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Shalit, c'est grave, or ce n'est pourtant pas la Shoah
Ce n'est ni la Shoah et il n'est pas non plus un chat, mais Shalit, c'est grave. C'est à ne rien y comprendre. Mais Reiss, Polanski, Petrella, Aubenas, Colonna, Cassez ou Bétancourt, c'était ou c'est encore tout aussi grave. Polanski, on nous en parle encore, en Suisse ; les juges tarderaient maintenant ou ne jugeraient pas ? Le pauvre homme ; il doit beaucoup souffrir, parmi les siens, dans son joli chalet Suisse.
Shalit, ce cas particulier, c'est cependant un peu différent ; il n'est pas suspect, juste victime. Récemment, de 10 à 15 000 personnes se sont réunies sur le parvis des droits de l'homme, à Paris. Sa situation a pu beaucoup émouvoir. Un son, entendu ce jour, sur RTL, va encore faire larmoyer dans nos chaumières et kiboutz ou colonies :
Shalit, c'est vraiment grave, même s'il serait pourtant tellement mieux logé ou loti que d'autres. Selon le Hamas, il aurait la télévision et suivrait en effet la coupe du monde. Sa situation n'est donc pas si dramatique qu'on voudrait nous le faire croire ? Bétancourt aussi avait sa radio ; au fond de la jungle, alors qu'elle était retenue par les FARC, elle pouvait de temps en temps entendre des messages d'espoir ou de ses enfants. Depuis, Bétancourt est libre.
Ces FARC ou même ce Hamas ne sont donc finalement pas si inhumains que cela. A Nanterre, fin 2005, le juge pour enfant m'interdisait durablement et très strictement de communiquer avec mon aînée, ce que le pasteur d'Uhrwiller a ensuite très scrupuleusement respecté, « dans l'intérêt de l'enfant ». Nous étions resté près de trois ans sans avoir la moindre nouvelle de mon aînée. Mais il s'agit « d'assistance éducative » et ces « mesures provisoires » étaient bien évidement dûment motivées, même si par la suite, vers janvier 2010, la cour d'appel de Versailles s'est un peu ressaisie. Cette rupture a d'abord été motivée par un rapport versé par l'OSE France, une association juive, puis ensuite, par un rapport ou avis versé par un bon psychiatre français ; faute de mieux, le juge Anne Valentini avait très lourdement insisté pour obtenir cet avis « psychiatrique », des opinions ou un rapport assez particulier que les juges de Nanterre et de Versailles ne m'ont jamais permis de contester.
Aujourd'hui, le troufion Shalit, ce grand gaillard de 24 ans, pourrait avoir des problèmes de santé ? Je crois que le CICR ne peut rien vérifier - la faute à Kouchner ? - mais ce que j'ai pu lire ici et là, sur la toile, n'est pas spécialement alarmant ? Des preuves occasionnelles de vie rassureront tout le monde ; quiconque en douterait pourrait en discuter avec les travailleurs sociaux de l'ARSEA Alsace ou, pourquoi pas, écrire au juge pour enfant Thierry Baranger, « clinicien judiciaire », qui pourrait également rassurer.
Je m'aperçois qu'au final, j'en arrive à bien écouter tout de même le juge Xavier Serrier. En juin 2008, alors qu'il n'imaginait probablement pas qu'il allait devoir sauter de son siège, il m'intimait de changer de discours, ce que la cour d'appel de Versailles confirmait en 2009. J'ai le sentiment que mes discours ont un peu changés ces derniers temps. Par moments, je me perçois en tous cas un peu plus proche de courants assez radicaux qui snobent eux aussi Israel.
De source le Temps
« C’est pas Auschwitz », c’est juste la Dass
Ce 2 courant, à Metz, le président de la cour d’appel m’a choqué lorsqu’il répondait à Madame Mireille Millet, affirmant – de mémoire – qu’un enfant de « 15 ans et 30kg, ce n’est pas Auschwitz, mais une stature courante et acceptable pour un ado français » - lire comment l'infériorité de stature était perçue et décrite, à des périodes aujourd'hui révolues. J’entends certaines mauvaises langues nous lancer que « Sébastien n’est même pas mort » ; selon le tribunal administratif de Paris 13, « c’était juste un enfant qui envisageait de se suicider, rien qu’un ado en grande détresse, pas du tout en danger ; la justice française veillait sur lui ». En cours d’audience, ce 2 juin, Madame Millet finissait par fondre en larmes alors que le président de la cour d’appel attendait qu’elle lui fournisse des éléments susceptibles de motiver l’exception, une relaxe. Madame Millet a été condamnée ; mais d’après ce qu’elle m’a dit récemment, elle ne jette pas encore l’éponge ; je pense qu’elle perd son temps, depuis longtemps, qu’elle se ruine sa santé, qu’elle se ruine, elle aussi, tout simplement, avec toutes ces onéreuses procédures et démarches vaines, dans des prétoires de ce pays. « Matérialiste », renchériront quelques plaies ! Je ne parlerais pas moins d'escroqueries judiciaires sur fond d'incurie crasse de ces mêmes sphères ou « services publics » de la Dass - je sais, de tels clichés et ce vocabulaire sont d'une autre ère.
Concernant mon aînée, Justine, on me lance souvent que « elle n’a pas vraiment disparue puisqu’elle est chez ses tantes maternelles ; vous renouerez plus tard ; ne perdez pas espoir, elle reviendra vers vous ». Dans De l'inconvéniant d'être né, Cioran m'a semblé assez explicite : « l'espoir est une vertu d'esclaves. » La cour d’appel de Versailles était elle-même formelle en janvier dernier ; mon aînée n’a pas été « prélevée » en région parisienne, elle est simplement « placée sur décision de justice », dans son intérêt, en Alsace, où des gorets de l’ARSEA et un pasteur veillent sur elle. En attendant fin 2011, la quille ou la fin de ces « mesures provisoires », la magistratüre du coin me prie encore fermement d’aller me faire soigner, ma sœur aînée est trisomique… « Nous sommes en France, ce pays des lumières et des cathédrales, et non en Moldavie profonde, il y a 10 ou 20 ans » ? A d’autres ; je cumule les dénis de justice, des « motivations » des plus farfelues ou abjectes, des décisions, arrêts ou jugements non exécutés aussi. Il faut se faire une raison.
Quoi répondre encore à des juges lorsque plus rien – hormis, peut-être, la Shoah ou perdre un chat – n’est grave ou scandaleux ? Des intellectuels et autres journalistes ou penseurs nous invitent maintenant à soutenir Israël ? Dans la vie, on peut être amené à faire des choix. Sur cet échiquier, je vais tout au contraire me ranger pas loin de ceux qui snoberont Israël, la France et leurs langues de bois, encore observer et en rire également, comme souvent.
Nous sommes déjà le 14 juin. J'ai le sentiment que le juge pour enfant de Nanterre ne me fera pas convoquer pour sa toute prochaine audience. C'est parfait ainsi ; il m'aura sûrement très bien lu.
Finkielkraut et "le mouvement islamo-gauchiste"
LEMONDE.FR | 13.06.10 | 15h45 • Mis à jour le 13.06.10 | 15h45, extrait
Le philosophe français Alain Finkielkraut a dénoncé dimanche le danger que représente à ses yeux "un mouvement islamo-gauchiste qui est ostensiblement indifférent à la mémoire de la Shoah". Invité à la 7e conférence sur l'enseignement de la Shoah, organisé par le mémorial de Yad Vashem à Jérusalem, M. Finkielkraut a déploré que l'enseignement de la Shoah, notamment dans les écoles, "soit si difficile en France". Selon lui, "la situation au Proche-Orient risque d'amplifier ce mouvement de rage contre la mémoire de la Shoah qui existe" dans le pays.
Dans une interview à l'AFP, le philosophe a désigné ce mouvement comme "l'union de gens issus de l'immigration et d'intellectuels progressistes, une sorte d'arc islamo-gauchiste qui m'inquiète". "Je crois que le moment où Auschwitz sera boycotté comme un produit israélien peut arriver", a-t-il ajouté, en faisant allusion au mouvement international pro-palestinien qui appelle au boycottage économique et culturel d'Israël.
De son côté, François Zimeray, ambassadeur pour les droits de l'homme au ministère français des Affaires étrangères, également invité, a regretté que "la perception déformée de la Shoah par une partie du public en France amène à une négation d'Auschwitz". "Quand j'entends en France des gens comparer Gaza à un camp de concentration, c'est du révisionnisme contre lequel nous devons lutter", a-t-il estimé.
Google, Sciences/Tech
PARIS - Polémique autour d'un apéro géant "saucisson et pinard"
Le Point - ýIl y a 23 minutes
Un projet d'apéritif géant prévu vendredi dans un quartier multiethnique de Paris avec alcool et charcuterie, ce qui exclut tout participant de confession juive ou musulmane, suscite l'émoi d'une partie de la gauche. Dans le sillage de SOS-Racisme, ...
Nanterre pourrait bientôt convoquer
Je peux anticiper, moi aussi, et également dormir bien, comme tout le monde, avec la conscience tout à fait tranquille. Je vais reécrire à Nanterre. Ce prétoire devrait convoquer sous peu, pour fin juin ou tout début juillet.
Cette dernière lettre est prête. Je n'ai plus qu'à l'imprimer un jour et à en faire un petit PDF.
Lettre ouverte - Ajout du 6/6, le PDF, avec des pièces jointes
Monsieur le juge pour enfant,
Fin avril dernier, par lettre ouverte que j’ai postée tardivement, je vous informais que j'avais fait appel d'une décision du juge des tutelles. Ce juge venait encore une fois de rendre une décision sans aucun débat contradictoire, répondant simplement à une correspondance d'une étude de notaire. J'avais alors bien senti qu’il y avait eu un nouveau couac dont mes enfants et ma famille ont bénéficié, surtout Justine.
En effet, une autre décision dite de justice, rendue en mars 2007, par le juge des tutelles, n’a jamais été exécutée. Vous trouverez ci-joint copie de correspondances que Maître Charles Halter, notaire, m’a fait parvenir, il y a peu ; ces correspondances ainsi qu'un récépissé d'un RAR vous confirmeront qu’il y a bien eu d'ultimes couacs dans un dossier qui concerne principalement Justine. Il pourrait y avoir eu détournement de correspondances privées. Ce 24 juin, un ramas de juges de Versailles rendra un délibéré. Si Versailles juge conformément à ses coutumes et usages médiévaux, ce 24 juin, la décision que je contestais sera confirmée en tous points. Il me semble que le nouvel assistant récemment désigné par le juge des tutelles, pour remplacer le précédent administrateur ad'hoc, est notaire. Un notaire et le fonctionnement de telles maisons, des études, est forcément irréprochable, comme le sont tous juges et cabinets ou prétoires, tous sont parfaitement neutres, dignes de confiance, comme tout pasteur ou corbeau, d'utilité publique, comme tout goret du social et ces maisons d'enfant de l'OSE France. Vous pouvez donc déjà balayer tous ces éléments ; ce qui suivra sera encore fabuleux ; qui, hormis moi, pourrait en douter ?
Il me parait important de vous rappeler que ma soeur aînée est trisomique et que vos experts, vos prédécesseurs ainsi que le ministère public, s'emparant de cet « antécédent familial », ont conclu que je serai dérangé, parano et même très dangereux (mais pour qui?), surtout lorsque je parle de tous ces couacs aux divers dossiers qui concernent d'abord ma fille aînée - mais je me sens très souvent un peu concerné, moi aussi.
Je vous informe qu’il y a peu, j’écrivais à Madame Michèle Alliot-Marie (MAM), notre Garde des Vélodromes. Le cabinet du Ministre de cette justice franco-moldave m’a répondu, me retournant ma propre correspondance, avec quelques traces et marques ; quelqu'un pourrait m'avoir bien lu, probablement la ministre ou quelqu'un d'assez proche, éventuellement son chef de cabinet ; je pense que la nièce de MAM a fait une grosse boulette, mais est-ce grave ? Je vous joins un extrait de cet échange. J’ai depuis quelques temps le très net sentiment que la chancellerie a perçu que quelque chose ne tourne pas très rond au voisinage et dans certains prétoires du coin, ainsi que dans divers dossiers ou affaires qui concernent principalement ma fille Justine. Mais vous pouvez aussi balayer tout cela, ce ne sont jamais que des affaires et histoires « d'ordre privées » et surtout des « difficultés familiales ».
Votre greffe devrait sous peu convoquer, pour une ultime audience à Nanterre, à huis clos, chez le juge pour enfant. En effet, en décembre dernier, le magistrat rapporteur de la chambre des créatures inférieures de Versailles affirmait que la quille, ce n'est que beaucoup plus tard. Vos mesures provisoires se prolongeront encore jusqu’à la fin 2011. En janvier dernier, motivant mieux, Versailles confirmait en tous points. Votre greffe devra donc forcement convoquer puis vous jugerez à nouveau, peut-être une ou deux fois encore, histoire de pousser le bouchon, jusqu’à l'automne 2011 au moins.
Je vous rappelle ce qui suit, de mes écrits à votre attention, du mois de mars dernier : « Si vous décidiez de convoquer prochainement une audience pour débattre […], je ne suis pas certain de répondre ni d’ailleurs de me faire représenter. En effet, […], je pense maintenant avoir fourni bien assez d'éléments et je ne supporte plus, ne serait-ce que très occasionnellement, de croiser encore, de discuter toujours avec ou en présence d'obscurantistes, de scientistes, des sortes de révisionnistes, voire, peut-être même, des négationnistes. D'autre part, Justine est aujourd’hui largement en âge de parler elle-même… Mais selon l’issue de ces débats, s'il y en avait, je me réserverais tout de même la possibilité de faire éventuellement appel de votre décision, de faire ensuite l'effort, un très gros, puis de présenter quand même à la Cour de précédents constats d’un ORL, voire un peu plus. »
Je vous rappelle également cet extrait, de mes écrits à votre attention, d'avril ou mai dernier : « Dans votre correspondance du 22 mars 2010, vous me suggériez de contacter l'ARSEA afin, probablement, de leurs parler de ces problèmes de santé dont se plaint ou parle parfois ma fille Justine. Entre juin 2008 et septembre 2009, j'ai bien essayé de discuter avec les gorets de l'ARSEA. Depuis, je n'ai plus aucun contact avec ces professionnels. Eux-même ne me sollicitent ni ne m'informent jamais. Je n'ai plus l'intention d'échanger quoi que ce soit avec ces gens là. »
Pour cette prochaine audience et des débats qui pourraient suivre, je vous rappelle aussi plus globalement mes trois dernières correspondances que je vous adressais vers novembre 2009, en mars, puis en avril ou mai 2010, avec un bilan du moment. Ces correspondances ont peut-être été versées au dossier d'assistance éducative de Justine, sans quoi, tant pis. Dans la présente, vous pourriez encore une fois percevoir un peu de satire, quelques très franches moqueries et railleries, beaucoup de cynisme aussi, autant, sinon plus que dans les précédentes correspondances que je vous adressais. Vous lisez bien et je pense que vous êtes à présent suffisamment éclairé par mes soins. Pour le reste, l'ARSEA Alsace rapportera, Maître Delphine Roughol complètera avec ses persiflages puis, ensuite, le pasteur d'Uhrwiller, lui même toujours très prolixe en chambre du conseil, pourra encore prêcher ou dire et tout vous expliquer, mieux que quiconque.
Je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de mes plus respectueuses salutations.
Copie à MAM, Garde des vélodrômes, Ministre de cette justice
P.S.: J'insiste bien, je maintiens et rappelle l'intégralité de mes correspondances qui vous parvenaient ces derniers mois, même si je n'en cite que des extraits dans la présente, par exemple, celui-ci : « Dans les faits dont vous ignorez peut-être tout, ce sont d'autres que moi qui exercent l'autorité parentale sur ma fille Justine, depuis 2004 au moins. A l'occasion, vous pourriez envisager de me déchoir pour ne plus m'accorder qu'un simple droit très occasionnel et approximatif de surveillance sur ma fille aînée, ce serait plus conforme à ce que je peux encore exercer - car j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays. »
Pièces jointes :
- récépissé d'une correspondance RAR adressée à un administrateur ad'hoc,
- copie de la réponse, des correspondances que Maître Charles Halter, notaire, m’a fait parvenir, peu avant l’audience à la cour d'appel de Versailles, ce 25 mai dernier,
- copie d'une correspondance du chef de cabinet de MAM ainsi qu’une feuille ou deux, de ma propre lettre et pièces jointes, que ce cabinet me retournait, comme annotées
Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice, lorsqu’on va, pour ainsi dire, noyer des malheureux sur la planche même sur laquelle ils s’étaient sauvés. • Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, Montesquieu, 1721
[ Quand les situations n'entrent pas dans le cadre des nouveaux modèles de réussite, quand les enfants ont des réactions et des attitudes qui ne ressemblent pas aux images de « l'enfant du divorce » forgée par notre société, ] ceux qui se tournent vers la justice pour qu'elle dise la norme et tranche un conflit de droit ne rencontrent qu'une institution désemparée. Faute de savoir répondre à leur demande, la justice ne peut que mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour étouffer les différends. Le démariage. Justice et vie privée, Irène Théry, Odile Jacob, 1993, reédition de 2001, pages 239-240.
Encore un constat ?
Ajout du 3 au soir. Je tourne définitivement une page, je vais maintenant me passer de ces constats d'huissiers. J'ai d'abord cru halluciner en feuilletant celui du 28 mai dernier... puis je suis allé voir et revoir, sur la toile. Ce 19 mai 2010, j'ai été reçu par la police nationale ; j'avais alors très longuement discuté de ce qui était déjà perceptible, sur le net, depuis février 2009 ; j'étais convié pour discuter de diverses plaintes plus récemment portées contre moi. Depuis peu, sur la toile, je découvre des trucs assez bizarres, que je ne connaissais pas, pas sous ces formes, ou très mal, parfois des faux ou des documents qui semblent être altérés, probablement des scans de documents officiels aussi, tout ou partie de documents divers dont certains ressemblent à des correspondances privées ou leurs extraits. J'ai le très net sentiment d'avoir déjà amplement répondu à l'essentiel de ces éléments, le 19 mai dernier, au commissariat de police. Fin du mois dernier, dans un blog sur wordpress.com, j'avais découvert ce qui serait un « droit de réponse de Mr KANT » ; je pense qu'il m'est attribué or je n'en ai pourtant envoyé aucun récemment, nul part.
Du 3. J'ai évidemment noté que Le Sénat veut sauvegarder le Défenseur des enfants. Je pense que c'est une bonne chose. Cependant, cette institution ne pouvant intervenir lorsqu'un juge pour enfant est saisi, le nouveau Défenseur des droits - souvent réduits au néant lorsqu'un enfant « bénéficie de mesures de protection » - pourrait éventuellement compléter l'actuel Défenseur des enfants, une maison sûrement bourée de talents et de bonnes âmes, mais qui ne peut parfois que constater, compatir, puis rapporter.
Ajout du 3. Le facteur vient de m'apporter ce fameux constat d'huissier, du 28 mai dernier. Je le lirais plus tard.
Ajout du 2 juin au soir... La cour d'appel de Metz a délibéré et confirmé la condamnation de Madame Millet, une petite peine assortie de sursis. L'avocat général venait d'anticiper au cours de son réquisitoire, rappelant qu'au cours de ces dernières années, à chaque fois, Madame Millet avait été condamnée ou déboutée. Je pense qu'à présent, Madame Millet pourrait prétendre à des indemnités car, par le passé, elle a fait 4 ou 6 jours de détention provisoire. Aujourd'hui, la justice lui a encore beaucoup repproché de ne pas avoir respecté des jugements et les droits des parents de Sébastien. Madame Millet était la seule à l'audience, assistée par deux avocats. Tous les autres protagonistes ou partis de cette histoire n'étaient pas à l'audience. Complément du 3 au soir... Monsieur Millet, le grand-père de Sébastien, était cependant représenté par ces mêmes avocats ; lui-même ne croit plus en cette justice, depuis très longtemps.
Du 2 encore... A Metz, en cours d'audience, il était encore une fois beaucoup question d'un constat d'huissier et de son contenu, des retranscriptions de quelques allégations ou bribes de conversations téléphoniques, uniquement des « voix féminine[s] » et non des dialogues. A partir de ce constat, la justice prête depuis longtemps des propos à une femme précise. J'en ai discuté dans les couloirs, avec un avocat. Ce dernier partageait mon sentiment ; ce constat et de tels procédés sont assez contestables ; personnellement, je n'hésite pas à qualifier de telles pratiques et procédés de moyenageux. Mais ce constat ayant été versé aux dossiers de Sébastien, par le passé, probablement par Nanterre ou Briey, il ne serait maintenant plus possible de l'écarter.
Toujours du 2 au soir. A Grasse, dans le sud, tout semble encore assez différent. Selon ce qui m'a été exposé par mail et par téléphone, Madame Muller est aussi priée de se faire une raison. Dans ses propres affaires « d'ordre privé », les professionnels ont décidé de garder les enfants dans le Nord, à 1200km de Madame Muller, leur mère. Les professionnels de la Dass du 06 vont plutôt commencer à travailler avec les grands-parents des enfants, dans le 59. D'après ce que j'ai compris, ce 31 mai, Madame Muller a fait enregistrer une sorte d'incident d'audience ; elle n'est pas restée jusqu'à la fin, ce qu'un fax et une correspondance tendent à confirmer.
J'attends encore un nouveau constat ; lorsque je l'aurais reçu, je réactualiserais sûrement ce billet. Il pourrait maintenant s'agir du dernier constat d'huissier que je commande. Celui qui me parvenait la semaine passée m'avait encore une fois beaucoup plu ; ils sont à chaque fois très techniques, très riches de détails et d'informations publiques. André Santini et Axel Poniatowski, parmi les amis du président de SEFCA Puteaux ? Avec de telles informations sous les yeux, je ne peux que penser encore au printemps dernier, aux régionales, puis à la fermeté de Frédéric Lefebvre.
France Soir du jour nous confirme ou nous en apprend encore beaucoup. On ne devrait pas publier ni tolérer n'importe quelles publications, sur Internet. Dans ces feuilles, on peut aussi lire que des règles - voire même des décisions de justice - sont parfois difficilement applicables. Je l'avais déjà constaté alors que je me plaignais de billets ou d'informations souvent farfelues, parus sur unblog.fr, un service sur lequel la modération ignore manifestement ses conditions d'utilisation, de grands principes, une charte que leurs blogueurs sont supposés respecter. Depuis quelques temps, je découvre donc également les services de wordpress.com ainsi que les publications et moeurs tolérés par leurs modérateurs.
Il y peu, j'avais écrit que je tournais une page de plus et que je ne me soucierais plus de ce qui allait encore paraître ici et là, sur la toile et surtout sur Wordpress. Mais depuis, vu la nature de certaines nouvelles publications, j'ai changé d'avis. J'ai cru voir des faux, j'ai même cru lire avoir un jour été mis en examen ; pour le moment et alors que sur la toile, les écrits sont souvent très « volatiles », je n'en écris pas plus. Je préfère attendre le dernier constat qui me parvient, puis j'aviserais.
Demain, comme prévu, je vais encore aller me promener, visiter cette fois-ci la cour d'appel de Metz.
André Santini et Axel Poniatowski, sur Facebook ? D'un constat du 21 mai dernier |
Référence à rappeler au Ministre : BDC/CP/FM-2010004446638
MAM a bien reçu ma lettre ouverte. Ses services me l'ont retournée, avec toutes ses pièces jointes. Eux même ne sont pas très sûr, il s'agirait de « mesures de protection » en faveur de la mineure... ou dont Justine « ferait l'objet ».
La réponse est assez banale. En raison de grands principes constitutionnels que d'autres bafouent sans gène, Madame la Ministre s'abstiendra de tous commentaires. Je fourre cette correspondance dans ma botte de foin.
Un arrêt splendide, je pense enfin lire « mieux » Versailles
J'ai pu prendre une assez grossière connaissance du contenu de l'arrêt n° 2010/293 rendu ce 10 mai 2010, par la cour d'appel d'Aix-en-Provence. « ... l'écoulement du temps ayant pu avoir effets négatifs sur la possibilité de la requérante de renouer une relation avec sa fille, quel que soit le contexte ; » cette décision qui n'est pas très surprenante condamnait l'Etat français. J'ai aussi relevé quelques détails concernant la prescription, le déni de justice ainsi que des points relatifs à l'inexécution de décisions ou de jugements, autant d'aspects à approfondir encore.
« N'ayant obtenu en tout et pour tout en dépit de multiples démarches qu'une rencontre... dans des conditions `'délicates"... l'exécution du droit de visite assisté avait été rendue impossible par la carence de l'association missionnée pour ces rencontres » ? J'ai toujours pour objectif de déposer maintenant une toute simple plainte contre l'ARSEA Ostwald, en raison de non représentation d'enfant. Pour le moment, je n'ai pas eu le temps de m'en occuper, SEFCA Puteaux s'est encore une fois accaparée mon temps libre, en publiant à présent sur wordpress.com et en ignorant peut-être ce qu'ils avaient eux-même publié sur unblog.fr. Porter une telle plainte contre l'ARSEA, auprès de la police, pourrait être assez délicat, voire même impossible. « On ne porte pas plainte contre des associations d'utilité publique », m'avait-on dit en 2005, lorsque je souhaitais déposer contre l'OSE France, en raison de délaissement de mineur, « allez voir un avocat. » Quelques mois plus tard et alors que ma fille aînée Justine allait « disparaitre » en Alsace, après de très longues heures de discussion au commissariat, je portais plainte contre l'OSE France en raison d'atteinte à l'autorité parentale ; je crois que cette plainte n'est jamais parvenue au parquet de Nanterre, je n'en ai plus eu la moindre nouvelle, malgré mes relances.
A présent, je ne comprends que mieux les petits juges du coin et la haute magistrature de Versailles, certains pitres en robe qui ont délibéré ou déblatéré, au cours de ces dernières années, peut être assez bien le proc' de Paris aussi. Certaines stratégies judiciaires sont parfois assez limpides ; balayer des pièces, nier, pousser des parjures et des mensonges dans les dossiers, y verser aussi des avis ou opinions de psychiatres, motiver mieux puis toujours et encore confirmer, en tous points. En janvier dernier et après ce qui s'était produit entre 2008 et l'été 2009, nous passions finalement tout un été en famille, confirmer encore devait être vraiment nécessaire du point de vue de ces magistrats.
Versailles m'avait pourtant très bien reçu, en décembre dernier. En effet, dans l'arrêt rendu ce 15 janvier 2010, je crois me souvenir que la chambre des créatures inférieures avait bien noté que je réclamais une « révision », voire même des contre-expertises. Jusqu'ici, rien d'anormal, nos juges sont des érudits. Cet arrêt était parfait, je venais d'accuser les juges d'avoir dénaturé des éléments, d'avoir triché ou trompé aussi, très souvent, au cours de toutes ces procédures. J'ai bien fait de ne pas déclarer un pourvoi en cassation, l'arrêt de janvier dernier est maintenant définitif. A mon avis, Xavier Serrier doit toujours avoir très chaud sur son siège, et il n'est probablement pas le seul à suer encore, à très grosses goutes.
La quille, ce n'est qu'en fin 2011, m'avait-on dit à Versailles, en décembre dernier. Que ces juges poussent donc le bouchon et leurs bouffons. D'ici là, ils vont encore m'entendre et devoir à nouveau me répondre. Prochaine audience, ce mardi. Selon la Poste, les services de la garde des Vélodromes auront reçu mon RAR dans des délais raisonnables. A ce jour, le ministère public et les assistants de Maître Charles Halter ne m'ont pas fait part de quelconques avis ou observations. J'en découvrirais sous peu, une fois à Versailles, devant la cour et en cours d'audience. Va-t-on me refaire encore le coup du lapin ou du placet et du chapeau, celui des juges et des professionnels qui gagnent à tous les coups ?
2008, la loterie et le chapeau
Ces persiflages vont plaire à nos fanfarons !
Rédiger ce billet parfois très technique a été pour moi une sorte de distraction ou digression, en attendant mardi, une ultime audience à la cour d'appel de Versailles, puis, peut-être, une sortie à Paris, devant l'hôtel de ville, pour la journée internationale des enfants disparus (et spoliés par les pros aussi ; dans leur intérêt supérieur, bien évidement).
Cette période et mon agenda sont en effet pas mal chargés, comme souvent, et je me serais bien passé des derniers délires de SEFCA Puteaux, des plaintes, très officiellement déclarées auprès de la police nationale. Il suit encore Grasse ainsi que Aix-en-Provence, peut-être aussi Valenciennes et Douai. Strasbourg, je pense que c'est fini. Il suivra également Metz ainsi que cette ultime conférence, au mémorial de la Shoah. Il suit également une formation conçue et organisée par une association réputée, en septembre, pour des professionnels ; dans le cadre de sa préparation, ce 22 mai, je participais à un pique-nique, avec des parents, des bénévoles et des professionnels. Je travaille également.
J'ai de plus en plus le sentiment que ces deux putéoliens, le président et la vice-présidente de SEFCA Puteaux (ou « SEFCA Puteaux 2 », rien n'est très clair...), cherchent à me nuire, sur le plan familial et personnel, sur le plan professionnel aussi, ainsi que dans le cadre associatif ou toutes ces autres affaires souvent « privées », pour lesquelles j'interviens ou contribue, notamment publiquement, que ce soit en sortant ou par l'intermédiaire de mon blog et avec mes discours, ceux qui déplaisaient déjà tant à l'OSE France, au juge Xavier Serrier et au substitut Laeticia Felicis, puis ensuite, à l'ARSEA. Certaines coïncidences, sur de longs mois, sont en tous cas maintenant vraiment très troublantes.
L'hiver dernier, alors que la droite s'était pris une bonne tôle ondulée, Eric Woerth nous rappelait qu'il faut savoir attendre « le bon moment ». Pour moi, je crois qu'il était maintenant grand temps « d'ouvrir le feu ». Certains vont rire et d'autres vont geindre, c'est sûr. Que les « pas contents » se fassent tout de suite une raison ou qu'ils aillent voir un bon Eolas, il leurs recommandera peut-être sur le champ d'aller se faire soigner ; oui, tout se soigne, je pense que quelques psys n'hésiteront pas et confirmeront aussi. J'avais prévenu, très souvent, y compris prévenu encore une fois la chambre des créatures inférieures de Versailles, en décembre 2009 ; de mes dernières conclusions, déposées là bas :
J'ai récemment changé d'avis ; je pensais un moment que j'allais arrêter de commander toutes ces coûteuses captures d'huissier, que je pouvais enfin m'en passer. Le 20 avril dernier, je croyais même pouvoir tourner enfin une page encore, après un long périple en marge de mes distractions principales, « l'assistance éducative ». Mais vu les évènements récents, toutes ces nouvelles calomnies, injures et plaintes ou pressions encore dirigées contre moi, par SEFCA Puteaux, à nouveau très concrètes ces jours-ci, j'ai relâché ma butineuse favorite, celle qui m'envoie des liasses de papier. Ce 21 mai 2010, un mail de 18h18 m'a informé que les pages qui suivent ont été matérialisées - ou enregistrées aux minutes - d'un huissier de justice français :
• http://fr.forums.wordpress.com/topic/diffamations-injures-publiques-etc
• http://eclma.wordpress.com/2010/05/20/info-du-president/
• http://justice.cloppy.net/index.php/epilogue/2010/03/30/c-est-le-printemps
• une partie de la liste des amis d'un certain Lorentz, sur Facebook
• http://justice.cloppy.net/capture.20100518.zip
Fin février dernier, Frédéric Lefebvre, porte voix de l'UMP, nous proposait « un après Soumaré ». Il va être servi.
La dernière page ou capture est vraiment particulière. J'ai du en discuter un peu avec cette butineuse, avant la capture, pour lui exposer plus en détail mes intentions et ce dont j'avais besoin. En l'état et sans plus d'informations, cette page HTML ne prouve pas grand chose ; elle est hébergée sur mon propre serveur, un détail qui n'échappera pas aux spécialistes. C'est une archive zip qui ne contient qu'un unique fichier HTML (daté) ; pour charger et afficher les images de cette page, il faut être connecté à Internet (voir ensuite le source ou la propriété des images affichées pour connaitre leur localisation réelle, sur la toile). Je destine cette page HTML aux experts ainsi qu'à la police. Sauf si certaines images disparaissaient très soudainement d'Internet, la page affichée sera certainement assez conforme à ce que la police a pu voir sur ses écrans, lorsque je discutais très librement avec un OPJ ainsi qu'avec un brigadier du coin. Au commissariat, cette page avait fait bondir, puis réagir ensuite, sur la toile... et enfin, une partie de cette page HTML, tout en bas, s'en est évaporée ; voir sur le forum de Wordpress.com et dans ce fameux billet « info du président » du 20 mai, d'où ce petit extrait :
De quels faits s'agit-il ? Serais-je à présent suspecté de maîtriser Internet ou d'être un expert de ces milieux ? Où me suis-je vanté et en parlant de quelle convocation au juste ? Pourrait-on mettre en doute la parole d'un policier ? Y aura-t-il un jour une confrontation, de qui et pour quels motifs ? Monsieur Lorentz réclamerait-il soudainement une confrontation avec un policier, après mon propre goûter avec la police du coin ? Pour mieux comprendre ce dont ce président parlait dans son propre blog, il fallait être ce 19, au commissariat, dans le bureau de l'OPJ et du brigadier qui me recevaient, savoir lire aussi monsieur Lorentz... Je ne conçois pas que le président de SEFCA Puteaux puisse s'exprimer ainsi et seul, à de tels sujets, publiquement, alors qu'il ne sait certainement pas tout ce qui s'est dit en plus de trois heures, avec trois policiers, mon portable avec moi, avec un accès Internet non restreint à disposition, ainsi qu'avec du papier en main, beaucoup de papier, certains portant la signature et le tampon d'un huissier de justice.
Attention à la page « info du président », elle pourrait être différente ou supprimée sous peu... bref, un jour, non conforme à ce qui est aux minutes de ma butineuse professionnelle ? Si nécessaire, j'en publierais une copie. Son constat me parvient par la Poste. « Je remercie les O.P.J.d’avoir mis un terme à cette situation », pouvait-on lire, là bas, ce 21 mai, à 20h22.
Toujours de ce même billet, « info du président » : « Nous avons effacés les écrits du blogueur qui nous avait diffamés sur son blog - La raison est qu’il a modifié ou effacer certain contenu de son blog ». Si je comprend bien monsieur Lorentz, qui remercie maintenant la police nationale, j'aurai récemment effacé ou modifié « certain contenu », dans mon blog ? On en apprend tous les jours, en lisant, sur Internet. Depuis ce 19 mai, et au retour du commissariat de police, je n'ai effacé que deux choses : les noms et prénoms des policiers ainsi que leurs numéros de téléphone.
Ceux qui ont l'habitude de me lire ont souvent pu constater que je ne supprime pas mes billets, mais qu'il m'arrive parfois de les éditer en ligne, parfois sur quelques heures ou jours, au gré de mon humeur et de l'actualité, puis je n'y touche plus jamais. Il me serait même très facile de démontrer que mes billets d'avant ce 12 mars 2010 n'ont subit aucune modification. A l'époque, je flairais déjà ce que SEFCA Puteaux me réservait, j'avais alors décidé de faire matérialiser l'intégralité de mes données publiques ; c'est facile et très vite fait. Selon ce récépissé de plainte, j'aurai commis des fautes assez graves, entre le 1er octobre 2009 et le 1er avril 2010, puis, il y a peu, j'aurai supprimé du contenu dans mon propre blog ! En regard de cela, les Lorentz allèguent mais ils n'ont jamais rien à prouver, ils semblent même ne pas en avoir les moyens ? Un extrait de source eclma.wordpress.com :
« Or ce Mr QUI TIENS UN BLOG JUSTICE .CLOPPY.NET NE RESPECTE PAS
Ce principe de diffusion de photo de ma famille en mettant l’adresse ou l’on habite à avoir divulgué des procédures en cour , montages de textes qui sont sur le site de sefca Puteaux et détourne le sujet en écrivant à mes amis publique ou priver
en écrivent également au service de Rambouillet qui lui fourni les documents en cour de procédure et lancent des mails aux personnes que nous aidons dans le cadre de placement proférant des menaces sur notre personne et également nous faire chanter en exigent 2500 euro.
Je vous demande donc de procéder à son audition et à poursuivre »
Des montages de portions de textes, extraits d'un blog de quelqu'un d'autre ? N'est-ce pas précisément ce qui apparait en bas de la page du fichier au format HTML, dans cette archive zip ? Cette page HTML m'avait été transmise par une autre butineuse qui matérialise également des données aperçues sur Internet. Une page assez similaire apparaissait dans le blog de SEFCA Puteaux, sur Wordpress.com, alors que j'étais moi-même convoqué par la police nationale ; je pense qu'un brigadier au moins pourrait confirmer. Par contre, et d'une manière assez bizarre, quelques temps avant cette « audition » du 19 et alors que SEFCA Puteaux savait que je pouvais un jour être convoqué par la police, l'intégralité du blog de cette association hébergé par unblog.fr disparaissait de la toile : « Cet utilisateur a décidé d'effacer son compte, et ce blog n'est donc plus disponible », peut on lire sur eclma.unblog.fr. Par un heureux hasard, mes butineuses professionnelles ont aussi très bonne mémoire : 30 ans.
De quoi au juste ai-je été accusé récemment, par Christel Moreau ? Lorsque j'ai découvert cette plainte qui ne pouvait que me concerner, je n'ai pu qu'en rire. Une « atteinte à la vie privée » par « détournement d'informations publiques », plus précisément par « détournement d'informations d'un blog sur un autre » ? On parle plus généralement de « détournement » lorsqu'il y a eu fraude ou délit, un fait passible de poursuites, tel qu'un « détournement de fonds » ou un « détournement de correspondance privée ». Je crois que de tels documents ou déclarations de plaintes sont d'autant plus publics et diffamatoires ou calomnieux qu'ils ont été placardés sur Internet, par SEFCA Puteaux en premier, dans l'un de leurs propres blogs... Je crois qu'une plainte a ensuite été déposée contre moi - ou contre X ? - car j'aurai pu me procurer ce récépissé de dépôt de plainte d'une manière douteuse ou en employant des méthodes frauduleuses ; ce document semble être authentique et en tous cas, ce 19 mai, la police ne m'a pas dit qu'il s'agissait d'un faux ou d'un document non conforme ; ce récépissé, au format PDF, avait été placardé sur http://eclma.unblog.fr, peu avant la fermeture de ce blog ! Le fond de cette plainte ou les déclarations de Madame Moreaux sont tout aussi grotesques ; j'en ai beaucoup discuté, ce 19 mai, avec la police. Je pense que l'OPJ a bien compris que je n'ai enfreint aucune loi, du moins, que j'ai été assez prudent et que je n'ai cherché qu'à me défendre, face au flot des publications de SEFCA Puteaux, qui m'inondent régulièrement, depuis février 2009, des publications ou productions figurant maintenant aussi aux fichiers de la police nationale ! Ca va beaucoup plaire à Lefebvre, à Axel Poniatowski ainsi qu'à Valérie Pécresse.
Cette semaine, je me suis encore documenté. J'ai eu beau tout revoir et réactualiser, depuis 1803 et l'article 9, 1804 et l'article 1382, puis ces textes de 1881, remis au gout du jour en juin 2004, je n'ai pas le sentiment d'avoir commis une faute. Ces si vieux textes de 1881 articulés avec la jurisprudence de Nanterre, de Lyon, de la cour de cassation et la plus récente jurisprudence en matière de liberté d'expression de la CEDH protègent finalement assez bien, quoi qu'on en dise ici et là. Au cours des semaines passées, j'avais même buché le droit à l'image, d'une manière assez pointue. Mais le parquet de Nanterre ne sera peut-être pas de cet avis ; j'ai quand même pu enfreindre quelque chose ou offenser quelqu'un ? Le pasteur d'Uhrwiller ? On verra bien. Sous peu, les plaintes de SEFCA Puteaux devraient parvenir au parquet, avec ce que j'ai moi-même déclaré à la police, ce 19 mai.
Il y a peu, SEFCA Puteaux avait donc accusé l'ASE de m'avoir communiqué des documents extraits de dossiers judiciaires de monsieur Lorentz et de Madame Moreau, vice présidente de SEFCA Puteaux. Monsieur Françis Painot semble avoir démenti récemment, leurs faisant lui-même parvenir une réponse et opinion tout à fait limpide :
Voir l'un de mes billets du 4 mai, voir aussi le reste de ce blog
Je rassure à mon tour Monsieur Painot, je dispose de documents attestant que ces accusations qui ont été portées contre l'ASE et moi, par SEFCA Puteaux, sont au minimum farfelues. C'est un huissier de justice qui a « prélevé » ces documents, très probablement un faux ainsi qu'une plainte pour faux et usage de faux, dans un blog édité par SEFCA Puteaux. Car en effet, ces documents avaient également été placardés sur Internet, par le couple Lorentz !
De telles accusations ne pouvaient pas être prises au sérieux, d'autant moins que j'en avais moi-même déjà un peu parlé dans mon propre blog. Il fallait alors que SEFCA Puteaux envisage une autre stratégie pour émouvoir la police nationale ou le parquet ? Envoyer Madame à la police, pour s'y plaindre des publications de Bruno Kant ? Madame Lorentz et ses enfants, victimes de mes publications ? C'était à mon avis une très bonne stratégie, surtout après quelques promesses faites par ceux qui nous gouvernent, pour l'année 2010. Même Nadine Morano, parfois elle-même présentée par SEFCA Puteaux comme étant si méchante et radicale, aurait pu l'ouvrir dans la foulée et m'enguirlander avant l'heure, noël prochain ou un quelconque procès indigne de ce nom. Morano vient justement de faire une petite annonce en faveur des femmes martyrisées par de si vilains hommes - Nadine, si tu viens lire ceci, fais un noeud à ton mouchoir, penses à me radier un jour de ta liste de fervents militants lorrains ; par contre, si tu repasses dans le voisinage pour visiter les pouponnières de la Dass, n'hésite pas et invite !
Sur son fond, la plainte du 1er avril 2010 de la vice présidente de SEFCA Puteaux n'a cependant rien à voir avec de telles reproductions d'extraits de textes ou de documents très précis, tel que cette plainte pour faux et usage de faux vue ici et là sur la toile, un document que j'ai soigneusement choisi dans l'ensemble des publications de cette association. Dans cette plainte récente de Madame Moreau, à moins que dans une autre, encore portée contre moi, SEFCA Puteaux me reproche plutôt une sorte de « détournement de blog » ou surtout la « publication ou le détournement de photos de familles » sur mon site internet, manifestement via Google... un truc incompréhensible, un ovni ou boulet rouge qui file maintenant tout droit au parquet de Nanterre.
En effet et mes lecteurs s'en seront aperçu, au mois de mars dernier, je me plaignais moi même d'un trouble qui a depuis cessé. Lorsqu'on effectuait alors des recherches, sur Google ou sur d'autres moteurs de recherche, avec mon nom et prénom, il apparaissait d'abord des photos de famille et des enfants de Madame Moreau et de Monsieur Lorentz. Ce 19 mai, la police ne constatait plus aucun trouble. Lorsque l'OPJ effectuait des recherches en utilisant mon nom, il ne relevait plus rien d'anormal ni de bien exceptionnel à son écran. Je lui ai alors présenté mes constats d'huissier, sur plusieurs mois.
En réalité, SEFCA Puteaux se plaint aujourd'hui d'à peu près la même chose que moi, m'accusant, le moteur de recherche Google ayant longuement associé les « photos de famille » de Madame Moreau et Monsieur Lorentz à mon propre nom et prénom, en raison des publications de leur association, SEFCA Puteaux, dans leur propre blog, hébergé par unblog.fr. En septembre 2009, Monsieur Lorentz publiait encore une diatribe à mon encontre puis finissait alors par créer dans son propre blog une section intitulée « affaire Bruno Kant ». Peu après cela, Google ainsi que d'autres moteurs de recherche tel que 123People ont référencé mon identité et leurs images et photos. En épluchant les constats de ma butineuse professionnelle, la police a elle-même pu constater que Google référençait bel et bien des images hébergées par unblog.fr, dans le blog de SEFCA Puteaux. Je n'ai en effet jamais porté atteinte à la vie privée de Monsieur et Madame Lorentz, ni publié non plus des photos de famille ou des enfants de ce même couple.
Depuis février 2009, je me suis de temps en temps plaint auprès de Monsieur Lorentz, en raison de ses publications, sur unblog.fr. Fin décembre 2009, je finissais par écrire au procureur de Paris pour me plaindre d'injures publiques ; en mars dernier, je relançais ce même procureur qui ne m'avait pas répondu. Depuis février 2009, SEFCA Puteaux n'a fait que s'obstiner d'avantage. Vers la mi-mars, après la publication d'une ultime diatribe à mon encontre, dans le blog de SEFCA Puteaux, j'ai décidé que j'allais faire faire le ménage dans les moteurs de recherche, notamment en m'adressant aux propriétaires du service et domaine unblog.fr, la société Kipubli, à Genève, en Suisse. Quelques temps après, SEFCA Puteaux finissait par fermer son blog, sur unblog.fr, supprimant aussi toutes ces « images ou photos de famille » hébergées là bas. Suite à cela, les caches des moteurs de recherche se sont assez naturellement purgés et ces moteurs cessaient enfin d'associer mon nom et prénom, soit mon identité, aux « photos de familles » ainsi qu'aux diatribes à mon encontre, publiées par SEFCA Puteaux.
A Kipubli Sàrl, en Suisse, d'où SEFCA Puteaux m'a injurié, de février 2009 à mars ou avril 2010
Aujourd'hui, je crois que Madame Christel Moreau et Monsieur Emeric Lorentz me reprochent également de les avoir aidés très ponctuellement, par le passé, au cours de l'été 2008, dans le cadre de leurs propres actions en justice ainsi que sur le plan médiatique, sur Internet. Bref... J'ai très longuement discuté dans le détail avec la police de toute cette « non affaire Bruno Kant », puis, ce 19 mai, pour finir, j'ai très volontiers fait une petite déposition, répondant très simplement à cette accusation « d'atteinte à la vie privée », par « détournement d'informations, d'un blog sur un autre ».
Du journal intime au récit de voyages
Je viens de trouver un vieil hors série, de la fin 2005. On pouvait alors apprendre « comment tout faire » sur la toile, s'abonner, surfer, correspondre, etc. Le lecteur était également incité à une certaine prudence. Dans un chapitre intitulé « publier », les auteurs ou internautes étaient invités à protéger leurs « journaux intimes » ; la revue rappelait déjà qu'un blog est « une tribune ouverte sur le monde entier ». J'utilisais déjà le net, depuis plusieurs années.
Il y a peu, Philippe Bilger a été convoqué. Il a un blog, depuis longtemps. Il semblerait qu'il aurait un moment du ne pas s'exprimer ou, peut-être, différemment. Pour certains, s'exprimer est parfois très complexe. Je n'ai pas la moindre obligation de réserve, je ne suis ni fonctionnaire ou assimilé, ni sous aucun serment, et je réponds volontiers lorsqu'on me convie. Puis, comme je l'écrivais déjà, en aout 2005, le « signalement » est une obligation prévue par la loi...
Dès mars, j'avais ouvert des discussions dans le forum de unblog.fr, en Suisse. J'avais aussi fait quelques tests afin d'évaluer un peu leurs services. J'ai suffisamment joué avec Wordpress, le logiciel libre. Là bas, aux USA, sur Wordpress.com, je me suis contenté d'ouvrir une discussion que je vais suivre au cours des prochains temps. See their section on freedom of speech for more information, they « strongly beleive » in it.
Je ne me suis pas rendu compte que nous sommes bientôt le 25 et je n'ai pas encore pu poster ma lettre ouverte au garde des Vélodromes. Demain matin, je file à la Poste puis place Vendôme, pour y déposer une copie. Je fais cependant assez confiance à la greffière de la cour d'appel ; le 3 mai dernier, elle m'avait dit qu'elle même ferait suivre une copie de mes observations au ministère public. Pour le moment, je n'en ai reçu aucune, ni de la part du ministère public, ni de la part des assistants de Maître Charles Halter. Mais quelque chose pourrait encore suivre.
Pour l'après midi et ce rendez-vous avec un OPJ, Je n'emporterais pas grand chose. Je pense avoir l'essentiel à porté de main et selon ce dont nous parlerons, s'il me manquait des pièces, je retournerais le voir ou simplement déposer un complément au commissariat, ce n'est pas très loin d'ici. Je pense me rendre à ce rendez vous avec quelques constats, deux ou trois papiers, un PC et une clef 3G. L'OPJ m'avait expliqué que son accès Internet pouvait être restreint.
Il y a peu, j'ai envoyé un simple email à ma DRH, exposant une demande en 3 lignes, hors la forme. Ce soir, en rentrant, j'ai trouvé une attestation d'employeur qui m'est parvenu par la Poste. L'attestation est parfaite. Je travaille en équipe, dans un open space, ailleurs que dans le 9-2, mais cela, à Puteaux, je pense que personne ne pouvait le savoir. D'autre part, si la police nationale avait vu mon véhicule personnel et assez clair, ce 1er octobre 2009, à Puteaux, je pense qu'elle aurait plutôt réclamé autre chose qu'une attestation d'assurance. J'en parlerais plus en détail, demain, avec cet OPJ.
L'Ordinateur Individuel, hors série n° 8, octobre-novembre 2005
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Radio Galère, « un petit émetteur local sans grande portée »
L'animateur m'a fait rire, je pense qu'il ne se doute pas de la portée que pourrait avoir son petit émetteur de 4kW. Je suis à Bagneux, au fond du 9-2, et je viens d'écouter la banlieue de Marseille. Un son se propage, sur la toile.
« On les protège de quoi ? » Mais c'est évident, de la trisomie 21 d'une tante ou des recours en justice de leurs parents ! Je viens d'apprendre que Madame Gadot, présidente du Fil d'Ariane, s'est exprimée sur Radio Galère. « Les organismes de contrôle, un mystère ? » Pourtant, très récemment, j'ai cru voir passer une circulaire dans l'un de mes mails... se pourrait-il que les contrôles des établissements de la Dass soient aujourd'hui sous la responsabilité des procureurs et des juges pour enfants ? Par le passé, je supposais qu'ils étaient principalement assurés par les conseils généraux.
Il serait possible de demander un contrôle ? En 2005, j'ai tenté de solliciter les services de l'IGAS, il y avait à mon avis de très gros problèmes, à l'OSE. Mais le juge pour enfant de Nanterre a alors préféré faire disparaitre Justine ou le bébé avec l'eau du bain, suspendant durablement tous mes « droits sur elle », la confiant au pasteur d'Urhwiller puis aux gorets de l'ARSEA Alsace. « La maltraitance, en foyer, c'est de notoriété publique ? » On nous parlait bien du dispositif français de la protection de l'enfance français, un bon extrait d'une émission, sûrement du 17 mai 2010 :
Lors de cette émission, l'animateur semblait découvrir, s'étonner et s'inquiéter de l'opacité et de l'arbitraire - la chienlit, le n'importe quoi - qui règne au sein de ce dispositif supposé protéger les enfants, leurs assurer un quotidien ainsi qu'un avenir meilleur ou au moins acceptable ; c'est peu dire. Dans mon secteur où les juges m'ont trop souvent parus aussi couchés que les procureurs, je ne parlerais pas d'arbitraire, mais plutôt d'un pouvoir discrétionnaire, de vents toujours défavorables aux mêmes. Au cours de son émission, cet animateur n'hésitait pas, lui non plus, à faire un rapprochement avec des situations vécues en Algérie, au cours de périodes assez glauques. Plus d'infos sur le site de Radio Galère.
En septembre prochain, sur deux jours, l'association Fil d'Ariane organise une formation par des professionnels et avec des parents, à destination de professionnels de la protection de l'enfance. Plus d'infos sur le site du Fil d'Ariane.
Faits divers
Sarthe : des gendarmes traquent les voleurs d'une tombola scolaire
Le Parisien | 17.05.2010, 19h58, extraits
250 euros. C'est le montant de la tombola scolaire dérobée à la classe de CM2 vendredi le 7 mai de l'école de Saint-Jean d'Assé, une commune d'un millier d'habitants située à une quinzaine de kilomètres au nord du Mans (Sarthe). Le butin est activement recherché par les gendarmes depuis plusieurs jours au point d'envisager de prendre les empreintes digitales de jeunes élèves pour trouver le coupable. [...] «La recherche de la vérité, ça reste une valeur qu'on peut travailler à l'école», a commenté l'inspecteur d'académie de la Sarthe, Emmanuel Roy, joint par un correspondant de l'AFP.
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Trois RAR sont partis
Je n'ai pas encore eu le temps de préparer une correspondance papier pour la ministre, mais c'est sans grande importance. D'une part, sa chancellerie ne me répond plus depuis des lustres et, lorsqu'elle le faisait, elle me renvoyait vers les juges, vers le juge pour enfant. D'autre part, je pense être suffisamment lu, ici ; il y a assez de corbeaux dans ce pays. Ce courrier lui parviendra un peu plus tard. Mais ces trois RAR là pourraient arriver demain matin, sauf erreur :
• 1A 042 324 4717 6... Arrivé au bureau distributeur de ST AVOLD (57500) le 18/05/2010
• 1A 042 324 4715 2... Distribué par ST AVOLD (57500) le 18/05/2010. Le courrier a été remis contre signature du destinataire (ou de son représentant dûment mandaté)
• 1A 042 324 4716 9... Arrivé au bureau distributeur de NANTERRE (92000) le 18/05/2010.
Ga-l avait raison, Causette est en effet toujours aussi agréable à parcourir. Chez le libraire, j'en ai profité pour ramasser les feuilles et des revues du Monde, afin d'apprendre un jour comment Clotilde a été libérée, ce qu'est le vrai bonheur et, également, ce qu'est le mauvais genre. Un mail de Sciences Humaines vient de m'apprendre qu'un numéro spécial « épreuves de la vie » vient de paraître ; « à la guerre, il ne suffirait pas d’être le plus fort ».
Je vais encore avoir quelques correspondances à expédier au cours des prochains jours. Je songe aussi à ce tout prochain rendez-vous avec un OPJ. Je pourrais lui montrer quantité de papier tout comme je pourrais éventuellement me contenter de lui montrer seulement une ou deux vidéos de deux minutes, ripées par le passé, depuis dailymotion.
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Au ministre de cette justice franco-moldave
Cette semaine, je pense que j'aurais le temps de m'arrêter à la Poste. Je devrais également envoyer une copie de ces observations aux assistants de Maître Charles Halter, notaire, tout en les invitant à me communiquer les leurs, s'ils en ont de quelconques à formuler. Mes observations déposées ce 3 mai, à Versailles, sont ici, au format PDF, avec les pièces jointes. Ce qui parvient au juge pour enfant de Nanterre est là, également au format PDF.
Lettre ouverte - au format PDF, avec deux des pièces jointes
Madame Michèle Alliot-Marie,
garde des Vélodromes et ministre de cette Justice franco-moldave,
J’ai fait appel d’une décision du juge des tutelles d’Antony (92) du 15 mars 2010. La cour d’appel de Versailles a convoqué pour ce 25 mai prochain, le greffe me demandant de déposer mes « éventuelles » observations avant ce 4 mai (pièce n° 1).
Ce 3 mai, au greffe de Versailles, je constatais que j’étais le premier ou le seul à déposer des observations. Je constatais également que le dossier avait déjà été transmis au ministère public, il est donc susceptible de formuler bientôt un avis sans même m’avoir lu.
Ce 3 mai, le greffier affirmait qu’il ferait rapidement suivre mes observations tout en m’invitant également à les communiquer au ministère public. Vous trouverez donc, ci-joint, copie de ces observations (pièce n° 2) que j’ai déposées, ce 3 courant, au greffe de la 2ième chambre 1ère section civile de la cour d’appel de Versailles.
Ci-joint, vous trouverez également copie d’une lettre ouverte (pièce n° 3) qui parvient au juge pour enfant de Nanterre. Il devrait bientôt convoquer, pour juillet prochain.
Les documents que je joignais aux pièces n° 2 et 3 seront consultables aux greffes de Nanterre et de Versailles. Ces documents sont également tous consultables sur Internet, je les ai publiés dans mon blog, à l’adresse suivante : http://justice.cloppy.net
Par ailleurs, je vous informe qu'il pourrait y avoir un problème au palais de justice de Paris. En effet, j'ai le sentiment que des services égarent ce que j'essaye de faire parvenir au procureur près ce prétoire (pièce n° 4). Par le passé, celui près le tribunal de grande instance de Nanterre ne recevait pas grand chose non plus.
Cordialement.
P.S. : Je confirme ce que j'écris au juge pour enfant de Nanterre, ma soeur trisomique emmerde maintenant ton ministère public. J'invite les pas contents à trouver un drapeau français.
Pièces jointes, toutes publiées et commentées, parmi d'autres, sur Internet :
1) Une convocation, pour ce 25 mai, journée internationale des enfants disparus,
2) Des observations déposées ce 3 mai 2010, à Versailles,
3) Une lettre ouverte au juge pour enfant de Nanterre
4) Une correspondance de mars dernier, restée lettre morte
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Une journée chargée
Cette journée était chargée : couloirs le matin, conférence à la synagogue en soirée et, tout de même, travail au cours de la journée. Ce soir, avant d'entendre le discours du Grand Rabbin Meïr Lau, j'ai encore pu apprécier l'hypocrisie de la Direction de l'OSE France ; Jean-François Guthmann suggérait aux rabins de « collaborer » aussi avec ses services. Les écoles et les magistrats du coin ne collaboreraient-ils pas déjà assez avec les pros de l'OSE France ? Pourquoi ces derniers tiennent-ils tant à s'immiscer dans les relations telles que de confiance et familiales des autres ?
Loulek nous a parlé de l'OSE, d'Elie Wiesel, du camp de Buckenwald, beaucoup d'enfances terribles...
Mes observations ont été déposées ce matin, dans les délais. J'ai appris que le ministère public avait déjà retiré le dossier au greffe, mais ce dernier devrait les faire suivre. Je suis le seul à en avoir versé - pour le moment ; j'ai maintenant l'habitude de voir fleurir des correspondances ou des rapports et s'épanouir des avis en cours d'audience. Je vais essayer de consulter le dossier puis j'aviserais, au plus tard ce 25 ; j'ai théoriquement deux options au moins, la demande de renvoi ou la note en cours de délibéré, même si, en Moldavie française, la pratique est nettement plus aléatoire ou incertaine.
Le greffe m'a invité à faire parvenir également mes propres observations au ministère public ; c'était déjà prévu. Je vais aussi en expédier des copies aux assistants de Me Halter, en les invitant à me faire parvenir très rapidement les leurs. Je pressens qu'il va encore suivre une sorte de procès de con, contre un ministère public qui n'aura rien lu et contre deux lampistes, dont un certain Y..., tout frais sur la scène judiciaire... Mais « en chambre du conseil, les magistrats de Versailles trichent et trompent » pourrait émouvoir, éventuellement dans l'entourage de MAM. « Si t'es pas content, trouve toi un drapeau français » est également susceptible d'émouvoir, peut-être jusqu'au château.
Dans les couloirs de Versailles, un chariot m'a fait sourire et penser à M. Françis Painot. Lui ou ses services ont récemment été accusés de m'avoir communiqué des éléments extraits de dossiers judiciaires de quelqu'un d'autre. Dans un hall, j'ai aperçu des dossiers dont il aurait été facile de s'emparer ou même d'en froisser, mâcher ou brasser vite fait les pièces... J'en profite pour saluer l'étude Fievet-Lafon, l'un de ces avoués m'avait ponctuellement assisté, mi 2008, dans le cadre de la procédure de prise à partie ; pour glisser une requête précise, la représentation était obligatoire.
A gauche, un « placet »
Plus tard, dans la journée, j'ai tout autant sourit en lisant ce qui pourrait être la réponse officielle et définitive de M. Painot, suite à ces récentes accusations farfelues ou calomnieuses. Bien évidemment, il invite à la prudence, sur Internet.
Internet, ce n'est pas plus confidentiel qu'un couloir, tout peut s'y éparpiller ?
« Merci de la pub », me lancent des infréquentables de Puteaux
Depuis de longs mois déjà, sur Google et dans un blog, il est question d'une « affaire Bruno Kant » et dans la rubrique images de Google, il en apparait d'assez bizarres pour qui me connait, pour qui a lu un Maxi de mars 2008 ou pour qui a vu Faits divers, le mag, début juin 2008. Ces jours-ci, quelqu'un est arrivé dans mon blog en recherchant un « droit de réponse » ; j'y songe, mais je ne sais pas encore ce que je pourrai faire insérer maintenant, dans le blog de SEFCA Puteaux ou Puteaux 2. Chaque chose en son temps. Cette semaine, un huissier de justice a matérialisé quelques pages de plus sur Internet, dont les CGU de unblog.fr, une sorte de service franco-suisse, en .fr mais avec une immatriculation au registre du commerce de Genève, un ovni de cette nature ; un nouveau constat me parvient, par la Poste.
Sur Google, la « personne », en haut, à gauche, est Monsieur Emeric Lorentz. Sur Google, on peut également reconnaitre sa femme. Dans leur blog et comme en réponse à l'un de mes articles de septembre 2009, ils me remercient « de la pub ». Lorsque je les lis, il m'arrive de penser qu'ils ne comprennent pas grand chose au fonctionnement d'Internet et de tous ces outils ou services en ligne. Comme je l'écrivais déjà en septembre dernier, je ne peux que mettre les lecteurs en garde, leur blog est à lire avec une très grande prudence.
Dans leur billet du 12 courant, Monsieur Lorentz affirme que je ne les aurai jamais aidé. En juillet 2008, lui et sa femme lançaient un appel aux médias. A l'époque, ils semblaient être plutôt ravis de me lire et de communiquer avec moi. J'avais largement contribué à diffuser leur appel, que ce soit dans mon propre blog ou même via d'autres sites ou moyens, par exemple et pour n'en citer que deux, sur la liste internationale « euro dads&mums » ou sur le site de Psychasoc, dans le forum. A l'époque, je pense que Monsieur Lorentz et sa femme avaient beaucoup profité de mes connaissances, de mon travail, de mes moyens et de ma notoriété. Aujourd'hui, je profite probablement plus et assez régulièrement de billets d'humeur de Monsieur Lorentz, de ses élucubrations, contradictions et injures, de ses écrits mensongers, diffamatoires et calomnieux, de la « publicité » qu'il se fait tout seul et par laquelle il cherche manifestement à me porter préjudice. Je pense également que Monsieur Lorentz est inscrit et milite au Parti, le « bon » parti, celui de notre chantre.
Par le passé, un autre blogueur, vraiment très médiatique, avait aussi aidé la famille Lorentz à faire connaitre leurs difficultés. Dans leur billet du 12 courant, SEFCA Puteaux 2 semble également casser un certain Grébert... qui serait mon « copain » ? Je me demande ce qu'il en pense. Il m'est bien arrivé d'écrire à Christophe Grébert mais il ne m'a jamais répondu. A sa décharge, ce blogueur de Puteaux a souvent eu d'autres soucis que celui de me répondre, par exemple, d'obtenir d'abord gain de cause dans des tribunaux puis, un jour, l'exécution de décisions de justice.
La parution de Maxi - on voit cet article de mars 2008, sur Google - avait beaucoup ennuyé le juge pour enfant de Nanterre et la cour d'appel de Versailles également. J'avais commenté cet article de Maxi dans mon propre blog, au moment de sa parution. Fin mai 2008, alors que j'étais suivi par des journalistes de France 2, le substitut Laeticia Felicis m'avait fait l'honneur de sa présence, à l'audience. Ce substitut m'avait surtout prié de ne pas autoriser France 2 à faire son reportage, pour Faits divers, le mag. A l'époque, après la parution de Maxi et de mes commentaires, le tribunal pour enfant et le pasteur d'Uhrwiller n'avaient pas souhaité s'exprimer pour ce reportage diffusé ensuite, par France 2. Monsieur Lorentz copiait alors mes échanges et écrits, il lisait mon blog et ne se plaignait absolument pas des mails qui lui parvenaient.
« Le ridicule ne tue vraiment pas », peut-on lire aujourd'hui, dans un billet du 12 courant, publié par SEFCA Puteaux 2.
Je profite de ce billet pour saluer Les Enfants de l'Orchidée, Patou, la nonne... et pour les rassurer, j'informe ces orchidées que je commente, critique et heurte toujours autant, où que j'aille. Un jour, je lirais La diplomatie pour les nuls.
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Sarkozy et sa Moldavie française « irréprochable », « exemplaire » même
Ce soir, j'ai encore beaucoup sourit en écoutant notre chantre nous parler de ses grands projets, pour la France. Je me marrais tout autant, hier, en lisant une dépêche qui m'apprenait que, selon le nouveau procureur général de Paris, François Falletti, le parquet n'est pas « aux ordres » ; répondait-il à Rachida Dati ou aux scribouillards d'Entreprendre ? J'ai souvent lu et perçu une réalité bien différente de celle qu'on vient de nous dépeindre. Mais s'il faut y croire...
J'ai le sentiment de comprendre de mieux en mieux l'insistance du parquet et des juges du secteur, ils m'ont très souvent prié de cesser de m'exprimer et de ne plus solliciter des journalistes : « s'il vous plait, pas de scandale ! »
D'une interview de Rachida Dati, parue en mars 2009,
dans le mensuel Entreprendre
De tous petits caractères, mais conformes
J'ai relu ces chaines de caractères, dans un des constats d'huissier qui m'est parvenu hier, imprimé sur papier. J'aurai pu faire comme n'importe quel ministre, politicien, polémicien ou des artistes, fuir Internet et courir avec une impression voir un manuscrit, chez un notaire ou un huissier de justice, pour lui demander d'enregistrer mon papier noirci d'encre. J'ai préféré tout commander par Internet ; j'ai même réglé par carte bleue. Quoi de plus naturel, en France, en 2010 ?
En effet, un premier huissier a du recevoir un simple fichier, via un site web et par email. Après confirmation, je suis allé vérifier sur le même site web. Les chaines qu'il a enregistré semblent être conformes. Le second huissier a tout simplement affiché un fichier qu'il a ouvert dans mon propre blog ; il a ensuite travaillé avec des checksums MD5. Je pense avoir fait très fort ou du durablement inaltérable avec ces trois checksums md5, sha-256 et sha-512 d'un ficher de 2 giga, après compression par gzip. Le papier du second constat m'est évidemment parvenu par la Poste, très rapidement ; j'ai le très net sentiment que mon facteur n'a rien éparpillé, que toutes les pages me sont bien parvenues, dans une enveloppe intacte. Il faut juste une bonne vue, sur cette impression au format A4, les caractères sont assez petits.
Mes écrits et de nombreuses données ont donc bien été parfaitement matérialisés, ce 12 mars 2010, par l'intermédiaire d'Internet. D'autres affirmeront que ce qu'on peut y lire n'est pas du tout fiable. Certains affirmeront même que Internet n'est rien qu'une poubelle à provoc. Mais Internet a été imaginé pour résister à une guerre thermo nucléaire, pour acheminer même des données à travers un réseau dégradé ou saturé, d'une manière tout à fait acceptable.
L'Express, vendredi 20 octobre 2006
"La fin du mythe communiste", par François Fejtö, extrait
Au moins, je recevais des données et des réactions en direct de partout, y compris de Moscou et de Pékin. Le fax et les moyens techniques nouveaux ont permis de contrer la propagande soviétique, très puissante en particulier dans la presse, l'opinion et les milieux intellectuels français.
Ces jours ci, j'ai un peu communiqué avec le boss de unblog.fr, par mail et par téléphone, rappelant que, par le passé, j'avais déjà discuté avec les services juridiques de OVH. A l'époque, j'avais déjà fait réaliser de premiers constats d'huissiers. Ce soir et après l'avoir bien étudiée, le boss de unblog.fr m'a finalement répondu que ma plainte était recevable. D'ici à lundi au plus tard, SEFCA Puteaux devrait avoir fait le ménage dans ses diatribes publiées sur unblog.fr.
J'attendais aussi une éventuelle réponse ou réaction du juge pour enfant de Nanterre, je lui ai écrit il y a huit jours. On m'a envoyé un RAR, certainement l'Administration ; je pourrais le retirer dès demain, au guichet de la Poste. Cette dernière a récemment fait la promotion d'un « coffre-fort » numérique, un nouveau service. Nous pourrons peut-être bientôt recevoir des RAR à toutes heures, par Internet, sans les contraintes des guichets et de leurs horaires d'ouverture.
D'un constat d'huissier, via Internet, puis livré par la Poste