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A faire, ces prochains temps
J'ai plusieurs choses à faire un jour :
• Fixer une applique, un peu de bricolage...
• Rédiger une correspondance « privée » aussi,
• Faire couiner ou sourire encore, par exemple, à TF1 ?
Sur ce troisième point, je crois que c'est en bonne voie, mais je vais y réfléchir encore. Les discours de guerre, je les réserve pour d'autres histoires, je pense qu'ils ne seront pas utiles pour cette affaire là. Le « dossier » est bien différent. Ce ne sont pas mes enfants ni ma famille. Je ne me soucie pas du nombre de mes lecteurs tandis que d'autres comptent leurs fidèles, parfois même, sur leur générosité. Je vais être prudent, comme à d'autres occasions. Je ne tiens pas à ravager le travail déjà accompli, sur de très longs mois et même sur plusieurs années. Par le passé, pour d'autres familles et enfants, tout s'était très bien déroulé, ce qui pourrait déjà rassurer à TF1 et peut-être même, dans les Alpes Maritimes.
Au cours de ces derniers jours, j'ai souvent communiqué avec cette mère qui alimente ce blog, SOS Villages de Marly. On en avait un peu discuté en novembre dernier aussi, sur la toile, alors qu'elle avait déjà fourni beaucoup d'efforts. Elle semble être très motivée, c'est assez rare. Puis elle a donc reçu des correspondances et enfin, une mise en demeure.
Je pense que d'ici quelques jours, elle devrait être plus calme, un peu plus assurée aussi. Pour le moment, tout en envisageant l'avenir, cette mère se dit encore « colérique », elle également. Mais elle n'est pas seule, ce qui pourrait un jour faciliter quelques échanges ou discussions. Ailleurs, je pense que des gens réfléchissent aussi. En tous cas, cette mère attend aujourd'hui une éventuelle réponse à une correspondance qu'elle affirme avoir envoyée à un cabinet d'avocats représentant les intérêts de l'association SOS Villages d'Enfants. Cette correspondance a été vue par un avocat du barreau de Paris et depuis ce week-end, le blog de cette mère semble avoir suscité la curiosité.
Je connais un peu cette association, SOS Villages d'Enfants. L'un de leurs responsables, représentant ou éducateur participait au colloque de parents organisé en octobre 2008, par le Fil d'Ariane : après 10 ans, quel bilan ? Au retour de ce colloque, j'ai publié un compte rendu dans lequel je n'ai pas tout écrit, commenté ou développé. A l'époque, j'aurais souhaité parler, intervenir, répondre un peu aux uns et aux autres, mais ça n'a pas été possible. Aujourd'hui, je pense que tout est encore différent.
Retour sur... la cassation, encore
Il me semblait bien avoir lu une allégation étrange dans l'arrêt rendu ce 15 courant, par Versailles. « Considérant que les moyens développés par M. KANT visant à remettre en cause, par delà le jugement du 16 juillet 2009, des décisions antérieures à présent définitives, ne seront pas retenus » ? Je viens d'avoir une brève conversation téléphonique avec mon avocat à la cour de cassation. Il me confirme qu'il a bien déposé un mémoire puis, qu'un jour, une quelconque décision sera rendue. En effet, l'arrêt rendu en mai dernier, par Versailles, a bien été soumis à l'appréciation de la cour de cassation. J'ai également pu constater qu'il n'y a pas le moindre « malentendu » entre cet avocat et moi.
En décembre 2008, Maître Eolas m'avait encore répondu : « si t'es pas content, vas te faire soigner ». A peine plus tard, la cour de cassation rendait un arrêt que la cour d'appel de Versailles semble avoir balayé, me suggèrant depuis, par deux fois, « d'aller me faire soigner » après m'avoir recommandé d'abord de me « faire mieux conseiller ». Entre temps, c'était aux proches ainsi qu'a la famille Halimi « d'aller se faire soigner » aussi ; ils ont eu le droit de faire appel, le parquet se serait ému, mais tout de même, le Docteur Daniel Zagury pourrait un jour confirmer que de nos jours, tout se soigne. L'an dernier, j'ai fini par répondre avec un extrait d'un son de Lilly Allen : « Fuck you, very much... » Après la sensure de Maître Eolas, début décembre 2008, a suivi la censure. Mais j'admets que j'avais ensuite poussé le bouchon assez loin, dans son blog, comme assez souvent là bas, surtout, peut-être, en répondant plus tard à Gascogne, sauf erreur, un procureur à moins qu'un substitut. J'en ai conservé quelques notes.
Je ne vois pas pourquoi j'irais « me faire soigner ». En effet, je suis plutôt satisfait par toutes ces décisions « de justice », je ne compte même pas soumettre le dernier arrêt de Versailles à la cassation, il est très bien ainsi.
Une manifestation pour « sauver » le Val de Marne
Ce soir, sur France Info, j'ai entendu que les journalistes du Parisien ne s'afficheraient pas sarkozistes. Je constate qu'ils pourraient savoir ce qu'est « un lobby ». Selon quelques rumeurs du jour, seul le Figaro aurait apprécié la prestation d'hier soir, sur TF1. En arrivant dans le secteur du centre culturel d'Orly, je me suis arrêté au café du coin ; la une du Parisien du secteur était assez similaire à celle du 9-2 : « des promesses ». Un peu plus tard, l'adjoint à la culture de la ville d'Orly me confirmait que le Val de Marne avait manifesté ce jour. Là bas, les impôts locaux devraient augmenter au cours de cette année 2010. Leur conseil général vient encore d'assigner l'Etat, selon ce que j'ai lu dans le cahier du coin.
J'ai encore discuté de ce qui s'était passé dans ce quartier, un peu avant nouvel an. Là bas, certains semblent se dire qu'il s'agit d'un fiasco de la psychiatrie ou peut-être d'un fâcheux accident. Un peu avant cela, j'ai entendu qu'un juge de Nanterre ferait de la résistance... « Y a-t-il un problème avec une juge d'instruction » ? Si la famille du défunt, des pétitionnaires, signataires et leur avocat insistent, Nanterre pourrait un jour d'abord réclamer quelques expertises psychiatriques ? Pourquoi s'appesantir puisqu'on nous a déjà dit que l'irrégulier s'était « cogné la tête seul » ? Je vais finir par croire que dans ce pays, il faut être nombreux, tout un troupeau, pour que sa justice s'émeuve un jour.
RTL info | 24 janv. 2010 | Màj 25 janv. 2010 00h05, extrait et le son
Mort d'un sans-papier en garde à vue : la justice bloque-t-elle l'enquête ?
Y a-t-il un problème avec une juge d'instruction de Nanterre, chargée d'enquêter sur la mort d'un sans-papier malien le 24 janvier 2005 ? Cet homme, interpelé pour séjour irrégulier, est décédé durant sa garde à vue à Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine. La version des policiers ne correspondrait pas avec celle des médecins légistes, mais la juge n'aurait pourtant pas donné suite.
Mes meilleurs voeux pour 2010 !
Je vais faire part de mes voeux, il n'est pas trop tard, janvier n'est pas encore passé. J'expédie des cartes à l'attention de la Direction de l'ARSEA Alsace, à Ostwald également, à l'attention de Monsieur Thomas Resch, à la Direction de l'Agence France Presse ou Frousse, à la Direction de l'Oeuvre de Secours aux Enfants France, ainsi qu'au Garde des Sceaux. La Poste pourrait tout éparpiller, seule sa chancellerie devrait recevoir un RAR. Je pourrais faire plus, d'autres RAR, mais c'est déjà bien trop de frais. Quant à mes lecteurs, je leurs souhaite bien évidemment aussi une bonne année 2010 !
Les résidents de l'Elysée n'en recevront pas, je leurs ai déjà fait part de mes voeux, ce 21 janvier.
Un arrêt du 15 janvier 2010, rendu par Versailles, et des voeux
Peut-on interjeter appel contre une lettre du juge des enfants ?
Je pense que je ne pourrais pas me contenter de l'édition de 2003 du guide de la protection judiciaire de l'enfant, de Michel Huyette. Il me faudra également toutes ses mises à jour, puis je devrais partir à nouveau fouiner dans de bons classeurs de jurisprudence, comme je l'ai déjà fait, par le passé. On apprend beaucoup, sûrement de trop.
Il y a peu, à la cour d'appel de Versailles, je souhaitais faire appel de deux correspondances que le juge pour enfant de Nanterre m'a adressé, entre septembre et décembre 2009. Je le précisais bien dans les conclusions que je remettais à la Cour et auxquelles celle-ci me répondait, dans son arrêt rendu ce 15 janvier 2010. La cour a déclaré mon appel de la correspondance du juge pour enfant datée du 21 septembre 2009 « irrecevable », ce qui ne me surprend pas trop. En effet, par cette correspondance, le juge pour enfant m'informait qu'il demandait d'abord une note d'information, à l'ARSEA ; il s'agissait donc bien d'une mesure d'instruction.
Je souhaitais également faire appel d'une correspondance du juge pour enfant datée du 3 décembre 2009, mais je crois que c'était bien trop demander à la Cour qui ne la mentionne d'ailleurs même pas dans son arrêt daté du 15 janvier. J'ai vérifié ; vu la proximité des dates, il se pourrait bien que je n'ai pas déclaré l'appel de cette correspondance au greffe de la chambre des créatures inférieures. Ce ne serait donc qu'en raison d'une banale et simple erreur de procédure que je n'ai pas pu faire appel de cette correspondance du 3 décembre 2009 du juge pour enfant. Mais ce n'est pas grave, je vais me flageller et faire avec, comme je l'écrivais déjà dans mes conclusions déposées ce 11 décembre dernier, à Versailles.
Je crois qu'il faut être très pointilleux et extrêmement rigoureux lorsque le juge pour enfant est saisi ; on ferait encore fausse route. Or, pour les parents, la représentation n'est pas obligatoire lorsque le juge pour enfant est saisi.
C'est assez drôle car le Docteur Magalie Bodon-Bruzel ainsi que des magistrats professionnels du coin seront les premiers à me reprocher d'être d'une « rigidité absolue » et de refuser aussi de « collaborer » avec la Dass. Si j'avais pu faire appel de ces correspondances du 21 septembre et/ou du 3 décembre 2009, l'issue, ce 15 janvier 2010, aurait peut-être pu être différente ? En effet, la Cour elle même considérait qu'il y a des éléments nouveaux au dossier « d'assistance éducative », des écrits, dont un rapport de l'ARSEA du 27 novembre 2009, ils ont été versés depuis la rentrée de septembre 2009. J'aurais maintenant sûrement de bonnes raisons de ressaisir un jour le juge pour enfant de Nanterre.
Par le passé, peut-être fin 2007, mais dans un autre secteur géographique de ce même pays, un parent avait fait appel d'une simple correspondance d'un juge pour enfant ; je lui avais apporté quelques uns de mes éléments. Il n'avait ensuite pas été confronté à de telles difficultés. Au printemps 2008, j'envisageais moi aussi de faire tout simplement appel d'une très vulgaire lettre que le juge Xavier Serrier m'avait adressé, mais j'y avais finalement renoncé ; je pense qu'à l'époque, j'ai très bien fait de m'engager sur la voie de la procédure de prise à partie, j'ai aussi beaucoup appris.
Peut-on interjeter appel contre une lettre du juge des enfants ?
Guide de la protection judiciaire de l'enfant, mise à jour, extraits
Le code de procédure civile, dans son article 1191 mentionne que "Les décisions du juge peuvent être frappées d'appel". Habituellement, l'énoncé de ce principe ne pose pas de difficultés majeures... [...] Si souvent cette façon de procéder est légitime (en cas de simple demande de enseignement par exemple), une réelle difficulté apparaît si le juge apporte dans un courrier une réponse qui aurait dû être donnée sous la forme d'une décision judiciaire, alors susceptible de recours. [...] Cela confirme que l'appel est possible contre une véritable décision juridictionnelle notifiée à tort dans une simple lettre par le juge des enfants.
« Courage, pensons », nous lançait Onfray ? Où a-t-il bien pu aller chercher cela ? Je revisitais des pages sur Anastasie, lisant après encore du Foucault sur la minorité et l’âge du consentement, ainsi que du Kant (Emmanuel). Onfray a-t-il des enfants ? Ont-ils été raflés par la Dass, pour qu'ils puissent être confiés à un bon pasteur, à un curé ou à un rabin ?
Antimanuel de philosophie : leçons socratiques et alternatives,
par Michel Onfray, 2001, 334 pages, extraits sur Google books
Voilà qu'Anastasie s'avance, avec ses ciseaux menaçants ?
Je viens de recevoir une correspondance par mail qui peut encore faire penser à quelques contrées étrangères ainsi qu'à des périodes assez sombres. Mes échanges téléphoniques confirment comme un sérieux problème, peut-être une simple tentative d'intimidation, voire même, bientôt, le muselage d'une mère ? Gênerait-elle tant, réellement ?.
Cette mère a ouvert un blog, il y a longtemps déjà, SOS Villages Marly. Elle y expose ce qu'elle perçoit de la situation de ses enfants, placés, sur décision de justice. La plupart de ses billets et des écrits qui y sont publiés sont datés de l'hiver 2009. Il y a quelques temps, l'association SOS Villages d'Enfants a fait l'objet d'un petit reportage à la télévision. Cette mère a réagit. Ce 20 novembre 2009, à l'occasion des 20 ans de la CIDE, elle a distribué des tracts. Depuis, cette mère affirme qu'elle subit de plus en plus de pressions du fait de ses publications, sur son site Internet et dans son blog.
Elle n'a quasiment pas de visiteurs, le compteur qu'elle affiche sur son site a péniblement passé le cap des 5 000 pages lues, en un an. D'après mes statistiques, aujourd'hui, mon blog diffuse en moyenne plus de 4 000 pages par jour, à près de 700 butineurs (dont des moteurs de recherche, des robots et des aspirateurs ; les chiffres qui s'affichent ici sont un peu quelconques, juste indicatifs). Aujourd'hui, cette mère affirme avoir reçu une seconde lettre de mise en demeure, cette fois-ci de la part d'un cabinet d'avocats. Elle est mise en demeure « de cesser sous 48 heures tout usage et/ou mention » du nom « SOS Villages d'Enfants », ce qui peut effrayer. Pour le moment, cette mère n'envisage pas la modification du contenu de son site Internet et de son blog. Cette histoire pourra-t-elle s'arranger ? Ce n'est pas sûr, voir un coupon du Canard, dans cet ancien billet : La République et les blogs : « je t'aime... moi non plus ».
Ce soir, avant de communiquer avec des soutiens de cette mère, à Orly, au centre culturel Aragon-Triolet, j'ai découvert un texte de Dea Loher, mis en scène par Brigitte Barilley, Innocence, qu'il faudrait plutôt traduire par « non coupable ». La lecture était suivie d'un échange avec le public. Je me suis d'abord tu pour écouter ce que d'autres allaient en dire, comment les débats allaient évoluer. Assez rapidement, il a été dit qu'il ne faudrait pas percevoir des personnages désespérants, que toute pensée ou conclusion nihiliste serait à proscrire. L'une des actrices nous a ensuite appris qu'elle était allemande, qu'après la guerre, cette société avait subie de très fortes pressions. Selon l'un des acteurs français qui se référait bizarrement à mai 68, les personnages de Lea Doher pouvaient être perçus comme autant de satellites gravitant plus ou mois simplement les uns autour des autres. J'ai perçu tout autre chose.
En premier lieu, je me demande quelle est cette tendance à condamner d'abord le nihilisme et ces courants désespérants, il est possible de rire de telles pièces et personnages. Récemment encore, un article dans Marianne ainsi qu'un article sur rue89 tendaient aussi à condamner de telles pensées ou lectures de ce que l'humanité nous donne à observer. Il pourrait être temps de relire Nancy Huston, ses Professeurs de désespoir, mais aussi ceux qu'elle critiquait ainsi que certains qui lui ont répondu. Selon la rumeur, un ouvrage de Jean Améry publié en 1976 aurait suscité une vague de suicides en Allemagne. Au cours de cette pièce de Lea Doher, le suicide a un moment été présenté comme étant un pas vers l'orgasme éternel... Sa « tour des suicidés » pourrait bien exister, mais en Belgique, et non près de Helgoland ?
J'ai beaucoup apprécié cette pièce, ces lectures, un enchainement de pièces qui pouvaient paraître décousues. Le metteur en scène m'a d'abord répondu qu'il ne faudrait pas lire Lea Doher comme le ferait un sociologue. Je pense que certains ont ensuite compris que mon approche était pluridisciplinaire, que je percevais d'abord des acteurs ou rôles tantôt consternants, parfois au bord de la folie, là où les poussait leur culpabilité face à des échecs, supposés ou avérés, face aussi à des pertes d'êtres proches comme inconnus. J'ai perçu un monde où tous les sujets étaient en interaction, que ce soit sur scène, par l'effet des sujets en dialogue, mais également par l'effet de très fortes pressions sociales et morales qui s'exerçaient sur eux. Le texte est d'ailleurs limpide, il ne laisse pas subsister de doutes : l'ordre a été « laborieusement inculqué au lendemain de la guerre, nous appartenons à une société qui résout ses différends par la parole. » Des sans papiers qui gardent leurs distances au juge d'application des peines qui exerce un contrôle, de la belle mère qui débarque, avec ses valises, aux parents de la jeune fille assassinée ainsi qu'à la mère de son supposé meurtrier, tout était « présent » dans le langage de ces sujets, portés, bercés et balotés par le politique, le religieux, des croyances et des convictions.
L'une des mères : « pardon d'avoir mis ce fils au monde... je l'ai forcé à devenir droitier, mais les coups ont été portés de sa main gauche ! » J'ai tout autant apprécie le sujet de la belle-mère : « je pourrais tout foutre en l'air si j'avais une cigarette... et si j'étais pompiste. » Plus tard, le sujet ajoute : « si j'étais pompiste, je distribuerais le carburant et le risque d'incendie. » Sa fille lui répond souvent sur des tons moralisants, parfois lassée ou comme exaspérée : « maman... » J'ai même pensé au juge pour enfant, à certaines loteries judiciaires : « nous pourrions tout aussi bien déterminer notre avenir à coups de dés. » Le texte est paru aux éditions de l'Arche, traduit par Laurent Muhleisen.
Après ces débats, j'ai pris la peine d'expliquer par quelle fâcheuse coïncidence j'étais sur place, pour ces lectures. Je vais essayer de retourner à Orly, ce mardi 26 janvier, pour un autre spectacle. Il devrait être franchement nihiliste selon sa présentation : « Que faire pour donner un sens à sa vie ? » Ce soir, j'aurai pu rester pour La femme de l'autre, la pièce de 20h30, ma compagne n'est rentrée que très tard, dans la soirée, avec la petite, puis elle s'est effondrée.
Les parents de l'assassinée, perturbés par une mère
qui ne cesse de leurs demander pardon
Dans ce blog, tout est bien évidemment irréel, pas avéré ou « privé »
Qui donc prendrait encore au sérieux ce qu'on lit ici et là, sur Internet, cette vaste « poubelle à provocs » ?
Si je devais retourner bientôt à Versailles, j'insisterais pour que la Cour orthographie convenablement le nom ainsi que le prénom de la mère de Justine. En effet, dans ces arrêts rendus, ils ne sont pas conformes à l'état civil français. Je ferais peut être appel, rien que pour cette « broutille » ; j'en parlerais très prochainement au juge pour enfant de Nanterre.
La mère de Justine n'était pas attachée à son tréma mais elle était très fière de son prénom. De nombreux fichiers ou documents de notre grandiose Administration en attesteront, y compris des décisions rendues par le passé, par l'Administration judiciaire française, en tous cas, celle de l'est de ce même pays. Plus à l'ouest, c'est assez différent.
Par le passé, j'avais du saisir un JAF pour faire valider mes DVH ou « mes droits sur Justine ». La mère de Justine et moi-même avions finalement très simplement conclu un accord, « à l'amiable ». Depuis que les tantes maternelles de Justine se sont rapprochées de la Dass du 9-2, tout est, là encore, très différent, vraiment « très conflictuel avec le père ».
Quelle magistratüre... « Considérant que les moyens développés par M. KANT visant à remettre en cause, par delà le jugement du 16 juillet 2009, des décisions antérieures à présent définitives, ne seront pas retenus » ?
D'un peu de papier noirci d'encre rendu ce 15 janvier 2010
Ce coup ci, pas de cassation
J'ai encore du temps devant moi, deux mois, mais je suis assez certain de ne pas déclarer de pourvoi pour ce dernier arrêt rendu par Versailles. Son contenu me convient, comme de précédents écrits produits par Nanterre ou par Versailles.
Dans cet ultime arrêt, je relève comme un soin, quelques rectifications, la Cour semble s'être appliquée d'avantage ; dans les conclusions que je déposais, en décembre dernier, je ne parlais pas sans raisons de dénaturation des éléments de la procédure. En page 11 de cet arrêt du 15 janvier, je note : « Considérant que les moyens développés par M. KANT visant à remettre en cause, par delà le jugement du 16 juillet 2009, des décisions antérieures à présent définitives, ne seront pas retenus ». Je ne savais pas que la cour de cassation avait déjà rejeté mon pourvoi déclaré en juillet dernier...
Page 11, encore : « Considérant que Justine a souhaité être entendu par la Cour ; qu'elle est âgée de 16 ans et parfaitement capable non seulement de discernement mais également d'exposer et d'expliquer son point de vue concernant sa situation et de dire à son père, ainsi qu'elle a pu le faire à l'audience, la souffrance que lui cause l'attitude de celui-ci à son égard ; que la procédure d'assistance éducative la concerne au premier chef et qu'il ne peut être considéré, comme le soutient M. KANT dans ses conclusions, qu'il s'agit d'un conflit d'adultes qu'elle n'est ni en âge, ni en position de comprendre et qu'il conviendrait de préserver Justine de ces débats ; qu'ainsi, quelques désagréables à entendre que puisse être pour M. KANT les propos tenus à l'audience par Justine, il ne saurait être question de la priver de son droit de s'exprimer dans le cadre de cette procédure » ... Page 13 : « Considérant dans dans ces conditions que la désignation d'un nouveau service n'aurait pour conséquence qu'une perte du bénéfice du travail précédemment réalisé avec Justine ; ».
Début 2009, j'avais du batailler très dur et réclamer d'abord deux renvois à la Cour. Ensuite seulement, Justine a pu être entendue, en personne. A l'époque, la cour de cassation venait juste de rendre un arrêt assez inédit qu'il faut oublier.
Je trouve que dans cet ultime arrêt, la plume de la Cour est une fois encore excessive. Lors de cette audience, je n'ai rien perçu qui soit si « désagréable » dans les discours de ma fille. Mais les juges ont bien raison sur un point, elle sait s'exprimer comme une poissonnière. Qui « l'éduque » depuis toutes ces années ? L'ARSEA Alsace, ces spécialistes du respect des autres, ainsi qu'un pasteur et un corbeau. Entendre Justine, ce jour là, ce n'était pas pire que d'entendre des prêches apocalyptiques d'un pasteur ; je suis blindé, j'ai souvent entendu ceux du pasteur Clementz.
Ce que Justine a dit début décembre dernier a pu beaucoup plaire à la Cour. Ce qu'elle m'a lancé m'a surtout amusé. Justine a 16 ans. Elle a fait du théâtre « en Eglise » et sait ce qu'est une scène. Elle est intelligente, ce que je rappelais moi-même, dans mes conclusions. Depuis plusieurs années déjà, Justine fréquente et entend des juges, des travailleurs sociaux, des psys, le pasteur, etc. Elle semble être aujourd'hui bien assez futée pour obtenir ce qu'elle souhaite, lorsqu'elle le souhaite : « ceci, je l'exige, et cela, je n'en veux plus ». Elle veut rester à Hagenau, à l'internat, et la justice ainsi que les voyages entre deux mondes qui ne pourront jamais s'entendre, celui de son père et celui du pasteur, je crois qu'elle en a marre. Je pense également que des juges ainsi que ce pasteur ne souhaitent pas que Justine vive à la maison, chez son père. Comment et pourquoi lutter encore contre la volonté du pasteur d'Uhrwiller et de sa soeur ?
Par le passé, j'avais recoupé divers extraits de jugements de Nanterre, des extraits d'arrêts de la Cour d'appel de Versailles ainsi que des travaux de Richard Josefsberg avec des documents plus ou moins récents relatifs à des pratiques qui ont souvent été décriées par la France ainsi que par des pays étrangers. Cet arrêt du 15 janvier 2010 sera parfait ainsi, définitif, dans ce dossier « d'assistance éducative ». Il complètera très bien mes précédentes analyses et lectures.
Bulles N°40, 4ème trimestre 1993, UNADFI, extrait
Manipulation mentale, lavage de cerveau, mégalomanie : essai de définition
10. La dénonciation du père, acte ultime de la réforme de la pensée
La seconde exigence était bien plus difficile. Il s'agissait de dénoncer son père, tant comme individu que comme représentant de l'ancien régime. C'était l'acte ultime, symbolique, de la réforme de pensée des jeunes Chinois, et pour beaucoup, c'était extrêmement douloureux. Un cadre avait remarqué que Hu s'abstenait le plus possible de critiquer son père, et s'était mis à le harceler sur ce sujet en toute occasion. [...] Hu a finalement trouvé un moyen d'accuser son père sans dire trop de mal de lui, et sa confession a été acceptée. Chacun inscrivait ensuite sur une carte ses voeux concernant sa future affectation professionnelle. La décision était prise par les autorités. Théoriquement, on avait le droit de refuser, mais très peu le faisaient, car c'était un très mauvais point - d'ailleurs, qu'auraient-ils pu faire d'autre ?
Plus d'infos sur www.prevensectes.com
De mes conclusions déposées en décembre dernier : « Lors de cet autodafé, une mère, sa fille et l’ami de cette dernière étaient présents. Par le passé, sa fille avait été placée. Cet été, M. KANT et Justine ont brièvement rencontré cette mère et sa fille. Justine n’est pas naïve, elle est intelligente. » Cette autre enfant avait elle aussi longuement été « placée ». Sa mère n'avait que difficilement obtenu son retour à la maison. Une fois rentrée, cette enfant qui était alors également « en âge de discernement » n'a pas trouvé meilleure idée que de demander à être « placée » à nouveau, en foyer, pour être plus « libre ». Je pense que cette femme, son ami ainsi que sa mère n'étaient pas présents sans raisons, le 10 décembre 2008, en contrebas de la BNF. Ce jour là, par un froid de canard, nous nous somme bien réchauffés autour d'un petit feu de joie très officiellement déclaré en préfecture, celle de Paris. Je pense que le juge Thierry Baranger connait lui aussi très bien cette mère ainsi que l'histoire de cette autre enfant. Mais à la cour d'appel de Versailles, personne n'accorde jamais aucun crédit à ce qu'exprime le père de Justine. Je vais faire avec, comme d'habitude, et Justine en fera autant.
Le 10 décembre 2008, en contrebas de la BNF |
Ces jours ci, le facteur m'a également apporté différents livres. Pour me distraire, j'ai également acquis un nouvel album de Ptit'luc, Les gros mots. Je me demande où Ptit'luc et ses acolytes vont puiser leur inspiration.
Il faut que je pense maintenant à tenter de saisir un jour à nouveau le juge pour enfant. Je crois que les juges veulent jouer encore. Ici et là, je perçois assez comme des dogmes, doctrines, idéologies, pratiques et usages. Ce serait drôle s'il ne s'agissait pas de ses propres enfants et de sa famille. J'ai un peu lu Parquet et politique pénale (depuis le XIXe siècle) ; il semblerait que la magistrature française et plus particulièrement le parquet n'ignore pas ce qu'est « l'épuration ».
Ptit'luc, Rat's, tome 10, Les gros mots... « Après, on a plus besoin d'eux ! »
Retour sur... la procédure de prise à partie
Comme je l'exposais, il y a peu, à la cour d'appel de Versailles, je ne parlerais plus de la procédure de prise à partie si ce n'était pas à mon avis utile à des démonstrations dont certains ne veulent pas entendre parler. En effet, je connais des magistrats professionnels qui n'en démordront peut être jamais, préférant se raccrocher toujours à des opinions de quelques travailleurs sociaux, d'un psychiatre et d'un psychologue, d'un pasteur et d'un corbeau également. Pourquoi pas ?
L'arrêt rendu par la cour de cassation est publié depuis de longs mois déjà, dans cette archive.
Par le passé, j'avais échangé des mails avec Pascale Robert-Diard - ping, pong ping... puis, plus rien ; elle a pu perdre sa raquette ou cherche encore la balle. Elle aurait souhaité prendre connaissance du rapport fait par la cour de cassation, il est là. Lorsque je le relis, je me dis que je reviens de très loin, sans une égratignure et sans même avoir eu un avocat pour cette procédure. Je remercie cependant G., il m'a poussé puis bien aidé sur cette voie alors que je connaissais assez bien le statut de la magistrature avant de m'y aventurer. Au cours de cette procédure, tout a vacillé, la manière dont se défend ensuite le juge pour enfant en attestera, voir son mémoire. L'essentiel de ce que j'ai déposé doit être là.
Le juge qui se défendait contre moi demandait une indemnité de 2 500 euro, sur le fondement de l'article 700 du NCPC. La réponse rendue en décembre 2008, par la cour de cassation, me semble être assez claire : « Vu l'article 700 du code de procédure civile, rejette la demande ; » A cette période, certaines sphères avaient déjà beaucoup débattu des possibilités de recours d'un justiciable ou d'un citoyen « contre un juge ». Mais c'est bien autre chose qui m'intéressait.
En effet, l'arrêt est motivé, rappelle des textes organiques, c'est rassurant ; ce pourvoi ou même cette requête à la première présidence auraient du être déclarés irrecevables. Je suis passé à travers quasi toutes les tranches et tous les trous du gruyère, j'étais tout en haut. J'agissais d'un côté tout en travaillant aussi sur d'autres terrains. Je lis et je fais un peu de tout mais je reste surtout focalisé sur l'assistance éducative, un monde ou un théâtre bien à part où les rideaux ne sont jamais tirés, rien n'y passe au travers si ce n'est un peu de brume ou, parfois, de petits cris d'acteurs « qui n'en peuvent plus ».
En retombant, les effets de la procédure de prise à partie sur la procédure d'assistance éducative ont été inespérés. Il y a d'abord eu des sommations de juger, une audience chez le juge pour enfant, un petit reportage sur France 2 en juin 2008, puis un changement de juge pour enfant, en octobre 2008. Justine et nous pouvions renouer, puis passer l'été 2009 en famille, ce qui ne s'était plus produit depuis 2004, malgré les intentions bienveillantes du pasteur d'Uhrwiller... La chambre des créatures inférieures de la cour d'appel de Versailles n'a jamais voulu en entendre parler.
Un autre document suivra d'ici quelques jours, l'avis du ministère public, exprimé dans le cadre de cette procédure de prise à partie. Je pense que je l'ai fourré dans une pile de journaux ou dans une étagère, je finirais par remettre la main dessus ; j'ai bien retrouvé un jour une correspondance que m'avait adressé Ségolène Royal, aux alentours du printemps 2007. J'aurais pu formuler des observations après réception de cet avis du ministère public, ce que je n'ai pas fait. A l'audience publique, le 2 décembre 2008, auprès de la première chambre civile, tout s'est très bien passé.
Aujourd'hui, lorsque je relis ce rapport de la cour de cassation, je me dis que le nouveau juge pour enfant aurait peut être du convoquer une audience lorsqu'il a reçu le rapport de l'ARSEA, en novembre dernier. En effet, la cour d'appel vient elle même de rendre un arrêt selon lequel il y aurait depuis un certain temps des éléments nouveaux au dossier du juge pour enfant de Nanterre. Ce dernier attendait-il la décision qu'allait rendre Versailles ? Ca passionnera peut être un jour des juristes ou des polémiciens ; je ne vais pas rouspéter. Je vais tranquillement écrire à nouveau à Nanterre, puis y discuter encore de tout ce qui s'est passé, depuis l'été dernier. Il y aura une prochaine audience, au plus tard, en juillet 2010.
Mais à vrai dire, qu'il y ait maintenant ou non une prochaine audience m'indiffère, que ce soit au cours des prochaines semaines ou même en juillet 2010 ; je ne me précipite même pas sur du papier pour écrire à Nanterre. En décembre dernier, la Cour m'a bien confirmé que ce « placement » sera prorogé jusqu'à la majorité de Justine. Il s'agissait donc bien d'une « solution durable », comme me l'écrivait la Dass, début 2003, quelque chose d'approprié au traitement tout à fait spécifique ou au « sauvetage » de Justine, une enfant de boches. En 2005, Claire Davidson disait aussi à Justine qu'elle ne rentrerait plus jamais à la maison, peut être un peu comme si nous n'étions plus là, comme si nous n'existions plus, comme si sa famille naturelle avait un jour été poussée dans un wagon. Si c'était là la volonté du dieu sûrement très juste et bon du pasteur et de sa soeur le corbeau, qu'il en soit ainsi. Bien sûr, des professionnels de la Dass et de cette infra-justice « pour mineurs » martèleront que ces « placements » ou « solutions » ne sont que « provisoires » voire « transitoires », qu'il y toujours lieu de « se battre pour un enfant » et que tout peut un jour s'arranger... y croient-ils eux même ?
Certains ont pu s'apercevoir qu'au cours de l'année 2009, j'ai souvent écrit à certaines autorités françaises, y compris au chef de l'Etat français et à l'AFP aussi. Toutes mes correspondances et envois sont restés lettre morte. A vrai dire, toutes mes correspondances et envois à ces autorités restent lettre morte depuis l'été 2007. Il n'y a quasi plus que le Trésor public français et des prétoires « pour mineurs » qui se rappellent encore de mon adresse. La clique à Morano m'a encore écrit il y a quelques temps ; mais c'est encore différent, je crois qu'ils sont en nécessité à l'UMP, leurs adhérents seraient en train de crever. Je vais éviter ces attroupements là, je ne suis pas vacciné contre H1N1.
Cette semaine, la petite a reçu une carte pour son anniversaire et les voeux usuels à cette période de l'année. La plume sur cette carte est bien différente de celle qui a rédigé les deux emails qui ont été envoyés « par Justine », depuis la boite mail du pasteur, puis versés à la fin de l'été dernier, au dossier « d'assistance éducative ». Comme je l'ai écrit dans mes dernières conclusions, je pense que Justine sera très bien à l'internat scolaire, peut-être un peu moins sous l'empire du pasteur d'Uhrwiller. Après ses 18 ans, Justine pourra faire et aller où bon lui semblera ; elle pourra alors exiger encore et le pasteur pourra « dire » et « expliquer », mais je serais assez surpris que Versailles les suive alors encore.
La réforme du CSM en retard (MAM)
AFP, 21/01/2010 | Mise à jour : 14:16, extrait
La ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a reconnu que la mise en oeuvre de la réforme du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) risquait d'être retardée, en raison du calendrier parlementaire. "Je tiens à une mise en place rapide de la réforme", a déclaré la garde des Sceaux lors de ses voeux au monde judiciaire. Mais il faut aussi "que le Parlement ait le temps d'en discuter".
International
La Cour suprême birmane examine un recours d'Aung San Suu Kyi
AP | 18.01.2010 | 07:54, extrait
La Cour suprême birmane a commencé lundi à examiner la requête des avocats d'Aung San Suu Kyi qui contestent sa condamnation à 18 mois supplémentaires d'assignation à résidence. Une décision est attendue dans la semaine.
Libertés et sûreté dans un monde dangereux
Mireille Delmas-Marty
Sciences humaines / Droit
Date de publication : 04/02/2010
EAN13 : 9782021005363
Le monde est dangereux. Aujourd’hui, à l’heure du terrorisme, des effets conjugués de la pauvreté, de la maladie et des guerres civiles, les États doivent faire face à de nouveaux défis : une menace pour l’un d’entre eux est une menace pour tous. Si les dangers ont existé de tout temps en tous lieux, les attentats du 11 Septembre en ont sans doute changé la perception. Si bien que les responsables politiques se trouvent libérés, symboliquement et juridiquement, de l’obligation de respecter les limites propres à l’état de droit. Dès lors, l’enchevêtrement des espaces normatifs (nationaux, européens et mondiaux) induit des mouvements d’autant moins contrôlables qu’ils échappent de plus en plus aux États. Ce livre explore cette nouvelle donne et l’incertitude des réponses face aux dangers bien réels que courent les personnes, les États, voire la planète tout entière. Au-delà, il s’interroge sur les voies qui s’ouvrent à nous : sociétés de la peur ou communauté de destin ?
De l'identité Nationale à l'identité Juive, que de débats
Hier, sur France Info, j'entendais le discours de ce qui pouvait être une association juive. Je n'ai pas retenu de nom et je n'ai pas eu le temps d'enregistrer ce son que je ne retrouve pas sur Internet. J'apprenais que des juifs dont les noms ont été francisés souhaiteraient maintenant obtenir plus facilement des modifications des fichiers de l'état civil, pour renouer avec leurs origines, renforcer leur identité. Un nom et l'état civil sont-ils porteurs de sens ? En surfant ici et là, on apprend qu'à travers l'histoire, nos assemblées ont souvent débattu de ces sujets, la francisation des noms des populations immigrées ou des noms étrangers, de noms difficiles à prononcer, des prénoms ridicules également. J'ai repéré des ouvrages intéressants, plutôt vieux, onéreux ou indisponibles à la vente. Le sujet est bel et bien d'actualité ; hier, en rubrique Société, Libé publiait « Avec cette francisation, je me suis senti étranger ».
Mais selon l'arrêt rendu ce 15 courant, par Versailles, ces débats n'ont probablement pas lieu d'être. Tout ce que j'ai entendu ou lu dans l'actu depuis hier, lu aujourd'hui sur la toile, par exemple, dans quelques extraits de livres d'historiens ou de droit, ce n'est pas vraiment avéré, c'est tout juste virtuel, irréel, au moins numérique ou simplement diffusé par Radio France. Même ce qui est écrit noir sur blanc, sur du papier, dans mes piles et mes étagères, c'est irréel, à oublier, voire même à faire brûler, à détruire. Qui accorde encore une quelconque importance à l'état civil et à ces noms, à l'histoire des contraintes exercées sur ces derniers, voire même sur certains sujets, du fait de leurs noms ? Certainement pas les magistrats professionnels du coin.
Depuis que j'ai lu cet ultime arrêt rendu ce 15 courant, par Versailles, j'ai eu de nombreux doutes. Sur Wikipédia, j'ai bien relu que Klaus, Papon et Touvier ont été condamnés. J'ai aussi lu encore que « Jacques Chirac a consacré plusieurs de ses discours au sort des Juifs de France » ; on peut le lire ici. Un peu plus loin, on peut même lire que « Le Président de la République française, Jacques Chirac, a inauguré le 25.1.2005 à Paris le `' Mémorial de la Shoah " ». Est-ce bien sérieux ? Certaines de ces condamnations sont anciennes, mais quelques discours de Jacques Chirac seraient plus récents. Il n'est pas sûr qu'ils aient porté partout. J'ai maintenant assez hâte de feuilleter Parquet et politique pénale depuis le XIXe siècle, ce collectif paru en 2002. Quelques pages pourraient être consacrées à des périodes plus glauques du passé, comme « Vichy », « l'Algérie », etc.
Par le passé, j'ai manifesté devant le mémorial de la Shoah. Je ne suis pas passé inaperçu, j'avais un écriteau autours du cou : « j'ai couché avec une allemande ». Il y a eu des discussions et la police est évidemment passée, ce jour là. Une dame m'a houspillé, j'apprenais que c'était kipour. Mais je suis resté digne, avec mon écriteau autour du cou. Après m'avoir écouté puis après ses propres vérifications, la police ne m'a pas embarqué. Depuis, je suis parfois retourné au mémorial ; j'ai prévu de m'y rendre encore, dans 10 jours.
Parfois, tout vacille lorsqu'on a été confronté à des discours ou à des écrits de révisionnistes, de négationnistes. Je doutais et devais faire une vérification dans le livret de famille de ma fille Justine ; elle en voulait une photocopie, ce dont la Dass et la chambre des créatures inférieures de Versailles ont fait tout un fromage. J'ai bel et bien couché avec une allemande, quand à cette gosse, pour certains, ce sera bien une enfant de boches. Elle est sûrement très à l'aise, à Hagenau plutôt qu'à Bagneux, de l'autre côté des Vosges, parmi ou moins loin d'autres schleus.
Peut-on rire, en France, après la Shoah ? Oui, beaucoup même, par exemple en lisant le Charlie hebdo qui paraissait hier. La chancellerie ne m'a pas répondu ; en septembre dernier, j'écrivais à la Garde des vélodromes. Souvent, je me demande pourquoi des français auraient souhaité priver Papon de sa médaille ; n'a-t-il pas été enterré de l'autre côté du périph ? Ces jours-ci, Monseigneur Williamson fait encore un carton, sur dailymotion ; est-ce bien réel ? Sur le Parisien, je lis : « En réponse à une question, il dit qu'il est poursuivi en Allemagne pour avoir "mis en question les six millions de juifs gazés. Et le mettre en question, c'est un crime, selon le droit allemand, donc ils m'attaquent". » Mais en France, aujourd'hui, on rigole plus volontiers d'autres sujets, tel que celui de la burqa ou du voile.
La burqa s'invite aux vœux de Sarkozy
AFP, 21/01/2010 | Mise à jour : 20:10, extrait
Les responsables religieux ont présenté aujourd'hui leurs voeux au président de la République à l'Elysée et parlé du voile intégral, le représentant de l'islam Mohammed Moussaoui redisant son opposition à une loi d'interdiction.
Charlie hebdo du 20/1/2010 et un livret de famille de boche délivré par la ville de Paris
J'y retourne, Versailles a débroussaillé une voie
En septembre dernier, le juge pour enfant de Nanterre a reçu quelques correspondances. Depuis, lui-même m'a répondu deux fois, par de simples correspondances dont j'aurais souhaité pouvoir faire appel en décembre dernier, ce que la chambre des créatures inférieures n'a pas accepté. A Versailles, je souhaitais pouvoir débattre de l'intégralité des éléments qui figuraient dans le dossier du juge pour enfant, il contient un rapport de l'ARSEA du 27 novembre 2009.
En septembre dernier, ma compagne et moi écrivions à Nanterre. J'aurais souhaité qu'il y ait rapidement une audience chez le juge pour enfant, pour exposer alors la nouvelle situation de ma fille Justine. Mais selon le juge pour enfant de Nanterre, il n'y avait pas d'éléments « nouveaux » à son dossier, il me suggérait d'attendre très sagement que la cour d'appel de Versailles délibère, ce que j'ai fait. Or, lorsque je lis l'ultime arrêt rendu par Versailles, ce 15 janvier 2010, il se pourrait que le juge Thierry Baranger ne sache pas vraiment ce qu'est un élément « nouveau », Versailles semble en voir où ce juge pourtant expérimenté n'en aura vu aucun.
Versailles souhaitait des démonstrations, je vais aller en discuter avec un vrai juge, s'il veut bien convoquer une audience. S'il convoque très prochainement, je serais curieux de lire sa décision ; renoncera-t-il à son cadre pour suivre le pasteur « qui n'en peut plus », son mari le médecin généraliste, ma fille Justine et les travailleurs sociaux de l'ARSEA Alsace ?
En cas d'audience, je profiterais de l'opportunité pour rappeler d'abord au juge pour enfant de Nanterre que Justine semble avoir des problèmes de santé, ce qui n'émeut toujours pas la Dass, un peu comme par le passé. A l'époque, en 2005, plutôt que de reconnaitre que Justine pouvait avoir besoin d'un médecin et non simplement d'un pasteur et de travailleurs sociaux, les professionnels de la Dass avaient préféré me faire convoquer plus tard, chez un « expert psychiatre ». Depuis, les savoirs contemporains, notamment la médecine et plus particulièrement cette pseudo science qu'est la psychiatrie, ne servent plus qu'à proroger le « placement » de Justine.
De l'arrêt rendu ce 15 janvier 2010,
par la cour d'appel de Versailles
Sieg Versailles !
Je viens de recevoir du courrier. J'apprends que la magistrature du coin reconnait enfin que ma fille cadette est née en 2003, ce qui figure depuis toujours aux fichiers de l'état civil ? Mais ce n'est peut être qu'une coquille dans le dernier arrêt rendu. En effet, selon « l'autorité de choses jugées » par le passé, par Versailles ainsi que par Nanterre, ma cadette devrait être née en 2001... Que de progrès après cet ultime appel. Encore un ou deux passages à Versailles et les juges du coin reconnaitront peut être timidement que la Shoah, ce n'est pas qu'un mythe ?
Dans ce même arrêt on me reproche de ne rien démontrer tout en me déniant encore tout droit et même possibilité de le faire un jour ? Par contre, le pasteur d'Uhrwiller « expose », « dit », « explique » en un très court paragraphe, et la Cour suit... Je ne peux que repenser encore à ces juges qui marchent au pas aux côtés de ces grandes figures d'avant 1905.
Feuilleter La République et l'Eglise (il y a un siècle)
Je crois que la chambre des créatures inférieurs n'a pas compris que je n'attendais plus qu'une choses de sa part, soit qu'elle se ressaisisse, soit qu'elle recrache encore du papier noirci d'encre, ce qu'elle vient à nouveau de faire.
Je constate aussi que le cadre défini par le juge Thierry Baranger a définitivement volé en éclat, fin juillet dernier. Selon lui, ce n'est pas à l'enfant de décider, or il apparaitrait maintenant que l'enfant est à présent ferme : Justine ne veut pas être scolarisée à Paris, elle exige de rester à Hagenau ? Quelle importance après tout, elle est « placée » là bas aux frais de la collectivité... Par ailleurs, les travailleurs sociaux de l'ARSEA ou ces kapos du social ne souhaitant pas travailler avec moi, je pense que plus globalement, la décision confirmée ce 15 courant, par la Cour, restera sûrement inexécutée, comme de précédents jugements ou arrêts rendus par Nanterre et Versailles. Mais conformément aux usages de la Cour, comme depuis plusieurs années déjà, le jugement déféré est confirmé en tous points. Il suffisait à sa Cour de motiver mieux. A la suite, quelques extraits. Mes conclusions déposées en décembre dernier semblent avoir été lues.
Le pasteur d'Uhrwiller n'en peut plus de « ce cirque », que je ferais souffrir à Justine ? Pauv'chérie ; le pasteur devrait lire du Barella, elle s'apercevra qu'hors de sa paroisse et des huis clos, ce même cirque peut faire rire. J'avais très bien expliqué à l'ARSEA que Justine en personne ne souhaitait plus retourner dans les prétoires, que sa présence n'y était plus requise puisqu'elle peut y être représentée par son avocate, susceptible de mieux la conseiller aussi. En décembre dernier, Justine n'y serait-elle plus venue de son plein gré, bien entourée par Mme Romain, son avocate et ce même pasteur ? Ce n'est pas son père qui a trainé Justine à Versailles, ce 11 décembre dernier ; mais elle a pu y être convoquée par la Cour... qui note : « Justine a souhaité être entendue en présence de son père ». Tout ce cirque nous serait-il à tous imposé par l'enfant qui n'en ferait qu'à sa tête ? Ne serait-ce pas précisément ce que le juge Thierry Baranger souhaitait un jour assainir ?
Je pense que d'ici quelques temps, je vais me faire un plaisir de répondre à la Cour, notamment sur des points sensibles et particuliers tel que celui du « prosélytisme religieux abusif ». Ca va beaucoup plaire à Richard Josefsberg, de l'OSE France ; il gémissait déjà mi 2005, c'est un peu suite à cela que le si bon Docteur Magalie Bodon-Bruzel est intervenu dans ce dossier « d'assistance éducative ». Mais je parlerais plutôt de pratiques proprement sectaires. J'ai tout mon temps pour murir une réponse. En effet, en décembre dernier, la Cour me rappelait bien que la quille, soit la majorité de ma fille aînée et la fin de ces mesures « d'assistances éducatives », ce n'est que dans deux ans ; d'ici là, Justine restera donc en Alsace, avec un pasteur et une sociale travailleuse - point. D'autre part, ce n'est qu'en octobre 2012 que l'OSE fêtera son centenaire, ce qui me laisse également assez de temps pour rédiger un petit pamphlet.
Mais pour « bien » répondre déjà au petit paragraphe, plus bas, publié sous la lettre de la MIVILUDES, d'avril 2006, soit à ces pitres en robe noire ainsi qu'au Docteur Magalie Bodon-Bruzel, un bouffon en blouse, et à son prédécesseur, Madame Claire Davidson, je ne vais pas me gêner et publier bientôt l'intégralité d'autres décisions de justice qui ont été rendues par d'autres prétoires que ceux de Nanterre et de Versailles, tel que :
- celle rendue en 2002, par Strasbourg(67), un non-lieu d'un homicide involontaire, suite au décès subit de la mère de Justine, en milieu hospitalier,
- celle rendue en 2005, par Antony(92), par le juge des tutelles, qui confirmait finalement mon statut d'administrateur légal des biens de Justine, quelqu'un souhaitait que je sois déchu,
- celle rendue par Anthony(92), début 2007, qui m'inscrivait sur la liste électorale alors que des représentants de la préfecture et du TGI de Nanterre avaient refusé de le faire,
- celle rendue par le tribunal administratif de Strasbourg, qui a étouffé mon recours contre l'Etat suite au non-lieu rendu en 2002,
- l'arrêt rendu en décembre 2008, par la cour de cassation, déjà publié dans ce blog, qui reste toujours sans le moindre commentaires, comme ces vidéos,
- une correspondance de septembre 2009 qui confirme que je détiens toujours et malgré tout l'autorité parentale sur ma fille Justine,
- le très simple et si sobre rappel à la loi imposé en décembre dernier, par le parquet de Paris, je venais de déployer une banderole dans cette cité, à l'occasion des 20 ans de la CIDE
Notant d'abord que ma soeur aînée est trisomique, le Docteur Magalie Bodon-Bruzel affirmera que rien de tout cela est réel. Madame Claire Davidson poursuivra, dans le prolongement de l'OSE France : « M. KANT est un très vilain procédurier, il est peut être dangereux ». C'est à ce moment là qu'interviendra ponctuellement le juge Thierry Reveneau, soutenant que « les larmes versées à l'audience par l'enfant démontraient... » On s'apercevra peut-être aussi que les paranos, les zinzins ou les oies sont plutôt du côté de ceux qui recherchaient mes comptes au Japon, ceux sur lesquels j'aurai pu verser les fortes sommes perçue suite à mon recours contre l'Etat, après le décès de la maman de Justine... Je percevais 90 euro par mois, l'allocation dont peut bénéficier tout orphelin d'un parent. Depuis plusieurs années, cette allocation est due à Madame et Monsieur Clementz qui n'a à ma connaissance jamais le moindre compte à rendre à personne. Madame et Monsieur Clementz bénéficient aussi des indemnités de tiers « dignes de confiance » et bénéficient aussi comme du soutien de toute une institution. En effet, ils n'ont jamais eu besoin du moindre avocat dans les prétoires du coin.
Je pourrais encore retrouver d'autres jugements ou republier aussi des correspondances qui m'ont été adressées par divers ministères, élus, Conseils généraux, par l'Elysée ainsi que par divers services tel que le SCPC. En regard de tout cela, Madame et Monsieur Clementz, les tiers « dignes de confiance », un statut qu'ils revendiquent et que leurs accorde gracieusement la Cour, ne pourront rien avancer du tout ? Les arrêts de Versailles, les jugements rendus par Anne Valentini, voire même ceux qui ne m'ont jamais été notifiés par Nanterre... Le pasteur d'Uhrwiller pourra aussi « exposer », « dire » et « expliquer », peut être un peu prêcher aussi.
Mais je crois que je publierais d'abord le mémoire du juge Xavier Serrier qui se défendait contre moi, à la fin 2008. Tout le monde pourra alors constater comment ce dernier se sera défendu contre moi, en cassation, me réclamant 2 500 euro qu'il n'a jamais obtenu. Je venais de le pousser de son siège. Quelle offense, un magistrat du siège est réputé inamovible ! Aurais-je vexé la magistrature française pour avoir touché un jour et vraiment l'un des leurs ? Certains « aspects narcissiques » seraient alors à rechercher maintenant ailleurs qu'à Bagneux, dans le 9-2.
De l'arrêt rendu ce 15 janvier 2010,
par la cour d'appel de Versailles
Le Canard, et le Nouveau Détective, ça peut suffire
Mon sentiment se confirme, un abonnement au Canard en complément d'un très bon tabloïde, ça devrait me suffire pour ces prochains mois. Je sais, ça peut surprendre. En quatrième du premier, je lis aujourd'hui quelques courbettes qui pourraient être un droit de réponse réclamé par Nadine Morano ; je pense qu'on peut à peu près s'y fier. D'après ce que je lis beaucoup plus à l'ouest, le Nouveau Détective aurait été mouché il y a peu, par un prétoire de Caen ; il peut donc également être assez fiable. Les deux sont alimentés par des plumes qui couvrent l'actu et sont probablement appréciés par leurs lecteurs respectifs, un peu comme Charlie ou Siné hebdo. En faudrait-il beaucoup plus pour sonder toute cette faune, suivre ce qui bruisse ? J'aurais toujours le net lorsque je souhaiterais en savoir un plus.
Dans le fil de l'actu, j'ai lu que quelques préfets ont bougé ; ça n'a plus rien d'exceptionnel. J'ai également lu qu'une mère a pris 15 ans pour un infanticide tandis qu'une autre n'en a pris que 5, avec du sursis ; l'une a été cassée alors que l'autre a été épargnée par des psys, il n'y a rien d'anormal ni de bien exceptionnel non plus. J'ai lu plus original, quatre procureurs généraux ont été nommés en Conseil des ministres ; par simple curiosité, j'ai tapé le nom de l'un d'eux sur google.
Après avoir lu ce qui pourrait en être un extrait puis le sommaire, j'ai craqué pour Parquet et politique pénale depuis le XIXe siècle, Paris, PUF, 2002. Ce collectif répondra peut être à une question que je me posais en mars 2009. En attendant que l'ouvrage me parvienne, je vais lire quelques pages de Tribune Juive n°53 ; Rufo en couverture puis la page 52 et suivantes ont retenu mon attention... « Le glaive vient dans le monde à cause d'une justice retardée et pervertie » ?
« On peut toujours compter sur le repentir », selon Eric Mouzin
Disparitions, ce nouveau « divertissement » proposé par TF1, ça informe, c'est assez sûr. Mais je me demande de quelle manière de tels « documentaires » pourraient faire progresser ces affaires dont une au moins, la troisième, est plutôt de nature « privée ».
Francis Evrard doit être prochainement rejugé. Quel pourrait être l'effet de ce premier « reportage » sur le cours de cette histoire, l'enlèvement d'Enis ? Ca fait une pub pour le dispositif Alerte, depuis, on retrouverait plus facilement les enfants... Je constate surtout que TF1 a encore diffusé le portrait de ce petit garçon, une victime, sans même lui flouter les yeux.
« Ca fait deux mois qu'Estelle a disparue. Les enquêteurs du SRPJ de Versailles font ce qu'ils peuvent, a-t-il dit, ne négligent aucune piste, et je vous confesse qu'aujourd'hui, et c'est bien pour cela que nous n'en négligeons aucune, nous n'en avons pas. Bien sûr qu'au nom du gouvernement, j'ai pris l'engagement, devant les parents d'Estelle, que la cellule spéciale qui a été mise en place ne s'arrêtera pas de travailler tant qu'on aura pas retrouvé Estelle. » « Les autorités refusent de rester sur un constat d'échec, l'enquête de terrain doit être relancée », ajoute la voix off. C'était en 2003, 2 mois après la disparition de la fillette.
Plus tard, en troisième partie de cette même émission, on apprend que « c'est surtout l'aspect religieux qui surprend Miguel... » Je pense que mon blog est depuis très longtemps illisible pour plus d'un convaincu ou fervent pratiquant.
Il y a 15 jours, j'étais à Guermantes, pour l'AG de l'association Estelle. En arrivant là bas, j'ai constaté qu'une caméra était sur place, puis j'ai appris que suivrait ce « reportage », sur TF1. On me verra peut être un jour, par hasard, dans l'un ou l'autre de ces « documentaires ». On m'a d'ailleurs déjà vu par le passé, au champ de Mars, notamment au cours d'une émission Faits divers le mag, début juin 2008, ainsi que dans un JT de France 3.
Je prendrais encore le temps de discuter de toutes ces affaires avec Eric Mouzin ainsi qu'avec quelques uns de ses proches, peut-être aussi d'une dépêche du jour. Je pense que je les rencontrerais à nouveau, au plus tard, au mois de mai prochain, au champ de Mars. L'an dernier, encore au champ de Mars, j'avais préféré me taire et me faire discret pour ne pas heurter l'assemblée. Mais malgré cela, certains ont pu me reconnaitre sur place, par exemple, sur une vidéo de TF1/LCI, derrière Arnaud Gruselle, Directeur de la Fondation Enfance.
Je crois qu'il est parfois vain de compter sur le repentir de pédocriminels et de tout ce qui fait corps ou se syndique, autours d'eux. Je pense même que la médiatisation ne peut parfois qu'exposer d'avantage encore les enfants, surtout, peut-être, lorsqu'on commence à mettre très sérieusement en doute la neutralité de quelques professionnels de sa justice. Au cours de ces dernières années, la juridiction du juge pour enfant de Nanterre, la cour d'appel de Versailles ainsi que quelques travailleurs sociaux, juges et partis qui s'opposent à moi l'ont très bien démontré, à plusieurs occasions.
On va maintenant bientôt revoir notre chantre à la télé, sous peu, il répondra à quelques français.
Disparitions, le 19 janvier 2010 au soir... A voir ou à revoir sur le site officiel
En VOD, sur TF1 Vision... Disparitions
Film - Etats-Unis - 2002 - Drame / Passion - 107 min
Réalisé par : Christopher Hampton
Avec : Emma Thompson, Antonio Banderas
Tous publics. En Argentine, pendant la dictature militaire de 1976 à 1983, plus de 30 000 personnes ont disparu sans aucune explication ; parmi elles, Cécilia, une journaliste engagée. Carlos, son mari, directeur de théâtre, va tout faire pour la retrouver saine et sauve. Obsédé par sa quête, il imagine ce que sa femme endure et pense alors se découvrir un don de clairvoyance qui lui permettrait de vivre l'histoire des disparus et de retrouver leur trace. Mais pourra-t-il sauver Cécilia avant qu'il ne soit trop tard... La bande annonce
Un triplet gagnant : MAM, Lathoud et... Botton ?
Il m'arrive parfois d'avoir le sentiment d'halluciner lorsque je m’égare ici et là, dans mes lectures, sur la toile.
C’est à ces moments là que je vérifie d’abord différentes informations, voire que j'écoute même en premier tout ou partie de discours officiels. Une toute nouvelle association, « Prison du cœur », pour aider les nouveaux détenus à supporter le « choc carcéral » ? Par le passé, Dati avait souvent fait rire ; je pense que MAM et Lathoud vont très rapidement la détrôner. On lit Botton, sur rue89, puis on en verse déjà de premières larmes : « Aujourd'hui, la prison, ça arrive à tout le monde. Avec les nouvelles lois sur la conduite en état d'ivresse, vous pouvez vous retrouver en prison après avoir fait la fête, un vendredi soir. Et vous êtes confronté au choc carcéral. Vous êtes sonné, perdu, votre famille ne sait pas où vous êtes. » Botton poursuit, et vous endolori les zigomatiques : « La magistrature a sauvé ma vie. Tout le système judiciaire a sauvé ma vie. »
Sur http://www.pierrebotton.com/, j'adore la présentation, en 4ième, du livre « V.I.P. en prison, la vérité ». J'adore également ce billet de Philippe Bilger, de novembre dernier, éclairé par l'histoire ainsi que par l'actualité la plus récente... « Je ne dénie évidemment à personne le droit de réfléchir, de s'émouvoir ou de critiquer mais il y a une forme d'arrogance chez d'anciens condamnés qui leur fait confondre leur expérience singulière avec le pluriel d'une pensée et d'une vision équilibrées et lucides. »
Il y a depuis quelques temps bien trop de suicides en prison, on nous le dit depuis des lustres, MAM souhaite donc maintenant « tester sur le terrain un certain nombre d'actions. » Jean-Amédée Lathoud que je qualifierais bientôt et sans la moindre gène de « souteneur », à la tête de la pénitentiaire, pour « mieux » traiter ce que la morale réprouve, voire même pour « parfumer » tout simplement, mais « avec le coeur », ceux que la Société française souhaitera « neutraliser » ? Chaperonnée par sa chancellerie, cette scène a quelque chose d'ubuesque et d'irréel.
Je préfère pour ma part d'autres territoires, loin de telles esbrouffes, bien en amont de ces « traitements » par l'intimidation et par la force, par l'enfermement, des disparitions ou des suivis approximatifs. Une association oeuvrant depuis quelques années dans le secteur de la protection de l'enfance m'a proposé de préparer ou d'assiter à des forums théatre qui pourraient un jour permettre à des parents et à des professionnels de la Dass de se rencontrer.
MAM confie à Pierre Botton une mission sur la prison
Le Figaro, par Laurence de Charette, le 18/01/2010 | Mise à jour : 10:30, extrait
« Je sais de quoi je parle », assure l'ancien homme d'affaires et ex-gendre de Michel Noir, écroué dans les années 1990. Il a été l'un des détenus les plus médiatiques de France dans les années 1990 : Pierre Botton, revient aujourd'hui sur le devant de la scène avec le projet d'humaniser la détention. Avec un soutien de poids : celui de Michèle Alliot-Marie, qui l'a invité à présenter à son côté, ce lundi après-midi, ses projets, qui débuteront par une expérimentation à la prison de Nanterre, un établissement accueillant un grand nombre de jeunes de banlieue. « L'atout de Botton, explique un membre de l'Administration pénitentiaire, c'est d'être un ancien détenu, mais aussi d'avoir gardé un carnet d'adresses… » Pierre Botton devrait en effet mettre à contribution ses relations dans le monde artistique et culturel et les emmener à l'intérieur des murs de la prison. Mais pas uniquement pour rencontrer les détenus : l'homme d'affaires veut également valoriser l'action des surveillants pénitentiaires.
La sodomie reste interdite en Malaisie
AFP, 19/01/2010 | Mise à jour : 12:21
La justice malaisienne a rejeté le recours d'un homme qui protestait contre l'interdiction de la sodomie, un délit passible de 20 ans d'emprisonnement, a-t-on appris de source judiciaire. La cour d'appel de Kuala Lumpur avait été saisie par Abdul Rahim Abdul Rahaman, un homme de 39 ans, qui faisait appel de sa condamnation à 60 ans de prison pour 22 actes de sodomie d'un adolescent de 14 ans. Il a affirmé que la relation était consensuelle.