient eu assez de m'entendre, ils ont appelé le magistrat de service ; ça pouvait me dissuader. C'était une plainte contre X, je crois, mais bien dirigée contre @OSE_France et l'un de leurs Directeur de MECS. « On ne porte pas plainte contre ces maisons ! » Est-ce que ma plainte était alors bien motivée, justifiée et argumentée, étayée par des preuves, solides et concrètes ? Oui, bien sûr ; je disposais d'écrits divers, et les faits étaient encore plutôt embarrassants pour les travailleurs sociaux
Violences faites aux femmes : Ni putes ni soumises lance une campagne choc !
22/11/2012 | 17:48, Marie Claire
A l'occasion de la journée contre les violences faites aux femmes qui se déroulera le 25 novembre prochain, Ni putes ni soumises lance une campagne choc afin de sensibiliser le grand public...
Un militant condamné à s'excuser 100 fois sur Twitter
NDLR : Voir aussi Arnaud Dassier mis en examen après la publication d'un tweet... rien qu'un. Pas question que je m'excuse un jour, pour un tweet, pour un billet, pour des conclusions poussées dans des prétoires, une correspondance à un Ministre ou à une personnalité, ni pour quoi que ce soit d'autre que j'ai pu écrire, publier ou exprimer en public. Que je m'en explique un jour, peut-être, mais il n'y aura aucune excuse de ma part, jamais. Et dans le pire des cas, c'est à dire, si quelqu'un décidait de me trainer un jour dans un prétoire, je ferais comme Montebourg face à Madame Woerth : je maintiendrais mes discours et développements, avec plaisir.
Internet et jeux en ligne... Twitter
Un militant condamné à s'excuser 100 fois sur Twitter
Par: Anthony Fino
14/11/12 - 14h29, 7sur7
Un militant malaisien accusé d'avoir répandu sur Twitter des propos diffamatoires à l'encontre d'une société a été condamné à rectifier ses dires et réitérer ses excuses 100 fois.
La "punition" infligée par la justice malaisienne au militant Fahmi Fadzil pourrait faire jurisprudence, tant les rumeurs colportées sur les réseaux sociaux ont aujourd'hui le pouvoir de porter atteinte à la crédibilité d'une société ou d'un particulier. En effet, quand une accusation infondée fait le tour du Web, la méfiance générée peut rapidement affecter le chiffre d'affaires d'une entreprise et nécessiter le cas échéant une nouvelle campagne de communication pour rectifier le tir.
La justice malaisienne a condamné de manière originale le militant Fahmi Fadzil...