Mot(s) clef: avril 2011
Encore un petit bilan
Deux suspects confrontés au chien de la victime
Par Cyrille Louis
Publié le 10/09/2008 à 16:36,
Mis à jour le 10/09/2008 à 16:37, le Figaro, extrait
Un magistrat de Nanterre a décidé de faire appel à ce dalmatien, seul témoin du décès de sa maîtresse en 2005. Il se prénomme Théo et s'est récemment efforcé, sous l'œil ébahi de quelques avocats et policiers pourtant chevronnés, d'apporter un concours original à la manifestation de la vérité judiciaire. Seul témoin identifié du décès d'une femme de 59 ans intervenu le 1er décembre 2005 sur une péniche amarrée sur la Seine, ce chien dalmatien a participé, début juillet, au transport sur les lieux du juge d'instruction Thomas Cassuto. Là, comme l'a révélé hier France Info, l'animal a dû se plier quatre heures durant à une opération de « tapissage» plutôt originale. «Tour à tour, il a été sommé de renifler le greffier, les enquêteurs de la police judiciaire, les gendarmes qui assuraient l'escorte ainsi que deux suspects...
« Les curieux soutiens… » auront donc fini par relever des journalistes : des conspis, des antisémites, des décalés et jusqu'à des courants sectaires. Hormis quelques cas particuliers, parfois des familles, occasionnellement des familles d’accueil, ou des mères telles que Rachel, qui bénéficient de soutiens que l’on qualifiera de « plus pertinents », depuis quelques années maintenant, il n’y a plus que les « dérangés » qui s’intéressent, suivent et relayent très volontiers les discours de parents se plaignant de « placements abusifs ». Il ne me parait donc absolument pas anormal que Karine Trapp ait fini soutenue de façon improbable, par Osez Le Féminisme, Christian Cotten, Patric Jean, le docteur Labrèze, Causette le mag, les Wanted Pedo, Ciryl Hanouna, des gilets jaunes, j’en passe, soutenue ainsi et portée aussi par les bonnes caisses de résonance que constituent Facebook, Youtube, les réseaux sociaux. Une catastrophe, avais-je publié en 2019, après avoir lu les auditions pour les parents par Perrine Goulet pour son rapport d’information sur l’Aise Sociale à l’Enfance. Par le passé, pour soutenir et représenter les parents, et vraiment plus pertinent, il aurait existé Le Fil d’Ariane, l’association de Catherine Gadot ; mais celle-ci a coulée, leurs subventions ayant été sucrées vers 2016. Aujourd’hui, il existerait bien Me Michel Amas et le député Jean Lassalle, mais eux-mêmes surfent également sur la vague de ces « curieux soutiens ». Si tout devait être savamment organisé pour discréditer les parents, qui qu’ils soient et quoi qu’ils racontent, on ne ferait pas autrement ?
Entre ce 9 et ce 11, sur Twitter, quelques-uns semblent avoir souhaité m’expliquer ce qu’est la scientologie, la CCDH, m’apprendre ce que sont les dérives, les sectes, les décalés, ou me décrire peut-être plus généralement la diversité qui s’agite sur les réseaux ainsi que parfois jusqu’à bruyamment devant des tribunaux. Comme si j’étais tombé de la dernière pluie. Ca fait 30 ans et davantage que je lis et écoute de tout, absolument de tout, en discutant fréquemment avec tout le monde - si l’on ne me bloque pas vite fait. L'audience surréaliste de l'avocat de Dieudonné au Barreau de Paris, c’était un bordel rare et je ne découvrirais que aujourd’hui ? Quand j’avais décidé puis témoigné en faveur de Chantal Clos, la faune était partout, très calme, mais tout de même présente jusque devant la cour d’assises. Avec l’affaire dite d’Outreau, la faune était partout également, sur plusieurs saisons, au rythme de l’affaire… Et aujourd’hui, après avoir entendu absolument de tout, j’aurais encore quelque chose à comprendre et à découvrir ? Il faut qu’on me propose quelques documentaires de Serge Garde ou de Karl Zero, sinon, encore des précisions sur Hold-Up et le covid ? On se souvient de ce qu’avait pu raconter Mallaury Nataf au retour de la rue, nous parlant de ses « attaques », puis de justice, de protection de l’enfance, de ses enfants à elle, de son fils « placé » ? « Attention, scientologie, et aussi pédophilie, et soutiens curieux », me dit-on, d’accord, je vais donc faire attention, mais je doute que ce soit le sujet, le fond ; pour France 3 Occitanie, le procureur de Nîmes précisait banalement que « Des enquêtes sociales ont été menées. Les personnes présentent des difficultés comportementales qui justifient le placement des enfants ». Ce 11, j’ai pu discuter une petite heure avec Karine Trapp, elle ne m’a pas l’air si déséquilibrée que cela, bien au contraire ; elle n’avait d’ailleurs pas l’air de passer pour une désaxée chez TPMP non plus. Elle n'est manifestement ni perdue ni aux abois, elle pourrait plutôt avoir trouvé de bonnes branches auxquelles se raccrocher ? Son avocate, Me Khadija Aoudia, est depuis peu bâtonnière à Nîmes ? Si une telle avocate peut la représenter, pourquoi m’a-t-on suggéré de m'abstenir, de me désintéresser de cette affaire de « sauvetage » d’enfants dont se plaint Karine Trapp ? Ce 11, j’ai également pu prendre le temps de lire quelques centaines de commentaires et échanges sur les réseaux sociaux, ainsi que de retrouver et de lire de vieilles traces perdues sur Internet ; instructif ; aussi très rigolo lorsqu'on constate comment beaucoup se sont interrogés autour de #TPMP « mais quelles activités parisienne ?? »
Puis bien sûr, du côté des papas, notamment sur une chaine YT, dans les commentaires, ça divise, ça s'oppose.
Son avocate et Karine Trapp se sont engagées au pénal pour contester des décisions, un avis d'un expert également, il me semble. Mais comme elles le précisent, ce sont des procédures longues, complètement incompatibles avec le temps de l’enfance autant qu’avec le rythme des audiences d’un juge pour enfant. L’appel, je crois qu’elles ont perçu également que c’est illusoire, et elles ont remarqué que la cassation, c’est onéreux. Qui me rappelle à présent les difficultés de Mireille Millet au pénal, elle avait fait enlever Sébastien, avait eu pour idée de le faire disparaitre en Suisse comme ça pouvait encore se faire jusqu'en 2000 environ ; en appel, la grand-mère avait fini condamnée pour des faits commis par sa fille, la mère, les juges s’étaient trompés de casier judiciaire ou de personnalité ; Mireille Millet n’avait pas eu d’autre choix que de se pourvoir en cassation… Ou qui me rappelle bien évidemment aussi l’histoire de Valérie Dubois, elle avait été internée en psychiatrie par son mari et avait ainsi vite perdu la garde de ses enfants ; Valérie Dubois avait ensuite dû batailler des années au pénal ; Martial Corlouer, c'était un peu la même histoire, un « divorce », mais interné par sa femme : « Alors qu'étant alors "engagé dans une procédure de divorce conflictuelle, il s'est vu privé en raison de cette mesure d'un droit de visite et d'hébergement sur ses enfants pendant plusieurs années". »
Le caractère abusif d'un internement psychiatrique devant la justice
Publié le 12 juin 2013 à 22h02 - Mis à jour le 12 juin 2013 à 22h02
Le Monde avec AFP, extrait... Selon l'époux, Valérie Dubois, qui fréquente l'église évangélique Charisma, souffrait de délires mystiques qui risquaient de mettre en danger sa vie et celle des deux enfants du couple. Internée en juin 2010 à l'hôpital de Fleury-les-Aubrais (Loiret) sur décision préfectorale, elle en était sortie un mois plus tard grâce à une mainlevée du juge des libertés et de la détention, décision confirmée en appel. Elle a ensuite fait réaliser une expertise qui ne relève aucun trouble psychiatrique. Mais la garde de ses enfants âgés de 9 et 13 ans lui a été refusée, et elle ne peut les rencontrer que deux heures par semaine dans un cadre neutre.
Eliminer les gens, c’est très facile, je trouve, au « civil ». Des lettres, des rapports, des avis, des « expertises » dans lesquels picorent les juges... et voilà. « Trouvez un avocat, retournez voir les juges, faites appel ? » Dans mon histoire, c’était différent, les juges avaient « placé » mon ainée au presbytère protestant d’Urhwiller, la pasteure s’était empressée de lui faire dispenser des cours d’éducation religieuses, de la faire participer également aux activités de la paroisse. « Ah non, aucun prosélytisme religieux », avait un moment osé conclure la cour d’appel de Versailles.
Un petit mot de mon ainée, reçu vers la fin 2008
« ils n'ont pas mis obstacle à la reprise des relations entre l'intéressé et Justine,
notamment lorsque Justine en a manifesté le souhait ; »
Le pénal ainsi que du disciplinaire, je n’y resonge que depuis peu. Je l'avais déjà envisagé en 2013, mais suite à mes propres « activités Parisiennes » pour y sensibiliser les médias dont le Parisien, les autorités m'avaient fait longtemps enfermer et droguer, en psychiatrie... Par le passé, de 2003 à 2011, j’agissais essentiellement au civil - tandis que le parquet classait ou foirait absolument toutes mes plaintes, sur des années, même celle qui m’avait été suggérée par le juge des tutelles, au motif de recel successoral, de la succession de la mère de mon ainée. Il y a des mois, j’ai eu à porter plainte au motif de dénonciations calomnieuses, je n’en ai pas de nouvelles. Cet été, à deux reprises, la police m’a refusé un dépôt de plainte pourtant très sérieux - rapt de mineur, détention arbitraire, faux en écriture(s) publique(s). La suite s’annonce donc pour moi encore « compliquée », comme depuis 20 ans ; mais comme précisé ici, plus tôt, ma cadette est maintenant majeure aussi, elle ne risque plus d’être utilisée par des juges pour exercer des pressions sur moi et pour espérer obtenir ainsi du silence ou une abstention de ma part. On dira plus tard de la justice qu’elle n’avait aucun moyen, ou peut-être que le parquet, indivisible, droit dans ses bottes sur 20 à 30 ans, ne traitait volontiers que les dénonciations dirigées contre moi. Puis entre temps, comme par le passé, je m’occupe, et je vais suivre un peu également cette histoire dans laquelle Karine Trapp et ses enfants et même ses ex ont été happés. A Frontenaud, sinon, pas de progrès majeurs ; après de très longs préliminaires, sur des années, depuis au moins 2015, une instruction suivrait son cours ; tandis qu’on attend un délibéré de la cour d’appel de Dijon, pour des diffamations ou de bonnes vérités lâchées dans des blogs de Mediapart...
« "On entend les enfants placés d'hier, jamais ceux d'aujourd'hui" : à 26 ans, il donne la parole à ces mineurs », titrait le JDD il y près d’un mois déjà… l’étudiant « a recueilli la parole de 1.500 jeunes en foyer ou en famille d'accueil ». Je profite de ce moment pour noter que je ne trouve toujours pas cette exceptionnelle production pour Adrien Taquet et avec Gautier Arnaud-Melchiorre. « Placé », je commence à vraiment détester ce mot. Quant à la pénibilité de ces silences et chapes de plombs, dont sur la parole des enfants autant que sur celle « d’ex-placés », n’en parlons plus.
Ces semaines passées, j’avais envoyé des mails et des lettres comme ça me prenait, un peu plus d’une vingtaine. Bilan :
• vite, après mes premiers envois, il m’est parvenu un dessin de bite... une signature pour l'OSE m’a en tous cas heurté
• la Poste a égaré un envoi qui aurait dû arriver au Conseil Supérieur de la Magistrature, tant pis
• selon le service de suivi de la Poste, le CNAEMO tarderait à réceptionner ou à récupérer ses lettres AR
• mes billets d’octobre pourraient avoir été beaucoup lus, à ce jour, un compteur affiche déjà plus de 6200 vues
• Paul Guiraud, son service « relations avec les usagers » m’a répondu, ceux-là m'ont outré, énervé
• la Grande Chancellerie de la Legion d’Honneur que j’avais saisie semble avoir pris une décision, de classer
• …
• je n’ai pas encore de nouvelles ou réponses de la MIVILUDES ni du Défenseur des droits que j’avais saisis également
Internet est formidable. Quelqu'un a republié Faits Divers, le mag, de juin 2008, sur France 2, que le parquet voulait que j'interdise - la première partie du reportage, des journalistes m'avaient suivi jusqu'au tribunal de Nanterre, pour l'audience de la fin mai 2008. Une vidéo aussi partagée sur Facebook, où elle totalise 144k vues et plus de réactions :
Familles déchirées : "Rendez-moi mon enfant" • 7 855 vues depuis le 29 avril 2021 • France 2, juin 2008
Par une lettre du 16 novembre, Paul Guiraud pour le Directeur m’a répondu que « toute mesure d’hospitalisation sous contrainte est contrôlée systématiquement par le juge des libertés et de la détention (JLD) et ce, afin d’éviter une hospitalisation abusive. » Un contrôle extrêmement curieux, donc, car suite à trois torchons rendus par des experts psychiatres missionnés par le JLD, il ne levait pas la mesure d’hospitalisation sous contrainte ; puis je finissais tout à fait libre quelques jours plus tard, suite à un ultime avis d’un psychiatre, Anne-Sylvie Caillat : après 5 semaines de détention, elle reconnaissait enfin qu’il n’y avait rien du tout à « traiter » ou à faire « soigner » chez moi.
Par bienveillante, Paul Guiraud ajoutait encore que si je le souhaite, j’ai le droit de porter plainte… merci ; comme si un tel éclairage m'était d'une utilité. Puis Paul Guiraud m’assurait aussi que « l’établissement et les équipes de soins sont attentifs à la Qualité (sic) des soins et au respect des Droits des Patients (sic) » ; qui pourrait en douter ? Dans cette lettre pour le Directeur, pour le Directeur adjoint et par délégation, Sophie Guigue m’ajoutait également l’adresse du CMP de Fresnes, « en cas de besoin », « les équipes soignantes restent à votre écoute » ; Depuis son univers, Sophie Guigue m'ajoutait qu’il me serait possible de me rapprocher de l’UNAFAM, « Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques », qui « a pour mission d’accompagner dans la durée et d’améliorer la vie des familles touchées par les conséquences des troubles psychiques d’un proche. » Mes proches vont très bien. Quoi faire de telles « informations » ou de cette « communication » de Paul Guiraud ? Les jours passent, j'en reste encore outré.
Assez vite après avoir lu cette lettre ref. PM/SG/CC n° 540/2021 de la « Chargée de Relations avec les usagers », je réécrivais au Directeur de Paul Guiraud, un envoi qui pourrait être qualifié d’injurieux. « Connasse – familier, femme idiote et désagréable » lui ai-je ajouté après avoir découvert également le profil LinkedIn de Sophie Guigue, aujourd’hui à Paul Guiraud, de 2006 à 2009, assistante à la cour d’appel de Versailles. Qu’est-ce que ce monde et ces gens sont petits.
Mentir ainsi est un art, du grand. Relire Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu, 1864, par Maurice Joly. On lit Sophie Guigue pour Paul Guiraud, et on croirait lire le Conseil général des Hauts de Seine, Michèle Estraillier, à la Direction famille-enfance-jeunesse, en 2003, pour qui l'Aide Sociale à l'enfance, c'était « nécessairement » fabuleux, idéal :
Pour la Grande Chancellerie de la Legion d’Honneur, il m’est parvenu une réponse du chef de cabinet référencée 2021/GB/105 qui m’a étonné. D’abord car je n’aurais saisi leur service discipline que « par courrier recommandé daté du 8 novembre 2021 » ? Je pensais pourtant l’avoir saisi en octobre déjà, par voie électronique, ce qu'un mail puis un coup de téléphone m'avaient confirmé… Si je leurs réécris, ce sera donc uniquement à l’ancienne, par lettre recommandée AR.
Ils semblent avoir compris ou simplement retenu qu’un « différend » m’oppose à « un membre de l’ordre National du Mérite ». Il peut y avoir un malentendu. Je leurs avais notamment exposé comment Richard Josefsberg, un théoricien de la Ddass, avait pratiqué sur son terrain, de la protection de l’enfance : en trichant, en trompant, en mentant... Puis effectivement, les juges avaient très volontiers tout gobé et la cour d’appel de Versailles avait machinalement tout validé.
Ils ajoutaient : « les résultats de la procédure judiciaire que vous indiquez devoir engager prochainement seront suivis avec l’attention requise par ces sujets, afin d’en tirer toutes les conséquences au regard de la discipline des membres des ordres nationaux. » M’auraient-ils confondu, moi, ou Richard Josefsberg, avec un Nicolas Hulot ? Ce dernier devrait conserver sa décoration à moins que, un jour, la justice ne se prononce vraiment défavorablement, tel qu'en reconnaissant ou en confirmant des allégations de plusieurs femmes qui se sont plaintes d’avoir été, il y a des années, agressées sexuellement ou davantage ; le sexe, une matière où la « preuve » peut être difficile à produire. Ce que j’ai exposé à la Grande Chancellerie est assez différent et se fonde sur des éléments très simple autant que sur quantités voire même un grand nombre d’écrits, dont des décisions dites « de justice » rendues sur 2002 à 2015 ; sinon je n’aurais jamais pu me permettre d’écrire ni de publier comme j’ai pu le faire depuis 2005 et même depuis plus tôt, car j'aurais fini condamné.
Je n’ai pas l’impression de « devoir » prochainement engager des procédures judiciaires pour valider ce que j’ai réexposé dans mon blog, ces semaines passées. Lorsqu’on publie comme je l’ai fait, il faut un minimum d’éléments probants… Mais cette réponse de la Grande Chancellerie ainsi formulée, écrite et signée me convient parfaitement ; ils vont attendre et « suivre », avec « l’attention requise ». En novembre 2009, je rencontrais Jean-François Guthmann, de l’OSE France, qui m’en avait fait une tout à fait similaire, en off ; lui m’avait assuré qu’il « suivait » mais « d’assez loin » cette histoire de « placement » de ma fille ainée. Je suis ainsi un peu mieux renseigné, sur les grands esprits des membres des ordres nationaux. Jean-François Guthmann avait lui-même été élevé en novembre 2012 au rang d’Officier de la Légion d’Honneur. Fouillant, je constate que Roger Fajnzylberg, longtemps Directeur général de l'OSE, a décroché son hochet en 2010. Un autre monde, très différent, où les intimes et les proches finissent décorés. « Félicitations à tous les promus ! »
La légion d’honneur du 11 novembre 2012 attribuée à Jean-François Guthmann, président de l’OSE
pour récupérer la garde de ses enfants • #TPMP • il y a 8 mois
Une lettre ouverte, à Macron, Président, à EDM, Ministre de la justice
Histoire d'introduire un peu ce billet aussi... « pour les nuls », ou simplement pour ceux qui ne se doutaient de rien :
L'assistance éducative : Des pros ou l'ASE « croivent » qu'un enfant est en danger, ils arrivent puis partent avec...
Un rapt de mineur : Des « professionnels » passent, insistent, crient au loup, puis s'obstinent, font disparaitre un enfant.
Pour comprendre ou décoder : Si rien d'ici n'est clair, commencer par lire Le Net c'est du chinois...
Pour ceux qui découvrent : Peut-être commencer ensuite par survoler mes billets d'octobre... #tabou #éthique
« C'est quoi, le CSM ? » C'est à relire ou à découvrir par ici : http://www.conseil-superieur-magistrature.fr
« C'est quoi un parquet général, un avocat, un huissier, l'appel ? » Euh... il est très courant qu'on ne sache pas.
« Tu es brutal, excessif ! » Probable ? Va jouer 15 ans dans les tribunaux du Château #Kafka puis on en reparle ?
« Mais t'es qui, toi ? » Est-ce que c'est important ? Toi, qui me lit et s'interroge ainsi, t'es qui, tu es d'où ?
Une Administration qui s'auto protège et étouffe tout : J'ai vu et ai été accoutumé au concept, aux effets. « Vous aviez fait appel, on a tout confirmé ! » Oui, j'ai bien vu et perçu cela aussi, et je parle d'autorité de choses viciées... Où sont les limites aujourd'hui, en matière d'assistance éducative et d'autoritarisme pour faire « muter » les relations familiales ? Aucune, on est encore au 17e siècle, les juges pondent des lettres de cachet. Mais on pourrait ou « pouvait faire appel ! »
Pour l'avoir lu, je sais que l'Elysée ne répond ni aux « envois injurieux », ni aux « mensonges ». Des injures, ici, ou des mensonges dans ce que j'y envoie encore ? Et pour l'avoir vu, je sais comment la place Vendôme peut traiter ce qu'on leurs envoie... Quoi leurs écrire ou demander qui ne serait pas mal perçu ? Je ne fais plus que informer, c'est un droit.
En octobre, je renvoyais donc une première lettre à l'Elysée. Je crois qu'elle synthétisait bien : un rapt de mineure, par des sauvages - « de l'assistance éducative », selon les autorités. Puis ce mois d'octobre, je publiais à nouveau des billets plus longs, plus fouillés, dont sur « l'appel », des voies de recours... illusoires. J'y ai réécrit, à la place Vendôme aussi :
Une lettre à Monsieur Macron, le Président, le chef de l’Etat, mais aussi le grand maître de l’ordre national de la Légion d’honneur... j’ai toujours un truc dans les tuyaux, chez ces derniers, où j'ai peut-être été assez bien compris.
A cette lettre, à Macron et EDM, j'ai joint des extraits précis de mon blog, du mois d'octobre, quelques passages sur lesquels je souhaite attirer leur attention... S'ils désiraient en savoir plus, il existe mon blog, où tout est public #loi1881 Pour en voir encore plus, ils pourront toujours s'adresser à cet huissier de justice ; un constat du 2 courant, je n'en publie pas les références, c'est interdit car il s'agirait aussi du nom de l'huissier, un officier ministériel. J'y ai joint aussi ma lettre à Macron du 10 octobre, un PDF de 4 pages, le Conseil Supérieur de la Magistrature pourra la lire aussi. J'y ai ajouté également une des réponses que l'Elysée m'avait faite en 2006, une sorte de lettre type, comme j'en avait souvent reçu où que j'écrivais : « on est attentif, mais comprenez qu'au Château #Kafka les pouvoirs sont séparés, on informe cependant mieux les services, le reste ou la suite `'relève[ra] exclusivement de la compétence des magistrats (sic)". »
« Copie au CSM ? » Oui, et alors ? Je connais les règles. Et je m'en fous. J'informe, ils en feront ce qu'ils voudront. « C'est approximatif, excessif, méchant, on n'est pas comme ça ! » Arrive et causons ! En attendant que tu t'y risques, à venir causer, j'affine. Dois-je ajouter que du qu'en dira-t-on et même des chuchotements en coulisses, à Paris comme à Uhrwiller ou à Haguenau, chez les DNA, à Valmont, à Ostwald, l'ARSEA, ou à Taverny, chez l'OSE France, je m'en cogne ?
Pour la boulette via Légifrance, une nuisance, avec un faux en écriture publique, de la diffamation publique, ou en tous cas, des données personnelles et des informations #AltFacts tendance #FakeMed et #opendata accessibles à tous, je vais un jour m'orienter vers la CNIL ; toiletter cela n'est pas pressé ; un détail, dont je me fous aussi. J'apprends que ce serait de la responsabilité de la cour de cassation... « On a probablement mal fait, c'est vrai, mais sans faire exprès. » Selon #loi1881 la culpabilité de qui écrit ou publie sans prudence est présumée. Tandis que lorsqu'il s'agit d’assistance éducative, c'est particulier, c'est de la vie privée des enfants dont il s'agit, et c'est normalement totalement secret, pire que le nucléaire civil, secret pendant 75 ans... je crois que c'est ce que précise l'article L213-2 du Code du patrimoine. Secret pire que celui de la Caisse d'Epargne, insisteront les ours pour enfant et les « professionnels » de l'OSE France. « Dans l'intérêt du mineur ou des fratries dont on s'occupait. » A l'occasion, je vais en discuter avec ma cadette, elle pourrait facilement consulter un rapport de l'OSE de novembre 2005 ? « Nous avons de très grandes inquiétudes à nouveau ! »
« Le pénal, c'est pour les escrocs, les Monique, les Fourniret, et vous n'avez pas le droit de parler d'un rapt ! » Dans son « mémoire en défense » pour la cour de cassation et déposé le 9 septembre 2008, Monsieur Xavier Serrier utilisait lui-même le mot « rapt », le rapt de ma fille ainée, « depuis 2005 ». Je crois que j'avais été très souvent assez clair, partout, sur des années. Et je trouve qu'on ne lit pas grand chose de 2008 dans cet arrêt d'un 1er avril rendu par Versailles :
SCP ANCEL COUTURIER-HELLER pour Monsieur Xavier Serrier
on informe cependant mieux les services,
le reste ou la suite `'relève[ra] exclusivement de la compétence des magistrats (sic)" »
Qu’est-ce que j’avais été naïf par le passé, tout au cours de 2003, imaginant qu’un moment, tout allait pouvoir se décanter, après des discussions sereines avec les gens de l'ASE... puis ceux de l'OSE France. Puis même lorsque mon ainée avait fini « placée » par Nanterre, à Taverny, je restais naïf ; pendant quelques temps, des mois, je croyais que ce lieu et ces « professionnels » allaient être et rester neutres ; mais non ; vers la fin 2004, je finissais désillusionné, désenchanté. « Nous sommes et nous avons toujours été neutres, les juges et toutes leurs décisions vous le confirmeront ! »
Une cour d'appel très curieuse, jusqu'au bout : « ne présente pas de demande précise... se contentant de critiquer ». Monsieur Xavier Serrier n'avait pas compris « sommation » et « juger », Versailles, sa première présidence n'avait pas capté non plus ? Il y avait quoi de pas clair encore, en 2011, pour des juges, dans : « je demande un constat d'échec » ?
Je n’aurais pas râlé si ces gens – péjoratif – dont pas mal de gens dits « de robe » avaient trouvé quelque chose de pertinent à me reprocher, et râlé moins si ces mêmes gens s’étaient occupés un peu mieux de mon ainée, de sa relation père-enfant, des relations de mes deux filles également, c’étaient des demi-soeurs attachées... tout a été brisé. En 2011, je découvrais cet arrêt rendu un 1er avril, par Versailles ; d'abord fâché, je m'étais très vite mis à en rire... merci, Lise !
Ce mois d'octobre, j'ai fait du « bruit », plus que d'habitude, tweeté #juristes #médecine #avocats #Ddass #psychiatrie et j'ai envoyé des lettres, saisi un organe disciplinaire puis la MIVILUDES, publié dans mon blog #tabou Je n'ai aucune idée ou presque de comment c'est perçu. J'attends d'éventuelles réactions de gens ou de sournois ? Depuis trois à quatre semaines, pas de réactions, ou juste des cris, mais lointains... téléphonant, j'ai en tous cas bien perçu quelque chose.
« Faire du bruit, ça nous trouble l'ordre ! » Si j'en faisais aucun, et comme personne n'en fait jamais, « ce serait mieux ! »
Du côté de Strasbourg et de l'école OSCAR, une école que j'ai essayé de prévenir en y téléphonant avant de publier ce billet, si l'on me relit, certains comprendront peut-être un peu mieux pourquoi, en juillet 2018, je publiais ici Des nouvelles de la secte... Après les coups sur mon ainée et les coups bas, mesquins, beaucoup, les choses ou « les relations familiales » avaient « mutées », mais quelque part, ça avait encore bien foiré. En tous cas, ni aujourd'hui ni à l'époque, je n'avais de reproches à faire à Carla, la fille des Clementz. C'était elle-même une gamine, plus jeune d'ailleurs que mon ainée, de trois ans. Je n’ai pas grand-chose comme souvenirs d’elle ; « caillou, caillou, cailloux ! » criait-elle en juillet 1999, en sandales, marchant sur un tapis de gravillons comme sur des oeufs et en levant les bras vers son papa.
Dans l'ombre du disparu • Frères et soeurs d'enfants recherchés, ils ont grandi entre espoir et résignation • « Officiellement, c’était une demi-sœur, mais c’était une vraie sœur quand même. Je n’ai pas eu de demi-peine, de demi-angoisse, de demi-douleur. » • France Info, qui peut dater de trois ans ou davantage, ceci est de 2014 :
Le monde où l'enfant n'est plus paraît hostile, rempli de morsures quotidiennes : les rentrées scolaires, Noël, les anniversaires, les copains qui grandissent, les autres mères avec leurs enfants... L'entourage, souvent, a du mal à trouver les mots, et fait parfois preuve de maladresse : « Je ne sais pas comment tu fais. Moi, je ne pourrais pas... » « Allez, vous êtes jeune, vous ferez un autre bébé. » • Elles ont surmonté la disparition de leur enfant, Marie France
Justine, 14 ans en 2007, disparue en 2005 | Outreau, deux ans après : la Justice a-t-elle changé ? | 25 mai 2008, elle a 15 ans journée des enfants disparus |
Un « rapport » au dossier « d'assistance éducative »... un souvenir parmi beaucoup
« lui apporter un étayage dans ses choix scolaires, personnels... »
Oui, j'ai parfois volé des photos, et alors ? Dont de ce rapport, de l'ARSEA
Voir aussi 567... ça n'en fini plus
Ma cadette a depuis un moment, mais tardivement, fini le deuil de sa soeur ou de cette relation. Vers je ne sais plus quand, il y deux ou trois ans, elle y croyait encore, puis elle a fini de réaliser. J’avais entrepris ce deuil vers la fin 2009. « On a réussi ! » Ma cadette, pas trop bête, l’avait peut-être entrepris déjà vers ses 4 ou 5 ans ? Rentrant de la maternelle, probablement après y avoir discuté avec d’autres enfants, elle avait affirmé : « ma soeur est morte, c’est les morts qui reviennent plus. » Les uns pleurent les morts ou regrettent les « plus là », les autres font le deuil de vivants, « partis »...
On va me dire d'être plus sérieux que cela avec ce genre de sujets ? Plus sérieux qu'une Rachida Dati pour Karl Zéro ?
« On ne peut pas dire 'tous les ans, on a tant de disparition'
parce qu'on les trouve... ou on les retrouve pas. Mais, euh... »
Du 31 mai 2011 au soir, à la CCI de Paris, comme partout, j'y avais un peu discuté,
un autographe sur « Indignez vous ! », un souvenir aussi,
l'association des diplômés de HEC accueillait Stéphane Hessel,
il avait 93 ans, un personnage... un grand bavard, un passionné, intarissable
Une nouvelle maladie mentale : l'opposition
Je continue de lire la presse. Valeurs, un article du 3 courant m'a fait bien rire. Une magistrate aurait été traitée comme à Nanterre, à Villejuif ou en URSS ? Suspendue d'office, poussée dehors ou chez elle, à y réfléchir plus et comme un grand malade perturbateur ? « Elle n’aurait pas dû être renommée à Perpignan compte tenu des crispations et des rancœurs passées, ajoute le CSM. Une semaine plus tard, le ministre signe sa suspension sur le fondement de l’article 69 du statut des magistrats et saisi le comité médical national pour enquêter sur ses capacités mentales, en contradiction avec les éléments médicaux versés au dossier et ceux qui démontrent son aptitude professionnelle. » Je découvre ainsi qu'il existe en France un « bureau national » pour juger des aptitudes et pensées acceptables ou pas... un article instructif : « Une chose est sûre : l’USM a choisi son camp et soutient la procureure adjointe depuis le début de l’affaire. [...] L’administration fait traîner les choses et ne reconnaîtra jamais ses erreurs, elle ira donc jusqu’au bout. »
sur « l'évolution de la société à l'épreuve du numérique »
« lancer une recherche sur Google... un film sur Netflix... » I Care A Lot ?
« #bigdata distractions stimulantes... société d'exposition...
le circuit numérique du plaisir... un self service »
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Autorité de la chose viciée
The past is a foreign country, they do things differently there. • L. P. Hartley - The Go-Between
La lettre de cachet pâtit grandement de sa sulfureuse réputation. Elle demeure le symbole de l’arbitraire de l’Ancien Régime et l’incarnation de l’oppression exercée par une puissance royale aveugle. Sa légende noire se fonde sur son seul usage répressif et tout particulièrement sur la lettre de cachet politique par laquelle le roi faisait enfermer dans ses bastilles des opposants, des gêneurs ou plus simplement des gens qui lui déplaisaient. La réalité de l’institution a ainsi été déformée au profit d’un usage fort minoritaire de la lettre de cachet au xviiie siècle. Certes, dans un contexte de perfectionnement de l’appareil administratif et d’accroissement des pouvoirs de l’État monarchique, la lettre de cachet répond parfaitement aux impératifs de rapidité et d’efficacité du gouvernement du royaume et connaît alors une formidable croissance dans le dernier siècle de l’Ancien Régime. Si elle peut notifier n’importe quel ordre du roi dont elle est l’expression de la volonté directe et souveraine, elle se limite alors presque essentiellement aux fonctions de police et de justice. • Jeanne-Marie JANDEAUX, 2008, de son introduction, de source www.chartes.psl.eu
La question de l’autorité hante les démocraties. En leur sein, lorsqu’il s’agit de la famille, elle se décline de multiples manières, que l’on pense aux relations entre homme et femme dans le couple, aux relations enfants-parents ou encore à l’intervention publique dans la sphère privée. De quoi est faite l’autorité ? Qui la détient ? Que devient-elle au moment où l’autoritarisme constitue un spectre et un repoussoir ? Comment l’exercer et où en sont les limites aujourd’hui ? • De l'introduction... revue Dialogue, 2004/3 (no 165), L'autorité parentale et les mutations de l'ordre familial, pages 3 à 6, par Benoit Bastard, Annette Langevin, puis aux pages 23 à 32, par Claire Davidson, Hervé Hamon : Autorité parentale dans la famille et autorité dans le cadre de l'assistance éducative : une histoire de respect
Pour ceux qui découvrent, peut être commencer par survoler mes billets d'octobre... celui-ci est un complément.
Je ne sais pas ce que font les autres. Moi, je cogite, et j'attends lundi. J'ai commandé un constat d'huissier, des captures, sur internet, j'attends de le parcourir avant d'envoyer encore des lettres. Dans les temps qui vont suivre, on va bien évidemment m'opposer l'article 1355 du code de chez les civilisés, et qui interdit de remettre en cause un jugement, pas autrement qu'en utilisant les voies de recours, et dans les règles... Jamais de débats dignes de ce nom, pas de contres expertises, des voies de recours parfaitement illusoires, je l’avais bien perçu. Et une fois « jugé », c'est acté, indiscutable.
Je cogite, j'attends lundi, je bidouille un peu aussi, je modifie un poil la cosmétique de mon blog.
Le 20 octobre 2010, la cour de cassation concluait que la cour d’appel de Versailles avait failli dans sa mission – « il incombe à la cour d'appel de se placer au moment où elle statue pour apprécier les faits ». Cet arrêt casse et n’annule qu’un arrêt de mai 2009. Mais il aurait pu s’appliquer de la même façon à ceux rendus par la cour d’appel de Versailles de 2005 à 2007. Je n'étais pas à l'aide juridictionnelle, la cassation représentait donc un coût, des honoraires, 5 à 6 000€ ; de 2005 à 2007, mon avocat ne me l’avait pas suggérée ; d'ailleurs pourquoi la cassation en assistance éducative ? Elle n'intervient toujours que trop tard : « M. l'Avocat général fait observer à titre principal que du fait des décisions intervenues postérieurement à l' arrêt attaqué, l'appel est devenu sans objet ; » « DIT cet appel devenu sans objet ; », c'était évidemment prévisible. Cependant, depuis tout ce temps, onze ans déjà, je me demande encore pourquoi il y avait eu renvoi à Versailles... Au pénal, c'est différent, on pourrait y faire appel, comme on le lit souvent dans les journaux ?
Vicié est le bon mot. « Jugé, autorité de la chose jugée ! », martèleront ces « professionnels ». En mai 2009, le pasteur d'Uhrwiller était très fière d’avoir pu permettre à mon ainée de renouer avec « mes parents ». Ma mère était alors pourtant morte, trois ans plus tôt, en mai 2006, mais passons… sur son faire part de décès, avec d'autres, il apparaissait bien mon prénom ; et seulement deux petits-enfants ? Ma compagne ainsi que ma cadette étaient alors inexistantes, là aussi ! Pour le « psychisme » de mon ainée, il était impérieux que les époux Clementz soutenus par l'OSE, par des ours, puis longuement accompagnés par un service AEMO de l’ARSEA s’affairent à préserver une certaine image du père, « cas psychiatrique ! », en se souciant de la relation père-enfant, s'affairant à la rompre... ou pour, avec les Clementz, « permettre à la mineure d'entamer une réflexion personnelle sur l'histoire du lien qui l'unit à son père, les dysfonctionnements de ce lien, les perspectives de restauration de ce lien ». Ca a dû être grandement facilité avec mon ainée immergé dans cet univers fantasque qui cultivait non seulement la haine de son père, mais également le rejet de ma famille, de ma compagne, de ma cadette. Devant la cour, en mars 2011, je n'allais plus insister, Delphine Roughol, pour la mineure : « en l'état elle ne souhaite pas nouer de nouveaux contacts avec son père de quelque manière que ce soit. ».
De l'arrêt du 22 mai 2009... ou par la machine à s'écrire.
« la mineure a retrouvé chez elle une vie équilibrée »
« elle même et son époux essayent de l'aider à trouver sa voie... actuellement en phase d'orientation
et va rentrer en théâtre à Strasbourg ayant manifesté de réels dons pour cette matière ; »
Ca détonnait, en mai 2008, à Nanterre, en contradiction, à huis-clos aussi, à l’audience de Monsieur Xavier Serrier, où le pasteur comme du haut de son perchoir et avec un regard très noir avait un moment lâché : « il n’était même pas à l’enterrement de sa mère ! » Les journalistes pour France 2 s'étaient vu refuser l'accès au tribunal, ils avaient pourtant demandé l'autorisation, ils peuvent parfois accéder à ce genre d'audiences ; c'est dommage, ils auraient pu en repartir avec des rushs assez sympathiques. J’avais alors vivement protesté en retour, réclamant à Xavier Serrier de réserver cette allégation diffamatoire pour qu’on puisse en discuter plus sérieusement hors de son bureau, ce qu’il avait refusé de faire. Je n’en connaissais même pas la date, ce qui était préférable, si je m’y étais rendu, on m’y aurait lancé des pierres ; et de toute façon, à cette époque, ma cadette qui pour nous existait avait trois ans, elle était encore à garder, fallait s'occuper d'elle... C’est une relation de la région de Metz et de l’entourage de Mireille Millet qui m’en avait parlé puis qui m'a fait parvenir ce coupon, l’avis de décès de ma mère. J’avais cependant été informé qu’il allait se passer quelque chose, par un appel téléphonique de ma petite soeur, en larmes : « maman va mourir, mais ne viens pas, papa ne veut pas te voir ».
Une justice d’outre-tombe, telle que du 17ième siècle, à cette époque, personne n'était libre. Une justice qui s’arrogeait encore bien au delà de l'an 2000 le droit de contrôler les membres de la famille, d'embastiller les déviants que la famille désignait, ou les faisant orienter vers l'asile et pour longtemps. Pour les uns, de l'est du pays, et les ours, il aurait fallu qu'en 2002, je ne couche pas avec une Parisienne ? Pour les autres, de la région Parisienne, et les mêmes ours, je n'aurais jamais dû engendrer avec une Boche, c'était déjà mal ? Ou pour tous comme pour Versailles, que je reste veuf, éternellement éploré et fidèle à une ex partie en 1999... « Inadmissible ! » Fallait que je change de personnalité car selon les experts, dont Davidson et ceux de l'OSE, j'allais empêcher mon ainée d'aimer les femmes de sa famille maternelle... Alors pour faire justice à tous, ils m'ont éliminé ; j'étais le père. J'aurais fait tout faux dans ma vie, y compris lorsque je protestais. Et l'on s'étonnera longtemps encore si j'étais allé discuter avec Anne Valentini, à Nanterre, en novembre 2003. « Il a déprimé ! » En 2003, on ne demandait pas grand chose, ma compagne et moi, juste qu'on nous fiche la paix ; elle même, la mère de ma cadette, réfléchissait alors à adopter mon ainée. « C'est de la maltraitance psychologique ! »
Les parasites de l'ASE, de l'OSE puis de l'ARSEA me demandaient de « collaborer ». Pardon ? Dans cet arrêt d'un 1er avril, je lisais que j'avais été « dans l'impossibilité d'accepter l'interférence d'un service éducatif pour faire évoluer cette situation préjudiciable. » « Accepter l'interférence » d'un tel genre de « service » ? Ils ont une conscience, dont des mots qu'ils utilisent, et aucune de ce qu'ils font ? Vite, après nous avoir harcelé pendant près d'un an, ils écrasaient puis allaient pour finir « orienter » mon ainée, niant sur des années l’existence autant que le très vif rejet de ma cadette, de ma famille, de ce que nous avions vécu, dont avec l’OSE, ce en me taxant de « cas psychiatrique ». Moi, un « malade », un danger, à exclure, à faire expertiser à l'UMD puis à faire psychothérapeutiser ; connaissant bien ma mère, son histoire personnelle, et combien elle avait investi en moi, les ours et ces gens l’ont tuée, plusieurs fois ; sinon, pour les uns, à l'est du pays, c'est moi qui ai tué ma mère en me comportant si mal, en déviant, ayant dérangé... et pour le pasteur Clementz, j'aurais dû m'aventurer à cet enterrement, au risque d'y être conspué et chassé ; en mars 2013, apprenant où l’on m’avait trainé, Paul Guiraud, elle s’est révulsée, et s’est encore retournée dans sa tombe. « La trisomie de sa soeur, un antécédent familial », notait Magalie Bodon-Bruzel... Passé l’été 2009, constatant que la secte allait s’obstiner, « à aider à trouver la voie », je m'étais davantage recentré et soucié de l’avenir de ma cadette. « On vous le répète, autorité de la chose jugée ! »
Il y deux ans, pour huit jours, je suis allé faire un grand tour avec ma cadette, en Alsace, en Lorraine, voir les paysages, les champs, des bois, les sous-bois, des couleurs, des lumières, le secteur de Bitche, de Hambach, un étang, en passant un peu partout, par Baerenthal, par le Haut-Kœnigsbourg et le mont Saint-Odile également. Au pif, dans les Vosges et du côté de Labaroche aussi. Pendant plusieurs jours, en des endroits où j’avais grandi et joué. On en avait profité pour bien manger ainsi que pour aller s’amuser plus loin, à l’Europa Park. Un grand tour, mais en ne sonnant à aucune porte ; pour quoi faire ? On s’était arrêté un instant dans un cimetière de Sarreguemines. Puis on est rentré, par Saint-Avold. Mais j’imagine que c’était de la maltraitance également, sur le chemin du retour, ma cadette m’avait semblé rincée.
On s'était bien marré aussi dans un endroit qui m'avait semblé unique, le Trèfle, autour de la D500 et de l'A352. J'avais pris la mauvaise sortie pour aller au ciné, en faire tout le tour avait été interminable... un jour, j'y retournerais à moto :
Un sujet tabou : l'éthique à Nanterre, à l'OSE France, à l'ARSEA
En résumé : Comment Richard Josefberg, docteur, une référence et un expert adulé partout, un grand théoricien, avec aujourd'hui plus de 40 ans d'expérience qu'il partage, comment accomplit-il son travail de séparation en internat ? Entre autres, il écrit au juge pour enfant. Il envoie Choukroun, le référent familial, causer à la psychologue. Puis tout peut avancer, les juges valideront tout, et ce sera avéré, indiscutable - pas de débats. En lisant l'avis de Mme Claire Davidson, astrologue, et des juges, dont de Versailles, de courtes portions accablantes que j'ai publiées, certains ont pu se dire qu'effectivement, tout était parfaitement motivé, ces juges avaient d'ailleurs machinalement tout confirmé.
Pour comprendre ou décoder : Si rien d'ici n'est clair, commencer par lire Le Net c'est du chinois...
Le tout publié ici, ce mois d'octobre 2021, est un peu long, désolé. Ca porte sur 1996 à 2015, beaucoup sur « l’assistance éducative », la prétendue « protection de l’enfance », de « l’aide » par des juges et par des travailleurs sociaux, de 2003 à 2011.... Et sur des errements, la cécité, puis trop vite des obstinations coupables, puis pour tout cacher, de grosses boulettes, dont par la « justice », jusqu’à encore des faux en écriture(s) publique(s) produits par elle. Plus synthétique ou court, c’est compliqué. Peut être lire un PDF, ma récente lettre de 4 pages à Macron ? Sinon, juste en me survolant ici, et en s’arrêtant sur quelques images ou paragraphes, ce que je viens d'ajouter dans ce blog pourrait retenir l’attention.
« Navré, on manquait de moyens, souhaiteront expliquer les professionnels de la protection de l’enfance, on pouvait pas y voir plus clair que cela. » Je ne vais pas être d’accord du tout avec cela, les ours ou les juges pour enfants ainsi que la cour d'appel de Versailles s’étaient donné absolument tous les moyens pour à chaque fois m’envoyer me faire psychothérapeutiser mieux tandis que ce que j’exprimais en public, chez la police et dans leurs prétoires était toujours suffisamment clair. « Il fallait sauver la fillette, on a fait comme on a pu ! » Je connais la rengaine, pour sa mère, c'est un service d'urgences qui avait fait ce qu'il a pu...
Si je me suis trop trompé, ou si j’ai été excessif en retour, après des années à devoir encaisser les coups bas, mesquins, suivront les menaces, des tentatives d‘intimidations encore, peut-être même des droits de réponse, je me ferais un plaisir de les insérer. « Ne le lisez pas, on a tous jugé qu’il relève de la psychiatrie ! ».
C’est maintenant assez long, ici, pour octobre 2021 et après quelques ajouts, ces dix derniers jours. Presque un livre, et même les liens vers 150 pages de mes conclusions ; depuis qu’il existe, il y en a davantage dans mon blog, un blog que les autorités et d’autres auraient voulu que je « supprime »... Tout le monde ne me lira pas, ou ne lira pas tout, et je préfère, car certains paragraphes plus bas pourraient faire bondir. Ceux qui l’ont fait, qui m’ont lu ou qui le feront pourront comprendre pourquoi je protestais depuis 2003, plus encore depuis 2005 et 2008, pourquoi je tweetais souvent depuis, et pourquoi je réfléchis encore à une suite, au pénal, aux assises.
Il y a des choses plus bas qui dérangent de trop ? Vraiment ? Faut aller en causer avec d’autres que moi. Un psy, un analyste, un lacaniste ou quelqu'un qui va tout pouvoir interpréter en arrangeant mieux les choses ? On est en novembre, maintenant... et je vais laisser ce billet en l'état, après des envois probablement assez clairs ?
Dans les 8 jours, je vais me rendre dans un commissariat, insister, si ça passe pas, je m'adresse au parquet puis à un juge d'instruction. Porter plainte contre Anne-Sylvie Caillat et X, pour ma détention arbitraire, en 2013, à Paul Guiraud... Je crois que ce n'est pas prescrit, et qu'on pourra en reparler aux assises, les yeux dans les yeux. Circonstances accablante pour la « psychiatre » : cette « dévouée » dame souhaitait me convaincre de m'abstenir de me plaindre de crimes de faux en écritures publiques, de rapports et avis bidons, d'un rapt de mineure, et même de violences et de tortures physiques et morales infligées à la mineure et à nous, sa famille. Pour témoins, Mme Caillat pourra convier Richard, un certain parquet général, Davidson, Bodon-Brruzel, Anne Valentini, Reveneau, un chien quelconque, des collèges de Versailles, un ivrogne suspecté d'avoir renversé un cycliste et de m'avoir descendu de Beaubourg, l'ARSEA, des tatas et Xavier Serrier : « c'était nécessaire ! »
Si je me trompe, de trop ou même un peu, il va falloir que le parquet m'écrase vite et me fasse taire.
Et le soucis pour le parquet, c'est que après 20 ans de ses avis chelou ou limités, étriqués, j'y crois plus.
En 2013, des « décisions anciennes (sic) », selon Mme Caillat, psychiatre... et l'on vient encore de me reparler au téléphone de « décisions défavorables » ! Comme exposé plus bas, de 2014 à 2015, je retournais dans un tribunal, à Metz, dans le prolongement de ces mêmes « décisions anciennes », toujours à me les trainer, comme un boulet ! Sous peu, je vais insister, déposer plainte au motif de détention arbitraire, en 2013, ainsi qu’au motif de faux en écritures publiques, de 2007 à 2011. Du fait de la loi de février 2017 qui allongeait des délais de prescription, ces « décisions anciennes (sic) » ne devraient pas toutes être prescrites… Pourquoi des plaintes maintenant ? Comme exposé plus bas aussi, j’ai depuis attendu un peu, que ma cadette soit majeure.
Puis si tout était prescrit... on va peut être pouvoir discuter un peu d'éthique et de déontologie quand même ?
Début 2013. Je parlais, voulais parler de faits criminels non prescrits.
« Discours centré sur ses (sic) multiples procédures judiciaires anciennes (sic)...
absence de trouble du comportement et de dangerosité psychiatrique (sic)...
la prise en charge demeure adaptée (sic) ... maintient des soins psychiatriques (sic) »
#ShutUp/Silence ! A faire taire ! Sade : « Français, encore un effort. »
Propagande, médias et démocratie
Noam Chomsky, Robert W. McChesney
Echosociété, Q4 2004
« Il a raison. Je veux dire par là qu'il faut en effet être dérangé pour admettre des truismes moraux élémentaires et pour décrire des réalités qu'il ne faut pas décrire. C'est probablement vrai. »
« La liberté d'expression constitue l'un des fondements essentiels d'une société démocratique, l'une des conditions primordiales de son progrès et de l'épanouissement de chacun. Sous réserve des restrictions mentionnées, notamment dans l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme, elle vaut non seulement pour les informations ou les idées accueillies avec faveur, ou considées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent l'Etat ou une fraction quelconque de la population. Ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance et l'esprit d'ouverture sans lesquels il n'y a pas de société démocratique. » • CEDH, arrêté Handyside, 7 décembre 1976
Sur la caricature et plus, même les provocations, partir fouiller ailleurs. Aller lire Libé, 22 janvier 1999, Pan sur le bec de la France ? « Le gouvernement français a toujours prétendu qu'il n'était nullement reproché au Canard d'avoir révélé le montant du salaire de Jacques Calvet, mais d'en avoir publié la preuve c'est pour «recel de violation du secret fiscal» que l'hebdomadaire a été condamné en 1993 par la cour d'appel de Paris. Or, pour la Cour européenne des droits de l'homme, c'est bel et bien la liberté d'expression qui est en cause. [...] Les juges ajoutent, à toutes fins utiles, que «la liberté journalistique comprend le recours possible à une certaine dose d'exagération, voire de provocation» »
« C’est à partir de la seconde moitié du XXème siècle que les études sur les séparations deviennent plus systématiques et `'avec le recul une synergie apparaît entre les thèmes investis par le chercheur et le contexte social, entre l’histoire des idées et celle des hommes : ce n’est pas un hasard si l’étude de la séparation prend naissance au détour d’une période de l’humanité marquée par des millions de morts et de déportations". » (...) « Je me suis aussi aperçu que toutes les situations de séparation ne sont pas équivalentes et que certaines sont plus agitatrices que d’autres, mais cela, dépend souvent de l’histoire de chaque enfant. » • Richard Josefsberg, Internat et Séparations, Cahiers de l'Actif n°306/307, 2001
« La correctionnelle, c'en est où ? » Euh... ça aurait été des débats publics ? Il n'y a jamais rien eu de tel.
En tous cas, j'assume. J'accuse ? Dans mes récents envois par la Poste et par mes dernières publications, je provoque des juges, les époux Clementz, tata Carole, l'OSE, l'ASE (92), les Josefsberg, le parquet, deux cours d'appel et leurs parquet général, dont Paris, l'ARSEA, des experts psys, etc... et je suis tout à fait seul, isolé. Pour me répondre énergiquement, il leur suffira de brandir des expertises, des arrêts et de bons jugements des années passées... Pardons, devais-je ajouter ? Mouzin, Bamberski ou Agret ne les ont jamais exprimés.
Pardon ? Eux tous, etc, ou moi... Quand ils en auront envie, comme dirait Jean Genet, on s'assoit, on discute. En tous cas, oui, pardon, car là, je fais du journalisme à la Plenel aussi, en modifiant et en ajoutant des trucs jours après jours... mais comme un Péan, et sans que personne ne sache ce que je pourrais ajouter encore.
Pardon ? Mon avocat m'avait un moment dit de tout exposer, de ne rien cacher. L'aurais-je mal compris ?
« La Shoah, c'est grave ! » Mais oui, je le sais, et ces gens de l'OSE le savent également... je crois.
Vous voulez « aider », vous aussi ? Pour les dons à l'OSE France, c'est par ici que ça se passe...
Une image explicite, trouvée sur internet,
des juges ou ours pour enfants
« Assieds-toi sur ma bite et causons » • Jean Genet, dans Pompes funèbres, je crois
« Seul les morts pardonnent » • Lu chez l'OSE France, à l'une de leurs belles expositions #Mémoire
« Ce sont les juges qui choisissent ou décident du destin » • Michèle Alliot-Marie
« N'êtes-vous pas aussi de ceux qui disent, non sans coquetterie : « Je ne sais pas ce que peut être la conscience d'une canaille, mais je sais ce qu'est la conscience d'un honnête homme, c'est effrayant » ? » • Le bourgeois, par Abel Hermant, chez Hachette, Les caractères de ce temps, 1924, p. 67
Quelqu'un pourrait être tenté de « signaler » un contenu illicite, un abus, pour faire « supprimer » ici des choses embarrassantes ? Ca m'est déjà arrivé, en 2016... une experte Parisienne en droit de la presse avait voulu jouer, et ça s'est très mal passé. Il fallait que j'efface à la demande de cette avocate des informations relatives à du proxénétisme, à de la prostitution, dont d'une mineure, et puis quoi encore, tout effacer, tant qu'on y est ? Pour faire plaisir à des pédocriminels, même ? Par ailleurs, l’article 6 de la loi n°2004-575 dispose que « le fait, pour toute personne, de présenter aux personnes [un hébergeur] un contenu ou une activité comme étant illicite dans le but d’en obtenir le retrait ou d’en faire cesser la diffusion, alors qu’elle sait cette information inexacte, est puni d’une peine d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende ».
Mon email est dans les mentions légales. Vous croyez que je vous ai oublié ? Rassurez vous, pas du tout.
Todo list au 31/10,
ce soir #Halloween on va voir des monstres et en rire partout,
et ensuite suivra #Toussaint on ira voir les morts, et chialer sur leurs tombes,
je m’amuse, et si des gens sont pas contents, des avocats ou le parquet vont vite me le faire savoir :
• Continuer d'éditer et d'étendre ce billet, peut-être me relire un peu, à peine
• Le problème est que dès que je me relis, il me prend l'envie d'ajouter des choses...
• Faire un signalement à l’ONU, pour le Working Group on Enforced or Involuntary Disappearances (WGEID)
• Ecrire à Macron, à Dupond-Moretti mais je crois qu'ils sont occupés, par la modernisation de la justice
• Saisir la grande chancellerie de la légion d’honneur pour contester l'attribution d'une médaille à Richard
• Sur Twitter, mentionner @CSMagistrature @Courdecassation et @These_Synthese
• Saisir le Défenseur des droits qui va me répondre encore d'aller voir un avocat
• Ecrire un peu partout, dès qu’une mouche me pique
• Saisir la MIVILUDES
• Informer l'IGAS et le grand rabbin de France
• Ecrire à @/OSE_France ou au spécialiste en rillettes pas fraiches
• Ignorer qu'il existerait la LDH ; je l'ai oubliée ; depuis quelques temps, elle est affairée par le sort de nos islamistes
• Et même ignorer qu'il aurait un jour existé autre chose encore que la LDH
• Se souvenir de dire aux gens que dans ces genres de situations, ils ne doivent pas déraper, jamais, c'est mal...
• Ecrire à Taverny, à la maison Elie Wiesel, sa Direction
• Envoyer un truc quelconque à Uhrwiller, rue de la Mairie
• Ecrire à un ordre des médecins, faire un signalement ? Serait-ce utile, et alors quand ?
• Réfléchir, à comment et où je pourrais écrire encore, pour m'amuser plus
• Cogiter, préparer des plaintes très simple, pour qu'elles soient accessibles, compréhensibles par le parquet aussi
• Faire réaliser un constat d'huissier de ce que j'ai publié, ici, « c'est juste virtuel », en envoyer des copies ?
• Ecrire à l'ARSEA, envoyer « merci beaucoup, bisous »
• Se rappeler que envoyer des choses, des lettres, ça ne sert à rien, en faire le moins possible
• Pourquoi pas, un RAR aux DNA, leur rédaction de Haguenau, ce journal qui ouvre et ferme les processions du pasteur
• Me rendre à la police, leurs remettre une copie du constat d'huissier, leurs avouer que j'ai commis le crime d'écrire partout
• Ecrire à l'avocate qui représentait Chantal Clos, je crois que cette dernière est encore sous contrôle judiciaire
• Réfléchir à ce que je pourrais ajouter ce 31, et Halloween, mais j'ai peut-être déjà assez remué les monstres
• Ecrire à Paul Guiraud, leurs faire exploser un pétard dans la tête, avec en PJ, un livret de famille de Boches et plus
• Pour le fun, à l'occasion, écrire à l'Institut Français de l'Education. C'est qui ? Une Ecole normale supérieure, c'est quoi ?
• Se souvenir que le nihilisme est un des maux absolus, aller relire ces auteurs et penseurs assez lucides...
A mes todo, donc... Ces prochains temps, ou années, tandis qu'elles passeront, on va très éventuellement me répondre ; peut-être devrais-je attendre, longtemps ? A moins que je n'aille déjà m'occuper autrement, et un peu relire puis actualiser Caraco ? J'aurais écrit ce qui suit différemment. Les premiers, dont les morts et les Onanistes, resteront heureux, les seconds vont juste risquer d'avoir un jour des travailleurs sociaux sur le dos, des gens de robe autour d'eux, ou vont constater comment leur progéniture disparaitra dans un lointain village qui se goinfrera des allocations et des subventions pour s'occuper mieux d'elle... L'humain n'étant inutile que pour qui n'y verrait aucune opportunité, dont, pour commencer, de prétendre aider ou sauver en se trémoussant devant des pairs ébahis :
« Heureux les morts ! et malheureux trois fois ceux qui, pris de folie, engendrent !
heureux les chastes ! heureux les stériles ! heureux même ceux qui préfèrent la luxure à la fécondité !
car à présent les Onanistes et Sodomites sont moins coupables que les pères et les mères de famille,
parce que les premiers se détruiront eux-mêmes et que les seconds détruiront le monde, à force de multiplier les bouches inutiles. » • Le Bréviaire du chaos, par Albert Caraco, coll. « Le Bruit du Temps », mais qui date déjà, 1982
« Nous sommes ici bas les dupes de nos écorcheurs et quand nous croyons obéir à Dieu, nous obéissons à des hommes, des hommes qui nous mènent au chaos... » En tous cas, relire Caraco. Ou encore Cioran... et Mestavic : « Le réel, les autres, le monde, le temps : toutes ces choses ne sont pas normales ! » En relire de temps en temps, en découvrir également d'autres. Et rire. Voir aussi un jour plus en détails ce qui se disait dans la bible et dans l'ancien testament du mensonge. Je n'arriverais pas à lire la thora, c'est en hébreux, mais la littérature ne manque pas.
Voltaire : « Ecrasons l'infâme. »
Brecht : « Pour que ne renaisse pas la Bête Immonde. »
Sade : « Français, encore un effort. »
Le guide du cynisme tranquille, un bréviaire de l'inconvenance
de Alain Gourdon, chez Arnaud Franel, 2000
Sinon, je lirais juste de temps en temps les journaux ou encore des archives. Le 20 novembre 2008, avec le Parisien, je comprennais que « La magistrature ne va pas bien. Elle traîne depuis longtemps une dépression collective de l’après-Outreau, ce n’est pas la peine d’en rajouter ». Légume qui restait très vivace, n'avait fait que m'en ajouter.
Variante, pour partir vite d'ici, où « c'est carrément cra cra, et même rédigé par un cas soc psychiatrique », pour aller lire d'autres choses plus rigolotes, qui pourraient résumer aussi, en moins gore : « Un conte d’Andersen, « Les habits neufs de l’empereur », raconte l’histoire d’un roi qui n’a de souci que de sa vêture et n’aime rien tant que de se montrer devant ses sujets dans ses nouveaux habits. Ce roi néglige toutes les affaires du royaume, et on dit de lui qu’il « siège dans sa garde-robe ». Arrivent dans la capitale du royaume deux escrocs qui se prétendent tisserands, se vantent d’être capables de tisser la plus belle étoffe [...] Arrive alors le jour de la procession, où le roi doit parader dans ses habits neufs : nul ne peut rien voir, et chacun fait semblant de voir, et chacun craint que l’on ne remarque qu’il ne peut rien voir, et tous de s’extasier... » De source Cairn, dans La lettre de l'enfance et de l'adolescence 2003/4
Sinon, pour juste se distraire, rire sans avoir d'efforts tel que de lecture à faire, s'installer devant un écran #Netflix savourer I care a lot, une comédie/dramatique, de J Blakeson, de 2020 « Marla Grayson est une tutrice renommée, spécialisée dans les personnes âgées fortunées. À leurs dépens, elle mène une vie de luxe. Mais sa prochaine victime s'avère avoir de dangereux secrets. Marla devra faire preuve d'intelligence et de ruse si elle veut rester en vie. »
La où le point de départ est le plus fou, le résultat est souvent le plus original... • Henrik Ibsen
Si vous avez attrapé un éléphant par une patte de derrière et qu'il cherche à s'enfuir, il vaut mieux lâcher prise.
« Vous avez une maison magnifique, Madame »,
ha ha, un service d'AEMO ou d'orientation en aurait dit autant !
« Dans très peu de temps, vous n’aurez rien de tout ceci, rien du tout »
« Mais j’vous préviens, avec les doses qu’on lui a administré, elle risque de planer un peu »
« Je suis la plus grosse bêtise que vous ayez commise »
« On ne peut plus sûr, putain », une Josefsberg, de l'OSE France ?
« Vous dites, mais n'en apportez aucune preuve, repassez à l'occasion. », un magistrat
« Vous voulez un donut ? »
« Elle, c’est une araignée qui va nous prendre dans sa toile »
#StopTeasing
« Je suis d’accord », dit le magistrat, qui n’a rien vu du film
« Il faut bien savoir qui on est, et surtour en tirer avantage »
Du supplément au Parisien n° 21919, 27/5/2015 |
Sinon, la réalité serait celle des romans pour les enfants, ou des fictions 7+ qui s'en inspirent, avec les méchants qui finissent punis, pour une fin toujours très heureuse. Et les choses cash, trash et gores, c'est juste à la télé qu'on les voit... D'un Parisien magazine du week-end : « Ripoux, trash et méchants ; Les salauds triomphent dans les séries télé ». « Avocats louches, flics criminels, infirmières droguées... Les scénaristes de télé créent de plus en plus de personnages sans foi ni loi. [...] Ce sont simplement des sales types, des anti-héros chez qui le vice prend le pas sur la vertu. » |
Négligences, abus, escroqueries : les dérives des tutelles en France
Publié le 15/12/2017 19:29
Mis à jour le 18/12/2017 13:11, France Info, extrait
En France, 800 000 personnes sont placées sous tutelle ou sous curatelle. Un chiffre en constante progression. Or, les négligences, les escroqueries, les abus sont là aussi de plus en plus fréquents. Peut-être parce que le système, tel qu'il est, le permet. La cellule investigation de Radio France a mené l'enquête.
Détournements d’assurances-vie, pratique courante de comptes-pivots, mise sous tutelle abusive... En France, près d'un million de personnes sont placées sous protection juridique (tutelle, curatelle ou mesure de sauvegarde judiciaire). Un chiffre en constante progression. Or, les négligences, les escroqueries, les abus sont là aussi de plus en plus fréquents. La tutelle est pourtant destinée à protéger les intérêts d’une personne dite "vulnérable", c’est-à-dire dont les facultés mentales ou corporelles sont altérées et qui ne peut gérer seule ses biens.
Audition de Mmes Carole BOUQUET, Porte-parole de "La voix de l’enfant",
Martine BROUSSE, Directrice,
Catherine LARDON-GALEOTE, Avocate,
et du Docteur Georges BANGEMANN, Pédiatre praticien au CHU de Nîmes
Présidence de M. Laurent FABIUS, Président
Assemblée nationale
Extrait du procès-verbal de la séance du 5 février 1998...
En ce qui concerne les statistiques relatives aux allégations des enfants – vraies ou fausses – je n’en connais pas. Il y a là un travail à organiser.
M. Baroin, oui, la loi du silence existe. Nous sortons d’un procès dont vous avez sans doute entendu parler mettant en cause l’hôpital du Kremlin-Bicêtre. L’instruction a duré quatre ans ! Les parents ont subi des pressions pour ne pas porter plainte, pour que l’affaire soit réglée au sein de l’institution. Il y a un tel consensus que les plaignants se sentent presque coupables d’avoir à porter plainte !
La parole d’un enfant n’a pas de poids par rapport à celle d’un adulte. Imaginez la parole d’un enfant face à une institution qui s’autoprotège ! En matière de pédophilie, l’on sait que les pédophiles se trouvent dans toutes les classes sociales ; alors imaginez la parole d’un enfant de sept ou huit ans face à un homme ayant une responsabilité publique ou institutionnelle !
Cette loi du silence, cette protection est-elle calculée ? Non, je crois que lorsqu’un enfant se plaint d’avoir subi de son instituteur, d’un maire ou d’un médecin, des violences sexuelles, on ne veut pas le croire – la parole d’un enfant a encore moins de valeur en présence d’une personne titulaire d’une autorité.
Manquerait encore une citation de Kafka, son Château, inaccessible, ou d'Asterix, de ses douze travaux et de la maison qui rend fou ? J'en suis pas sûr. « Ce village appartient au Château ; y habiter ou y passer la nuit c’est en quelque sorte habiter ou passer la nuit au Château. Personne n’en a le droit sans la permission du comte. Cette permission vous ne l’avez pas ou du moins vous ne l’avez pas montrée. » Dans mon histoire, tout appartenait au Château, mais les permissions, je crois ne jamais les avoir eues, je n’ai donc jamais rien pu montrer. Sauf vers 2008 et jusqu’à l’été 2009, on avait alors eu des permissions, mais elles n'avaient pas été simple à obtenir, ou nous les avions obtenues par hasard, un ours plus conciliant était arrivé en octobre 2008. Hors et même en cette période, jusqu'à l'été 2009, plus contrastée, il me manquait même la permission de penser, j'aurais dû faire soigner cela, le Château attendait que ce soit convenablement traité, puis qu'on en parle plus. Cette permission, je ne l'ai jamais eue, le Château m'avait d'ailleurs fait enfermer en 2013, en un lieu où l'on me droguait, pour que j'arrête enfin de penser et de m'exprimer.
Écrans & TV • Télévision
Françoise Zonabend : “A La Hague, je suis repérée…”
Propos recueillis par Samuel Gontier
Publié le 12/10/09 mis à jour le 08/12/20, Télérama, extraits
L’usine de retraitement de La Hague est un des lieux clés de l’enquête “Déchets, le cauchemar du nucléaire”, diffusée ce soir sur Arte. Un site et une région explorés dès les années 1980 par Françoise Zonabend. A l’époque, l'ethnologue avait entrepris d’étudier comment les habitants se “dépatouillaient” avec les sites nucléaires de la région. Une démarche inédite, fruit du hasard… qui ne lui valut pas que des amitiés.
[...] De mon côté, j'ai accepté de participer, en 2006, à la Commission nationale du débat public sur la construction des réacteurs EPR. Certains de mes amis me l'ont reproché, mais j'espérais, par ma présence, convaincre les associatifs de s'y joindre – ce fut un échec. Tout a été mis en place au niveau politique pour occulter ce débat public. Malgré tout, nous avons obtenu un certain nombre d'avancées, notamment sur la levée du secret défense. Pour moi, il s'agissait de montrer que le nucléaire n'est pas seulement un problème de physiciens, d'ingénieurs.
Les groupes d'intérêt, Guillaume Courty, La Découverte, juin 2006, P.90 • Le répertoire bureaucratique, du cabinet (ou encore appelé du couloir), est beaucoup moins travaillé par la science politique. La principale raison est le secret qui l'entoure ou la réticence des acteurs à se laisser observer. En dehors des réunions publiques de travail et de consultation instaurées par la Commission européenne, l'extrême opacité des réunions, des rencontres et des séances de travail entre ces catégories d'agents favorise le silence de la recherche ou l'affabulation des commentateurs.
Récemment, j'ai téléphoné et écrit à des journalistes. Je n'ai ensuite plus eu le moindre retour. Ah, si, de Marie Vaton, qui m'a bloqué sur Twitter. Pour moi, ils n'existent maintenant plus. J'ai d'autres choses à faire que de perdre mon temps, à parler, à leurs écrire pour rien. Après avoir saisi la grande chancellerie de la légion d'honneur, j'ai encore fait des trucs. Une lettre parvient au Président de l'OSE France. J'ai également refait un signalement à la MIVILUDES, leur rappelant qu'ils m'avaient répondu en avril 2006. Avec la Direction de l'OSE France, si c'est bien toujours Jean-François Guthmann, on va peut être pouvoir rediscuter de rillettes pas fraiches... « bêtise : une faillite des connaissances, une mise en acte du refus de la responsabilité, une régression confortable à l'âge où on ne savait pas. »
Je me suis trompé à l'e-Poste, c'est pas toutes des lettres AR que j'ai envoyées ces jours-ci, certaines ne sont que de simples LR. Mais je m'en fous. Ca semble arriver à destination contre signature quand même, ces lettres arrivent... Si j'ai envie, je renvoie, ou autre chose. Parfois, une mouche me pique, j'écris, je file à l'e-Poste, j'envoie.
Edit… moi-même, j’envoie un peu n’importe quoi, donc, et comme une mouche me pique. Je viens de passer commande, les n°923394492 du 28/10 et n°922634543 du 27/10, pour deux e-RAR. Puis par email, comme pour confirmer, il m’est parvenu quatre numéros de suivi. Ou j'ai encore mal coché des cases ? Je ne crois pas, des commandes à 7,75€ et 9,72€. Du coup, je n’ai aucune idée de ce qui va parvenir à ces deux destinations, en mon nom. Au pire, on me condamnera pour avoir harcelé, par ces commandes et un bug : deux victimes, un an de prison
Edit parmi d'autres depuis ce 21... Je ne sais même plus ce que j'ai envoyé à l'OSE, à ce Président, mais je m'en cogne, ce serait arrivé, selon l'e-Poste. En retour, je reçois pour commencer ou en finir, un dessin d'une bite, on dirait :
J'ai écrit à l'IGAS aussi, pourquoi pas ? Une page, quelques lignes avec à la suite, une belle photo. L'inspecteur en fera ce qu'il voudra. Par le passé, en 2005, vers octobre, je crois, j'avais écrit à l'IGAS pour leurs signaler quelque chose de précis. En fouillant, je pourrais retrouver des dates précises. Je n'avais jamais obtenu de réponse. Des contrôleurs, des évaluateurs, des auditeurs, des experts, mais ce n'est pas un service qu'un simple citoyen peut interpeller ou saisir. Par contre, quelque chose pourrait avoir fonctionné quand même, mais ce n'était que purement fortuit ; peu de temps après ma lettre à l'IGAS, Nanterre a convoqué, l'OSE France a lâché un rapport, et mon ainée allait disparaitre.
Je pouvais saisir un ordre, ou la MIVILUDES, téléphoner et écrire un peu partout, comme je l'ai fait ? Probablement. « La dénonciation d'un fait que l'on sait totalement ou partiellement inexact est punie de 5 ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende (art. 226-10 du Code pénal). » L'univers carcéral, de l'intérieur, j'ai pas encore découvert. Mais est-ce qu'on va me faire chier car je proteste encore, en raison de lettres, rapports et expertises bidons que d'autres avaient expédiées ou lâchés par le passé ? Aucune idée, on va bien voir. « C'est plus la procédure ! »
Puis si je me trompe de trop, Fresnes, c'est à côté. J'y foutrais le bordel comme à Paul Guiraud, comme avec l'OSE ou l'ARSEA, et avec des juges, ou sinon, juste en discutant avec des détenus ; j'y discuterais des juges, des encadrants, du personnel, de méthodes, de stratégies, et de comment faire vraiment chier. Restera normalement ce que j'ai publié ici, qui sera utile quand même. Les parents pourront ainsi lire et constater que lorsque des « professionnels » insistent, s’obstinent, même si de la lumière a déjà été faite, pas la peine d’espérer quoi que ce soit, même pas avec un avocat. L'avocat vous assure qu'il faut faire appel ? Si vous n'êtes pas à l'AJ, si vous avez quelque chose dans les poches, évitez, fuyez. Ce genre de « combats » est tout à fait vain, voué à l’échec. Au mieux, au final, vous aurez du papier inutile, c'est tout. Un ou des enfants ne sont plus là, très loin, trop loin ? Il faut les oublier. Quelque chose se passe mal dans un lieu d’accueil ? Ou du fait d’un « professionnel » ? Il ne faut rien dire du tout, il fait son travail.
Les parents ou même les avocats pas convaincus liront Donzelot, La police des familles, 1977. Oui, ça date. Qui peut envoyer une lettre ou requête au juge, qui sera bien reçue, et qui peut faire appel, contester ? « Les spécialistes ! » Mais chacun est libre, et peut évidemment vouloir insister. Si une requête est reçue, s'il doit suivre une audience. Sinon, il faut attendre, six mois, deux ans, trois ans, que ça remue, puis l'appel, enfin, après les renvois. Mais dans ces situations, il faut toujours espérer ! Pour ma part, dans mes affaires, diverses, vers la fin 2009, j'en arrivais à la conclusion définitive qu'il ne s'était agit que de sauvagerie judiciaire, même avec un ours plus conciliant. Cioran nous disait que l'espoir est une vertu d'esclave, quand on l'a intégré, ça se passe déjà vraiment mieux. Si on ne retient plus que un seul des 10 commandements, tu ne tueras point, et qu'on le dévoie, ça se passe encore mieux.
« les spécialistes ! Eux seuls peuvent arguer de la nécessité »
Les parents ou même les avocats, et qui qu'ils soient, je précise. La #Ddass c'est des abrutis, des demeurés. On a beau leurs causer ou leur écrire, répéter, ils comprennent rien. En tous cas, j'avais essayé, de début 2003 et jusque 2011. Même les juges, les petits, ou leurs barons, de la cour d'appel, ces espèces de parlements, ça comprend que dalle, jamais ça percute. Enfin, avec un peu de chance #loto il est possible de tomber sur un ours différent des autres.
« Il faut un élément nouveau ! » Ha ha, l’argument massue ! Avec l’ours arrivé en octobre 2008, tout semblait se dérouler plus simplement, même passé l’été 2009. Sinon, comment renvoyer des éléments qui figurent déjà à son dossier et dont il était interdit de rediscuter ? Ou comment envoyer à l’ours des pièces présentées et discutées à la cour d’appel, mais renvoyées chez moi car elles avaient été égarées par les couloirs ? « M. KANT, ci-joint vos pièces, trouvées au greffe du JAF de Nanterre. Bien cordialement » Et quoi renvoyer ou envoyer au juste, même connaissant les pièces au dossier de l’ours, et qui ne serait de suite écarté, sinon, encore retenu à charge ? Kafkaïen, ou la maison qui rend fou. Le fumeux « élément nouveau » voire même le sujet de la révision pourrait être un thème pour un ultime long billet. Daté/vérifié du 25 juin 2020, vu sur www.service-public.fr, j’adore : « La révision d'une décision de justice civile est uniquement possible quand une fraude est à son origine ou qu'une pièce décisive est retrouvée après le procès. La demande de révision est examinée par la même juridiction que celle à l'origine du jugement contesté. Après examen, la condamnation peut être partiellement ou totalement révisée. » Un dépaysement, mais pour où, ce n'est pas envisageable ? « Une révision, mais pourquoi donc ? On l'a sauvée ! Une fraude ? Mais où cela ? »
Ecrire ou téléphoner et longuement insister ne suffisait plus,
fallait un fax... machine que j'avais eu du mal à trouver
« les spécialistes ! Eux seuls peuvent arguer de la nécessité »
Aux avocats : surtout pas trop de droit, jamais, ou alors très simple, que ce soit accessible #loto Pas de droit, de droit comparé, pas de sociologie du droit, pas d'histoire du droit, ne rien faire de tout cela, ni critiquer, c'est mal perçu. Pas d'approches pluridisciplinaire non plus, c'est beaucoup trop, ils ont juste des bases, après observations de quelques canards et de comment on les agite, pour choisir le moment de leur envol, et les bases de comment ça doit s’interpréter. Et hors de question de les observer, d'agir en les étudiant lorsqu'ils travaillent, parlent ou écrivent.
Des canards ? Est-on bien plus ? Pour le juge pour enfant Thierry Reveneau, « les larmes de l’enfant versées à l’audience » en octobre 2005 démontraient à elles seules que la relation père-enfant de mon ainée devait être rompue. Est-ce que Versailles a tout confirmé ? Oui, absolulent tout. Machinalement. A cette audience, elle avait 12 ans, mon ainée n’avait pas dit un mot. Aucune question ne lui avait été posée. Le juge y avait lu un rapport de dernière minute de l’OSE France dans lequel ces « professionnels » exprimaient leurs « grandes inquiétudes » pour sa petite soeur, comme une sorte de menace qu’elle finisse à son tour « sauvée ». Mais je crois que « s'occuper durablement » de cette dernière aurait été plus compliqué, sa famille maternelle à elle est très différente, a des tempéraments et des racines vers le sud, ainsi que des amitiés jusqu'en Corse. Sa grand-mère maternelle à elle s’était tout de suite mise à parler d’un fusil. Des traques, des balles, des bombes... Heureusement, donc, et pour tous, même les ours et les « sauveurs », mon avocat avait pu produire une note en délibéré pour qu'on puisse avec sa mère protéger ma cadette.
On était juste des canards, on nous faisait taire, ou on ne parlait pas, ou si l'on parlait, c'était pareil. Si on m'avait prévenu, j'aurais pu apporter le hamster pour l'audience de M. l'ours Thierry Reveneau. En tous cas, plus tard, en 2008, tandis que je lisais du Foucault, Les mots et les choses, que je m'interrogeais sur des thèmes tels que l'idole, l'abject, la souillure, le roturier, l'imitation, on m'a téléphoné en rires et on m'a dit d'écouter un flash d'Europe 1. Je suppose que c'est à l'ENM que nos magistrats ont été formatés de cette façon, pour traiter les gens comme des canards, et en les méprisant, quoi qu'ils expriment. Formatés avec le concours de Anne Valentini, experte pour l'ENM en psychiatrisation. Mais avec une garantie tout de même, une cour d'appel, qui n'a toujours que confirmé, rejeté, ou jugé sans objet.
Il se prénomme Théo et s'est récemment efforcé, sous l'œil ébahi de quelques avocats et policiers pourtant chevronnés, d'apporter un concours original à la manifestation de la vérité judiciaire. Seul témoin identifié du décès d'une femme de 59 ans intervenu le 1er décembre 2005 sur une péniche amarrée sur la Seine, ce chien dalmatien a participé, début juillet, au transport sur les lieux du juge d'instruction Thomas Cassuto. Le Figaro, le 10/09/2008
Nouvel Obs Nº2236, semaine du 13 septembre 2007,
p. 8-9, par Florence Aubenas
Justice et psychiatrie ;
Normes, responsabilité, éthique
Sous la direction de Claude Louzon et Denis Salas
Erés, 1998
Ce livre est issu de sessions à l'Ecole nationale de la magistrature organisées par Anne Valentini et Michel Doumenc, maîtres de conférences, et placés sous la direction de Claude Louzoun (psychiatre, psychanaliste, président du Comité européen : droit, éthique et psychiatrie) et de Denis Salas (magistrat, membre de l'Institut des hautes études sur la justice).
Grelot était encore vivant, aurait pu témoigner en novembre 2005, à Nanterre
« Un hamster et un clavier sur un tapis de jeu, c'est inquiétant ! L'OSE peut aider ! »
Comme tweeté ces jours passés, je vais essayer de porter plainte prochainement pour faux en écriture(s) publique(s), au minimum pour critiquer encore le jugement délité rendu en juin 2008, par M. Xavier Serrier, les arrêts rendus en mai 2009 puis un 1er avril 2011, par la cour d’appel de Versailles. Et critiquer encore le « travail de séparation » par les « professionnels » de l’OSE France. Je devrais pouvoir critiquer aussi l’arrêt rendu en 2007, par Versailles, il va falloir que je le relise, ça commence à dater. Il faut que j’y réfléchisse, à déposer une bonne plainte, contre X. Pour également critiquer à nouveau ce qui a été pondu par la première présidence de la cour d’appel de Versailles, au cours de l’été 2008. En tous cas, je devrais pouvoir critiquer longtemps encore, même ce qui sera couvert par la prescription. En 2011, « b) Lorsque l'imputation se réfère à des faits qui remontent à plus de dix années ; » de l’article 35 de la Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse a été abrogé, ça m’a fait sourire. Qui m’interdirait aujourd’hui de reparler du passé, de tout ce passé, des psychiatres et un avis lapidaire ou une obstruction du parquet encore ?
Une bonne plainte contre X pour faux en écriture(s) publique(s), mais pas seulement.
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Ah... J'ai oublié de rappeler qu'en sa jeunesse, le pasteur avait été séquestrée et violentée. De 2003 à 2011, elle voyait des monstres chez moi, à 500km de chez elle... Mais c'est donc moi que les juges ont envoyé chez le psychiatre. Ce rappel sera pour une autre fois. De toutes façons, mes récents billets étaient déjà trop long, et assez exhaustifs. En Alsace, sinon, tout va bien. Ce 16 courant, selon les DNA, pendant que j'écrivais, c'était encore la fête. « Un culte dominical spécial marqué par un baptême et une surprise en l’honneur de la pasteure Isabelle Clementz. »
Mes publications, mes « écritures », ça a souvent posé un « problème ». A partir de 2009, j'ai fini par n'utiliser le plus fréquemment que des tampons taillés dans une patate, y compris pour produire des écrits pour dans des tribunaux. Le jour où l'on me demandera d'écrire mieux, plus sérieux et rigoureux, d'être moins brouillon, plus clair moi-même, je serais au rendez-vous, peut-être ; mais fraudra d'abord que les magistrats eux-même soient plus dignes. D'un PDF, 47 pages, depuis publié sur Internet ; j'avais peut-être parfois de 20 à 30 minutes à Versailles quand même, en tous cas, personne ne pourra dire que je n'ai jamais prévenu, essayé ; après ça, Versailles, sa chambre des créatures inférieures, m'avait encore envoyé bouler ; je me relis, des détails, des faits, des dates me reviennent à l'esprit, j'en rattrape des boutons. Et si je m'étais trop trompé, des juges vont se faire un plaisir de sèchement me rabrouer encore :
Alain Soral condamné définitivement pour contestation de crimes contre l’humanité
Le Parisien avec AFP, 27 octobre 2021, extrait... L’idéologue d’extrême-droite avait publié sur son site des conclusions de son avocat au sujet d’une autre affaire, ainsi que des propos minimisant la Shoah.
47 pages... C'est beaucoup, fallait pas ? Dans mon foutoir, j'ai même un PDF de 100 pages, dense, avec plein de pièces, pour un appel à la fin 2010, d'une décision du juge des tutelles ou de l'application des peines.
Sauf erreur, selon d'anciennes de mes notes, début 2010, par un arrêt, la Cour m'envoyait ensuite : « Considérant que les moyens développés par M. KANT visant à remettre en cause, par delà le jugement du 16 juillet 2009, des décisions antérieures à présent définitives, ne seront pas retenus ». Voilà, balayé, pas de débats, ce n'était jamais le temps de débattre de quoi que ce soit, ni sur le moment, ni plus tard. Tout était définitif, figé, puis confirmé, ou dans le désordre. Je me demande ce que penseront les juges, je compte prochainement porter plainte au motif de faux en écriture(s) publique(s), et entre autres, dénoncer encore le jugement rendu en juin 2008, par Xavier Serrier. « Fallait faire appel ! » Et je vais encore critiquer le travail de l'OSE France, ainsi que des expertises, j'ai d'ailleurs entrepris de le faire... Quel serait le problème, qu'est-ce qui me l'interdirait ? L'autorité de choses viciées par les juges, de 2003 à 2011 ?D'un peu de papier noirci d'encre rendu le 15 janvier 2010
« Aviez vous un avocat ? » Amusante, en tous cas, la machine à s'écrire. L'été 2008, la première présidence de Versailles estimait qu'après ma première sommation de juger parvenue à Nanterre, j'aurais dû me contenter en retour d'une simple lettre de Xavier Serrier. Il y a quoi de pas clair pour un magistrat professionnel dans les mots « sommation » et « juger » ? Puis en 2010, les juges de Versailles ou de la maison qui rend fou m'informaient qu'un « courrier » n'est selon eux pas un jugement... un débat initié ou une analyse qui avait été un moment faite par Michel Huyette. Je faisais ainsi appel d'une lettre postérieure à un jugement, pour la joindre, et pour que la cour d'appel se place un peu mieux pour statuer, qu'elle prenne mieux en compte l'histoire et les évolutions de la situation, c'est « irrecevable ! » Avait plus tard suivi l'arrêt civ. 1, 20 octobre 2010, 09-68.141, « merci les juges de la cour d'appel de Versailles, de vous placer mieux lorsque vous jugez ! ». Olivier Echappé, un expert en droit Canon... Balayant mon exposé à l'oral ainsi que mes écrits, tout en confirmant encore, la Cour me renvoyait sans gène chez mon psychothérapeute ! On ne peut pas luter indéfiniment contre des magistrats limités, des bornés, des butés.
Dans un monde normal, il pourrait s'agir de vrais sujets, pour des #juristes et des #avocats. Pouvait-on faire appel à Versailles, et comment alors ? Puisque ce n’est même que après des passages à la cour d’appel puis aussi après cassation qu’on réalise enfin vraiment mieux comment le dossier avait été bidonné… Mais mal ficelé et déjà amoral, puis franchement bidonné, je savais bien que ce dossier l'était ; il me fallait des preuves, un minimum, que la machine à s'écrire finissait par me régurgiter. En assistance éducative, le rôle d’une cour d’appel est-il de protéger les juges du siège et les décisions qu’ils ont rendues, de protéger les travailleurs sociaux, de toujours confirmer, ou sa mission est-elle de protéger l’enfant, d’évaluer la situation ainsi que son évolution au moment où elle reçoit puis statue, puis de rendre un arrêt en fonction de celles-ci ? Puis peut-on ou non faire appel d'une lettre, c'est depuis tranché ? Mais les avocats qui font de l’assistance éducative n’en seraient pas encore rendu là, ils en sont encore à envoyer des requêtes, et à ne jamais obtenir de réponses. Ah, le parquet, qui lui aussi gagne toujours... « Confirmez, merci ! »
De vrais sujets, pour des #juristes et des #avocats, et pour des articles dans des revues de la protection de l'enfance, voire même dans de plus prestigieuses #doctrine qui change à coups de #dogmes qui s'entrechoquent. Mais sur le terrain, et si c'était bien possible, ou si ça le serait un jour, on se demanderait encore, comment faire appel d'une décision avec une perception parcellaire de ce qui motive ou ficèle un dossier ? Cependant, plus haut, j'écrivais qu'il ne faut pas faire appel, que l'appel est un privilège des spécialistes, eux seuls sont habilités à demander des changements tel que du statut de l'enfant, ou même des modifications des droits des parents. Par ailleurs faire appel est bien la preuve qu'on n'adhère pas à la mesure telle qu'elle a été infligée par l'ours pour enfant, et cela renforce la disqualification, et même la certitude pour tous que l'appelant doit être traité en services psychiatriques.
Encore par la machine à s'écrire, du 15 janvier 2010
« Un appel d'une lettre ? Irrecevable ! »
Ils sont grotesques, de A à Z, ou devrais-je juste dire rigolos, les ours et les sociaux trouvailleurs, les tiers dit « dignes de confiance » aussi. En mai 2008, à l'audience, le pasteur Clementz disait qu'il réfléchissait à faire « supprimer » mon blog... il est pourtant très bien, dont pour me souvenir mieux. « Ouin ouin, M. KANT utilise du droit et s'exprime en public, dont pour des journalistes, et dans son blog, et nous envoie ses écritures en chambre du conseil ! » Si je n'avais pas fait un peu de droit, et particulièrement à partir de 2008, jamais nous n'aurions pu renouer avec mon ainée, jamais nous n'aurions pu passer l'été 2009 tranquilles, en famille. Un jour, il faudra peut-être expliquer aussi aux juges et aux travailleurs sociaux qu'un dossier d'assistance éducative n'est pas l'endroit où l'on s'épanche, où l'on déverse sa bille pour des images et des discours à la télévision, pour des écrits dans le magazine Maxi ou sur Internet ; malheureusement, je ne peux ajouter ici où ils pourraient aller geindre et gesticuler plus sérieusement, c'est fermé :
Les adieux à la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris
Par Paule Gonzalès, le Figaro, extrait
Publié le 15/04/2018 à 18:23, Mis à jour le 16/04/2018 à 14:59
Ils étaient tous là. Le ban et l'arrière-ban des avocats et des magistrats du droit de la presse, autrement dit de la liberté d'expression. Vendredi soir, avant qu'elle ne ferme ses portes sur l'île de la Cité, ils voulaient rendre hommage à la 17e chambre créée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. On en finissait alors avec les années sombres et l'on réinstallait, sous le buste légèrement incliné de Marianne, la loi de 1881.
Je crois qu'on va m'offir encore un séjour en psychiatrie, juste pour avoir mentionné Michel Huyette et son guide. Et je pense que l'extrait qui suit est de l'introduction de sa 4ième édition, d'avril 2009, d'un PDF que je viens de trouver sur le net, chez les autistes. Les autistes, qui sont-ils ? « Un système qui aurait fonctionné si mal, mais où cela ? » Ces années passées, tout m'a souvent fait rire, pas qu'un peu... Lu à l'AFMJF : « le contradictoire en assistance existe ! »
« Attendu que M. KANT est bien trop bavard » (c) Xavier Serrier, juin 2008
En France, la Ddass - « l’ASE faut-il dire ! » - s’occupe d’environ 500 000 mineurs d’une classe d’âge. Il y a ceux qu’ils placent, suivent ou écrasent, environ 320 000 par an, sinon davantage aujourd’hui. Et ceux tels que Marina et beaucoup d’autres pour lesquels la Ddass n’avait malheureusement rien pu faire... Depuis le temps que je proteste, depuis 2003, la Ddass a pu s’occuper ou passer à côté de la situation de plus d’un million de mineurs. Ca m’avait souvent consterné, constatant par ailleurs le déluge de forces, de complaisances ou de moyens que cette même Ddass avait alloué au « sauvetage » de mon ainée. « Il n’y a pas de fumée sans feu, si les juges ont tout confirmé, c’est qu’il fallait l’aider ! »
Pour m’avancer plus aisément, ces années passées, de la fin 2008 à 2010, j’ai été pourrit sur Internet, du harcèlement, des calomnies, et même des plaintes farfelues, mais toujours très bien reçues par les autorités. Pourrit pendant des mois par une association de déviants de Puteaux, je crois que ça a été apprécié par le parquet, pas mal de mes soutiens s’étaient vite désolidarisés, et ma compagne d’alors, la mère de ma cadette, avait été affectée… Mais une période instructive tout de même. En stratégies et tactiques, pour détruire des choses sur Internet. J’ai fait supprimer un blog du Nouvel Obs, puis un blog en Suisse, plus un blog aux USA, ce pays #FirstAmendment où tout est pourtant possible. Pendant tout ce temps, mon blog restait hébergé à Paris, hier, par Online, aujourd’hui, repris par Scaleway. Il faudra que je pense à mettre à jour mes mentions légales. Mais on s’en cogne. Mon blog et cloppy.net sont « bien connus », la police doit avoir mon email et mon 06 quelque part. Sinon, ce sont les RG qui ont tout un dossier, probablement même une fiche S avec tous les renseignements utiles. Quelqu’un souhaite encore me « dénoncer » ? Ce sera aisé : composez le 17, prenez rendez-vous, ou écrivez, même n’importe quoi, au procureur, ce sera pris très au sérieux, ça va l’occuper.
Un peu plus et j'oubliais notre Batman national, l'avocat de l’apaisement. « Ceux de 12 ans pourraient aller en prison. Voici la proposition que l'on lance à l'opinion ! » Son sujet de ce 1er décembre 2008 était la responsabilité des enfants. J'étais depuis des mois plongé dans des questions portant sur le statut et la responsabilité des magistrats. D'accord, je l'avais énervé ; pour Maître Eolas qui était et reste d'ailleurs, son monde, celui des gens de robes, est juste, bon, irréprochable, incompris, parfait, d'une utilité inimaginable. S'il s'était passé quelque chose chez nous, ou dans mes affaires, même si l'été 2008 j'apprennais que la justice m'avait perdu ou détruit un dossier médical, tout n'était que de ma faute - relire Hobbes, son Leviathan, Claire Davidson, Richard Josefsberg, la cour d'appel de Versailles... téléphoner au pasteur d'Uhrwiller, elle va pouvoir vite résumer, dire et confirmer combien tout, absolument tout avait été de ma faute. Autour de la réplique qu'Eolas m'envoyait, le lendemain, si mes notes et souvenirs sont bons, j'allais en audience, à la cour de cassation, puis elle me rendait un premier arrêt. Mais moi, « amer », j'étais mûr pour la psychothérapie, la famille d'Ilan Halimi également d'ailleurs. Fallait pas faire appel. Sur un point, il pouvait avoir raison ? « Jamais aucune famille n'est ressortie apaisée d'un procès. » C'est le mot « boutique » qui l'a fait bondir ? Inapproprié. J'aurais pu ou dû utiliser « palais ? » Ou je repensais sur l'instant aux prestations de Delphine Roughol ; en réponse, tout de suite, les « soins » :
29. Le lundi 1 décembre 2008 à 11:00, par Bruno Kant
Aujourd'hui, j'ai bien envie de vous demander qui assume ses responsabilités dans vos boutiques. Par chance, vous avez les parents pour vous défausser, ceux-ci ont toujours le dos bien assez large, y compris lorsque vous avez pris toutes les dispositions pour les écarter durablement de l'éducation des enfants.
Que signifie cette hypocrisie institutionnalisée?
Eolas:
Cher monsieur, que vous n'arriviez pas à vous remettre d'avoir perdu votre procès, je le conçois, encore que votre incapacité à vous remettre en cause et votre tendance systématique à rejeter la faute sur les autres est une piste à explorer pour découvrir la raison de votre défaite. Mais que vous vous croyiez permis de venir ressasser votre amertume ici à coup d'insinuations désagréables, je crains de ne pouvoir assumer gratuitement ce rôle de psychothérapie. Vos prochains commentaires sur cette ligne seront supprimés, sans autre forme de procès afin de vous éviter ce désagrément. Ainsi que, c'est une tradition de la maison, ceux où vous vous plaindrez de la censure, afin de ne pas vous mettre en contradiction avec vos affirmations si je le laissais passer.
Maître Eolas: "Faire appel était une grosse erreur"
Par Elise Brissaud
Publié le 15/07/2009, l'Express, extrait
Pour ma part, je suis plus l'avocat de l'apaisement. J'aurais expliqué à la famille d'Ilan Halimi que la justice n'est pas la vengeance, que les peines prononcées sont quasiment identiques aux réquisitions et qu'elles restent importantes, et surtout que ce ne sont pas des peines plus lourdes qui pourront les consoler. Jamais aucune famille n'est ressortie apaisée d'un procès. Je leur aurais expliqué qu'un procès n'est pas une psychothérapie. Mais c'est probablement pour ces raisons que je n'aurais jamais été pris comme avocat par la famille Halimi.
« La "banalité du mal" revisitée » paraissait en avril 2008, dans Sciences Humaines n° 192. Extraits choisis alors... « Comment des hommes ordinaires peuvent-ils devenir des bourreaux ? Simplement en exécutant les ordres, expliquait Hannah Arendt. Une série d’études récentes remet en cause ces conclusions. La "soumission à l’autorité" n’est pas aussi facile à induire qu’on l’a dit. [...] La monstruosité d’un régime peut parfaitement s’appuyer sur le travail ordinaire de fonctionnaires zélés se soumettant aux ordres. Pas besoin de haine ou d’idéologie pour expliquer le pire, la soumission suffit. [...] L’expérience se révèle donc concluante : on peut commettre des actes violents sans forcément être poussé par la haine. Il suffit d’être sous l’emprise d’ordres impérieux. Chacun d’entre nous pourrait donc devenir un bourreau ? [...] Et les certitudes vacillent. [...] "Jusqu’à récemment, il y a eu un consensus clair entre psychologues sociaux, historiens et philosophes pour affirmer que tout le monde peut succomber sous la coupe d’un groupe et qu’on ne peut lui résister. Mais maintenant, tout d’un coup, les choses semblent beaucoup moins certaines." Les remises en cause sont d’abord venues de travaux d’historiens. »
Il fallait que je me remette en cause, bien sûr, et que j'aille me faire psychothérapeutiser autre part, au 1er décembre 2008, tout était perdu, depuis longtemps, puis j'allais d'ailleurs perdre « le procès » pendant longtemps encore... Et je devais réfléchir plus, à l'éventuel contenu du dossier secret « d'assistance éducatives », ainsi qu'à ce que je faisais et disais ?
Suite à mes sommations de juger, au printemps 2008, une simple lettre, puis l'audience en mai, un rapport réalisé à cette période, le jugement rendu par Xavier Serrier, en juin 2008, l'arrêt rendu par la première présidence, l'été 2008, mon référé suspension, évidemment rejeté par Versailles, vu le mémoire produit par Xavier Serrier pour sa défense, en cassation, la cassation, en décembre 2008, l'appel du jugement de juin 2008, en 2009, la cassation, en octobre 2010, l'arrêt rendu un 1er avril 2011, trompeur, un faux, je réfléchis à comment faire inscrire le jugement de juin 2008 en faux, ce qui devrait être assez simple. Un procès à lui seul susceptible de relever des assises, en raison d'un faux en écriture publique pondu par un magistrat professionnel. Bien évidemment, « amer », j'exprimais et faisais n'importe quoi autour du 1er décembre 2008.
Ils ne voulaient rien entendre, les juges, les travailleurs sociaux, Roughol, ce ramas qui se comportait en bourreau. Passé l’audience de fin mai 2008, rapidement, on renouait clandestinement avec mon ainée, à son initiative, par des correspondances et des appels téléphoniques. Puis vers la fin 2008, elle nous écrivait encore… Par l'arrêt de cassation rendu en octobre 2010, on me confirmait qu'il s'agissait bien de torture : « Cette restriction, pour exceptionnelle et cruelle qu'elle apparaisse, n'en était pas moins nécessaire dans l'intérêt de la mineure et devra également être confirmée. »
Un petit mot de mon ainée, reçu vers la fin 2008
« Magistrat, juste une carrière de bourreau », en disait Laurent Leguevaque
« Un cas psychiatrique ! Le courage fait les vainqueurs, la concorde en cognant tous fort en retour fait les invincibles. » Au pire, que pourrait-il suivre encore ? Je finirais condamné comme un Soral ou un Faurisson, pour n’avoir pas cru les juges.
Volume 6, La totalité réalisée : l'histoire, page 205
par Christian Godin, chez Champ Vallon, PUF, 2003
Ilan Halimi, le gang des barbares, une cave de Bagneux... « On peut pas s'épanouir dans un endroit pareil ! » Il y avait eu cette affaire, très médiatique, ainsi qu'en 2005, la banlieue en feu, tous les soirs, à la télé. C'était un véritable enfer, Bagneux, la région, Paris, vu de la télé et des journaux. Et du point de vue de mon ainée, passé l'été 2009, on ne pouvait pas y faire d'études, je crois que c'était l'une de ses principales préoccupations, elle avait alors donc choisi de rester « placée »... ou plutôt « déplacée », en internat, car à l'époque, ses relations avec les époux Clementz avaient finies un peu trop tendues. Pour une option théatre, à Bagneux, ou dans cet enfer, la banlieue, je crois qu'il y aurait eu le lycée Maurice Genevoix, à Montrouge, à 10 minutes à vélo, sinon, des possibilités à peine plus loin, 12 minutes. Tant pis. Passé l'été 2009, on m'accusait encore de tout, puis les époux Clementz avec l'ARSEA allaient pouvoir achever l'oeuvre.
Mais d’une certaine façon, mon ainée pouvait avoir raison ? A Strasbourg, tout allait être différent ? L’été 2009, elle avait retrouvé une « sauvée » par l’OSE France, qu’elle avait connue à Taverny, puis avait même passé une nuit chez elle. A son retour, elle a parlé de drogue, du hach, et de ce qu’était alors la vie de sa pote. Ces années passées, ma cadette m’a souvent parlé de ses potes lycéens qui fumaient dans une pièce tandis que les autres passaient la soirée dans la pièce d’à côté. Les autorités ont beau s’en plaindre, je crois que c’est assez commun dans le pays, depuis des lustres. Ma cadette n’a jamais été contenue dans l’appart, ni d’aucune façon suivie pour contrôler ses fréquentations, bien au contraire. Et on discutait. Dans un monde normal, on fait avec, on discute avec les enfants, de la drogue aussi, pour qu’ils ne s’y enlisent pas. Dans un univers parallèle, fantasque, qui cherche ses attendus pour motiver mieux, on ne discute pas librement de tout avec les ados, on exclue donc ce coupable de père… « Ca s’est mal passé, cet été 2009, à Bagneux ! »
Ma cadette et ses potes... dès ses 12 ans, peut-être même plus tôt, avec sa carte de transport, ma cadette courait partout. Vers cet âge là, 12 ou 13 ans, elle est allé voir un concert des One D, devait rentrer pour 18h00. Coup de fil, vers 19h00 : « papa, j'ai gagné un ticket pour l'after, je rentre plus tard ! j'ai presque plus de batterie, je raccroche, j'éteins le téléphone . » Coup de fil, vers minuit : « papa, l'after est fini, je suis à Pigale, je sais pas comment rentrer et j'ai plus de batterie. » Les One D avec une fille, une expérience. En Belgique, à l'un de leurs concerts, elle avait disparue dans la foule. Introuvable. J'avais difficilement fini par la localiser, après le concert, aux urgences, où elle avait été évacuée, comme beaucoup d'autres filles. Elle s'était évanouie au premier morceau. « La banlieue, Pigale, la Belgique, un cauchemar ! »
« Un cas psychiatrique ! » Ces années passées, très souvent exposé à des haines, au mépris, à des jalousies, à des illetrés ou des incomphéhensions, à l’indifférence ou à des complaisances coupables, à de grands imbéciles aussi, et vu le traitement qu’on m’a infligé en 2013, cinq très longues semaines de détention arbitraire, que ma cadette avait eu du mal à supporter également, j’ai préféré laisser passer un peu de temps avant d’agir bien à nouveau. Et m’occuper d’elle, avec sa mère. Aujourd’hui, ma cadette est majeure, elle ne risque plus d’être « sauvé » par la Ddass pour nous faire chier plus. Je viens d'en rediscuter avec elle, qui m'a demandé qu'est ce que je risquais maintenant : « avec ce que je viens de faire, cinq ans de prison mais si ça arrive, je pourrais visiter et connaitre cet endroit aussi. Ou sinon, un an avec un bracelet et confiné à la maison. » Elle a éclaté de rire : « de toute façon #covid tu télétravailles, ça va pas te changer tant que ça ! »
Des soutiens ? Oui, j’en ai eu, j’en ai parfois parlé. Je dois en avoir encore. Par le passé, vu ce qui paraissait en Suisse puis aux USA, vu même ce que je faisais dans les prétoires, vers 2008, j'avais moi même pris des distances de certains, pour leurs épargner des difficultés. Je pourrais les remercier, ici, dans ce billet. Je ne les ai pas oubliés. Mais je vais m’abstenir, pour leur éviter d’être « dénoncés » pour m’avoir aidé ou avancé, d’une façon ou d’une autre, parfois beaucoup. Oh, merde, Chantal Clos, cette autre souillée ou souillure, et moi, à ses côtés, parmi même d'autres féministes... je l'avais soutenue, on avait souvent papoté, elle m'avait elle-même soutenu... je le rappelle dans ce billet, pourvu que ça passe inaperçu, et quelle ne soit pas prochainement convoquée pour en répondre ; revoir plus haut, cet extrait de La totalité.
Qu’est-ce que je foutais, souvent, parmi des féministes, dans leurs manifs, et à discuter aussi avec elles ? Euh… pour commencer, je dirais que j’avais deux filles, c’est de sexe féminin, j’avais ma compagne, une femme, et la mère de mon ainée était une femme, elle également. Et aucune de ces féministes ne m’avait jamais chassé de là
Je crois distinguer ma banderole ainsi que Chantal Clos
Vers fin 2011 ou début 2012, j'ai eu un coup de fil : « où est passé mon père, avec qui je faisais plein de choses ? » S'il a existé, ni Nanterre ni sa cour d'appel ou de confirmation n'en reconnaissaient quoi que ce soit, il a été tué, écarté par des tantes, des juges, une avocate, l'OSE France, l'ARSEA, et de l'indifférence, beaucoup, malgré mes vives et récurrentes protestations. Un cri, « où est passé mon père ! » Et très vite, encore des récriminations à mon endroit, pour tout ce passé que j’expose ici. Comme si j’avais eu le choix, comme si j’avais décidé de tout, comme si j’avais été l’unique, le « principal responsable » de ce qu’avait eu à endurer mon ainée. 2012 était l'année du centenaire de l'OSE France, en grandes pompes, avec la contribution du château, de François Hollande. Ca ne s'invente pas, c'est un pan de l'histoire, extrait de source www.ose-france.org, « après la rafle... trouver des nourrices à la campagne pour les enfants restés seuls » :
Jean-François Guthmann, président de l’OSE, tient à remercier personnellement François Hollande qui « a rendu un hommage solennel à l’association et à tous nos grands anciens dont le courage et l’abnégation sont ainsi reconnus par la Nation ». « Qu’ils continuent, par leur exemple, à guider nos pas ! « , a-t-il poursuivi.
Après la rafle, l’OSE s’est beaucoup mobilisée avec le comité de la rue Amelot pour trouver des nourrices à la campagne pour les enfants restés seuls. L’équipe du professeur Eugène Minkowski et le dispensaire de la rue des Francs-Bourgeois ont joué un rôle actif.
L’Œuvre de Secours aux Enfants (OSE) a 100 ans cette année. Le Centenaire de l’OSE est d’ailleurs placé sous le haut patronage du président de la République.
« souvent en grande souffrance, jusqu'à martyrisée sous des pluies d'hiver, dans des bois ! »
C'est vers l'été 2002 qu'elle a dû déccrocher son galop 1, un stage... « une semaine abandonnée à Conches ! »
« Mais c'est terriblement inquiétant, dangereux, tout ce que M. KANT faisait aussi avec ses filles ! »
Il faudrait que je retrouve une photo sur laquelle on voit très bien comment j'abandonnais et maltraitais ma cadette aussi, une photo prise vers ses 9 ans, avec elle et juste un âne pour lui tenir compagnie, perdue dans les bois des Cévènes... Ou encore, une photo qui avait été difficile à faire, j'avais eu du mal à la convaincre de s'allonger sur une voie de chemin de fer pas désafectée du tout, et de m'en faire un grand sourir pour se souvenir. « Comment a-t-elle pu vivre, et survivre ? »
Elle est maintenant grande. Récemment, je lui ai appris à conduire une auto, gaz, embrayage, patinage, frein à main et démarrage en côte, etc. Puis elle a passé le code et le permis. Après même pas 10 heures de leçons, elle a pris l’initiative de louer une petite voiture sans permis, est allée circuler seule dans Paris. « Arrivée sur les champs, vers l’arc de triomphe, tous autour de moi klaxonnaient ! » Puis avec son permis en poche, elle m'a promené, on a bien rit encore.
« Un papa ou un ingénieur totalement subversif, même qu'il fait tourner des montres pas faites pour dans le désordre ! » Entre deux audiences, c'est la vie, on travaille, on jardine ou on bricole. Parfois un bug par ci, parfois un phénomène curieux par là... En janvier 2018, c'est un serveur de l'INPI qui avait mal fonctionné, puis leur hotline ne comprennait rien à mes demandes. L'INPI avait mis un temps fou à réaliser, « non, on a rien vu du tout. » Comme j'ai insisté, l'INPI est allé vérifier à sa compta, a trouvé trace d'un payement CB... Avec Lisa de la Poste, ça se passe toujours plus simplement.
sort of Miyota 2035 movement with a basic
asymmetrical stator and single coil Lavet motor.
« C'est impossible ! » diront tous les horlogers et ingénieurs en mécanique de France
A la suite, une vidéo « accablante » qui démontrera aux ours, à Versailles, à l’OSE France ainsi qu’aux tatas et tontons de mon ainée à quel point je pouvais être abandonnique, terriblement ignoble avec mes deux filles. « Mais quel père ! Il aurait fallu tout faire pour leurs épargner cela ! » Ma cadette avait alors environ 5 ou 6 ans. En découvrant cette vidéo, sa mère elle-même était à deux doigts de me signaler aux services sociaux « mais pourquoi il ne l’aide pas mieux à se relever ? » On ne m’entend pas lui parler, on n’entend pas ce que je lui disais, la musique était trop forte... Bien avant qu’elle soit lâchée toute seule dans les rues de la région, je lui avais appris à se débrouiller sur la glace. Mais débutante, de temps en temps, elle tombait encore. Une fois étalée, jamais très loin de moi, elle était malgré tout en danger, d’autres pouvaient lui passer par-dessus. J’attendais ici d’elle qu’elle se relève, qu’elle apprenne, je l'encourageais pour qu’elle essaye de se relever toute seule, ce qu’elle avait réussi à faire à peine plus tard, puis qu'elle avait fini par maitriser aussi, se relever :
Pour les ours, le parquet et pour Versailles, pour les travailleurs sociaux, pour ses tontons et ses tatas, pour tous ces « sauveurs » et tant « dévoué.e.s », mon ainée devait pour sa part et jusqu’à sa majorité révolue rester allongée, applatie, et étiquetée #Ddass « maman morte, papa débille, pauv’gamine, on va pas pouvoir faire quoi ? » « On l’a élevée comme on pouvait, mais on aurait pu mieux faire si son père n’avait pas été à ce point chiant avec nous. » Ok, d'accord...
de Paul Arcand, qui a sensibilisé la société civile québecquoise et ébranlé la DPJ
« C'est pas du tout chez nous, c'est d'ailleurs ! »
Puis en mars 2013, donc, j'ai été enfermé à Paul Guiraud, en psychiatrie, coupé de deux journalistes du Parisien, et traité, drogué, détenu arbitrairement, intimidé, pour que je ne parle plus de ce que j'expose ici. Le moins qu'on puisse en dire est que ce traitement là n'a pas fait effet non plus. « N’a pas conscience des troubles qu’il crée ! » Avec ce que j’ai publié ici et là, ainsi que envoyé par l'e-Poste, ces jours passés, et ce qui va arriver encore, les téléphones vont sonner partout
La psychiatrie, une expérience enrichissante tout de même. J’en connaissais des rayons avant qu’on m’y pousse, ainsi que des rayons sur d’autres thèmes. Là bas, en cinq semaines et en y découvrant le milieu depuis l’intérieur, j’ai pas trop chômé non plus. J’y avais appris aux « bénéficiaires » et à certains habitués même comment protester, comment lire la façon dont ils y étaient traités, des fois mal. « Va te laver ! », lancé à un redressé par le service... mais dans le service, depuis un moment, on n'avait plus de chausses propres. « Allez vous laver ! Pourquoi devrais-je vous en donner, vous avez pas de savon ? Débrouillez vous. » J’y avais été enfermé sans rien ni aucune autorisation de sortie. « M. KANT, vous êtes un voleur, vous nous avez volé un marqueur pour écrire dans tout Paul Guiraud ! » Non, pas du tout, j’avais passé outre l’interdiction de sortie, je l’avais trouvé et acheté en ville. Je leurs ai également appris comme saisir le JLD. Une mère avait été « admise » peu après son accouchement, et depuis des jours, les psychiatres lui interdisaient toutes relations avec sa famille, même son nourrisson ; une interdiction qui aurait pu durer des semaines ; elle a donc fait saisir le JLD qui l’a levée, elle a pu ensuite retrouver son enfant. Rompre les relations parents-enfant en si bas âge, c’est pas bon du tout, ni pour la mère, ni surtout pour l’enfant. Curieusement, et comme par le passé aussi, lorsque je pouvais donner un petit coup de pouce, ce que d’autres faisaient à partir de mes connaissances ou éclairages, ça fonctionnait souvent assez bien.
Je ne vois aujourd'hui plus 36 solutions pour me faire taire. Bientôt, je serais en UMD ou à l'isolement, en prison ?
La psychiatrie, on y est poussé, c'est vite fait, puis on ne sait jamais trop comment s’en extraire, ni quand ca va suivre, ni d'ailleurs dans quel état on en resortira, et « si refus, injection ! » De là bas, j'avais un moment téléphoné à la LDH : « trouvez un avocat, et bon courage. » Ok... ce qui ne me changeait pas du climat des années passées. Mais j’avais les bagages pour m’en dépatouiller tout de même. C’est encore aux archives du Parisien : « Paris (IVe), Centre Pompidou, hier. « Je veux parler ». » C’était pas assez simple et clair, faudrait que je publie un jour roman pour que quelque chose percute dans des consciences ? Plus tard, j’étais hilare en apprenant que le commissaire de police du IVe, Dominique Dague, celui qui m’aurait convaincu de descendre du sommet de Beaubourg pouvait être un ivrogne notoire... Il a raconté quoi, et à qui ? A jeun ? Je ne descendais pas de Beaubourg pour faire mousser ce commissaire, mais car Christophe Girard, le maire de Paris IV m’avait proposé un entretient. J’ai ce très net sentiment d’avoir été régulièrement confronté à des imbéciles ou à des bouchés, et donc, peut-être même à un ivrogne aussi. Mais ça va, et ça pouvait aller pour moi.
Paris: Le chef de la police du IVe visé par deux enquêtes pour conduite en état d'ivresse présumée
Bérénice Dubuc, publié le 24/05/12, 20 Minutes, extrait
FAITS-DIVERS Début mai, le «commissaire fêtard» a été arrêté en pleine nuit, alors qu'il remontait une voie de bus en brûlant des feux rouges. En août 2011, il avait déjà renversé un cycliste au pont d'Austerlitz... Deux affaires qui font désordre. Le commissaire central de police du IVe arrondissement de Paris, Dominique Dague, 49 ans, est visé par deux enquêtes, ouvertes par le parquet de Paris et l'Inspection générale des service (IGS, la police des polices), dans le cadre d’affaires de conduite en état d'ivresse présumée, révèle Le Parisien ce jeudi.
L'un de mes derniers graffitis et photo prise à Paul Guiraud,
des graffitis par dessus une banderole suspendue par le personnel
« Mais faites le enfin taire pour tous ! »
Entre la fin 2012 et début 2013, j’avais fini bloqué par des multitudes, par les anti #MariagePourTous autant que par les pro #MêmesDroitsPourTous. Bloqué par beaucoup, moins lu par la faune de Twitter, c’est reposant. Aux premiers, je lançais « des tatas, un tonton ! », aux autres, « vous voulez vous marier, et même avoir des enfants ? mais vous êtes fous, vous ne savez pas ce qui suit après le mariage : le divorce, les robes noires et les sachant mieux ! »
Sur Internet, en mars 2013, j'ai été pourrit plus, par des féministes. « On l'a vu perché sur Beaubourg ! » Mais de ça aussi, je m’en fous. Une fois bloqué par des multitudes, j’ai moins de mentions, d'injures dans mes mentions. C’est reposant. Tandis que la Ddass continue à travailler encore comme en 1977, voire même comme depuis 1538... Si on me posait un jour des questions, je répondrais la même chose : c’est plus mon problème, j’avais prévenu, essayé, et ça a échoué. Il n'avait pas été possible de parler dans les prétoires, ou rien y avait percuté, j'avais essayé autrement :
En 2014, pour le JAF, alors qu'il y représentait mon ainée, Cedric Giancecchi, avocat du secteur de Metz envoyait : « fustige l’Etat, des représentants de l’Etat. » Et alors, qui ça peut déranger autant, mes discours et mes écritures ? J'ai pas prêté de serment d'inféodation, je ne suis pas soumis à l'obligation de réserve non plus. Je ne sais pas si cet avocat ni si celle qui lui a ensuite succédé m'a mieux lu, ni s'ils ont pris connaissance de ce que j'avais alors retourné, dont un documentaire #LMEF (Le Monde En Face) de septembre 2014, « Enfants en souffrance, la honte ! » Soit on ne m'a jamais lu ni entendu, de début 2003 et jusqu'en 2015. Ou il fallait effectivement toujours tout laisser faire, se taire et plier...
Oui, 2013, en psychiatrie, pour du silence, puis en 2014, à Metz, une sorte de mayonnaise allait peut-être reprendre.
DSM-IV-TR cas cliniques, American Psychiatric Association,
chez Masson, 2008, page 357
Ah, nos féministes, pourvu que ça lutte, et que ça avance, ou ça se défile, comme ça peut, et peu importent les dommages. En 2016, suivait le procès de Chantal Clos, en appel, aux assises, pour avoir avec sa fille brutalisé une avocate en droit de la famille. Une grosse bêtise. 15 ans pour la mère. Ca m’avait intéressé, j’y constatais combien Françoise Sironi pouvait avoir raison. J’y avais témoigné, en faveur de Chantal Clos, et je ne le regretterais jamais. Nos féministes et militantes étaient partout à ce procès, une chercheuse du CNRS avait même dû être trainée à la barre. Avait suivi juste une brève… Françoise Sironi, de la sphère de l'ethno psychiatrie, psychologue, psychothérapeute, maître de conférences en psychologie clinique et pathologique, spécialiste en barbaries de tous genres n’est pas mauvaise. Je l’avais bien lue, entendue et perçu, je l’avais bien perçu aussi au cours d’une soirée avec Stéphane Guillon, l’écoutant, lui avait été viré de France Inter pour deux sketchs pas très appréciés. Les effets secondaires de la torture et similaire ou juste et simplement de brutalités politiques, c’est moche. En 2009, pour Versailles, je citais Lord Emerich Edward Dalberg, sur des libertés et comment se protéger, ainsi que Georges Sand. Soupirs... Quelques temps plus tôt, nous avions reçu une courte lettre de mon ainée, un mot, elle nous avait envoyé : « j'aurais tellement voulu passer Noël avec vous... » Bref, pour Nanterre autant que pour Versailles, tout était de ma faute, de même, selon tous les « professionnels » de l'OSE, de l'ARSEA, ainsi que pour le couple Clementz, s'il y avait un coupable à conspuer, c'était moi, toujours et seulement moi.
Pour Versailles, en 2009, je citais George Sand à Mme Dupin, 31 mai 1831 :
« Pour moi, ma chère maman, la liberté de penser et d'agir est le premier des biens. »
Ainsi que Acton, ce catho « atypique »... Lord Emerich Edward Dalberg Acton, 1834-1902 • « La liberté requiert de se protéger du contrôle des autres, ce qui exige maîtrise de soi et, par conséquent, une influence religieuse et spirituelle, de l'éducation, des connaissances et une bonne santé physique et morale. »
« Et c'est pourquoi ceux qui sont sujets d'un monarque ne peuvent pas, sans son autorisation, renier la monarchie et retourner à la confusion d'une multitude désunie, ni transférer leur personne de celui qui en tient le rôle à un autre homme, ou une autre assemblée d'hommes […] D'ailleurs, si celui qui tente de déposer son souverain est tué ou puni par celui-ci, il est l'auteur de sa propre punition, en tant qu'il est, par institution, l'auteur de tout ce que son souverain fera ; » Thomas Hobbes, 1651, Leviathan, Traduction de P. Folliot, 2004
« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice, lorsqu’on va, pour ainsi dire, noyer des malheureux sur la planche même sur laquelle ils s’étaient sauvés. » Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, Montesquieu, 1721
« La vérité qui déboule à l'audience est un produit de la superstition. Lachée du ciel ou déchiffré dans les cris du supplicié ou les larmes de la victime, elle n'a pas été formée par une enquête sérieuse et impartiale mais par un décret paré d'autorité de l'Etat. Sous prétexte que le fait à juger a engendré du mal et de la souffrance, les fonctionnaires de la justice tournent le dos à la raison et au bon sens. » • Thierry Lévy, Eloge de la barbarie judiciaire
2019, suivait Frontenaud, 4 mômes arrachés, rempotés plus loin. On attend impatiemment d'en savoir un jour plus.
Vers la mi 2006, sans nouvelles de mon ainée depuis des mois, je découvrais un magnifique texte de Lucie Poirier, sur sisyphe.org, La DPJ et la chasse aux sorcières contre les mères, un extrait, trois lignes, qui résume :
disparaissait à jamais. Dorénavant, on voit le nez en l’air de
la sociale travailleuse et l’enfant disparaît à jamais.
Le plus souvent, je crois, ce sont des femmes, seules, isolées, mamans solo ou suite à un divorce, une rupture, sinon, ce sont des familles de l'Unterschicht, des cas soc, dira Marie Vaton, qui sont confrontés à ces faunes. Dans mon histoire, c'est un peu différent, la mère était morte, et il s'agissait de se débarrasser du père, Carole Bulow, la sociale travailleuse, calomniait partout, puis c'est sa soeur, Isabelle Clementz, pasteur protestant à la perception apocalyptique du monde, qui est partie du tribunal de Nanterre, en 2005, le nez en l'air, avec mon ainée à sa main, elle a disparue pour toujours. « Cas soc ? On ne peut pas dire cela des parents ou des familles, ça enferme dans des représentations dépassées ! »
Par Richard Josefsberg, une sorte de sachant mieux, un guru de l'internat
En 2006, je publiais ici Le Code noir. Moi, j'étais excessif ? Plus récemment, Me Michel Amas découvrait la matière :
« Lassé [NDLR : déjà ? Il en dira quoi dans dix ans, l'avocat ou missionnaire ? Il a fait appel ? Et ? Lassé ?] par la difficulté de sa mission, il a décidé de dénoncer "ce qu'il se passe dans le secret du bureau des juges pour enfants". "Rien n'est plus violent que ce que je vis depuis un an dans le cabinet des juges pour enfants", assurait-il à France Info, en juillet 2019, une semaine après avoir lancé un cri d'alarme sur Twitter. »
Société
Les protestants s'inquiètent du "regard soupçonneux" antisecte
Par Xavier Ternisien
Publié le 13 mars 2006, le Monde, extrait
La Fédération protestante de France (FPF) a accueilli cinq nouvelles Eglises, lors de son assemblée générale, samedi 11 mars à Paris. Parmi elles, l'Union des fédérations adventistes de France. Les Adventistes du septième jour, qui comptent 10 000 fidèles dans l'Hexagone et plus de 20 000 outre-mer, se voient souvent reprocher une vision apocalyptique du monde et une lecture littérale de la Bible.
Article 30 - 1685, qui a depuis quelque peu évolué tout de même - Ne pourront les esclaves les parents être pourvus d'office ni de commission ayant quelque fonction publique, ni être constitués agents par autres que leurs maîtres leurs ours pour gérer et administrer aucun négoce, ni être arbitres, experts ou témoins, tant en matière civile que criminelle: et en cas qu'ils soient ouïs en témoignage, leur déposition ne servira que de mémoire pour aider les juges à s'éclairer d'ailleurs, sans qu'on en puisse tirer aucune présomption, ni conjoncture, ni adminicule de preuve.
Moi, excessif ? L’article 30 de 1685 est ancien, mais parait crument d’actualité, l’était aussi en psychiatrie, en mars 2013 : un expert missionné par le juge des libertés et de la détention (JLD) arrive, vous toise 10 secondes, pas plus, vous ouvrez à peine la bouche puis il vous annonce déjà sèchement que vous resterez enfermé, il disparait pour pondre un « avis » qui ne correspondra en rien à votre personnalité. Le JLD avait accepté son torchon, mais après débats, malgré tout, il avait accepté également une demande de contre-expertise… Ce premier psychiatre était parti s’éclairer d’ailleurs pour éclairer le JLD, mais parti s’éclairer d’où ? Auprès de Anne Sylvie Caillat, la psychiatre du service où j’allais rester détenu ? Auprès d’un agent d’entretien ? D’autres « usagers » du service ? Parti s’éclairer par la plante verte ou par la préfecture ? S’éclairer par les animaux de dehors aurait été compliqué, par la fenêtre de ma chambre, on y voyait pas grand-chose :
2013, une fenêtre de Paul Guiraud… la « chambre »,
et l'extérieur, printanier, je pouvais distinguer des arbres, des silhouettes, en tous cas
« Si vous ne changez pas, on devra vous enfermer à nouveau. »
En chambre de contention, à Paul Guiraud, où l’on m’avait installé d’abord, faute de place ailleurs, c’était pire. La ventilation était en panne, faisait du bruit H24. « On peut vous aider, vous voulez plus de cachets pour dormir mieux ? » « Dans quelques jours, vous pourrez intégrer votre service, ici, ce n’est que provisoire. Là bas, vous pourrez discuter avec le psychiatre. » Une fois là bas, des semaines, c’est long, j’ai pu discuter plusieurs fois avec elle... Mon dernier entretien avec le docteur Anne Sylvie Caillat avait été très court, elle m’y attendait : un doigt passé par la porte entre-ouverte de son bureau, mon regard plongé dans le sien. Une fois libre, elle m’assurait : « restez, vous le pouvez, librement, on va vous aider, on peut ! » J’ai fait mon sac et j’ai détalé. Depuis là bas, en 2013, j'avais ajouté plusieurs billets ici, comme chez les Chinois, avec mon smartphone ; c'était pas simple, fastidieux, mais j'avais mes journées et mes nuits, ça m'occupait.
En 2003, les travailleurs sociaux de l’ASE (92), je sais très exactement où ils sont allés s’éclairer, ils me l’avaient écrit ; les juges de Versailles l’avaient reconnu vers 2007 environ, quatre ans pour que ça percute ! Ceux de l’OSE, de 2003 à 2005, et pour 2006 en appel, c’est évident aussi, j’ai très bien perçu où étaient leurs accointances et leurs intérêts personnels. Ca par contre, à Nanterre comme à Versailles, ça n'a jamais pu percuter ; faute de temps ? Tous étaient toujours partis s’éclairer d’ailleurs, pour renseigner les juges. J’avais beau protester, la vérité était et restait figée ainsi au dossier de l’ASE puis à celui de l’ours pour enfant. Pour l’ARSEA, de 2006 à 2011, tout était limpide également, entre les jugements rendus par Nanterre comme par Versailles, et leur proximité géographique voire idéologique avec le pasteur d’Uhrwiller, ils s’éclairaient d’ailleurs. On est des canards, comme déjà décrit plus haut, les autres, entre eux, papotent, rient, ragotent, médisent, définissent et figent qui vous êtes, ce qu’il s’est passé, qui vous avez été, qui vous pourriez être demain, quel pourrait être le futur, évidemment, des plus sombres. Même s’ils n’en savaient absolument rien, quelques étaient les propos ou écrits de gens, ces tantes maternelles, qui résidaient à 400 et 500km de chez moi, en Lorraine, en Alsace, étaient systématiquement mieux reçus que les miens pour dépeindre ma famille, ce qu’était notre vie, notre foyer en région parisienne, le vécu et le quotidien de nos enfants. Aucun de nos amis ou proches, même pas celle qui avait longtemps été la nounou de mon ainée n’ont été entendus. Le dossier qui m’avait été retourné, en 2006, car égaré, retrouvé chez un greffe à Nanterre, contenait aussi quelques témoignages d’amis et proches. Ces derniers restaient estomaqués.
L’avocate de l’enfant, Maître Delphine Roughol ? Une sorte de feuille morte, suivant péniblement les vents, se couchant au gré d'évolutions de dires, une quiche, une tarte, parfois mal à l’aise, un peu pâle, ou rouge de honte, mais dans sa belle robe noire, toujours d'une grande prestance, même l'ayant enfilée sans mandat, pour réclamer un renvoi. Je ne me souviens pas l’avoir entendu dire quoi que ce soit lorsque mon ainée parlait de l’ambiance à Taverny, en 2005, ni d’ailleurs en 2007, lorsque mon ainée en avait reparlé encore. Rien jamais non plus au sujet de sa santé ou de sa scolarité. Comme les autres, partie s’éclairer d’ailleurs ? Je regrette qu'elle ne soit plus là, on aurait pu rediscuder. Elle même s'était plainte d'un de mes billets de blog, qui m'avait valu un petit entretien chez la police ; et sa plainte était au dossier « d'assistance éducative », mais pourquoi donc ? Mais sur le fond, je suis d’accord, un avocat pour l’enfant pourrait avoir du sens.
De temps en temps, le juge pour enfant convoque, l’audience débute, à l'écoute, on a toujours l’impression de s’être trompé de bureau... Puis l’on peut faire appel. Le résultat est au final pénalisant, quoiqu’il se soit dit en appel, le jugement contesté est confirmé. Au fil du temps, d'autant plus que tout est machinalement confirmé, des vérités s’accumulent, toutes définitivement indiscutables, incontestables, puis rappelées, rabâchées... On fini par s’accoutumer à ce climat, un loto où les avis et discours des autres s'imposent toujours. Vous êtes un harceleur, selon Taverny ? Ce sera vite débattu, imposé, puis confirmé par Versailles, vous resterez ce harceleur pour toujours. Veuf, dépressif mais pas divorcé, en 2011, pour la cour d'appel, un 1er avril, je l'étais encore... merci, l'OSE France. Quérulent ? Merci Bodon-Bruzel. Etc. « Il n'y a pas de problème de santé, on y veille bien. La scolarité ? On discute de l'orientation en 1ère. Il ne nous recontacte pas. » Elle m'aurait énervé, l'audience de juin 2010, je n'y suis plus retourné, pour celle-ci, j'avais juste envoyé une lettre au juge.
Faut l'avoir entendu, le pasteur d'Urwhiller, jeter ses anathèmes contre moi à certaines audiences, une érudite, experte en improvisation... régulièrement reçue 5/5 quoi qu'elle y envoyait. Tantôt des anathèmes en présence de mon ainée, à d'autres instants, à jurer qu'elle préservait l'image de son père. Moi, je pouvais toujours faire appel et tout ça. A chaque fois pour rien, sauf un peu de papier en plus, des écritures par les juges. La justice, une machine à s'écrire : tu fais appel, tu reçois du papier en plus. Fin 2003, j'avais fini par déprimer comme rarement, après près d'un an déjà de pressions par des travailleurs sociaux, pour que j'abandonne mon ainée à ces femmes. J'avais été dans le bureau du juge en juin, puis à l'OSE, rue du Temple, vers septembre, j'avais aussi eu quelques échanges avec Mme Josefsberg. Celle là m'expliquait entre autres qu'il fallait que je divorce, que je n'avais jamais divorcé... je n'avais jamais été marié, la mère de mon ainée était morte en 1999, et avant cela, un JAF était intervenu, de façon ponctuelle, vers 1997, pour les DVH, pour la ponsion alimentaire, puis jamais aucun soucis de NRE ou d'impayé ! Tout fout le camp lorsque ce genre de « justice » s'empare de vous, même l'état civil, même le cadastre. C'est suite à une conversation téléphonique avec cette dernière, en novembre 2003, que je me suis rendu chez le juge, à Nanterre, puis qu'il a décidé de placer mon ainée, chez M. Josefsberg. Agnès Josefsberg, aux investigations qui avaient précédées ce « placement », est depuis morte, d'une maladie longue, celle-ci ne peut plus nuire à d'autres familles, mères ou pères et même enfants comme elle l'avait fait chez nous.
Oui, j'écris « ponsion ». C'est un avocat d'Alsace, sur Twitter, qui me l'a inspiré. Je veux être lisible de là bas aussi. C'est comme #Ddass au lieu du plus pompeux Aide Sociale à l'octroit d'Enfances. On s'inspire, pour être mieux lu et compris.
Très bonne en impro, le pasteur d'Uhrwiller. Tout en renouant avec mon ainée, entre 2008 et 2009, discutant avec elle de ses résultats scolaires et de ses capacités, je l’avais convaincue de ne pas se laisser orienter vers une filière pro, ce qu’envisageait l’ARSEA Alsace. Ca n’a pas loupé, à la cour d’appel de Versailles, en 2010, très fière, Mme Clementz a annoncé qu’elle était en seconde, à Strasbourg, puis qu’elle irait faire des études de théâtre… Puis ma gamine avait donc ensuite fini orientée, puis déscolarisée ; ce n'était pas ce qui avait été affirmé, assuré par le pasteur, en 2005, à Nanterre...
En même temps, vers mi 2009, chez un juge, à Nanterre, vers les 15 à 16 ans de mon ainée, le pasteur commençait à se plaindre car mon ainée devenait plus difficile à gérer. « Oui, on avait finalement dû l’orienter quand même. C'est comme ça, courant avec les enfants placés, aux parents gravement carencés. Mais nous connaissons le coupable ! Elle avait renouée avec son père, preuve que cette relation était bien toxique, impensable ! On l’a donc rompue à nouveau. » Les professionnels de la protection de l’enfance n’ont-ils jamais entendu parler de l’adolescence et de rébellion, à ces âges là ? C’est comme les conflits de loyauté, j’imagine qu’ils en ont encore tout à découvrir. Je garde cependant le sentiment que le bouchon avait été poussé bien loin ici, « dans l’intérêt de la mineure ». C’est vers 2006 peut-être que la cour d’appel avait relevé qu’en cas de relations « même épistolaires » avec sa famille maternelle, mon ainée exprimait des « récriminations » à mon endroit. « Pour son équilibre », il fallait donc absolument « protéger » cette enfant de mon « psychisme », c’était la seule issue envisageable, la contenir durablement dans un univers fantasque qui cultivait et ruminait la haine de son père.
Et les juges, ces menteurs, tout un troupeau, pendant sept ans : « il était dépressif, délaissait sa fille ! » On pourrait à mon avis s'écrouler pour moins que cela. J'étais comme absent fin 2003 ; mais il y avait, entre autres, ma compagne pour s'occuper des filles, elles n'étaient pas délaissées ! On m’avait également reproché de ne plus être en capacité de protéger mon ainée… Je la protège comment, de juges ou d’intervenants du social ainsi que de tiers, les tatas, protégées par des ours ? Pour secouer la machine, pour lui écrire, pour extraire des mots, des lignes, j’avais juste une carotte, ou parfois, j’utilisais des tampons taillés dans une patate. En retour, systématiquement ou quasi, des coups bas et du mépris...
« Que le combat soit loyal »
De source revue Quasimodo,
voir aussi Que peut-on faire avec une carotte ?
J'avais une compagne et un second enfant, ma cadette, née quand ils nous sont tous tombés dessus, mais dont l'existence avait très longtemps été ignorée, niée par les juges ; ce n'est que vers la fin 2005 qu'ils ont enfin admis ou réalisé qu'elles existaient ! Absent fin 2003, au fond du trou, après un véritable harcèlement, par l'ASE, puis par l'OSE France, pour que j'abandonne ma fille à ses tantes maternelles... Ayant ensuite rapidement récupéré, repris pied, mais pas récupéré mon ainée, Nanterre l'avait placée à Taverny, j'allais discerner mieux quelle était la perception biaisée, l'éthique et la morale, le niveau des juges et des travailleurs sociaux de l'OSE. J'allais discerner, les entendre mieux, tout en commençant à approfondir le droit ainsi que d'autres matières. « La cour d'appel ne m'a jamais désavouée ! », m'avait un moment lancé le juge Anne Valentini, je suppose que c'est exact, et que les « professionnels » de l'OSE sont parfaits aussi, pour Nanterre autant que pour le parquet et Versailles, la cour d'appel, le parquet général. C'est curieux, ou c'est juste une farce ? Le rappel des faits par la cour d'appel, daté d'un 1er avril, ne reprend rien du tout de ce que je raconte ici ; j'ai le très net sentiment que c'est un faux en écriture publique pondu par une magistrate, à moins que c'était une légèreté, un éventuel copier/coller et problème de relecture, les juges n'ont pas que ça à faire, ou c'est pas mon arrêt :
Cour d'appel de Versailles, 1 avril 2011, 11/00005
Ont été entendus :
- Madame GERAUD-CHARVET, Présidente, en son rapport,
….
RAPPEL DES FAITS ET DE LA PROCÉDURE :
J. Y... est née le 03 septembre 1993 de l'union de M. Bruno Y... et de Mme Sonia Z....
A la suite de la séparation du couple en 1996, un conflit entre le père et la famille maternelle s'est progressivement installé.
Au décès de sa mère en juillet 1999, J. est allée vivre chez son père.
Celui-ci a rencontré une nouvelle compagne et le couple a eu une enfant K., née en 2003.
Par ordonnance du Juge des Enfants de NANTERRE du 18 novembre 2003 motivée par la période dépressive que traversait M. Y... qui délaissait sa fille et ne lui permettait pas d'assurer sa sécurité, J. a été placée à la maison d'enfants du Château de Vaucelles à Taverny.
J'aurais aimé lire ici au minimum : « A la suite de la séparation du couple en 1996, en 1997, le JAF de Sarreguemines (57) rendait un jugement attribuant la garde à la mère, accordant des DVH au père, le condamnait à verser la ponsion ». Mais non, pour les juges, la cour d'appel et pour l'OSE France, j'allais rester veuf, abandonnique, pas divorcé, dépressif, jusqu'en avril 2011. Bien qu'en novembre 2005 ils avaient enfin réalisé que ma cadette et ma compagne existaient. J'avais insisté, signalé qu'elles existaient. Tombait alors en audience, à Nanterre, un rapport inattendu des travailleurs sociaux de l'OSE ; faisant part de leurs « grandes inquiétudes » pour ma cadette ! Mon avocat avait alors eu à y répondre, par note en délibéré. A côté des bureaux de Nanterre, manque une salle pour les parents, où aller apprendre comment ça fonctionne.
« En cas de verglas, ne marchez qu'où nous avons sablé ! »
Edit... après de multiples ajouts, depuis ce 21 courant et une première version de ce billet ; je brodais dedans. Je ne vais pas tout relire, ni rectifier les coquilles, les erreurs matérielles mineures que j'aurais pu produire. Ici, subsistera une trame, que je vais maintenir, qui constitue ainsi un terrain miné, piégé, un bourbier comme un certain Pierre Péan, journaliste d'investiguation, aurait pu produire, terrain mouvant ou glissant, comme annoncé également via mon compte Twitter : « ACHTUNG ! Bei Glatteis dürfen nur die bestreuten Wege begangen werden. » Ce n'est pas en 1997 que je « divorçais », mais en novembre 1996. Puis en novembre 2003, Mme Josefsberg de l'OSE, qui investiguait, allait lourdement insister : « vous allez devoir divorcer, vous n'avez jamais divorcé ! » Elle était pétrie de certitudes, était pour son avis pour Nanterre partie s'éclairer d'ailleurs... peut-être une pratique #educspé #psy courante, s'éclairer d'autre part.
De source le Monde, la campagne en direct
« Y a le divorce, est (sic) le divorce c'est toujours une épreuve »
« Mais c'est pas parce que la famille a changé qu'on tient moins à sa famille »
Est-il utile que je précise que ces deux tatas, Carole Bulow, sociale travailleuse, d'une nature de corbeau, ni Isabelle Clementz, religieuse au nez en l'air, celle qui avait pourtant déjà bien vu les monstres dans sa jeunesse, n'ont jamais saisi un JAF pour demander des DVH ? Ce n’est pas la voie qu’elles ont choisies, une voie de civilisés, elles auront préféré la voie d'outre tombe de l'assistance publique, et de me pourrir via l’ASE, puis en insistant jusqu’à ce que soit bien saisi un ours, elles auront préféré me pourrir via l’OSE, la rue du Temple et ensuite avec Taverny, fermant les yeux sur tout, dont sur ce qu'endurait leur nièce au foyer… même lorsqu'elle en parlait elle-même ! Elles auront préféré me pourrir, pendant des années, via Nanterre, via la cour d'appel aussi, pour « sauver » mon ainée de son père « incurable ». « Par ordonnance du Juge des Enfants de NANTERRE du 18 novembre 2003 motivée par la période dépressive que traversait M. Y... qui délaissait sa fille et ne lui permettait pas d'assurer sa sécurité, J. a été placée à la maison d'enfants du Château de Vaucelles à Taverny. [...] Par jugement du 9 novembre 2005, le Juge des Enfants confiait J. à ses oncle et tante maternels, M et Mme A... en qualité de tiers digne de confiance, et maintenait la suspension de tous les droits du père. » Basta. Un pâle plagiat de Kutzner c/Allemagne, doublé d'un plagiat pas plus reluisant de l'affaire Finaly. J'avais pourtant prévenu.
Novembre 1996, un « divorce », pour des DVH et la ponsion alimentaire
Maurras, Kiel et Tanger, 1914, p.70 : « ces puissances subalternes (...) doivent s'ériger en
petites souverainetés indépendantes, comparables à des seigneuries féodales... »
L'ours ou le juge pour enfant, c'est spécial. Par la loi, il a tous pouvoirs pour ne pas le limiter, afin qu'il puisse efficacement protéger les enfants. C'est la théorie. En pratique, et c'est curieux également, il a tout fait pour protéger les tantes de ma fille, les travailleurs sociaux de l'OSE aussi... Avec le résultat qu'on connait, je l'ai détaillé dans mes précédents billets d'octobre, ici, ainsi que de façon plus synthétique dans ma récente lettre au Président de la République. Comment c'est possible, comment cet ours et ces « professionnels » ont-ils pu bricoler cela ? Avec des lettres puis des expertises !
J'aurais apprécié que le juge Anne Valentini puis les professionnels de l'OSE soient très vite plus sincères que cela. Dès juin 2003 même, le juge Anne Valentini aurait pu offrir directement mon ainée à ces tantes maternelles, elles n'attendaient que cela, une OPP pour la « déplacer » vite chez l'une d'elle, puis on en parlait plus. Puis je pouvais aller revoir Valentini, faire appel aussi, aller chez Bodon-Bruzel, à l'UMD, etc... Mais ça n'aurait pas semblé ni très légal ni vraiment moral, et assez brutal. Pour une apparence acceptable, il fallait d'abord que ma fille reste en foyer quelques temps, et que le juge poursuive ses investigations, n'envisageant pas autre chose, construisant très soigneusement un dossier, amassant des pièces, pour qu'il puisse motiver le rapt de mon ainée. La machine à s'écrire régurgitait donc un moment ces choses :
De l'arrêt du 22 mai 2009, par la cour d'appel de Versailles,
cassé/annulé par l'arrêt civ. 1, 20 octobre 2010, 09-68.141
Audience publique du 20 octobre 2010, Cassation,
Pourvoi n° C 09-68.141, Arrêt n° 909 FS-P+B+I
Pardon !
Tout parait ainsi clair, évident pour tout le monde, parfaitement justifié. J'étais veuf, jamais divorcé, au fond du trou, etc, puis j'avais juste fait chier les travailleurs sociaux. Et comme il ne fallait pas que je fasse autant chier le pasteur, tous mes droits ont été suspendus. En 2005, ma fille finissait « placée » en un endroit même tenu « secret », un presbytère d'Urwiller. Mon ainée était enfin « sauvée » de son père indigne. Ils en ont fait une orpheline, « dans son intérêt supérieur. »
Ils ont vraiment fait des études supérieures, nos magistrats, et ils sont recrutés parmi nos élites, la crème de la crème ? Après l'astrologue Davidson, était arrivée Magalie Bodon-Bruzel, encore une experte pour la troupe, dont les ours et leurs comparses, experte également très appréciée, et d'où ma bio Twitter : « D'après un psychiatre et plusieurs vrais magistrats, je n'aurais pas conscience des troubles que je crée autour de moi. Je décline toute responsabilité. » Je crois me souvenir qu'en son avis, de charlatan, Bodon-Bruzel ajoutait quérulent, processif, « s'empare et use du droit, c'est pénible » ; sur Twitter, tout ne tient pas dans une bio ; ou c'est sobrement contenu dans « troubles que je crée ».
« Quand les situations n'entrent pas dans le cadre des nouveaux modèles de réussite, quand les enfants ont des réactions et des attitudes qui ne ressemblent pas aux images de `'l'enfant du divorce" forgée par notre société, ceux qui se tournent vers la justice pour qu'elle dise la norme et tranche un conflit de droit ne rencontrent qu'une institution désemparée. Faute de savoir répondre à leur demande, la justice ne peut que mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour étouffer les différends » • Le démariage. Justice et vie privée, Irène Théry, Odile Jacob, 1993, reédition de 2001, pages 239-240. « Quand on écrit une pièce, il y a toujours des causes occasionnelles et des soucis profonds. La cause occasionnelle c'est que, au moment où j'ai écrit Huis Clos, vers 1943 et début 44, j'avais trois amis et je voulais qu'ils jouent une pièce, une pièce de moi, sans avantager aucun d'eux. C'est à dire, je voulais qu'ils restent ensemble tout le temps sur la scène. Parce que je me disais, s'il y en a un qui s'en va, il pensera que les autres ont un meilleur rôle au moment où il s'en va. Je voulais donc les garder ensemble. Et je me suis dit, comment peut-on mettre ensemble trois personnes sans jamais faire sortir l'une d'elles et les garder sur la scène jusqu'au bout comme pour l'éternité ? » • Jean-Paul Sartre, l'origine de Huis clos. « L'enfer, nous dit-il, n'est pas le lieu de la torture physique, mais celui du jugement implacable d'autrui porté sur nous. » ? Sade, moraliste, et le crime parfait, pour l'éternel...
« Mais nous, on ne lit jamais les journaux. »
Par Jean-Baptiste Jeangène Vilmer et Maurice Lever, Sade moraliste,
le dévoilement de la pensée sadienne à la lumière de la réforme pénale
« On croyait bien connaitre le divin marquis »
Variantes...
In Deutschland beschwert man sich stark über meine « Excentricitäten. » Aber da man nicht weiß, wo mein Centrum ist, wird man schwerlich darüber die Wahrheit treffen, wo und wann ich bisher « excentrisch » gewesen bin. • Nizza (France), 14. Dezember 1887 : Brief an Carl Fuchs • Nietzsches Briefe, 1887
Il faut se méfier des comiques, parce que quelquefois ils disent des choses pour plaisanter • Coluche
Orpheline ? Avec Taverny, l'OSE France, je pouvais rapidement constater que ma fille n'avait plus ni père ni mère, qu'elle l'était déjà. En 2010, écrivant à l’ours, je demandais à être déchu de l’autorité parentale, mais ça n’a pas suivi ; enfin me déchoir aurait été plus conforme à ce qui s’était déroulé depuis la fin 2003 et jusqu'à sa majorité. Indigne, abject, révulsant, pour autant, pas du tout déchu, ni de l'autorité parentale, ni d'ailleurs du droit de surveillance ? Surveiller, un crime ?
Orpheline ou sous tutelle, comme le fils à Fourniret et Monique, et il ne fallait pas protester. En janvier 2005, il me parvenait même la lettre, plus bas. « Nous prendrons toujours soin d’elle. Si t’es pas content, écris à l’ours. Bisoux. » La Direction faisait systématiquement ce qu’elle voulait, sans me solliciter ni même m'informer dans les temps. Par une autre lettre, Taverny m’apprenait cependant que j’allais rester le « principal responsable », ce qui m’a donc bien été reconfirmé, par l’arrêt en appel rendu en 2009 autant que par l’arrêt de la cour de cassation de 2010, puis encore en 2011...
« Les documents que vous nous demandez sont transmis au juge pour enfant qui a mandaté notre établissement... » Vers février 2005, et comme j’étais toujours détenteur de l’autorité parentale, j’avais pris rendez-vous au collège, avec le prof principal de mon ainée, c’est lui qui m’a remis copie du document en page 2 : ni père ni mère, un tuteur. Ma fille allait partir avec sa classe, au Chambon, ce haut lieu de la Mémoire. Pourquoi Josefsberg avait-il refusé de partager quoi que ce soit de ces informations ou de ce dossier avec moi ? « La Shoah, faut en parler et faut jamais oublier ! »
« C’est tellement affreux de regarder le destin en face »… Avant de pouvoir lire des jugements, des arrêts, ce que m'envoyait la machine à s'écrire, lire du Josefsberg ou des lettres de son établissement était déjà très instructif. « L’agrippement est à la base à la fois de l’attachement et de la séparation, une fois établie la confiance de l’enfant, la séparation définitive de la mère a lieu soit du fait de la mère soit du fait de l’enfant. » Josefsberg et la troupe étaient à lire :
Des professionnels - qui se situent en amont du placement(*) - ont jugé que l’avenir d’un enfant est, ou pourrait être compromis s’il restait dans son milieu naturel de vie, ils envisagent de le faire vivre en partie en dehors de sa famille. Si une instance juridique mandatée par l’état confirme cette évaluation(**), l’enfant ira rejoindre une organisation de suppléance familiale(***) ; une famille d’accueil, un internat, une maison d’enfants, un foyer ; ils le confient à des professionnels : leurs confrères qui sont donc missionnés pour l’accueillir et organiser une séparation. • Internat et séparations [organisées], par Richard Josefsberg, in Les Cahiers de l'Actif, n°306/307, novembre-décembre 2001, page 84
*) Le pasteur d'Uhrwiller et sa soeur, assistante sociale à la Direction de la Solidarité, en Moselle, l'école ainsi que l'ASE des Hauts de Seine, et enfin Mme Richard Josefsberg, de l'OSE France
**) Confirmé par les travailleurs sociaux de l'OSE, Mme Claire Davidson puis Mme Magalie Bodon-Bruzel
***) Le pasteur d'Uhrwiller ainsi que, plus tard, les services AEMO de l'ARSEA Ostwald
« L’attachement »... Taverny était à 65km de mon lieu de travail, à 40km de notre domicile. J'y allais tous les 15 jours, pour récupérer ou y raccompagner mon ainée, des heures et des heures de trajet en auto en IDF, pour ces DVH. J'aurais bien pu m'en lasser ; ma fille ne s'en était pas lassée non plus. Mais je crois qu'elle ne faisait pas tant confiance que cela à Richard et son petit personnel - qui remarquera au passage que je ne les ai pas tous égratignés ou nommés ici. Dans son établissement, d'autres enfants lui tapaient fréquemment dessus, tout le monde s'en foutait, tandis que les poux, les rhumes et autres problèmes de santé dont des vertiges, c'est moi qui devait m'en occuper. Récupérer un enfant blessé ou même grincheux car fiévreux un vendredi soir, « c'est la vie »... « Ca s'est bien passé, le week-end, chez ton papa ? » « Le médecin passe tous les mardi, pour consultations, s'il y avait un jour un soucis, on vous le dirait. » « Les lentes mortes tombent toutes seules », m'a-t-on un jour répondu après que j'ai traité ma fille pour les poux... « les pressions sur sa fille », c'était mon écoute ainsi que les examens et soins médicaux dont je lui faisais profiter ? Une coupe, chez un coiffeur, de trop ? L'attachement de mes filles, entre elles, fallait absolument couper pour que mon ainée fasse enfin « confiance » ?
Quand l'enfant lui même en a ras le cul, des trajets, des coups, des poux, des griffures, des entorses, des privations de soin et de sommeil, de tensions, de conflits, de pressions, lorsqu'on lui annonce qu'il sera très prochainement privé de celui qui pouvait le faire soigner, et surtout de sa famille, il cesse enfin de s'agripper ? Elle était ravie de partir pour Uhrwiller ? Elle se séparait enfin pour aller renaitre mieux autre part ? Peu avant l'audience de l'été 2005, ma fille m'avait encore appelé paniquée « Richard m'a dit que si je veux pas partir, je vais en psychiatrie ! » J'avais eu connaissance déjà de l'affaire Sébastien traité lui aussi par Valentini, l'OSE France et Delphine Roughol. Je lui ai donc dit d'écouter les adultes autour d'elle... puis en juillet 2005, mon ainée est alors partie, joyeuse, enchantée, avec les époux Clementz.
Libé, publié le 27 octobre 2004, extraits... «J'en ai marre !» Sébastien, 14 ans, est perdu dans un maelström de procédures judiciaires. Il le dit avec ses mots et ses fautes, celles d'un adolescent perturbé dont père et grands-parents se disputent la résidence depuis octobre 2002. Pour le moment, il est placé en famille d'accueil dans la région parisienne. La situation ne profite à personne. Surtout pas à Sébastien, victime d'un «conflit de loyauté», selon la justice, et pour lequel une expertise récente préconise un suivi psychiatrique. [...] Et Sébastien ? Autrefois bon élève, il a désormais un an de retard. En juin, une juge des enfants de Nanterre a renouvelé pour un an la mesure de placement dont il fait l'objet. Les grands-parents ont fait appel, et le dossier sera examiné demain devant la cour de Versailles. «Le contact ne passe pas entre Mireille Millet et la juge des enfants, qui fait tout pour que Sébastien aille chez son père», affirme Me Dollé. [...] Lors des visites de ses grands-parents, Sébastien s'arrange pour leur remettre des lettres : «Mémé, j'en ai marre. Chaque jour qui passe me sépare de ma vraie vie (sic)», a-t-il griffonné en août au dos d'un emballage de cadeau, entre deux mots d'amour. «Il est tout maigre, il ne grandit plus. Il a 14 ans et il pèse 30 kilos. Voilà l'état dans lequel ils me l'ont mis», soupire Mireille Millet en montrant les photos d'un adolescent efflanqué.
Portrait
Môme pas peur
par Stéphanie Binet, publié le 23 novembre 2007, Libé, extrait
Après le décès de son beau-père, sa mère déménage régulièrement, et Keny [NDLR: Keny Arkana] fait ses premières fugues à 9 ans. Au début, un après-midi, puis deux, trois jours : «Je me revois dans des cages d'escalier en train de me faire mon petit nid douillet, à trouver des trucs dehors pour faire ma chambre. Et puis finalement, une fois que la colère s'était estompée, je rentrais chez moi, vers ma mère. Ce n'était pas à cause d'elle que je partais.» A cause de quoi, alors ? Elle refuse de le dire. A 11 ans, un juge pour enfants décide de la placer en foyer.«C'est là que j'ai compris l'hypocrisie du système. On te parle de droits de l'homme alors qu'on ne respecte pas les droits de l'enfance. Ils nous disaient : Tu ne prends pas tes gouttes, tu as une piqûre dans le cul. Forcément, c'est plus facile de surveiller trente légumes que trente agités.» A l'école, elle n'aime que les maths, «bien carrées», mais se fait virer régulièrement à force de sortir des cours intempestivement. A 12 ans, elle est déscolarisée. A 15, les foyers, là où elle a commencé à rapper pour «les copains», ne déclarent plus ses fugues. Elle vit dans la rue, fait des «restos baskets» [part sans payer, ndlr], se sert dans les invendus au marché, vole ses vêtements : «Au bout de deux jours, je les donnais. Il manquerait plus que j'ai à me trimballer une valise.»
Une lettre de l'enfant, Sébastien, et Minou, c'était un énorme chat.
« Il ne faut pas aller contre la justice et l'OSE »... la justice ?
Keny Arkana - Eh connard • 14 juil. 2007
« Le placement de la mineure ... mis à mal par le harcèlement dont M. X... a accablé la MECS du Château de Vaucelles » ? L'OSE France me repprochait quoi, là ? D'avoir parfois porté plainte ou déposé des mains courantes en raison de violences ou de violences en réunion dans leur établissement de Taverny ? En décembre 2004, mon ainée m'a appelé en larmes, j'ai ensuite téléphoné au 119, elle avait décrit un passage à tabac, fallait pas réagir ainsi ? C'est la raison de la teneur de la lettre de janvier 2005 de la Direction, puis de ces très petites phrases et tournures dans les arrêts ainsi que dans « l'expertise » de Claire Davidson ? Rompre les liens père-enfant, alors qu'au cours de débats, début 2005, la cour d'appel avait elle-même un instant envisagé d'extraire ma fille de Taverny du fait des mauvais traitements qu'elle y subissait ? Faire inscrire mon ainée au fichier des mineurs disparus lorsque la Direction organisait des sorties clandestines, c’était intolérable ? Si tel avait été le cas, je suppose que la police et la gendarmerie nationale n’auraient jamais enregistré ni réagit à ces signalements là ? On peut « signaler » les parents, mais pas les travailleurs sociaux ?
Le lavage de cerveau en Chine au début des années cinquante
(Source : BULLES du 4ème trimestre 1993) / prevensecte, extraits...
10. La dénonciation du père, acte ultime de la réforme de la pensée. La seconde exigence était bien plus difficile. Il s'agissait de dénoncer son père, tant comme individu que comme représentant de l'ancien régime. C'était l'acte ultime, symbolique, de la réforme de pensée des jeunes Chinois, et pour beaucoup, c'était extrêmement douloureux. Un cadre avait remarqué que Hu s'abstenait le plus possible de critiquer son père, et s'était mis à le harceler sur ce sujet en toute occasion. [...] Hu a finalement trouvé un moyen d'accuser son père sans dire trop de mal de lui, et sa confession a été acceptée. [...] Chacun inscrivait ensuite sur une carte ses voeux concernant sa future affectation professionnelle. La décision était prise par les autorités. Théoriquement, on avait le droit de refuser, mais très peu le faisaient, car c'était un très mauvais point - d'ailleurs, qu'auraient-ils pu faire d'autre ?
En 2013, lisant un Républicain Lorrain, un portrait, j'apprennais par voie de presse qu'elle vivait, qu'elle était d'un petit village, non plus de chez moi ou ce cette région. Ce petit village à 15 minutes de chez sa tata Carole ? Excellent ! Puis en 2014, donc, elle m'a assignée, a réclamé la ponsion alimentaire. « Un droit absolu ! » J'ai été rude avec deux avocats de Metz, on ne parlait pas la même langue, j'imagine, mes écritures étaient pour eux illisibles... « Je vous suggère une fois encore de relire, de mieux lire mes observations et pièces qui vous sont parvenues... » Une expérience intéressante, avec des renvois, ce qui m’a permis de sonder le JAF aux audiences, de comprendre ce qu’il voulait et ce qu’il ne recevrait pas. Une affaire de famille encore, mais avec des écrits à s'échanger, assignation, observations, piques et répliques, etc. Cependant, curieusement les familles et des enfants défilaient dans la salle, les débats étaient publics, pour des ponsions réclamées à des pères indignes, une liste des noms étant placardée sur la salle d'audience. Saloperies de pères.
Mars 2013, paraissait ce portrait, et quel portrait ! Le 8, j’étais donc sur Beaubourg, puis reçu par Christophe Girard, ensuite on m’enfermait en psychiatrie, pour que je me taise. Ce 7 mars 2013, mon ainée était pour sa part reçue au Sénat, avec d’autres Meilleurs Apprentis de France. J’en avais un jour discuté avec un éducateur. « Mais c’est formidable ! » Je n’ai jamais douté des capacités de cette enfant. Je dis juste quelle a été « orientée ». Ce passage au Sénat, avec la Ddass au balcon, en train d’applaudir, de s'applaudir… de la comm’ politique, pour valoriser, promouvoir les filières professionnalisantes. Mon ainée avait fini par décrocher un BEP, tardivement, en 2015. L'éducateur a baissé les yeux.
Passé mai 2008, discuter avec des journalistes, c’était juste y perdre du temps. Quoi que je leurs racontais. En 2013, l’article du Parisien était limite, tandis que « une source policière » avec l’AFP m’avaient fait passer pour l’un de ces pères pas contents qui réclamaient la garde. Ces « pères grues » avaient eux-même récupéré mon action, sans même me contacter, ils se l’étaient appropriée comme s’ils l’avaient organisée, pour communiquer. « Bon et bien c'est officiel, mon ex est fou. et probablement interné depuis vendredi… » ai-je plus tard découvert sur Internet. En 2014, déambulant dans les rues de Metz, alors que j’y étais convié par le JAF, j’en avais profité pour pousser la porte d’un grand quotidien régional. Après avoir discuté avec l'agence, un journaliste ou deux, j’ai été mis en relation avec l’un de leurs grands reporters. « C’est de la diffamation, revenez nous voir avec la décision du JAF. » Le JAF a jugé, je n’ai plus jamais rappelé ce journal.
Par le passé, en 2006, pour prévenir, essayer de prévenir, j’avais de tels éléments en main à la cour d’appel de Versailles, du Josefsberg, des lettres, déjà du papier de la machine à s'écrire, Bulles n°40... saisissant alors déjà la MIVILUDES. Avec également en main, Bourreaux et victimes, de Françoise Sironi. Pour ce billet, ça suffira. Puis j'apprenais que Claire Davidson est experte en cadre, « une histoire de respect », selon Dialogue numéro 165, chez Eres, 2004, rubrique « Les sciences humaines et les pratiques qui s'en inspirent » ; L'autorité parentale et les mutations de l'ordre familial. J'aurai souhaité que mes enfants et ma famille soient protégées de toutes ces « interférences », mais ça n'a donc pas été possible. En mai 2008, à l’audience, un substitut de Nanterre m’avait dit que : « la diffamation, pour le moment, ça va. »
Je crois que ça allait, en 2006 comme en 2008. J'avais même diverses versions et proses de Richard Josefsberg ou de ce « praticien » entre mes mains. Des versions ou des éditions de Internat et séparations, je crois en avoir repéré plusieures, ces années passées. Dont une de 2013, je crois, un PDF, parue chez Eres (ISBN 978-2-7492-2104-5, première édition aux Éditions Erès, 1997). Qu’est ce que ce « professionnel » a fait de mon ainée, il l’a utilisée pour finir de développer ou valider ses théories ? « L'une des attributions les plus fondamentales et les plus controversées de l'internat est d'organiser la séparation. Comment les professionnels de l'enfance peuvent-ils utiliser la séparation comme outil éducatif ? » Mais la grande interrogation ou mystère, en lisant ce théoricien, porte sur sa pratique, sur la pratique, en utilisant l’internat, comment peut-on faire pour « organiser une séparation », pour y aboutir ? Dans ses livres et ouvrages, il n'en dit rien. Le niveau des gens « neutres », irréprochables, selon les juges, qui eux même vous traitent comme des canards. D'après des bruits qui courent, Didier Raoult aurait mené une expérimentation sauvage contre la tuberculose sur des humains, dont un mineur, ça va scandaliser... Sur France 3, daté de ce 22 octobre, on apprend que « Les informations de Mediapart viennent... s'ajouter à des révélations publiées pendant l'été par l'Express selon lequel de nombreuses études menées à l'IHU s'affranchissaient depuis des années des règles encadrant les expériences impliquant des êtres humains. » Tout va bien, dans le meilleur des mondes, tant que nous n'en discutons pas trop. Rien que cela pourrait être un sujet tabou :
« Ayant décidé d'effectuer ma recherche sur mon lieu de travail, il me paraît nécessaire de m'arrêter quelques instants sur le risque encouru par le chercheur praticien qui travaille sur sa pratique et dans l'institution - l'OSE France - dont il est salarié. Concernant la présente recherche, je n'ai été l'objet d'aucune censure et je n'ai pas tenté de valider mon travail professionnel à tous prix [...]. »
Internat et séparation
Intervenir auprès des enfants et des adolescents
ENSP, 2000, collection « ETSUP savoirs professionnels »
Richard Josefsberg
Respecter le cadre, tel que voulu par les ours et les tantes maternelles, un cadre imaginé par Claire Davidson, experte ? D'accord. Un univers fantasque, absurde et désolant, où mon ainée allait être immergée à nouveau, fin 2009. Cet arrêt du 1er avril 2011 par Versailles est une farce. Pourquoi recontacter le service AEMO ? Pour qu’il parasite ou « interfère » plus ? En leur point rencontre, de ces mouroirs, de ces étouffoirs de relations parents-enfants ? « Elle a perdu sa mère, et chez son père, c’est impossible, on l’a bien vu, elle ne veut plus revenir ! » Dès que je l’avais reçue chez moi, l’été 2009, je l’emmenais chez un toubib, pour un second problème de santé chronique et différent des vertiges, des douleurs vives… Pour la santé, « il n'y avait pas d'inquiétude à avoir ». D’accord. J’avais bien essayé de prévenir, d’alerter, mais ceci n’avait donc pas fonctionné non plus. Une « attention régulière y était portée », ok. L’ARSEA avait recruté Sara Choukron, la communiquante ou référent familial de l’OSE France ? L’ARSEA « faisait le point sur l'orientation », oui, j’ai vu, fleuriste un temps, puis l’armée. « Orientée », fini la 1ère. Elle attendait une « réponse affective » en juin 2010 ? En 2010, à la cour d’appel de Versailles, le pasteur expliquait qu’après l’été 2009, il avait vite résilié ou changé le 06 de mon ainée.
Ces problèmes chroniques de santé, puis cette orientation, en CAP fleuriste, puis à l’armé, puis un BEP, tardivement, en 2015, j’ai un peu du mal à comprendre. Je sais bien que Thomas Resch de l’ARSEA a écrit un beau papier éthique sur l’orientation appropriée des jeunes filles inadaptées ou en échec, ainsi que même sur la médiation, sûrement très éthique aussi, avec les familles... « Orientée », pourtant en 2005, chez l’ours, à Nanterre, les époux Clementz assuraient qu’ils feraient tout pour leur nièce, avançant même que tonton Pascal est le parrain, religieux, dont le rôle est de se substituer quand les parents ont disparus ou sont incapables. Pascal est médecin généraliste, il n’a jamais bien entendu ni rien perçu non plus des problèmes de santé de mon ainée ? Elle n’était pas deux jours chez nous, l’été 2009, qu'assez vite, elle se plaignait de douleurs… Pourquoi mon ainée a ainsi fait fleuriste, et pas théâtre ? Passé l'été 2009, la gamine était curieusement persuadée qu'à Paris, elle ne pourrait pas faire d'études... Elle aurait eu parfois besoin d’être un peu motivée, rassurée, voire d’un peu de soutien scolaire pour poursuivre ses études ? Autre chose que des cours d’éducation religieuse, où elle était brillante. La fille aux Clementz semblait avoir eu une chance un peu différente, la mienne déscolarisée, ou « orientée », en filière très longue, professionnalisante, tandis que la leur allait intégrer une école privée de Strasbourg, à 8 000€ l’année... Un chiffre et différence de « traitement » que j'avais appris tout à fait par hasard, en juillet 2018, via Facebook ; l'une écrasée par la Ddass, son père pourrit par les prétoires, l'autre élevée, le tout, sans compter. En même temps, si mon ainée avait fait des études supérieures, elle ne se serait probablement jamais installée dans un trou perdu, à côté de chez tata Carole, la marraine. Sinon, tout simplement, et pour ne pas trop abuser, les professionnels de la Ddass, ceux de l’ARSEA, se sont imposés pour faire ce qu’ils ont pour habitude de faire, orienter mais éthiquement les enfants, et les époux Clementz n’auront pas trouvé la voie pour le signaler, ni à Nanterre, ni à la cour d’appel.
Carla, sa « comme sa soeur » dans cet univers fantasque, est froide, depuis un moment. D'autres aussi sont froids, et davantage. J'attends toujours de pouvoir causer avec des adultes, comme je le disais déjà lors d'une audience de 2010... En tous cas, j'avais trouvé curieux de retirer mon ainée de chez nous, en région Parisienne, où elle était même née, pour la remettre au monde à Uhrwiller, un village, où elle allait trouver une autre soeur pour s'épanouir avec la paroisse et le pasteur. Mais moi, et les psy-lacanistes de l'OSE, on se comprennait pas trop, eux, ils savaient tout telllement mieux...
"L’étymologie latine - de la séparation - propose deux hypothèses : une qui signifierait disposer, placer, préparer, l’autre désignerait le fait de produire, d’inventer, de créer et mettre au monde."
"Ces deux théories sont retenues par J.Lacan qui joue sur l’équivoque « autorisée par les latinistes » dit-il entre « se séparer » et « s’engendrer ». Se séparer c’est donc pouvoir donner naissance à."
Extraits de "Internat et séparations"
Richard Josefsberg
Cahier de l'Actif n°306/307
Le projet d’établissement, un cadre de formalisation de la prise en charge en Institut de Rééducation
Thomas RESCH - Mémoire de l’École Nationale de la Santé Publique – 2003
De source documentation.ehesp.fr/memoires/2003, extraits…
Le sujet de ce mémoire aborde au moyen d’un travail relatif au projet d’établissement, une problématique qui a trait à la cohérence et à la formalisation de l’action sociale en faveur des enfants et adolescents en échec scolaire, dont les symptômes repérés rendent nécessaires un recours à une éducation spécialisée, mise en œuvre dans un cadre mobilisant moyens éducatifs et thérapeutiques.
[…] Dans une seconde partie, centrée sur la démarche de projet elle même, j’examinerai dans un premier temps, les contraintes spécifiques d’une méthodologie de projet, puis j’explorerai dans un second temps, les voies possibles d’une déclinaison éthique des droits de la personne tels qu’ils sont garantis par la loi du 2 janvier 2002…
[…] La troisième partie du mémoire me permettra d’aborder sous l’angle d’une éthique de communication, la question clé de l’actualité et de la pertinence de démarche globale de prise en compte des familles, en imaginant une expérimentation de pratiques de médiation. J’aborderai également pour conclure les questions des projets transversaux, de la réintégration scolaire, du partenariat et des évolutions possibles en terme de prise en charge.
La séparation en internat de l'OSE, ou par les Josefsberg, « disposer, placer, préparer, produire, inventer, créer et mettre au monde »… Et rien du tout du passé de ma famille, de mes enfants, de ma compagne, de nos amis et proches, de moi-même, de ce que nous avions pu vivre ou percevoir, ni de ce que j’exprimais dans les tribunaux de 2003 à 2011 n’avait existé ou ne pouvait être crédible… D’anciennes de mes notes et lectures, vu en préface d’un travail de Joseph de La Martinière, sur les N.N., et une procédure d’exception aussi : Selon Germaine Tillion, la « mystérieuse » catégorie des prisonniers N.N. « savaient qu'ils ne devaient recevoir ni lettre ni colis ». Elle ajoutait que parmi les N.N., certains détenus avaient des dossiers « très lourds » et d'autres « des accusations mineures ». Elle affirmait que « dans la sélection des N.N. le choix était incohérent. » Comme elle l'écrivait pour cet avant-propos, cet ouvrage est très éclairant, il complète par divers aspects Le système totalitaire, d'Hannah Arendt : « En vérité, en ce qui concerne la veuve française, son mari était censé avoir cessé de vivre au moment de son arrestation ; ou plutôt, il avait cessé d'avoir vécu. » Tout supprimer, ici...
La prose et le travail des Josefsberg qui cachaient bien tout de leurs pratiques sauvages semblent avoir inspiré du monde :
Au cours de l’histoire, les missions affichées des différentes institutions séparatrices ont évoluées au fil du temps, avec en premier lieu la fonction d’une suppléance familiale, mais avec des références diverses, qu’elles soient religieuses, politiques philosophiques, médicales, sécuritaires....
D’ailleurs, il est intéressant de voir le vocabulaire utilisé: séparer pour faire vivre, pour survivre, dresser, redresser, élever, convertir, contrôler, éduquer, rééduquer, punir, soigner, sauver, protéger, transformer afin de former, quelquefois de fabriquer des hommes intégrés non seulement au monde environnant, mais aussi au monde souhaité par les acteurs de l’institution.
En tout cas, il existe toujours une idéologie sous-jacente(2).Les internats d’excellence, enjeux et spécificités Lyon, 23 et 24mai 2011
Internat et processus de séparation
Communication – Dr Thierry ROCHET - 24 mai
Extrait et note de bas de page de source http://ife.ens-lyon.fr, à l'Institut Français de l'Education... 2) Richard Josefsberg, « De la stigmatisation à l’innovation : quel avenir pour l’internat ? » Les Cahiers de l'Actif - N°306/307
« La langue ne ment pas », nous disait Victor Klemperer. LTI... Lingua Tertii Imperii, est-ce le moment de reparler cela ?
Dans ce que je raconte doit y avoir de tout, pour faire attraper des boutons à tout le monde. Mais curieusement, ça laisse comme depuis toujours indifférent. En 2014, paraissait un cahier, je dois l’avoir quelque part, à moins qu'au format PDF. Sinon, il devrait encore être en tête de gondole, dans tout bon IRTS. Les cahiers de l'EFPP n° 20... Ethique et travail social, d’une école de formation psycho pédagogique, avec au CA, Richard Joserfsberg, Directeur de MECS, de l’OSE. Leur monde est petit, pourrait-on parfois penser. Discuter d'éthique et même de bientraitance était un moment très en vue :
Qui était de source efpp.info
Dans le rapport de juin 2010, il figurait aussi que ma fille attendait une réponse autre que « uniquement judiciaire et procédurière » ? Pour juin 2010, le juge pour enfant avait convoqué, pas moi, ni d’ailleurs à mon initiative. Je ne m'étais même pas rendu à cette audience ; si l'ARSEA s'était donnée la peine de m'écrire ou de me téléphoner, j'aurais pu leurs faire savoir. Personne à l’ARSEA n’avait pu expliquer cela à ma fille, que le juge avait convoqué, pas moi ? Par le passé, j’avais acheté un bouquin de droit, sur l’assistance éducative, d’occasion. Guide de la protection judiciaire de l'enfant - Cadre juridique. Une vrai affaire, il m’est arrivé tout à fait neuf, jamais feuilleté, avec un tampon d’un IRTS dessus.
En mars 2011, la Cour était pâle. Développant, je demandais juste un constat d'échec. Puis rien d’autre. De toute façon, à chaque fois, mes demandes, là-bas, ne me permettaient toujours que d’obtenir simplement du papier en plus, des confirmations ou des rejets, en tous les cas, des vacheries sur le papier. Particulièrement pâle, embarrassée, grimaçante, lorsque j'exposais vite fait - on a jamais qu'environ 5 à 10 minutes, là bas - quels étaient les problèmes de santé chroniques de ma fille ainée. Ok, « il n'y avait pas d'inquiétude à avoir ». A l'oral, le parquet avait ensuite lui même conclu à un échec. Deux problèmes de santé chroniques ignorés ? Je ne suis pas surpris par la déscolarisation. « Si vous saviez c'qu'elle avait comme père et dont on a essayé de la sauver ! Mais on peut pas parler, c'est secret professionnel ! » Si tout est si secret, il va falloir anonymiser mieux mon nom et même des ours dans les #opendata #freebar de justice.gouv
Cour d'appel de Versailles, 1 avril 2011, 11/00005
Arrêt du
01 AVRIL 2011
Les débats ont eu lieu en Chambre du Conseil le 04 Mars 2011 devant :
- Présidente : Madame GERAUD-CHARVET
- Conseillers : Madame MAUGENDRE,
Madame DEMARTEL
En présence de Monsieur AUFERIL, Substitut Général, assistés de Madame BABILLON Dania, greffier,
...
SAISINE :
Par déclaration au greffe de Monsieur Bruno Y..., le 11 janvier 2011, après arrêt rendu le 20 octobre 2010 par la Cour de Cassation, cassant l'arrêt de la Cour d'Appel du 22 mai 2009, qui a statué sur l'appel d'un jugement rendu le 30 juin 2008 par Monsieur SERRIER, Juge des Enfants du Tribunal pour Enfants de NANTERRE, dont le dispositif suit :
...
Toutefois après les vacances d'été 2009 passées chez son père, J. refusait de se rendre chez lui ; de son côté M. KANT ne reprenait pas contact avec le service d'AEMO ce qui ne permettait pas de mener un travail éducatif de nature à favoriser l'évolution des relations père/fille.
Dans son rapport du 8 juin 2010 (dernier rapport figurant au dossier ), le service d' AEMO :
-répondait aux interrogations de M. Y... sur l' état de santé de sa fille en affirmant qu'une attention régulière y était portée et qu'il n'y avait pas d'inquiétude à avoir ;
- faisait le point sur l'orientation scolaire de J. en 1ère ; .
- indiquait que J. ne souhaitait pas revoir son père disant attendre de lui une réponse affective et non uniquement judiciaire et procédurière ;
- rappelait que M. Y... ne contactait pas le service ;
...
DEVANT LA COUR :
M. Bruno Y... se présente, sans avocat ; il dépose des conclusions. En substance il indique que depuis la fin de l' été 2009 il ne fait plus appel de la mesure de placement de sa fille J. Il remet en cause plus en amont le travail de séparation mené par l'institution l'OSE. Il demande par ailleurs que soit dressé un constat d'échec de la mesure d'action éducative en milieu ouvert qui était censée faciliter les relations père/fille ce qui n'a pas été le cas. Il souligne aussi que J. voulait faire une filière littéraire puis faire du théâtre alors qu' elle a été orientée vers un CAP de fleuriste ; il remarque que malgré ses avertissements, personne ne prend en compte les problèmes de santé de sa fille (vertiges) ; il estime qu'il conviendrait à tout le moins de désigner d'autres professionnels de l' action éducative, tout en admettant que c'est difficilement envisageable compte tenu de l' approche de la majorité de J. (3 septembre 2011). Il ne formule aucune demande.
...
DIT cet appel devenu sans objet ;
« On ne lit pas sur place, juste ce qui est à emporter »
« Ne lisez pas Serge Paugam, La disqualification sociale, soyez analytique », m’avait un jour répondu un travailleur social, dans un forum. Ou sinon, être psychanalytique, lire du Claire Davidson, ce serait acceptable ? On arrive dans le champ de la maltraitance psychologique alors, du sectaire ainsi que de la torture, où l’on impute toutes les responsabilités à la « rigidité absolue » et au « psychisme » du père, à la nature de la relation père enfant, qui « dans certaines circonstances et sous certaines conditions » (sans préciser lesquelles) peut représenter un grave danger pour le « psychisme de sa fille »... J’ai eu le malheur d’être resté trop proche de mon ainée, j’aimais ma fille, comme le publiait Maxi en mars 2008, ce qui était réciproque, et nous restions même également très proches dans un moment difficile, son placement dans un cloaque de la Ddass. « Cloaque, c'est méchant ! » Pour plus policé et romancé, lire Sa majesté les mouches, de William Golding, on comprend mieux ce qu'était la période Taverny, en foyer de l'OSE france. Un cloaque, déstructuré par la violence, une ile aux enfants sans les parents, sans Casimir non plus, une ile comme dans le roman de William Golding. Et en cas de « difficultés », comme l’écrivait Donzelot en 1977, seul le « spécialiste » pouvait écrire et être bien reçu par les ours, dont pour faire changer à sa guise l’enfant d’un statut ou d’un lieu d’accueil à un autre… J’avais même commis l’ignominie de dénoncer des ordures, dont un « professionnel » de la rééducation en internat, par les coups et des privations d’examens et de soins, « professionnel » aussi de la séparation par les juges, à l’aide de rapports et de lettres, d’allégations diffamatoires, calomnieuses… Pour Richard Josefsberg, pour tous les juges, ainsi que pour Claire Davidson, tout était limpide, ma fille se mettait en difficultés à Taverny pour que je puisse ensuite cracher sur des travailleurs sociaux, ces nuisibles, ces parasites, inacceptable, il fallait que ça ait un terme ! Mon ainée a disparue. Mais j'ai pu faire appel...
Je suis désolé, malgré ma psychothérapie, par le passé, d'abord pour me rétablir en quelques semaines, comme on le fait chez les civilisés, puis pour une écoute, du soutien sur la durée, pour tout pouvoir endurer, j’ai toujours eu et ai encore une lecture totalement différente des faits, de 1996 à 2005, puis même au delà. Et particulièrement une lecture différente de ce qui nous avait été infligé par les prétendus professionnels de l’OSE France, de la torture, morale, psychologique et même physique, longuement, à Taverny, subie par mon ainée, puis un rapt de mineur, je n’ai pas d’autres mots que torture. Une mère qui avait subit quelque chose de similaire avait fini par se suicider, d'autres parents s'écroulent au bout de quelques semaines ou mois, s'enfoncent, parfois finissent totalement désocialisés ; c'est probablement le but de ce genre de pratiques « professionnelles », rafler l'enfant, écraser les parents, pour avoir enfin la paix, en tous cas, du silence sur toutes les ondes. « Une mère s'est suicidée ? C'est cra cra chez les cas soc. Heureusement, on s'occupait déjà de sa fille. » Marie Vaton, une journaliste qui m'a récemment bloqué sur Twitter n'aimait pas mes questions, j'ai l'impression...
La suite ne sera plus mon problème. Il sera celui de Richard Josefsberg et de l'OSE France ? Ou il sera celui d'autres aussi, de tous ceux qui investiguaient, ou qui prétendaient juger ou agir pour « sauver » mon ainée... voire même ma cadette. Et que surtout, tout se passe en silence, pour que personne ne s'y intéresse jamais. « C'est d'ordre privé, tout à fait secret ! » De A à Z, tout est tordu, vicié, nauséabond dans cette histoire. Et parmi les vérités avérées, martelées, toujours celles d'un même bord, volontiers reconnues et durablement retenues par les juges, celles d'un Richard Josefsberg. En tous cas, je rigole, il fallait en 2003 confier toutes les missions à l'OSE France, puis toujours les croire, jusqu'en 2011. Et se taire, pour faire plaiz à tous, ou pour s'épargner les coups bas en retour. Ha ha, Richard, qui va pouvoir sauver sa médaille : « si, si, voyez, je vous assure, fallait que je les traite comme ça ! » Je suis d'accord, c'est ainsi une présentation surprenante à atterrante, mais mon avocat m'avait un jour bien dit de ne rien cacher, de tout exposer.
« Etre né quelque part... » C'est en 2004, avec le collège, j'imagine, qu'elle allait découvrir, approfondir ce qu'avait été la Shoah. Ou c'était en regardant Le pianiste, de Polanski, au foyer de l'OSE ? Mais selon ce que mon ainée m'avait raconté, en décembre 2004, elle n'avait pas pu voir ce film jusqu'au bout... « partie vomir des cornichons. » C’est vers cette période, l’automne puis l’hiver 2004, que je cessais définitivement de faire confiance au juge pour enfant de Nanterre ainsi même qu’à son parquet. La suite, dont avec des appels, à Versailles, ne m’aura pas donné tort. Tout allait être vain.
Mais amusants, les éducateurs de l’OSE, à chaque fois, je me contenais… « Ca s’est bien passé, chez papa, ce week-end ? » Une fois, j'ai râlé, j'aurais pas dû non plus. « Noël à la maison, c'était bien ? » 2004 avait été le dernier.
Un « problème » après de précédents, fin 2004, à Taverny, au foyer de l'OSE. Allait donc ensuite suivre une lettre de la Direction au juge pour enfant, celle plus bas, suivaient d’autres « problèmes » encore, puis l’avis de Mme Davidson, le tout indiscutable, et mon ainée disparaissait… « dans son intérêt supérieur », à la main des époux Clementz.
puis comme en réponse, allait arriver plus tard la lettre de Richard Josefsberg, plus bas
« La #Mémoire et se souvenir ou visiter Chambon, c'est autrement que ça s'utilise ! »
« Ca s'arrête au périph'. » Charlie hebdo du 20/1/2010 et un livret de famille de Boches délivré par la ville de Paris
« On ne se souvient pas du tout de cela. On a un métier difficile, dont à cause des parents, des cas soc.
On travaille dur, à aider, neutres, on traite, mais on n'écoute ni ne lit jamais rien, on interprête. »
La correspondance a la suite est affligeante de la part d’un postulant ou docteur en sciences de l’éducation, d'un Directeur et expert de la protection de l'enfance, d’un sachant qui avait déjà 20 ans d’expérience avec les enfants et leur accompagnement, ainsi que très certainement une excellente expérience des tribunaux, ceux des ours pour enfants.
A partir de la fin 2004, tandis que ma fille était donc placée dans son établissement, elle s'est mise à se plaindre de vertiges. Elle n'avait alors que 11 ans, faisait à tort un rapport de causalité avec une intoxication alimentaire, au château de Vaucelles, Taverny. « C’est la seule qui aurait depuis des vertiges ! » Après examens par un médecin ORL, ainsi que à partir d'une radiographie, il s'est avéré que ces vertiges étaient liés à une autre cause, physiologique, et probablement liée à sa croissance. Mais c'était soignable, traitable, l'ORL lui avait en tous cas prescrit un traitement.
La radiographie, je me demande encore pour quelle raison précise Richard Josefsberg l’avait faite réaliser. Pour répondre au 119, où j’avais signalé le passage à tabac, fin 2004? Il me l’avait ensuite lui-même remise en mains propres alors que je passais à Taverny, pour les DVH. Puis j'avais contacté le docteur Babin pour mieux comprendre... « Inacceptable ! » Ma fille, manifestement paniquée et en pleurs, fraichement passée à tabac : « puis j’ai vomi, l'éducateur m’a dit que c’était les cornichons. » Ce coup de fil au 119, je n'aurais probablement pas dû le passer. Ca s'est aussi retourné contre nous.
Mais à l'époque, donc, au lieu de faire examiner décemment ma fille, ainsi que de la faire soigner, monsieur Josefsberg, expert en séparations, s'était emparé de ces faits, de mes écrits, de mes signalements, et de la médecine pour me salir auprès du juge pour enfants, comme il avait pris coutume de le faire. On était au XXIe siècle, on estime que le texte originale du serment d’Hypocrate a été rédigé au IVe siècle… « Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. » « Après plusieurs avis auprès de plusieurs médecins... » Jusqu'à du nomadisme médical même, pour se blanchir ; aucun de ces médecins qu'il est allé consulter ne lui avait dit de présenter ma fille à un médecin ORL ? En multipliant ainsi les diffamations et calomnies à mon encontre auprès du juge des enfants, puis même à Versailles, cet « expert » aura contribué à motiver le rapt de ma fille... il en est probablement même l’un des principaux acteurs ou responsables, avec sa femme.
Récupérant ma fille et la radio, ma fille m’expliquant qu’elle avait été examinée mais qu’elle avait pourtant toujours ses vertiges, soupirant, devant accepter encore, j’avais pris après l’initiative de l’accompagner chez un ORL, à Taverny (encore des kilomètres à parcourir…). Puis est arrivé cette lettre, plus bas, de Taverny, de janvier 2005, « copie au juge pour enfant ». Il est certain que cette lettre, quelques lignes parfaites, aura figuré jusqu'au bout au dossier de l'ours. « Les vertiges dont nous n’avons jamais été témoins sont peut-être à rechercher ailleurs » ? Plions, il le faut, soyons alors psychanalytiques, si ma fille parlait de vertiges depuis des semaines, c’était à imputer à la relation père-enfant. Plus tard, j’apprenais que pour pondre son « expertise », Mme Davidson avait reçu les travailleurs sociaux de l’OSE France, très bien reçus ai-je pu constater, avec tous les écrits dont je dispose depuis des années maintenant - « il faut tout rompre, il nous a démasqué, mis à nu, il nous a abattu, Anne, lis bien Claire, on va lui parler, fais quelque chose pour nous encore ! »
« Nous prendrons toujours soin d'elle comme nous le ferions pour nos propres enfants », il fallait y croire. De 2005 et certainement même avant, de 2004 puis jusqu'à 2011, de telles allégations au dossier « d’assistance éducative » de mon ainée, et interdit par les ours d’en débattre, merci beaucoup pour elle, et pour toutes ces bonnes attentions.
(…) Consacré en France par l'ordonnance de Villers-Cotterêts, en août 1539 (...) Le roi affirme sa toute-puissance en aggravant l'arbitraire qui pèse sur l'inculpé. L'instruction du procès, devenue écrite et secrète, se substitue au débat oral et public. Ceci laisse peu de chances aux individus issus de la majorité illettrée de la population, face au juge qui manie l'écriture et connaît seul avec exactitude les charges et le contenu du dossier. En un mot "l'idée mère de l'ancienne procédure criminelle était l'intimidation." L'accusé se retrouve donc face au pouvoir absolu du juge, tout comme chaque sujet subit le pouvoir absolu du roi. • Robert Muchembled, Sorcières, Justice et Société
Les lettres de cachet pour affaires de famille en Franche-Comté au XVIIIe siècle
Thèses de l'Ecole nationale des chartes
Thèse soutenue en 2008, Jeanne-Marie Jandeaux, extrait...
L’arbitraire des ordres du roi tant dénoncé à l’approche de la Révolution est un exutoire commode pour stigmatiser les insuffisances du vieux régime dans son entier. Pourtant s’il est question d’un arbitraire dans la procédure des lettres de cachet de famille, c’est bien plus de celui des pères, des époux, voire de la famille dans son ensemble que de celui du roi qu’il s’agit. Les affaires de famille sont donc un bourbier dans lequel s’enlise l’administration royale en y laissant beaucoup de forces. Mais l’enjeu est de taille : contrôler la famille est un défi que l’État monarchique s’est attelé à relever ; s’il n’en a retiré que peu de profit, il a eu le mérite d’inaugurer une politique sociale en direction des familles que les régimes qui lui succèdent ont soin de continuer.
La protection de l'enfance, elle n'intéresse pas beaucoup les journalistes, ni Macron ?
« Cette distinction vient couronner toute une carrière d’éducateur mise au service de l’OSE depuis 40 ans »
La République des camarades, Robert de Jouvenel, chez Grasset, 1914
Souvent, je publie un billet, puis je le reédite pendant quelques jours.
« On peut pas parler, sauf dans ces huis-clos. Tout est secret, d’ordre privé, pour préserver la vie privée. Rien ne vous regarde, ce sont nos petits secrets professionnels ! » Si tout est si secret, « dans l'intérêt des bénéficiaires », pourquoi c’est placardé dans les couloirs de tribunaux et de cours d’appel ? C'est très secret, donc, mais pour protéger qui ? Si tout est si secret, il faut arrêter de placarder les choses, arrêter aussi la machine à s'écrire, ou éviter d'écrire trop d'âneries.
Renvoi, de février à mars, cette fois là, je crois que c'est Roughol, l'avocate, qui avait eu piscine
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Le travail de séparation en internat de l'OSE France : un sujet tabou
Outreau : Eric Dupond-Moretti tue les Experts comme jadis on tuait les messagers.
1 mai 2012 Par marie-christine gryson | Blog | Marie-Christine Gryson, sur Mediapart, extraits
Trois semaines après la sortie de « La bête noire », j'ai eu l'occasion de feuilleter ce livre d'auto-justification biographique et j'ai lu le passage concernant les Experts d'Outreau, j'en suis restée stupéfaite! [...] La question qui se pose est la suivante : pourquoi un tel acharnement - du jamais vu- à l'endroit des experts d'Outreau ?
Un billet que je vais rédiger en deux temps, pour ne pas faire trop long. Il suivra un complément, sur ce même thème.
Avec ici, en préambule, ce petit clin d'oeil à Eric Dupond-Moretti, d'une époque où il n'était pas encore ministre.
Un sujet tabou. Il m'avait été strictement interdit pendant des années d'en reparler dans les prétoires de Nanterre comme de la cour d'appel de Versailles. Tandis qu'à chaque fois, j'allais m'y faire salir à outrance et que tous les autres ressortaient de ces mêmes audiences grandis, réconfortés face à mes critiques, resplendissants, flattés pour leur professionnalisme ou pour leur bienveillance... C'était nettement moins vrai de la fin 2008 à la mi 2009. Mais ce sujet particulier, du travail en internat de l'OSE France, allait rester tabou. Ne pouvait-on et ne pourrait-on plus discuter du fonctionnement de nos services publics ? L'OSE France et dans le cadre de ses habilitations avait bien eu de telles missions, d'investigations... puis d'orientation, de séparation. Leur travail, leurs pratiques sont-elles des sujets tabous ?
Est-il utile de présenter l'OSE ou l'Oeuvre de secours aux Enfants, cette association qui oeuvre historiquement en faveur de populations juives défavorisées ? Elle a ses origines dans la Russie de 1912. Elle a hérité de la réputation de Justes. C'est une association qui cultive également la Mémoire, celle de la Shoah. Par le passé, sauver des gens, sauver ou cacher des enfants pouvait parfois être aisé ; les administrations d'alors n'étaient pas aussi efficaces que de nos jours... il était possible de tricher pour parvenir à toutes fins. Qu'est-ce que ça a pu inspirer, ces périodes affreuses. Revoir l'affaire Finaly, par exemple, qui s'était déroulée en France de 1945 à 1953, divisant le pays ; l'Eglise et Mme Brun, de beaux rôles !
16 juil. 2012 #INA #Histoire Affaire Finaly
En 2009, après ces vacances d'été, j'imaginais que nos « difficultés d'ordre privé » relevaient enfin du passé. Mais non, et comme après la guerre, comme entre 1945 et 1953, l'histoire du « sauvetage » de mon ainée allait finir de s'éteindre à la cour de cassation et à Versailles. Et à peu près comme les frères Finaly, passé l'été 2009, mon ainée allait un temps rester « cachée » encore, être scolarisée en internat, en Alsace, etc... Lorsque les « professionnels » et des « tiers dignes de confiance » s'obstinent malgré toutes sortes d'objections et exposés sur des années déjà, on ne peut plus faire grand chose de plus que de suivre, de lire, de constater encore et encore. « L'affaire » ou ce pan de l'histoire s'était ensuite terminée vers 2015 : en 2014, mon ainée avait fait saisir un JAF avec un avocat de Metz, réclamé une pension alimentaire.
Douze à treize ans d'emmerdes, seize ans avec des gens dits de robes dans les parages si je compte depuis la disparition subite de sa mère. « Faites des enfants, au besoin, on vous accompagne, avec toutes les garanties que nous pourrons vous offrir ! » Aucune, pour personne, en fait. Ces accompagnements, juste des promesses, du vent.
Internat et Séparations, par Richard Josefsberg, il en existe différentes versions. Manifestement après des travaux de reécriture, ou pour parfois plus courts et synthétique, comme pour les Cahiers de l'Actif, N°306/307, novembre/décembre 2001. Cette introduction d'un PDF trouvé sur Internet devrait être d'une édition PDF de 2013, parue chez Eres (ISBN 978-2-7492-2104-5, première édition aux Éditions Erès, 1997). Des reécritures, peut-être pour l'avancer dans sa carrière. Je suppose que c'est Richard Josefsberg qui nous parle le mieux de sa personne, de ses travaux, de ce qu'étaient ses ambitions. J'ai pas tout relu ; dans une version, il écrivait que « certaines séparations sont plus agitatrices que d'autres » :
Tous ces agissements et ces décisions prises par le passé l'ont été dans l'intérêt de mon ainée, on doit y croire
Pour ma part, et vu ce dont je dispose, je crois qu'en 2005, ce n'était pas mon ainée qu'il fallait sauver de mon « psychisme ». J'avais alors fini durablement écarté, discrédité par les juges, puis ensuite discrédité par des juges, jusqu'en 2011. Beaucoup avec des rapports ou avis des travailleurs sociaux de l'OSE France. S’étaient ensuite ajoutées les « expertises » de Mme Davidson, puis celle de Magalie Bodon-Bruzel... J'ai pas trouvé d'autres explications : après ce qu'il s'était déjà passé et tramé, vu mes discours d'alors, entre 2003 et 2005, il fallait à tous prix et même au prix d'une enfant, préserver la réputation de l'OSE, et ne surtout pas nuire aux ambitions de Richard Josefsberg, à ses projets d'évolution de carrière. Pour ceux-ci, les travailleurs sociaux de l'OSE, répliquer a été aisée : des avis et des rapports envoyés à l'ours des enfants de Nanterre, ainsi que quelques échanges aussi avec Mme Davidson, dont j'avais pu lire « l'expertise ». En même temps, moi, écarté, ça arrangeait pas mal de monde, dont les tantes maternelles de mon ainée.
Puis en mai 2019, consterné, je constatais que Richard Josefsberg s’était vu remettre une médaille, de l’Ordre National du Mérite. Quelle belle ascension en tous cas, après son doctorat en sciences de l’éducation décroché vers 2004 !
Ca les arrange, sinon, les juges, ce qu’il s’était passé fin 2003 ; ces ours me le reprocheront éternellement. Nanterre prenait alors la décision de placer mon ainée. Après quoi, fallait motiver, proroger, trouver les mots, nécessairement motiver... puis tant qu'à faire, avec des omissions, des approximations, puis un faux en écriture publique ! Pendant une période, 2003 à 2004, j’imaginais que les choses allaient ainsi pouvoir se décanter quand même, que les juges allait un jour ouvrir les yeux. Puis qu'avec mon ainée à Taverny, un lieu neutre, s'il l'avait été, après poursuites d’investigations, d’expertises, suivraient des débats finalement sereins devant un juge, comme vers 2009. J’étais encore naïf, début 2004. Après des mois, près d'un an de pressions par des travailleurs sociaux, pour que j’abandonne mon ainée à ses tantes maternelles, elle avait fini placée. Je crois que de toute façon, elle aurait été placée, puis offerte à ses tantes. Fin 2003 n’était qu’un prétexte, les juges auraient sinon motivé autrement, tel qu’avec des palabres de psychologues de l’OSE France ou de ses travailleurs sociaux. « Un métier très dur ! » Je ne leurs confierais même plus ni un rat ni une crevette.
« Un signalement ? Plus d’un signalement ? On ne réfléchit plus, on place, on déplace. » En février 2013, à l’occasion d’un colloque de l'Afar, sous la direction du Dr Jean Chambry, un chef de pôle, j’avais pu discuter avec le docteur Spéranza. Ce docteur était au CHU du Kremlin-Bicètre, vers 2003, et avait fait un signalement concernant mon ainée. Ma fille s’était retrouvé dans son service, nous y avions demandé de l’aide, c’était une erreur, j’ai été naïf, crédule, je m'imaginais alors au XXIe siècle, avec des services publics en qui l'on pouvait faire confiance. En 2013, il m’avait alors assuré qu’il ne faisait plus de signalements pour la situation que je lui rappelais... à moins que Spéranza n’avait alors que cherché à couper court. Ce que je lui avais exposé, début 2013 et peu avant que je ne sois enfermé à Paul Giraud, pouvait l’avoir embarrassé. Début 2003 le docteur Spéranza m'expliquait que je n'allais plus avoir le choix, que des professionnels étaient saisis de la situation de mon ainée. D’accord, donc, et naïvement encore, j'imaginais qu'il allait être malgré tout possible de discuter…
Ces années passées, avec les travailleurs sociaux de l'ASE (92), de l'OSE France, puis de l'ARSEA Alsace, ainsi que avec les tantes maternelles de mon ainée, les juges de Nanterre et de Versailles n'ont pas que plagié l'affaire Finaly. L'une des tata de mon ainée, Carole, est elle-même assistante sociale de la Ddass ou de l'ASE, en Moselle ; comment maltraiter les enfants, elle connaissait, l'expérience de « signalements », elle l'avait également... Ils ont aussi plagié l'affaire Kutzner contre Allemagne, une histoire avec rien qu'une seule travailleuse sociale hostile à la famille. La CEDH, j'y avais longuement songé ; ces années passées, y réfléchissant également, j'étais allé au bout de toutes les démarches, épuisant les voies de recours internes, ainsi qu'en ayant démontré qu'elles n'avaient jamais pu fonctionner ; comme ce que je racontais avait laissé indifférent déjà ou encore, j'avais fini par renoncer à un tel recours ; mais à quoi bon, la CEDH ? Les histoires des frères Finaly et de la famille Kuzner, ces téléfilms émouvants inspirés de faits réels existent déjà.
A la cour d'appel de Versailles, en 2006, j'avais apporté quelques ouvrages, des supports, pour discuter du travail de l'OSE France, et très particulièrement du travail de Richard Josefsberg, en internat et en ses lettres et rapports. Dans ses beaux ouvrages, à partager avec d'autres éducateurs et experts en science de l'éducation, des ouvrages référencés partout, il reste très théorique, n'explique pas sa méthode, comment il peut aboutir à une séparation, ou comment du haut de son perchoir, juché sur la réputation de l'OSE France ainsi que de Justes, il peut emporter la conviction des ours... La méthode ou pratique à Richard, c'est secret, c'est tabou ? Car vu le temps de paroles qu'on m'accordait à Versailles, même pas 10 à 5 minutes, je n'avais pas pu en parler. D'autre part, à cette époque, je ne disposais pas encore d'autant de détails de ce dossier qui aurait été de « l'assistance éducative ». Il y a certaines informations que je ne finissais par découvrir écrites qu'en 2009, et même jusqu'en 2011, dans des arrêts rendus par la cour d'appel ou encore de cassation, voire même dans un mémoire en défense contre l'un des mes recours, à la cour de cassation. Passé 2005, et comme pourrait l'approuver Céline Parisot, Présidente de l'USM, les juges restaient unis, m'interdisant tous strictement de parler du travail de l'OSE, de la pratique de Richard (les enfants l'appellent Richard). « La concorde en cognant tous fort fait les invincibles. »
Pourquoi j'allais encore parfois écrire au juge ou aller dans un prétoire passé l'été 2009 ? Juste pour en extraire encore du papier, des écritures, par les juges. Les travailleurs sociaux étaient avares, pour obtenir quelques uns de leurs écrits, de courts extraits ou interprétations de leurs rapports, il fallait passer par les prétoires, puis lire les écritures des juges.
Au passage, entre 2009 et 2011, je faisais constater aux juges, ces patelles, que par leurs délicates attentions, soins ou prévenances, des problèmes de santé de mon ainée avaient été durablement ignorés, puis qu'elle finissait déscolarisée, et que la relation père-enfant de mon ainée avait été rompue. J'avais pourtant prévenu, et même fréquemment insisté. « Silence ! », répliquaient les juges, puis aussi des psychiatres, vers 2013, alors que j'avais voulu reparler publiquement de tout ce passé, dont avec des journalistes. On est donc en 2021, j'en reparle encore... c'est une Mémoire qu'il faut balayer ?
Si tout n'est qu'oral et parfois balbutié dans le huis-clos, difficile ou presque d'en dire grand chose... « Vous n'avez aucune preuve de ce que vous dites ! » Ce qui est au dossier, ou caché par le juge pour enfant - il est en droit de cacher des documents tels que des lettres compromettantes, ou une expertise de l'enfant - restant en théorie strictement confidentiel, « dans l'intérêt des mineurs, et de leurs familles », pour « préserver leur vie privée ». Quant aux professionnels, ils expliqueront ou répliqueront toujours et systématiquement qu'ils sont dans l'incapacité de commenter quoi que ce soit en public, car s'agissant « d'assistance éducative », qu'en raison du « secret professionnel », ils sont muselés ; les pauvres, France 2 avait diffusé un petit documentaire pour lequel aucun d'entre eux n'avait pu s'exprimer ! Ainsi jamais ou rarement, on disposera de tout ni de la possibilité de leurs répondre efficacement dans les temps lorsqu'ils font n'importe quoi.
En pratique, c'est cependant comme ça arrange les « professionnels ». J'imagine que par le passé, des téléphones ont souvent sonné. D'autre part, en juin 2008, le juge Xavier Serrier n'avait donc pas hésité à rendre un jugement puis de l'utiliser plus tard contre moi, pour sa défense, à la cour de cassation, dans le cadre de la procédure de prise à partie.
En 2006, à la cour d'appel, Richard Josesfberg, Directeur de la MECS de l'OSE, un lieu pourtant « neutre », selon les juges, était en colère, en rage même contre moi. Sur internet, j'avais déjà développé, détaillé ce que j'avais l'intention d'y présenter aux juges. J'apportais avec moi Internat et séparation, de Josefsberg, une version ou deux, le numéro n°40 de Bulles, par Prevensectes, sur le lavage de cerveau, en Chine, ainsi que Bourreaux et victimes, de Françoise Sironi.
En 2005 déjà, Richard Josesfberg, je crois qu'il était présent, avait très mal supporté ce qu'y avait dit mon ainée ; elle avait raconté comment elle avait été menacée par un jeune majeur, puis ce que les éducateurs avaient décidé. Ce genre de problèmes pourrait être courants dans les foyer de la Ddass, ou une MECS habilitée pour recevoir des enfants de 4 à 18 ans, et même des jeunes majeurs encore en difficultés. En 2006, j'apportais également un document ou deux de l'Inserm qui décrivait ce genre de phénomènes ou violences agies et subies entre jeunes de 14 à 21 ans pris en charge, par la PJJ.
En janvier 2005, Richard Josefberg avait écrit au juge. Puis en avril 2005, Mme Davidson rendait son « expertise » :
De l'arrêt du 22 mai 2009, par la cour d'appel de Versailles,
cassé/annulé par l'arrêt civ. 1, 20 octobre 2010, 09-68.141
Un tribunal curieux, et une cour d’appel pas très différente
C’est ce que j’écrivais dans ma récente lettre au Président de la République : « Le cabinet du juge pour enfant, à Nanterre (92), en charge de cette affaire fonctionnait d'une façon pour le moins curieuse, et l'appel, réputé illusoire lorsque les décisions sont assorties de l'exécution provisoire, ne fonctionnait pas davantage ou mieux, ce que m'a confirmé la cour de cassation… » Attention à ne pas me copier ou me plagier, juste pour ce genre de petites phrases, le retour de bâton pourrait être sévère. Avant cela, lire ou relire quelques lignes du code pénal, au paragraphe des atteintes au respect dû à la justice (Articles 434-24 à 434-26). J’avais pour ma part bien lu et étudié, approfondi ce qu’il était possible et raisonnable de faire, de dire, de produire, en public, ainsi que dans les prétoires. Et je n’ai donc jamais été condamné pour le moindre de mes écrits ou discours, en public, ainsi que jamais même pour des propos ou écritures, souvent des diatribes, des pamphlets acerbes, des critiques virulentes ainsi que très explicites poussées dans des prétoires. Les juges ne pourraient ainsi que difficilement soutenir qu’ils n’étaient pas dument informés de ce qu’il se tramait, de ce qu’ils bricolaient.
« C’est tellement affreux de regarder le destin en face »… Dès début 2005, je savais que l’appel allait être totalement inefficace. Devant la cour, mon ainée s’était alors elle-même plainte, avait décrit des mauvais traitements qu’elle subissait au foyer de l’OSE France, à Taverny, des traitements sus ainsi que tus par les travailleurs sociaux. Ils avaient alors un instant envisagé un changement de lieu d’accueil, mais les juges avaient finalement fermé les yeux. En septembre 2006 paraissait un ouvrage de Gwenola Kerbaol, aux notes de la mission de recherche droit et justice ; je l’avais déjà très bien perçu et ses recherches me confirmaient que l’appel de décisions assorties de l’exécution provisoire était illusoire ; Gwenola Kerbaol ajoutait : « Les voies de recours ne sauraient empêcher l'existence d'un préjudice, ni y remédier. » ; j’avais partagé cette information avec la cour d’appel de Versailles, début 2007. Puis par la suite, ainsi que comme avant 2005, tout allait continuer de se dérouler comme dans les années 42 ou plutôt 60 ; j’étais et restais durablement l’Algérien, les travailleurs sociaux étaient les policiers, et les juges allaient rester exactement les même :
A cette époque, je suivais et étudiais également de façon approfondie tout ce qui se disait de l’affaire dite d’Outreau, ces séismes, ces tempête sur plusieurs saisons, cette plaie très longuement purulente... Je dois avoir des dizaines, sinon des centaines d’articles et de notes à ce sujet, au fond de mon blog, dans mes références, dans mes notes. L’huissier qui espérait un moment être à la maison pour Noël, ha ha, puis ce qui a suivi a été très bien restitué dans le film, « Présumé coupable » ! Depuis 2005, j’ai accumulé ici quantités de notes sur des traitements d’affaires de diverses natures et sur les errements de la justice, ainsi que sur leur traitement par nos médias… Dans cette autre affaire, dite d’Outreau, je ne crois pas que des juges ou des enquêteurs aient produit des faux, je n'en ai pas souvenir. Par contre, il avait été question de torchons produits par des experts psychiatres. « Quand on est pas d'accord on le dit », envoyait en 2006, je crois, Yves Jannier ; mais si jamais personne n’écoute, que peut-on faire ? « Actuellement, lorsqu'un collègue prend une décision, au lieu de le contrôler, les autres magistrats sont solidaires. Une chaîne de solidarité se met en place et le contrôle n'existe plus », nous expliquait Serge Portelli, en 2005. Si les juges s’obstinent, s'acharnent, on fait avec. Ainsi que appel, donc.
L’assistance éducative, c’est spécial, tout est secret, comme à Guantanamo. Les juges ne vous notifient même pas toutes les décisions qu’ils prennent ou rendent. Allez faire appel d’une décision d’un juge et dont vous ne connaissez même pas l’existence… Chez le juge des enfants, tout est tellement secret que avant d’arriver à l’audience, il est impossible de savoir ce qu’il vous est reproché. Même après les audiences, c’est compliqué, c’est limité à quelques attendus ; on ne peut tout simplement jamais savoir ce que le juge ou bourreau pour enfant vous reproche exactement. « Aviez vous un avocat ? » Bien sûr ; en 2005, à Nanterre, à l'audience, il allait plaider, puis le juge pour enfants lui avait très rapidement intimé de se taire ! J’ai été amusé de lire l’arrêt rendu en octobre 2010, par la cour de cassation, beaucoup par ce paragraphe :
On a jamais accès à grand chose, chez le juge pour enfant. On ne découvre ainsi et souvent sinon systématiquement que de façon très tardive ce qui avait été retenu contre vous. On peut évidemment consulter son dossier avant les audiences. On y constate alors à quel point il n'est construit que à charge. Puis arrive le temps de l'audience, où il tombe un rapport inattendu ou de dernière minute, ou il y pleut des allégations que retiendra le juge, pour motiver une prorogation ou une suspension durable de tous droits. Ensuite, on pourrait toujours faire appel, et même aller jusqu'en cassation, espérer...
Moi, j’aurais « harcelé », « accablé la MECS du Château de Vaucelles » ? Ca n’a jamais été débattu, ni à Nanterre, ni à sa cour d’appel, qui de toute façon n’a toujours fait que confirmer. D’où ça sort, alors que ce pourrait être l’un des principaux motifs ou petite phrase ayant motivée le rapt de mon ainée ? Passé 2005, il m’a été régulièrement et systématiquement interdit par les juges de rediscuter de cette période, de 2003 à 2005 (2006 en appel), et du magnifique travail de « sauvetage » accompli par les professionnels de l’OSE France. En rediscuter m’avait donc été durablement interdit par les juges, pendant des années. Récemment, j’ai donc saisi la grande chancellerie de la légion d’honneur, leur organe disciplinaire, et j’attends de découvrir ce qu’ils vont conclure, je leur ai fait parvenir des informations, courtes et claires, qui datent de 2005 à 1999 environ, des éléments dont les juges ou ces bourreaux ne voulaient pas entendre parler…
Les juges s’étaient accrochés à de fausses vérités comme des patelles, ces coquillages autant sourds qu’indécrochables de leur rocher. C’est le sens qu’il faut donner à la citation ou à la phrase de conclusion récente de Céline Parisot, pour le congrès USM Magistrats, les juges, ce sont des mollusques ? « la belle citation de Claude Delavigne « le courage fait les vainqueurs, la concorde les invincibles. » Ne surtout pas parler d’un grand corps malade ni d’ailleurs de corporatisme, ça fâche immédiatement. Rien ne pouvait être contesté ou contré dans le tribunal pour enfant ou à la cour d’appel de Versailles, c'était ainsi, une sorte d'usage, sauf aux alentours de 2008 à 2009 et même 2010, j’y avais alors répondu comme rarement, je crois. Au point donc de faire réapparaitre un moment mon ainée, pour des vacances d’été, en 2009. Et au point également de démontrer que l’étude de notaire de la famille maternelle de mon ainée avait travaillé, du chapeau, tandis que les juges et le parquet me faisaient le reproche de ne pas signer un inventaire de succession qui était incomplet, non conforme… la famille maternelle ou son notaire n’avait pas tout déclaré, rectifié, pas comme il l’aurait fallu.
De temps en temps, des gens se sont souciés ou inquiétés pour ma cadette. Tout va encore bien et tout allait bien pour elle, même si ces ours ou patelles nous sont tombés dessus. Ma petite n’a pas la même mère, pas la même famille maternelle que mon ainée, pas ces mêmes tantes et tontons. Elle n’a jamais été « placée ». Les juges et la famille maternelle de mon ainée ne se sont toujours obstinés que pour nous arracher la grande, pour la « sauver »… un rapt.
Sur twitter, Lyes Louffok fait depuis quelques temps la promotion de l’avocat de l’enfant, le CNB également, il propose encore des formations... Ce qui a du sens. Mon ainée avait-elle elle-même un avocat ? Oui, très longtemps, d’environ 2004 à 2011, tout le temps la même, la même qui avait représenté Macha, un divorce conflictuel, ainsi que Sébastien, cet autre désastre... Je n’ai jamais trop su qui cette avocate représentait. Le parquet ? Le juge pour enfant de Nanterre ? Les époux Clementz ? Les travailleurs sociaux ? Très souvent, je pouvais en douter, dès 2005, j'exprimais de sérieux doutes. L'été 2008, je demandais la suspension du jugement de Nanterre de juin 2008, et après ce qui s’était tramé au cours de la procédure, en référé, avec du dilatoire, j’en avais fait part à la cour d’appel de Versailles, par écrits ainsi qu’à l’oral. La cour d’appel l’a évidemment blanchie. Il n'y a toujours que moi qui ressortais tout sale de ces prétoires, sinon comme relevant de la psychiatrie, c'est si facile, ça tend à discréditer, les uns sont tous propres, et moi, il ne fallait jamais m'écouter.
Je relis des portions d'arrêts de Versailles que j'ai ici et là dans mon blog, et avec le temps, je me marre de plus en plus. Le foyer de l'OSE France, à Taverny, un « support de protection », selon le psycholoque, et même un « lieu neutre », selon Nanterre ? J'alléguais sans établir que les « professionnels » de l'OSE étaient des nuisibles, des parasites ? En 2004 et 2005, j'étais encore dépressif, ainsi que en même temps, trop « rigide » ? Quel psychiatre ou même généraliste m'aurait diagnostiqué une dépression, quelque chose d'invalidant sur cette période là ? Et les autres, dont cette astrologue, Mme Claire Davidson, pouvaient se contenter de dire, d'expliquer, de s'excuser pour leurs absences aux l'audiences, de trainer les pieds, ou encore, de produire une « expertise » indiscutable. Il m'avait bien été dit par Nanterre qu'il me serait interdit de réclamer des contre expertises, j'avais donc fait avec également, et appel, et puis appel... Magalie Bodon-Bruzel, une sommité, en UMD et en milieu carcéral, un charlatan ; j’ai dû faire très peur aux juges et aux travailleurs sociaux pour qu’on me présente à celle-ci, et qu'on m'interdise ensuite durablement de contester, de critiquer quoi que ce soit, tout en retenant machinalement et tout le temps, à toutes audiences, de 2005 à 2011, ces mêmes éléments contre moi. Avec toutefois, de petites exceptions ; car j'avais lutté, insisté, en 2009, nous pouvions passer un été tranquille, en famille.
J'ai essuyé la totale, ces années passées, jusqu'à une « experte », selon les juges, qui exerçait illégalement la médecine. En tous cas, j'ai le sentiment qu'en 15 minutes d'entretien, Mme Davidson m'aura diagnostiqué une incurable bipolarité. « Rigide », vrai qu'à l'époque, j'avais commencé à parler d'un rapt, et beaucoup déjà de ce qu'il se passait à Taverny. Et plutôt que de reconnaitre que le « travail » des « professionnels » de l'OSE France pouvait être le problème, il était aisé pour Mme Davidson de pointer du doigt la relation père-enfant, une « opinion » qui avait donc été très appréciée par les juges, je n'avais pas le droit de la discuter. Selon ce que j'ai vu sur Google, elle pourrait encore être vivante, et peut être expliquer comment elle avait pu pondre cela... j'y reviendrais plus tard, dans un billet distinct, celui-ci est déjà trop long :
De l'arrêt du 22 mai 2009, par la cour d'appel de Versailles,
cassé/annulé par l'arrêt civ. 1, 20 octobre 2010, 09-68.141
Un tiers « support de protection », n’importe quoi pour qui sait ce qu’avait à subir mon ainée à Taverny, chez l’OSE France. N’importe quoi également pour qui a pu constater qu’au final, après avoir été « confiée » au couple Clementz, mon ainée finissait déscolarisée tandis que leur propre fille allait intégrer une école privée du supérieur, à 8 000€ l’an. Il ne fallait jamais ni dire ni exposer quoi que ce soit de la sorte… Tout ceci « dans l’intérêt supérieur » de mon ainée, bien sûr. Ecraser la môme, et toujours accuser le père ; c'est si facile également. « On a pas pu mieux faire, son père était indigne, dérangé, et elle perdu sa mère ! » Ca m’a souvent énervé. Autant que amusé, beaucoup en constatant que tout le monde laissait faire ; mais ces années passées, je recevais parfois quelques rares marques de soutiens sincères tout de même.
C’est terrible, ce genre de créatures, des patelles, ou des ours pour enfants. Absolument tout finira retenu contre vous. Dès fin 2003, j’avais pu trouver un thérapeute, pour m’accompagner longuement, et dans des périodes souvent pénibles, du fait de ces histoires. Un lieu de parole, du soutien… Mon avocat ou un juriste qui m'avait beaucoup avancé également avait un moment estimé utile de partager cette information avec un prétoire, soulignant qu'un tel traitement pouvait faire souffrir, être en tous cas dur, difficile à vivre, à encaisser. On était au XXIe siècle. Ca n’a pas loupé, et pour eux, les juges, c'était une « preuve » de plus : « allez vous faire mieux conseiller », « les effets de la psychothérapie se font attendre ! »
Une image explicite, trouvée sur internet,
des juges ou ours pour enfants
L’arrêt rendu par la cour d’appel de Versailles, en 2011, me gène également. C’est quoi, ce « rappel des faits » ? Ce n’est pas l’histoire, l’histoire de notre famille, de ce qu’il s’était passé. Histoire et déroulements des faits qui avaient pourtant été plusieurs fois discutés devant la cour, à Versailles… Prochainement, j’irais porter plainte pour faux en écriture publique. « A la suite de la séparation du couple en 1996, un conflit entre le père et la famille maternelle s'est progressivement installé », pardon ? Puis on arrive très vite à « motivée par la période dépressive que traversait M. Y... qui délaissait sa fille et ne lui permettait pas d'assurer sa sécurité », ah bon ? C’est encore l’OSE France qui est à l’origine de cette pseudo vérité gravée au dossier par les juges ou ces patelles ? La brigade des mineurs et l’ASE investiguent, puis Mme Josefsberg investigue, missionnée par Nanterre, puis en effet, après pressions, sur des mois, de fin décembre 2002 à novembre 2003, y compris des pressions pour que j’abandonne mon ainée, pressions finissant par me faire déprimer, dépression ensuite retenue par le juge pour enfant de Nanterre, pour placer mon ainée chez Monsieur Josefsberg… Ce sans même considérer qu’en 2003, nous avions fini « signalés » puis accablés alors que ma famille était au plus vulnérable, autour de la naissance de ma cadette, et alors que 10 jours plus tard, elle finissait à l'hôpital, entre la vie et la mort, en raison d’une bronchiolite. Une période qui avait été terrible pour mon ainée, éprouvante, les « soins intensifs », sa mère n'en était pas revenue...
Il me semble que ce « rapport » qui avait été lu en 2011, à et par une magistrate de la cour d'appel de Versailles, ne reflétait pas du tout ce qu’avaient été les faits, absolument pas l’histoire familiale, d'aucune façon non plus ce qui avait pourtant été débattu à la cour d’appel de Versailles, entre 2005 et 2009. « Il fallait faire appel ! » Je trouve en tous cas que c’est faux, ce qui a été pondu là, en 2011, c'était une « altération » de la vérité, « de nature à causer un préjudice » :
Cour d'appel de Versailles, 1 avril 2011, 11/00005
Ont été entendus :
- Madame GERAUD-CHARVET, Présidente, en son rapport,
….
RAPPEL DES FAITS ET DE LA PROCÉDURE :
J. Y... est née le 03 septembre 1993 de l'union de M. Bruno Y... et de Mme Sonia Z....
A la suite de la séparation du couple en 1996, un conflit entre le père et la famille maternelle s'est progressivement installé.
Au décès de sa mère en juillet 1999, J. est allée vivre chez son père.
Celui-ci a rencontré une nouvelle compagne et le couple a eu une enfant K., née en 2003.
Par ordonnance du Juge des Enfants de NANTERRE du 18 novembre 2003 motivée par la période dépressive que traversait M. Y... qui délaissait sa fille et ne lui permettait pas d'assurer sa sécurité, J. a été placée à la maison d'enfants du Château de Vaucelles à Taverny.
Des nouvelles de l'ARSEA Alsace
Edit.... J'en arrive à me dire, comme plusieurs fois ces années passés, que la justice, dans ce pays, c'est un concept flou, tout à fait mou, une plaisanterie, une vrai fumisterie... Tu as les faveurs des autorités ou quelques bonnes relations ? Tu vas téléphoner et gagner à tous les coups, au pire, les magistrats te les arrangeront. En tous cas, Oswald Baudot nous expliquerait que tout n'est qu'une question de motivations, et que la loi dira ce que vous voudrez. « C'est excessif », diront les juges, tout un troupeau de JDE/JLD et de présidents de cours d'appels pourrait nous le lancer, « on ne se permet jamais cela ! » ; les magistrats du parquet ne seront pas loin pour nous menacer des pires sanctions pour avoir osé ce genre de discours ; ce serait à discuter également avec le doyen Carbonnier.
Vers 2004 à 2006, j'en étais arrivé à une conclusion : laisser pisser, et faire gesticuler les juges, en le documentant. Si les juges n'ont pas envie - arbitraire, comme au bas moyen âge, avec alors une « justice » rendue par un seigneur et son baron - on fini puni - « juste une carrière de bourreau », en disait Laurent Lèguevaque - et on fait avec. Je crois qu'il faut que j'ajoute qu'à l'époque, Charles Halter, notaire, allait vers la retraite. Vieillir, c'est déjà faire naufrage... Par contre, l'avocate du Parisien qui m'avait fait chier, ou encore les avocats de Metz, j'ai pas trop d'explications, ils étaient encore assez jeunes, ces trois là. A moins que certains grands talents ne vieillissent plus prématurément que d'autres.
Et pour ceux qui ne se douteraient de rien, ouais, j'ai des années d'expériences diverses derrière moi... avec même une petite de la courtoisie de hautes sphères, qui vous lâcheront tranquillement : « allez vous faire mieux conseiller. »
J'attends que le parquet de Chalons-sur Saône nous expose un jour mieux ce qu'il a à reprocher au LVA des Bruyères, à Frontenaud, ainsi que à X, maintenant également mis en cause. Pour des faits de maltraitance suffisamment graves pour boucler un lieu de vie, un centre équestre avec piscine. Mais je suppose que ça va suivre, d'ici quelques années. J'attendrais alors non de savoir ce qu'aura enfin trouvé Damien Savarzeix après des années d'investigations supplémentaires, mais de savoir plus exactement ce qu'il savait en octobre 2019, et qui motivait la rafle au LVA.
Par SudOuest.fr avec AFP
Publié le 15/02/2021 à 16h44, extrait
« Après examen des éléments de l'enquête préliminaire, le parquet du tribunal judiciaire de Chalon-sur-Saône a décidé, ce lundi, d'ouvrir une information judiciaire contre le directeur du centre Les Bruyères à Frontenaud (Jean-Claude Rossi, ndlr), et contre X, pour les chefs de violence sur mineurs et violence par personne ayant autorité », a indiqué Damien Savarzeix, procureur de la République. « L'enquête préliminaire s'est intéressée à toute la vie du centre sur une longue période », est-il précisé.
En fouillant cinq minutes pour voir ce qui avait encore pu paraitre au sujet d'autres foyers de la Ddass, j'ai trouvé des nouvelles « inattendues » de l'ARSEA Alsace. Selon de belles présentations et plaquettes de ces derniers, ainsi que pour les juges de Nanterre, de Strasbourg et de la cour d'appel de Versailles, il s'agissait de professionnels extrêmement bienveillants et bien traitants, on ne pouvait en douter - c'était interdit. Ceux là ainsi que avec le pasteur d'Uhrwiller s'étaient occupés de la « protection », du suivi, des relations familiales, de la santé ainsi que de la scolarité ou plutôt de « l'orientation » pour pas grand chose de ma fille ainée ; ils ont tout foiré. En mars 2011, à la cour d'appel de Versailles, je ne faisais plus que réclamer un constat d'échec de la part des juges, il a suivi ; j'avais alors fait grimacer le président, notamment en détaillant un peu ce que les travailleurs sociaux de l'OSE France comme ceux de l'ARSEA avaient ignoré de l'état de santé de ma fille... Je finissais par avoir des mots très durs, parlant de « gorets de l'ARSEA ou du social ». Le prétexte du COVID, du confinement, du télétravail et tout ce bazar n'allait arriver que des années plus tard :
Sur le front de l’aide à l’enfance
26 mars 2021 Par YVES FAUCOUP Blog : Social en question, extraits
Rue 89 Strasbourg qui en rend compte indique que l’éducateur, âgé d’une soixantaine d’années, aurait laissé, avant son passage à l’acte, un courriel adressé « à ses collègues et à sa hiérarchie en mettant en cause son travail ». La direction aurait incité les salariés à ne pas ébruiter ce drame. Le Président de l’ARSEA précise que l’éducateur évoque dans son texte la question « du confinement, explique que c’est compliqué de travailler à la maison. Il parle aussi de ses supérieurs hiérarchiques et il y a des critiques qui sont formulées. C’est ensuite à l’inspecteur du travail, ainsi qu’à nous, en interne, de faire la part des choses. C’est un service qui n’avait jamais fait parler de lui et nous n’étions au courant d’aucun dysfonctionnement particulier ».
[...] Évidemment, on ne sait ce qui peut conduite un tel professionnel à se résoudre à un tel geste, sur son lieu de travail (une enquête judiciaire et une autre de l’Inspection du travail ont été ordonnées). Ce que l’on sait pour le moment c’est qu’une centaine d’employés de l’association avait manifesté le 21 janvier pour dénoncer des conditions de travail insatisfaisantes.
J'ai découvert des articles de Marie Vaton, une journaliste du Nouvel Obs avec qui j'avais tenté d'entrer en contact par le passé, en vain. Quand quelque chose merde un peu dans un foyer, ou dans le cadre d'un suivi supposé « irréprochable », je crois qu'on s'en rend assez aisément compte. En tous cas, pour ce qui concerne l'ARSEA, ça semble avoir pas mal débordé, même par une fenêtre. Je ne peux pas tout lire, je ne suis pas abonné, et je ne vais pas approfondir :
Par Marie Vaton
Publié le 19 mars 2021 à 10h58 Mis à jour le 19 mars 2021 à 15h11, Nouvel Obs, extrait
Rue89 Strasbourg vient de révéler qu’un éducateur s’est défenestré sur son lieu de travail à Strasbourg le 8 mars. Il travaillait dans un service d’investigation éducative de l’ARSEA, une association qui gère des structures et des établissements dans la protection de l’enfance. Il y a un an, « L’Obs » révélait des maltraitances graves perpétrées par plusieurs éducateurs de cette même association envers des mineurs en grandes difficultés, accueillis dans deux centres éducatifs renforcés, dans un climat général de harcèlement et de brimades. A la suite de nos révélations, une information judiciaire avait été ouverte par le parquet de Colmar.
Publié le 18/03/2021 à 06h00, Article actualisé le 22/03/2021 à 16h01, Rue89, extrait
Un éducateur du service d'investigation éducative de l'association d'aide à l'enfance Arsea s'est défenestré de son lieu de travail dans la soirée du lundi 8 mars. La direction de l'Arsea a reçu une lettre avant l'acte tragique .
Par Marie Vaton
Publié le 06 mars 2020 à 15h10 Mis à jour le 09 mars 2020 à 11h12, Nouvel Obs, extrait
C’est ici que résident sept jeunes garçons, sept mineurs âgés de 13 à 17 ans, placés là par la justice pendant cinq mois en raison de leurs « grandes difficultés sociales et familiales » selon le site internet de l’association Arsea (1), habilitée à les prendre en charge. Certains sont des « incasables » comme on appelle souvent les jeunes « en rupture », si souvent placés et déplacés par l’Aide sociale à l’Enfance qu’ils ne parviennent plus à s’adapter aux foyers classiques. D’autres ont commis des infractions et des délits : violences, vols ou trafic de stups.
Il y a trente ans, on les aurait envoyés en « maison de redressement » ou en « maison de correction ». Mais les temps ont changé. Le projet du CER, lit-on sur le site, vise à leur donner « les moyens de se rencontrer pour retrouver du sens à leur vie, apprendre à se valoriser en dehors des comportements répréhensibles, intégrer des comportements sociau...
Par Marie Vaton
Publié le 29 avril 2020 à 12h02 Mis à jour le 11 mai 2020 à 10h17, Nouvel Obs, extrait
Depuis le confinement, personne n’est jamais venu sonner à la porte de Christelle et son mari, qui vivent dans le petit village du Hohwald. En plein cœur de la forêt vosgienne, à mille mètres d’altitude, il n’y a pas foule de livreurs. Surtout en fin d’après-midi, lorsque la nuit commence à tomber. Alors, quand Christelle a entendu le gong et qu’elle a vu, à sa porte, un jeune garçon, sac au dos et capuche sur la tête, elle a vite compris d’où il venait. A une centaine de mètres de là, une vaste bâtisse au toit rouge, le centre éducatif renforcé (CER) du Kreuzweg, héberge sept mineurs âgés de 13 à 17 ans, placés là par la justice pendant cinq mois pour des infractions et des délits, l’un des deux foyers dans lesquels « l’Obs » révélait, le 6 mars, de graves sévices et humiliations de la part de certains membres de l’équipe éducative.
Christelle, infirmière scolaire depuis douze ans, a l’habitude des « gamins placés ». Elle a tout de suite su qu’il venait d’en fuguer. Au téléphone, elle nous raconte qu’elle l’a fait rentrer : « Il nous a demandé qu’on le dépanne d’une cigarette, ou d’un peu de tabac à rouler mais nous ne fumons pas. » ...
Par ici, des nouvelles des Yvelines, datées du 9 Août. En théorie, par usage, et si les poulets ou le procureur acceptent la plainte, les magistrats de Versailles classent absolument tout et coupent les liens parents-enfants, pour mettre un terme :
Yvelines.
Jambville : ils dénoncent les maltraitances subies par leurs enfants, placés en foyer
Par Renaud Vilafranca
Publié le 9 Août 21 à 18:22, actu.fr, extrait
Depuis le placement, les parents bénéficient d’un droit de visite régulier. C’est en l’exerçant que naîtront les premiers soupçons de maltraitance au sein du foyer. Des marques suspectes sur le visage des enfants, « quasiment à chaque fois », les alerteront.
« Ils étaient couverts de poux. Des fois, leurs vêtements étaient déchirés, explique, horrifié, ce papa au comble du désespoir. En juillet 2020, un des jumeaux a eu la jambe cassée. Une autre fois, on l’a trouvé avec un œil au beurre noir, le nez tuméfié. Le personnel du foyer disait que les enfants étaient tombés ou qu’ils s’étaient fait mal en jouant et que de toute façon, cela ne nous regardait pas. » Des propos étayés par des photos et des vidéos, prises par les parents lors de visites.
Dans mes affaires à moi, je crois que tout était très clair, limpide, les relations finissaient toutes interdites, même lorsque plus tard réclamées par l'enfant, car ça avait trop fait chier déjà les travailleurs sociaux de l'OSE France. De l'arrêt du 20 octobre 2010, 09-68.141, publié au bulletin ; vers ces mêmes périodes, j'ajoutais ici un billet titré « Seig Versailles ! » :
ALORS QU'en refusant de prendre en considération le fait que Y... X... était en demande de voir rétablir des liens avec son père au prétexte qu'il s'agissait d'éléments postérieurs à la décision attaquée, la cour d'appel n'a pas tiré les conséquences légales de ses constatations et a ainsi violé les articles 561, 563 et 565 du code de procédure civile ;
ALORS QU'en ne prenant pas en considération le souhait de l'enfant de retourner vivre chez son père, la cour d'appel n'a pas tiré les conséquences légales de ses constatations et a ainsi violé les articles 561, 563 et 565 du code de procédure civile.
[...] ALORS QU'en statuant comme elle l'a fait sans caractériser, au jour où elle statuait, le danger qu'encourait Y... X... à retourner vivre dans sa famille naturelle, la Cour d'appel a privé sa décision de toute base légale au regard des articles 375 et 375-2 du code civil ;
[...] S'agissant de la suspension de tout droit d'hébergement, de visite, de sortie, de correspondance de quelque nature que ce soit, cette mesure rigoureuse était le seul moyen d'éviter que Y... et sa tante [NDLR: le pasteur d'Uhrwiller] ne soit déstabilisées et le placement de la mineure chez celle-ci mis à mal par le harcèlement dont M. X... a accablé la MECS du Château de Vaucelles ainsi que d'empêcher les pressions sur sa fille.
Les poux, les traces, et tout le reste ainsi que l'enfant lui même, c'est pas un soucis, l'intégralité fini par disparaitre. Les plus radicaux finiront par vous expliquer que rien n'a jamais existé, l'enfant qui était pourtant de votre famille non plus :
De cette autre époque encore, et de l'autre côté de la haie. On m'a assuré que les six chiens ont depuis été nourrit :
Septembre 2005, un coupon de presse du Parisien (qui savait donc),
« voisins (dont l'OSE France), services sociaux, justice (donc, les juges), tout le monde savait »
Des nouvelles de Me Michel Amas
Je ne suis plus ces histoires que de très loin. J'ai bien évidemment remarqué qu'une mère et quelques uns de ses « complices » ont été mis en cause pour l'exfiltration d'un enfant ; il y a 20 à 25 ans, c'était encore envisageable. Et que plus récemment, un père a été ennuyé après avoir pris l'initiative de disparaitre avec son enfant dont il n'a plus la garde.
« Il faut collaborer avec les services ! » Ne jamais contrarier personne, surtout pas la magistrature. Rien n'a changé ?
En tous cas, je constate que Me Michel Amas n'a pas progressé d'un iota depuis 2019 :
France - Monde / Justice
Ariège. Placements "abusifs": plainte déposée
Publié le 17/06/2021 à 10:45 , mis à jour à 13:18
La Dépêche, extrait
De leur côté, les deux parents ne demandent qu’une chose, pouvoir retrouver leurs enfants. Ils espèrent les accueillir durant les vacances scolaires qui approchent. Me Amas explique avoir sollicité, à plusieurs reprises, le juge des enfants de Foix, à l’origine du placement. "Je fais une demande tous les quinze jours. Je n’ai aucune réponse, même pas un courrier disant que ma requête est en cours de traitement", conclut l’avocat. Un silence pesant, difficile à comprendre pour les parents de ces deux jeunes garçons.
Enlèvement à Lannion. La garde à vue du père de Dewi est prolongée
Société / Faits divers / Alerte enlèvement
Ouest-France, Modifié le 01/08/2021 à 17h41, extrait
L’enfant, orphelin de mère, souffre de surdité et de difficultés de langage. Il était placé en famille d’accueil depuis le 17 juin, une situation que supportait difficilement son père. Cette mesure avait été décidée car « il avait mis en échec des tentatives d’accompagnement antérieures, ne collaborant pas à la mesure éducative et disparaissant sur de longues périodes avec le mineur, ainsi privé de soins adaptés et non scolarisé ».
Enlèvement de Mia : arrêtée en Suisse, la mère bientôt extradée
Le Point, source AFP, modifié le 22/04/2021 à 12h26, extrait
Arrêtée en Suisse dimanche, la mère de Mia, la fillette qui avait été enlevée en France, sera extradée ces prochains jours, ainsi qu'un autre ressortissant français qui l'a aidée, ont indiqué jeudi les autorités judiciaires suisses. « L'Office fédéral de la justice (OFJ) a autorisé ce jour l'extradition à la France des deux individus sur la base de leur consentement. Leur remise sera effectuée dans les prochains jours », a-t-il indiqué à l'Agence France-Presse.
« Les intéressés ont consenti le 21 avril 2021 à une extradition simplifiée lors d'une audition effectuée par le procureur du canton de Fribourg », a-t-il détaillé. La petite Mia, âgée de 8 ans, avait été enlevée le 13 avril, à la demande de sa mère, Lola Montemaggi, par plusieurs hommes alors qu'elle était hébergée chez sa grand-mère maternelle dans un village de l'est de la France. Sa mère n'avait plus le droit de la voir seule ni de lui parler au téléphone.
Du côté de nos brillantes lumières qui éclairent les magistrats, ces talents, les psychiatres, rien n'a changé non plus, aucun n'a relevé ni signalé le moindre risque ou l'éventuelle dangerosité de Emmanuel Abayisenga ? Des années se sont écoulées, ce sont nos boussoles, parfois un peu folles mais jamais responsables de rien, et on se marre toujours autant.
Opinions, Politique, edito
Meurtre d’un prêtre : la douleur et la colère
Le monde, à 12h20, mis à jour à 12h35, extrait
Depuis son arrivée à Nantes, en 2012, Emmanuel Abayisenga, catholique fervent, avait d’ailleurs bénéficié de la protection de toutes les structures de l’Eglise, sans que personne ne leur reproche d’enfreindre la loi. Les arrêtés de reconduite à la frontière qui l’avaient visé, annulés par le tribunal administratif ou faisant l’objet d’un recours en instance, ne permettaient pas son expulsion. A fortiori depuis qu’il était impliqué dans l’incendie de la cathédrale et attendait d’être jugé. Si faille il y a, c’est sans doute dans le suivi psychiatrique d’une personne manifestement gravement déséquilibrée.
Religion
Le pape François fait part de sa « douleur » après la mort du père Olivier Maire
Les faits, La Croix, le 11/08/2021 à 09:50 Modifié le 11/08/2021 à 12:12, extrait
Le pape François est revenu sur la mort du père Olivier Maire, provincial des montfortains assassiné lundi 9 août, lors de l’audience générale du mercredi 11 août au Vatican. Il a fait part de sa « douleur » et a assuré de sa « proximité spirituelle ».
Prêtre tué en Vendée : entretien avec Quentin Chabert, l'avocat de l'incendiaire de la cathédrale de Nantes
France 3, mis à jour le 11/08/2021 à 11h04, extrait
"Le profil psychiatrique est jaugé par des médecins, par des professionnels du droit, et les décisions sont prises dans le respect du droit et de la santé. Mon client a pu bénéficier de soins dans le cadre de son contrôle judiciaire et à l'issue de ce mois de soins les psychiatres ont estimé qu'il pouvait sortir. Il y a toujours une prise de risque dans ces situations-là".
Actualité, Société
Emmanuel Abayisenga, débouté de l’asile, pyromane et tueur de prêtre
Par Christophe Cornevin et Agnès Leclair
Publié hier à 20:20, Mis à jour il y a 8 heures, Le Figaro
DÉCRYPTAGE - Abayisenga, impliqué dans l’incendie de la cathédrale de Nantes et le meurtre du père Olivier, a usé de tous les recours pour rester en France.
Prêtre tué en Vendée : qui est Emmanuel Abayisenga, d'abord suspect dans l'incendie de la cathédrale de Nantes
France 3, mis à jour le 11/08/2021 à 12h48, extrait
« C’est un homme hyper droit. Parmi les personnes en difficulté, il faisait la différence », se souvient Odile, qui a animé un atelier d’insertion sociale auquel Emmanuel a participé. «Il cherchait vraiment à s’intégrer, abonde Cécile, la nièce d’Odile. Je me souviens pendant les cours de français que je donnais, il était irrité quand les autres arrivaient en retard, il ne comprenait pas qu’on puisse prendre ça à la légère".
Arrive Human Right Watch, rangé aux côtés des islamistes les plus radicaux
Encore un avis qui va plaire à nos grandes critiques, qui intiment la France et Macron, l'avis de HRW ou Human Right Watch, qui vient se ranger aux côtés de Erdogan, de Fathi Karakaya, du CCIF, d'Amnesty, de Feïza Ben Mohamed, de CAGE, de Idris Sihamedi, ainsi que de Malaisiens, d'Indonésiens, mais aussi aux côtés de TLP, qui depuis le Pakistan, nous a menacé d'un hiver thermonucléaire si nous ne renoncions pas à nous exprimer, à dessiner ou à blasphémer :
France : La dissolution d’une association antidiscrimination menace les droits humains
4 décembre 2020 11:15AM EST, www.hrw.org, extrait, de leur chute
En plus de porter atteinte à la protection des libertés d'opinion, d'expression et d'association, le fait de cibler une organisation comme le CCIF, qui travaille sur le sujet des discriminations, envoie le message que la France ne tolérera pas que des musulmans exercent leurs droits civiques et politiques pour exprimer leurs préoccupations et protester contre des injustices sur un pied d’égalité avec les autres populations du pays. Cela risque d’alimenter involontairement les groupes armés islamistes qui vilipendent les gouvernements occidentaux.
Accueil, Politique
Islamisme : dans les coulisses de la riposte
00h00, le 24 octobre 2020
Par Pascal Ceaux, David Revault d’Allonnes et Sarah Paillou, le JDD, extrait
En contrepoint de la sévérité réclamée par l'Elysée, le ministère de la Justice appelle cependant à la rigueur dans l'élaboration et la mise en œuvre des procédures. La mosquée de Pantin a déposé un recours contre sa fermeture et le CCIF fourbit ses armes pour contester une éventuelle dissolution. "Ils sont très habiles grâce à un double discours, souligne-t-on au ministère de l'Intérieur. Au premier abord, on peut penser qu'ils ne franchissent pas la ligne, on est en train de lister les moments où ils l'ont fait."
Sont recensées notamment les prises de position en faveur d'islamistes comme le caricaturiste brésilien Carlos Latuff, lauréat en 2006 d'un concours de caricatures sur la Shoah organisé par le régime iranien ; Aissam Aït-Yahya, un salafiste français présenté par le groupe Etat islamique comme un philosophe du djihadisme ; ou encore les dirigeants de l'école toulousaine Al-Badr, fermée en 2019 après un long combat judiciaire.
Le vrai du faux
Trois écoles hors contrat ont-elles été fermées en France depuis 2018 ?
Joanna Yakin franceinfo Radio France
Mis à jour le 06/10/2020 | 11:18
publié le 06/10/2020 | 11:18
Comment la gauche a perdu les voix des musulmans, hostiles au #mariagepourtous, selon Gilles Kepel in @lobs pic.twitter.com/QJAnUqcI2K
— RachelFleaux-M (@RachelFleaux) November 2, 2016
MDR!!! Bravo les DNA! Sens de l'humour implacable! #PEJ #dnainfos pic.twitter.com/579NUM3DvX
— PartiÉgalitéJustice (@PEJ_Officiel) February 23, 2015
https://t.co/Tqgr2FtaS7 pic.twitter.com/nSs8UQHTl0
— Bruno Kant (@bkant) December 4, 2020
Le #PEJ, nouveau parti musulman est né et veut mettre fin au #MariagePourTous. http://t.co/CrSuP2Yb0x
Les Guignols ! pic.twitter.com/udbDafDPSc— Nicolas (@NicoHikona) February 19, 2015
Enquête
Au Collectif contre l’islamophobie, de la suite dans les données
Par Sylvain Mouillard et Bernadette Sauvaget — 3 avril 2016 à 19:21, Libération, extraits
[...] Depuis longtemps, elle est dans le collimateur de l’extrême droite et de la mouvance identitaire. Samy Debah demande d’ailleurs à ses visiteurs de ne pas dévoiler l’adresse du CCIF à Paris. Depuis les attentats de novembre, le climat s’est encore alourdi. Les accusations politiques sont tombées dru sur le collectif, suspecté de promouvoir un islam politique. Le président de l’Observatoire de la laïcité, Jean-Louis Bianco, s’est vu violemment reprocher par Manuel Valls d’avoir signé une tribune aux côtés du CCIF. Une organisation qui participerait, selon le Premier ministre, à la diffusion d’un «climat nauséabond» en France. [...] En 2014, l’imam de Brest, Rachid Abou Houdeyfa, qui soutient que les enfants écoutant de la musique vont être «transformés en porcs», ou l’imam Abou Anas, une figure du salafisme francilien, étaient de la partie. Yasser Louati, nouveau porte-parole du CCIF, assume : «On peut ne pas être d’accord avec certains intervenants, mais ils n’ont pas enfreint la loi.» A ses détracteurs, il renvoie aux statuts de son association, qui promeuvent «le principe d’égalité entre les hommes et les femmes» et «le principe de laïcité, comme celui-ci a été compris par Aristide Briand et Jean Jaurès».
Population
Enquête sur les dérives des écoles hors contrat
02 oct. 2020 11:29 - La rédaction de LCI, extrait
De nombreux signalements concernent des écoles confessionnelles. A l'image du groupe scolaire Al-Badr à Toulouse qui a dû fermer ses portes en 2016 à la suite d'une décision du tribunal de grande instance. Les enseignements religieux y prenaient trop de place. D'autres mouvements interpellent. Comme la Fraternité Saint-Pie-X qui est un courant catholique traditionaliste. En France, il revendique 35 000 fidèles, et une trentaine d'écoles hors-contrat. Publiquement, il conteste les programmes officiels et des vérités scientifiques.
Accueil Religion
Contre l’islamophobie, les méthodes controversées du CCIF
Mélinée Le Priol, le 17/11/2020 à 17:06 Modifié le 18/11/2020 à 10:56
La Croix, extrait
« Les femmes voilées sont l’élément d’adhésion, le pivot de cette militance », analyse Isabelle Kersimon, autrice d’Islamophobie, la contre-enquête (1). « En revanche, le CCIF ne s’intéresse pas aux musulmanes qui ne souhaitent pas porter le voile et subiraient pour cela des mauvais traitements, par exemple. » Pour cette journaliste, attaquée en diffamation par le CCIF et relaxée en juin 2019, l’association n’assure donc pas tant la défense des musulmans que celle de « l’islamité visible ». Les lois de 2004 sur les signes religieux à l’école et de 2010 sur le voile intégral, jugées « liberticides », font d’ailleurs partie de ses combats historiques.
Le CCIF, qui avait fait appel de ma relaxe complète, a demandé un report de l'audience. https://t.co/z9QamSaiSj
— Isabelle Kersimon (@KersimonIsa) November 17, 2020
Evidemment, le message de HRW commence à circuler, tandis que en Angleterre, un soutien du CCIF a commenté la situation. « Le groupe CAGE, basé à Londres, a répondu que cette décision " expose l'hypocrisie effrontée de l'État français qui prône la "liberté d'expression" tout en refusant légalement aux musulmans la liberté de s'exprimer et de s'organiser ". CAGE est une organisation de défense qui fait campagne pour " des procès équitables, l'état de droit et la fin des injustices commises dans le cadre de la guerre contre le terrorisme ". », rapportait Anadolu Agency.
Notre force c'est VOUS!
Rendez-vous en 2020 pour les #Municipales!#HausseTaVoix #OseTaVoix #PEJ pic.twitter.com/xjSekCLtQQ— PartiÉgalitéJustice (@PEJ_Officiel) June 19, 2017
🔴Cibler une ONG comme le CCIF,qui travaille sur la discriminations, envoie le message que la France ne tolérera pas que des musulmans exercent leurs droits civiques et politiques pour s'exprimer,protester contre des injustices sur un pied d’égalité @hrw https://t.co/5VgxQDG8pp
— ADM (@ADM_Action) December 4, 2020
The French government’s decree dissolving CCIF, an anti-discrimination group, is a misguided move that threatens rights, and sits against a backdrop of a broader securitarian drift that endangers liberties https://t.co/MykTxHHBJh - latest from @hrw pic.twitter.com/u8vyToR5y1
— Kartik Raj (@Kartik__Raj) December 4, 2020
#ICYMI: Palestinian Islamic Scholar Issam Amira: Following A #MEMRI TV Clip, I Was Interrogated By Israeli Police For Praising The Beheading Of French Teacher Paty, Banned From Entering #AlAqsa For Six Months – Audio of report here https://t.co/gxj0grbvPQ pic.twitter.com/16iaqtnyqx
— MEMRI (@MEMRIReports) December 4, 2020
Bel hommage de nos amis musulmans pour le mariage pour tous #merci#mariagepourtous # pic.twitter.com/gnmNnXe9
— Vincent RICHARD (@vrparis) January 28, 2013
Méric : la dissolution d'organisations d'extrême droite validée par la CEDH
On savait la droite bête, elle a parfois été taxée de la plus bête du monde. On redécouvre une gauche pas plus futée.
La consternante histoire de « la droite la plus bête du monde », le 25/11/2019, Le Point.fr ; M. GUY MOLLET : la droite française est la plus bête du monde, 10 décembre 1957, le Monde ; «La droite la plus bête du monde», août 2013, Libération ; Législatives : La droite la plus bête du monde ? par Les Arvernes, le 12/06/2017, le Figaro
Méric : la dissolution d'organisations d'extrême droite validée par la CEDH
Par Le Figaro avec AFP
Publié le 08/10/2020 à 12:22, Mis à jour le 08/10/2020 à 12:47, extraits
La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a rejeté jeudi 8 octobre les recours introduits par plusieurs dirigeants de groupuscules d'extrême droite, dont Serge Ayoub, contre la dissolution de ces mouvements par le gouvernement après la mort du militant antifasciste Clément Méric en 2013.
Statuant sur la requête de Serge Ayoub, alias «Batskin», les juges de la cour ont estimé «à l'unanimité» qu'il y avait «non-violation de l'article 11» de la Convention européenne des droits de l'Homme sur la liberté de réunion et d'association au regard de ses dispositions sur la liberté d'expression.
[...] La dissolution de ces organisations d'extrême droite «visait à la protection de la sûreté publique et des droits d'autrui et à la défense de l'ordre, tous buts légitimes» au regard des restrictions à la liberté de réunion et d'association admises par la Convention européenne, a considéré la cour.
Il doit être inutile de faire un dessin à Polloni, à la LDH, à Amnesty, au NPA ou même à Bouhafs, ils vont approuver la dissolution de ces « ONG » d’extrême droite. Ils attendraient même impatiemment la dissolution de Génération Identitaire... Auraient-ils peur de dissolutions prochaines d'associations ou de journaux ayant soutenu des islamistes ?
Je pensais que les raisons qui nous ont amenées à envisager ou à dissoudre Baraka City, le CCIF ainsi que d'autres étaient assez claires pour tous. Inutile de faire un dessin, même en forçant le trait, le message ne passerait jamais partout. Et ce qui fait encore du bruit maintenant, ce sont les contrôles dans des mosquées. Pour se tenir bien informé, pas besoin de s'abonner à Mediapart ni même aux comptes de Amnesty ou du NPA, il suffit de suivre l'agence Anadolu :
🔴 DERNIERE MINUTE | France : Darmanin annonce une "action massive et inédite contre 76 mosquées dans les prochains jours"
— ANADOLU AGENCY (FR) (@aa_french) December 2, 2020
Sur Twitter, Gérald a confirmé, « 76 mosquées soupçonnées de séparatisme vont être contrôlées dans les prochains jours et celles qui devront être fermées le seront. » « 18 vont même être visées par des « actions immédiates » », complète le Figaro. 76 visites de courtoisie et jusqu'à 18 contrôles plus renforcés - pour peut-être 2500 mosquées en France (il n'en existerait pas un recensement précis). Sauf à ne rien vouloir savoir du droit, il n'y a là en théorie rien de très alarmant ni anormal. En se renseignant, rapidement, on apprend que l'Intérieur ou Gérald a pour mission également la police des cultes (voire Loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Eglises et de l'Etat, Titre V : Police des cultes). (Articles 25 à 36)), ce qui se trouve même confirmé sur le site du Conseil d'Etat, d'où cet extrait :
C'est en lisant de tout que j'ai appris que Bouhafs faisait saisir le CSA, qu'il va porter plainte contre CNEWS et Zemmour, il l'y avait taxé « d'islamiste indigéniste ». C'est aussi en survolant les sorties de Taha que j'ai repéré un tweet de Bernard Carayon ; aux smiley près : « Ce voyou islamiste #TahaBouhafs est la honte de sa profession. Le voilà, cet analphabète violent crasseux, qui porte plainte contre #Zemmour. Mais affronte- le en homme sur @CNEWS » Un voyoux ?
C'est en lisant de tout et de tout le monde que j'apprenais qu'un imam de Chambery avait été perquisitionné. A l'entendre, « pas à chaud », c'était courtois, mais évidemment ennuyeux pour lui, il a été visité à 6h00 du matin. Il affirme être bien connu et véhiculer « un islam de paix, un islam de vivre ensemble, un islam de juste milieu, loin des extrêmes ». Vu son profil Facebook, un soutien du CCIF, Directeur pédagogique et enseignant, à Association Al Andalous, La Maison Des Savoirs. Qui a ému le NPA de Savoie ; « Le NPA 73 s’indigne de la perquisition policière menée ce 1er décembre à 6h du matin au domicile de Farid Slim, responsable de l’association Al Andalous et figure respectée de l’islam à Chambéry. En s’attaquant par des opérations totalement arbitraires à des responsables musulmans du pays, le gouvernement cherche... » Gérald fait son travail, et s'il est contestable, il existe des tribunaux, où porter des litiges.
« Le président de l’institut Al Andalus dénonce une perquisition abusive »
Cette vidéo de Farid Slim ainsi que son profil Facebook sont susceptibles de nous renseigner mieux que pourraient ne le faire des documents administratifs non classés. C'est quoi, les problèmes ou les « injustices » dans le secteur médical ? Oui, d'accord, certains politiques en France ont tenu des discours irresponsables - un clin d'oeil à CNEWS, ainsi que à notre Gérald... Il y a un problème lorsqu'il y a ingérence de l'Etat dans le culte musulman alors qu'il n'y aurait pas ou jamais d'ingérences dans les autres cultes ? Il y a un problème lorsqu'on nous parle d'un « islam de France » ? Les institutions Musulmanes se construisent avec les diaspora étrangères, Marocaines, Algériennes, Turques ? « L'intéressé véhicule une idéologie affirmant la suprémacie islamique contre l'Etat français » ? Ca lui rappelle les heures les plus sombres de notre histoire, et il est encore libre, Farid Slim n'est même pas enfermé ni même condamné à se taire ?
« Il sera permis de dissoudre les associations dont il est établi qu'elles portent des messages qui contreviennent à nos lois et nos principes » #Macron
Bye bye LMPT, le printemps républicain et les assos anti-ivg...
Comment ça non ?— Pierre Schydlowski (@PSchydlowski) October 2, 2020
D'actualité, paru chez Dalloz, ce 18/11 : [DOCUMENT] Projet de loi séparatisme : le texte de l’avant-projet de loi
De chez Dalloz, extrait, en rubrique ADMINISTRATIF | EUROPÉEN | PÉNAL
Dalloz actualité publie l’avant-projet de loi « confortant les principes républicains », dans sa version transmise au Conseil d’État. Ce texte long, 57 articles, et foisonnant sera présenté en conseil des ministres le 9 décembre. Les débats parlementaires devraient être animés, ce texte touchant à de nombreuses libertés.
Sur Twitter, par ailleurs, Medhi Aifa, affublé d'un Charlie Vache qui rit, proteste vivement. « Un homo qui s’appelle Mehdi et qui dénonce les islamistes ne rentre pas dans leurs cases », ce dont je ne doute que peu. Medhi semble se dire outré par cette gauche qui soutiendrait jusqu'à n'importe qui. Je suis moi-même un fornicateur, un pécheur, rien que l'état civil confirmerait, jamais marié, j'ai deux enfants, de deux mères différentes, et par ailleurs, pas mieux que Yann Moix, je suis athée comme un singe. Ses discours et Farid Slim, depuis toujours, « loin des extrêmes », est-on en droit de douter ?
Société
Le mariage pour tous en débat au Sénat
Stéphanie Combe
Publié le 04/04/2013 à 17h58 I Mis à jour le 05/04/2013 à 09h52, la Vie, extrait... A Lyon, le collectif « Les musulmans pour l’enfance » et l’association « Alliance VITA » organisent un débat public le 5 avril sur le thème « Pourquoi s’engager ensemble contre le mariage pour tous ». Y participera notamment Farid Slim, Imam de Chambery.
Mariage pour tous : la mobilisation continue, les musulmans à l'offensive
Rédigé par Maria Magassa-Konaté | Jeudi 14 Mars 2013 à 06:00, Saphir News, extraits
[...] Aux yeux de la communauté, l'interprétation de M. Zahed est en contradiction avec la religion. « On ne peut pas nous demander de changer les règles, les principes de la religion » musulmane, déclarait M. Moussaoui lors de son audition devant les sénateurs. La vie sexuelle des musulmans homosexuels ne saurait être « conforme à la religion », martelait-il.
[...] Une nouvelle association baptisée « Les Musulmans pour l’enfance » vient de voir le jour à Décines, dans la région lyonnaise. Le collectif regroupe « des Français membres de la communauté musulmane. (...) soucieux de protéger l'institution républicaine du mariage pour assurer le droit de chaque enfant à grandir avec un père et une mère » et qui désire « mobiliser les réseaux musulmans contre ce projet que nous considérons comme dangereux pour toute la société », explique Abderrahmane Ait-Rabah, un de ses responsables.
Le premier collectif de musulmans contre le mariage gay est né à Lyon
13 mars 2013 A 17:19, par Christelle Monteagudo, Lyon Capitale, extrait
De son côté le conseil régional du culte musulman par la voix de son président indique "ni soutenir, ni s’opposer" à ce collectif. Si Benaissa Chana avait participé à la manifestation du 13 janvier dernier, il ne participera pas à la prochaine pour des raisons personnelles. Il tient cependant à préciser que "les musulmans qui manifestent le font avant tout par convictions et non contre un gouvernement ou François Hollande."
Société
Islam : les lourdes ambiguïtés du CCIF
12h00, le 1 novembre 2020, par Guillaume Dasquié, le JDD, extraits
[...] Ces derniers jours, passé l'étonnement chez les anciens cadres du CCIF, ses militants ou ses avocats, l'heure est au bilan. Celui-ci se révèle paradoxal et trahit de pesantes ambiguïtés. [...] A l'appui des griefs gouvernementaux, l'association a ouvert de larges espaces à d'authentiques fondamentalistes. Au printemps, elle a ainsi offert sur son site Internet deux tribunes à un intellectuel de la mouvance islamiste, Aïssam Aït-Yahya, un penseur hostile à la démocratie et à la république, invité régulier des réseaux religieux turcs de l'AKP - le parti islamiste du président Erdogan. Dans un de ses ouvrages,De l'idéologie islamique française (éditions Nawa, 2011), Aït-Yahya utilise d'ailleurs le thème de l'islamophobie pour encourager tous les musulmans à récuser les principes fondateurs de la société française. Sur le site du CCIF, il stigmatise un "despotisme de l'Egalité" qui selon lui prendrait "sa plus terrible dimension dans la démocratie française, qui n'hésite pas à user d'une laïcité dogmatique comme arme de restriction massive des libertés". [...] Pour leur défense, les responsables du CCIF mentionnent qu'Aïssam Aït-Yahya s'est déjà exprimé dans l'hebdomadaire Le Point (c'était toutefois dans le cadre d'une interview) et qu'ils ne se sentent nullement responsables de ses écrits. Un blanc-seing accordé aux figures islamistes qui verraient dans le CCIF un outil de propagande rêvé en direction des musulmans de France.
Société
Aïssam Aït-Yahya : "Au nom de ma foi, je ne suis pas républicain"
Publié le 16/09/2016 à 07:19 | Le Point
Islam & droits humains - Dossier
Brève introduction au droit musulman
www.humanrights.ch, extraits, au 4/12/2020
[...] La source principale à laquelle se réfère la charia est le Coran. Le texte sacré de l’Islam se compose de 114 sourates, composées de versets et réparties, non par ordre chronologique, mais selon la longueur. Une autre source fondamentale de la charia est la Sunna, à savoir le recueil des actions et du comportement que le Prophète Mahomet a eu durant sa vie; les communications orales du Prophète sont appelées Hadith.
[...] Entre la fin du IXe et le début du Xe siècle, le droit musulman classique s’était définitivement constitué. C’est avec l’expansion et les conquêtes européennes du XIXe siècle que le droit musulman fut largement substitué par des codifications inspirées du droit occidental, à l’exception du droit familial qui devenait par là un symbole de l’identité islamique. Au cours de la deuxième moitié du XXe siècle, la séparation d’avec les anciennes puissances coloniales amena de nombreux États (entre autres l’Iran, la Lybie, le Pakistan et le Soudan) vers un processus de réislamisation de leurs législations et de leurs constitutions.
Islam & droits humains - Dossier
Déclarations islamiques des droits de l’homme
www.humanrights.ch, extraits, au 4/12/2020
[...] Déclaration islamique universelle des droits de l’homme (19 septembre 1981)
[...] Déclaration du Caire des droits de l’homme en Islam (5 août 1990)
[...] Charte arabe des droits de l’homme (15 septembre 1994 révisée en 2004)
Mardi à 6 heures, la PJ a perquisitionné le domicile de Farid Slim à Chambéry, sur instruction du parquet antiterroriste de Paris. L’ancien imam ne comprend pas et a reçu le soutien officiel du NPA 73.
Publiée par Le Dauphiné Libéré sur Mercredi 2 décembre 2020
L'#UE s'engage à lutter contre l'#antisémitisme "sous toutes ses formes" https://t.co/QjspGJnoY1
— ANADOLU AGENCY (FR) (@aa_french) December 3, 2020
Des militants, des dirigeants et des nationalistes sans états d'âmes ?
Edit du 29 au soir. Je ne lis pas tout le temps Idriss, il m'a bloqué, il est donc moins simple à suivre. « dit : et Il vous accordera d’autres choses encore que الله vous aimez bien: un secours [venant] d’Allah et une victoire prochaine. Et annonce la bonne nouvelle aux croyants As Saff-61-13 » Selon l'un de ses tweets d'hier soir, ce ne sont pas 500 000 mais un million d'euros qui sont bloqués. Si Il avait un plan الله pour indemniser des victimes, il existerait donc déjà ce bon fonds, ce qui va rassurer. Puis comme il fallait s'y attendre, ni Feïza ni personne d'autre n'a réagit à ce que j'ai tweeté ou encore publié là ; ça se passe toujours comme ça quand je tweete ou publie ; mais ça m'arrange, ça m'épargne les trolls, le harcèlement, les injures, trop de menaces, des mentions en nombre, les signalements, une suspension, tout ça. Selon un tweet de Feïza, elle pourrait n'y avoir perçu qu'un raid numérique réunissant tout le monde, de gauche à droite, à l'initiative et dans le prologement des obsessions de Damien Rieu. Comme si nous avions besoin de ce dernier pour écouter, lire, réfléchir, rire et prendre des initiatives. Mais si ça lui chante, toute critique n'émane toujours que de Damien Rieu, de Valeurs, de CNEWS ou de Zemmour, ce qui serait ainsi très en conformité avec les éléments de langage de ces islamistes. Feïza avait elle même pour obsession de sauver le CCIF et BarakaCity, mais ça, c'est maintenant mort et enterré ; il lui reste à présent à tenter de sauver Idriss, bon courage.
Edit du 29... la presse nous dit encore qu'il existe bien des voies de recours en France, même pour les fervents. « Le Conseil d’Etat ordonne au gouvernement de revoir la jauge des 30 personnes pour les offices religieux » « L’exécutif a trois jours pour modifier son décret limitant le nombre de fidèles autorisés à se rassembler dans les lieux de culte. » Je ne sais plus quel évêque nous disait qu'il disposait de 600m² pour recevoir du monde. Sur Twitter, CAGE a désapprouvé un article d'un parlementaire britannique, Sajid Javid, paru dans The Telegraph ; « President Macron is right – this is an intellectual battle to confront a grotesque form of separatism in our midst [...] This is not a battle of borders, bombs or bullets. Nor even one primarily of counter-terrorism powers and resources. It’s fundamentally a battle of ideas. [...] Where France draws on the enlightenment of the Republic, the nation of Burke and Locke also has deep wells to draw on. We cannot afford to be neutral or ambivalent about tolerance, freedom of speech, and integration. Liberal democratic values can and should unite us all, whatever our colour or creed. They are the antibodies that define and protect Western civilisation. »
Dans une vidéo de ce 29 courant, 32 minutes pour Face Camera, un compte Youtube quelconque, 444 abonnés, mais des vues, oubliant au minimum 1789 ainsi que la franc-maçonnerie et ses contributions, parlant par moments longtemps « jeune », on devine tout du long aisément lesquels, Marwan Muhammad abonde. Il se présente mathématicien, « avec une spé en probabilités », statisticien, aujourd'hui, dirigeant d'une structure de conseils en statistiques ; il rappelle s'être impliqué dans l'univers associatif, d'abord diplomate, puis contre le racisme, l'islamophobie, ensuite pour la défense des « droits humains », la lutte contre les discriminations, on est au parfum. Comme Feïza Ben Mohamed, il délite le débat, on comprend que toute critique de l'islamisme politique (il nous parle d'ailleurs plutôt de l'Islam et de relégués) ne pourrait émaner que de l’extrême droite ou de papy, hier, ouvertement raciste, aujourd'hui, plus prudente, s'avançant sous les fards de la laïcité et de l'hostilité aux religions. Il décrit ou construit un « recodage de la laïcité », un « objectif politique », avec, pour conséquence, « l'invisibilisation », la « silenciation de toute une génération religieuse ». Il nous parle d'un « poison récurent », toutes ces critiques, durant tant d'années, qui a envahi nos débats politiques. Mais il me semble cependant que Marwan Muhammad estime les laïcards « gérables », c'est un non sujet ou il l'a vite évacué. Sur Youtube, Peace Love commentait, ajoutant ce que j'aurais plutôt réservé pour railler le traitement des Ouïghours en Chine : « La laïcité d’aujourd’hui c’est de l’extrémisme athée, ils veulent effacer toute trace de la religion( Surtout le religion musulmane). Les laïcards n’ont rien à envier à Pol Pot et Staline. » On vient de couper l'eau à Idriss et au CCIF, on va bien sûr leurs couper l'eau à tous...
Je lisais ensuite le Parisien, la littérature à ces sujets est depuis quelques temps vaste, « Derrière l’humanitaire, la part d’ombre de BarakaCity qui inquiète les autorités », daté du 27 octobre. Il y est repris une comm' Facebook d'Idriss du 3 septembre, Charlie venait de republier des caricatures, le procès des attentats de janvier 2015 s'était ouvert, 17 morts, déjà pour des dessins, la rédaction de l'hebdo, des policiers et l'Hyper Cacher, lire Le Point ; « C'est quoi cette histoire ??? Ils insultent notre prothète [...] Qu'Allah maudisse Charlie et ENFLAMME leurs tombes à la chaleur du soleil ! » J'y découvrais un tweet de Idriss de l'an passé, manifestement en réaction à Christchurch. « Brenton Tarrant has been arrested for the massacre of 50 people at two mosques in Christchurch, New Zealand. The far-right terrorist broadcast the 17-minute shooting spree live on Facebook. » Ce 5 octobre, suivait un cours de liberté d'expression.
Caroline Fourest a trouvé un article très drôle sur The Spectator, French republicanism confounds American progressives, par Stephen Daisley. L'auteur raille une nouvelle forme de francophobie Américaine, phénomène qui n'aurait qu'empiré depuis début novembre (c'était possible ?), pour qui la gauche de là bas a perdu la tête, qui allume le New York Times, The Washigton Post, Amnesty International également, puis qui conclue : « If American progressives cannot or will not understand France, they should stop writing, tweeting and hyperventilating about it. [...] The next time a French teacher is beheaded in the street or worshippers slain in church, should we enquire whether the assassin’s browser history includes visits to the websites of the New York Times and the Washington Post? Maybe we should apply to these organisations the standards they propose for others. Maybe France should be able to sue them — for its safety, you understand. » On se sent tout de suite moins isolé après avoir lu ce genre de plumes.
Edit du 30. J’ai fini par mieux cerner à qui Feïza et Muhammad se réfèrent, qui est pour eux la figure du papy atterrant, des pensées à combattre pour que le monde soit un jour meilleur, la figure toute à l’opposé de Idriss et la cause de tous ses malheurs, qui est le « bon père », le Gérald, le Préfet, le Français moyen, tout à fait typique ou représentatif. On pourrait évidement croire qu’il s’agit de Macron ; lui penserait comme Valeurs ; nous penserions tous comme Valeurs ou bien pire ; en effet, selon Marc Endeweld, journaliste #LFI Monde Diplo #GiletsJaunes #Sputnik #QG le média libre, Macron serait obsédé par « le grand remplacement », en privé, il ressasserait tout le temps des propos de Zemmour, de Renaud Cammus ; mais cela ferait de Macron un imbattable champion en taqîya, en dissimulation, fin octobre, il avait été longuement interviewé pour Al-Jazeera, il en subsiste une vidéo de 55 minutes ; or ce n’était ni Valeurs, ni Zemmour, ni Cammus qui s’exprimait ainsi pour Al-Jazeera. Pour Feïza et Muhamad, le Français moyen pourrait n’être autre que Patrick Jardin ; père de Nathalie, une victime du Bataclan, à 31 ans ; Patrick, un totem d’un autre camp selon le Monde, se dit « apolitique », « ni de droite ni de gauche », est assez à l’écart des merdias sauf du micro de Sud Radio, semble être très bien accueilli également par TVLibertés et Vive L'Europe, par la sphère du RN, des Patriotes et de Génération Identitaire, par Riposte Laïque, le Salon Beige, le Siel, par Renaud Cammus lui-même ; je n’ajoute pas de lien, inutile, on les trouve très vite sur Twitter comme ailleurs ; par contre, les plus curieux devront se précipiter, car sur Twitter, Patrick Jardin y serait à son 31ième compte, il finirait tout le temps suspendu.
Sur Twitter, j'ai remarqué un thread sur la carrière supposée de Feïza Ben Mohamed #SoutienCCIF #SoutienBarakacity
J'apprenais ainsi qu'elle aurait crée jamaissansmavoix.fr et @JamaisSMV, en septembre 2020, à moins qu'elle n'en soit encore que porte parole ou bénévole. Il ne faut que trois fois rien pour créer un site web et pour ouvrir un nième compte de soutien quasi à entièrement dédié à ceux qu'on préfère. Plus ces groupes de soutiens réels ou fictifs sont nombreux #astroturfing davantage nous aurons le sentiment que beaucoup ont adhéré à la cause de Idriss et de ses quatre enfants, maintenant eux même privés de toit et nourriture... Jamais Sans Ma Voix ne follow pas grand monde, sur son site, ne publie pas tant, et ne tweete pas beaucoup plus que en faveur de Idriss et d'associations maintenant dissoutes ?
📢 J’avais tellement hâte de vous l’annoncer!
Après des semaines de travail et de réflexion, le site https://t.co/9cJsOXPAE9 est officiellement en ligne!
Vous pouvez aussi vous abonner au compte @JamaisSMV pour suivre les dernières publications! #JamaisSansMaVoix pic.twitter.com/n7JsoJChr1— Feïza Ben Mohamed 🧕🏼 (@FeizaBM) September 23, 2020
Les enfants, encore, qui pourrait être insensible aux enfants, « HONTEUX », envoie Feïza :
Un rouleau compresseur s’est mis en route pour anéantir @IdrissSihamedi en gelant les avoirs de @Barakacity mais également ses fonds personnels, l’empêchant ainsi de pouvoir payer son loyer, ou toute autre facture alors même qu’il a quatre enfants à charge. HONTEUX. https://t.co/xYJY0i8bti
— Feïza Ben Mohamed 🧕🏼 (@FeizaBM) November 28, 2020
Je n'ai pas approfondi tout des tweets de Gaston Cremieux, aucune idée de ce que cet ensemble pourrait valoir. Mais ça a fini lapidairement validé par Fatih Karakaya ? Fatih, un personnage qui est pour moi bien connu déjà : « Pauvre débile elle vient de te defoncer et tu oses encore parler ? Ta vie doit être tellement pourrite que tu vies dans des fantasmes délirants. » Tweeté en réplique par Fatih, c'est savoureux, en octobre, lui-même nous avait exposé que Samuel Paty n'est même pas mort, qu'il a juste été caché, qu'on a vu qu'une photo d'une tête en cire, que ce n'était qu'un coup monté du Mossad ou du KGB, de services secrets, qui en ont profité pour buter un Muslim innocent, de 9 balles, et tout cela pour nous remonter tous contre les Muslims de France ainsi que d'ailleurs... A Feïza, Gaston envoyait un moment : « Bientôt la sortie des larmes de crocodiles dont vous êtes coutumière alors que vous êtes d'une froideur qui pourrait faire peur ». Fatih ne me parle plus, m'ignore. Feïza, correspondante à Nice pour Anadolu Agency, ne me répond jamais.
#BarakaCity #CCIF @FeizaBM ça s’interpète comment ? https://t.co/gNLa34vL3v pic.twitter.com/7PxRs6HTuU
— Bruno Kant (@bkant) November 25, 2020
1/@FeizaBM a récemment défendu le @ccif sur le plateau de @balancetonpost. Présentée comme «bénévole » au @ccif, la protégée d'Hanouna est en réalité une militante aguerrie : c’est un cas particulier d’islamisme «modéré» et médiatique. un thread⬇️https://t.co/LWRqF4r333
— Gaston Cremieux (@GastonCremieux) November 8, 2020
Après quelques tweets échangés avec Gaston, pointant vers le code pénal et ses articles 411-4 et 411-5, ou jusqu'à 30 ans de détention criminelle, Bibi envoyait : « pourquoi le crime d'intelligence avec une puissance étrangère n'est pas invoqué par le gouvernement ? » Il s'agirait des assises, où des jurés seraient à convaincre, de simples tweets, retweets et brèves, une simple proximité ou tant d'accointances avec un ennemi de la France n'y suffirait certainement pas. Par contre, j'imagine que la DGSI se régale, travaille à documenter mieux le profil Twitter de Feïza ainsi que ceux de son entourage.
Sinon, vous connaissez Fatih Karakaya? Pas n'importe qui non plus. Un autre auteur de l'erdosphère (Anadolu, AHaber, ... et son compte Twitter). Pour les cerner mieux: follow @GundemFransa, TRT, Anadolu... et @yenisafak pic.twitter.com/1K4UmCgIaC
— Bruno Kant (@bkant) November 28, 2020
La Turquie de Erdogan et ses soutiens sont absolument sans états d'âmes, je pense l'avoir assez bien démontré dans mon billet Les caricatures du prophète ﷺ : une aubaine pour la Turquie d'Erdogan et je crois que je le démontrais aussi assez bien dans des billets tels que « Français, ça suffit ! Où sont tes Lumières ? Réveille toi ! » ou même avec Après la BD, des photos, un roman photo, toute une histoire. Je pense que Bahar Kimyongür confirmerait, que tout ce qu'une telle sphère pourra utiliser ou instrumentaliser pour soutenir leurs protégés, leurs causes ou leurs intérêts sera bon à prendre. Ümit Dönmez, journaliste pour Anadolu, m'avait un moment répondu : « inutile de calomnier... » Je crois qu'il réagissait alors à « nationalistes sans états d'âmes », mais je fais ou raconte moi même ce que je veux.
Idriss, je ne sais trop ce qu'il imaginait. Que ses tweets finiraient par peser en faveur de Baraka City, au Conseil d'Etat ? Je trouve que l'Administation aura finalement été sympathique, elle a attendu que le Conseil d'Etat rejete la demande, en référé, de suspension de la dissolution de Barakacity ; un jugement au fond suivra, un jour ; si l'Administration ou une banque n'a pas tout simplement cafouillé et tardé à faire verrouiller tous les comptes, Idriss était le chantre et président de Baraka City, sa responsabilité pourrait éventuellement être engagée... On nous a tout de même très régulièrement parlé de 2 millions de victimes ainsi que de 47 employés sur le carreau. Mais avec 500 000 euro déjà bloqués, il doit y avoir moyen de réparer quelques préjudices. Le verrouillage de ses comptes personnels serait-il en rapport avec d'autres procès à suivre #PrésuméInnocent qui vont l'opposer à une ex-journaliste de Charlie Hebdo, Zineb El Rhazoui, ainsi que à une chroniqueuse de la radio RMC, Zohra Bitan, certainement aussi au parquet ? Seul Idriss ou éventuellement ses avocats pourraient nous expliquer mieux ce qui s'est passé avec ses comptes personnels et si c'est effectivement en rapport. Sauf renvois à nouveau, il y a toujours du covid dans l'air, décembre et janvier devraient encore être animés sur Twitter. En tous cas, oui, ça peut faire effet rouleau qui va passer, parfois peut-être de façon érotique erratique aussi, c'est là qu'on rigole ou crie le plus... J'imagine que des gens se sont déjà mobilisés pour faire manger au moins ses enfants.
ayant reçu une poussée de quelqu'un,
continue à rouler d'elle-même • John Galsworthy, Justice, 1910
Après l’annulation par le Pakistan d’un contrat pour AirBus d’1 milliard 500M d’€, des comptes Koweïtiens entendent maintenir une campagne de boycott considérant que les excuses de #Macron doivent être présentées aux mosquées, associations humanitaires fermées. https://t.co/q2BRFo10eo
— Idriss Sihamedi (@IdrissSihamedi) October 31, 2020
D'un statut Twitter, voir un billet du 1er novembre
Je crois que nous allons changer un peu de sujets, rediscuter de l'Iran, et à nouveau plus de Israël. Un scientifique expert en nucléaire aurait été abattu par des services secrets. Il va falloir que j'approfondisse un peu ce qu'a pu publier Ahmet T. Kuru, qui fait en certains paragraphes écho à mon propre billet Dieu est mort... Mais pourquoi des directeurs et dirigeants, notamment de Turquie, nous reparlent-ils maintenant tant d'islamophobie après nous avoir pris tellement déjà la tête avec Charlie et ses « blasphèmes » ? Avec l'Iran, nous prépareraient-ils à un ultime et conséquent conflit verbal avec Israël ?
« Down with Israël », ce n'est pas un peu dur ? Peut-on encore critiquer sans être taxé immédiatement de « raciste » ? « Concernant vos références systématiques au nazisme, merci d'enfin reconnaître la shoah », ajoutait enfin Bibi dans ce petit clash avec Feïza et Fatih. La suite s'annonce encore très houleuse, virulente, sinon détonante. « Nazi, Vichyste, xénophobe ! » On fini par s'y accoutumer. Ce 27, @UK_CAGE me le lançait très vite... et sans m'avoir lu, je pense ; je venais de publier un petit billet sur leur association. S'agirait-il d’éléments de langage pour faire taire ou pour discréditer très vite ? Au moment de railler Israël, vont-ils lancer « Europe, fini ton travail ! » ? Après toute cette débauche verbale contre la France, Macron, Darmanin et Charlie, pour des dessins, les critiques de la Chine pour le traitement infligé depuis plusieurs années déjà aux Ouïghours, ça pourrait suivre, s'annoncent compliquées pour ces lourds du monde Islamique. Je n'imagine pas une seule seconde Yeni Şafak, Erdogan ou Rohani lâcher « libérez nos frères, fermez ces goulags ! »
Turquie: 4 terroristes du PKK/YPG éliminés dans la zone de l'opération Rameau d'olivier en Syrie
28.11.2020 ~ 29.11.2020, TRT
Savoirs
Quand le PCF calomniait Soljenitsyne et son "Archipel du Goulag"
21/08/2018 (mis à jour à 15:48)
Par Hélène Combis, France Culture, extrait
De 1958 à 1967, l'écrivain russe Soljenitsyne a recueilli dans la clandestinité les témoignages de deux-cent vingt sept victimes du goulag. Il les a organisés en soixante-quatre chapitres, correspondant à deux énormes volumes. Titré L'Archipel du Goulag, cet essai d'investigation littéraire est publié à Paris en 1974, aux éditions du Seuil. L'accueil qui lui est réservé, dans une France encore biberonnée aux dogmes du Parti communiste, est pour le moins majoritairement inamical. Mais la bataille idéologique qui se jouera autour de cette oeuvre va justement contribuer au déclin de l'idéologie du PCF, commencé au début des années 1960.
Dilnur Reyhan et Gulbahar Jalilova sont ouïghoures. Elles se battent pour que le monde ouvre les yeux sur le virage génocidaire pris depuis fin 2016 par le régime de Pékin dans le Xinjiang. https://t.co/veMGej8CJP pic.twitter.com/rFRQlzUyuu
— Mediapart (@Mediapart) November 22, 2020
International
Les propos d'Ahmadinejad contre Israël soulèvent un tollé sur la scène internationale
Le Monde avec AFP et Reuters, publié le 20 avril 2009 à 15h47 - Mis à jour le 21 avril 2009 à 08h31, extrait
Lors de la conférence sur le racisme "Durban II", organisée par l'ONU à partir du lundi 20 avril à Genève en Suisse, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad s'est de nouveau fait remarquer pour ses propos sur Israël.
"Après la fin de la seconde guerre mondiale, ils [les Alliés] ont eu recours à l'agression militaire pour priver de terres une nation entière sous le prétexte de la souffrance juive", a-t-il expliqué à la tribune. "Ils ont envoyé des migrants d'Europe, des Etats-Unis et du monde de l'Holocauste pour établir un gouvernement raciste en Palestine occupée (...) Des efforts doivent être faits pour mettre un terme aux abus des sionistes et de (leurs) partisans", a poursuivi le président iranien.
Son discours, attendu comme l'un des moments clés de la conférence sur le racisme de l'ONU, a provoqué le départ immédiat des représentants des Etats de l'Union européenne.
Non, le terme “islamophobie” n'a pas été “créé par l'ayatollah Khomeini”
Valentin Graff, Rémi Banet, AFP Factuel, Publié le lundi 27 août 2018 à 16:05, extraits
[...] L'essayiste Caroline Fourest écrivait en 2003 dans une tribune parue dans Libération et co-écrite avec Fiammetta Venner que "le mot ‘islamophobie’ a une histoire, qu'il vaut mieux connaître avant de l'utiliser à la légère. Il a pour la première fois été utilisé en 1979, par les mollahs iraniens qui souhaitaient faire passer les femmes qui refusaient de porter le voile pour de ‘mauvaises musulmanes’ en les accusant d'être ‘islamophobes’".
[...] Dans un ouvrage paru en 2013, les sociologues Marwan Mohammed et Abdellali Hajjat, rattachés au CNRS, situent à 1910 son apparition : "On doit l’invention du néologisme 'islamophobie' et ses premiers usages à un groupe d’'administrateurs-ethnologues' spécialisés dans les études de l’islam ouest-africain ou sénégalais : Alain Quellien, Maurice Delafosse et Paul Marty", écrivent-ils dans Islamophobie. Comment les élites françaises fabriquent le "problème musulman".
[...] L'historien Alain Ruscio fait lui aussi remonter l'origine du terme "islamophobie" à 1910 en citant le même Alain Quellien. "Contrairement à une vulgate répandue, il [le mot "islamophobie"] est plus que centenaire. La première utilisation du mot retrouvée date de 1910. Elle figure sous la plume d’un certain Alain Quellien, aujourd’hui oublié", écrivait-il dans un article publié en janvier 2016 dans la revue Orient XXI.
[...] Vincent Geisser, chercheur au CNRS et auteur de La nouvelle islamophobie (2003), rappelle de son côté que le terme est présent dans la langue française dans les années 1920 "sous la plume du peintre orientaliste Etienne Dinet, qui entendait par-là dénoncer les 'élucubrations' de certains auteurs chrétiens sur la religion musulmane".
Le sociologue souligne cependant que l’usage du terme est alors réduit "à quelques cercles d’anthropologues, de poètes ou de peintres islamophiles qui dénoncent la peur des musulmans et de l’islam".
[...] "Mais il est vrai qu’après la révolution islamique de 1979, le régime iranien a joué de cette peur de l’islam, ou de cette prétendue peur de l’islam, de cette thématique de l’islamophobie, comme un outil de propagande, outil politique et géopolitique, mais comme la plupart des grands pays musulmans dont l’Arabie saoudite", précise le chercheur à l'AFP.
Pourquoi le blasphème est-il passible de la peine capitale dans certains pays musulmans ?
Par Ahmet T. Kuru
Professor of Political Science, San Diego State University
12 mars 2020, 19:11 CET, The Conversation, extraits
[...] Selon la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale, la législation punissant le blasphème en vigueur au Pakistan est la deuxième la plus stricte au monde après celle de l’Iran.
[..] 32 des 71 pays où le blasphème est considéré comme un crime sont majoritairement musulmans. Le degré d’application de ces lois et le niveau des sanctions prévues sont très variables.
[...] Ces lois religieuses sont largement soutenues par la population dans certains pays musulmans
[...] Vers l’année 1050, certains juristes et théologiens sunnites, appelés les « oulémas », ont commencé à travailler en étroite collaboration avec les dirigeants politiques pour combattre ce qu’ils voyaient comme l’influence sacrilège des philosophes musulmans sur la société.
[...] Mais de nombreux érudits de l’islam et intellectuels musulmans rejettent cette vision des choses, qu’ils jugent radicale. Ils rappellent que Mahomet n’a jamais fait exécuter quiconque pour apostasie et n’a jamais appelé ses partisans à le faire.
[...] Les débats en cours au sein du monde musulman sur les lois punissant le blasphème et l’apostasie sont largement influencés par la situation internationale.
En outre, il convient également de rappeler l’existence dans les pays occidentaux de certaines lois discriminatoires à l’égard des musulmans, telles que l’interdiction du voile à l’école ou la décision de l’administration Trump de ne pas autoriser les ressortissants de plusieurs pays à majorité musulmane à accéder au territoire américain.
Ces lois et politiques islamophobes peuvent créer l’impression que les musulmans sont assiégés et justifier aux yeux de certains d’entre eux l’idée que réprimer le blasphème serait un acte de protection de la foi.
De mon point de vue, c’est plutôt l’existence de règles religieuses aussi strictes qui nourrit les stéréotypes anti-musulmans. Plusieurs membres turcs de ma famille m’ont même déconseillé de travailler sur cette question, de crainte que cela n’alimente l’islamophobie.
Mais mes recherches montrent que la criminalisation du blasphème et de l’apostasie est de nature politique plus que religieuse. Ce ne sont pas les versets du Coran mais les dirigeants autoritaires qui exigent le châtiment des blasphémateurs.
Pakistan - Le blasphème et la mort
Assassinat d'un scientifique iranien : Israël cherche à créer le "chaos" selon Rohani
Publié le : 28/11/2020 - 09:28Modifié le : 28/11/2020 - 09:29, France 24, extrait
Hassan Rohani a accusé samedi Israël de se cacher derrière l'assassinat d'un scientifique de premier rang, spécialiste du nucléaire. Selon le président iranien, l'État hébreu aurait agi pour le compte des États-Unis. De son côté, le guide suprême, Ali Khamenei, a appelé à "punir" les responsables. Plusieurs scientifiques spécialisés dans le domaine nucléaire en Iran ont été assassinés ces dernières années.
Islamophobia is a rising trend, Turkish FM says
by Anadolu Agency, Daily Sabah
ANKARA Diplomacy
Nov 27, 2020 7:05 pm GMT+3, excerpts
[...] Speaking at the 47th session of the Council of Foreign Ministers of the Organization of Islamic Cooperation (OIC) in Niger's capital Niamey, Mevlüt Çavuşoğlu pointed out the rising trend of Islamophobic, racist and anti-migrant discourse, especially in Europe.
[...] As an example, Çavuşoğlu recalled how French police officers arrested children and held them for over 11 hours in Albertville, France on false allegations of "apology of terrorism."
"We must be awake to this dangerous rhetoric and actions and we should send a clear message regarding our red lines," he added.
[...] Çavuşoğlu added the need to speak up for the fundamental rights and freedoms of the Uyghurs, Rohingyas, Turkish Cypriots, the Turkish Muslim minority in Greece, the people of Jammu and Kashmir as well as Muslims in Europe and the rest of the world.
Islamophobia is a rising trend, Turkish FM sayshttps://t.co/3i0en3k3ha
— DAILY SABAH (@DailySabah) November 27, 2020
An online #webinar discussed the roots and context of global #Islamophobia in light of #IslamophobiaAwarenessMonth. The event held by the #London #Muslim #Centre discussed wide-ranging issues related to #Muslim #minorities living in #Europe. https://t.co/62R7l8vS0U
— ANews (@anewscomtr) November 27, 2020
Avec ou sans @UK_CAGE ? https://t.co/q1h5GGQXfu pic.twitter.com/U1yTA6FqaA
— Bruno Kant (@bkant) November 27, 2020
Students of Iran’s Basij paramilitary force rally in front of the foreign ministry in Tehran to protest the killing of top nuclear scientist Mohsen Fakhrizadeh pic.twitter.com/ZLDq0tVdij
— TRT World (@trtworld) November 28, 2020
« He Was Unaware »
Chez The New York Times, on nous confirme que personne ne savait, ne se doutait ni ne s'inquiétait jamais de rien.
Qui ajoutait dans un autre article « So Are the French Elites » - j'abonde, elles sont ainsi. « Hiding is new for Mr. Matzneff. For decades, he was celebrated for writing and talking openly about stalking teenage girls outside schools in Paris and having sexual contact with 8-year-old boys in the Philippines. ... But Mr. Matzneff has been summoned to appear in a Paris court on Wednesday, accused of actively promoting pedophilia through his books. »
Au passage, j'ai trouvé un gros bug sur le site web de NYTimes, le même genre de gros bug qui existe également sur plusieurs sites web de journaux en France, dont le Parisien. C'est rigolo. On va dire qu'on s'en contrefout aussi.
Et je me dis qu'un colloque et des tables rondes avec des journalistes, des censeurs tel que au voisinage de #copyright sinon pas loin de Thierry Ardisson, et puis des intervenants tel que DSK, Tristane Bannon, Matzneff, Christophe Girard, quelques conquêtes de Matzneff, ce serait amusant aussi. On apprendrait encore que personne ne pouvait voir
Puis c'est aussi l'opportunité de citer Cohn-Bendit, vautré pour Apostrophe, en avril 1982 : « le rôle du naïf, de jouer le naïf.... le type qui répète pendant 10 minutes, je suis naïf, je suis naïf, on va croire naïvement que c'est vrai ». Une personnalité également, à lire sur le Monde : « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi vous m’avez choisi, moi, et pas les autres gosses ?” Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. » Dans l'idéal, Cohn-Bendit, modérateur
Si ce n'est Daniel Cohn-Bendit, le modérateur de ces tables rondes de naïfs et autre inexpérimentés ou mutiques, ce pourrait être Ruben Smadja, expert en bêtise : « une faillite des connaissances, une mise en acte du refus de la responsabilité, une régression confortable à l'âge où on ne savait pas ». L'OSE France jusque à leur Direction ainsi que nos rabbins et divers autres ecclésiastiques, sinon psys, trouvailleurs sociaux ou magistrats apprécieront.
DSK : France 2 se censure pour des questions de droits d’auteur
Guillaume Champeau, 06 juillet 2011 - Société, Numerama, extrait
Arrêt sur Images a repéré une curiosité sur le site de France 2, sur lequel les internautes peuvent voir ou revoir les journaux diffusés sur l’antenne de France Télévisions. « Le 20 heures du lundi 4 juillet a été amputé de plus de deux minutes dans sa version web. Au moment où David Pujadas lance le reportage sur la plainte de Tristane Banon contre DSK, un bandeau indique que la chaîne ne peut rediffuser le sujet, et deux minutes plus tard, la vidéo reprend comme si de rien n’était« , constatent nos confrères. A la place du sujet, un message sur fond noir explique au spectateur que « pour des raisons juridiques », le sujet ne peut être visionné.
Supporter of Gabriel Matzneff Says He Was Unaware of Pedophilia
By Norimitsu Onishi
March 7, 2020, NYTimes, extrait...
“Maybe I’m a little naïve, and you might think otherwise,’’ Mr. Girard said.
But while he initially said that he had first learned of Mr. Matzneff’s pedophilia on reading “Le Consentement,’’ he later said that he had heard of it in 2013, when Mr. Matzneff won a prestigious literary award — and some anti-pedophilia groups protested.
Mr. Girard was the mayor of Paris’s 4th arrondissement at the time. He said he now regretted not having spoken out against the writer, though he said other government officials, including culture ministers, were also silent.
“Why should I have been the white knight of French morality?’’ he said.
Since the mid-1970s, Mr. Matzneff had written extensively and talked openly, on television and in countless written interviews, about engaging in sex tourism with boys in the Philippines and about what he described as great love affairs with a series of girls in their early teens in France.
In 1974, Mr. Matzneff published a full-throated defense of pedophilia titled “Les Moins de Seize Ans” (“Under 16 Years Old”). The book made him famous in literary circles, earning him appearances on a famous literary television program, Apostrophes, and a regular column in Le Monde.
ENTRETIEN. Daniel Cohn-Bendit rêve...
Propos recueillis par Yves-Marie ROBIN.
Publié le 30/06/2020 à 16h04, Ouest-France
Silence
Silence, c'est ce qu'avaient exigé Xavier Serrier et le parquet de Nanterre. Alors silence #FuckYou pourquoi pas.
Une expérience de « l'assistance éducative », assez pour faire réapparaitre un enfant, assez aussi pour traiter plus tard un avocat de faurisson. Une expérience du droit et de ce milieu, assez même pour effrayer un juge et le forcer à juger... Ca n'a jamais intéressé personne ; j'espère un jour connaitre et comprendre les raisons de cette indifférence.
Et le temps passe. Je me plaignais déjà de l'ASE des Hauts de Seine, dès tout début 2003 ; puis assez vite également du juge des enfants de Nanterre et de son cabinet ; ensuite, de l'OSE, beaucoup de leur MECS de Taverny, puis de quantités de choses encore. Non sans motifs valables. D'ici quelques temps, 15 à 20 années se seront écoulées. L'ASE ou cette DDASS s'occupant mal d'environ 500 000 mineurs d'une classe d'âge, ces « professionnels » auront « travaillé » ou simplement négligé jusqu'à un bon million d'enfants et leurs familles.
« Voisins, services sociaux, justice, tout le monde savait... rue de la Tuyolle à Taverny »
« Excessif ! », pourrait-on me lancer, j'vois pas trop d'autre choses. Mais je ne dois pas être plus excessif qu'un Jean-Marie Vauchez, éducateur spécialisé qui n'a jamais vu de violence dans un foyer de la DDASS. Et je ne pense pas être excessif du tout lorsque j'affirme que seul le juge Thierry Baranger était vraiment très différent d'autres petits juges de Nanterre et très différent aussi des hauts magistrats de Versailles. Ni même excessif lorsque j'affirme que, hormis à de trop rares exceptions et sur très courtes périodes, tout ce qui a été infligé à mes enfants, à ma famille ainsi qu'à moi même a laissé tout le monde indifférent, surtout les gens de milieux qui prétendront qu'ils ne travaillent ou n'ont jamais travaillé ainsi ni cautionné ces façons de faire ; ce n'est ni l'OSE France ni l'ARSEA Alsace qui pourraient ici me contredire. « Masculiniste ! » vont relancer les #radfem qui ont été bernées par la Police de Paris et par AFP...
Mais « silence (et va te faire foutre profondément) »... un haut magistrat d'une Première Présidence vous lâchera plus dignement « allez vous faire mieux conseiller », aujourd'hui, ça me convient ; ça repose, le silence, ou peu de sollicitations, si peu de mentions, par peu de moralistes incultes ou de bas étages, peu de critiques ou de ricaneurs et pas d'injures sur les réseaux sociaux ; ça m'arrange, ce calme, cette quiétude. Par le passé, un peu plus de bruit suffisamment pertinent aurait certainement pu changer le cours des choses pour ma famille et mes enfants. Maintenant, ce n'est plus que la merde dans laquelle d'autres que nous sont enfuis ou en passe de l'être, ce qui n'est pas mon problème, d'autant moins mon problème que j'avais assez bien prévenu toutes ces années passées.
Si, j'avais prévenu, très souvent. Même autour du cas Agnès Marin ou de Matthieu, ce mineur parfaitement réinsérable, une affaire qui avait ébranlée tout le gratin. Là encore, je crois qu'on s'en cognait, ou presque. La PJJ et l'ASE ou ces expertises à raz des pâquerettes nous en seront éternellement reconnaissants ; ils font un boulot formidable
Pour ma fille ainée et ma famille, j'avais prévenu aussi, très régulièrement. Je prévenais les juges, je prévenais les autorités ; je crois que j'ai prévenu partout et tout le temps, de fin 2002 à 2009. Mais on me renvoyait à chaque fois vers les magistrats de Nanterre et vers la cour de confirmation de Versailles... « Sans la justice, c'est la sauvagerie du plus fort ». Pendant tout ce temps, il fallait que je ferme ma gueule, que j'aille me faire soigner ou me faire foutre, ils ne supportaient pas mes critiques et remarques, et que j'accepte et même que je « collabore » avec les #educspé et à leur entreprise de destruction... J'ai tourné une page, j'ai fermé la porte après 2009. Après des années puis des mois et des mois d'efforts encore, et après que des #éducspé et des magistrats aient une fois encore tout anéanti. Passé 2009 et des vacances d'été en famille, j'ai juste laissé la DDASS finir son « travail », pour ne plus avoir de difficultés après la majorité de mon ainée. Ils l'ont « orientée », déscolarisée. Voilà. Quand des imbéciles s’obstinent, on s'incline.
Octobre 2010, je ne faisais plus que me moquer des magistrats et du parquet, des journalistes aussi: https://t.co/AiAIYK0tPy Suivait après un arrêt de @Courdecassation qui a juste été ignoré: https://t.co/y6f634crVo
— Bruno Kant (@bkant) October 11, 2019
« Il faut toute fois noter que toutes les situations de séparation ne sont pas équivalentes et que certaines sont plus "agitatrices" que d'autres [...]. » • Richard Josefsberg, lire Internat et séparations, une « référence »
Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, Montesquieu, 1721 • « Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice, lorsqu’on va, pour ainsi dire, noyer des malheureux sur la planche même sur laquelle ils s’étaient sauvés. »
« Quand les situations n'entrent pas dans le cadre des nouveaux modèles de réussite, quand les enfants ont des réactions et des attitudes qui ne ressemblent pas aux images de "l'enfant du divorce" forgée par notre société, ceux qui se tournent vers la justice pour qu'elle dise la norme et tranche un conflit de droit ne rencontrent qu'une institution désemparée. Faute de savoir répondre à leur demande, la justice ne peut que mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour étouffer les différends. » • Le démariage. Justice et vie privée, Irène Théry, Odile Jacob, 1993, reédition de 2001, pages 239-240.
Au conseil municipal de Fresnes, dans le Val-de-Marne
Ce 2 courant, je me suis rendu à la mairie, pour y assister enfin à un conseil municipal. Par le passé, j'avais bien annoncé que je finirais par y retourner, par tenter en tous cas de m'y rendre à nouveau. Ce 2 au soir, personne ni aucun sauvage ne filtrait l'accès à la mairie. En mars 2013, la police nationale m'en avait arraché peu avant l'ouverture de la salle : pour un contrôle approfondi de papiers pourtant parfaitement en règle ; quelques fonctionnaires dont un commissaire assez louches s'étaient alors mis en tête de m'interdire l'accès au bâtiment et à ces débats, des débats normalement publics.
C'est le maire qui fait sa police à ces moments, pas des employés de bureau ou ces poulets. Éventuellement, un préfet pond un arrêt, une interdiction Administrative susceptible d'être critiquée dans un tribunal... A Fresnes, dans le Val-de-Marne, sur la fin de la séance, M. le maire en vient aux questions écrites, puis aux questions orales ; et ensuite, historiquement, ou comme depuis 25 à 30 ans, M. le maire propose au public présent de s'exprimer, lui aussi !
Début 2013, peu après une interruption d'une messe catholique à Saint-Cyr-l'Ecole, j'aurais souhaité interrompre également ponctuellement le conseil municipal, cette assemblée, pour parler encore, dont de justice, beaucoup, ainsi que de protection de l'enfance, surtout. Ce qui aurait été parfaitement compatible avec un déroulement habituel d'un de ces conseils et la police ou le règlement de M. Jean-Jacques Bridey, député-maire Socialiste. Mais début 2013, à la mairie de Fresnes, le règlement tout à fait discrétionnaire, contraignant et brutal du commissariat de l'Haÿ-les-Roses s'était imposé. « Nous devons éviter tout trouble à l'ordre public », risquait ensuite M. le maire pour le journal le Parisien...
Ce 2 mars au soir, M. le maire a présenté le budget. A suivi un « débat », puis un vote, vote au cours duquel une partie de l'opposition a gesticulée, se ridiculisant. Ensuite, au moment des questions, les élus ont discuté entre eux de viande en barquettes, puis également de poubelles, de détritus, de responsabilités et d'impossibilités. Le public est resté aphone, silencieux et calme du début jusqu'à la clôture de la séance ; pour tout public présent ce 2 au soir, il ne devait y avoir que quatre journalistes, ou des gens qui prenaient des notes, ainsi que moi. Hé oui, ce soir là, j'ai laissé ces gens discuter du budget, puis de conjectures, du vote, d'un nouvel espace commercial et de boucherie, puis enfin de poubelles ainsi que d'ordures, pas plus. Je ne me rendais à la mairie que pour y observer le déroulement d'un conseil municipal. En 2013, j'aurais souhaité parler, y prendre la parole, interpeller, discuter, avec des élus et des journalistes ; mais ce 2 au soir, à Fresnes, je n'avais que l'envie de constater tout en restant très discret et en me taisant ; bonsoir ; au revoir.
J'ai principalement remarqué ces quelques troubles et embarras ou sourires parmi les élus au moment du vote. Des grincements aussi lorsqu'ils discutaient de déchets et d'ordures.... Ainsi qu'un tout petit peu de bordel au cours de l'appel, il s'était effectué dans un brouhaha rappelant l'ambiance d'une salle de classe où chacun se tiendrait assez mal, tous s'installant en bavardant avec d'autres. « Bruno ! » J'aurais pu réagir déjà et crier « présent », est-ce que ça aurait beaucoup dérangé ? J'aurais même pu commencer à discuter dès que quelques uns venaient vers moi et me seraient la main. Une des élues, écolo, a pu me reconnaitre mais nous n'avons elle et moi échangé qu'un regard ou deux. J'ai juste sondé deux élus après le conseil, ceux-ci m'ont confirmé que le public y a bien un tel temps de parole, depuis des années.
Je finirais peut-être de rédiger ou de compléter ce billet plus tard. Pour le moment, j'attends. D'une part, une très éventuelle réponse de la préfecture du Val-de-Marne, où, tout en rappelant des mails de début 2013, je viens de reécrire : « J'ai publié des tweets suite à cela. Dont des questions adressées à @PoliceNationale @Place_Beauvau et @Prefet94 ». « Une opinion, quelque chose à ajouter ? » D'autre part, et alors que tout le monde s'en cogne, ce que je ne sais que trop bien, j'ai pour le moment moi-même beaucoup trop la flemme pour en écrire maintenant et ici davantage.
Ajout du 7 mars au soir. Ca me fatigue, cet ajout. J'ai toujours la flemme. Peut être d'abord parce que ce que je publie ici est le plus souvent ignoré, lorsque ça ne suscite pas tout simplement du mépris, des haines, des sournoiseries ou des imbécilités en retour... Tout début mars 2013, j'avais envoyé un mail à la préfecture du Val-de Marne ; juste après ces moments autour de la mairie de Fresnes et cet envoi au Val-de Marne, puis Beaubourg, un 8 mars, encore pour interpeller et pour parler avec des journalistes, la préfecture et la police de Paris me faisaient très vite entraver et enfermer cinq longues semaines. En mars 2013, ces saloperies ou abrutis de fonctionnaires ne s'étaient pas seulement contenté de m'enfermer, de me museler, de me faire retirer longtemps jusqu'à mon téléphone ; avec d'autres tout aussi incorrects, ils avaient alors également enfumé la presse ! Dans ma boite de réception, pour le moment, je n'ai pas encore remarqué une réaction des services de la préfecture du Val-de Marne ; mais ces quelques lignes que j'y envoyais récemment ont pu se perdre ou même disparaitre parmi les spams, ces courriers indésirables ; j'y ai reécrit, encore, ce 7.
En patientant, après mon envoi à la préfecture, ce 2 mars, ainsi qu'entre mes tweets à tous sujets, j'ai refouillé ce qui avait été publié ailleurs, depuis 2013. Dans Le Courrier des maires n° 279 de mai 2014 (ainsi que CE, 14 déc. 1992, n° 128646, une décision mentionnée par cette même revue), nous lisons bien que ce sont les maires qui garantissent la bonne tenue des séances du conseil municipal, pas ces fonctionnaires ou des sauvages de la police nationale. Je reste persuadé qu'alors, en 2013, des agents et ce commissaire de l'Häy-les-Roses avaient commis une voie de fait, ou ce qui « apparaît lorsque une autorité administrative et de manière plus générale la puissance publique commet un acte grave entravant la liberté des particuliers » ; « les actes ainsi accomplis ont perdu leur qualité d'actes administratifs » ; « Exemple... Un préfet me met en garde à vue sans fondement ». C'est peut-être pour cela et car honte imbuvable que depuis début 2013, ces préfectures et ces fonctionnaires là, de l'Etat, n'ont plus jamais rien répondu, sauf en se fourvoyant encore.
Ces agissements ou décisions d'alors, autour de mars-avril 2013, me semblaient relever du pénal, de l'article 432-4 au minimum, dont l'alinéa 2 me plait beaucoup : « Lorsque l'acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d'une durée de plus de sept jours, la peine est portée à trente ans de réclusion criminelle et à 450 000 euros d'amende. ».
Tu les secoues vraiment, @lpenou @Nawel_KS @Biaise puis tôt ou tard, t'es libre, même contre l'avis des "spécialistes" de @justice_gouv pic.twitter.com/Ui3yyFiQPC
— Bruno Kant (@bkant) 2 mars 2017
Alors qu'au printemps 2013, je souhaitais parler beaucoup de justice, de tribunaux, d'abus et de boulettes déjà commises par ces mêmes sphères, l'Administration, l'Etat de ce pays, l'article 222-13 du même code m'inspire également beaucoup : « Les violences [...] n'ayant entraîné aucune incapacité de travail sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende lorsqu'elles sont commises : [...] 5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte [...] 7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; [...] 10° Avec usage ou menace d'une arme ; [...] Les peines sont également portées à cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende lorsque cette infraction, ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours, est commise dans deux des circonstances prévues aux 1° et suivants du présent article. ».
Du pénal, et jusqu'à trente ans de réclusion ? Un préfet ou un ministère pourrait là réagir un jour, à peu près en ces termes, je connais bien la chanson : « si vous croyez qu'ils ont vraiment été aussi stupides et mauvais, trouvez un avocat et retournez dans les tribunaux, assignez l'Etat ! » Je connais un autre air encore, #loi1881 et la plume, ce que je viens d'ailleurs de tweeter : si quelque chose déplait trop dans ce que j'ai publié ici ou ailleurs, @justice_gouv finira saisit.
@prefpolice J'ai pu m'expliquer un peu mieux #tweetsprécédents auprès du fonctionnaire Caillat #soviets #journalisme pic.twitter.com/eea92XMuoy
— Bruno Kant (@bkant) 10 avril 2013
Par curiosité, j'ai vérifié. « Changement à la tête de la préfecture » vers ce 24 février, lit-on sur le Parisien ! Laurent Prévost a été nommé préfet. « Il remplace ainsi Thierry Leleu, qui avait été nommé dans le Val-de-Marne en janvier 2013, après avoir été vice-président aux relations extérieures d’Eurodisney. » Mickey, Donald, Goofy, puis la préfecture. J'ai bien fait de rédiger un billet, quelques lignes seront toujours plus limpides que juste des tweets et des courts mails.
Puis constaté ce 9, en fouillant un peu encore... « Nommé en février 2013, Thierry Leleu quittera la préfecture pour le Conseil d’État le 13 mars », selon www.fresnes94.fr. Je croyais qu'il était déjà parti, et ça me désolait. C'est mieux, ça m'arrange ainsi, qu'il n'ai pas déjà tout plié et fait ses cartons. Son successeur aurait pu me répondre qu'il n'est au courant ni responsable de rien. S'il était déjà ailleurs, M. Leleu aurait pu réagir en me lâchant qu'il a tout oublié, tel un Mirmand.
Dans le Loiret, ce 7, selon Libé, François Fillon a lâché : « Il faut retrouver l’autorité de la loi (…) Les voyous doivent redécouvrir ce qu’est la loi ! » « Transmis à tous les intéressés », ajoutait leur journaliste ou correspondant. « A Orléans, le mot soumission, cela fait des siècles qu'on l'ignore. Eh bien moi aussi, je ne me soumets pas ! », a noté le Figaro. Affaire Baupin, « Les quatre femmes qui avaient dénoncé les agissements du député en 2016 se félicitent de la décision du parquet de Paris. Denis Baupin veut porter plainte contre elles. », lit-on sur le Monde...
Ajout du 11... Lire également L'autorité du maire et le poulet municipal au conseil : cas pratique, sur une opération de police ou de muselage au conseil municipal, comment procèderait Marc Etienne Lansade, le maire de Cogolin. Lire aussi un portrait de cet élu, aux archives de Var Matin, d'où ces extraits : « "Je n'ai jamais rêvé de faire de la politique. Mais j'en avais assez de râler devant ma télé." Il s'oriente vers le mouvement frontiste. [...] Sa première apparition publique avait détoné. Nous sommes le 28 février 2013. En pleine séance du conseil municipal, un inconnu s'assoit aux côtés des élus, avant d'en être logiquement écarté. Son nom est Marc-Etienne Lansade. "C'était un coup : je voulais qu'on parle de moi. Ça a fonctionné." » Il a été enfermé ou « contrôlé » ensuite, Marc Etienne Lansade ? Ce portrait de 2014 n'en dit rien.
Le maire de @fresnes_94 vient de me serrer la main. On ne se connaîtrait pas, pourtant... pic.twitter.com/joIBC1BlRW
— Bruno Kant (@bkant) 2 mars 2017
.@PoliceNationale Vous avez une opinion à ces sujets? @Place_Beauvau @Prefet94 Et vous, vous avez quelque chose à ajouter?
cc @fresnes_94 pic.twitter.com/xGS1f56R6O— Bruno Kant (@bkant) 2 mars 2017
Du 8 mars, très tard, le soir... à la même heure, le 8 mars 2013, j'étais entre les pattes des services psychiatriques de @prefpolice et drogué, piqué, empaqueté, attaché, coupé du monde extérieur. Mon blog est pratique. Quoi qu'on en pensera, il m'est utile. A me souvenir, à refouiller le passé, et à rire aussi. L'image juste à la suite, très certainement Jean-François Guthmann et Roger Fajnzylberg, est extraite de la vidéo du Colloque de clôture du Centenaire de l’OSE qui s’est tenu dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris, jeudi 17 janvier 2013. « Only the dead can forgive ! »
L'OSE venait d'être encore reçu en grandes pompes à la mairie de Paris. Je foutais mon bordel habituel sur Twitter, puis en février, à Saint-Cyr-l'Ecole et ensuite autour de Fresnes. Début mars 2013, ma fille ainée était reçue au Sénat... Et je grimpais sur Beaubourg puis Christophe Girard, maire de Paris 4e, me recevait. Ca ne pouvait que si mal finir
Et là, je rigole, @cgirard @bertranddelanoe @jjbridey94260 @prefpolice @prefet94 autant que d'autres pouvaient se marrer en janvier 2013. pic.twitter.com/6iMG1y2ntl
— Bruno Kant (@bkant) 9 mars 2017
Sinon, vous connaissez Jean-François Guthmann, le Président de @OSE_France? Un expert en étoufages.
Révélation: https://t.co/7tvjhn45wP pic.twitter.com/6A6V5lubA0— Bruno Kant (@bkant) 11 mars 2017
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« Droit de suite »
J'ajoute ce billet « Droit de suite » sans qu'on ne m'ait rien demandé. On ne me parle quasi jamais.
#Fillon ou ce marin qui essuie une tempête inédite, qu'il espère très passagère, m'amuse évidemment, comme tout le monde. « Droit de suite », ai-je lu dans un entrefilet, peut-être en faveur de notre Batman national... On en retiendra que tweeter #cacagate très fatigué, à pas d'heures ou à 13h43, pourrait valoir l’indulgence de la cour d'appel de Versailles.
Oo #avocats les #journaux du pays #presse juste un bref "droit de suite" https://t.co/Yf6TpQAP3K pic.twitter.com/WFylDaaJi3
— Bruno Kant (@bkant) 1 février 2017
Ajout du 7 février, tard... « Droit de suite », dira-t-on. Selon Valeurs Actuelles et ce qui s'apparente à une tribune en faveur de l'IPJ (j’omets ce lien, pour faire un peu plaisir), Eolas se serait pourvu en cassation ; patience ; « La justice est une machine qui, ayant reçu une poussée de quelqu'un, continue à rouler d'elle-même » • John Galsworthy, Justice. D'après François Fillon, qu'il faut croire malgré ses silences, ses excès ou ceux de son camp, leurs approximations puis des excuses publiques, le Canard ne ferait que nous mentir... « Tout est légal ». Si ce journal satirique disait si grotesque, faux ou mensonger, le candidat investit par les Républicains n'aurait pas à multiplier gesticulations, répliques et déclarations pour se maintenir à flots ? Restent attendus : les éclaircissements de Pénélope, littéraire et avocate, en personne, les plaintes de François contre tous ces médias qui « calomnient », l'opinion du PNF, qui serait incompétent, selon les avocats du couple. « Opération reconquête » alors qu'il s'est « sauvé », « c’était inespéré », les bruits seraient enfin étouffés : #Fillon « est arrivé à #Troyes (Aube) sans dire un mot et a pris soin de ne pas rencontrer les #habitants, restés derrière les grilles »... « #Fillon pronostic vital réservé », risquaient Coignard et le Point.
Ajout du 8. Me Bernard Ripert est à nouveau libre d'exercer. En juin 2016, nous pouvions lire un très bref « ouch » : la cour d'appel de Grenoble le condamnait à 3 ans de d'interdiction, dont 2 fermes. Selon France 3 Alpes, « la Cour de cassation a jugé que l'appel du procureur général de Grenoble contre sa relaxe n'avait pas été régulièrement déposé. »
Ajout du 8 au soir... « Affaire #Fillon : les zones d'ombre de la procédure judiciaire [sont à l'étude] », voir challenges.fr. « Les neuf failles de la défense de François Fillon », c'est chez les Décodeurs du Monde... Pour cinq phrases de #Fillon en personne qui le massacrent lui-même, lire Libé. Pour le reste, ou nombre de petites phrases du passé comme du moment, et qui font depuis peu bien rire ou grincer également, lire @FrancoisFillon. « Affaire Fillon. L'`' ex-collègue'' de Penelope Fillon gagnait 607 € » peut être lu chez Ouest-France. « `'Le Postillon” écope d'une amende avec sursis », à Grenoble encore : 1500 euros de dommages et intérêts en appel, « sans nous couler, ça nous plombe le budget ». « Ethique et leadership, ce que l’affaire Fillon nous apprend » : Les Echos, rubrique idées/débats, rien que des vacheries encore ; « Le candidat à la présidentielle semble avoir oublié que les pratiques managériales d'hier ne sont plus celles d'aujourd'hui. Désormais, les règles que l'on impose aux autres s'appliquent aussi à soi-même. »
Ajout du 9. Les Echos nous apprend que deux enfants du couple Fillon ont été entendus pendant plus de 7 heures par le PNF. Je suppose qu'ils ont du passer tout ce temps à lancer « incompétents » aux enquêteurs, ainsi qu'à leurs rabâcher « séparation des pouvoirs ! » Les avocats du couple demandent maintenant au PNF de se dessaisir. Une opinion amusante à ces sujets : « François Fillon : la revendication de l'immunité », sur libertescheries.blogspot.fr... Après ceux qui ont pu paraitre dans un Figaro, on trouve encore quelques indices utiles dans un des blogs de Mediapart.
Du 10. Tandis qu'une certaine droite et des anonymes s'en prennent encore aux « merdias », Capital nous éclairait sur « la maison » des époux Fillon, une bâtisse et des dépendances susceptibles d'avoir engloutit une grosse somme. « Affaire Fillon : pourquoi les avocats s’en prennent au parquet national financier ? » « Comment s’explique la vigoureuse contre-attaque des avocats de François Fillon ? » Le Monde nous renseigne : « Si le PNF n’est pas compétent pour enquêter sur l’affaire, il est étrange que les Fillon aient demandé à être entendus `'rapidement'. Ils l’ont d’ailleurs été en présence de leurs avocats, qui n’ont ni souligné l’incompétence » [...] « Sans pouvoir agir sur la procédure en cours, les avocats agissent sur le terrain politique. `'On n’a jamais vu une situation comme celle-ci où un candidat investi par 4,4 millions d’électeurs dans le cadre de la primaire se retrouve à ce point suspendu à la décision d’un juge", ont-ils déclaré lors de la conférence de presse. Tout en admettant qu’ils n’avaient `'aucun pouvoir, aucun recours dans le cadre d’une enquête préliminaire'. `'C’est un geste désespéré, un rideau de fumée", estime un magistrat, faute d’avoir les moyens d’agir sur l’enquête, sauf par une mise en scène médiatique. » Ce 6 février, le PNF prévenait que : « L’enquête se déroule dans le strict respect de l’article 11 du code de procédure pénale, avec la célérité et la sérénité appropriées. » (...) « Il serait hasardeux de préjuger dès à présent de leur issue. » Ce 10 février, Europe 1 confirmait que le PNF « ne devrait pas prendre de décision avant d'avoir terminé ses investigations ».
Ce 10 au soir, après brefs rappels et courts développements, le « tract » ajoute une touche : « Dans cette dernière hypothèse », d'une « pause accordée en vertu d’une vieille tradition républicaine », « la magistrate acterait alors le fait qu’un classement sans suite est inenvisageable à terme. Une décision qui offrirait un peu d’air judiciaire au candidat Fillon. Mais ne manquerait pas de le plomber encore un peu plus politiquement. »
Les rumeurs de la nuit du 11 au 12 février sont reprises par le Parisien, alimentées par le JDD : « [EXCLUSIF #JDD] Le parquet national financier pourrait opter pour des poursuites contre les époux Fillon », lisait-on sur Twitter. Ce 12, Les Echos tweete et publie : « "Aucune décision n'est prise à ce stade de l'enquête" sur des soupçons d'emplois fictifs de l'épouse du candidat à la présidentielle François Fillon et "aucun calendrier n'est fixé à ce jour", a affirmé dimanche le parquet national financier, après les afirmations du Journal du dimanche. » « On ne s’attend à rien de particulier », lâche un des proches du candidat, selon 20 Minutes, « Pour nous, l’enquête du PNF est illégale ». La mise en examen ? « Le pire scénario ». « C’est le pire scénario, poursuit un de ses proches. On ne l’envisage clairement pas ! »
Du 13, tard. Selon Paris Match, François Fillon est indifférent aux « rumeurs parisiennes ». Le JDD confirme : « Quand on l'interroge, il hausse les épaules : "En trente-six ans, ce n'est pas la première fois que j'ai des opposants qui viennent manifester; ça ne m'impressionne pas." Derrière les barrières et le cordon de gendarmes, il déguste donc, imperturbable, citron et fruit de la passion et s'offre un bain de foule avec ses partisans sans un regard pour les manifestants. » François Fillon voit dans sa candidature « un train qui ne s'arrêtera pas », c'est à lire sur le Figaro ; « ... il s'estime victime d'"une injustice profonde" [...] Et pourquoi diable avoir attendu quinze jours pour mettre en cause la compétence du parquet national financier, s'il était vraiment convaincu que son auto-saisine constituait "une atteinte à la séparation des pouvoirs"? "Parce qu'on ne l'avait pas vu avant", lâche-t-il, en plaidant "une certaine naïveté". [...] Convaincu d'être la cible d'une opération politique, il n'imagine pas que les manifestations d'hostilité contre lui puissent être spontanées. "Vous me prenez pour un con ?, s'offusque-t-il. Bien sûr que c'est coordonné !" [...] "Le temps va faire son œuvre", François Fillon en est persuadé. Sa candidature est "un train qui ne s'arrêtera pas" et la victoire lui paraît toujours à sa portée. [...] François Fillon ne s'est pas laissé d'autre choix que de "tenir". Il a déjà prévu de faire "L'Émission politique" sur France 2, le 23 mars. Dans cinq semaines, autant dire une éternité. » D'après le Figaro encore, une « petite vingtaine » d'élus LR réclameront des explications à François Fillon ; « Beaucoup se montrent en effet inquiets des conséquences des affaires touchant François Fillon sur le résultat de la présidentielle et ne se sentent pas entendus par le candidat. [...] "Il faut que nous trouvions une solution politique à la hauteur des enjeux car nous pouvons très bien nous retrouver dans le cas de figure absolument incroyable où notre famille politique se retrouverait absente du second tour de la présidentielle et ce n'est pas acceptable." [...] Les conjurés ont donc préparé le message qu'ils ont l'intention d'adresser au candidat. Il prendra la forme d'une "déclaration" dont les organisateurs réservent la primeur à l'ancien premier ministre. » On perçoit là un peu plus que cris, bruits de sifflets et casseroles bien contenus par des barrières et les services du maintien de l'ordre.
Puis, ce 15... « Devant les députés LR, François Fillon a reconnu que la campagne était difficile mais a affirmé qu'il ne se retirerait pas. » « Fillon démine le début de fronde parlementaire », à lire sur le Figaro... François Fillon dénonce un « harcèlement parlementaire », nous rapporte France Info. C'est une première, un « complot » de cette envergure ?
Avec le Canard de demain, 15 février, nous apprendrons que « Thierry Solère, porte-parole de François Fillon, [est] soupçonné de fraude fiscale » ; pour en savoir plus, lire le Monde... Il « fait l’objet d’une enquête préliminaire » ? « Thierry Solère, qui affirme avoir toujours déclaré ses revenus et être à jour de ses impôts, a annoncé son intention de porter plainte en diffamation contre l’hebdomadaire satirique », ajoute déjà LCI.
Du 17, très tard. François Fillon a encore changé d'avis. Après s'y être précipité pour lui répondre, il s'était donc ensuite mis en tête que le PNF est incompétent. Puis après avoir avoir affirmé qu'il se retirerait s'il était mis en examen (voire trop sérieusement mis en cause ?), après avoir demandé à ses plus proches d'attendre 15 jours et que le PNF lâche enfin ces affaires, Fillon a décidé qu'il s'en remettrait au suffrage à suivre plutôt qu'à la justice. « J'irai jusqu'à la victoire », lit-on sur le Figaro... François Fillon : « J'avais souhaité que la justice agisse vite dans cette période particulière qu'est la campagne présidentielle. Mais la justice n'a pas pris de décision. L'enquête se poursuit et l'horloge tourne. Plus on s'approche de la date de l'élection présidentielle, plus il serait scandaleux de priver la droite et le centre d'un candidat. Je m'en remets désormais au suffrage universel. Ma décision est claire: je suis candidat et j'irai jusqu'à la victoire. » Ce 16 février, le PNF nous informait que « les nombreux éléments déjà recueillis ne permettent pas d'envisager, en l'état, un classement sans suite de la procédure. Les investigations vont se poursuivre... »
#Sécurité #Fillon #LR à #Tourcoing « Tout ça [NDLR : cages d'escalier, la drogue, etc, on comprend très bien] ne donne lieu à aucune sanction parce que c'est trop compliqué, donc je propose qu'ils soient sanctionnés par une contravention... on paye, on paye tout de suite... et on ne passe plus devant le tribunal ». La vidéo n'en dit pas plus, Fillon n'ajoutait pas si lui-même, Pénélope et ses enfants allaient prochainement payer pour tout simplifier enfin.
Du 19, tard, #Rediff rapporté par le Figaro : « Ne nous laissons pas intimider ni par les attaques ni par les quelques manifestants qui voudraient nous empêcher de parler. Ils font du bruit ? Nous, nous défendons un projet pour la France et, en démocratie, c'est le suffrage universel qui décide, et lui seul », explique l'ancien premier ministre
Du 21, vite vu sur le Monde : « François Fillon veut tourner la page de l’affaire Penelope »
Puis du 21 très tard... Juste dire, et ne rien ajouter, c'est ce que nous apprend aussi le Canard qui parait ce mecredi 22.
J'étais aujourd'hui à #Tourcoing aux cotés de @GDarmanin. Ce fut l'occasion d'échanger sur mes propositions en matière de #sécurité. pic.twitter.com/HJvnGM2mYS
— François Fillon (@FrancoisFillon) 17 février 2017
Ajout du 24 au soir. Après ce que j'ai tweeté et publié, ici, moi-même, à ces sujets, je note que secouer un journaliste, c'est effectivement plutôt mal perçu. « Le directeur de Nigloland condamné pour violences volontaires avec préméditation », lire l'Est-Eclair... Je note également qu'autour de François Fillon et des Républicains, la situation se corse un peu également : « l'enquête confiée à un juge d'instruction » ; pour des réactions, voir sur le Parisien... ou lire Mediapart.
Ce 25, en lisant Europe 1, j’apprends que François Fillon et ses proches pouvaient être mieux informés. « Nous allons, mes amis, contrer les attaques. Nous allons traverser les tempêtes ! Nous allons franchir les ponts ! », a-t-il lancé au cours de son meeting à Maisons-Alfort.
Du 1er mars. Fillon annule sa visite au Salon de l'agriculture, et s'exprimera à la mi-journée. Le Parisien... A 12h01, @KoliaDelesalle tweetait : « Toutes les sirènes des casernes de pompier annoncent l'allocution de Fillon, c'est plus une campagne, c'est un film de Sergio Leone. » A 12h34, @lemondefr tweetait : « Je serai convoqué le 15 mars par les juges d’instruction afin d’être mis en examen », confirme François #Fillon A 12h38, @catherinegaste ajoute : « #Fillon "je vous demande de résister " "seul le peuple peut décider" "oui je serai candidat" »
Twitté le 11 mars, par @Valdiguie ou Laurent Valdiguié, rédacteur en chef : « JDD demain : Gérard Larcher a été mis en cause vendredi dans le bureau du juge Cros dans l'affaire des détournements de fonds au Sénat ». Dans un autre tweet, il ajoutait : « Entendu vendredi par le juge Cros, un ex du Sénat a reconnu avoir distribué des espèces à des élus. Les noms à découvrir demain dans le #JDD ». Avec des journaux, dont le Parisien, nous apprenions aussi que « Charles Hourcade, assistant parlementaire d'une députée FN au Parlement européen, a été mis en examen dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs. L'enquête visant les assistants du Front national au Parlement européen est passée à la vitesse supérieure. » Puis ajouté ce 12, par France Info : « François Fillon s'est fait offrir pour près de 48 500 euros de costumes par un "ami généreux", selon le "JDD" ». Sur le site du Dauphiné, nous lisons que « Dans une interview publiée sur le site des Echos ce dimanche, François Fillon confie "ne pas se faire beaucoup d'illusions" sur sa mise en examen mercredi, "compte tenu de la précipitation avec laquelle cette procédure est conduite". » Le 12 au soir, sur Twitter, nous lisons : « #Macron : "- le meilleur moyen de se payer un costard, c'est de travailler". #Fillon (rires). »
En lisant @VDNLille on apprend que @maitre_eolas a été relaxé?@OBerruyer Formidable. @JYMoyart @Alexis_Ridray #decodex #PQR #fakenews pic.twitter.com/wfnEnwFbW2
— Bruno Kant (@bkant) 20 février 2017
.@bkant Le @Protocole_ZATAZ doit-il être responsable du mutisme d'une association/forum ? Ils ne réagissent pas, c'est leur problème !
— Protocole_ZATAZ (@Protocole_ZATAZ) 21 février 2017
Du 12 mars, tard. En mai 2013, je revoyais Nanterre dans le Parisien, et je souriais. Selon le journal, quelques parents ou l'un d'eux déposaient alors bruyamment plainte contre une association de la protection de l'enfance. Ironisant quelque peu, je leurs souhaitais bonne chance : « La démarche de ces parents est bonne, ils se sont associés pour croiser leurs dossiers pour qu'il s'en dégage les pratiques habituelles des professionnels qui s'occupent de leurs enfants et de leurs familles... [...] Si Violette Justice travaille bien la forme et le fond de sa plainte, je pense qu'elle finira par aboutir. » Sur Facebook ainsi qu'ailleurs, sur Internet, j'avais depuis encore remarqué quelques rumeurs et cris. Ce 12 mars au soir, Google a fini par me déterrer un communiqué de l'association Olga Spitzer ainsi qu'un jugement de début 2016 pour un mail datant de 2012, des éléments qui renseignent, notamment sur la bonne foi, la légitimité, les preuves, l'animosité, ou en gros, sur ce qu'il faudrait s'abstenir de faire, surtout lorsqu'on y a pas réfléchit assez. Leur communiqué de mai 2016 précise que « La prévenue ayant fait appel de ce jugement, ce dernier n’est donc pas définitif » et commence par « Depuis plus de trois ans, l’Association Olga Spitzer est la cible de propos qui atteignent gravement à sa réputation et mettent en péril ses missions d’utilité publique. » Reste à attendre, l'issue de l'appel et d'autres éventuelles suites.
Je me posais des questions en mai 2013. Je pense avoir trouvé quelques réponses. https://t.co/tMBfvRqXto pic.twitter.com/IXxkkbEjcO
— Bruno Kant (@bkant) 12 mars 2017
Ce 14 mars 2017, 15h26 (maj. 15h33), le Parisien nous annonce que François Fillon a été mis en examen. Plus loin, RTL confirme, « mis en examen dans l'affaire des soupçons d'emplois fictifs », précisant que « François Fillon a été mis en examen, mardi 14 mars au matin, par les juges chargés d'instruire le dossier des soupçons d'emplois fictifs dont auraient bénéficié son épouse Penelope ainsi que ses enfants. » « Fillon placed under formal investigation »...
Vu sur Sud-Ouest, ce 18 mars : « Dans l’affaire Fillon et le volet des costumes Arnys, il dit se tenir à disposition des enquêteurs. "Mais pourquoi voulez-vous que j’ai peur ? J’agis en mon nom propre", disait en 2011 Robert Bourgi. Jeudi, selon Le Parisien, un dégât des eaux a endommagé des ordinateurs et téléphones de son cabinet. »
« Le pôle financier du tribunal de Paris a été évacué ce lundi après une alerte à la bombe, assure l'AFP qui cite une source proche de l'enquête. » Ouest-France, le 20 mars... « Les locaux abritent les juges d’instruction et le parquet national financier, chargé d’enquêter sur la grande délinquance économique et financière. Créé à la fin de 2013 à la suite du scandale du compte bancaire caché de l’ex-ministre du budget Jérôme Cahuzac, le parquet national financier est actuellement chargé des investigations concernant le candidat de droite à la présidentielle François Fillon. Des juges financiers instruisent aussi l’enquête sur des soupçons d’emplois fictifs au Front national. », lit-on sur Le Monde... Puis sur Twitter, à 12h36, nous lisons : « Fin de l'alerte au pôle financier du tribunal de grande instance de Paris, 5 rue des Italiens. "Levée de doute. Rien à signaler" (police). »
De source Le Parisien, 21 mars... encore un très sale coup de méchants juges rouges : « Le volet politique de l'affaire aura duré moins de 24 heures. Suite aux révélations lundi soir de l'émission Quotidien sur l'emploi de ses filles à l'Assemblée nationale lorsqu'il était député, le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux a démissionné, ce mardi après-midi. Le parquet national financier avait ouvert une enquête préliminaire peu avant. » On comprend mieux pourquoi le pays et nos élus sont à la dérive, des pré-ados, des surchargés et des débutants pourrissent la doc parlementaire
Du 21, encore. « Affaire Fillon : l’enquête élargie à des faits d’"escroquerie aggravée", `'de faux et usage de faux", le Monde... qui nous précise que : « Contacté, l’avocat de Mme Fillon, Pierre Cornut-Gentille, s’"indigne des fuites dans la presse" et réaffirme que sa cliente entend réserver ses premières déclarations aux magistrats instructeurs. Le conseil de M. Fillon, Antonin Lévy, n’a pas donné suite à nos demandes. »
Du 22 mars...Présidentielle : Jean-Luc Mélenchon ironise sur son patrimoine à près d'un million d'euros, le Parisien... « Et comme vous n’aurez pas de première dame, puisque je suis célibataire, au total, je serai un président moins cher. Cela vous fera donc faire des économies ».
Qui date un peu, déjà : La première Femen condamnée pour « exhibition sexuelle » relaxée en appel, le Monde...
Le 26 mars, le Monde ou le JDD nous expose le « système de défense » développé par Mme Fillon... extrait : « "Je n’y suis jamais allée." "Vous avez effectué pendant vingt mois une mission de réflexion stratégique sur la Revue des deux mondes sans jamais y aller, ni rencontrer le directeur, ni les employés et auteurs de cette revue ?", insiste le policier, étonné par la réponse de Penelope Fillon. "J’ai été déçue de ne pas être plus sollicitée", réplique-t-elle en guise d’explication. » A lire sur 20 Minutes : « Costumes, montres, vacances… Les jolis cadeaux reçus par François Fillon »
Vu sur Closer... « A peine sorti, le livre Bienvenue Place Beauvau ne finit pas de faire parler de lui. Après François Fillon, qui s'appuie sur l'ouvrage pour dénoncer un "cabinet noir" à l'Elysée, c'est une autre politique qui l'a lu bien attentivement. Valérie Pécresse se dit "frappée de stupeur" après la lecture du livre écrit par trois journalistes et compte porter plainte. »
Tapie, sur Fillon, dans le JDD du 1er ou du 2 avril : « Il est dans la peau de ceux, mis en examen, qu’il a tant critiqués. Lui comme sa femme doivent souffrir le martyre. S’il n’a pas renoncé, c’est pour conjurer sa souffrance ou pour prouver sa bonne foi. Mais il a pris un risque énorme, s’il est battu, il va porter sur ses épaules la responsabilité d’avoir empêché l’alternance à droite. Cela sera terrible à vivre. »
Fillon placed under formal investigation https://t.co/OzQFAlaQYW
— BBC News (World) (@BBCWorld) 14 mars 2017
Cette mise en examen de François Fillon, ça me donne envie de citer du François Fillon. (25/11/2016) https://t.co/2utPPSy5oz pic.twitter.com/YXew8C8QUW
— Etienne Baldit (@EtienneBaldit) 14 mars 2017
Du 23 avril, tard le soir, vu sur le Figaro... extrait : « Le candidat de la droite et du centre a indiqué «assumer» sa «reponsabilité» et que «l'extrémisme ne peut apporter que malheur et division à la France». François Fillon a reconnu, dimanche, sa défaite au premier tour de l'élection présidentielle. Avec près de 20% des voix, l'ancien premier ministre a échoué à se qualifier pour le second tour. «Les obstacles mis sur ma route étaient trop nombreux, trop cruels… Le moment venu, la vérité de cette élection sera écrite», a-t-il dit devant ses militants rassemblés au QG de campagne. »
"Les obstacles mis sur ma route étaient trop nombreux, trop cruels" @FrancoisFillon#Elections2017 https://t.co/2EuL7CwaCb pic.twitter.com/TLtWJpTU22
— Europe 1 (@Europe1) 23 avril 2017
A Meaux, dans la ville de Jean-François Copé, Jean-Luc Mélenchon arrive en tête. Fillon n'est que 4e https://t.co/kw731gghtV pic.twitter.com/QIyHpdXkWb
— Le Lab (@leLab_E1) 23 avril 2017
Fillon maintient sa candidature au second tour : « je refuse qu’on vole cette élection au peuple français » https://t.co/xQDZagnwPg
— Le Gorafi (@le_gorafi) 23 avril 2017
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