Mot(s) clef: finaly
Petite bafouille au juge pour enfant
Ajout du 17 au soir. Je suis allé faire un tour sur le parvis du Troca, à la fête de la misère, où j'ai pu discuter brièvement avec quelques personnages ou personnalités. La LDH pourrait être intéressée par ce billet-ci ainsi que par ce billet-là... voir par un peu plus, dans les différentes sections de ce blog ; on m'a déjà dit que son contenu n'est pas inintéressant. Le Défenseur des Enfants devrait connaitre mon blog. J'en ai tout de même profité pour glisser une carte de visite à Madame Dominique Versini. Ce matin même, je me référais encore à un rapport récent du Défenseur des Enfants lorsque je découvrais une sorte de critique d'une décision de justice américaine. Je pense que ATD Quart Monde ainsi que Monsieur Martin Hirsch trouveront quelques opinions ou points de vues et quantités d'informations utiles dans mon blog, par exemple, ces quelques extraits de la revue de l'AFMJF, plus particulièrement, cette référence là. Le contenu de la revue Société Civile de janvier 2005 devrait être connu. Ce genre de recueil est peut être plus utile. La section Epilogue ou même ce blabla là devrait suffire à démontrer combien il est facile en France de faire placer un enfant, puis de toujours proroger ensuite la mesure. Les outils sont des plus variés, mais certains discours semblent souvent être si similaires... Je n'attends pas de retour particulier ; le placement de Justine est une affaire dite « privée ». Par contre, je pense que quelques personnes à qui j'ai parlé aujourd'hui sauront s'inspirer et exploiter ce qui est publié par ici ? Une personne a levé les yeux et a pris très peur pour moi lorsque j'ai parlé de tout ce que j'ai déjà envoyé au château ou à sa chancellerie ; je lui ai répondu que je n'ai rien à redouter car je suis très officiellement et définitivement débile, la Cour confirmait, fin mai dernier : « les résultats d'une psychothérapie se font attendre ».
Ajout du 18. Je me relis et je ne vois pas quoi ajouter d'autre hormis, encore une fois, Fuck You (mais very much).
Ajout du 19. Ces deux billets sont aussi susceptibles de retenir l'attention de ATD-Quart Monde : Très cher divorce... ou « Silence, on souffre » et « La police des familles », c'est concret et confirmé par Morano ? On attend maintenant l'issue à la crise, puis des jours meilleurs. D'ici là, Un mode d'emploi du blog pourrait servir également.
Du 19 encore... Ce matin, j'ai appelé M. Roth, des services AEMO de l'ARSEA Oswald, je n'avais pas la moindre nouvelle de ses services. Je l'ai informé que j'ai finalement opté pour la voie de l'outrage de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République Française. Après quelques Fuck You (very much) suivis d'un envoi de suppos au château, des laxatifs, ce devrait être suffisant, l'outrage est-il avéré ? Qu'en pensera l'UMP ?
Je pense que je ne vais pas changer grand chose à ce qui suit. Je vais encore attendre quelques jours, y réfléchir un peu, me relire, puis très certainement copier/poster ce qui suit. Si je change ou ajoute quelque chose à cette lettre ouverte, j'aviserais. Mais je crois qu'il est inutile de trop en faire, seul des pros ou des initiés y comprendront quelque chose, or ils ne font aucun commentaire... auraient-ils la trouille ? Il faut admettre que ce qui arrive au chef Jean-Hugues Matelly n'est pas très rassurant. Ces derniers temps, on parle aussi de plus en plus fréquemment de maltraitance de personnes âgées ou vulnérables, ce n'est pas très rassurant non plus. Une opinion de Brazelton et Greenspan de 2001 pourrait même faire rire ou ricaner frémir : « L'ironie est que, si cet état de choses perdure, dans quatre-vingt ans, les bébés d'aujourd'hui se trouveront replongés dans ces environnements impersonnels qui leurs sembleront étrangement familiers. »
Ah, ces récits noirs ou Loup... Qui es tu ?... Les requins sont à peine plus loin, un dauphin vient de nous en parler. Par chance pour lui, ce poisson là, élu et « pré-désigné », a un super comité de soutien mais aussi un hyper papa vu à la télé qui ont le droit de le défendre. C'est ça, la démocratie, et ce qui est juste et bon, nous dit-on. J'ai des doutes.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause... Un son « explicite », posté en septembre dernier.
Dossier ...
Assistance éducative
Brouillon de lettre ouverte
Monsieur le juge pour enfant,
Par votre correspondance du 21 septembre dernier, j’ai le sentiment que vous me suggériez de ne plus vous solliciter, d’attendre le mois de décembre et une improbable audience, à la cour d’appel de Versailles. Il me semble que vous m’avez fait parvenir votre correspondance alors que ma fille Justine ou Maître Delphine Roughol, son avocat, venaient de vous communiquer eux même des éléments dont je ne connais pas la teneur.
Depuis, j’ai téléphoné aux services AEMO de l’ARSEA Ostwald et j’ai alors pu discuter longuement avec Monsieur Roth, un responsable. Ces services ont été priés de vous communiquer une note d’information. Je crois cependant que pour les parents, la représentation n’est pas obligatoire lorsque le juge pour enfant est saisi.
[...] Je souhaite rappeler maintenant que depuis plusieurs années déjà, Justine a un juge pour enfant, un juge des tutelles, un ministère public, un corbeau, des kapos, des travailleurs sociaux, des psychologues, un cafard, un avocat et même un pasteur qui lui sont tous très dévoués. Je vous informe que, très récemment, Justine ne parraissait toujours pas avoir un médecin ; je crois qu'elle n'en a plus vraiment depuis son « placement » à l'OSE France, qui lui profitait tant.
[...] Vous me suggérez donc d’attendre d’être enfin reçu et « entendu » par la cour d’appel, sa chambre des créatures inférieures mineurs. Je crois que vous connaissez les travaux de Jacques Donzelot et de Irène Théry. L’affaire dite d’Outreau a aussi fait couler beaucoup d’encre ; vous pouvez aussi connaître certains travaux de la Mission de recherche Droit et Justice ; d’autres travaux et publications tels que ceux de l’Inserm ou du CNRS sont parfois plus confidentiels ou méconnus. Il y a peu, la Cour des comptes rendait un rapport public, « La protection de l’enfance », jugeant manifestement ce dispositif « insuffisant ». Mi septembre dernier, une Directrice départementale de la PJJ se jetait par la fenêtre, nous avons entendu parler un peu de maltraitance institutionnelle. Je vais bientôt aller plaider à la cour d’appel de Versailles tout en connaissant très bien ses usages et en sachant moi aussi parfaitement que cette voie de recours ou de Justice est réputée illusoire ou inaccessible aux parents d’un enfant « placé ».
[...] Mais avant de publier cette nouvelle caricature, vers le 20 novembre prochain, je devrais être dans Paris avec un mégaphone, pour la grande fête des 20 ans de la CIDE. L'an dernier, à l'occasion de la grande fête du soixantenaire de la DUDH, j'organisais un autodafé d'ouvrages de Dalloz et de l'Unicef; en contrebas de la BNF, à Paris. Je parle depuis quelques mois de l’incurie crasse de l’administration judiciaire française et, depuis peu, je n’hésite plus à parler aussi parfois de tromperies, d’escroqueries et même de pédopornographie judiciaire.
Je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de ma plus haute considération.
Ne pas savoir imaginer dans les bornes du réel est un art • Nihil Messtavic
Surprise !
Les feuilles, finalement, c'est peut-être un peu mieux quand même ? On y relève des surprises, tel ce cadeau en toute discrétion, fait à Gandrange. Sur le net, on ne le percevait pas vraiment, il fallait vouloir le lire ? Dans le Figaro de ce vendredi 16, on ne peut que remarquer l'encart qui figure en bonne place, sous une double page consacrée à son interview.
La vrai surprise est peut être sur la première feuille, mais en page 15, tout à la fin de ce même canard. S'agirait-il d'un très violent retour au réel, après une multitude de buzz ? Un très récent pourrait-il l'avoir finalement contraint à défendre l'enfant « pré-désigné » par la voix d'un grand quotidien national ? Ce serait insoutenable.
Je n'ai pas de problèmes avec son élection. Mais sa justice et son mutisme m'en posent, de très sérieux.
Dans le Monde de demain qui titre que son hyperprésidence montre déjà ses limites, Plantu est toujours aussi taquin. En une du Parisien du jour, on lit bien que ça grince à droite. On le lisait déjà sur la couverture de Valeurs Actuelles. Libé Le tract va plus loin et nous parle d'une mutinerie alors que monte un peu partout l'idée de taxer les banques.
France Soir revient sur l'affaire Grégory. Il y a 25 ans, jour pour jour, son corps était retrouvé dans la Vologne. « J'ai commis des erreurs, les gendarmes aussi », nous a dit depuis le juge Lambert. Il me semble même que l'Etat a été condamné pour les insuffisances de l'enquête... et qu'en tous cas, depuis, la médecine légale aurait été quelque peu réformée.
« Visite surprise », en l'absence de la presse nationale
La vie, après la Shoah
Cet après midi, au moment de sortir, ma compagne ne savait pas où je me rendais. Elle constatait que j'étais assez stressé par l'idée d'arriver en retard. Elle me déposait dans Paris et je pouvais donc arriver beaucoup trop tard pour être admis dans la salle... Elle insistait, voulant savoir. Je lui ai répondu : « j'ai cours, vivre après la Shoah, au mémorial. » Se tournant vers moi, subitement illuminée par un large sourire, elle poursuivait : « et tu rentres à quelle heure ? » Percevant alors très bien ses arrières pensées, j'ajoutais : « ne t'inquiètes pas, la garde à vue n'est pas prévue, tu vois bien que j'y vais avec mon PC, je serais très sage. » Là bas, l'auditorium m'a encore paru comble, je ne stressais pas sans raisons, il fallait arriver avant l'heure pour y accéder. Je souhaitais assister à cette rencontre pour glisser une carte de visite à Madame Catherine Vieu-Charrier, l'actuelle adjointe au Maire de Paris, chargée de la Mémoire et du monde Combattant.
Une assemblée, des témoins, un médiateur et Madame Catherine Vieu-Charrier
J'ai d'abord et bien évidement sagement écouté les discours et les débats... mais surtout le médiateur qui a mobilisé une bonne partie du temps de parole. La conférence faisait suite à une récente projection d'un film de Francis Gillery, La vie après la shoah, promu maintenant, dans le cadre de la commémoration de la « libération » du camp d'Auschwitz, il y a 65 ans. Ce projet souhaitait illustrer la diversité des difficultés rencontrés par les ex-prisonniers ou déportés, après la fermeture puis l'évacuation des camps de concentration nazi. Il s'agirait d'une trame validée par des historiens et entrecoupée par des témoignages ; je n'ai pas vu ce film, mais en sortant, des DVD ont été distribués.
Je n'ai toujours pas regardé Nuit et brouillard, réalisé par Alain Resnais ; je crois que c'est ce documentaire qui avait suscité une première et réelle prise de conscience en France, après ce qu'on appelait alors l'holocauste. Avant cela, les français semblait plutôt être préoccupés par leurs soucis personnels, d'après guerre, ce qui a été rappelé ce jour.
Au cours des débats de l'après-midi, le médiateur a longuement critiqué et contesté le choix d'une scène, dans ce nouveau film. J'en verrais peut-être, assez identiques, dans Nuit et brouillard. Je pense que ce sont précisément ces images là qui ont pu embrouiller l'Europe, voire aussi le Monde : « non, c'est irréel » ou sa variante « non, tu ne peux pas avoir subit cela, tu est là, et tu m'en parles ». A suivi Shoah, le film de Claude Lanzmann. Plus tard, le réalisateur répondait au médiateur. Par le passé, dans les années qui ont suivies la guerre, le monde n'a pas immédiatement réalisé ce qui s'était produit, pour une partie de la population, celle des déportés, notamment juifs. Depuis, je crois que pas grand monde ne sait ce qui a pu se tramer encore, massivement, pour tout ceux qui ont été extraits vivants des camps.
Ce nouveau film ou documentaire, produit 65 ans après ces « libérations », pourrait contribuer à faire voler en éclat certains mythes ou stéréotypes, à lever le voile de divers silences. L'euthanasie douce ou les années noires des malades mentaux français, c'est documenté. Le cas particulier des sourds, ces témoins silencieux, est également documenté. Haïti, c'est déjà documenté... Aujourd'hui, certains ont donc encore pu « témoigner » ; d'ici quelques temps, il n'aurait plus été possible de réaliser un tel film, La vie après la Shoah. Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Parce qu'il ne faut pas remuer la merde ? Je partage assez la perception d'un colonel.
L'un des témoins ayant apporté sa contribution a contesté sa mise en scène, s'interrogeant, parce que, dans ce film, il est présenté en tant que « ancien déporté, exerçant aujourd'hui telle profession ». Le médiateur a bien dit aujourd'hui qu'il n'est pas question de réduire « l'identité » de ces gens à leur ancien ou ex statut de « déporté ». C'est un sujet qui suscite manifestement la critique, voire des contestations. Faudrait-il en retenir que tout ex-déporté pouvait alors malgré tout espérer exercer une profession ? Ces cas seraient rares. L'un des frères Finaly est bien « chirurgien » mais l'autre n'est « que » « entrepreneur » ou « chef d'entreprise », peut être un statut social plus commun.
Un autre témoin de ce film ou documentaire nous a exposé la situation après guerre d'ados ou de jeunes majeures qui ont été déportés, puis extraits de ces « enfers ». Il semblerait qu'ils ont été parqués comme des boeuf, après leur « libération ». Il nous expliquait que tous ceux qui avaient alors de 18 à 23 ou 24 ans n'avaient aucune issue. Ils étaient majeurs, isolés, trop âgés pour être soutenus, et pas assez « adultes » disait-il, pas assez murs ou autonomes pour s'extraire ensuite de cette période qui a suivie leur internement dans des camps. J'ai pensé à ces ados dont personne ne semble vouloir, de nos jours. De nombreuses difficultés qui se sont posées entre 1945 et 1948 auraient été tues... Beaucoup, jeunes comme adultes, se seraient plus tard suicidés. Divers intellectuels se sont depuis aussi suicidés ; certains d'entre eux ont été classés parmi les nihilistes, des courants de pensées « désespérants », inaudibles ou souvent très vivement critiqués. A mon avis, tous ces sujets ont plutôt fait l'objet de débats entre initiés ou personnes plus directement concernées ou sensibilisées. Assez globalement, hormis, peut-être, les enfants, tous ces individus libérés des camps semblent avoir été refoulés par l'Europe et refusés aussi par les Etats Unis. Ce nouveau film pourrait illustrer ces phénomènes « humains » ou « sociaux ». « Comment cela, ils sont revenus ? », selon d'autres témoignages et historiens, notamment dans des pays de l'est. Ce nouveau film pourrait choquer.
Un témoin a un moment évoqué Hiroshima, redoutant que la troisième guerre serait nucléaire. Lorsqu'on nous a récemment annoncé la catastrophe de Haïti, on nous a rapidement parlé de 200 000 morts, on ne pouvait penser qu'à Hiroshima ? Le bilan actuel, là bas, s'élèverait maintenant à 170 000 cadavres évacués auxquels s'ajoutent de nombreux amputés et des orphelins, en veux tu, en voilà. Le magazine Choc actuellement en kiosques est assez « explicite ».
Au cours de ces débats du jour, j'ai souvent songé aux travaux de Katy Hazan, historienne qui travaille avec l'OSE France, surtout lorsque « le jeune majeur » parlait. J'avais pu communiquer avec Katy Hazan, début 2006, il me semble. En mai 2006, lors d'une manifestation sur le parvis des droits de l'Homme, je rencontrais « les X en colère », des adultes nés sous X, ainsi qu'avec des parents qui ont un jour eu à se battre contre l'Administration française pour retrouver puis renouer avec leurs enfants. Katy Hazan contestait alors ma propre critique, acide et acerbe. Elle soutenait que la réalité n'était pas aussi négative que je pouvais le penser. De mon ancien blog, publié fin mai 2006, aujourd'hui aspiré par archives.org :
L'enfance dans l'ombre du génocide
LE MONDE DES LIVRES | 12.09.05
Katy Hazan décrit ces maisons comme de véritables communautés éducatives animées par de fortes personnalités qui ont la ferme volonté d'appliquer des méthodes d'éducation nouvelles. Les programmes conçus sont originaux, mêlant activités libres à la Freinet et dirigisme à la Makarenko. Mais il y a loin de la théorie aux actes : beaucoup d'anciens pensionnaires conservent le souvenir d'une réalité routinière peu épanouissante.
Suite à ces échanges avec l'historienne et à la suite de mes écrits, dans mon blog, j'ajoutais ceci : « Katy Hazan, historienne, renvoit à la lecture de son livre, "les maisons de l'espoir", voir l'article du Monde des livres pour plus de détails. Selon elle, le bilan de cette période et l'enseignement à en tirer ne serait pas à ce point négatif, ce dont je ne doute pas. Mais sur le terrain, pour ceux qui prétendent s'inspirer aujourd'hui de tels travaux et références, les résultats sont donc parfois mitigés. » Mon discours était toujours assez clair, même dès la refonte de mon blog, début 2008.
Depuis, j'ai pu visiter l'exposition « A la vie ! », de l'OSE France. Le contraste auquel je pensais est bien perceptible, sur divers panneaux de cette exposition. Des situations puis des existences ou trajets individuels pouvait être très durs, pour diverses raisons, surtout pour des enfants. Pour l'avoir vu, le travail des historiens de l'OSE me parait cependant assez fidèle. Des carrières telles que celles de Elie Wiesel ou même de l'un des frères Finaly semblent être assez rares. Les laissés pour comptes, les incasables et les irrécupérables - des mots qui ne choqueront pas certains travailleurs sociaux, ni certains moralistes ou criminologues - étaient à mon avis bien plus nombreux.
La communauté juive, en Europe, délaissée après 45, aurait alors tout de même été efficacement assistée, par l'OSE France, financièrement soutenue par le JOINT. Je pense que des ouvrages d'historiens déjà parus confirmeront. Cela a été dit ce jour, au cours de débats parfois chaotiques, au cours desquels se sont finalement entremêlés des témoignages ou récits des plus divers. La nécessité, pour certains, de parler était très perceptible. Une enseignante s'est un moment levée, une enfant de déporté(s) qui n'a pas eu à subir ces « enfers », un mot qui a été employé ce jour. Elle nous a décrit son propre « combat » pour la mémoire, au sein d'établissements scolaires. A ce moment précis, j'ai pensé à Chantal Clos qui s'était levée, le 18 novembre dernier, au cours d'un colloque de l'Unicef, à Sciences Po... Lors de ce colloque, Madame Myriam El Khomri, adjointe au maire de Paris chargée de la Protection de l'Enfance, nous avait parlé « d'humain » et de « dentelle », de projets « sur mesure », en faveur de mineurs. Depuis, je pense que cette adjointe ainsi que d'autres m'ont très bien entendu, probablement même lu. Chantal Clos, on l'oublie, elle a depuis fait une très grosse « bêtise » ; les initiés savent, à mon avis ils sont nombreux et parmi eux, certains pourraient être honteux.
A l'issue de ces débats, je suis descendu vers les intervenants du jour, pour m'approcher d'abord de Madame Catherine Vieu-Charier. Je lui ai demandé si elle connaissait Madame El Khomri, ainsi que l'OSE France. Elle m'a répondu par l'affirmative et des propos élogieux. J'ai poursuivi en lui annonçant que le 20 novembre dernier, j'avais commis une offense au chef de l'Etat mais que le parquet de Paris n'avais pas osé donner suite. Tout en lui remettant ma carte de visite, je lui ai dit que je n'hésite pas à traiter Richard Josefsberg, de l'OSE France, de révisionniste. Je l'ai souvent écrit par le passé, en décrivant ses travaux ; il n'a jamais contesté. Mais Madame Catherine Vieu-Charier s'est alors mise à rire aux éclats, se tournant de suite vers un autre interlocuteur et glissant ma carte de visite dans sa poche. Qu'elle la conserve bien, je n'en demande pas plus. Je la rencontrerais encore, je vais un peu suivre son agenda.
Je suis ensuite allé discuter avec le réalisateur du film. Je pense qu'il m'a très bien entendu.
Dans un billet de ce 23 janvier, après avoir cité un extrait de l'arrêt rendu ce 15, j'écrivais que ma fille pouvait en effet s'exprimer comme une « poissonnière ». La chambre des créatures inférieures motivait récemment en ces termes : « Considérant que Justine a souhaité être entendu par la Cour ; qu'elle est âgée de 16 ans et parfaitement capable non seulement de discernement mais également d'exposer et d'expliquer son point de vue concernant sa situation et de dire à son père, ainsi qu'elle a pu le faire à l'audience, la souffrance que lui cause l'attitude de celui-ci à son égard ; », notant dans ce même arrêt que, cet été, les relations entre ma fille et moi ont parfois été plus « conflictuelles ».
Cet été, Justine m'avait encore lancé : « tu ne peux pas savoir ce que c'est, d'être placée chez des juifs ». Pour des juges, des pros de la Dass et le pasteur d'Uhrwiller, ça démontrera encore que toute relation père-enfant est toujours impossible. La vie après la Shoah, chez soi, c'est fabuleux. Depuis, j'ai une fois encore fait savoir à Justine que des juges qui trichent gagnent à tous les coups. L'OSE France ne m'a jamais répondu, je leurs posais une question très simple, par mail, en septembre dernier. Au cours de ces débats du jour, il a été question de « vengeance », un sujet à polémique qui n'aurait pas été traitée par ce nouveau film ou documentaire. Je n'en écris pas plus pour le moment, je pense que c'est un sujet tabou, des plus sensibles. J'en parlerais, si je rencontrais un jour, à nouveau, des juges de la cour d'appel de Versailles. Plutôt que de juges, s'agissant de ceux qui m'ont reçu en chambre du conseil, entendu et lu, je parle depuis quelques temps de pitres et même de souteneurs tout en affublant aussi le mot magistrature d'un tréma, ce qui peut heurter certaines sensibilités. Mais la chancellerie que j'ai très souvent informée ne réagit pas. Par le passé, fin mai 2008, le pasteur d'Uhrwiller envisageait de faire « supprimer » mon blog mais à l'époque, le substitut Laeticia Felici m'avait dit que « pour le moment, la diffamation, ça va ».
Dans les prochains jours, je regarderais La vie après la Shoah, ainsi que Nuit et brouillard. Cet après-midi, j'ai appris que demain, un fils de déporté, aujourd'hui talentueux juriste, devrait former ou éduquer de hauts magistrats français... Il s'agit peut-être de la concrétisation de ce que MAM nous annonçait il y a peu : Paris, bientôt hyper compétant.
Aujourd'hui, j'ai encore appris qu'une circulaire de l'EN ne serait pas convenablement appliquée, les enseignants n'en feraient pas déjà assez ? Ca m'a un peu étonné car lorsque Justine était encore « placée » à l'OSE France, leur établissement de Taverny, elle avait fait un voyage avec sa classe, pour rencontrer des survivants ou témoins. Je crois me souvenir qu'elle allait à Chambon sur Lignon, en Haute Loire. Richard Josefsberg pourra sûrement confirmer, tout en refusant de me les présenter, il avait signé tous les documents d'inscription de ma fille. A l'époque, j'avais du me rapprocher de l'école pour obtenir plus d'informations ; cette Dass a ensuite fini par me qualifier « d'intrusif », puis de « parano », puis par rompre durablement la relation père-enfant. Ce 21 janvier 2010, je publiais Sieg Versailles !
Ca pourrait plaire à Richard Josefsberg, « Ship to freedom ! »
« Ni père, ni mère », et un tampon du château de Vaucelles
Une petite distraction, au « Hamasland »
En fin de matinée, ce vendredi, j'ouvrais l'eParisien puis je percevais l'ire de « quelques associations juives ». Quelle chance, car sans ce message fort, je n'apprenais pas que ce soir, je pouvais me distraire. On ne peut que parler d'une « distraction », il ne s'agissait que de la mise en scène d'une « nouvelle », « Terre promise », puis d'un court débat avec des acteurs. C'est d'un tout autre esprit que des conférences parfois animées par des scientifiques, des juristes et des historiens, parfois suivies ou entrecoupées de témoignages individuels, parfois de cacophonies de témoignages aussi.
Quelques mots sont très durs, dès le début de la pièce. Un peu plus tard, lorsque les mères se retrouvaient, je ne me questionnais pas moins. Le fils a reproché à ses parents naturels d'être partis et de ne jamais s'être battus pour le retrouver ? Je n'ai pas trop pensé à des « terroristes », ce que pourrait supposer Albert Miara. J'avais souvent la si douloureuse affaire Finaly à l'esprit ainsi que certains de mes propres « dossiers ». Albert Miara pourrait éventuellement en discuter un jour avec la Direction de l'Oeuvre de Secours aux Enfants France, elle en sait quelque chose.
Je rassure ceux qui craignaient une « importation » du conflit israélo-palestinien en France, ce matin, le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) s'affolait, d'inquiétude. Les abords et l'espace Jean Vilar étaient plutôt paisibles et les gens que j'ai rencontré, là bas, m'ont semblé être de natures assez pacifiques. S'il y avait des « terroristes » sur place, ils étaient très bien cachés ou vraiment discrets. En tous cas, j'ai survécu.
Même la municipalité d'Arcueil ne m'a pas parue si radicale ou extrémiste que cela, je le relevais rapidement dans leur mensuel de février, « Arcueil, notre cité » n° 204. On le lit en page 5, sur la feuille du carnet de routes du maire, conseiller général : « La réponse au drame n'est pas dans la surenchère [...] mais dans l'éducation ». J'ai le très net sentiment que leur maire pouvait répondre à Amara ; la cité d'Arcueil, abonnée à ses feuilles, me comprendra très bien. J'y passe souvent pour me rendre à Paris, par le RER. Il m'arrive aussi d'y faire parfois des photos, comme celle-ci.
Comme lors de toutes mes sorties, j'ai assez longuement discuté avec des personnes présentes sur place.
Un jour, j'irais voir aussi Vers toi, Terre promise, tragédie dentaire.
Théâtre
Vers toi Terre promise, tragédie dentaire, au Théâtre du Rond-Point
L'Express, publié le 09/04/2009 09:00, extrait
Imaginez-vous sur le fauteuil du dentiste. Imaginez la roulette atteignant le nerf et votre cri de douleur qui se double d'un éclat de rire noir. Et ce rire vous fait plus mal encore, car il vous a été arraché à votre coeur défendant. Qui oserait s'amuser, en effet, au récit de la souffrance, de la révolte et des nuits blanches de ces parents dont l'une des filles est morte en déportation tandis que l'autre, cachée dans un couvent, refuse de les revoir ?
Terres promises, un père et deux mères, face à « l'Histoire »
Tiens, voilà que ressurgit ce Maxi
Il y a peu, ailleurs, dans un billet au contenu bizarre, sans mon autorisation, j'ai vu paraitre une photo qui semble avoir été taillée dans ce mag, un Maxi de mars 2008. Un huissier de justice français a vu et enregistré ce montage douteux ou excentrique. Qu'en pensera le proc' du coin, Nanterre ? Depuis quelques temps, j'ai parfois le sentiment d'être « signalé », comme en Russie ou comme depuis Puteaux, par le passé. Pour le moment, je n'ai pas pu contacter un OPJ, pour en discuter encore ; ils étaient manifestement « à la circulation », du fait des conflits sociaux.
Cahiers du MONDE RUSSE
45/3-4 | 2004
Période soviétique et post-soviétique, extraits
Les dernières avancées de la recherche sur l’histoire de l’URSS ont déjà fait voler en éclats beaucoup de préjugés idéologiques, y compris le schématisme et l’extrémisme des courants « totalitariste » et « révisionniste ». [...] Selon le langage de l’époque, leurs auteurs envoyaient des « signaux » aux autorités dans le but d’attirer leur attention sur ce qui n’allait pas dans la vie publique ou privée. Cependant ils s’abstenaient, à de rares exceptions près, de critiquer le pouvoir central. C’était tout le contraire : en manifestant ainsi leur confiance au régime, ils espéraient que les autorités prendraient des mesures contre des comportements déviants de voisins, chefs, collègues, amis ou parents.
Cahiers du monde russe, 45/3-4 | 2004, [En ligne], mis en ligne le 03 juin 2009.
http://monderusse.revues.org/index4201.html. Consulté le 22 octobre 2010.
Peu après la parution de ce Maxi auquel je ne pensais plus, mes droits « sur » ma fille ainée allaient enfin être progressivement rétablis ; pour y aboutir, j'avais fini par sommer le juge pour enfant Xavier Serrier de juger. Ce sont déjà de très vieux souvenirs, de la matière pour des historiens. Les juges m'ont beaucoup reproché cette parution.
J'avais commenté cet article de Maxi. Plus tard, des journalistes de France 2 me suivaient au tribunal, pour Faits divers, le mag. Du reportage diffusé par France 2, il y a 3 ans : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. » Elle a maintenant quasi 18 ans. A mon avis, le ministère public va rester éternellement aphone, il n'a rien à répondre à ces caméras, et le pasteur ne dira rien non plus. Mais que dis-je, « ces caméras » ; les caméras se sont vaporisées
Ce dimanche, à Blois, le procureur Varin nous a beaucoup bercé parlé de présomption d'innocence ; il insistait.
Maxi n° 1114, du 3 au 9 mars 2008
« Régalez-vous économique ! » J'ai de nouveaux éléments entre les mains et il m'en parviendra encore.
La cour d'appel de Versailles, sa chambre des créatures inférieures, a elle même assez souvent été explicite : « Par ordonnance du 18 novembre 2003, malgré la résistance du père à l'interférence des tiers dans l'éducation de sa fille, en particulier des institutions judiciaires, Justine, enfermée dans un conflit de loyauté qu'elle ne pouvait maitriser seule, était placée à la Maison d'enfants du château de Vaucelles à Taverny, placement qui était renouvelé à compter du 14 avril 2004. » Prétendant « sauver », ces gorets du social ont tout cassé, travaillant plus à rompre, à servir le pasteur et le corbeau de cette histoire, une tata de la Dass, à se défausser et à se couvrir plutôt qu'à aider effectivement mon ainée. Récemment, l'ARSEA Alsace a ajouté une cerise de plus à ce gros gâteau ; ces pros là tenaient absolument, à leur tour, à « orienter » mon ainée ; ils ont réussi à faire foirer également sa scolarité. Et ce n'est pas fini ; d'autres « professionnels » ont fait un peu n'importe quoi dans le cadre de successions... Aux Français et à leurs juges : encore un petit effort, puis vous aurez bien sauvé ou veillé sur tout ! Mais je suis d'accord, on a déjà vu pire. Oui, 'y a toujours pire.
Le ministère public va rester aphone, ou arguer d'abord qu'il s'agirait « d'assistance éducative », ou que tout cela est « d'ordre privé ». J'ai beaucoup étudié et appris au cours de cette dernière année. J'ai, par exemple, étudié des procureurs et des juges ; j'avais surpris un avocat général lorsqu'il s'était apperçu que je l'avais observé au cours de l'audience, alors que les juges lisaient un rapport ; je pense que je surprennais déjà le juge Anne Valentini, dès la mi-2003 et plus encore, après l'été 2004, au cours d'une discussion, lorsqu'elle décidait de ne pas se déssaisir du dossier de ma fille, ce qui m'avait choqué. J'ai ausssi étudié SEFCA Puteaux. Par le passé, j'avais déjà longuement et assez finement étudié l'Enfant d'Abord ainsi qu'une faune qui grouillait dans les forums de aufeminin.com. J'ai étudié ou approfondi de nombreuses matières, travaux et publications, observé plus d'une créature ou association ; des historiens, des juristes et des sociologues s'en sont peut-être apperçu ; les gorets de l'ARSEA s'en sont beaucoup plaint, Richard Josefsberg a également très mal supporté ma carotte. Je recherche encore la « dimension éducative » ou ce qui, dans une telle histoire, profiterait effectivement à ma fille aînée, « l'enfant ». En ce moment, avec SEFCA Puteaux, je buche le pénal et ses préliminaires, des matières que je n'avais pas encore eu l'opportunité d'approfondir.
J'amasse des éléments - concrets, matériels - depuis de très longs mois, voire même depuis des années, tandis que d'autres allèguent, dénigrent, diffament, injurient et accusent depuis début 2009, sur la toile, ainsi que, depuis peu, auprès de la police nationale et du proc', en recherchant des témoins, en réclamant voire même en supposant des condamnations acquises, en exigant des investigations et en réclamant maintenant même un juge d'instruction ? Ces délinquants - un mot qui plait beaucoup à l'UMP - de Puteaux n'ont-ils réellement aucune preuve contre moi, leurs faudrait-il des juges, de vrais juges, pour leurs rassembler des charges ? Les démarches de ces délinquants, en France, auprès du parquet de Nanterre, de la police de Puteaux et, très probablement, auprès des services de police Neuilly aussi, ne m'inquiètent absolument pas. Tout devrait se décanter au cours des prochaines semaines ou mois. Qu'est-ce que cette « gazette de Puteaux », un autre blog également hébergé sur Wordpress.com, encore aux USA ? Cette gazette semble avoir publié ou repris des affabulations et des diatribes de l'association SEFCA Puteaux. J'en parlerais également à la police ainsi qu'à tout juge qui se saisirait des plaintes et complaintes de ces délinquants ou affabulateurs de Puteaux ; je n'ai rien à cacher ; même ce que des professionnels appellent le tribunal de l'opinion ne m'inquiète absolument pas.
Le Canard, 1er octobre 2008
On rigole souvent lorsqu'on lit le Canard ainsi que d'autres feuilles, moins satiriques. Je rigole aussi, très souvent, lorsque SEFCA Puteaux annonce que des plaintes suivront. Les plaintes de ces délinquants ont parfois été très concrètes, suivies d'effets ; la police du secteur m'a déjà convié pour me demander des explications, en mai dernier. La police pourrait bientôt, à nouveau, me repprocher d'avoir publié des « photos des enfants » de Monsieur et Madame Lorentz. Jean, le « prédésigné », n'est-il plus le fils de Nicolas Sarkozy ? Il semblerait surtout qu'il y a peu, Monsieur Lorentz a détourné une correspondance privée pour la publier, lui-même, sur Internet, tout en m'accusant de l'avoir fait, quelque chose de cette nature... Et il y a peu, la police me priait encore d'attendre ; le proc' de Nanterre doit, un jour, prendre des décisions.
Des photos de ses enfants, publiées sur Internet ? | Des photos avec Jean Sarkozy et Nadine Morano ? |
Ces deux vignettes sont celles de photos d'un constat d'huissier. Je pense que l'association SEFCA Puteaux est brouillée avec ces gens là, mes butineuses - voir ou relire Je crois qu'une bonne piqûre de rappel s'impose. Les huissiers de justice sont pourtant parfaitement compétants pour réaliser des captures, des constats, y compris sur Internet - poser la question à Google. Faire appel à leurs services n'a rien d'un crime ou d'un quelconque délit, en tous cas, pas en France - en principe, dans les grandes lignes, qui pourraient être bientôt déplacées par le proc' et des juges du coin.
Ma compagne rigole souvent, elle aussi. Elle a beaucoup rigolé lorsque Nanterre a décidé d'auditionner un dalmatien. Un juge s'éclaire comme il a envie de le faire ; les juges de Nanterre et de Versailles me l'ont assez bien démontré au cours de ces dernières années ; on dira plutôt des juges qu'ils sont indépendants ; les juges du coin ont mis un temps fou avant de reconnaitre qu'ils avaient dénaturé des éléments du dossier d'assistance éducative de ma fille ainée, ou plutôt, un temps fou à bouger un peu leurs plumes, à relire et à revoir un peu leurs motivations. Ma compagne rigole souvent, mais elle s'inquiète aussi, ces derniers temps ; les juges du coin accepteront-ils ou vont-ils, comme SEFCA Puteaux envisage de le faire, purement et simplement balayer ces constats d'huissier auxquels je me réfère ? Mais le pénal, en public, et l'assistance éducative, à huis clos ou à la dérobée, ce n'est pas du tout la même chose - en principe seulement.
J'étais hilare lorsque j'ai découvert ce PDF, dans ma boite mail, de la part du service contentieux d'Iliad. Combien de truands rêveraient d'être informés avant l'arrivée, chez eux, de la police, de fouineurs, voire même d'un juge d'instruction, en personne et à l'improviste ? « Coucou, c'est pour la fouille, puis on vous embarque ! » Fillipis, ex-PDG de Libé, pourrait en rire ou en pleurer également ; fin 2008, il a été fouillé puis amméné au juge d'instruction, toute la presse était boulversée ; « la garde à vue, ça craint, ces procédés sont inadmissibles ! » Iliad m'envoyait ce fax par mail en me suggérant alors de « prendre les mesures utiles qui s'imposent ». J'ai repeint les WC. Quoi faire d'autre ?
L'essentiel des éléments auxquels je me réfère lorsque je réagis, face aux accusations et aux diatribes de SEFCA Puteaux, est gravé dans les minutes de deux ou trois huissiers de justice français. Le proc ayant aujourd'hui d'assez larges pouvoirs d'investigations, il a probablement déjà pu accéder à ces minutes, vérifier au moins la conformité de ce que je lui ai déjà communiqué, au cours de l'hiver et du printemps dernier. Le proc' et ses services sont peut-être perdus dans ces centaines de pages de constats d'huissier qu'il ont pu découvrir depuis... et noyés dans les fichiers de police, maintenant régulièrement alimentés par SEFCA Puteaux ?
Je n'ai pas simplement fait capturer des extraits des blogs de SEFCA Puteaux, mais des pages entières, parfois des sources aussi, en communiquant simplement des URL à ces huissiers de justice, avec des manières courantes pour y accéder, par exemple, depuis Google ; on ne pourrait que très difficilement m'accuser d'avoir fait capturer des morceaux choisis, puis d'en avoir fait des « montages ». D'où j'ai ces captures réalisées sur Facebook ? Elles sont aux minutes d'un huissier, il s'est enregistré, sur Facebook ; là bas, Monsieur Lorentz avait un mur, lisible par tous, et une liste d'amis, également lisible par tous. Comment j'ai pu me procurer la plainte de Monsieur Françis Painot ? Elle est aux minutes d'un huissier, il l'a trouvée sur la toile, dans un blog de SEFCA Puteaux. Il y avait aussi des bugs, ici et là, mais je n'en parlerais pas ; là encore, l'essentiel est gravé ou noyé dans les minutes d'un huissier ; tout est légal. Il faudrait que je sois débille pour « m'introduire » quelque part et risquer une condamnation. Je ne parlerais pas car je pourrais porter préjudice à Wordpress.com ainsi qu'à Wordpress.org, certainement à Facebook aussi, ce que je ne souhaite pas faire. Mais si le proc' ou un juge insiste, je parlerais et nous rirons encore des allégations de SEFCA Puteaux - 024 076 091 093... 100
If you want it secure, cut the wires - remove the power cord. Il y a quelques temps, pour le Conseil Général du 9-2, Monsieur Françis Painot était lui-même assez explicite, je ne l'ai pas caché, SEFCA Puteaux non plus :
Internet, ce n'est pas plus confidentiel qu'un couloir, tout peut s'y éparpiller ?
Du chantage ? Mais de quel chantage se plaint SEFCA Puteaux ? Comment pourrais-je faire disparaitre quelque chose qui est depuis des mois comme gravé dans du marbre, chez des huissiers, et qui est déjà communiqué au proc', publié sur Internet aussi ? Pourquoi envisagerais-je de faire disparaitre quelque chose dont je me sers pour me défendre ? Ces plaintes ou accusations fantaisistes qu'on se prend, en retour, sont à mon avis très courantes dans ce genre d'affaires ; ce dimanche, à Blois, le club de la presse en a même parlé ; je suppose que le proc' et la police du coin sont également au parfum. SEFCA Puteaux a relevé des injures et s'en est plaint à un juge d'instruction ? Où sont ces injures dont se plaignent ces délinquants, de quoi s'agit-il ? Il y aurait ici et là, dans mes écrits, quelque chose d'inacceptable, d'inadmissible ? Je ne partage pas ce sentiment. Ce vieux texte de 1881 est vraiment très bien conçu ; son article 1er : « L'imprimerie et la librairie sont libres » ; mais il faut aussi lire les articles suivants.
Comme je l'écrivais déjà le 30 mars dernier, « des lecteurs vont vouloir me parler d'une histoire de tarte aux pommes en me lançant que la justice aurait bien mieux à faire... Mais je ne me plains pas d'un simple « salope » marmonné un jour, dans une boulangerie. » Par ailleurs, SEFCA Puteaux a tout de même réussi à mobiliser la police, le proc' ainsi que le doyen des juges d'instruction du coin. Je crois que cette affaire est aujourd'hui assez sérieuse ? En tous cas, la police de Puteaux semble avoir pris Madame Moreau et Monsieur Lorentz très au sérieux. D'autres vont me lancer qu'il se passe toujours des choses plus graves, ailleurs ; oui, je sais, et pour s'en convaincre, il suffit de parcourir ma rubrique Notes ou ma rubrique Victimes, dans ce même blog. Mais patience, le proc' va peut-être tout classer ; c'est lui, le chef, ici.
Mais que Courroye et ses services classent, une première partie, et ce sera parfait. J'ai d'ailleurs exercé diverses pressions à ces fins, pour les faire bien fouiller. En effet, en mai dernier, auprès de la police qui m'avait demandé des explications, j'ai dépose une plainte contre SEFCA Puteau, Madame Moreau et Monsieur Lorentz, en raison de dénonciations calomnieuses, une plainte que je vais évidement maintenir. En mai dernier, j'exerçais également des pressions à la chancellerie ; voir Référence à rappeler au Ministre : BDC/CP/FM-2010004446638. Plus tard, en juin, Versailles renvoyait, conviant le pasteur... et début septembre dernier, le proc' de Paris finissait par me répondre. Depuis, selon le Métro du 20 septembre, des juges ont appelé à une grève du zèle. A mon avis, le parquet s'affaire. En marge de toutes ces histoires, au tribunal de Nanterre, je me suis aussi plaint d'une doublette, à Puteaux.
récépissé de plainte en raison de dénonciations calomnieuses
Fin mai 2010... depuis, en plus des injures, il pleut les jérémiades de Puteaux
Je note que Jean Sarkozy est à nouveau en campagne. D'après le Parisien, il trime, pour ses études, et « désormais, il refuse toutes les sollicitations des médias. » Va-t-il afficher son franc soutien à SEFCA Puteaux ? Lefebvre ou Poniatowski, un ami d'Emeric Lorentz, sur Facebook, vont-ils s'en charger, pour l'UMP ? 'y a personne, au Parti, pour repécher l'un de ses membres ? Allez, courage Lefebvre, comme vous l'aviez suggéré, en février dernier, on étale tout, on passe enfin à cette ère différente ! Il faut que je retrouve un email de Puteaux adressé à Monsieur Nicolas Sarkozy, notre chantre national... J'ai déjà retrouvé ce qui semble être ce fameux faux, très émouvant, dont Monsieur Painot pourrait s'être plaint. Ah ! Voilà cet email, sur cette page : « Monsieur le Président, Je vous écrie une nouvelle fois, nouveau membre de l'UMP avec ma femme grâce à votre fils Jean Sarkozy. » Quelqu'un va renvoyer l'ascenceur ? Nadine, Ministre de la famille ou des battues (les femmes, à moins que des battues de la Dass), pourrait s'en charger ; la femme et les enfants de Monsieur Lorentz seraient les grandes victimes de cette histoire-ci.
J'ai parfois l'amère impression de faire de la politique, parmi des requins, en marge de mes affaires « d'ordre privées », menées en ce qui serait justice. Je pense que je vais devoir relire les arrêts et jugements rendus par Versailles et Nanterre, de 2007 à 2010 au moins ; je crois que d'une certaine façon, les juges du coin ont pu percevoir quelque chose d'assez similaire, ils ont souvent critiqué mon expression, en public (presse, blog et forums sur le net, télé, manifestations dans Paris, critique des gorets du social, ... alors Xavier Serrier, l'un de leurs pairs, emplafonné fin 2008, puis encore la cassation, n'en parlons même pas, j'ai pu vexer plus d'un juge et de nombreux justiciables).
Paranoïa ? Hé, du calme, les illuminés, les pitres en robe et les bouffons en blouse ! Au cours de ces dernières années, j'ai critiqué à peu près tout le monde, et souvent agit ou réagit, y compris parfois de manière virulente, dans des prétoires. Il me parait donc assez naturel qu'il y ait aussi fréquemment des réactions, en retour, jusqu'à des réactions des plus maladroites. N'est-ce pas, SEFCA Puteaux ? N'est-ce pas, l'OSE France ? N'est-ce pas, l'ARSEA Alsace ? N'est-ce pas, les juges ? CHEESE - Prennez le avec le sourir, ce ne sont que quelques mots. Je propose qu'on en discute ensemble, plus en détail, et qu'on farfouille, histoire d'en rire d'avantage. On pourrait aussi convier des historiens, spécialistes des systèmes ou régimes totalitaires, lire puis commenter ensemble Un cas clinique, histoire d'en rire, un extrait du DSM-IV, paru chez Masson, en 2008 ? Allez, on se remue, on ose, et on parle de tout, sans le moindre complexe ! Enfin... ces histoires d'inflation et d'empreintes génitales, allez en discuter avec qui vous savez.
En janvier 2009, j'envoyais une baffouille au garde des Vélodromes. J'écrivais encore que, « contrairement à ce que le Docteur Magalie Bodon-Bruzel supposait dans un rapport très contestable versé au dossier de Justine en 2006, j’ai conscience des troubles que je crée autour de moi. J’ai également bonne conscience des troubles que d’autres créent et entretiennent autour de moi et de mes enfants. Cet expert missionné par le juge pour enfant de Nanterre aurait du m’entendre ou, à défaut, deviner que j’allais un jour répondre à la hussarde. » Puis nous passions l'été 2009 en famille. Depuis, tout est reparti en vrille... mais c'est du passé, de la matière pour des historiens. En septembre 2009, ma compagne me disait : « écoute... attend, j'ai entendu ça l'autre jour... ça va te plaire... écoute, ça va venir ». J'ai adoré. Pendant quelques temps, j'ai fait la promotion d'un son de Lily Allen, y compris dans Paris, pour les 20 ans de la CIDE. Je crois qu'on m'en a beaucoup voulu :
La cassation doit donc encore rendre une décision. Je me fout de ce qu'elle rendra, mais j'attends. Ce qui pend au nez de certains, d'une manière assez sûre, est une sorte d'affaire Finaly bis. Le pasteur d'Uhrwiller pourrait bientôt plagier Madame Brun et Olivier Echappe, l'un des évèques ? Il me semble que Madame Brun n'a jamais parlé non plus. Qu'est-ce qui motive ce pasteur ? Les professionnels de l'OSE France et de l'ARSEA Alsace ont déjà endossé le rôle des français. On dit de l'affaire Finaly qu'elle avait divisé ce pays. Je pense que cette histoire-ci, où tout est couleur noyade, pourrait un jour fragmenter la France... Dans cette histoire, SEFCA Puteaux est susceptible d'avoir un second rôle, par exemple, de l'un des boulets qui m'ont fait perdre mon temps et des ressources, au cours de ces dernières années - les boulets se reconnaitront, jusqu'à la ville d'Asnières, encore le 9-2, et jusque dans des commissariats aussi.
A Puteaux, la police semble prêter une oreille très attentive à Madame Moreau ainsi qu'à Monsieur Lorentz. Par le passé, ailleurs et un peu partout, on m'a souvent envoyé chier ou pleurer plus loin, par exemple, auprès d'un avocat - « on ne porte pas plainte contre une association d'utilité publique », l'OSE France. Je m'en fout de ce qui se trame à Puteaux, que Madame Moreau et Monsieur Lorentz déposent. Pendant que SEFCA Puteaux poireaute ou s'exprime au commissariat, à ma connaissance, personne d'autre ne braille sur Internet. Tout devrait bientôt se décanter, puis se tasser.
Voir La liste électorale
Parano ou complot ? Foutaise ! D'autres choses sont bien plus certaines.
Par exemple, je n'hésite pas ni à parler, ni à sortir - ni à écrire non plus. Au cours de ces dernières années, je pense avoir mis les pieds un peu partout, même au hamasland, sur les lieux de la catastrophe aussi. Ce dimanche 17 octobre, j'aurai bien aimé me rendre au siège de l'OSE France, pour apprendre comment résister et vivre ; mais j'avais déjà mes billets de train, pour Blois, et de toute façon, j'avais suivi le cours la vie, après la Shoah.
Par le passé, ces délinquants de Puteaux diffamaient et m'injuriaient depuis unblog.fr, un hébergeur franco-suisse. Depuis le printemps dernier, après un grand ménage sur unblog.fr, après le ménage chez NouvelObs.com, ces mêmes délinquants diffament et m'injurient encore, mais depuis Wordpress.com, aux USA, tout en sollicitant maintenant très régulièrement les services de police ainsi que le parquet français. Ces délinquants souhaiteraient que je sois poursuivi, sévèrement puni, et que mon blog, hébergé à Paris, soit « fermé ». Ces jours-ci, ça m'occupe encore un peu. Même si je suis déjà en relation avec les services de Wordpress.com, je ne sais pas si j'arriverais à faire faire le ménage, là bas, aux USA. A l'étranger, les règles, la loterie ou ce cirque sont souvent très différents des notres. Je pense que le parquet confirmera, même des sites de pédopornographie peuvent rester en ligne, y compris après une condamnation. Le dommage ou préjudice sera-t-il irréversible ? Je vais suivre l'affaire Eric Le Moyne de Serigny contre rue89, elle pourrait m'inspirer... J'suis con, c'est un conseiller de Woerth et donc, une justice de tout là haut, de celles qui s'appliquent.
D'ici à la fin novembre, je dois finir de rédiger des conclusions, en prévision d'une audience, auprès de la deuxième chambre civile de la cour d'appel de Versailles. Le fisc vient de me communiquer des informations extraites du cadastre, je vais pouvoir réouvrir le livre foncier(.fr) que je viens de débuguer avec leurs services techniques.
Etc, etc. Puis suivra donc cette audience, à Versailles. Le pasteur d'Uhrwiller viendra-t-il prêcher ou sera-t-il à nouveau dispensé par les juges ? Ca me rappellerait le passé, lorsque Monsieur et Madame Clementz gagnaient à tous les coups, surtout à Versailles, comme à Nanterre. Il faut que je l'évoque, dans mes prochaines observations.
Les suisses, des antisémites ? Je profite de ce billet précis pour lancer à l'écrivain BHL ainsi qu'au cinéaste Yann Moix qu'à mon avis, ce n'est pas la Suisse, mais la France qui avait écarté ses cuisses devant l'occupant nazi. Je me trompe ? Dans ce cas, de nombreuses tondues ou leur descendance vont pouvoir exiger des réparations.
Je vous avertis... De vous tenir toujours en défense [contre le démon]
tremblez même dans la victoire ;
c'est alors qu'il fait ses plus grands efforts,
et qu'il remue ses machines les plus redoutables. • Bossuet
C'est tellement affreux de voir le destin en face. • Henrik Ibsen