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La nuit du hack, chez Mickey
C'était drôle et enrichissant, cette Nuit Du Hack, à DisneyLand Paris®, presque un retour aux sources.
Mon talk sur le thème de la liberté d'expression et de la censure semble avoir plu. Les slides sont ici, 30 pages, et l'essentiel de mes notes de cette nuit est à la suite, en une simple photo. Le reste ne regarde personne ; ce coup ci, ce n'est pas « d'ordre privé » ni dans des prétoires, c'est off ou underground.
Depuis samedi, j'ai appris qu'en 2009, un journaliste a été condamné pour avoir « signalé » une faille de sécurité, c'est à lire sur le Monde ainsi que sur Zatac.com. D'un projet d'ordonnance et de reflexions publiés récemment dans le blog crimenumerique.fr, je retiens une question susceptible d'être soulevée bientôt devant des juges : « La victime finale (celle dont les données ont été détournées) est elle victime du professionnel négligent ou de l’auteur de l’intrusion ? »
Dans un édito de septembre 2009, 01net était sévère avec le greffe du tribunal de commerce de Paris : « coupable de fuites sur le Web ». En mai dernier, le Journal du Net était tout aussi sévère avec Sony Playstation Network : « accusé de ne pas mettre à jour Apache ». Etc...
Un rapport sur le manque de prise de conscience des risques ?
A lire dans le blog de bluetouff, ici pour les particuliers et là pour d'autres
L'acquittement de Loïc Sécher met la justice en cause
NDLR : Ce système est invité à réfléchir sur lui-même ? « Il est parfait », répliqueront les magistrats. Si nécessaire, les psychiatres interviendront et confirmeront les supputations des magistrats ; selon 20 Minutes, des psychiatres ont aussi contribué à l'élaboration de cette décision « historiques », l'acquittement de Sécher.
L'acquittement de Loïc Sécher met la justice en cause
Publié le 24/06/2011 à 12:43, l'Express, mis à jour le 24/06/2011 à 14:18
Loïc Sécher, un ancien ouvrier agricole de 51 ans, été acquitté vendredi de l'accusation de viols sur mineure lors de son procès en révision, le septième seulement de ce type dans l'histoire du pays.
Le procès de cette erreur judiciaire à la cour d'assises de Paris a remis en cause certaines méthodes d'enquête et présupposés de la justice sur les accusations d'abus sexuels.
L'avocat de l'acquitté, Me Eric Dupond-Moretti a appelé le système à réfléchir sur lui-même.
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Trisomie : obligation d'information
NDLR : Je finis tout de même par comprendre beaucoup mieux Lise, Olivier Echappe, Xavier Serrier, la première présidence de Versailles, ou, plus globalement, la magistrature, la psychiatrie et les travailleurs sociaux français. Manifestement, la trisomie 21 inquiète ou dérange le peuple de ce pays. L'eugénisme n'intéresse pas grand monde, il n'y avait pas foule, début mai dernier, au mémorial de la Shoah, pour la présentation de Aktion T4. Hier soir, au mémorial, pour la projection du Kapo, un « documentaire », il n'y avait pas foule non plus.
Rassemblement à Paris pour Shalit
NDLR : « Nulle part dans le monde on est resté autant de temps sans nouvelle d'un otage. Cela fait maintenant deux ans et demi que ses parents n'ont pas eu une seule nouvelle de lui », nous apprend Pierre Aidenbaum (PS). De début novembre 2005 à fin mai 2008, deux ans et demi, je n'avais pas reçu la moindre nouvelle de ma fille ainée. Mais cétait parfaitement légal pour des juges... la situation était motivée par les palabres d'un psychiatre et ceux de travailleurs sociaux de l'OSE France
Rassemblement à Paris pour Shalit
AFP, 26/06/2011 | Mise à jour : 19:27
Entre 300 et 400 personnes se sont rassemblées cet après-midi à Paris sur le parvis de l'Hôtel de Ville pour demander la libération du soldat franco-israélien Gilad Shalit, retenu en captivité depuis cinq ans. Réunis à l'appel d'associations juives, les manifestants portaient pour certains d'entre eux des drapeaux de l'Etat d'Israël et des pancartes avec la mention "Liberté pour Gilad Shalit".
La Cour des Comptes irrite Guéant
NDLR : J'ai pendant longtemps attendu des réponses pertinentes de la part de certains ministères, tel que de l'intérieur ou de la justice... et du ministère de la famille aussi. Ces réponses n'ont jamais suivies. Mais qu'est-ce qu'au juste « le coeur » de certains métiers, ignorer ou étouffer les affaires, surtout les plus « ennuyeuses » ? Aux USA, on peut récuser un Proc' ?
Affaire DSK : le parquet de New York décide de poursuivre ses investigations
Le Figaro avec Reuters
06/07/2011 | Mise à jour : 21:02, extrait
L'enquête sur les faits reprochés à Dominique Strauss-Kahn se poursuit, a fait savoir aujourd'hui le parquet de New York après une entrevue avec ses avocats. "Le processus d'investigation continue et aucune décision n'a été prise", déclare un porte-parole dans un communiqué.
Actualité > L'affaire DSK
Me Thompson : «Nafissatou Diallo est bien une victime de DSK»
Le Parisien | Publié le 06.07.2011, 20h16 | Mise à jour : 07.07.2011, 00h38, extrait
Dans un entretien exclusif au «Parisien» - «Aujourd'hui en France» à paraître ce jeudi, Kenneth Thompson, l'avocat de Nafissatou Diallo, contre-attaque. «Cette femme a bien été violée», affirme-t-il, alors que la perspective d'un procès contre Dominique Strauss-Kahn semble s'éloigner. Ce mercredi soir, il a également demandé au procureur Cyrus Vanc Jr d'abandonner l'affaire et de nommer un procureur spécial. Motif invoqué : la divulgation d'informations préjudiciables à la victime présumée.
«Je peux vous dire qu’on a bien retrouvé des traces ADN sur la victime. Ces traces prouvent qu’il ne peut en aucun cas s’agir d’un rapport consenti comme je l’entends dire», souligne le conseil de l'accusatrice de DSK interrogé par «le Parisien». Kenneth Thompson ajoute : «Lorsque la victime a été transportée en ambulance à l’hôpital Saint Luke’s Roosevel après l'agression, elle a subi des examens par des médecins. Et leur rapport corrobore en tout point ce qu’elle a dit aux enquêteurs. Je rappelle que le procureur a reconnu ces faits et, d’ailleurs, les charges pesant contre l’auteur présumé que je sache ne sont pas abandonnées.»
Quant à aux liens supposés de la jeune femme avec un trafiquant de drogue emprisonné en Arizona, et les mensonges liés à sa demande d'entrée aux Etats-Unis, l'avocat explique : «Toutes ces affirmations périphériques n’ont rien à voir avec l’agression elle-même, qui est avérée. Ne mélangeons pas les faits. Ma cliente n’a jamais caché sa situation sur son entrée aux Etats-Unis. Elle s’en est expliquée. A ce jour, je n’ai pas connaissance de l’enregistrement de cette conversation avec un homme emprisonné. J’ai demandé cet enregistrement la semaine dernière, lundi encore et mardi dernier. Je n’ai rien reçu, donc cela n’existe pas.»
La Cour des Comptes irrite Guéant
AFP, 06/07/2011 | Mise à jour : 21:54, extrait
Dans cette lettre, Claude Guéant s'"étonne et (...) conteste l'appréciation portée, dès les premières lignes du rapport, sur le caractère soi-disant +contrasté+ des résultats obtenus dans la lutte contre la délinquance depuis 2002", année qui marque l'arrivée de Nicolas Sarkozy au ministère.
Les auteurs ont porté une appréciation sur "une période limitée", ajoute Beauvau, niant point par point les accusations de la Cour des Comptes et louant les "efforts de mobilisation et l'efficacité du travail d'enquête" de ses troupes "recentrées sur leur coeur de métier".
Face à la rumeur, l'humour serait une « arme mortelle »
NDLR : La dérision serait donc une manière de répondre très peu utilisée en France ? Il me semblait aussi que des élus français, quelques militants, la magistrature du coin et certains services tels que ceux de l'Intéreur, de la Défense ou encore de parquets comme ceux de Nanterre, de Paris et de Versailles avaient été totalement déboussolé par mes réponses à certaines insanités colportées en public ou dans quelques bureaux, couloirs et prétoires mal tenus ! Bonnes vacances à tout mes lecteurs, en attendant la rentrée prochaine et, peut-être, de nouvelles réponses viscérales à d'ultimes coups bas de bavasseurs de tous poils, de nouvelles réponses radicales aussi, si nécessaire encore, à quelques fidèles et zèlés fonctionnaires français
Selectionné par le Nouvel Obs
Modifié le 10-07-11 à 12:57, extraits de Le+/Nouvel Obs
Comment la Première secrétaire du PS peut-elle répondre intelligemment aux coups bas dont-elle fait l'objet ? Réponse d'un consultant en communication.
[...] Autant l'attaque politique réclame une réponse politique, autant la rumeur doit, pour être étouffée, recevoir une réponse en place publique. Plus elle sera forte, plus la rumeur s'en ressentira. L'attaque de Martine Aubry est de cet ordre. Elle est destinée tout autant à répondre à ses détracteurs qu'à couper l'herbe sous le pied aux insinuations, qui ne peut prospérer qu'à l'abri des regards. Dès qu'elle devient publique, le bras armé de la justice peut entrer en action. La menace du procès en diffamation fait ainsi reculer ce militant de l'UMP, interrogé sur Twitter par une journaliste.
Reste une dernière manière, très peu utilisée en France, la dérision. On prend acte de la rumeur, on la laisse grandir et envahir l'espace public. Et quand le pourvoyeurs d'insanités s'y attendent le moins, on les descend en flammes en mettant les rieurs de son côté.
Barack Obama l'a fait à merveille, en pourfendant Donald Trump. Depuis quelques semaines, le magnat faisait tourner la lessiveuse de ses télés affidées en mettant en doute l'authenticité de l'acte de naissance du premier Président noir, sur l'air de "Notre président n'ose as nous dire qu'il est né en Afrique".
"Ah oui ?", lança un Obama en grande forme devant la presse rassemblée et un Trump dans ses petits souliers. "Non seulement je vous donne mon acte de naissance, mais vous aurez en prime la vidéo de ma naissance". Et on vit sur l'écran un extrait du roi Lion où le jeune lionceau est présenté aux animaux rassemblés.
Reprenant la parole, Barack Obama soumit alors Trump à un véritable calvaire solitaire et interminable, faisant se tordre de rire l'assistance à chaque rappel de la vacuité des émissions du tycoon aux dents serrées.
Le Trésor US attaque « l'intégrité » de S&P
NDLR : L'agence S&P compterait-elle des magistrats ou des fonctionnaires français parmi leurs effectifs ? Cependant, avec Guantanomo, nous avons appris que l'Administration américaine sait également « motiver autrement » lorsqu'une précédente « vérité », quelques prétextes, ou lorsqu'une décision, une accusation s'effondre. Un procureur, Darrel Vandeveld, avait d'ailleurs fini par « témoigner », par reconnaitre et exposer ou confirmer des méthodes de travail. Ou devrait-on maintenant également mettre en doute le Trésor des Etats-Unis, il gigote et proteste, comme un vulgaire « pas content », et marteler qu'il est manifestement dans le déni ? L'économie mondiale semble encore une fois vasciller...
Le Trésor US attaque "l'intégrité" de S&P
AFP Publié le 07/08/2011 à 08:11, extrait
Le Trésor des Etats-Unis a persisté hier dans son opinion selon laquelle l'agence d'évaluation financière Standard and Poor's avait commis une "erreur" en abaissant la note du pays la veille, qui selon le ministère fait douter de son "intégrité". Le secrétaire adjoint au Trésor chargé de la politique économique, John Bellows, a détaillé sur le blog du ministère cette "erreur de 2000 milliards de dollars" dans les projections de déficit budgétaire jusqu'en 2021. "Des questions fondamentales sur la crédibilité de S&P". "S&P a reconnu cette erreur", a rapporté John Bellows, mais "n'a pas estimé qu'une méprise de cette ampleur suffisait pour justifier de réexaminer son jugement, ou même de se donner un jour supplémentaire pour réévaluer soigneusement l'analyse". "La taille de cette erreur, et la rapidité avec laquelle S&P a changé sa justification principale quand on lui a présenté cette erreur, soulèvent des questions fondamentales sur la crédibilité et l'intégrité de la décision prise par S&P sur cette note", a-t-il ajouté.
Israël/Bourse: échanges suspendus
AFP Mis à jour le 07/08/2011 à 10:02 | publié le 07/08/2011 à 10:02
Les échanges de la Bourse de Tel-Aviv ont été suspendus dimanche après une importante baisse enregistrée dans le sillage de la dégradation de la qualité du crédit des Etats-Unis. Selon la radio publique israélienne, l'indice TA-100 des cent premières valeurs de la Bourse de Tel-Aviv a plongé de 6% avant la suspension des échanges.
11h39, TF1/LCI
Le G20 a tenu une conférence téléphonique sur crise de la dette
Le groupe des pays du G20 a tenu dimanche matin une conférence téléphonique d'urgence sur la crise de la dette en Europe et la dégradation de la note des Etats-Unis, a indiqué le vice-ministre sud-coréen des Finances. Des vice-ministres des Finances du G20 ont participé à cette conférence tôt dimanche matin, à ajouté le vice-ministre Choi Jong-Ku, refusant de donner des détails sur les discussions.
S&P maintient le "AAA" de la France
Le Figaro avec Reuters Mis à jour le 07/08/2011 à 08:46 | publié le 07/08/2011 à 08:46, extrait
La France garde sa note "triple A". Interrogé ce matin sur France Inter, l'économiste en chef pour l'Europe de l'agence Standard & Poor's, Jean-Michel Six, a déclaré que la note française était "stable". Jean-Michel Six a expliqué que la direction politique et la bonne gouvernance constituaient des facteurs importants d'évaluation pour son agence.
105e « bébé volé » identifié en Argentine
NDLR : Après tout, des vols d'enfants sont des pratiques tout à fait courantes et acceptables, surtout parmi des critiques, des bavards, des débiles ou des comiques qui n'hésitent pas à manifester très tranquillement leur mécontentement. D'ici quelques temps, des employés de bureau auront droit à une médaille de Papon ou d'Eichmann, s'ils ne l'ont pas déjà, puis nous n'en parlerons plus. D'après Google, le magistrat Olivier Echappé pourrait d'ailleurs déjà être bardé, au nom de l'honneur, de l'ordre et du mérite, amen. Je crois me souvenir qu'en juillet ou septembre 2008, le magistrat de la première présidence était déjà bardé, lui aussi ; en janvier 2010, je finissais par publier « Sieg Versailles ! »... « Mais faites appel, ça s'arrangera »
105e "bébé volé" identifié en Argentine
AFP Mis à jour le 08/08/2011 à 21:29 | publié le 08/08/2011 à 21:29
Des tests ADN ont permis d'établir la véritable identité d'une fille d'opposants disparus sous la dictature argentine (1976-1983), portant à 105 le nombre de "bébés volés" ayant ainsi récupéré leur véritable état-civil. Avec cette femme de 33 ans, "nous avons résolu 105 cas", s'est réjoui la présidente de l'organisation des Grands-mères de la Place de mai, Estela de Carlotto.
Il s'agit de Laura Reinhold Siver, fille de Susana Leonor Siver et de Marcelo Reinhold, tous deux disparus. Elle est née en 1978 alors que sa mère était incarcérée à l'Ecole de mécanique de la marine (Esma), symbole de la torture sous la dictature en Argentine. "Laura a pris l'initiative, après avoir eu des doutes sur son identité, de se rapprocher des Grand-mères de la place de mai et a accepté de se soumettre à des tests ADN", a déclaré Mme Carlotto, précisant qu'en 1982, la grand-mère maternelle de Laura déjà avait alerté l'association sur la disparition du couple et de l'enfant.
Les Grands-mères de la Place de mai estiment à 500 le nombre de bébés d'opposants nés en captivité et enlevés à leurs mères avant d'être adoptés par des dignitaires du régime militaire, qui a fait 30.000 morts ou disparus, selon les organisations de défense des droits de l'homme. L'ancien dictateur Jorge Videla, qui a mené le putsch du 24 mars 1976 contre le gouvernement d'Isabel Martinez de Peron, est actuellement jugé avec d'autres anciens dignitaires de la dictature pour le vol de bébés d'opposants. Il a déjà été condamné à la prison à perpétuité en décembre 2010 pour crimes contre l'humanité. a> a> a>Medvedev gracie une actrice russe condamnée en France et extradée
NDLR : Natalia Zakharova avait déjà été graciée en juillet dernier... mais c'était alors probablement un couac médiatique. Il fallait encore patienter. Aujourd'hui, l'information qui se propage dans les brèves semble émaner de sources plus officielles. Le site kremlin.ru confirme : « Acting out of humanitarian motives, the President signed an order pardoning Natalia Zakharova ». Sur Facebook, un soutien de Natalia s'émeut encore parce qu'elle n'aurait plus aucune nouvelle de sa fille Macha, depuis deux années. Cette situation me semble pourtant être assez normale, tout à fait banale et courante ; ces prédateurs de la Dass ou du social français ne donnent jamais aucune nouvelle d'un enfant lorsqu'ils prétendent s'en occuper. Wolfgang Priklopil n'a jamais laissé transpirer aucune information non plus ; Priklopil avait séquestré Natascha Kampusch, de mars 1998 à août 2006. On me rétorquera peut-être que Priklopil n'avait rien d'un professionnel de l'Aide Sociale à l'Enfance, ni d'ailleurs rien d'un pasteur protestant, qu'il n'était qu'un vulgaire pédocriminel. Qu'est-ce que ça change, sur la forme comme sur le fond ?
Vosges matin, publié le 06/08/2011
Medvedev gracie une actrice russe condamnée en France et extradée en Russie
Le président russe Dmitri Medvedev a gracié la comédienne russe Natalia Zakharova, condamnée à 3 ans d’emprisonnement en France pour avoir tenté d’incendier l’appartement de son ex-mari français et extradée en Russie, a annoncé hier le Kremlin. « Guidé par des principes d’humanité, j’ordonne de gracier Natalia Zakharova, née en 1955, et de la libérer » de prison, a déclaré M. Medvedev dans un décret. Alors qu’elle était détenue en France, Mme Zakharova a été extradée vers la Russie en mai suite à une demande des autorités russes et placée en détention dans une colonie pénitentiaire dans la région de Kostroma (centre).
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La ligne rouge
NDLR : Ca fini par me surprendre, toutes ces salades au sujet de l'euthanasie active et au sujet de la passivité dans des services d'urgence. S'agit-il réellement de sujets sensibles et polémiques ? Laisser crever des gens ou même les « assister » jusqu'à l'extinction des instances, par exemple, en les renvoyant systématiquement vers des jean foutre, dans des tribunaux et des cours d'appels, semble pourtant être des usages ou des pratiques tout à fait courantes, admises, encouragées même. Lorsqu'on creuse un peu ces sujets tels que la passivité coupable et les carences des services publics, on s'apperçoit en tous cas que pour la justice et pour ceux qui la rendent en premiers, la « ligne rouge » peut être assez souvent bien mordue sans que ça n'émeuve plus vraiment. Ca fait parfois geindre ces mêmes professionnels de la justice, principalement à huis clos ou en catimini, surtout lorsqu'ils ont été surpris en flagrant délire puis qu'on en discute de trop, en dehors des prétoires...
La ligne rouge
Sud-Ouest, mardi 16 août, 06h00
Sans attendre les détails de l'enquête, une partie de l'opinion s'est emparée du cas du médecin de Bayonne pour demander qu'on légalise l'euthanasie « active » en France. Pour les milliers de gens qui pétitionnent sur Internet, peu importe dans quelles circonstances précises Nicolas Bonnemaison a mis fin aux jours de quatre malades âgés aux urgences de l'hôpital bayonnais : il leur suffit de savoir que ce médecin a agi en son âme et conscience, mû par « la compassion ».
En somme, l'urgentiste, dont la fragilité psychologique a pourtant été pointée par ses collègues et qui avait été rétrogradé après avoir dirigé le service d'urgences de l'établissement, a été élevé au rôle de porte-étendard du « droit à mourir dans la dignité ». Difficile à ce stade de dire si c'est à son corps défendant, puisque le docteur Bonnemaison a, par l'intermédiaire de son avocat, clairement revendiqué avoir, à quatre reprises, précipité la fin de vie d'autrui.
567... ça n'en fini plus
123... j'ai pris mes premiers cours de salsa. 567... je pense avoir hacké, peut-être détourné un contenu ou piraté un petit dossier du parquet de Nanterre. Pour la bachata, c'est différent, beaucoup plus simple lorsqu'on débute, plus similaire à de la marche ou de la glisse : une pointe à 4 ainsi qu'une pointe à 8, en faisant tous les pas.
A suivre, comme expliqué plus bas... Je n'ai plus grand chose à ajouter encore dans ce billet dans lequel je souhaite en profiter pour taquiner ou railler également publiquement le cabinet d'avocats Cordelier associés, Paris 7e. Il y a peu, il m'est parvenu un exemplaire d'une « requête » signée par Maître Agathe Cordelier. J'ai d'abord eu l'impression de lire une débutante. Depuis relectures, j'ai plus le sentiment que Maître Cordelier demande à être déniaisée, en tous cas, ce sera fait, bientôt. Il n'est plus question pour moi de me laisser pourrir la vie ou des « dossiers » par ces créatures, des cafards du social ou de la famille qui sévissent près ces prétoires, Nanterre, Versailles, des cafards toujours très vifs et alertes en chambres dites du conseil, mais à chaque fois absents ou silencieux, parfaitement aphones, lorsqu'on s'efforce d'éclairer mieux ces scènes ou milieux.
Sur la droite, si j'ai pu bien lire sur cette photo que je n'avais pas le droit de prendre, une note du parquet de Nanterre au commissaire du coin. Je suis fâché, vraiment très fâché contre cette « justice », et c'est à mon avis motivé ; j'ai le sentiment que ce mardi 26 juillet, la police l'a assez bien perçu. Sans éléments pertinents en main, notament du papier régurgité par cette Administration, on ne peut rien publier, ni d'ailleurs répliquer et encore moins « faire appel ». J'ai donc pris cette photo, très discretement, à la volée, au cours d'un entretien avec la police. A la demande de Nanterre, elle me notifiait une décision du parquet tout en me refusant toute copie, y compris la copie du PV de notification. Pour bien marquer mon mécontentement, j'ai fini par refuser de signer ce PV, ce qui a été duement consigné sous mes yeux. Pour obtenir une copie de ce PV, la police m'a suggéré d'écrire au parquet. Mais je connais ce parquet, il ne me répond plus, toutes mes correspondances à son attention au sujet de plaintes portées entre 2004 et 2005 sont restées lettres mortes. A l'époque, je n'ai eu qu'une lettre de la section financière du parquet de Nanterre, elle m'informait que l'une de mes plaintes avait été classée sans suite, « régularisée d'office » il me semble ; cinq ans plus tard, le vent finissait par tourner, je mouchais tout de même le juge des tutelles et l'étude d'un notaire... car avec du papier entre les mains, des écrits de toute nature, on peut en effet obtenir parfois des résultats assez originaux. |
La photo est plus grande |
Cette note du procureur au commissaire du coin semble avoir été signée par Monsieur Ivon Tallec, elle parait en tous cas porter son tampon. J'ai fait quelques recherches, sur Internet. Selon Legifrance, Monsieur Tallec exerce les fonctions de substitut du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Nanterre. J'ai aussi trouvé quelques coupons de presse instructifs sur le site du Parisien et du Point, peut-être aussi les références d'un article du Canard enchainé n° 4667 du 7 avril 2010... ainsi qu'un rapport à l'Assemblée nationale, autant d'éléments qui pourraient m'être utiles par la suite. J'ai encore lu d'autres choses, beaucoup plus improbables, mais qui m'ont rappelé des ouvrages tel que celui de Pascal Vivet et Samuel Luret, L'enfant proie, un pamphlet très critique envers la justice et la protection de l'enfance.
Il y a quelques temps, Nicolas Sarkozy nous lançait que « en France, la justice est la même pour tous, ceux d'en haut et ceux d'en bas ». J'ai toujours autant de doutes à ce sujet précis. Dans ce pays, la justice pour les pairs, les amis et les princes est elle similaire à celle rendue pour de simples citoyens ? Une réponse suffisamment pertinente pourrait bientôt suivre. En effet, Albert II et Charlène de Monaco viennent de déposer une plainte à Nanterre, précisément... L'Express peut déjà souffler, il est assez probable que Nanterre ne traitera jamais cette plainte si elle a été portée directement auprès le proc', près ces prétoires ? Le prince Albert ayant des moyens dont je ne dispose pas, il est plus certain que l'Express aura l'opportunité de s'expliquer sous peu, dans le cadre d'une procédure après citation directe.
Entre début 2009 et début 2011, je me suis beaucoup plaint de diverses publications, sur Internet, des écrits souvent farfelus, fréquemment diffamatoires, parfois aussi injurieux et calomnieux, des publications ayant également souvent et pendant longtemps porté atteinte à ma vie privée. Ce mardi, par l'intermédiaire de la police, le parquet de Nanterre m'a répondu qu'il ne prennait pas « l'initiative des poursuites en cas de diffamation »... et que aujourd'hui, « les faits sont prescrit ». Ca m'a fâché et ça m'énerve encore. Toujours par l'intermédiaire de la police du coin, j'ai répondu au parquet de Nanterre que, dernièrement, lorsque je déposais une ultime plainte, début 2011, j'avais pris l'initiative et qu'alors, les faits n'étaient pas prescrits. A l'époque, j'en avais discuté avec les juristes de mon assureur, ma démarche leurs semblait alors tout à fait naturelle. Nanterre a donc tout classé ou foiré, comme d'habitude avec mes plaintes.
Fin 2009, alors que je connaissais déjà assez bien les pratiques ou usages des prétoires du coin, Nanterre et sa cour d'appel, Versailles, je finissais par porter une autre plainte encore, mais alors auprès du proc' près le palais de justice de Paris. Plus tard et n'ayant reçu aucune nouvelle, j'avais écrit au Garde des Sceaux. Plus tard encore, le parquet de Paris m'informait que ma plainte avait été transmise à Nanterre... Cette plainte est aujourd'hui très certainement également prescrite !
De mon point de vue et faute d'autres explications, ce genre de tribunaux classent, foirent ou éparpillent à peu près tout ce qu'on leurs envoie. Puis lorsque tout part en vrille, lorsque ça pue un peu trop le cadavre, la grosse boulette, le naufrage judiciaire ou le roussis pour les copains, les pairs ou ces compères, ces prétoires convoquent un psychiatre et vous font passer pour dangereux. Je parle et je publie, je peux être prolyxe, et d'un certain point de vue, je peux donc être d'autant plus dangereux ; à mon avis, le fonctionnaire ou juge pour enfant Xavier Serrier sera parmi les premiers à confirmer, je suis beaucoup trop bavard, donc vraiment dangereux
En mai 2010, je déposais encore une autre plainte, dans ce même secteur, en raison de dénonciations calomnieuses. Je ne pense pas qu'elle soit déjà prescrite. Mais d'ici quelques temps, comme conformément à des usages ou des coutumes, je constaterais qu'il n'y aura pas eu de suite. Toutes ces pages pourront alors être tournées et chacun pourra souffler...
Il me semble que l'idée que je pouvais être très dangereux avait d'abord germée dans l'esprit du juge pour enfant Anne Valentini, ainsi que dans les esprits des travailleurs sociaux de l'OSE France. Je pense que la première trône toujours à Nanterre et qu'aujourd'hui, elle s'abstiendrait de cancaner et d'affirmer qu'elle n'a jamais été désavouée par la cour d'appel de Versailles. Quant aux seconds, ils n'appréciaient pas trop non plus la grande facilité avec laquelle je pouvais déjà accéder à certains dossiers pour en extraire des pièces puis les étaler en ce qui serait justice ainsi qu'en public. Récemment encore, le magistrat Lise Geraud-Charvet était encore extrèmement ennuyé par l'une de ces pièces que j'avais pu me procurer aux alentours de janvier 2005, une pièce plutôt compromettante pour les travailleurs sociaux et quelques magistrats de ce secteur, Nanterre et sa cour d'appel de Versailles.
C'est le juge pour enfant Anne Valentini qui avait très lourdement insistée pour qu'un psychiatre soit missionné et rende une opinion qui lui convienne ; ce magistrat est un expert en ces matières, la justice et la psychiatrie, je crois que c'est indiscutable, mais je la qualife plutôt de crevure. J'attends toujours que quelques professionnels de ces sphères, le social, la justice ainsi que la psychiatrie commentent ce billet précis : Un cas clinique, histoire d'en rire. Plus récemment, plutôt que de se risquer à quelques commentaires à ces sujets, des rapports et opinions dont n'auraient pas eu à pâlir la justice et la psychiatrie sous Brejnev, un collège de la cour d'appel de Versailles présidé par le juge Lise Geraud-Charvet s'est encore contenté de renvoyer d'abord à l'autorité de choses très anciennes et viciées (on parle plutôt de « l'autorité de choses jugés » dans le jargon de ces mêmes professionnels).
Si l'interprétation de l'arrêt Civ. 1re, 20 oct. 2010, FS-P+B+I, n° 09-68.141 par Dalloz est correcte, « les juges du second degré saisis de l'appel d'un jugement en assistance éducative auraient pourtant du apprécier les faits en tenant compte de ceux survenus postérieurement à la décision attaquée. » Depuis juin 2008 (la décision attaquée), la cour d'appel de Versailles avait été cassé deux fois et Xavier Serrier, juge pour enfant attaqué par ma plume et mes procédures, avait perdu contre moi, en cassation. D'autre part, le juge des tutelles d'Antony avait aussi été désavoué (doublement), début 2011. Tout ce qui était ancien avait été cassé, désavoué et embarasse toujours autant tous ces juges et professionnels de la Dass. Comment, dans ce contexte, le magistrat Lise Geraud-Charvet a-t-il pu récement approuver un arrêt de cour d'appel à nouveau motivé d'abord par des choses anciennes et viciées, en balayant de nombreux faits et les éléments que j'avais pu rassembler depuis toutes ces années ? Il faut que j'en rediscute encore avec mon avocat à la cour de cassation.
En janvier denier, ayant probablement un bien meilleur flair que la chambre des mineurs, une chambre civile de la cour d'appel de Versailles rendait pour sa part un arrêt qui me donnait à peu près satisfaction. D'un point de vue stratégique, je n'avais que peu d'intéret à me pourvoir en cassation. Le ministère public aurait pu déclarer un pourvoi, mais il semble s'être abstenu. L'étude de Maître Charles Halter semble s'être abstenue, elle aussi. Depuis quelques temps, cet arrêt de chambre civile du 6 janvier 2011 est à mon avis définitif, il faut que j'en reparle aussi avec mon avocat à la cour de cassation. L'objet métallique qu'on peut voir, sur la photo ci-desous, est un entonnoir, un éteignoir de la raison ; le premier avril dernier, je le remettais sur ma tête pour railler encore la magistrature du coin et surtout la chambre des mineurs de la cour d'appel de Versailles
Au premier plan, un arrêt du 6 janvier 2011 qui infirmait une décision du juge des tutelles
En mars dernier, à l'audience auprès de la chambre des mineurs, j'avais bien perçu que le contenu d'une de mes dernières correspondances au juge pour enfant de Nanterre avait plongé le juge Lise Geraud-Charvet, présidente de la chambre des mineurs, dans un très profond embarras. Ce document et sa pièce jointe doivent encore être dans le dossier du juge pour enfant si la cour d'appel de Versailles et le TGI de Nanterre n'ont pas fini par tout éparpiller (c'est fréquent, par ici, en Moldavie Française). Cette correspondance au juge pour enfant figurait encore au dossier « d'assistance éducative » de mon aînée lorsque la chambre des mineurs était saisie, début mars dernier.
Cette lettre et sa pièce jointe répondaient au jugement rendu par Monsieur Thierry Baranger, le juge pour enfant de Nanterre, en juillet 2010. Le juge, complice ou bourreau pour enfant considérait alors que mon aînée n'avait aucun problème de santé, pas de vertiges, rien qui justifierait le moindre examen ni aucun traitement particulier. Je pense que cette réalité que je décrivais, en octobre 2010, aura suffit pour qu'au printemps dernier, la cour d'appel de Versailles trouve une ultime pirouette afin de ne plus avoir à se prononcer sur le fond de cette affaire, « le placement » ou « le sauvetage » de ma fille ainée : un problème de santé d'un enfant sert à blanchir ces pros de la Dass, et c'est tout, la santé du mineur « assisté », les juges s'en contre foutent. Après m'avoir encore noirci en « révisant » ou « revisitant » l'affaire, la Cour a donc avancé que mon appel était devenu « sans objet ». Je pense que une fois de plus, les juges de la cour d'appel ont oublié quelle était leur mission : ils devaient protéger les enfants, et non des tiers, des professionnels de la justice ainsi que de la protection de l'enfance.
Dans l'arrêt rendu ce 1er avril 2011, j'aurai souhaité que la chambre des mineurs se prononce sur ces défauts de soins dont ma fille ainée a souffert, depuis 2004. Mais il y a donc eu cette ultime pirouette juridique ou de banal procédurier pour épargner à la Cour, à la chambre des mineurs, d'avoir à se prononcer sur le fond... ainsi qu'encore ces rapports de « psy » pour me discréditer, pour justifier toutes ces mesures, pour « motiver mieux » ce « placement durable » de ma fille aînée, jusqu'à sa majorité. Ca me scandalise, comme depuis des années déjà.
En janvier 2011, une chambre civile de la cour d'appel de Versailles finissait donc par reconnaitres qu'elle avait perçu une « forte animosité » à mon encontre ; que personne ne s'en étonne plus, je suis d'abord trop bavard L'OSE France est une association qui oeuvre historiquement en faveur de populations juives défavorisées (ou pourchassées). L'association oeuvre dans le secteur de la protection de l'enfance mais également dans d'autres domaines, tel que celui de la Mémoire, celle aujourd'hui si chère à tous ceux qui nous gouvernent. Cette association, l'Oeuvre de Secours aux Enfants, ne peut que connaitre le programme Aktion T4, mis en oeuvre par le Reich, à partir de 39. Pour certains historiens, Aktion T4 a jeté les bases pour l'éradication systématique des juifs d'Allemagne et d'Europe, pour la Shoah. Aktion T4 a consisté en l'assassinat systématique d'au moins 200 000 à 275 000 aliénés et handicapés pendant la période du nazisme ; une petite dépression pouvait suffir pour être gazé. Plus tard, les juifs handicapés, présentant des déficiences ou des malformations, allaient compter parmi les premiers éliminés... D'accord, ni mon aînée, ni moi, ni aucun membre de ma famille n'avons été « éliminé », nous avons juste été « spolié », ce n'est donc pas très grave
« Pas de révision ! » ® Olivier Echappe, janvier 2010
En mars 2011, je me présentais auprès de la la chambre des mineurs suite à la cassation et à l'annulation de l'arrêt rendu le 22 mai 2009 par la chambre des mineurs de cette même cour d'appel de Versailles. Cette cassation, intervenue fin octobre 2010, « replaçait les parties en l'état du jugement du 30 juin 2008 », un jugement rendu par Monsieur Xavier Serrier, juge pour enfant à Nanterre. J'ai déclaré un ultime pourvoi, je pense avoir des moyens pour faire casser aussi l'arrêt rendu le 1er avril dernier, par la chambre des mineurs ; on verra ce qui suivra, d'ici 6 mois à 2 ans.
L'arrêt rendu en octobre 2010 cassait déjà tous les arrêts rendus par la chambre des mineurs de Versailles, depuis le printemps 2006 et jusqu'à janvier 2010 au moins. Sur cette même période, je n'ai pas chômé. J'ai tout de même pu contraindre ou apprendre au juge Olivier Echappe à compter jusqu'à deux, à lire correctement l'état civil de mes enfants, ainsi qu'à faire comprendre à ce même juge que certains membres de notre famille étaient décédés... Je crois qu'on peut assez raisonnablement utiliser le mot « autiste » lorsqu'on parle de tels juges. En retour, ces mêmes juges et leurs psychiatres ou psychologues martelleront bien évidemment et pendant longtemps encore que je serais « dans le déni »
Cette photo du 26 juillet est en effet | Quelques secondes d'inattention et un bon appareil photo, discret, furtif... clic ! Je sors souvent avec un petit compact dans la poche ou entre mes mains, les prises de notes sont instantanées et le plus souvent de qualité. Hacker la justice, c'est facile ; j'ai déjà plusieurs années de pratique derrière moi. Les compétences en lock picking et en audit de réseaux ou de systèmes informatiques ne sont pas requises, une bonne expérience en social engineering assortie de quelques compétences en droit peut se révéler amplement suffisante. En janvier 2005, j'avais déjà beaucoup hacké à Nanterre ainsi que dans le secteur de Taverny, dans le Val d'Oise. Le résultat était alors déjà insuportable pour Nanterre, pour le Conseil général du Val d'Oise ainsi que pour les travailleurs sociaux de l'OSE France. Pour s'en convaincre, lire ou relire Une main courante, un document « confidentiel ». |
Je me suis en effet aussi beaucoup servi des outils mis à la disposition par cette même Administration, depuis ses fichiers de mains courantes jusqu'à ses vitrines, tel que portail Legifrance, pour y pousser ou en extraire ce qui pouvait m'être utile. Depuis 2003, j'ai donc pu en fourrer jusque dans la jurisprudence de la cour de cassation mais également dans les minutes de différents huissiers de justice. La plupart de ces traces subsisteront maintenant durant des décénies.
Depuis 2005, j'ai aussi hacké le cabinet du Ministre de l'Intérieur, c'était alors Nicolas Sarkozy. J'ai également pu hacker le cabinet du Ministre de la Justice, et bien plus encore... Evidemment, ça dérange, ca dérange énormément cette « justice », ces supputés professionnels du social ou de la protection de l'enfance en premier. Je pense que ça dérange également beaucoup à l'UMP comme à l'Elysée (encore Nicolas Sarkozy). M'a-t-on laissé d'autres choix ? Je ne le pense pas.
Dès 2003, je constatais que la Dass (on parlera plus pompeusement de l'Aide Sociale à l'Enfance) était indigne de confiance. En 2004, je constatais encore que je ne pouvais pas faire confiance ni aux professionnels de l'OSE France et encore moins au juge pour enfant Anne Valentini. Début 2005, je constatais que « faire appel » de décisions du juge pour enfant Nanterre était une démarche tout à fait vaine. Dès la fin 2006, je me référais et citais un petit ouvrage de GIP Recherche Justice, La responsabilité des magistrats : les voies de recours sont illusoires lorsque les décisions contestées ou attaquées sont assorties de l'exécution provisoire... En 2008, je hackais puis je mouchais ou douchais la première présidence de la cour d'appel de Versailles, ainsi que le juge pour enfant Xavier Serrier. Fin 2010, je finissais par hacker encore Lexis Nexis ainsi que la revue juridique AJ Famille de Dalloz... |
Dalloz, AJ Famille, décembre 2010, |
Lorsque les juges, souverains dans leurs seigneuries et baronnies, persistent, récidivent et imposent une forme archaïque de l'appel, il n'y a jamais d'achèvement des procédures en cours, une fois placé, un enfant le restera jusqu'à sa majorité. C'est ce que j'expliquais déjà dans un billet d'octobre 2008, Ca me fait souvent penser à Tchernobyl ; les juges ou ces ronds de cuir de la protection de l'enfance gagnent à tous les coups, surtout lorsqu'ils ont été surpris en flagrant délire.
En 2008, je finissais par hacker également l'instruction de Sarreguemines ainsi que le tribunal administratif de Strasbourg. Ca m'a été utile à ébaucher une définition de la Moldavie française. C'est insoutenable, « c'est pas possible », répondront des juges, « il y a des voies de recours », soutiendra même et malgré tout un juge pour enfant de Bobigny...
Il y a peu, j'ai été convié par un juge d'instruction de Nanterre (encore !), il souhaitait que je témoigne, ce que j'ai volontiers accepté. Je n'ai pu que hacker à nouveau... car, comme à peu près tout le monde, j'ai deux oreilles. Au cours de cet échange, le juge m'exposait suffisamment son propre dossier, mais oralement seulement ; j'en ai appris et j'en retiens de bien bonnes. Je pourrais peut-être parler voire même réagir plus tard, s'il me parvenait un jour une quelconque décision écrite. Ce juge étant saisi, il devra forcément rendre un jour une ordonnance de non-lieu ou de renvoi, que pourrait-il faire d'autre ?
Doutant qu'il me parvienne un jour une quelconque ordonnance, je vais faire hacker le bureau et, si possible aussi, les petits papiers et les cartons de ce juge d'instruction qui m'a fait témoigner. Je vais faire saisir moi-même un juge d'instruction (à Nanterre, forcément ), en raison de dénonciation(s) calomnieuse(s) ou imaginaire(s). Ces démarches sont souvent employées pour exercer des pressions, pour bien faire chercher ceux qui fouinent et farfouillent déjà.
D'ici quelques temps, lorsque tout cela sera également prescrit ou peut-être foiré... j'en conserverais un petit dossier supplémentaire, des élements qui devraient encore une fois replonger le parquet du coin dans l'embarras, surtout s'il suivait des renvois de tiers en correctionnelle, puis des traitements prescrits par des juges indépendants, après un voire même après plusieurs procès en public. S'il ne suivaient que des ordonnances de non-lieu, aucun renvoi, le parquet est susceptible d'être embarrassé également, par exemple, pour n'avoir envisagé de donner suite ou de n'avoir pris très au sérieux, par le passé, que des plaintes, des gérémiades et des déclarations farfelues. Dans tous les cas, à l'issue de ces nouvelles démarches, je pense que le parquet aura bien barbotté encore, dans l'embarras.
« Pirater » l'instruction en saisissant son Doyen est à mon avis une démarche tout à fait légale et vu les élements dont je dispose aujourd'hui, parfaitement légitime aussi. Je vais confier ce « hack » à un avocat ayant pignon dans Paris.
Quiconque a fréquenté des prétoires sait à peu près où se situent et qui porte des robes noires. Par contre, tout le monde ne sait peut être pas ce que peut signifier « hacker » ou « hackeur » alors qu'on nous parle le plus souvent que de « piratage » et de « pirates ». Depuis quelques semaines, France Info retrace « 30 ans de cybercriminalité ». A écouter, pour mieux comprendre et faire quelques distinctions : leur podcast « Hackers chapeaux blancs contre chapeaux noirs ».
« Pirater » la justice ou l'Administration comme je viens de le faire ce mardi 26 juillet, avec un appareil photo, je ne crois pas que ce soit grave. Je viens de trouver un document utile sur concoursattache.canalblog.com (Préparation Concours Attaché Territorial 2011-2012). Ce document d'introduction générale au droit rappelle que les actes juridiques (« manifestation de volonté ayant pour but de la création, la modification ou l'extinction d'un droit ») se prouvent par « une preuve parfaite ». Mais ce document plutôt touffu énumère également des exceptions parmi lesquelles figure « l'impossibilité matérielle ou morale de se procurer une preuve littérale de l'acte juridique. » D'autre part et comme ce mardi, l'Administration ne me remettait aucune copie ou écrit, il me fallait plutôt un début de preuve d'un « fait juridique », la preuve d'un « événement susceptible de produire des effets juridiques » ; comme je l'écrivais plus haut, il me fallait des élements pour pouvoir bavarder, m'exprimer...
En attendant que cet ensemble se décante un peu et soit aussi « prescrit », je vais faire tirer cette belle et grande photo prise ce mardi 26 juillet, au commissariat du coin, puis je vais l'expédier à l'Elysée, à l'attention de notre chantre national, Nicolas Sarkozy. J'y ajouterais une carte de visite, le château connait assez bien mon blog et mes divers « dossiers ». Au dos de cette photo, j'ajouterais une simple question manuscrite : « Selon vous, en s'abstenant de la sorte, en s'abstenant comme toujours lorsque je porte plainte, le procureur de Nanterre a-t-il été suffisamment servile ? » S'il avait donné suite à l'une de mes plaintes, le procureur de Nanterre se serait-il fait sermonner ou rappeler dans les rangs, comme celui de Dunkerque ?
A suivre... Je finirais de rédiger ce billet au cours des prochains jours, comme souvent, dans ce blog. Pour le moment, j'ai mieux à faire que de perdre encore plus de mon temps avec toutes ces salades, par exemple, danser. 123...
« Plus lieu à A. E. majorité »
« Enfin la quille », me lancera la cour d'appel de Versailles. Autant d'empressement et d'entrain pour foirer puis classer des dossiers ou procédures, le plus souvent en catimini ou en toute discrétion, m'amusera pendant longtemps encore. « Un travail de professionnels », reprendra la Magistratüre de ce pays, « soupir et soulagement », poursuivra le pasteur d'Uhrwiller
Je vais évidemment « faire appel » de cette décision, peut-être la pousser également jusqu'en cassation. J'ai le très net sentiment que le juge pour enfant de Nanterre s'est encore une fois moqué de moi, du droit, de jugements ou d'arrêts précédents, c'est à dire de l'autorité de choses dites ou supputées jugées, etc...
Qu'est devenue Maître Delphine Roughol, Justine, maintenant majeure, ne pouvait-elle plus bénéficier des conseils ou services d'un cafard pour enfant ? Que contiennent ce « rapport éducatif » du 5 septembre 2011, ce « courrier » de Justine et qu'en pense le ministère public, s'il a pu en prendre connaissance avant ou même depuis « classement » ?
Copé dénonce un « climat de suspicion »
NDLR : J'ai enfin pu ou pris le temps de faire tirer ma belle photo prise en juillet dernier, dans le bureau d'un policier ; ce fonctionnaire me faisait alors part, mais oralement uniquement, d'une décision du parquet de Nanterre. J'ai prévu d'envoyer un tirage de cette photo à Copé ; le secrétaire général du bon parti ne pourra que difficilement soutenir que j'écris, publie ou affirme des choses « sans preuves ». Depuis cet été, j'ai pris le temps de visiter l'exposition juger Eichmann, très enrichissante ; j'ai appris que Eichmann aurait demandé une autre affectation à sa hiérachie, mais oralement seulement ; j'ai surtout pu constater que le ministère public israélien semblait reprocher à Eichmann, ce fonctionnaire, de ne jamais avoir formulé sa demande de changement d'affectation par écrit... susceptible de constituer un « début de preuve » pour son procès. Je trouve ces élus tels que Copé et ces prétoires particulièrement « suspects », depuis un moment déjà ; ils ne jureront manifestement que par des « preuves » que notre administration judiciaire et la Dass réchignent souvent à vous fournir.
Copé dénonce un "climat de suspicion"
AFP Publié le 05/10/2011 à 10:20
Interrogé aujourd'hui à propos des accusations d'espionnage contre Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande, Jean-François Copé a dénoncé un "climat de suspicion entretenu sans preuves", lançant: "trop, c'est trop".
"Si c'est avéré, c'est inacceptable et si ce n'est pas avéré, c'est inacceptable aussi de porter ainsi atteinte à l'honneur de nos dirigeants qui font leur métier au service de la France", a déclaré sur France Info le secrétaire général du parti présidentiel, à propos de l'information de l'Express.
L'hebdomadaire a fait état d'investigations menées aus sujet de la compagne de François Hollande, article contre lequel le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, doit porter plainte pour diffusion de fausses informations et diffamation.
Ce monde est petit
Je me doutais qu'un juge pour enfant ainsi que l'ASE et un « expert », un « psychologue », allaient se prendre un gros vent, mais à ce point là... Dans le cadre de la journée mondiale des premiers secours, ce samedi 10 septembre, à Paris, la Croix Rouge enseignait « les gestes qui sauvent ». Mais cette édition du 19/20 de France 3 présentait d'abord une histoire « très sensible », celle d'Arthur et Valentine qui ne souhaitent pas être « placés ». Reportage à Limeil-Brévannes :
Le 19/20 de France 3 région Paris IDF,
samedi 10 septembre au soir
Ce samedi 10 septembre, sur place, j'ai d'abord relevé la lucidité, l'ambiguité, la dangerosité et la virulence de certains slogans et discours. « La violence, si tu te tais, elle te tue, mais si tu parles, la justice t'achève ». « La justice sacrifie les innocents et protège le bourreau »... « Un juge peut-il bafouer les lois ? » Présent, Joseph Rossignol, maire (DVG) de la ville, a proposé d’accrocher les ballons du cortège au fronton de la mairie « jusqu’à ce que Valentine et Arthur aient l’esprit tranquille ». Dans son 19/20, France 3 en ajoutait, présentant d'abord une mobilisation de soutien pour ces deux enfants qui sont sous la menace de l'exécution prochaine ou possible d'une décision de « placement », un « placement » auquel Valentine et Arthur sont opposés, ils souhaitent bien évidemment rester et vivre auprès de leur mère.
Michel Rocard aurait été le bienvenu au cours de cette marche puis pour ce rassemblement, devant la mairie de Limeil-Brévannes. L'ex ministre aurait à nouveau pu plaider en faveur du droit fondamental de dire « n'importe quoi » et de l'immunité ou de l'impunité pour tous
Au dela de tous ces slogans, opinions et discours susceptibles d'être « interprétés », voire même dévoyés, puis retournés contre leurs auteurs et leurs protégés, cette marche puis ce rassemblement de 250 à 300 personnes - dont de nombreux enfants - était un succès. Mais comme je l'ai expliqué à la mère de Valentine et de Arthur, ce succès est evidemment susceptible d'irriter l'ASE et le juge pour enfant actuellement saisi.
Ce samedi 10 septembre, à Limeil-Brévannes, la protection de l'enfance a surtout été surprise en situation d'échec, des échecs multiples et, depuis ce samedi, flagrants. Comment réagiront maintenant le juge pour enfant et l'ASE de Paris ? De façon maladroite et virulente, en retirant bientôt Valentine et Arthur de leur milieu actuel, matérialisant alors un échec de plus, un « placement » non ou très mal préparé ? Face à cette mobilisation dans Limeil-Brévannes, il est aussi possible que l'ASE attende à présent de nouveaux et prochains débats auprès de la cour d'appel de Paris...
Il y a peu, le juge pour enfant ordonnait un placement, un placement déjà confirmé courant août dernier, suite à référé suspension. Une telle décision, « confirmée », s'impose à tous. Mais il semblerait que l'ASE de Paris n'a pas su ou pu préparer « l'accueil » de Valentine et de Arthur, qu'il n'y ait pas de solution sauf « d'urgence », ce qui relèverait bien d'un ultime échec de la Dass. Couac après couac, Valentine et de Arthur finiront-ils prochainement en foyer ou en familles d'accueil, comme l'a récemment exigé le juge pour entant ? Pour le moment, ils restent auprès de leur mère avec cette menace de « placement », une épée de Damoclès, un glaive susceptible de trancher ou non au cours des semaines ou des mois qui suivent. Mais nous devrons bien évidemment parler de « mesures de protection », « en faveur » de ces deux enfants, des mesures tout à fait appropriés et parfaitement adaptées à leur développement, leur épanouissement, etc...
Arthur et Valentine subiraient ces « pressions » ou des menaces de « placement » depuis plusieurs années déjà. Leur père avec qui ils ne veulent plus avoir de relations en raison de « maltraitance » pourrait être à l'initiative de ces mesures « d'assistance éducative », je n'ai pas connaissance de son opinion à tous ces sujets. Selon le Parisien et des discours entendus ce samedi, à Limeil-Brévannes, ces mesures auraient été demandées pour cause « d’aliénation parentale ». Ces enfants ainsi que leur mère se plaignent de faits précis, mais des faits qui n'ont fait l'objet d'aucune sanction ; pour des juristes, pour des juges, ces faits ne sont donc pas « avérés »... Le juge pour enfant de Paris parlera plutôt d'une mère et d'un environnement « toxique » dont il faut éloigner ces enfants, probablement pour qu'ils puissent renouer avec leur père ? D'ici 6 mois, connaissant ces pratiques de sauvages et leurs résultats, très variables et aléatoires, Valentine et Arthur pourraient très bien ne plus avoir aucune relation avec leur mêre et toujours pas de bien meilleures relations avec leur père. Si cette affaire foirait complètement, comme d'autres, nous en dirons que ces enfants n'auront pas su « profiter » du dispositif, ou que leur mère était « vraiment très toxique »...
Cette affaire, également « d'ordre privé », m'intéresse de plus en plus, du fait des acteurs en scène ou dans ses coulisses. Nous retrouvons donc le juge pour enfant Herve Hamon ainsi que le charlatan ou pédo-psychanalyste Claire Davidson, co-auteurs d'un ouvrage rejeté par la cour d'appel de Versailles et le juge pour enfant de Nanterre, la revue Dialogue n° 165, de Erès (rubrique Sciences humaines « et les pratiques qui s'en inspirent »). La cour d'appel de Versailles ne sait qu'instruire et revisiter ou réviser à charge ; en faveur de ma fille Justine, Versailles n'a donc conservé qu'une « expertise » de Madame Davidson et a écarté cette revue. Car Claire Davidson est également intervenue dans mes propres affaires « d'ordre privées », rendant un rapport « en faveur » de ma fille ainée, un document me décrivant moi-même « toxique » ou « dangereux ».
J'ai pour ma part conservé la revue Dialogue n° 165. En regard d'arrêts et de jugements rendus au cours de ces dernières années, par la cour d'appel de Versailles et le tribunal pour enfant de Nanterre, cette revue Dialogue me permet d'affirmer qu'un bon juge ou bourreau pour enfant a pour fonction de définir un cadre dépourvu de bases légales et morales, un cadre qui s'impose à tous, qui plonge les enfants dans une sorte de chienlit éducative et qui intime aux parents de se taire ; tout parent qui s'aviserait de « critiquer », de « faire appel » ou de « rouspéter » sera estampillé « défaillant » ou « toxique », voire même « indigne » ou tout simplement « débile ». En ce sens, j'approuve tout à fait l'un des slogans que j'ai aperçu, ce 10 septembre, à Limeil-Brévannes : « La violence, si tu te tais, elle te tue, mais si tu parles, la justice t'achève », un joli clin d'oeil aux services de communication du Conseil régional de l'Ile-de-France ainsi qu'à des placards affichés dans ses commissariats de police.
J'ai toujours été bavard, prolixe, particulièrement sur Internet, et lorsque j'en avais l'opportunité, auprès de journalistes ainsi que devant des caméras. Au cours des années passés, j'ai souvent pu constater que cette forme de justice, pronfondément inique, rendu par le juge pour enfant ou pour créatures inférieures, ne supporte pas la médiatisation. En retour, les juges se sont fréquemment dévoilés d'autant plus virulents, et très couards ; ils ne m'ont toujours répondu qu'à huis clos, en chambre dite du conseil. « C'est une affaire d'ordre privé », reprendra le ministère de la justice.
En 2005, j'avais bien compris que la Dass et ces magistrats allaient tolérer, ordonner, encourager et même faire n'importe quoi. A l'époque, je protestais et contestais déjà beaucoup ; pour me répondre, les juges ont alors convié un expert psychiatre, un « précieux atout ». En octobre dernier, à Blois, à l'occasion des rendez-vous de l'Histoire, un modérateur m'a confirmé qu'un peu partout à travers le monde, les critiques ou les opposants se font fréquemment traiter de fous par le pouvoir en place... La réaction du juge pour enfant et de la cour d'appel de Versailles n'avait donc rien d'exceptionnel ni de bien inattendu. A défaut d'autres moyens pour me faire taire, un avis psychiatrique tendait à me discréditer, aurait pu me dissuader de bavarder et de publier. Ces palabres indignes d'une femme de ménage ne me touchent pas, ce que j'ai bien fait comprendre, en avril dernier, à la chambre des mineurs de la cour d'appel de Versailles. Peu avant avril dernier, probablement moins naïve ou moins téméraire, une chambre civile de la cour d'appel de Versailles reconnaissait tout de même qu'elle avait perçu une « forte animosité » à mon encontre ; c'est toujours ça.
Beaucoup plus tard, j'apprennais qu'en 2005, l'association OSE France ou l'Oeuvre de Secours aux Enfants faisait face à de sérieuses difficultés financières. A la même période, l'OSE France, ces experts du sauvetage et de la mémoire ou de la Shoah, essuyait déjà le scandale des tomes perdus de la BNF... Je pense qu'en s'efforçant de me discréditer alors que je critiquais déjà beaucoup la Dass, l'OSE, ces professionnels et juges se sont d'abord épargné un gros désastre financier et social (leurs emplois). Mais ces mêmes professionnels et juges martelleront bien évidemment qu'ils ont toujours tout fait et ordonné dans l'intérêt de ma fille aînée, pour sauver son « psychisme ». « Un juge peut-il bafouer les lois ? » Oui, et la morale aussi
Ce 10 septembre, j'ai été surpris par les discours de monsieur Jacques Rousseau. Il disait représenter un collectif d'associations, des associations que je connais pour les avoir beaucoup lues ou étudiées. J'ai le sentiment que ces associations et moi, nous sommes « en froid » ; dans mes propres affaires, ce même collectif serait susceptible de soutenir le pasteur d'Uhrwiller, une femme... Claire Davidson et le juge Anne Valentini sont aussi des femmes. Lise Geraud-Charvet, magistrat, et Magalie Bodon-Bruzel, psychiatre, sont également des femmes. Je pourrais en nommer beaucoup ; selon mes sources, les femmes sont surreprésentées dans le secteur de la Dass ou de la protection de l'enfance, un constat qui peut cependant être nuancé, elles sont souvent chaperonnées par des hommes.
« La justice sacrifie les innocents et protège le bourreau »... Qui sont les bourreaux, dans ces histoires ? Lorsqu'on lit L'Enfant d'Abord et Maurice Berger, pédo-psychiatre, ce ne seraient que très rarement les femmes et systématiquement les hommes. Pour s'en convaincre, il suffit de feuilleter le livre noir de la garde alternée, un contenu qui m'avait inspiré un article peu avant sa parution, en octobre 2005, le Code noir. Claire Davidson, une femme, et le juge pour enfant de Paris vont pouvoir persister et marteller que la mère d'Arthur et de Valentine ainsi que leurs soutiens sont tous très « toxiques », avançant pour preuve qu'ils contestent, protestent, font appel et osent même médiatiser cette histoire, celle de Valentine et Arthur
Début 2005, la chambre des mineurs de la cour d'appel de versailles affirmait que pour son équilibre, Justine devait maintenir des relations avec sa famille maternelle ainsi qu'avec sa famille paternelle. Plus tard, Claire Davidson affirmait que j'empêchais Justine d'aimer les femmes de sa famille maternelle. Aujourd'hui et depuis longtemps déjà, Justine n'a plus la moindre relation avec moi qui suis son père. Je pense que c'est assez représentatif, caricatural même, de ce fabuleux travail dont sont capables ces professionnels de la Dass, de l'Aide Sociale à l'Enfance ou de la Protection de l'Enfance française. « Ne l'écoutez pas, M. KANT est débile, dangereux, indigne », se risqueront les magistrats du coin ?
On baigne dans l'irrationnel. La mère de Valentine et d'Arthur serait-elle moins neutre, plus « toxique » et moins digne de confiance que le pasteur d'Urwiller ? On s'apperçoit surtout qu'effectivement, avec les mêmes idéologies, théories ou « psychologues », les juges pour enfant font la pluie et le beau temps, choisissant un parti, de façon discrétionnaire, puis dénigrant et écartant l'autre des enfants. J'ai tout de même le sentiment que le père de Valentine et d'Arthur pourrait avoir des explications à nous fournir ; pourrons nous les entendre ? Le couple Clementz a toujours refusé de s'exprimer en public, de répondre à des journalistes ; DSK n'a pas parlé non plus, on se demande encore ce qui s'est passé, selon lui, dans la suite du Sofitel, à NYC... « mais rien du tout, le parquet a d'ailleurs abandonné les poursuites. »
Si mon intuition est bonne, si la Dass de Paris travaille comme Nanterre et l'OSE France, d'ici quelques temps, Arthur et Valentine seront finalement « placés », puis pour le juge ou bourreau des enfant de Paris, leur parole sera enfin « authentique » lorsqu'ils accepteront d'être confiés à leur père. Les juges et ces gorets du social savent « réformer » la pensée, comme des chinois ont pu le faire, dans les années 50 (lire
De pressions en pressions, sur les enfants comme sur les parents, les enfants finissent par se détacher de leur milieu de vie, parfois par y renoncer, puis à se résigner à être « placés » ou « déplacés », confiés à quelqu'un d'autre. « Le modèle de toute séparation est celui de la naissance, une renaissance, ailleurs, loin du précédent milieu de vie, jugé toxique », pourrait expliquer Richard Josefsberg, « l’agrippement est à la base à la fois de l’attachement et de la séparation, une fois établie la confiance de l’enfant, la séparation définitive de la mère a lieu soit du fait de la mère soit du fait de l’enfant », poursuivra-t-il.
Mais pour le moment, Valentine et Arthur ne sont pas encore « placés » et refusent encore ces mesures dont ils sont supposés « profiter », bientôt. Je les soutiens dans ce refus. Même si je suis loin de partager les opinions de l'association ARVA, ce 10 septembre, à Limeil-Brévannes, j'ai rempli un bulletin d'adhésion, il sera fondu parmi les autres.
Un arrêt du 18 mai 2005 rappellait le droit des mineurs capables de discernement d'être entendus dans toutes les procédures qui les concernent. Un juge pour enfant peut cependant écarter l'audition d'un mineur, surtout si les palabres de psychologues ou de charlatants tendent à le discréditer. Les juges pour enfant de Nanterre et de Versailles s'éclaireront d'abord auprès de Claire Davidson. En septembre 2008, un juge de Nanterre a réclamé l'audition d'un dalmatien, il avait fait rire la France entière...
Je pense cependant que Arthur et Valentine ont été assez bien reçus par le juge pour enfant de Paris. Ces enfants refusent leur « placement » et l'idée que leur mère pourrait être « toxique », ils refusent également des relations avec leur père. Arthur et Valentine refusent tout simplement le « cadre éducatif » que souhaite leurs imposer le juge pour enfant et Claire Davidson (lire ou relire la revue Dialogue n° 165, « L'autorité parentale et les mutations de l'ordre familial »).
Jusqu'à la mi-2005, ma fille Justine souhaitait rester ou rentrer à la maison. Le juge pour enfant de Nanterre estimait qu'elle était alors inaudible. J'ai foutu le Conseil général du Val d'Oise dans la merde, l'OSE France dans la merde, le juge pour enfant de Nanterre dans la merde... puis les pressions de ces professionnels sur ma fille Justine se sont faites de plus en plus intenses (relire Bulles n°40, la réfome de la pensée, et Richard Josefsberg, « internats et séparations »), pour qu'elle accepte enfin un « placement » en Alsace, dans sa famille maternelle. Tout a basculé en octobre 2005, je venais d'écrire un peu partout, à l'Elysée, à l'IGAS, etc... puis tous mes droits de visite et de correspondance avec ma fille Justine ont rapidement été suspendus. Un peu plus tard, les juges de Versailles ont affirmé que c'était à ma fille de 13 ans (comme Arthur, aujourd'hui) de décider quand elle renouerait avec nous, sa famille naturelle, celle de son père (la mère de Justine est décédée en 1999). Je n'ai pas eu la moindre nouvelle de mon ainée, pendant bien plus de deux ans.
Début 2008, j'ai appris que Justine souhaitait renouer avec nous. Elle avait déjà 15 ans. Les juges ont refusé de l'entendre. J'ai engagé une procédure de prise à parti contre Xavier Serrier, juge pour enfant alors saisi. Il a refusé d'entendre Justine. J'ai fait appel ainsi qu'un référé suspension. La cour d'appel a refusé d'entendre Justine et a blanchi Xavier Serrier (dans la foulée, la cour d'appel et ce juge ont cependant perdu contre moi, en cassation, une première fois). C'était très virulent... mais au cour de l'été 2009, Justine avait tout de même pu passer deux mois à la maison. Elle avait 16 ans. Peu après, Justine refusait à nouveau des relations avec nous et les juges l'ont à nouveau et très volontiers entendue... J'ai alors fini par me faire une raison, Justine allait rester « placée » jusqu'à sa majorité, comme l'avait « recommandé » l'ASE des Hauts de Seine, dès début 2003, puis comme l'avaient exigé ensuite le juge pour enfant de Nanterre et la cour d'appel de Versailles.
Tant que la parole ou les désirs d'un enfant s'opposent au « cadre éducatif » ou à la volonté du juge pour enfant, l'enfant est inaudible, son audition est écartée par les juges, ou les juges n'en conserveront que ce qui est susceptible d'accabler leur(s) parent(s), par exemple, des comportements ou des propos « interprétables » ou dont pourront s'emparer des psychologues, des psychiatres ou des travailleurs sociaux... En novembre 2005, au cours d'une audience très dure, Justine, 12 ans, n'avait pas dit un mot, n'avait qu'un peu pleuré ; le juge pour enfant Thierry Reveneau a « interprété » ou lu dans ses larmes comme d'autres auraient pu lire dans des entrailles d'un poulet : « les larmes de l'enfant démontrent que... » Tous mes droits ont été suspendus. Quoi et comment répondre à ce genre d'allégations, à pareils tyrans ou gurus dans la toute puissance ?
Arthur et Valentine vont devoir se faire une raison, à leur tour, ils ne seront pas entendus tant qu'ils s'opposeront à la volonté du juge pour enfant de Paris ? Sébastien, le petit fils de Mireille Millet n'a pas été entendu non plus. Macha, la fille de Natalia Zakharova, n'a, à mon avis, pas été entendue non plus, on peut le lire dans un arrêt de rejet rendu par la CEDH.
Ce 10 septembre, certains ont parlé du Défenseur des enfants, du Défenseur des Droits également. Je n'ai pas pris la peine d'écrire au second. J'ai parfois écrit au premier. Il y a longtemps, j'ai également écrit à la HALDE ainsi qu'à la MIVILUDES. Je pense que seule la MIVILUDES pourrait m'avoir assez bien lu et compris, elle m'a répondu, en 2006, il me semble.
Ces services n'interviennent pas lorsque le juge ou bourreau pour enfant est saisi, ne réfléchissent ou ne répondent parfois même pas. Le juge pour enfant est souverain, comme dieu tout puissant ; on ne peut que faire appel de ses décisions, user les voies de recours prévues par la loi, mais lorsqu'on fait appel, on ne fera que démontrer à ce même tout puissant ou bourreau pour enfant qu'on s'oppose à sa volonté, au cadre ou la chienlit éducative qu'il impose...
En novembre dernier, une réponse du Défenseur des Enfants me laissait consterné ; je ne suis pas sur qu'il m'ait lu avant de me répondre. Puis en janvier 2011, alors que j'avais fait appel, je faisais désavouer deux juges des tutelles, le parquet se prennait encore un revers et une étude de notaire se prennait une bonne déculottée ; je n'ai pas pris la peine d'en faire part ou de répondre à nouveau au Défenseur des Enfants, ni d'ailleurs à d'autres de ces obéissants ou soumis services non plus.
Il y a peu, ces services et autorités ont tous pu souffler ; mon aînée est aujourd'hui majeure. Cette semaine, j'ai cependant fait appel de l'ultime et dernière décision rendue par le juge pour enfant de Nanterre. Après cela seulement, et lorsque la chambre des mineurs m'aura une fois de plus débouté, ce marathon judiciaire sera enfin derrière moi et tout le monde sera tranquille ?
Pierre Pedron, Yvon Tallec, l'Enfant d'Abord ou Maurice Berger, cet extrémiste pas très rigoureux... ce monde de la protection de l'enfance est assez petit, nous retrouvons très souvent les mêmes acteurs, contributeurs ou intervennants. Avec ces noms, en farfouillant sur la toile, j'ai remis la main sur le rapport de la commission Varinard et ses propositions de réforme de l'ordonnance de février 45. Rachida Dati soutenait ce projet de réforme, elle affirmait alors que la prison dès 12 ans relève du « bon sens », suscitant une polémique assez vive, quelques juges pour enfants, des militants de gauche, DEI-France ainsi que le Défenseur des enfants devraient s'en souvenir.
Ce 10 septembre, à Limeil-Brevannes, on nous a lu une lettre que Arthur, 13 ans, a envoyé à Nicolas Sarkozy, Président de cette République. Arthur lui exposait sa déception, ses désillusions, constatant déjà que les idéaux de justice présentés et décrits au collège ne prévalent plus lorsque le juge pour enfant est saisi. Arthur a déjà pu comprendre qu'il est largement en âge d'être condamné, au pénal, et bien pu percevoir aussi qu'il ne sera pas entendu par les juges... où prévaudront les opinions toutes particulières de Madame Claire Davidson, « psychologue ». J'ai aujourd'hui 43 ans ; récement encore, la cour d'appel de Versailles a une fois de plus refusé de m'entendre, avançant, comme depuis 2005, les palabres du charlatant Davidson. Je doute fort que les juges ou bourreaux pour enfants de Paris entendront d'avantage ou bien différement Athur, 13 ans. Mais attendons la suite, ainsi qu'une éventuelle réponse de l'Elysée à la lettre de Arthur...
Le Défenseur des enfants produisait également des rapports et des avis, parfois des condensés d'opinions, des contenus pas toujours convainquants et tous manifestement inutiles lorsque le bourreau pour enfant est saisi. J'ai souvent évoqué son rapport annuel de 2005, ce que j'en retenais et que je rappellerais récemment encore est aujourd'hui susceptible d'embarasser l'association ARVA, des adultes qui soutiennent Valentine et Arthur, de la page 99 : « Il arrive que les adultes se cachent derrière les voeux exprimés par l’enfant pour échapper à leurs propres responsabilités ou pour faire valoir leur propre point de vue ».
Mais je ne pense pas que ARVA ait à échapper à de quelconques responsabilités ; je n'en dirais pas tant de certains professionnels de la Dass... Quand au point de vue de cette même association, ARVA, j'ai le sentiment qu'il est assez conforme à celui encore promu et enseigné dans nos collèges, ainsi qu'assez conforme également à celui promu par de nombreux spécialistes en matière de droit de la famille et de l'enfant ; et j'en connais donc d'autres, des professionnels moins sérieux ou plus illuminés, qui n'hésiteront pas à lire dans des larmes des enfants pour faire valloir n'importe quoi !
Dans sa présentation, ARVA est suffisamment explicite, avançant d'abord que « Les avis d’Arthur et Valentine ne sont pas pris en compte alors qu’à 13 et 10 ans ils sont capables de discernement ». De nombreux avocats pourraient soutenir un discours assez similaire puis tenter ensuite de le faire valloir dans un prétoire ; des avocats de Mme Bettencourt, la mère, n'en font pas moins ni d'avantage lorsqu'ils dénoncent des irrégularités et contestent des expertises ou leur validité.
Mais comme exposé plus haut, personne ne devrait jamais critiquer le cadre ou la chienlit éducative souhaité et imposé par le juge pour enfant, c'est également valable pour tout représentant, avocat ou cafard pour enfant. Je pense que, avec les magistrats de mon secteur, Maître Delphine Roughol a assez bien défini le rôle ou le parfait profil de l'avocat pour enfant. Certains cafards sont noirs et la plupart ont la réputation de fuir la lumière, était-il utile de le rappeler ?
« Un juge peut-il bafouer les lois ? » Bien sûr ! Ce bourreau pour mineurs ou créatures inférieures dispose d'abord d'un concept mou qui permet voire même encourage toutes sortes de pratiques et dérives, un concept qui pousse aux naufrages : « l'intérêt de l'enfant », son « intérêt supérieur ». La Dass et ce juge disposent encore d'autres outils de mystification, par exemple, le « dossier d'assistance éducative » : « strictement confidentiel », « dans l'intérêt de l'enfant », bien évidemment. La Dass et ce juge disposent également d'une bonne caution : le cafard d'enfant, sa contribution à l'histoire assurera aux plus naïfs que les droits du « mineur protégé » sont systématiquement ou ont toujours été respectés. Au cours de toutes ces années de procédures qui concernaient ma fille aînée, Maître Delphine Roughol n'a jamais critiqué ou contesté la moindre décision du juge pour enfant de Nanterre, ni de la cour d'appel, ça démontre et prouve que les droits de l'enfant ont toujours été respectés...
Il me semble que l'avocat qui représente Arthur et Valentine a également contesté les décisions du juge pour enfant de Paris. Il ne fera certainement pas carrière dans ce milieu, la protection de l'enfance, ces juges pour mineurs et la Dass ne supportent pas les critiques... et vous le rendent bien, il n'y a qu'à lire les jugements de Nanterre et les arrêts de Versailles pour le constater, j'en ai pris plein la tronche, d'abord pour avoir été beaucoup trop « bavard », dans ces prétoires comme en public ou auprès d'autres autorités de ce même pays, la France ou, plus précisément, la Moldavie française. Lorsque la Dass s'occupe si mal d'une famille ou de ses enfants, il faut toujours tout accepter, ne jamais se plaindre ni surtout parler de quoi que ce soit, « ça porterait préjudice aux mineurs concernés », poursuivront les magistrats et les travailleurs sociaux.
Je pense que pour « plaire à la Cour », l'avocat de Valentine et Arthur devra plutôt s'inspirer des stratégies ou des maladresses de Maître Roughol. Il devra se tourner résolument vers l'avenir et ce fabuleux cadre défini pour eux, par le juge pour enfant de Paris. Il devra toujours sourir, saluer et tendre la main à tout le monde, bien maitriser aussi la procédure, surtout celle du renvoi d'audiences aux calendes grecques ainsi que les solutions pour faire capoter les référés. Après un ou deux renvois à la cour d'appel, la Dass de Paris aura enfin pu trouver un nouveau foyer ou des familles d'accueil pour séparer Valentine et Arthur ? Leur avocat devra évidement aussi contribuer à noircir le tableau de leur mère, à édulcorer celui de la Dass, et, si nécessaire, plaider même en faveur du juge pour enfant... ce qui n'est pas très compliqué. La cour d'appel passera systématiquement l'éponge, balayera sous le tapis, fera toujours tout pour emplatrer mieux le « cadre éducatif » qui s'impose à tous.
En 2009, la cour d'appel de Versailles a rendu un arrêt qui pourrait plaire à plus d'un terroriste, à nos politiciens les plus corrompus et à nos ex-magistrats au passé trouble : ponctuellement, il ne pouvait être fait aucun reproche à Maître Roughol, la justice en a conclu que rien ne pouvait donc mettre en doute ses compétences et sa probité. Cet arrêt a cependant été cassé et annulé... et aujourd'hui, le temps ayant fait son oeuvre, toutes ces procédures sont « sans objet », bâclées et bouclées. Entre 2008 et 2010, la cour d'appel de Versailles en a également rendu de bien bonnes en faveur du juge pour enfant Xavier Serrier. Quelle était au juste la mission de tous ces professionnels, « sauver » ou « protéger » ma fille Justine ? Depuis 2003, j'ai d'avantage perçu un milieu constamment hostile à l'enfance et à la famille, ainsi que des professionnels principalement prompts à s'auto-protéger, des spécialistes oeuvrant coûte que coûte à la préservation de leur pré-carré.
Je ne crois pas que ce milieu, cette Dass et pareils prétoires, puisse être apte à faire beaucoup mieux « en faveur » de Valentine et Arthur. De mon point de vue, ce milieu ne pourrait aller et errer à nouveau que de naufrages en fiascos... En tous cas, c'est après avoir assez bien étudié et même longuement éprouvé ce même milieu, des pédo-criminels et des complices, que, ce 10 septembre, à Limeil-Brévannes, j'ai adhéré à l'association ARVA en les assurant de mon soutien, surtout lorqu'ils s'opposent au « placement » de ces deux enfants, à la séparation de la fratrie et à leur séparation d'avec leur mère.
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Une maman dénonce le viol « en foyer » de son fils de quatre ans
Je ne sais pas quoi penser de cela, une maman dénonce le viol de son gamin de 4 ans dans le ressort de la cour d'appel de Versailles ou dans un foyer de la région parisienne. D'après la bouteille à la mer quelle vient de lâcher dans mon blog, son enfant serait représenté par Maître Delphine Roughol. Si c'est avéré, c'est assez triste.
Dans ce ressort, on ne doit ni signaler et encore moins médiatiser ce genre de situations, des abus ou des négligences dans des foyers de la Dass, ça embarrasse les professionnels, ça peut ternir leurs réputations ou les empêcher de travailler comme ils le souhaiteraient, en exploitant les conflits dits parentaux... Il faudrait en faire part aux journalistes de l'Indépendant, leurs demander d'être un peu plus prudents, de refuser même ce genre de témoignages ou de confidences.
Narbonne
Une maman dénonce le viol de son fils de quatre ans
Le 7/10/2011 à 06h00 par Nicolas Boussu | Mis à jour à 07h05
L'Indépendant de Narbonne
La mère de famille vit à Narbonne depuis juillet dernier avec son époux, Sergueï, leur petite-fille âgée d'un mois et demi, et sa belle-famille. Le 8 septembre dernier, la jeune femme s'est rendue dans la région parisienne pour récupérer son fils de quatre ans, actuellement placé dans un foyer d'urgence. "Je l'ai ensuite ramené à Narbonne. Je devais, initialement, le garder cinq jours avec moi. Mais il a commencé à adopter un comportement étrange et à se plaindre…".