Mot(s) clef: Lise
Ces persiflages vont plaire à nos fanfarons !
Rédiger ce billet parfois très technique a été pour moi une sorte de distraction ou digression, en attendant mardi, une ultime audience à la cour d'appel de Versailles, puis, peut-être, une sortie à Paris, devant l'hôtel de ville, pour la journée internationale des enfants disparus (et spoliés par les pros aussi ; dans leur intérêt supérieur, bien évidement).
Cette période et mon agenda sont en effet pas mal chargés, comme souvent, et je me serais bien passé des derniers délires de SEFCA Puteaux, des plaintes, très officiellement déclarées auprès de la police nationale. Il suit encore Grasse ainsi que Aix-en-Provence, peut-être aussi Valenciennes et Douai. Strasbourg, je pense que c'est fini. Il suivra également Metz ainsi que cette ultime conférence, au mémorial de la Shoah. Il suit également une formation conçue et organisée par une association réputée, en septembre, pour des professionnels ; dans le cadre de sa préparation, ce 22 mai, je participais à un pique-nique, avec des parents, des bénévoles et des professionnels. Je travaille également.
J'ai de plus en plus le sentiment que ces deux putéoliens, le président et la vice-présidente de SEFCA Puteaux (ou « SEFCA Puteaux 2 », rien n'est très clair...), cherchent à me nuire, sur le plan familial et personnel, sur le plan professionnel aussi, ainsi que dans le cadre associatif ou toutes ces autres affaires souvent « privées », pour lesquelles j'interviens ou contribue, notamment publiquement, que ce soit en sortant ou par l'intermédiaire de mon blog et avec mes discours, ceux qui déplaisaient déjà tant à l'OSE France, au juge Xavier Serrier et au substitut Laeticia Felicis, puis ensuite, à l'ARSEA. Certaines coïncidences, sur de longs mois, sont en tous cas maintenant vraiment très troublantes.
L'hiver dernier, alors que la droite s'était pris une bonne tôle ondulée, Eric Woerth nous rappelait qu'il faut savoir attendre « le bon moment ». Pour moi, je crois qu'il était maintenant grand temps « d'ouvrir le feu ». Certains vont rire et d'autres vont geindre, c'est sûr. Que les « pas contents » se fassent tout de suite une raison ou qu'ils aillent voir un bon Eolas, il leurs recommandera peut-être sur le champ d'aller se faire soigner ; oui, tout se soigne, je pense que quelques psys n'hésiteront pas et confirmeront aussi. J'avais prévenu, très souvent, y compris prévenu encore une fois la chambre des créatures inférieures de Versailles, en décembre 2009 ; de mes dernières conclusions, déposées là bas :
J'ai récemment changé d'avis ; je pensais un moment que j'allais arrêter de commander toutes ces coûteuses captures d'huissier, que je pouvais enfin m'en passer. Le 20 avril dernier, je croyais même pouvoir tourner enfin une page encore, après un long périple en marge de mes distractions principales, « l'assistance éducative ». Mais vu les évènements récents, toutes ces nouvelles calomnies, injures et plaintes ou pressions encore dirigées contre moi, par SEFCA Puteaux, à nouveau très concrètes ces jours-ci, j'ai relâché ma butineuse favorite, celle qui m'envoie des liasses de papier. Ce 21 mai 2010, un mail de 18h18 m'a informé que les pages qui suivent ont été matérialisées - ou enregistrées aux minutes - d'un huissier de justice français :
• http://fr.forums.wordpress.com/topic/diffamations-injures-publiques-etc
• http://eclma.wordpress.com/2010/05/20/info-du-president/
• http://justice.cloppy.net/index.php/epilogue/2010/03/30/c-est-le-printemps
• une partie de la liste des amis d'un certain Lorentz, sur Facebook
• http://justice.cloppy.net/capture.20100518.zip
Fin février dernier, Frédéric Lefebvre, porte voix de l'UMP, nous proposait « un après Soumaré ». Il va être servi.
La dernière page ou capture est vraiment particulière. J'ai du en discuter un peu avec cette butineuse, avant la capture, pour lui exposer plus en détail mes intentions et ce dont j'avais besoin. En l'état et sans plus d'informations, cette page HTML ne prouve pas grand chose ; elle est hébergée sur mon propre serveur, un détail qui n'échappera pas aux spécialistes. C'est une archive zip qui ne contient qu'un unique fichier HTML (daté) ; pour charger et afficher les images de cette page, il faut être connecté à Internet (voir ensuite le source ou la propriété des images affichées pour connaitre leur localisation réelle, sur la toile). Je destine cette page HTML aux experts ainsi qu'à la police. Sauf si certaines images disparaissaient très soudainement d'Internet, la page affichée sera certainement assez conforme à ce que la police a pu voir sur ses écrans, lorsque je discutais très librement avec un OPJ ainsi qu'avec un brigadier du coin. Au commissariat, cette page avait fait bondir, puis réagir ensuite, sur la toile... et enfin, une partie de cette page HTML, tout en bas, s'en est évaporée ; voir sur le forum de Wordpress.com et dans ce fameux billet « info du président » du 20 mai, d'où ce petit extrait :
De quels faits s'agit-il ? Serais-je à présent suspecté de maîtriser Internet ou d'être un expert de ces milieux ? Où me suis-je vanté et en parlant de quelle convocation au juste ? Pourrait-on mettre en doute la parole d'un policier ? Y aura-t-il un jour une confrontation, de qui et pour quels motifs ? Monsieur Lorentz réclamerait-il soudainement une confrontation avec un policier, après mon propre goûter avec la police du coin ? Pour mieux comprendre ce dont ce président parlait dans son propre blog, il fallait être ce 19, au commissariat, dans le bureau de l'OPJ et du brigadier qui me recevaient, savoir lire aussi monsieur Lorentz... Je ne conçois pas que le président de SEFCA Puteaux puisse s'exprimer ainsi et seul, à de tels sujets, publiquement, alors qu'il ne sait certainement pas tout ce qui s'est dit en plus de trois heures, avec trois policiers, mon portable avec moi, avec un accès Internet non restreint à disposition, ainsi qu'avec du papier en main, beaucoup de papier, certains portant la signature et le tampon d'un huissier de justice.
Attention à la page « info du président », elle pourrait être différente ou supprimée sous peu... bref, un jour, non conforme à ce qui est aux minutes de ma butineuse professionnelle ? Si nécessaire, j'en publierais une copie. Son constat me parvient par la Poste. « Je remercie les O.P.J.d’avoir mis un terme à cette situation », pouvait-on lire, là bas, ce 21 mai, à 20h22.
Toujours de ce même billet, « info du président » : « Nous avons effacés les écrits du blogueur qui nous avait diffamés sur son blog - La raison est qu’il a modifié ou effacer certain contenu de son blog ». Si je comprend bien monsieur Lorentz, qui remercie maintenant la police nationale, j'aurai récemment effacé ou modifié « certain contenu », dans mon blog ? On en apprend tous les jours, en lisant, sur Internet. Depuis ce 19 mai, et au retour du commissariat de police, je n'ai effacé que deux choses : les noms et prénoms des policiers ainsi que leurs numéros de téléphone.
Ceux qui ont l'habitude de me lire ont souvent pu constater que je ne supprime pas mes billets, mais qu'il m'arrive parfois de les éditer en ligne, parfois sur quelques heures ou jours, au gré de mon humeur et de l'actualité, puis je n'y touche plus jamais. Il me serait même très facile de démontrer que mes billets d'avant ce 12 mars 2010 n'ont subit aucune modification. A l'époque, je flairais déjà ce que SEFCA Puteaux me réservait, j'avais alors décidé de faire matérialiser l'intégralité de mes données publiques ; c'est facile et très vite fait. Selon ce récépissé de plainte, j'aurai commis des fautes assez graves, entre le 1er octobre 2009 et le 1er avril 2010, puis, il y a peu, j'aurai supprimé du contenu dans mon propre blog ! En regard de cela, les Lorentz allèguent mais ils n'ont jamais rien à prouver, ils semblent même ne pas en avoir les moyens ? Un extrait de source eclma.wordpress.com :
« Or ce Mr QUI TIENS UN BLOG JUSTICE .CLOPPY.NET NE RESPECTE PAS
Ce principe de diffusion de photo de ma famille en mettant l’adresse ou l’on habite à avoir divulgué des procédures en cour , montages de textes qui sont sur le site de sefca Puteaux et détourne le sujet en écrivant à mes amis publique ou priver
en écrivent également au service de Rambouillet qui lui fourni les documents en cour de procédure et lancent des mails aux personnes que nous aidons dans le cadre de placement proférant des menaces sur notre personne et également nous faire chanter en exigent 2500 euro.
Je vous demande donc de procéder à son audition et à poursuivre »
Des montages de portions de textes, extraits d'un blog de quelqu'un d'autre ? N'est-ce pas précisément ce qui apparait en bas de la page du fichier au format HTML, dans cette archive zip ? Cette page HTML m'avait été transmise par une autre butineuse qui matérialise également des données aperçues sur Internet. Une page assez similaire apparaissait dans le blog de SEFCA Puteaux, sur Wordpress.com, alors que j'étais moi-même convoqué par la police nationale ; je pense qu'un brigadier au moins pourrait confirmer. Par contre, et d'une manière assez bizarre, quelques temps avant cette « audition » du 19 et alors que SEFCA Puteaux savait que je pouvais un jour être convoqué par la police, l'intégralité du blog de cette association hébergé par unblog.fr disparaissait de la toile : « Cet utilisateur a décidé d'effacer son compte, et ce blog n'est donc plus disponible », peut on lire sur eclma.unblog.fr. Par un heureux hasard, mes butineuses professionnelles ont aussi très bonne mémoire : 30 ans.
De quoi au juste ai-je été accusé récemment, par Christel Moreau ? Lorsque j'ai découvert cette plainte qui ne pouvait que me concerner, je n'ai pu qu'en rire. Une « atteinte à la vie privée » par « détournement d'informations publiques », plus précisément par « détournement d'informations d'un blog sur un autre » ? On parle plus généralement de « détournement » lorsqu'il y a eu fraude ou délit, un fait passible de poursuites, tel qu'un « détournement de fonds » ou un « détournement de correspondance privée ». Je crois que de tels documents ou déclarations de plaintes sont d'autant plus publics et diffamatoires ou calomnieux qu'ils ont été placardés sur Internet, par SEFCA Puteaux en premier, dans l'un de leurs propres blogs... Je crois qu'une plainte a ensuite été déposée contre moi - ou contre X ? - car j'aurai pu me procurer ce récépissé de dépôt de plainte d'une manière douteuse ou en employant des méthodes frauduleuses ; ce document semble être authentique et en tous cas, ce 19 mai, la police ne m'a pas dit qu'il s'agissait d'un faux ou d'un document non conforme ; ce récépissé, au format PDF, avait été placardé sur http://eclma.unblog.fr, peu avant la fermeture de ce blog ! Le fond de cette plainte ou les déclarations de Madame Moreaux sont tout aussi grotesques ; j'en ai beaucoup discuté, ce 19 mai, avec la police. Je pense que l'OPJ a bien compris que je n'ai enfreint aucune loi, du moins, que j'ai été assez prudent et que je n'ai cherché qu'à me défendre, face au flot des publications de SEFCA Puteaux, qui m'inondent régulièrement, depuis février 2009, des publications ou productions figurant maintenant aussi aux fichiers de la police nationale ! Ca va beaucoup plaire à Lefebvre, à Axel Poniatowski ainsi qu'à Valérie Pécresse.
Cette semaine, je me suis encore documenté. J'ai eu beau tout revoir et réactualiser, depuis 1803 et l'article 9, 1804 et l'article 1382, puis ces textes de 1881, remis au gout du jour en juin 2004, je n'ai pas le sentiment d'avoir commis une faute. Ces si vieux textes de 1881 articulés avec la jurisprudence de Nanterre, de Lyon, de la cour de cassation et la plus récente jurisprudence en matière de liberté d'expression de la CEDH protègent finalement assez bien, quoi qu'on en dise ici et là. Au cours des semaines passées, j'avais même buché le droit à l'image, d'une manière assez pointue. Mais le parquet de Nanterre ne sera peut-être pas de cet avis ; j'ai quand même pu enfreindre quelque chose ou offenser quelqu'un ? Le pasteur d'Uhrwiller ? On verra bien. Sous peu, les plaintes de SEFCA Puteaux devraient parvenir au parquet, avec ce que j'ai moi-même déclaré à la police, ce 19 mai.
Il y a peu, SEFCA Puteaux avait donc accusé l'ASE de m'avoir communiqué des documents extraits de dossiers judiciaires de monsieur Lorentz et de Madame Moreau, vice présidente de SEFCA Puteaux. Monsieur Françis Painot semble avoir démenti récemment, leurs faisant lui-même parvenir une réponse et opinion tout à fait limpide :
Voir l'un de mes billets du 4 mai, voir aussi le reste de ce blog
Je rassure à mon tour Monsieur Painot, je dispose de documents attestant que ces accusations qui ont été portées contre l'ASE et moi, par SEFCA Puteaux, sont au minimum farfelues. C'est un huissier de justice qui a « prélevé » ces documents, très probablement un faux ainsi qu'une plainte pour faux et usage de faux, dans un blog édité par SEFCA Puteaux. Car en effet, ces documents avaient également été placardés sur Internet, par le couple Lorentz !
De telles accusations ne pouvaient pas être prises au sérieux, d'autant moins que j'en avais moi-même déjà un peu parlé dans mon propre blog. Il fallait alors que SEFCA Puteaux envisage une autre stratégie pour émouvoir la police nationale ou le parquet ? Envoyer Madame à la police, pour s'y plaindre des publications de Bruno Kant ? Madame Lorentz et ses enfants, victimes de mes publications ? C'était à mon avis une très bonne stratégie, surtout après quelques promesses faites par ceux qui nous gouvernent, pour l'année 2010. Même Nadine Morano, parfois elle-même présentée par SEFCA Puteaux comme étant si méchante et radicale, aurait pu l'ouvrir dans la foulée et m'enguirlander avant l'heure, noël prochain ou un quelconque procès indigne de ce nom. Morano vient justement de faire une petite annonce en faveur des femmes martyrisées par de si vilains hommes - Nadine, si tu viens lire ceci, fais un noeud à ton mouchoir, penses à me radier un jour de ta liste de fervents militants lorrains ; par contre, si tu repasses dans le voisinage pour visiter les pouponnières de la Dass, n'hésite pas et invite !
Sur son fond, la plainte du 1er avril 2010 de la vice présidente de SEFCA Puteaux n'a cependant rien à voir avec de telles reproductions d'extraits de textes ou de documents très précis, tel que cette plainte pour faux et usage de faux vue ici et là sur la toile, un document que j'ai soigneusement choisi dans l'ensemble des publications de cette association. Dans cette plainte récente de Madame Moreau, à moins que dans une autre, encore portée contre moi, SEFCA Puteaux me reproche plutôt une sorte de « détournement de blog » ou surtout la « publication ou le détournement de photos de familles » sur mon site internet, manifestement via Google... un truc incompréhensible, un ovni ou boulet rouge qui file maintenant tout droit au parquet de Nanterre.
En effet et mes lecteurs s'en seront aperçu, au mois de mars dernier, je me plaignais moi même d'un trouble qui a depuis cessé. Lorsqu'on effectuait alors des recherches, sur Google ou sur d'autres moteurs de recherche, avec mon nom et prénom, il apparaissait d'abord des photos de famille et des enfants de Madame Moreau et de Monsieur Lorentz. Ce 19 mai, la police ne constatait plus aucun trouble. Lorsque l'OPJ effectuait des recherches en utilisant mon nom, il ne relevait plus rien d'anormal ni de bien exceptionnel à son écran. Je lui ai alors présenté mes constats d'huissier, sur plusieurs mois.
En réalité, SEFCA Puteaux se plaint aujourd'hui d'à peu près la même chose que moi, m'accusant, le moteur de recherche Google ayant longuement associé les « photos de famille » de Madame Moreau et Monsieur Lorentz à mon propre nom et prénom, en raison des publications de leur association, SEFCA Puteaux, dans leur propre blog, hébergé par unblog.fr. En septembre 2009, Monsieur Lorentz publiait encore une diatribe à mon encontre puis finissait alors par créer dans son propre blog une section intitulée « affaire Bruno Kant ». Peu après cela, Google ainsi que d'autres moteurs de recherche tel que 123People ont référencé mon identité et leurs images et photos. En épluchant les constats de ma butineuse professionnelle, la police a elle-même pu constater que Google référençait bel et bien des images hébergées par unblog.fr, dans le blog de SEFCA Puteaux. Je n'ai en effet jamais porté atteinte à la vie privée de Monsieur et Madame Lorentz, ni publié non plus des photos de famille ou des enfants de ce même couple.
Depuis février 2009, je me suis de temps en temps plaint auprès de Monsieur Lorentz, en raison de ses publications, sur unblog.fr. Fin décembre 2009, je finissais par écrire au procureur de Paris pour me plaindre d'injures publiques ; en mars dernier, je relançais ce même procureur qui ne m'avait pas répondu. Depuis février 2009, SEFCA Puteaux n'a fait que s'obstiner d'avantage. Vers la mi-mars, après la publication d'une ultime diatribe à mon encontre, dans le blog de SEFCA Puteaux, j'ai décidé que j'allais faire faire le ménage dans les moteurs de recherche, notamment en m'adressant aux propriétaires du service et domaine unblog.fr, la société Kipubli, à Genève, en Suisse. Quelques temps après, SEFCA Puteaux finissait par fermer son blog, sur unblog.fr, supprimant aussi toutes ces « images ou photos de famille » hébergées là bas. Suite à cela, les caches des moteurs de recherche se sont assez naturellement purgés et ces moteurs cessaient enfin d'associer mon nom et prénom, soit mon identité, aux « photos de familles » ainsi qu'aux diatribes à mon encontre, publiées par SEFCA Puteaux.
A Kipubli Sàrl, en Suisse, d'où SEFCA Puteaux m'a injurié, de février 2009 à mars ou avril 2010
Aujourd'hui, je crois que Madame Christel Moreau et Monsieur Emeric Lorentz me reprochent également de les avoir aidés très ponctuellement, par le passé, au cours de l'été 2008, dans le cadre de leurs propres actions en justice ainsi que sur le plan médiatique, sur Internet. Bref... J'ai très longuement discuté dans le détail avec la police de toute cette « non affaire Bruno Kant », puis, ce 19 mai, pour finir, j'ai très volontiers fait une petite déposition, répondant très simplement à cette accusation « d'atteinte à la vie privée », par « détournement d'informations, d'un blog sur un autre ».
Le même véhicule que moi, avec de fausses plaques ?
La Trésorerie de Nanterre vient de me faire parvenir un avis et me réclame maintenant 300 euro - trois cent - car mon véhicule personnel aurait été aperçu en octobre dernier, avec un problème d'attestation d'assurance, dans la ville de Puteaux (tiens, tiens... mais ce n'est que fortuit). Je n'avais pas connaissance de cette infraction « constatée par la police nationale » ; il me parvient d'office une amende majorée pour « non justification dans les 5 jours de l'attestation d'assurance ».
Je ne comprend pas ce qui s'est passé à cette date et période précise, en octobre 2009. Je n'étais pas à Puteaux mais sur mon lieu de travail, à des kilomètres de là, en pleins champs, dans le sud de la région parisienne ; ma fiche de paie, mes fichiers sur des PC et mon planning personnel en attestent. Bien évidemment, j'utilise mon véhicule personnel pour me rendre sur mon lieu de travail et il est assuré. Pour le moment, je n'aurai qu'une première explication rationnelle, la police nationale ne pouvant avoir que très bien vu : début octobre dernier, quelqu'un a circulé ou stationnait dans Puteaux, avec le même véhicule que moi, avec de fausses plaques et sans certificat d'assurance valide.
Je viens d'ouvrir ma boite à gants. Je ne fais que très rarement le ménage dans ma voiture, j'ai donc rapidement mis la main sur le bon certificat d'assurance. Au cours de ces dernières années, des papiers, des marques et des traces, j'en ai fourré un peu partout. Je finis toujours par sortir le bon papier, comme d'une énorme botte de foin. Des travailleurs sociaux et des juges sont au parfum, certains m'ont souvent fait des reproches à ce sujet, surtout lorsqu'ils alléguaient ou déblatéraient et que je brandissais mes vieux papiers.
Assuré, du 1/12/08 au 29/12/09, et une décision prononcée ce 12 mars 2010 ; posté le 29 ?
D'après ce que j'ai lu sur la toile, en France, ces « doublettes » seraient assez nombreuses sur la chaussée et ces situations plutôt fréquentes (lire CRIM 2004-08 E1/28-07-2004, NOR JUSD043044C). Je ne sais pas encore si je vais contester ce truc en ce qui serait justice, j'ai déjà plusieurs chats à fouetter. D'après ce que j'ai encore lu sur la toile, la démarche serait vaine ; ce serait d'autant plus vrai dans mon pays, où la plupart des juges ne reçoivent jamais rien ou confirment toujours les décisions précédemment rendues, comme d'office et quoi que je leurs expose.
Ce 19 mai, un OPJ du coin me reçoit, à l'heure du gouter ; je pense avoir bien fait d'accepter cet entretien. J'avais déjà l'intention de lui montrer une plainte pour faux et usage de faux ainsi que divers autres documents, dont quelques épais constats d'huissiers. Je vais également pouvoir lui parler de ce qui s'est passé à Puteaux, tout début octobre 2009. Mais avec cet OPJ, je discuterais beaucoup plus de cette plainte déposée à Puteaux également, un premier avril, en raison « d'atteinte à la vie privée » par « détournement d'informations publiques ».
L'Intérieur et Morano convient à leur tour
Je viens de recevoir une convoc' de l'Intérieur, pour ce 19 prochain. Je vais téléphoner car je pourrais avoir à préparer quelques documents. Ce sera pour moi une opportunité pour parler à nouveau de diffamation, d'injures publiques ainsi que de diverses accusations calomnieuses que j'ai vu fleurir puis disparaitre au cours des mois passés, sur la toile ? Mais l'Intérieur pourrait simplement souhaiter me redemander pourquoi mon aînée est encore inscrite au fichier des mineurs disparus, deux fois, pour une première disparition, en 2004, puis pour une seconde disparition, en 2005. Selon ce qui me sera présenté et ce qui sera abordé ou non, je refuserais « l'audition », j'exigerais d'être d'abord « contraint ».
Morano aussi convie, demain soir, à Toul. Ce ne sera pas possible, j'ai déjà accepté l'invitation d'Alévêque, devant le Fouquet's. Je rentre de Paris où je me suis fait imprimer un tee-shirt : sur l'avant, je rappelle qu'on ne doit pas commettre des offenses au chef de l'Etat ; sur l'arrière, je rappelle aux juges qu'ils ne devraient pas oublier les règles, ils tendent parfois à se ridiculiser, surtout lorsqu'ils s'efforcent ensuite, en vain, de se défendre ou de se blanchir entre pairs.
En rentrant de Paris, j'ai trouvé un charmant petit français mécanique, un mouton blanc. Lorsqu'on lui tire sur la ficelle, il se met à frétiller. Lorsque toute la ficelle a disparue dans son cul, il ne bronche plus. On peut recommencer plusieurs fois, sa ficelle semble être plutôt robuste. Avant-hier, en rentrant de la synagogue, j'avais repéré Le journal des psychologues ; ce soir, je le rapporte également, pour quelques feuilles spéciales « signalement », « parents d'enfants placés » ainsi que pour « Culture et personnalité au Maghreb ». Je pense que je vais jouer, lire et m'amuser avec tout cela au cours du week-end prochain, je dois maintenant réviser et travailler ma voix, pour bien chanter Mille colombes.
Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège
Je ne vais pas attendre la fin mai, une audience à Versailles, puis d'avoir lu l'ultime lettre de cachet que rendra ensuite la cour d'appel. J'ai tranquillement rédigé et vais faire parvenir une lettre ouverte au juge pour enfant de Nanterre. Je suppose que le juge Thierry Baranger, « clinicien judiciaire », est toujours saisi du dossier de ma fille aînée.
Quelques uns de mes lecteurs pourraient encore être scandalisés par ce que j'envoie maintenant à ce magistrat du siège. Je leurs répondrais comme je pourrais répondre à un Mégel, à un Supéri ou leurs soutiens, ces derniers acquiesceraient très certainement : des pros de la Dass ne devraient pas sodomiser les gosses, ce n'est ni merveilleux, ni éducatif.
Ce qui suit est à peine différent des conclusions que je déposais en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles. J'informais ou éclairais alors très bien ces professionnels : « Après avoir plaidé, M. KANT ne se lèvera plus jamais devant aucune Cour ni aucun juge français. » J'assume, tandis que ces cafards se défilent tous ou restent retranchés en chambre dite du conseil. En janvier dernier, je pensais qu'il allait y avoir un changement ; mais je n'ai alors été convié qu'à prendre un thé dans l'entresol du palais de justice de Paris... je venais de commettre une offense au chef de l'Etat français.
Je pourrais lui en écrire ou lui en communiquer plus, éclairer mieux le juge pour enfant. Mais il n'y a pas urgence ni aucun impératif ou nécessité, la quille ou la fin de ce « placement provisoire », c'est en fin 2011. Je n'ai plus qu'à imprimer cette lettre et ses pièces jointes, en deux exemplaires ; dans les prochains jours, je m'arrêterais à la Poste.
Madame Muller a également publié un petit bilan de ses affaires en cours, dans son blog SOS Parents Abusés ou Villages de Marly : Serait-ce de l'acharnement ? Avec d'autres, je continue à la soutenir dans ses démarches, je l'aide à résister ainsi qu'à agir un peu. Cette autre histoire et pratiques « professionnelles » présentent d'étranges similitudes avec les pratiques de l'OSE France et celles de l'ARSEA. Quant aux récents discours de Laurence Ferrari, ils me rappellent beaucoup ceux qui ont été promus par Enfance et Partage, en novembre 2007. Peut-on parler d'impostures ?
Mais ces derniers temps, en attendant des audiences ou d'autres conférences et sorties, je préfère me distraire. Je me suis détaché du flot de l'actualité pour me consacrer à plus utile mais également à beaucoup plus futile aussi. Depuis quelques jours, je regarde souvent pousser mes plantes en me demandant comment exploiter des vieilleries russes.
Lettre ouverte
Monsieur le juge pour enfant,
Par le passé, Madame Carole Bulow, le corbeau de cette histoire, avait affirmé que j'aurais un jour acquis une maison « à Rambouillet », d'une manière douteuse, voire ignoble (pièce n°9). A l'époque, les juges du secteur courraient déjà comme de beaux lévriers après un leurre. Aujourd'hui et malgré mes multiples remarques, je pense que cette correspondance de ce corbeau figure toujours à votre dossier, parmi de nombreuses correspondances et avis ou rapports de nature et aux fonds assez similaires : calomnieux et diffamatoires, à mon encontre. Je pense aussi qu'aujourd'hui, de grands naïfs et des magistrats - dont vous même - courent toujours.
Il y a peu, le juge des tutelles rendait une lettre de cachet (pièce n° 1) en faveur de l'étude de Maître Charles Halter. J'ai fait appel de cette décision ; la cour d'appel a convoqué pour le 25 mai prochain. Je me plaindrais alors de l'inexistence du contradictoire chez le juge des tutelles. Je critiquerais encore une fois le travail de l'étude de Maître Charles Halter. Je sais cependant que cette démarche est vaine ; je connais aujourd'hui très bien les coutumes et les usages de la magistrature de ce pays. La Cour soutiendra le juge des tutelles et blanchira l'étude de Maître Charles Halter, notaire.
Je ne sais pas si vous avez pu lire les conclusions écrites que j'ai déposé, en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles ; si elles vous intéressent, vous les trouverez facilement sur Internet. En octobre 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier, un indéboullonable ou, selon votre jargon, un inamovible, sautait de son siège (pièce n° 6) ; j'avais engagé une procédure de prise à partie contre ce magistrat professionnel ; vous pouvez avoir oublié ou vous pourriez tout simplement nier ce passé, tout ce qui s'est tramé depuis, comme certains de vos compères pairs qui trônent à Versailles. Depuis octobre 2008, vous avez eu de nombreuses opportunités de me lire. Vous m'avez aussi reçu et entendu. Vous avez également lu, reçu et entendu ma compagne.
En mars dernier, je vous informais que ma fille Justine semble souffrir de vertiges, depuis de nombreuses années maintenant (pièce n° 7). Selon votre correspondance du 22 mars 2010 (pièce n° 2), vous paraissez m'avoir compris. Cependant, selon cette même correspondance, je constate que vous avez simplement transmis aux gorets de l'ARSEA. Eu égard aux informations que je vous communiquais, je suis surpris que vous ne leurs ayez pas réclamé une note d'information. Mais par le passé, alors que Justine était placée dans un établissement de l'OSE France, le juge pour enfant de Nanterre et Versailles n'en auraient pas fait beaucoup plus (pièce n°10).
Dans votre correspondance du 22 mars 2010, vous me suggériez de contacter l'ARSEA afin, probablement, de leurs parler de ces problèmes de santé dont se plaint ou parle parfois ma fille Justine. Entre juin 2008 et septembre 2009, j'ai bien essayé de discuter avec les gorets de l'ARSEA. Depuis, je n'ai plus aucun contact avec ces professionnels. Eux-même ne me sollicitent ni ne m'informent jamais. Je n'ai plus l'intention d'échanger quoi que ce soit avec ces gens là. Je ne me fais cependant aucun soucis pour ma fille Justine. Le pasteur d'Urhwiller, la soeur du corbeau, tiers digne de confiance, son avocat ou cafard, Maître Delphine Roughol, ainsi que vous-même, bourreau juge pour enfant, veillez aux intérêts supérieurs de mon aînée. D'autre part, selon la cour d'appel de Versailles, ma fille Justine est aujourd'hui en âge de se faire entendre, de préciser son point de vue et ses opinions. D'ici quelques temps, même si je ne « collabore » pas, vous pourrez donc confirmer ou infirmer les problèmes de santé dont parle ou se plaint parfois Justine.
La mère de Justine est décédée en 1999. Dans une correspondance du 3 décembre 2009 (pièce n° 5), vous me rappeliez que je suis toujours détenteur exclusif de l'autorité parentale sur ma fille aînée Justine - j'adore le cynisme et l'hypocrisie, surtout celui de professionnels de la justice ou de la Dass, n'hésitez pas à m'en renvoyer de pareilles. Dans les faits dont vous ignorez peut-être tout, ce sont d'autres que moi qui exercent l'autorité parentale sur ma fille Justine, depuis 2004 au moins. A l'occasion, vous pourriez envisager de me déchoir pour ne plus m'accorder qu'un simple droit très occasionnel et approximatif de surveillance sur ma fille aînée, ce serait plus conforme à ce que je peux encore exercer - car j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays.
En février dernier, selon France Soir (pièce n° 3), Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat à la justice, a « enfin insisté sur le soutien à l'exercice de l'autorité parentale, en constatant que les mesures prises à Mulhouse avaient eu des résultats `' en demie teinte ", certains parents étant `' totalement déconnectés " . » La chancellerie elle-même pourrait déjà s'être fait une raison : mener des expérimentations ou confier des missions à l'ARSEA, ce n'est peut être pas la panacée. Mais vous êtes indépendant ; vous pouvez encore vous obstiner ou persister et vous référer toujours à ce que des gorets vous rapporteront ainsi qu'à ce que le pasteur d'Uhrwiller vous expliquera. Vous pouvez bien évidemment faire suivre également la présente aux services concernés de l'ARSEA, en Alsace, soit ceux d'Ostwald, dirigés par Monsieur Thomas Resch ; mais je pense qu'ils n'en feront pas grand chose.
Vous pouvez savoir que, depuis 2005, mes paroles et écrits en public comme sur Internet ont fait l'objet de très nombreuses critiques ou complaintes en chambre du conseil, à huis-clos. Fin mai 2008, le ministère public en la personne du substitut Laeticia Felicis, le pasteur d'Uhrwiller et le juge pour enfant Xavier Serrier m'avaient supplié de supprimer mon blog ; en 2009, la cour d'appel de Versailles confirmait en tous points ; en janvier 2010, la cour d'appel de Versailles confirmait à nouveau. Mon blog est toujours en ligne ; récemment, deux huissiers de justice ont matérialisé tout son contenu (pièce n° 4). Pour le moment, je n'ai nullement l'intention de faire disparaitre un jour mon blog d'Internet. La présente lettre ouverte à votre attention est publié dans un billet dont le titre est le suivant : « Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège ».
Dans un billet du 3 avril 2010, je publiais peut-être tout aussi intéressant que la présente, « Un bilan », une synthèse grossière, après sept années « d'assistance éducative ». Je vous en joins l'essentiel (pièce n° 8). Vous remarquerez peut-être qu'avec d'autres, je soutiens une mère qui est elle aussi priée de faire disparaitre son blog ; depuis juin 2009, elle subit de plus en plus de pressions et vient de recevoir une ultime lettre d'intimidation ou de mise en demeure. Un petit procès pourrait suivre à l'occasion duquel elle est susceptible de déterrer de très vieux textes, de 1881, relatifs à la liberté d'expression, ainsi que de plus récents, de juin 2004, relatifs à la confiance dans l'économie numérique.
Vous souhaitant bonne lecture, je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de mes plus respectueuses salutations.
Copie à Madame Michèle Alliot-Marie,
Garde des Vélodromes et Ministre de la Justice
P.S.: Ma soeur trisomique t'emmerde, pas qu'un peu, et elle emmerde tout autant tes pairs et ton ministère public. Si t'es pas content, trouve toi un drapeau français.
Pièces jointes, toutes publiées et commentées, parmi d'autres, sur Internet :
1) Une ordonnance du 15 mars 2010 du juge des tutelles,
2) Une correspondance du 22 mars 2010 de Monsieur Thierry Baranger,
3) Un coupon de presse taillé dans France Soir du 19 février 2010,
4) Un extrait d'un constat d'huissier du 15 mars 2010,
5) Une correspondance du 3 décembre 2009 du juge des enfants,
6) Une correspondance du 28 octobre 2008 du juge des enfants,
7) Une correspondance du 8 mars 2010, au juge pour enfant,
8) « Un bilan », d'un billet du blog http://justice.cloppy.net,
9) Une photo d'une lettre du corbeau, au dossier du juge pour enfant,
10) Une main courante de janvier 2005, un document « confidentiel »
Un bilan
J'ai dressé un petit bilan, une synthèse grossière, après sept années « d'assistance éducative ».
• Justine n'est à nouveau plus là ; elle est peut-être encore inscrite au fichier des mineurs disparus, depuis la fin 2004 ; je pense que je vais en reparler un peu, vers ce 25 mai prochain, à l'occasion de la journée internationale des enfants disparus ; je dois être prudent, je pourrais choquer des parents ou proches qui s'en remettent généralement à la justice ainsi qu'aux médias pour retrouver les leurs ou, parfois, pour sensibiliser des pédocriminels ;
• A présent, la petite s'en fout, elle s'est fait une raison et ne réclame plus sa grande soeur ou elle est fâchée ;
• Aujourd'hui, je m'en fous, moi aussi ; on ne peut pas s'opposer à un pouvoir discrétionnaire, irrespectueux des lois, des règles et des jugements ou arrêts rendus ; en décembre dernier, un juge de Versailles a confirmé que cette mascarade se prolongera jusqu'à la fin 2011, il n'y a donc plus qu'à attendre ; je pense que l'arrêt rendu en janvier dernier, par la cour d'appel de Versailles est définitif, je n'ai pas déclaré de pourvoi et je ne pense pas que le ministère public l'ait fait ;
• J'attends une décision de la cour de cassation, suite à mon pourvoi contre la décision rendue en mai 2009, par la cour d'appel de Versailles ; c'est sans importance, la cour d'appel et le juge pour enfant vont l'ignorer ; la décision rendue en décembre 2008, par la cour de cassation, a aussi été ignorée par les juges ; c'est à présent sans la moindre importance ;
• Je viens d'écrire à nouveau au juge pour enfant de Nanterre ; Thierry Baranger a fait suivre aux gorets de l'ARSEA ; je pense que Justine a des problèmes de santé, depuis la fin 2004, mais que tout le monde s'en fout, les juges en premier ;
• J'ai fait appel de la dernière décision du juge des tutelles ; le notaire du pasteur et du corbeau n'a rien foutu, depuis plus de trois ans ; un jour, peut-être, Justine percevra quelque chose de la succession de son grand-père maternel ;
• La succession de la maman de Justine pourrait s'être en grande partie vaporisée ; les juges s'en foutent ;
• Je n'ai aucune nouvelle de la Caisse d'Epargnes région Lorraine ; j'hésite à reécrire à cette banque, un peu « offshore » ; elle m'a souvent fait des réponses bizarres lorsqu'elle daignait répondre à mes correspondances ; les juges s'en foutent ;
• La maman de Justine est décédée très subitement, hospitalisé aux urgences, en 1999 ; en 2002, un juge d'instruction a rendu un non-lieu, concluant qu'il n'y avait pas de raisons de penser qu'il y aurait eu un homicide involontaire ; il y a peu, mon recours contre l'Etat ou Hospitalors, une clinique privée, a été étouffé par la justice ; un expert n'a pas pu se faire communiquer le dossier médical, retenu ou égaré par l'instruction, voir par la Poste ; les juges s'en foutent ;
• La ville d'Asnières a été condamnée par le tribunal administratif ; un jour, il suivra encore une audience, ma compagne a fait appel, elle espère obtenir encore un complément substantiel de salaire et d'autres indemnités ;
• Personne ne bronche ; le pasteur et le corbeau font l'autruche ; l'OSE France et l'ARSEA font aussi l'autruche, comme la chancellerie ; en octobre dernier, j'ai fini par envoyer des suppositoires à l'Elysée ; j'ai maintenant écrit plusieurs fois au château ainsi qu'à sa chancellerie, envoyé vraiment n'importe quoi aussi depuis la mi-2007 ; toutes mes correspondances sont restées lettres mortes ; mon envoi à l'Agence France Frousse ou Presse - Fuck You (very much) - est également resté lettre morte ; en janvier dernier, j'ai fait part de mes voeux pour 2010, je n'ai pas eu de retour non plus ; les juges s'en foutent également ;
• J'attends toujours des nouvelles du parquet de Paris, en décembre dernier, j'avais porté plainte auprès de ce procureur, en raison d'injures publiques, sur Internet ; mais je vais lui écrire encore ; je n'attends plus de réponse de la part du parquet de Nanterre... la Poste a perdu tout ce qu'il m'a envoyé ;
• Depuis quelques temps, j'essaye de faire faire le ménage dans les images de Google ; j'attends maintenant une réponse de Kipubli, une société Suisse ; il faut vraiment que j'arrête de jouer avec unblog.fr, je viens d'y remarquer un bug ou une faille Wordpress qui compromet la confidentialité des billets protégés par mot de passe ;
• Ces jours-ci, j'ai lu que l'ASE des Hauts de Seine ou des Yvelines, Monsieur Francis Painot, voire même la police pourraient avoir un jour à fournir des explications parce que, dans mon blog, j'aurai publié des documents peut-être extraits d'un dossier judiciaire de quelqu'un d'autre ; cette affaire là rappelle étrangement l'affaire Pécresse-Delattre-Poniatowski (Lefebvre qui n'aime pas les gens méchants nous parlera plutôt de l'affaire et d'un après Soumaré) ;
• Mon blog est toujours en ligne, sans « suppressions », malgré de nombreuses pressions et diverses tentatives d'intimidations ; depuis ce 12 mars 2010, je l'ai fait matérialiser par deux huissiers de justice ; le blog de cette mère de Vallauris est toujours en ligne, sans « suppressions » non plus, malgré toutes les pressions qu'elle a elle-même subie ; Je pense avoir à peu près migré de la 2.4.0rc2 à la 3.3.3-stable de b2evolution, les liens sont tous réparés ; d'après Google, qui aspire, tout va bien ; s'il subsistait un problème avec un billet, merci de m'en faire part ;
• J'ai pu voter, même si des représentants du TGI et de la préfecture de Nanterre m'avaient refusé sur la liste électorale ; c'est un juge d'Antony qui m'avait finalement autorisé à voter quand même ; évidemment, je vote mal, pas pour le Parti ;
• J'ai très souvent nommé des héros ; j'ai ajouté des fonctions de recherche, ils se retrouveront plus facilement ;
• J'ai encore trois ou quatre sorties prévues, pour 2011 ; je pense avoir largement contribué à l'occasion du soixantenaire de la DUDH, du cinquantenaire de la cinquième ainsi qu'à l'occasion des vingts ans de la CIDE ; les juges s'en foutent ;
• En janvier dernier, dans l'entresol du palais de justice de Paris, le délégué du procureur de la République m'avait prié de me tenir tranquille ; je crois que ce procureur m'a pris pour un con ; j'attends toujours des commentaires sous ce billet ainsi qu'à la suite de ces vidéos mais je crois que tout le monde s'en fout, les juges en premier ;
• La plante qui avait été bouffée par le chat va très bien ; je rassure Arno, le chat va bien, lui aussi ;
• j'attends l'Arche de mars 2010 ; j'aurais de la lecture et Ach Goood aura un joli chapeau ;
Miss Money (à droite) et Ach Goood à Versailles, en mai 2009
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C'est le printemps !
Certains de mes lecteurs - il y en a - ont pu se demander ce qui se tramait ces jours-ci, à quoi je m'affairais. J'ai entrepris de faire faire le ménage, dans Google. Depuis la semaine passé, il y a déjà eu du changement. En effet, Monsieur Emeric Lorentz semble s'être enfin résigné à supprimer une rubrique ou une catégorie de son blog ; le résultat des recherches, sur Google, est maintenant différent. Aujourd'hui, un huissier de justice est encore parti fureter sur le net.
Ce soir, au téléphone, le collaborateur de cet huissier semblait être pas mal amusé. Je me demande si ces maisons lisent les pages qu'on leurs demande d'aspirer pour les déposer à leurs minutes. Il faut que j'arrête de solliciter cette étude, cet huissier précis, je le fais user ses stylos et je fatigue son poignet, je lui en ai fait signer des pages et des pages... On comprends vite pourquoi d'autres huissiers envoient plutôt des CDROM, un média certainement plus adapté.
A présent, lorsque je fais des recherches avec nom nom et prénom, sur Google, les photos de la femme et des enfants de Monsieur Lorentz n'apparaissent enfin plus. Mais pour cette recherche, il reste encore Monsieur Lorentz, parfois des références à une « affaire Bruno Kant », surtout des liens vers un blog et des diatribes dans lesquels je suis occasionnellement désigné, nommé, parfois accusé, souvent injurié. La plaisanterie a maintenant bien assez durée.
Vu sur google, ce 30 mars au soir... la « personne », en haut à gauche, n'est pas Bruno Kant
Cet ultime constat va me parvenir dans les prochains jours, par la Poste. J'attends aussi l'acheminement puis une réponse à un courrier RAR qui parvient au service juridique d'un hébergeur, OVH, ainsi qu'à Kipubli, en Suisse. La société Kipubli SàRL semble être le propriétaire et responsable technique de unblog.fr.
Des avocats et des juristes vont me dire que OVH et Kipuli ne sont pas les bons interlocuteurs pour un différend de cette nature ; je connais la chanson, ce ne sont que des prestataires techniques, pas les éditeurs. Cependant, dans un billet du 28 mars, Emeric Lorentz écrit que « son administrateur a été prévenu ». Ayant lu les CGU de unblog.fr, je suis assez surpris de lire que Monsieur Lorentz bénéficierait de telles faveurs ; son « administrateur » le soutiendrait ? Selon ces CGU, « Kipubli interdit formellement les utilisations suivantes pour le blog : … - La création massive par le Membre de blogs ou de pages au contenu similaire et répétitif dans le seul but de promouvoir un blog, un site ou un service dans les moteurs de recherche est interdite. » De source Google :
17 mars 2010 par eclma
moi on ne me dit pas de fermer ma gueule même ci c'est de mon propre compte Mr alors la pb
Mr c'est vous qui la faite a au faite merci pour l'affaire bruno kant j'ai eu 1000 visiteur qui on
regarder et puis on l'eu votre mail il nous on ...
http://christel.unblog.fr/
Des lecteurs vont vouloir me parler d'une histoire de tarte aux pommes en me lançant que la justice aurait bien mieux à faire... Mais je ne me plains pas d'un simple « salope » marmonné un jour, dans une boulangerie. Je me plains de troubles qui persistent depuis des mois et qui pourrait encore persister des années durant : lorsqu'on fait des recherches me concernant, il apparait vite le portrait d'Emeric Lorentz, puis, pour les plus curieux, ses diatribes, à mon encontre.
Depuis quelques temps, Emeric Lorentz semble considérer que « j'aurai des documents sur eux, sur leurs procédures en cours ». Monsieur Lorentz serait même récemment « allé de ce pas voir avec le conseil général des fuites au sein de leurs services ». Fin décembre dernier, j'avais encore quelques doutes. Je pense à présent que cette copie est conforme. Quel crédit accorder au blog d'un individu qui pourrait, par ailleurs, être poursuivi pour faux et usages de faux ? Mon nom est donc maintenant mêlé à de telles histoires ou affaires... Pourvu que Monsieur Lorentz soit allé se plaindre très vertement, auprès du Conseil général du 9-2. Il aurait même déposé plainte contre x et une enquête suivrait maintenant son cours ; je pense qu'on pourrait surtout, un jour, bien en rire avec quelques colistiers de Valérie Pécresse.
Ce 28 mars, abusant encore d'une certaine impunité ou d'une sorte de droit à la raillerie en public, Emeric Lorentz a surligné un extrait de l'un de mes propres billets, paru le 5 octobre 2009 : « Le Président de SEFCA Puteaux était un moment bien présent à la cour d'appel de Versailles, lorsque la chambre des mineurs remarquait elle-même, en public, que la situation de ma propre famille allait en s'améliorant, que renouer, voire même un retour de Justine à la maison pouvait être envisagé. » J'ai comparé ce passage précis à mon propre billet, cet extrait est conforme.
Je me demande ce que Monsieur Lorentz entend démontrer à partir de cet extrait de mon blog. Quiconque étant un tant soit peu familiarisé avec la procédure d'assistance éducative et ses voies de recours sait qu'à la cour d'appel, rapidement, les renvois sont négociés en présence du public. Le fond des affaires n'est abordé que plus tard, en l'absence du public, à huis-clos ou en chambre du conseil. En février 2009, Emeric Lorentz, sa femme et leur avocate avaient simplement été conviés à la même date que moi ; nous nous sommes, pour ainsi dire, simplement croisés dans les couloirs. En février 2009, le pasteur d'Uhrwiller ne s'était pas déplacé. Monsieur Lorentz aurait-il discuté alors avec Maître Roughol ?
Je ne vais finalement pas répondre encore ni tenter d'imposer un droit de réponse sur http://eclma.unblog.fr. Ce serait accorder bien trop d'importance aux publications ou aux élucubrations d'Emeric Lorentz tandis que celles des juges du coin m'occupent déjà bien assez. Par contre, je vais reécrire au Proc' près le Tribunal de Grande Instance de Paris.
Dans mon propre blog, j'ai un problème mineur depuis un changement de version. Certaines URL ou liens se terminent par un tiret. Il faut que je supprime ces tirets pour que ces billets soient à nouveau aisément lisibles par tous et par ceux qui débarquent ici, depuis Google. J'ai peur d'avoir à modifier des contenus et des liens vers plus de 500 billets...
~/temp$ gunzip * ~/temp$ grep "que Lefebvre nous propose de tout" * ... « un après Soumaré » ?', 'un-fanfaron-de-l-ump-propose-l-un-apres-', NULL, NULL, NULL, '' ... ~/temp$ grep -c "\-', NULL, NULL, NULL" * 520 ~/temp$ grep -c "\-\">" * 141
« Merci de la pub », me lancent des infréquentables de Puteaux
Depuis de longs mois déjà, sur Google et dans un blog, il est question d'une « affaire Bruno Kant » et dans la rubrique images de Google, il en apparait d'assez bizarres pour qui me connait, pour qui a lu un Maxi de mars 2008 ou pour qui a vu Faits divers, le mag, début juin 2008. Ces jours-ci, quelqu'un est arrivé dans mon blog en recherchant un « droit de réponse » ; j'y songe, mais je ne sais pas encore ce que je pourrai faire insérer maintenant, dans le blog de SEFCA Puteaux ou Puteaux 2. Chaque chose en son temps. Cette semaine, un huissier de justice a matérialisé quelques pages de plus sur Internet, dont les CGU de unblog.fr, une sorte de service franco-suisse, en .fr mais avec une immatriculation au registre du commerce de Genève, un ovni de cette nature ; un nouveau constat me parvient, par la Poste.
Sur Google, la « personne », en haut, à gauche, est Monsieur Emeric Lorentz. Sur Google, on peut également reconnaitre sa femme. Dans leur blog et comme en réponse à l'un de mes articles de septembre 2009, ils me remercient « de la pub ». Lorsque je les lis, il m'arrive de penser qu'ils ne comprennent pas grand chose au fonctionnement d'Internet et de tous ces outils ou services en ligne. Comme je l'écrivais déjà en septembre dernier, je ne peux que mettre les lecteurs en garde, leur blog est à lire avec une très grande prudence.
Dans leur billet du 12 courant, Monsieur Lorentz affirme que je ne les aurai jamais aidé. En juillet 2008, lui et sa femme lançaient un appel aux médias. A l'époque, ils semblaient être plutôt ravis de me lire et de communiquer avec moi. J'avais largement contribué à diffuser leur appel, que ce soit dans mon propre blog ou même via d'autres sites ou moyens, par exemple et pour n'en citer que deux, sur la liste internationale « euro dads&mums » ou sur le site de Psychasoc, dans le forum. A l'époque, je pense que Monsieur Lorentz et sa femme avaient beaucoup profité de mes connaissances, de mon travail, de mes moyens et de ma notoriété. Aujourd'hui, je profite probablement plus et assez régulièrement de billets d'humeur de Monsieur Lorentz, de ses élucubrations, contradictions et injures, de ses écrits mensongers, diffamatoires et calomnieux, de la « publicité » qu'il se fait tout seul et par laquelle il cherche manifestement à me porter préjudice. Je pense également que Monsieur Lorentz est inscrit et milite au Parti, le « bon » parti, celui de notre chantre.
Par le passé, un autre blogueur, vraiment très médiatique, avait aussi aidé la famille Lorentz à faire connaitre leurs difficultés. Dans leur billet du 12 courant, SEFCA Puteaux 2 semble également casser un certain Grébert... qui serait mon « copain » ? Je me demande ce qu'il en pense. Il m'est bien arrivé d'écrire à Christophe Grébert mais il ne m'a jamais répondu. A sa décharge, ce blogueur de Puteaux a souvent eu d'autres soucis que celui de me répondre, par exemple, d'obtenir d'abord gain de cause dans des tribunaux puis, un jour, l'exécution de décisions de justice.
La parution de Maxi - on voit cet article de mars 2008, sur Google - avait beaucoup ennuyé le juge pour enfant de Nanterre et la cour d'appel de Versailles également. J'avais commenté cet article de Maxi dans mon propre blog, au moment de sa parution. Fin mai 2008, alors que j'étais suivi par des journalistes de France 2, le substitut Laeticia Felicis m'avait fait l'honneur de sa présence, à l'audience. Ce substitut m'avait surtout prié de ne pas autoriser France 2 à faire son reportage, pour Faits divers, le mag. A l'époque, après la parution de Maxi et de mes commentaires, le tribunal pour enfant et le pasteur d'Uhrwiller n'avaient pas souhaité s'exprimer pour ce reportage diffusé ensuite, par France 2. Monsieur Lorentz copiait alors mes échanges et écrits, il lisait mon blog et ne se plaignait absolument pas des mails qui lui parvenaient.
« Le ridicule ne tue vraiment pas », peut-on lire aujourd'hui, dans un billet du 12 courant, publié par SEFCA Puteaux 2.
Je profite de ce billet pour saluer Les Enfants de l'Orchidée, Patou, la nonne... et pour les rassurer, j'informe ces orchidées que je commente, critique et heurte toujours autant, où que j'aille. Un jour, je lirais La diplomatie pour les nuls.
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Un simple complément d'information
Je suis allé au commissariat de quartier où l'on m'a expliqué que cette publication du 12 mars 2010, par SEFCA Puteaux, n'aurait pas à faire l'objet d'une nouvelle plainte. Il me suffirait de faire parvenir un complément d'information au parquet de Paris. Je vais donc y reécrire même si je viens à peine d'informer ce parquet que je maintiens une plainte pour des écrits publiés en septembre et octobre dernier. On m'a surtout dit que le traitement de telles plaintes pourrait prendre près d'un an. Il n'y aurait donc plus qu'à patienter ; un jour, la police devrait me convoquer pour en rediscuter...
A Vallauris, Madame Muller rencontre encore d'autres difficultés ; on sait déjà que SOS Villages d'Enfants ou l'ASE a « éparpillé » ses enfants. Cette mère souhaiterait accéder aux dossiers administratifs ainsi qu'au dossier du juge pour enfant. Mais manifestement, ces services lui refusent ces consultations. Ce 25 mars, elle devrait rencontrer un premier responsable de l'ASE et pourra alors peut-être consulter des dossiers administratifs ; si tel est le cas, sa demande de mai 2009 aura enfin pu aboutir. Dans son propre blog, Madame Muller a publié sa dernière correspondance à l'ASE.
Tandis que des enfants grandissent, que ces affaires et histoires suivent leurs cours ou s'enlisent, ce week-end, un article sur Nouvel Obs nous confirmait qu'Internet a un peu changé. Je l'avais déjà remarqué. Depuis quelques temps, les résultats de recherches affichés par Google reflètent mieux les dernières mises à jour ou publications, sur Internet. Des billets publiés dans un blog peuvent maintenant y apparaitre quasi instantanément. S'agirait-il de l'aube du web au carré ou du « web squared », annoncée au Summit, à San-Francisco, en octobre dernier ? Aujourd'hui, on peut en tous cas de plus en plus facilement trier, filtrer et découvrir en temps réel tout ce qui est publié sur Internet.
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Le juge des tutelles confirme, il ne s'est rien passé chez Charles Halter
Ce 8 courant, je me demandais quelle mouche avait piqué ce notaire ; je ne le sais toujours pas, ce notaire et le juge des tutelles pédalent tout seuls. Par contre, le juge des tutelles vient de me confirmer qu'il n'y a toujours pas de progression dans le cadre de la succession du grand-père maternel de ma fille aînée. Depuis 4 ou 5 ans, j'attends que Maître Charles Halter me communique enfin un inventaire conforme à la réalité juridique. Pour sa part, Maître Charles Halter me réclame encore, sans plus, de signer un document inexact voire faux et semble s'en tenir à un inventaire quelconque.
Je n'avais pas pu faire appel de la décision rendue en mars 2007, par le juge des tutelles ; il y avait eu comme un couac, ma demande n'avait pas aboutie. Selon la procédure en vigueur, il me fallait alors un avocat ; j'en avais encore plusieurs, mais toutes ces affaires où on me représentait sont donc parties en vrille. Aujourd'hui et selon ce qui m'a été communiqué, les procédures chez le juge des tutelles ont changées. En effet, selon le document joint à cette ordonnance rendue ce 1er mars, maintenant, il me suffirait d'envoyer un simple RAR pour faire appel de ce qui suit. J'ai 15 jours pour prendre une décision, faire appel ou non. Je pourrai en premier me plaindre de l'absence de débats contradictoires. En septembre dernier, j'avais écrit au juge des tutelles ; j'ai le très net sentiment que cette bafouille a été ignorée.
Je savais que l'Administration m'avait envoyé un RAR, on reconnait bien ce qu'elle produit. J'attendais de passer au guichet de la Poste et de le retirer pour découvrir qui de cette maison qui rend fou m'avait encore écrit. J'aurai pu recevoir une réponse ou décision du juge pour enfant de Nanterre. J'attends aussi une réponse du parquet de Paris.
J'ai encore commandé deux livres : Ghettos urbains de Didier Lapeyronnie et La loi du ghetto, de Luc Bronner, un journaliste du Monde. Maintenant, je pourrais en avoir bien assez dans mes étagères. Mais en avril, paraitra le numéro un de Sociologie, sous la direction de Serge Paugam. Tous ces ouvrages et feuilles ou revues finissent par être très encombrants ; Xavier Serrier me suggérait d'arrêter de lire, de me documenter, d'étudier, de parler et de contester. Un jour, je mettrais peut-être une grande palette en vente, sur Ebay, à un euro, pourvu que l'acheteur vienne me débarrasser.
De tous petits caractères, mais conformes
J'ai relu ces chaines de caractères, dans un des constats d'huissier qui m'est parvenu hier, imprimé sur papier. J'aurai pu faire comme n'importe quel ministre, politicien, polémicien ou des artistes, fuir Internet et courir avec une impression voir un manuscrit, chez un notaire ou un huissier de justice, pour lui demander d'enregistrer mon papier noirci d'encre. J'ai préféré tout commander par Internet ; j'ai même réglé par carte bleue. Quoi de plus naturel, en France, en 2010 ?
En effet, un premier huissier a du recevoir un simple fichier, via un site web et par email. Après confirmation, je suis allé vérifier sur le même site web. Les chaines qu'il a enregistré semblent être conformes. Le second huissier a tout simplement affiché un fichier qu'il a ouvert dans mon propre blog ; il a ensuite travaillé avec des checksums MD5. Je pense avoir fait très fort ou du durablement inaltérable avec ces trois checksums md5, sha-256 et sha-512 d'un ficher de 2 giga, après compression par gzip. Le papier du second constat m'est évidemment parvenu par la Poste, très rapidement ; j'ai le très net sentiment que mon facteur n'a rien éparpillé, que toutes les pages me sont bien parvenues, dans une enveloppe intacte. Il faut juste une bonne vue, sur cette impression au format A4, les caractères sont assez petits.
Mes écrits et de nombreuses données ont donc bien été parfaitement matérialisés, ce 12 mars 2010, par l'intermédiaire d'Internet. D'autres affirmeront que ce qu'on peut y lire n'est pas du tout fiable. Certains affirmeront même que Internet n'est rien qu'une poubelle à provoc. Mais Internet a été imaginé pour résister à une guerre thermo nucléaire, pour acheminer même des données à travers un réseau dégradé ou saturé, d'une manière tout à fait acceptable.
L'Express, vendredi 20 octobre 2006
"La fin du mythe communiste", par François Fejtö, extrait
Au moins, je recevais des données et des réactions en direct de partout, y compris de Moscou et de Pékin. Le fax et les moyens techniques nouveaux ont permis de contrer la propagande soviétique, très puissante en particulier dans la presse, l'opinion et les milieux intellectuels français.
Ces jours ci, j'ai un peu communiqué avec le boss de unblog.fr, par mail et par téléphone, rappelant que, par le passé, j'avais déjà discuté avec les services juridiques de OVH. A l'époque, j'avais déjà fait réaliser de premiers constats d'huissiers. Ce soir et après l'avoir bien étudiée, le boss de unblog.fr m'a finalement répondu que ma plainte était recevable. D'ici à lundi au plus tard, SEFCA Puteaux devrait avoir fait le ménage dans ses diatribes publiées sur unblog.fr.
J'attendais aussi une éventuelle réponse ou réaction du juge pour enfant de Nanterre, je lui ai écrit il y a huit jours. On m'a envoyé un RAR, certainement l'Administration ; je pourrais le retirer dès demain, au guichet de la Poste. Cette dernière a récemment fait la promotion d'un « coffre-fort » numérique, un nouveau service. Nous pourrons peut-être bientôt recevoir des RAR à toutes heures, par Internet, sans les contraintes des guichets et de leurs horaires d'ouverture.
D'un constat d'huissier, via Internet, puis livré par la Poste
Les régionales, en Moldavie française
Il y 10 jours, je pensais que cette page des régionales pourrait être très rapidement tournée. Cependant, juste avant le premier tour, j'ai encore vu apparaitre des écrits sur la toile, me concernant. En pleine campagne électorale et alors que la justice du 9-2 est saisie - j'ai plusieurs affaires « privées » sur le feu -, j'ai trouvé ces écrits particulièrement désagréables. Ce que j'ai lu ces jours-ci m'a beaucoup fait penser à certaines têtes, sur la liste de Pécresse ; quel hasard...
L'ex-dissident soviétique Boukovski exige le démenti des déclarations sur sa maladie psychique
14/08/2007 18:56 LONDRES, 14 août - RIA Novosti, extrait. L'ex-dissident soviétique réfugié en Grande-Bretagne Vladimir Boukovski et le groupe d'initiative de présentation de sa candidature à la présidence russe exigent le démenti des déclarations selon lesquelles M. Boukovski aurait été "psychopathe", selon un communiqué du groupe.
La veille, le journal britannique Daily Telegraph a publié certains propos d'un collaborateur anonyme de l'Institut Serbski de psychiatrie médico-légale de Moscou selon lesquels le "patient" Boukovski était incontestablement un "psychopathe". Du vivant de Brejnev, Vladimir Boukovski, connu par sa critique mordante visant le pouvoir soviétique, avait effectivement passé plusieurs années dans des hôpitaux psychiatriques.
Peu avant ce premier tour, le casier vierge d'Ali Soumaré a été critiqué par des irréprochables ; Soumaré est sur une liste qui s'oppose à celle de Pécresse. En 2007, Boukowski aurait souhaité se présenter aux présidentielles, en Russie ; par le passé, il avait lui-même beaucoup critiqué et contesté ; il n'a finalement pas pu se présenter car il aurait fallu qu'il réside en Russie. Je ne suis pas sur de telles listes, en Moldavie française, on est déjà très content lorsqu'on est autorisé à voter. Mais ce qui semble être des umpistes m'ont inventé une sorte de casier ou comme des dossiers qu'ils auraient en leur possession... et ces umpistes viennent d'en remettre une belle couche, ce 12 mars, une journée contre la cybersensure. J'ai bien écrit sensure, ce n'est pas une erreur de plume. Un tiers ou un parti aurait-il intérêt à me nuire voire à me discréditer, mes contestations et critiques déplairaient-elles à ce point là ? Ces umpistes m'ont même inventé des « problèmes de couple », c'est un coup à attirer l'attention des infréquentables de la Dass ; ma cadette n'est pas « placée », elle ne « bénéficie » heureusement d'aucune « aide » ; pourvu que le juge pour enfant de Nanterre et des gorets du social ne commencent pas bientôt à investiguer pour s'assurer encore une fois qu'il n'y a pas de problèmes chez nous, à Bagneux... pour que la petite en « profite » encore plus, évidemment.
Comme ce genre d'écrits douteux, sur le net, se « vaporisent » parfois très subitement, avant de réagir, j'ai préféré les faire matérialiser d'abord par un huissier, en personne. Les huissiers de justice sont aujourd'hui des experts dans ce domaine ; ce soir, en rentrant, ce que j'ai trouvé posé sur mon PC me l'a confirmé ; c'est ma compagne qui reçoit mes RAR et paquets, depuis longtemps. Je suis même agréablement surpris par l'épaisseur des documents et par l'ensemble qui m'a été communiqué. Cette fois-ci, je n'ai pas qu'un simple CD avec des images, des fichiers et un procès verbal de constat ; aujourd'hui, j'ai reçu de nombreuses pages imprimées, en couleur, numérotées et dument certifiées.
En décembre dernier, j'avais écrit au procureur de la République près le TGI de Paris. Je pense qu'il n'a pas donné suite mais j'attends confirmation. Au cours de ces dernières années, le ministère public n'aura donné suite à aucune de mes plaintes ; je sais juste que l'une d'elles a été « classée d'office ». En décembre dernier, je portais plainte en raison d'injures publiques, sur Internet, me plaignant aussi de faux et de calomnies, de mensonge ou de diatribes que je lisais, sur la toile, dans un blog, un service qui pourrait être hébergé en France, par OVH. Je souhaitais surtout que certains écrits disparaissent un jour d'Internet, mais la plupart sont encore en ligne. Depuis, j'en ai donc découvert de nouveaux.
J'ai encore de la lecture, ça va me distraire d'ici à dimanche et ce second tour. Ce dimanche, je vais à nouveau aller glisser une enveloppe dans l'urne mais l'UMP, Pécresse ou SarK.O. n'aura pas ma voix.
Un extrait de deux épais constats d'huissiers... justice.cloppy ? Un juge pour enfant de Nanterre ?
Eric Woerth : il faut attendre « le bon moment »
Le ministre pourrait avoir raison, il estime que ce n'est pas le bon moment pour « ouvrir le feu ». Quelque chose va suivre, après ces régionales ? A d'autres ; un tel discours convaincra les plus débiles. On nous a déjà assuré que rien ne changera après ce 21 mars. J'attends de nouveaux constats d'huissiers qui pourraient me parvenir avant la fin de la semaine.
Éric Woerth: "Il faut des réformes"
AP, 16/03/2010 | Mise à jour : 20:08, extrait
Le ministre du Budget Eric Woerth a estimé aujourd'hui que l'entre-deux-tours des élections régionales n'était pas "le bon moment pour tirer contre son camp". Sinon, "on tire une balle dans le pied de nos candidats", a-t-il souligné sur France-Info. "On a eu un dimanche plus difficile que les autres", a-t-il reconnu. Mais "c'est quand même pas ça qui va changer fondamentalement la stratégie de l'UMP".
Régionales: une "tôle" pour la majorité
AFP, 16/03/2010 | Mise à jour : 20:12, extrait
Rappelant qu'en 2004 la droite avait perdu 20 régions sur 22 M. Debré a repris un commentaire de Luc Ferry à l'époque. "Comme avait dit Luc Ferry, c’était une 'tôle'". "Cette année c'est une tôle ondulée, ça fait un peu plus mal", a-t-il ajouté.
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Une petite distraction, pour des mathématiciens
Depuis ce 12 mars et cette journée mondiale contre la cybercensure, je pense que tout est un peu différent dans ce pays. Depuis un moment, je me demandais comment « matérialiser » à peu de frais le contenu de mon blog ou, plus globalement, de certaines de mes données qui ont été publiées sur Internet, depuis 2003. Je pense avoir trouvé une solution toute simple. J'ai crée une grosse archive, d'environ 2 giga octets, puis j'ai généré trois sommes de contrôles, pour cette même archive. Ce 12 mars 2010, à 23h46, elles ont été déposées dans la boite mail d'un huissier de justice :
• une somme md5, 8da711cd06c159abd5e882942af...
• une somme sha-256, 88ccd15e89d4232fe307ef939594111f8df6...
• une somme sha-512, 7d683b61caf1de951ada912ac5846fb0...
Je pense que des mathématiciens et des juristes confirmeront que ces trois sommes et ce gros fichier attesteront pendant des années du contenu publié dans ce blog. Ces sommes de contrôle devraient maintenant être conservées pendant 30 ans. Par précaution, je vais tout de même déposer ces mêmes séquences de caractères auprès d'un second huissier. Mais je me doute bien qu'en Moldavie française, une telle information ou donnée ne prouvera jamais rien, elle ne pourra « qu'éclairer » des juges. Je remercie pour ma part les communautés GNU, Debian, Redhat, Fedora et la Free Software Foundation car, pour générer cette archive puis ces sommes, j'ai utilisé des Linux et leurs utilitaires.
Algorithmes de signature : Dictao préconise une migration progressive vers SHA-2
Edition du 18/06/2009 - par reseaux-telecoms.net - Extraits
Bien que l'algorithme SHA-1 reste considéré comme assez solide pour de nombreux usages, une possible diminution du niveau de sécurité a été décelée en avril 2009. « Dans des conditions particulières, la probabilité de trouver deux messages différents ayant la même empreinte SHA-1 est moins faible qu'auparavantnbsp;» [...] La Direction Centrale de la Sécurité des Systèmes d'Informations (DCSSI) préconise donc l'utilisation d'un algorithme de la famille du SHA-2 (SHA-256, SHA-384 et SHA-512), d'un niveau de sécurité plus élevé et qui confère une durée de vie plus étendue aux preuves». Dans ce cadre, la DCSSI recommande la migration, avant la fin de l'année 2010, vers SHA-2...
On vient de nous inviter encore à voter, en nous rappelant que c'est un « devoir ». Cette semaine, le juge pour enfant de Nanterre pourrait avoir reçu une bafouille ; j'attends maintenant de découvrir s'il convoquera une audience avant juillet prochain ou si cette Dass et le pasteur d'Uhrwiller vont continuer à tricher et à tromper, comme d'habitude, depuis plusieurs années déjà. D'ici à juillet prochain, j'ai largement de quoi m'occuper et me distraire. J'ai lu Boris Cyrulnik dans le dernier Figaro mag, je me demande s'il n'est pas un peu naïf ; à mon avis, c'est ce que pourrait aussi penser Jean-Louis Fournier, auteur de Où on va papa. Selon un article paru il y a quelques temps, dans le Parisien, Jean-Louis Fournier se méfierait de cette société, semblant considérer qu'il y a bien trop de voyeurs. Boris Cyrulnik supposerait plutôt que « très vite », cette émission « Le jeu de la mort » qui sera diffusée ce 17 mars devrait « inciter » tous les téléspectateurs à réfléchir.
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Fuck la Proküratura française
En novembre dernier, je pensais que j'en avais fini avec la promotion de ce son de Lilly Allen. Mais aujourd'hui, après avoir lu le Parisien du 5, je n'hésite plus à le republier, un extrait de Fuck You (very much), maintenant bien connu :
Que nous a dit cette mère, par l'intermédiaire des plumes du Parisien ? « Je voyais ma fille souffrir et je ne pouvais rien faire ». J'imagine assez facilement la scène des cadres qui volent en éclat et des prédateurs qui s'acharnent, dans une grande confusion d'indifférence et d'effroi général. Cette mère aura du se débrouiller toute seule, peut-être un peu comme lorsqu'un juge pour enfant et qu'une cour d'appel sont saisis. Je publiais la photo qui suit au retour de Versailles, début décembre dernier, avec mon compte rendu d'audience et les conclusions que je venais de déposer :
Loisel, son chat et ses hiboux, dans des cadres distincts
On ne peut pas comparer ni faire un quelconque rapprochement entre ce qu'ont eu à endurer cette mère et sa fille, en Seine et Marne, et ce que mes enfants et ma famille avons eu à endurer au cours de ces sept longues dernières années. La situation de ma famille est différente ; un enfant n'est plus là, ma fille aînée a été « placée » ou « sauvée » par la Dass. En Seine et Marnes, cette fillette « s'est faite bouffer » en quelques interminables minutes seulement. Car certains reprocheront à cette enfant d'avoir couru et d'avoir donc excité ces chiens ? Par chance pour elles, pour se défendre, sa mère avait son sac à main. Pourvu qu'aucun chien n'ai de séquelles, des défenseurs de la cause animale pourraient sous peu se retourner contre cette mère et cette fillette. Des professionnels du social relèveront-ils d'abord un terrible trouble de la relation mère-enfant ? Qu'en diraient Claire Davidson, « psychologue », « spécialiste » de la petite enfance, Richard Josefsberg et Thomas Resch, des éducateurs spécialisé ? On pourrait aussi questionner quelques comportementalistes ou des dresseurs de fauves, ce serait alors une tâche pour un juge d'instruction ou, de nos jours, pour le parquet. Ah, si j'avais eu un sac à main en janvier 2005, j'aurai pu frapper plutôt que de tenter de porter plainte...
Que souhaite maintenant cette mère de Seine et Marne, des « investigations », puis un « procès » ? De quoi se plainte-elle au juste ? Selon ce Parisien, « Personne ne les a aidées, aucun des clients n’a appelé les secours [..]. C’était comme si elles ne comptaient pour rien. Le patron les a laissée partir seules, avec la fille qui saignait dans ses bras. Voilà ce qui lui laisse le plus de séquelles… » Je crois que quelques professionnels ne manqueront pas de renvoyer d'abord cette mère vers un psychiatre, pour une bonne thérapie. D'autres relèveront peut-être qu'aucune « cellule psychologique » ni aucun ministre n'ont été dépêchés sur place ? Mais il peut toujours arriver des choses pires dans la vie, ce que des rescapés ou des descendants de déportés confirmeront. Je pense que des artistes tel que les Giraud confirmeront aussi. D'ailleurs cette fillette et cette mère de Seine et Marnes s'en sont toutes les deux plutôt bien sorties ? Je me doute cependant de ce que pourrait en penser Francis Gillery avec qui j'ai pu discuter quelques instants « d'expériences singulières », fin janvier dernier, au mémorial de la Shoah.
Cette semaine, j'ai encore eu des nouvelles de cette blogueuse, Madame Muller, ses enfants sont également « placés » - ou plutôt, éparpillés sur le territoire français ? Elle dit ressortir d'un entretien avec la police. Elle affirme avoir porté plusieurs plaintes en raison de non représentations d'enfants. Elle dit maintenir ses plaintes et dit avoir le sentiment qu'elles font depuis quelques temps « le ping-pong » entre un parquet du nord et un parquet du sud de la France. Ces jours-ci, elle se plaignait aussi de ne pas pouvoir accéder aux dossiers du juge pour enfant et de l'ASE, elle semble essuyer à chaque fois comme des fins de non recevoir. Je pense que cette histoire ou de tels déboires, kafkaïens, pourraient plaire à Jean-François Copé ainsi qu'à Eric Woerth, ils recenseraient ce genre de difficultés « administratives » ? A mon avis, cette mère n'est pas réellement en demande d'un « procès », je crois plutôt qu'elle souhaiterait que ses enfants soient un jour rapprochés. Mais vu le « travail » déjà accompli par la Dass, cela me semble pour le moment assez improbable. Certains pourraient un jour prier cette « pas contente » d'aller se faire soigner aussi. Mais les enfants de cette mère sont vivants ; dans ce genre de situations, d'autres encourageraient plutôt les parents à « se battre » et même « jusqu'au bout » ? Bienvenu au pays où Ubu est roi. D'ici quelques années, si ce « traitement » persiste, cette mère pourrait effectivement être mûre pour l'asile. Quelle importance, nous dira-t-on, car ses enfants auront pleinement « profité » de l'aide de la Dass ?
Juillet 2005, un enfant de 15 ans et demi, 30kg seulement...
ou tel que « sauvé » par l'OSE France, Nanterre et Versailles
S'il y avait eu des vagues en 2004 ou en 2005, il y aurait déjà eu un très bon scandale, de ceux dont nos élus ne veulent pas, Philippe Bas pourrait confirmer. Mais des professionnels de la Dass et des magistrats ont alors pu estimer que cela ne suffirait pas... à moins qu'ils aient supposé qu'il était alors préférable de tout balayer alors sous le tapis ? Depuis ce temps, la bosse sous ce tapis est devenue très épaisse ; ça jure, sur fonds de nombreux naufrages et fiascos judiciaires. A cette période là, 2005, une affaire glauque à Drancy avait déjà beaucoup émue. Drancy, Outreau puis Anger avaient même impulsé des réformes, un « appel des 100 », des voeux pieux, un travail balayé plus tard par l'UMP.
La Moldavie française,
un pays où les pourris et les filous sont rois
Je crois qu'il n'est plus la peine que j'en ajoute. Maintenant ce serait très certainement à d'autres d'assumer, d'oser ou de se risquer un jour à répliquer, par exemple, ceux qui ont toujours su faire montre de tant d'assurance, à huis-clos, ou lorsqu'ils rédigeaient puis expédiaient un rapport, une note ou une correspondance au juge pour enfant ou à la cour d'appel ? Qu'en dira Michèle Aliot-Marie ou MAM, Garde des vélodromes, des sceaux, Ministre de sa justice, de libertés ou quelque chose de cette nature ? En toute logique, elle soutiendra les juges et son ministère public, plusieurs substituts, procureurs et procureurs généraux ; je pense qu'elle sera très rapidement en difficulté, ce sera drôle. Si MAM ne savait plus quoi dire, elle pourrait solliciter Rachida Dati ainsi que Pascal Clément, Philippe Bas, Jean-Marie Bockel et Nadine Morano ; ses discours n'en seront que plus hilarants et obscènes. Que lâcheront encore les résidents du château ? Ils feront sûrement encore le bonheur des humoristes de tous bords. Roger Rajnzylberg, Directeur Général de l'OSE France, reprendra-t-il que les comptes de l'OSE France sont « certifiés par deux commissaire aux comptes » ? Jean-François Guthmann, Président de l'OSE France, va-t-il très cordialement m'inviter à porter plainte ? Il suivra alors une très franche rigolade, surtout si l'OSE France ajoute encore une fois que ses comptes sont « régulièrement déposés en préfecture en respect des dispositions légales ». J'attends aussi d'entendre le Président de l'ARSEA Alsace ou nos médias, journalistes, élus et professionnels de sa justice nous parler à nouveau de « logique citoyenne » ainsi que de « respect », surtout de « respect des autres », nous ne rirons que plus. A Gouvieux, les gaulois défendaient la famille d'accueil. Que fera Alfred Slovencik, maire d'Uhrwiller, prendra-t-il la défense du pasteur du village ? Entendrons nous prêcher Madame Clementz, soutenue par sa soeur, corbeau ou tata de la Dass, et son mari, médecin généraliste ? Que feront l'Eglise, les rabins et le CRIF, vont-ils défendre l'OSE France, l'ASREA Alsace et l'ASE du 9-2 ? Je pense qu'ils devront très vite défendre aussi l'association SOS Villages d'Enfants et leur ambassadrice ou marraine, Laurence Ferrari. A l'Unicef et à la mairie de Paris, ils devraient râler aussi, je pourrais leurs avoir gâché une très grande fête, en novembre dernier, celle des 20 ans de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant. A toutes ces railleries et complaintes devraient aussi s'ajouter celles des syndicats de professionnels de la justice, de la police, du Ministre de l'Intérieur, des syndicats de « psychologues », de victimes, de travailleuses familiales et de gorets du social également. De nombreuses voix pourraient s'élever ou rester encorde absentes du champ médiatique, nos polémiciens et journalistes ou scribouillards seront susceptibles d'avoir encore du pain sur la planche. Puis suivront ensuite les conclusions des Etats généraux de l'enfance, cette année-ci, patronnés par notre chantre en personne ? Pauv' pays, où les chats américains sont certainement mieux lotis.
Eric Besson : "Je n'ai pas fait le jeu du Front national"
LE MONDE | 06.03.10 | 12h54, extrait
Après avoir lancé le débat controversé sur l'identité nationale, Eric Besson s'est fait plus discret. Le ministre de l'immigration, de l'intégration et de l'identité serait-il en disgrâce, obligé de se brider ? Il nie et repart à l'offensive : "C'est le tabou et non le débat qui entretient les mauvais instincts", assure-t-il en annonçant la tenue d'un colloque le 8 avril.
Mis à jour 07-03-2010 13:46, Metro France, extraits
Xavier Bertrand attaque le bilan "nul" du PS à la tête des régions
A une semaine du premier tour des élections régionales, le secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand est monté avec force au créneau dans une interview parue ce dimanche 7 mars dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France". Interrogé sur le bilan des socialistes à la tête de la quasi-totalité des régions depuis cinq ans, le député de l'Aisne ne le qualifie pas seulement de mauvais, mais de franchement "nul", parce que selon lui, "il n'y a rien dans ce bilan". [...] D'après lui, depuis 2007 le PS s'inscrit avant tout dans "une logique d'antisarkozysme", ce qui "ne fait pas un projet".
Avec des tribunaux, une justice, des élus et des professionnels aussi couards ou pourris que ceux que j'ai fréquentés au cours de ces dernières années, le bilan de l'UMP ne peut être aujourd'hui que supérieur à celui des « anti-sakozystes » ? Je me demande si des magistrats professionnels n'auraient pas du me lire un peu mieux. Depuis janvier 2009, ils auraient pourtant pu saisir de très nombreuses opportunités. Où avaient-ils encore la tête ? A l'époque, j'étais très clair dans mon blog alors qu'au même moment, j'écrivais encore une fois au Garde des sceaux : « Contrairement à ce que le Docteur Magalie Bodon-Bruzel supposait dans un rapport très contestable versé au dossier de Justine en 2006, j’ai conscience des troubles que je crée autour de moi. J’ai également bonne conscience des troubles que d’autres créent et entretiennent autour de moi et de mes enfants. Cet expert missionné par le juge pour enfant de Nanterre aurait du m’entendre ou, à défaut, deviner que j’allais un jour répondre à la hussarde. » Juste après, Versailles renvoyait.
« C'est quoi ce blog, c'est à qui ? » C'est souvent très bien précisé, par exemple dans ce fichier ou ce billet. « C'est quoi ce titre et la Proküratura ? » C'est une invitation au voyage, pas en Russie, mais en Moldavie française.
« Russes, encore un effort », Courrier International du 4 au 10 mars 2010
« Peut-être qu'on s'est trompé », mais dans ce cas, « qu'ils fassent valoir leurs droits devant les tribunaux », a-t-il ajouté. « Je préfère qu'on ait le risque d'un contentieux devant un tribunal parce qu'on aura été trop sévère pour une habilitation plutôt qu'on se retrouve avec un drame par ce qu'on n'aura pas été assez sévère. »
Sarkozy justifie le retrait des badges
Le Figaro avec AP, le 21 octobre 2006, voir « Peut-être qu'on s'est trompé », a dit le ministre
Le divorce devrait être encore « simplifié » ?
Mes écrits peuvent irriter, je n'en doute pas ; pas beaucoup plus que des canards satiriques ? Mais ce que je lis m'irrite le plus souvent tout autant. Ce que j'ai vu ce soir, à la télé, a aussi pu beaucoup irriter, y compris en son temps.
04/03/2010 15:30, la Croix, extrait
Le divorce devrait être encore simplifié
Michèle Alliot-Marie a présenté mercredi 3 mars, en conseil des ministres, un nouveau projet de loi sur le divorce par consentement mutuel. [...] Avocats et magistrats avaient vivement critiqué la création d’une sorte de « divorce express en privé ». Le projet porté aujourd’hui par Michèle Alliot-Marie ne devrait pas autant faire débat. Certains avocats n’y sont toutefois pas favorables, estimant utile le passage des conjoints devant le juge aux affaires familiales. « Car seul le juge peut porter un regard équitable sur l’affaire, estime Me Violette Gorny, spécialisée dans les affaires de divorce. Les avocats, eux, cherchent à avantager leur client. »
Un « passage » devant un juge apporte-t-il réellement des « garanties » dans ces affaires réputées « privées », qu'il y ait ou non des enfants ? C'est ce que j'ai cru lire dans cet article de la Croix.
Le pasteur d'Uhrwiller, le corbeau, les travailleurs sociaux et les juges qui se sont de très nombreuses fois opposés à moi au cours de ces dernières années n'ont jamais eu besoin du moindre avocat en chambre du conseil. Ils ont toujours et systématiquement été satisfaits par les décisions rendues par le juge pour enfant et par la chambre des créatures inférieures de Versailles. Le ministère public a également toujours et systématiquement été satisfait par ces mêmes jugements et arrêts. Ils ont toujours « gagné » ; ils « gagnaient » même lorsque je portais plainte, le ministère public a toujours tout classé d'office ou éparpillé, je ne sais trop où. Mais en décembre 2008, tout était un peu différent.
Il y a peu, je revenais encore sur la cassation, écrivant qu'il me semblait bien avoir lu une allégation étrange dans l'arrêt rendu ce 15 janvier, par Versailles. « Considérant que les moyens développés par M. KANT visant à remettre en cause, par delà le jugement du 16 juillet 2009, des décisions antérieures à présent définitives, ne seront pas retenus » ? Je viens de recevoir une correspondance qui m'informe que l'arrêt rendu en mai 2009 sera bientôt examiné par la cour de cassation ; cette fois-ci, je ne pourrais que « perdre », même si l'arrêt prochainement rendu m'était favorable, je crois que n'importe quel débutant en « droit » de la famille ou de la « protection » de l'enfance en conviendra.
En août 2008, alors que j'avais le très net sentiment que ma fille Justine et nous allions enfin pouvoir renouer, je citais John Galsworthy ; dans Justice, en 1910, il nous apprenait que « La justice est une machine qui, ayant reçu une poussée de quelqu'un, continue à rouler d'elle-même. » Il n'y a plus qu'à attendre encore, comme depuis plusieurs années déjà. Le facteur - qui ne tombe que très rarement en panne - m'a aussi apporté ce qui devrait être un très bon film, Le ruban blanc, ou de quoi s'occuper d'ici à une très improbable toute prochaine audience, à Nanterre.
Je conserve tout l'article de la Croix. Ce n'est pas du droit mais il est assez instructif. Il complètera d'autres feuilles, canards, revues et pavés empilés ou entassés dans un placard et des étagères. Ces « divorces » pourraient être beaucoup plus simples pour tout le monde si dès le départ, ces professionnels étaient tous très sincères. Tout en le priant de rentrer benoitement chez lui, ils pourraient tous en coeur immédiatement annoncer à un parti qu'il n'aura jamais aucun droit. Mais faut-il encore des avocats pour un tel travail ? N'importe quel guichetier pourrait s'en charger et ne jamais entendre qu'un même et unique parti au « procès équitable » ou dans le cadre de ces « ruptures à l'amiable », par exemple, « la victime ». Ces affaires pourraient alors évidemment faire quelques « pas contents » ou, de temps en temps, des individus « à faire soigner ». Mais MAM a tout prévu ; le même guichet pourrait aussi remettre de beaux bracelets électroniques aux partis qui auront « perdu » d'office, en les condamnant bien sûr aux dépends, à bien entretenir leur bracelets aussi.