Mot(s) clef: huygue
Un chapitre est clos, des affaires ou procédures ont fait pschitt
Depuis quelques temps, je murissais un ultime billet. Je l'ai rédigé, édité en ligne, sur plusieurs jours, comme d'habitude, ici. J'avais deux sujets à développer, à priori, sans rapports avec le « placement » de ma fille aînée et, à priori encore, sans rapport entre eux non plus. Très brièvement, que Valentine et Arthur ne seront manifestement pas « placés » ; un jugement du JPE de Paris semble avoir été annulé. Plus ou moins sobrement, que la décision rendue par un JAF de Nanterre, en décembre dernier, est aujourd'hui définitive ; j'ai « gagné », s'il est possible de remporter quelque chose dans ces affaires là...
Des butineurs pourraient s'égarer dans ce blog, à la recherche d'un contact ou du site Internet de la SCP Cordeliers et Associés, Paris, ou encore, se perdre ici, à la recherche du Réseau Eurojuris France. Stop, ce site n'est d'aucune façon en relation avec la SCP Cordelier, 7 Avocats , 4 Assistantes et 1 Comptable, ni avec Eurojuris France, 160 cabinets d'avocats, huissiers et notaires. Ici, il n'y a rien d'autre à trouver que le blog ou des notes d'un simple particulier. Mon blog est encore en ligne même si au cours des années passé, on m'a fréquemment menacé, fermement suggéré ou intimé de le supprimer, ou de cesser au moins d'y publier... J'ai résisté, je suis resté droit dans mes bottes, plus même, comme Staline aurait pu le faire.
QUESTION. - Que pensez-vous du bruit soulevé ces jours-ci dans la presse étrangère à l'occasion de l’essai d'une bombe atomique en Union soviétique ?
RÉPONSE. - En effet, il a été procédé récemment chez nous à l'essai d'un des types de la bombe atomique. L’expérimentation de bombes atomiques de différents calibres se poursuivra également à l'avenir d'après le plan de défense de notre pays contre une attaque de la part du bloc agressif anglo-américain.
La suite de l'interview de Joseph Staline du 6 octobre 1951, http://www.cvce.eu
Staline, et du nucléaire, ça peut laisser pantois ou dubitatif. En 2008, j'ai quand même fait sauter un juge de son siège, on les dit inamovibles. Début 2011, j'ai infligé un vent à une étude de notaire... Et fin 2011, je me suis battu comme un chien, contre Maître Agathe Cordelier, elle a perdu. En 2010, j'ai fait recasser Versailles, et je faisais fermer des blogs à l'étranger... Staline, quoi, droit dans mes bottes, avec des réponses énergiques. Pour justifier tout ce bordel, des magistrats français avanceront une expertise « psy » et la trisomie de ma soeur aînée, on se situe toujours, quelque part, en union soviétique !
Staline, mais aussi Brejnev et ses psychiatres ? Je crois qu'avec de pareilles pirouettes, allusions ou parallèles, je dois être illisible pour plus d'un professionnels de la justice, je pense que la famille et les proches de Ilan Halimi confirmeront... Pareils sujets sont sensibles et susceptibles de heurter, surtout lorsqu'ils sont évoqués en cours d'audience.
Je me demande si Stéphane Guillon ne serait pas aujourd'hui le plus à même de me comprendre, lui, ainsi que Françoise Sironi, auteure de Bourreaux et victimes. Ce 16 au soir, pour Médiapart, Stéphane Guillon a tenté d'expliquer son malaise, ce qu'il a véçu ou perçu, il estime avoir été licencié par Radio France pour des motifs ou du fait de pressions politiques. Un jour, j'aurais peut-être l'opportunité de discuter avec Guillon d'une audience, fin mai 2008, en chambre du conseil, au cours de laquelle j'ai été humilé par le procureur, rabroué par un pasteur, houspillé puis débouté par le juge... Je pourrais lui parler aussi d'autres audiences au cours desquelles prévalaient souvent une morale juive, douteuse, parfois une morale catho ou plus humaniste, mais pas plus radieuse, et fréquemment la morale d'un pasteur à la perception apocalyptique du monde.
Un pasteur ? Ce Pays est laïque, pourrait-on me répondre. D'où je parle, m'a-t-on demandé sur Twitter. Pour moi, c'est assez évident. J'avais déjà ébauché une réponse, depuis la Moldavie française, un espace d'infra-droit où un et un ne feront jamais deux, où la justice rendue est entre médiévale et coutumière, archaïque, sauvage, où, comme conformément à des usages, ce sont toujours les mêmes qui sont priés de se taire, d'aller se faire « mieux conseiller », puis les mêmes qui se font débouter : la juridiction du juge pour enfant. D'accord, dans ces espaces, on peut occasionnellement « gagner » quand même, mais ce n'est parfois qu'au prix d'efforts soutenus et intenses, j'ai pu le démontrer entre le printemps 2008 et l'été 2009.
Staline, ces essais ou cette menance nucléaire, d'accord, c'est un peu excessif. Et je n'ai jamais envisagé de pirater ou de détourner ni des crevettes, ni le moindre missile M51 français, je le jure ! Au lieu de Staline, il aurait peut-être été préférable que je cite plutôt et à nouveau Deleuze, alors qu'au cours des années passées, j'ai mis à l'épreuve et parfois à genoux plus d'un professionnel du corps ou de ce qu'on appelle la « grande profession du droit ». Des théories, j'en ai développé ou réadapté plus d'une, « il faut que ça serve. Il faut que ça fonctionne... » et « on en fait d'autres. »
Sur twitter ainsi que sur Facebook, j'ai déjà abordé un peu ce que je développe dans ce billet. Sur Twitter, on m'a suggéré de ne plus trop m'épancher, m'avertissant que Maître Agathe Cordelier pourrait attraper le « blues ». Je vais donc faire un immense effort d'humilité dans ce billet, essayer en tous cas, tâcher d'être bref et concis, pas trop incisif. Mais en me lisant maintenant, d'autres que Maître Cordelier pourraient également soupirer... « M. KANT a récidivé, et il publie encore ! »
Sur Facebook, amusée, et tout en me soumettant une lecture, une amie très avisée m'a supplié d'arrêter de « briser des coeurs [ NDLR : de qui donc, Tristane Banon ? ] et des magistrats »... Un article récemment paru sur Psychopium explique que « la douleur physique aurait [ NDLR: je reste un grand sceptique, surtout lorsqu'il s'agit de « psychologie » ] deux composantes – sensorielle et affective –, chacune d’elles étant associée à une partie différente du cerveau. Les chercheurs en psychologie qui étudient la douleur ont montré que le cortex cingulaire antérieur dorsal (CCAd) et l’insula antérieure, qui seraient cruciaux pour la composante affective ou déplaisante de la douleur, seraient également impliqués dans l’expérience de la douleur sociale. [...] Il pourrait y avoir une explication évolutionniste à la sensation de douleur éprouvée en cas de rejet social. » J'ai le sentiment que mom amie souhaitait me parler d'opprobre et d'ostracisme, des expériences sociales que je connais très bien, et que Gérard Carreyrou, éditorialiste chez France Soir, connait également. J'ai le sentiment encore que mon amie, sur Facebook, a très bien perçue, elle-aussi, cette « forte animosité » déjà discernée par une chambre civile de la cour d'appel de Versailles, en janvier 2011. Les mots ont un sens, qui ne le sait pas encore, et les situations, leurs évolutions ainsi que les discours peuvent produire des effets assez variés... souvent inattendus, je pense que l'étude de Maître Charles Halter, Notaire à Saint Avold (57), pourrait aujourd'hui encore confirmer, je crois que le juge Xavier Serrier pourrait également un jour acquiècer.
A mon interlocuteur sur Twitter ainsi qu'à mon amie, je répondrais de façon lapidaire, en renvoyant à la lecture d'un article de Psychonet, à son châpeau au moins : « [ La tristesse a-t-elle des bienfaits ? ] Aussi étrange que cela paraisse, le blues est bon pour la santé car il aide les personnes à entreprendre de nouvelles choses en changeant de cap. » Je ne leurs ferais pas l'affront de leurs infliger la lecture de la prose ou des insinuations de Maître Eolas... ni d'ailleurs, celle de Daniel Zagury, « tout se soigne désormais », nous expliquait-il. A mon interlocuteur, sur Twitter, ainsi qu'à mon amie, Facebook et IRL, je répondrais surtout en plagiant So incredible !, de Jean-Loup Chiflet : « Si vous avez attrapé un éléphant [rose] par une patte de derrière et qu'il cherche à s'enfuir, il vaut mieux lâcher prise. »
Passé cette introduction, pour ceux qui s'intéresseraient à la situation de Valentine et de Arthur, je renverrais en priorité vers le blog de leurs soutiens, l'assocation ARVA. Ces enfants ne seront donc pas « placés », ils restent avec leur mère, je suis content, comme je l'étais par le passé, lorsque Aude et Jamel récupéraient leurs bébés « placés ». Il y a peu, Mallaury Nataf, SDF, refaisait surface avec Pause Café car son petit dernier a été récemment « placé » par un juge pour enfant de Paris, puis nous apprenions encore que la garde de deux autres enfants lui avait déjà été rétirée. Nataf qui a récemment commis un braquage médiatique pour sa manucure et pour se reloguer, ce tout en narguant ATD Quart Monde et l'AFMJF, n'imaginera certainement pas à quel point je suis content de savoir que Arthur et Valentine resteront avec leur mère !
Ce monde est petit, avais-je publié en octobre dernier. En lisant ce billet d'octobre, en lisant ensuite un billet de novembre (Chambon ?), je pense que #legens (même les plus débiles) comprendront rapidement pourquoi je ne souhaitais pas que Arthur et Valentine soient à leur tout « placés ». En lisant le Nouveau Détective de cette semaine, découvrant l'histoire de Chantal, 11 ans, caricaturale, un ultime plagiat de L'enfant proie, je me disais encore que Valentine et Arthur l'ont échappée belle. D'autre part, la cour d'appel de Paris ayant donc manifestement annulé une décision du juge pour enfant Hervé Hamon, un jugement motivé par un avis du « psychologue » ou charlatant Claire Davidson, l'arrêt rendu en faveur de Valentine, d'Arthur et de leur mère me sera d'une façon ou d'une autre utile pour critiquer encore plus vertement d'anciennes décisons et arrêts rendus par Nanterre et sa cour d'appel, Versailles. J'évoquais d'ailleurs ce sujet, très récemment, en chambre du conseil, à Versailles, dans des conclusions écrites... un arrêt doit m'être rendu tout début mars, je n'entre pas d'avantage dans les détails de ces « affaires d'ordre privées », mais aux dénouements tout de même susceptibles d'influencer les situations de milliers d'enfants français et de leurs familles. Je peux cependant déjà ajouter que mes conclusions, déposées le 20 janvier dernier, à Versailles, pourrait certainement faire blémir Nadine Morano, aujourd'hui à l'apprentissages, et par le passé, à la famille, à l'enfance aussi.
Sur Twitter, juste avant de me blacklister et en refusant des débats, après m'avoir parlé de « blues », un membre m'a encore parlé de « compréhension », je pourrais en avoir besoin... De la compréhension et même de la compassion, j'en ai, j'en éprouve suffisamment, notamment lorsque je publie dans ma rubrique Victimes.
De la compréhension, il m'est aussi arrivé d'en avoir pour Maître Eolas, surtout lorsqu'il me répondait sans s'être donné la peine ni de me lire, ni d'approffondir mes affaires en cours ou celles remportées, ni surtout la peine d'approfondir celles qui ont été foirées dans des prétoires, par ou avec la contribution de professionnels de son milieu, la justice. De la compréhesion, j'ai pu en avoir déjà pour Maître Agathe Cordelier, il est probable qu'elle ne m'ai pas lu ou qu'elle m'ait que très mal lu. Mais il est également probable que Maître Cordelier ait estimé inutile de me lire avant de me répondre, en décembre dernier, auprès d'un juge, qui a donc tranché. Un JAF a en effet récemment tranché, et je suis satisfait du résultat, je n'ai d'ailleurs pas fait appel - mon ex non plus, m'a-t-elle dit, le jugement rendu le 13 décembre dernier devrait donc aujourd'hui être définitif.
D'observations, parvenues à Maître Agathe Cordelier, le 5 décembre 2011,
puis remises au JAF de Nanterre, le lendemain, 6 décembre
« Une religieuse, mon ami, cela se prend dans une cellule, une nuit de mai, au pied d'un crucifix... » Anna de Noailles, que j'ai déjà citée dans ce blog, dans un billet parvenu au parquet général de Versailles. Plutôt que Noailles, j'aurai pu citer à nouveau Sartre, Sade ou même Jean Genêt... Genêt, peut-être un peu trop cru, très « explicite » et surtout trop direct, illisible ? Peut-être dans un prochain chapitre, ma fille aînée est déjà majeure, mais j'attend encore des arrêts de Versailles ainsi que de la cour de cassation.
L'été dernier, je recevais une requête couchée sur du papier à entête de la SCP Cordelier, un document duement signé et paraphé ; j'étais hilare, en larmes, avant même la fin de ma première lecture. En juillet ou en août dernier, entre des cours de salsa et de bachata, je publiais que « j'avais d'abord eu l'impression de lire une débutante. Après relectures, j'avais plus le sentiment que Maître Cordelier demandait à être déniaisée, en tous cas, ce serait fait, bientôt. » Je pense qu'à la Nuit du Hack, chez Mickey, fin juin dernier, je n'ai pas lâché un lapsus par hasard ; au cours de ma présentation, j'avais dit « érotique... » j'en parle un peu dans ce billet : Rachida Dati fait appel de sa condamnation pour diffamation.
Dès la fin de l'audience, chez le JAF, en décembre dernier, à Nanterre, j'estimais que tout s'était assez bien tramé et déroulé. Dans une réplique et ses conclusions, Maître Agathe Corderlier avait alors qualifié mes observations en réponse à sa requête de « diatribe » ; je réagissais ensuite rapidement, dans mon blog, en citant Victor Hugo, Choses vues, 1885 : « Lire des diatribes, c'est respirer les latrines de sa renommée. ». Puis à peine plus tard encore, alors qu'on m'avait fait part du résultat, je me disais que la tempête était passée, que je ne ferais pas appel, cela ne me paraissait pas nécessaire du tout.
Comment j'ai fait ? Quelques 80% de français qui pourraient un jour souhaiter échapper ou se soustraire de procédures parfois longues, douloureuses et onéreuses voudront peut-être plus de détails, comprendre mieux comment j'ai procédé, comment je me suis défendu. Je suis navré, ici, dans ce blog, tout est « d'ordre privé », le ministère de la justice confirmera.
Le plus éprouvant ou terrible, dans cette histoire, c'est que je trouve Agathe ravissante, surtout lorsqu'elle est fâchée. D'après le site Internet de la SCP Cordelier, depuis 2007, elle développe leur business ou « Pôle Droit des Personnes (Famille, Succession) », dirige leur « département Droit de la Famille ». J'ai le très net sentiment qu'elle et moi, nous ne sommes pas conçus pour nous comprendre. Elle est ravissante, je pense que beaucoup pourraient partager cette opinion, mais de toutes les façons, après la déculottée que je viens de lui infliger, rare, pour moi, c'est sans le moindre espoir - à vrai dire, je n'en cogne.
Sur Twitter, le Nouveau Détective de la semaine pourrait avoir un peu heurté, mais surtout pour des opinions sur les conditions d'incarcération en France : « le Club med »... un projet de loi récent semble un peu viser à faire changer ces choses. La protection de l'enfance, je pense que tous #lesgens s'en cognent : une unique réaction seulement concernant Chantal, 11 ans, et aucune ou peu, il me semble, concernant Valentine et Arthur. Mais sur Twitter, j'ai surtout perçu un peu de combativité puis un BL - je devrais être blessé ? - en faveur de Maître Agathe Cordelier. Dont acte.
Ce 17 courant, j'ai twitté, c'était plus fort que moi : « @Senat_Info Deux vitesses, l'une pour le suivi et le contrôle des familles, et une autre, tous freins serrés, pour le contrôle des pros :-) » Alors que certains étaient occupés par la garde à vue de DSK, je lisais que la commission des affaires sociales du Sénat avait adopté une proposition de loi sur le « suivi » des enfants en danger. Ca progresse, le dispositif est sur une voie d'amélioration, des améliorations qui pourrait suivre tranquillement, sans bousculer personne. Ce 17, je repensais assez rapidement à la dalle de Marina, à un mea culpa des services sociaux, ainsi qu'à septembre 2009... puis surtout à Lilly Alen, son tube Fuck You (very much).
Au cours des années passées, pour tenter de comprendre ce qui avait motivé leurs auteurs, j'ai souvent décortiqué ou suivi l'élaboration de discours, de rapports et de projets de lois. En 2010, Nadine nous avait fait des annonces, pour le moment, elles semblent avoir été suivies d'effets ; applause ! Encore des efforts dans nos assemblées, puis peut-être un Canard ou des couacs de plus, et cette nouvelle loi pourrait un jour être appliquée. D'ici là, les familles très en froid avec des services ou des travailleurs sociaux devraient s'empresser de déménager, lorsque c'est raisonnable et possible...
Enfance maltraitée : Morano veut améliorer le signalement Plus de 265 000 enfants sont sous le coup d'une mesure de protection. En septembre 2009, le corps de Marina, 8 ans, tuée par ses parents après des années de maltraitance, était découvert dans la Sarthe. Signalée à trois reprises, sa famille avait déménagé pour échapper aux services sociaux. Quelques mois plus tard, Lorenzo, 10 mois, mourait de faim et de soif dans son lit alors que sa mère, toxicomane, était hospitalisée. Le bébé avait été signalé à sa naissance à un juge des enfants, en Isère. |
Depuis quelques semaines, sur Twitter, beaucoup sont très critiques envers le bilan de Nicolas Sarkozy, critiques et souvent très préoccupés par la censure et la liberté de la presse ou d'expression également. J'observe et fréquemment, j'interviens dans ces flots de brèves, de petites phrases et d'altercations. Il y a quelques temps, un porte voix de l'UMP lançait que « avec le PS, c'est l'excuse permanente ». Tout en m'expliquant, en répliquant, je lui répondais que « avec l'UMP, c'est la fuite permanente ». Après ces échanges, j'ai lourdement insisté, ce porte voix de l'UMP, juste une enthousiaste, m'a finalement suggéré d'écrire à Sébastien Huyghe, membre de leur « cellute riposte ».
Quoi envoyer à Sébastien Huyghe ? Il me semble qu'il est un spécialiste du « fossé entre les citoyens et la justice », je vais lui faire imprimer et parvenir ce billet de blog, par la Poste. Récemment, une prof a été sanctionnée pour une correspondance parvenue à Sébastien Huyghe. Cette prof pourrait surtout avoir été sanctionnée pour avoir elle-même placardé sa lettre en public. Je suis curieux de la suite, quelle sera la réaction de Sébastien Huygues, lorsqu'il aura pris connaissance de mon envoi et appris que ce billet est public, comme de précédents billets, tous de nature et aux contenus tout à fait similaires ?
Trierweiler : Raffarin désapprouve Sarkozy
NDLR : Est-ce qu'au cours de ces dernières années, j'ai dit, écrit, plaidé, publié ou envoyé n'importe quoi ? Je ne le pense pas, je n'ai pas exposé pire que Najat Vallaud-Belkacem ou Xavier Bertrand, j'ai juste bien expédié quelques fléchettes en réponse à de gros skuds, voir l'inverse ou dans le désordre. Raffarin qui désapprouve Sarkozy me comprendra. Je pense que Georges Frêches ainsi que Karl Kraus et même Jacques Bouveresse me comprendraient également. Sébastien Huygue reçoit bien mon billet du 27 courant, imprimé par la Poste (ici, au format PDF), courrier n° 1E00129005276 (LReL recommandée avec AR) : Déposé à DIRECTION ACTIVITE GRAND PUBLIC DASC le 27/02/2012. Un élu, c'est généralement pas trop débile, ça devrait pouvoir comprendre une correspondance lisible par des imbéciles. Prochain jalon, Caen, ce vendredi, au Mémorial, pour me foutre de la gueule de iFRAP, cet institut a contribué au même collectif que Magalie Bodon-Bruzel, charlatan. Vendredi, la cour d'appel de Versailles rendra également un délibéré, l'ultime. Ce 20 janvier, je plaidais à Versailles, le 24, la cour d'appel de Paris renvoyait, puis peu après le 31 janvier, nous apprennions que Valentine et Arthur ne seront pas placés... c'est Agathe qui doit être contente, je la citais dans des conclusions auxquelles répondra la chambre des mineurs. Est-ce qu'on a le droit de se moquer, comme ça? Je n'ai pas trouvé d'interlocuteur sérieux. Même JPR ne m'a jamais répondu. En réalité, je pense que Rosenzweig soutiendra surtout des criminels et des pédo-criminels, il ne pouvait donc pas réagir à mes écrits
Pour Najat Vallaud-Belkacem, Nicolas Sarkozy est un mélange de Poutine et Berlusconi
FTV (avec agences)
Publié le 26/02/2012 à 19H32, mis à jour le 26/02/2012 à 21H45
Najat Vallaud-Belkacem (PS) a critiqué le "modèle" de Nicolas Sarkozy dimanche 26 février dans un communiqué. Selon la porte-parole de François Hollande, il s’agit d’un "mélange de Silvio Berlusconi et de Vladimir Poutine". L'UMP réplique.
A deux mois du premier tour, les "snipers" du PS et de L'UMP vident leurs cartouches.
Clash, au Mémorial de Caen
Je n'aurai pas conscience des troubles que je crée autour de moi, pensait le Docteur Magalie Bodon-Bruzel, ce « précieux atout », mais parfois malade. J'ai le sentiment d'avoir encore bien foutu le bordel, ce coup-ci, au Mémorial de Caen, au cours puis à la fin d'une journée d’étude, « La perpétuité perpétuelle ». « Foutez le bordel », m'avait dit un magistrat, lors d'une manifestation historique de la justice, fin novembre 2007... foutre le bordel, agacer ou même sérieusement embarasser des pros, je n'ai fait que cela, depuis 2003.
Que faudrait-il que je fasse de plus, maintenant ? Aurai-je dû poignarder un juge, comme cette mère du secteur de Metz, et risquer de prendre 20 ans, voire même perpert à vie, puis expier en UMD, un trou du cul de l'univers carcéral ? Ou aurai-je du agir comme Chantal Clos et attirer Agathe dans un bois plutôt que de lui répondre efficacement dans un prétoire ? Je pense qu'on ne me reverrait plus de si tôt non plus... « quel soulagement », pourraient ensuite lâcher quelques cyniques !
Foutre le bordel dans la rue, parler, crier, médiatiser, dans des prétoires aussi, et jusque dans ceux de la cour de cassation, ça m'occupe. C'est parfois amusant, souvent enrichissant aussi, même si j'ai très souvent le sentiment que les pros de cette justice poussent le bouchon un peu trop loin. Jusqu'où vont ils oser le pousser, justement ? Ce 2 mars, à Caen, on m'a répliqué que j'étais hors sujet. Ah bon ? Je traitais publiquement l'un de leurs intervenants annoncés, l'un de leurs contributeur, de charlatant ! Je pense m'être rendu une fois encore au bon endroit, pour m'adresser aux bonnes personnes. Je crois que le juge pour enfant Jean-Pierre Rosenzweig ne se risquera jamais à me contredire. Foutre le bordel et même parler dans un Mémorial, oui, je n'hésite pas, surtout lorsque je crois avoir de bonnes raisons de l'ouvrir.
Je n'en suis en effet pas à mon coup d'essai. En septembre 2008, au cours du colloque international « Culture psychiatrique et culture judiciaire : relire Michel Foucault », j'avais parlé également, puis il me semble que le juge Jean-Olivier Viout m'avait répondu. Je venais de rappeler qu'en 1983, Michel Foucault nous avait mis en garde contre l'erreur judiciaire. J'avais aussi évoqué le fiasco Dils ou de l'affaire de Montigny-lès-Metz, et que des experts psy n'avaient pas pu lire le passé. Jean-Olivier Viout m'a simplement répondu qu'il fallait respecter l'autorité de la chose jugée. En 2010, on nous reparlait encore du cas Dils, de la qualité des auditions ou des expertises : « une petite précision », un élément « essentiel », « qu'on oublie souvent », « Patrick Dils, à l'époque de sa garde à vue, a huit ans de maturité, il est expertisé comme tel par les... par les experts euh... par un psychologue ». Evidemment, je ne sais pas lire l'avenir. Quand Jean-Olivier Viout me répondait, en septembre 2008, je pensais surtout à son rapport sur l'affaire d'Outreau, ainsi qu'à Lire et écrire l'avenir, L'astrologie dans la France du Grand siècle (1610-1715). Du colloque de septembre 2008, je retenais ensuite d'abord une définition de Daniel Zagury, celle de « l'expert bouffon », dont le rôle est, selon lui, de « déculpabiliser le juge ».
Ce vendredi 2, après la seconde table ronde et au cours des débats avec la salle, on m'a répondu que le sujet du colloque était la perpétuelle à perpétuité, et pas autre chose. Je venais d'expliquer un peu d'où je leurs parlais, de mon parcours ou périple chez le juge pour enfant, lui-même assisté par des crevures, épaulé par un « psychologue » et puis enfin sauvé par le Docteur Magalie Bodon-Bruzel. Je parlais aussi d'iFRAP. On aurait voulu m'interrompre, mais j'ai rebondi et insisté, car en janvier 2005, iFRAP avait publié un dossier complet sur la protection de l'enfance, paru dans sa revue Société civile : « Enfants placés : les `'rapts" de l'Administration ».
J'avais parlé d'un « rapt de mineur » à Bodon-Bruzel, lorsque ce « psychiatre », expert auprès de la cour d'appel de Paris, me recevait enfin ; ma fille Justine avait alors bel et bien « disparue ». J'avais aussi expliqué à Bodon-Bruzel que les travailleurs sociaux de l'OSE France avaient oeuvré comme en 1850, période à partir de laquelle un père pouvait être déclaré « indigne » ; j'aurais l'opportunité de reparler de cela à la fin du mois, je pense, avec Irène Théry, à l'université de Caen. Ensuite, à Caen, j'ai parlé de la trisomie 21 de ma soeur aînée, un « antécédant familial », pour le Docteur Magalie Bodon-Bruzel... puis tout est parti en vrille, je venais de lancer aussi que si elle avait été présente, je n'aurai pas hésité à traiter publiquement Magalie Bodon-Bruzel de charlatant ; un modérateur m'a répondu qu'il s'y serait opposé alors que je venais de l'exprimer !
Tandis que je parlais, on me demandait aussi de formuler une question. Me sentant pressé, j'ai alors demandé si l'ouvrage présenté, La perpétuité perpétuelle, et les intervenants du jour étaient crédibles, puisque le Docteur Magalie Bodon-Bruzel, elle-même contributeur, juge des contenus, pourtant publiés par iFRAP, inpertinents. Les modérateurs m'ont renvoyé à mes « difficultés personnelles » ou à mes affaires « d'ordre privé » ; je leurs ai rendu leur micro. Quelqu'un d'autre que moi a également jeté le discrédit sur l'expertise d'iFRAP, les renvoyant vers le ministère de la justice et des statistiques officielles... mais potentiellement inexploitables. Bref, ces débats sont souvent houleux.
Aujourd'hui, je regrette de ne pas être allé déja au clash à la préfecture de Créteil, fin avril 2009, au cours du colloque Autour de l'enfermement. J'en conserve des photos. Bodon-Bruzel intervenait. Mais j'allais d'abord à Créteil pour rencontrer Françoise Sironi, et pour sa propre présentation, « Psychopathologie de l’incarcération politique ».
Autour de l'enfermement... à Créteil, le 30 avril 2009
Après la cloture du colloque de ce 2 mars, à Caen, j'ai persisté, j'ai insisté auprès des modérateurs. L'un deux, Yannick Lécuyer, je crois, celui qui m'avait répondu qu'il ne m'aurait pas permis de traiter Magalie Bodon-Bruzel de charlatant, m'a assuré qu'il se battrait pour que je puisse critiquer l'ouvrage présenté ce 2 mars, à Caen ; merci ! Ce vendredi, et alors que leur présence était pourtant annoncée, Magalie Bodon-Bruzel était absente, le Directeur de iFRAP également, il me semble ; dommage. Une copie papier de mon billet du 27 février pourrait bientôt parvenir à Sébastien Huygue, un RAR attend d'être retiré à la Poste. Dans les prochains jours, je vais également envoyer une courte baffouille au Directeur de iFRAP.
J'ai bientôt encore du pain sur la planche. Ce vendredi 2 mars, la chambre des mineurs de la cour d'appel de Versailles me rendait un ultime délibéré, il me sera notifié, dans les prochains jours, par la Poste. Quand j'en aurais pris connaissance, je pense que je critiquerais à nouveau le travail et d'avantage encore la thèse de Richard Josfsberg, Educateurs en internat, Tentative d'élucidation... Ca m'occupera, en attendant que la cour de cassation me rende elle également un ultime arrêt. Ce week-end, en ressassant l'ensemble de mes affaires « d'ordre privé » ainsi que les actualités du moment, je me disais finalement qu'il y a pire comme périples, parasites ou même comme aventures. On aurait pu partir en famille avec Costa croisières, aujourd'hui parfois bradées à -70%, et toujours présentées avec un avis « excellent ».
Pour m'occuper encore, je n'ai plus mieux à faire de mon existence et de mes jours de congés... Anastasie me convie, pour discuter de l'un de mes billets d'août dernier. Il semblerait que la Police Nationale n'apprécie pas de voir une photo dans mon blog ou journal, celle que j'ai prise dans le bureau d'un policier, l'été dernier. L'Administration me refusait alors un écrit, souhaitant me faire part d'un avis du parquet, mais oralement uniquement. Passant outre le refus et la consigne du parquet au commissaire, ignorant ce que souhaitait m'imposer la police, une notification orale uniquement, j'ai très discrètement pris une photo, d'assez bonne qualité. Je n'ai pas l'intention de modifier ce déjà vieux billet, ni d'en supprimer la moindre image ou photo. Il y a quelques temps, nous apprenions que Tristane Banon était tout contente avec une lettre du parquet au fond de son sac à main ; que dirait-Banon, si elle devait, un jour et sous la contrainte, la déchirer ? Qu'aurait dit Banon si le parquet ne lui avait jamais rien communiqué ? Je vais pouvoir en discuter, en débattre, très prochainement, avec un commandant de police, pour commencer... Ca ira, je pense. Anastasie et moi, nous avons déjà flirté ensemble, plus d'une fois même, ce que Maître Delphine Roughol, cafard d'enfants, devrait pouvoir confirmer.
Quelle farce, « jailli un fleuve de liberté » Anastasie convie... |
Un faux ou un vrai torchon ?
La chambre des mineurs ou des créatures inférieures de la cour d'appel de Versailles semble m'avoir encore rendu un truc étrange, un faux en écriture publique, ce serait grave, à moins qu'il ne s'agisse à nouveau d'un véritable torchon. Merci, Lise, ou je ne sais trop qui d'autre ! J'avais fait appel d'une décision du juge ou bourreau pour enfant de Nanterre, de septembre 2011, comme une certaine logique, naturelle, et des écrits me suggéraient de le faire. Je pourrais maintenant me pouvoir pour une quatrième fois en cassation, comme une pièce jointe à cet arrêt de Versailles tend à m'y inciter... ça coûte, beaucoup.
Il faut que j'y réfléchisse, cassation ou pas ? Est-ce que cela me serait encore utile à démontrer quelque chose, ou à publier des billets hilarants ? Comme la cour d'appel de Versailles vient de foirer également la notification de cet ultime arrêt, je devrais pouvoir prendre deux ans, ressasser d'abord les éléments de cette procédure judiciaire, authentique, et d'aucune façon archaïque et moyen-âgeuse, puis ensuite seulement, décider ou renoncer à faire déclarer un pourvoi de plus.
Ces jours-ci, après une admission à Béclère, après avoir été dorloté et choyé par des étrangers (facilement reconnaissables à leurs faciès ou à leur mauvaise expression), j'ai appris ce que coûte une intervention chirurgicale en urgence, en bloc opératoire en grêve. Avant de faire travailler encore l'institution judiciaire française pour pas grand chose de plus, je vais donc peut-être préférer mettre de côté, pour plus tard, pour plus utile et surtout pour plus intelligent, plus efficace.
Ce dimanche, j'ai croisé des socialistes, ils faisaient le tapin à quelques pas de chez moi. 2012, c'est concrêt, de grands partis sont à la chasse aux voix... J'ai le très net sentiment que les socialistes savent également que dans ce beau pays, la France, les prétoires fonctionnent plutôt mal. Je leurs ai parlé quelques minutes après leurs avoir glissé une carte de visite. Réagiront-ils ? Je ne le pense pas. Il y a peu, j'écrivais à Sébastien Huygue, Secrétaire National UMP à la Justice, ma correspondance semble être parvenue à bon port. Il suivra donc certainement encore un de ces longs silences assourdissants.
Parmi mes lecteurs, certains vont - à nouveau - se demander qui est Julie. J'ai déjà répondu à cette question. Ce n'est pas ce simple détail qui me fait penser à un éventuel faux en écriture publique et en tous cas, à un torchon trompeur.
« M l' Avocat général ne formule aucune observation. SUR CE... »
Sarkozy parle à « la majorité silencieuse »
NDLR : Après tout ce qui s'est passé, pas de réactions au contenu de mon blog, juste du off, très occasionnellement, parfois des « s'il vous plait, modifiez ceci et cela, pliiiize, ne publiez plus... » ou encore, « oui, on le sait bien, la justice, ça fonctionne mal, mais avez vous fait appel ? » La « majorité silencieuse » à laquelle Sarkozy vient de s'adresser, je l'ai souvent sondée au cours des années passés. Récemment, après avoir échangé sur twitter puis avoir écrit à Sébastien Huygue, cellule riposte UMP, je sondais donc encore une fois des socialistes, ceux du quartier, en les incitant aussi à lire également mon blog. Un peu comme Sarkozy, et alors que je suis effectivement très souvent lu et entendu, je me doute que tous ces silencieux ou taiseux n'en pensent pas moins, et qu'ils prennent aussi et très régulièrement des décisions. Je pense que le comité de soutien qui se constitue autour de Christophe Grébet et de monputeaux.com devrait pouvoir confirmer, l'association ARVA qui soutenait Arthur et Valentine devrait pouvoir confirmer également, des silencieux peuvent parfois se rassembler et agir ou réagir.
LE FLASH > Présidentielle
Sarkozy parle à "la majorité silencieuse"
AFP Publié le 16/03/2012 à 13:50
Le président-candidat Nicolas Sarkozy a exhorté aujourd'hui, lors d'un meeting à Meaux, "la majorité silencieuse" des Français à refuser "le diktat de la pensée unique" et "les scénarios écrits à l'avance" pour permettre sa victoire le 6 mai.
"Pendant cinq ans, j'ai donné à la France tout ce que je pouvais lui donner et je vous dis, du fond de mon coeur: j'ai fait tout ce qui était humainement possible avec une seule idée, tenir, tenir, tenir, envers et contre tout pour que la France tienne", a-t-il déclaré aux militants (plus de 2.000, selon l'UMP) réunis au Gymnase Tauziet, à Meaux, la ville dont le secrétaire-général de l'UMP, Jean-François Copé, est maire.
"Refuser le diktat de la pensée unique"
"Lorsqu'on est président de la République, il faut avoir du courage, il faut savoir dire non, il faut savoir résister", a-t-il insisté pendant son meeting après avoir visité le quartier de Beauval, axée sur la rénovation urbaine. "Dans ces deux mois qui restent, la victoire, le résultat, dépendra de vous, comme jamais dans l'histoire politique de notre pays, jamais. Vous n'imaginez pas", a lancé le chef de l'Etat.
"Si le peuple de France décide que la majorité silencieuse refuse le diktat de la pensée unique, refuse les scénarios écrits à l'avance, refuse qu'on lui impose des idées dont elle ne veut pas, et si ce peuple de France, où qu'il se trouve, quel qu'il soit, dit "maintenant, ça suffit, c'est nous en liberté qui choisirons le prochain président de la République" alors je vous le dis, mes chers amis, oui, on va gagner", a-t-il assuré sous les "Nicolas président!" de la salle.
Simple et efficace... à peu près
Je pense que Sébastien Huygue, Secrétaire national de l'UMP en charges des questions de justice, a maintenant enfin et bien reçu mon RAR du 27 février dernier, à son attention. Je me demande si cet envoi a été lu. Sur Twitter, après un ou deux échanges avec lui, j'ai proposé à Monsieur Huygue de lire mon billet du 12 courant, dans lequel je commentais rapidement un arrêt que vient de rendre la cour d'appel de Versailles, Un faux ou un vrai torchon ? Après cela, Monsieur Huygue pourrait avoir conclu qu'on m'aurait « retiré mes enfants ». C'est inexact, seule mon ainée Justine a un jour comme « disparue », elle a été « prélevée » dans ce qui était ma famille. Je note qu'on m'a fait part de « regrets ».
En 1999, la mère de Justine décédait très subitement, dans le service d'urgence d'une clinique privée, Hospitalor, à Saint Avold (57). En 2002, un juge d'instruction de Sarreguemines (57) concluait à un non-lieu, après plainte en raison d'un homicide involontaire. L'instruction avait cependant mis en lumière quelques carences de ce service d'urgence, suite à quoi j'avais engagé un recours contre cette clinique, Hospitalor, ou l'Etat. Mais en 2008, Strasbourg (67) n'a pu que constater que le dossier médical de la mère de Justine s'était « évaporé », quelque part entre l'instruction et un expert missionné par le tribunal administratif. En insistant sur ces points, le décès suspect et subit de la mère de Justine, puis son dossier médical égaré voire même détruit par la justice, avant l'issue des procédures, l'UMP finira peut-être par me faire part de nouveaux « regrets », assortis cette fois de « sincères condoléances »...
Une capture sur Twitter, de ce 18 mars, 6h00
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Sarkozy dénonce le « cynisme » de Hollande
NDLR : Plus de 800 réactions à cet article, sur le site du Figaro... Au cours d'une campagne présidentielle, le parti de Sarkozy peut-il à ce point nier ou ignorer son bilan, son oeuvre ? Au cours des prochaines semaines et alors que les socialistes du quartier m'avaient assez bien compris, dimanche dernier, je vais essayer de faire réagir l'UMP, de les débusquer, de les faire sortit de leur mutisme. Sarkozy et son entourage, ces grands naïfs ou hypocrites, savent que l'assistance éducative, ca fonctionne très mal... Je n'ai pas rêvé, en 2008, lors d'un colloque d'humanistes ou de travailleurs sociaux, le Directeur national de la PJJ leurs a lui-même lançé qu'ils bossaient comme des gorets, en des termes bien évidement un peu moins « explicites ». Quant à Nicolas Sarkozy, Nadine Morano et Jean-Marie Bockel (j'en passe, la liste serait longue...), ils ont également eux aussi très souvent raillé la justice et la protection de l'enfance. Il faut croire qu'ils ont tous déjà tout oublié. Au cours des années passées, je pense leurs avoir fait découvrir que d'autres juridictions que celle du juge pour enfant peuvent également rendre un peu n'importe quoi, ce que Sarkozy et son entourage savent aussi, bien sûr. Ce que m'a répondu le Ministère de la justice, en mai 2010, tend aussi à le confirmer, j'ai souvent été très bien reçu et compris par ces sphères. Suivra donc bientôt une « bataille des idées », autre chose que de simples « regrets » ou des « condoléances » présentés par Sébastien Huygue ? Ce serait super, j'y suis amplement préparé. Cette bataille ou guerre des idées, je l'ai depuis longtemps entamée, beaucoup avec des publications, dans ce blog, ainsi que dans des prétoires, au cours des années passées, beaucoup aussi au cours de mes nombreuses sorties. J'étais encore dans le champ de la bataille des idées, ce 3 mars, au Mémorail de Caen, lorsque je traitais Magalie Bodon-Bruzel de charalatan. Et je me situerais à nouveau dans le champ des idées lorsque je critiquerais encore le travail ou les théories de Richard Josefsberg.
ACTUALITÉ > Présidentielle
Sarkozy dénonce le «cynisme» de Hollande
Mots clés : Présidentielle, Lyon, Nicolas Sarkozy
Par Charles Jaigu
Mis à jour le 17/03/2012 à 20:33 | publié le 17/03/2012 à 19:19, le Figaro, extrait
Lors d'un grand meeting à Lyon, le président-candidat a fustigé les «mensonges» de son adversaire socialiste qu'il appelle à une «bataille des idées» plutôt qu'à une «guerre des mots».
Nicolas Sarkozy s'est livré samedi lors d'un meeting dans la banlieue de Lyon à une charge au canon contre son adversaire socialiste, François Hollande, accusé notamment de «mensonge» et de «cynisme». Depuis plusieurs jours, l'objectif est simple: à la faveur de sondages qui le placent à égalité, «débusquer» le candidat PS, le faire sortir de son «terrier», éroder son image «de prélat chattemite et onctueux», selon un sarkozyste.
Merah tué par des tireurs du Raid ?
NDLR : Tous mes « regrets » après ce décès subit et prématuré poke @SebastienHuygue
LE FLASH > Actualité
Merah tué par des tireurs du Raid?
AFP Mis à jour le 22/03/2012 à 13:14 | publié le 22/03/2012 à 13:09
Le présumé tueur au scooter Mohamed Merah a été "tué" par des tireurs du Raid au moment où il sautait du balcon de sa fenêtre en continuant à tirer, a dit une source policière.
"Quand il est arrivé au sol, il était mort", a ajouté cette source. Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, avait auparavant indiqué qu'il "avait été retrouvé mort au sol" après avoir sauté par la fenêtre de son appartement.
Anders Breivik est pénalement responsable, selon une contre-expertise
NDLR : J'attends maintenant que certains découvrent que je pourrais également être pénalement ou civilement responsable. Qu'est-ce que j'ai fait de mal ? Mais rien du tout, au cours des années passées, j'ai juste rouspété, souvent sur Internet, formulé quelques critiques, et un peu agit dans des prétoires
LE FLASH > Actualité
Anders Breivik est pénalement responsable, selon une contre-expertise
AFP Mis à jour le 10/04/2012 à 12:19 | publié le 10/04/2012 à 11:53
Une contre-expertise psychiatrique d'Anders Behring Breivik, dont les résultats doivent être publiés aujourd'hui, a conclu que l'auteur des attaques du 22 juillet 2011 en Norvège était pénalement responsable, rapporte le journal norvégien Verdens Gang (VG) sur son site internet.
Si cette conclusion était bel et bien confirmée, elle contredirait les résultats d'une première expertise officielle qui avait estimé l'an dernier que Breivik était psychotique et relancerait le débat sur son aptitude ou non à purger une peine de prison pour la mort de 77 personnes.
Le contenu de la nouvelle évaluation psychiatrique, commandée par la justice norvégienne après le tollé soulevé par le premier rapport, doit être annoncé dans les minutes qui viennent. En dernier ressort, il reviendra au tribunal d'Oslo de trancher cette épineuses question dans leur verdict attendu en juillet. Le procès de Breivik doit débuter lundi prochain.
Le racisme des intellectuels
NDLR : Après l'excellente feuille de Libé, le Monde souhaitait-il rivaliser, nous faire bien rire aussi, et de choses pire encore ? « Changer le peuple », oui, c'est une bonne idée #LOL C'est quoi, la position #UMP, ces réactionnaires, sur l'euthanasie ? Qu'en pense le #PS, qui pourrait très prochainement « régulariser » ? Le Monde du 5-6 mai, page 17... Brecht, j'aime encore plus lorsque qu'il est cité par Alain Gourdon, dans son bréviaire de l'inconvenance
Le racisme des intellectuels | LE MONDE | 05.05.2012 à 14h46
On m'a encore fait l'honneur d'un commentaire ?
Ici, les commentaires sont assez rares, je n'en trouve généralement pas plus d'un ou deux par mois. Je les censure parfois, oui, pour survivre, toujours à priori, lorsque je les juge hors sujet, trop extravagant, simplement suspects, voire franchement diffamatoires. J'en censure encore lorsqu'ils sont à mon avis trop violents, il m'en parvient occasionnellement. Ces commentaires acceptés ou leurs bribes, lorsque je les ai tronçonnés, sont enfouis parmi mes notes et élucubrations, des publications qui ne regardent pas grand monde ; ici, tout est « d'ordre privé », pas du tout public, juste sur Internet, beaucoup confirmeront... ou ne voudront pas du tout en entendre parler.
Par le passé, j'avais déjà fait réagir Dalloz, à la suite de l'un de mes billets. Ce coup-ci, j'ai le sentiment d'avoir brièvement dialogué avec AREVA, ou l'un de leurs experts - pourvu que personne n'ait usurpé son identité. Dalloz avait réagit là. Depuis, et à l'occasion du soixantenaire de la DUDH, j'ai fait cramer deux Dalloz avec un manuel de l'UNICEF, trois ouvrages qui m'ont paru parfaitement inutilisables, surtout lorsque le juge pour enfant est saisi.
Pour ce billet-ci, de février, je pense qu'on ne me demandera plus ou que peu de précisions, et qu'il n'y aura jamais un seul commentaire à sa suite. La plupart de mes publications, des centaines, sur des années, sont restées sans aucune réaction de la part de ceux que je provoquais ou taquinais ; ce n'est pas faute d'avoir signalé ou rappelé régulièrement l'existence de mes billets, de ce blog... Ce 28 mai, environ 7 000 pages d'ici ont encore été aspirées par je ne sais qui ou quoi ; et j'ai donc découvert un commentaire de plus ; un seul, ça ne fait pas des masses de réactions ; c'est là que je l'ai trouvé, en réponse, à la suite de Maîtrise du risque et du français, chez AREVA #LOL
Lorsqu'on me répond, je réagis quasi toujours, comme je le faisais encore récemment, sous et à la suite de Outreau : Eric Dupond-Moretti « tue les Experts comme jadis...». Je réagissais aussi lorsque Sébastien Huygue, Secrétaire national de l'UMP en charges des questions de justice, m'avait fait part de ses « regrets »...
Je suis étonné qu'en me lisant, un expert d'AREVA n'ait pu penser qu'à de la « mauvaise foi ». Le nucléaire ne tolère-t-il donc pas les blagues ? Par le passé, j'étais beaucoup plus sérieux, plus rigoureux ; depuis des lustres, je ne fais plus trop l'effort, plus dans ce blog, ni ailleurs, à quoi bon ? Même dans des prétoires, il m'arrive de déposer et de soutenir des « diatribes »... comme un vrai pitre. Je me suis cependant efforcé de répondre convenablement au Conseiller scientifique de AREVA. C'est tout de même très sérieux, et sensible, le nucléaire. Panique chez AREVA ?
Je ne pense pas en être à mon coup d'essais dans le domaine du nucléaire. En effet, je crois avoir déjà embarrassé Thalès, lorsque des crevettes radioactives s'étaient cognées en plein océan. Oui, je l'avais noté là, à la fin d'un billet d'humour et d'humeur, un submersible high-tech ne fait pas plus de bruit qu'une crevette sans antennes.
Je n'aime pas trop qu'on ai pu penser ou insinuer qu'ici ou là, dans des écrits ou dans un discours, j'aurai pu être de mauvaise foi. Je suis parfois farceur, voilà tout. Quand on essaye de penser à la place des gens, on peut se tromper ; c'est pour cela que j'ai moi-même très fréquemment réclamé des réponses, afin de mieux cerner comment raisonnaient des gens. En octobre 2010, l'avocat EMEA de Lenovo finissait lui-même par mieux me comprendre ?
Le Conseiller technique de AREVA me demandait donc de corriger personnellement, et bien sûr convenablement, un communiqué si sensible, au sujet de Fukushima et d'un ultime sinistre, incident évidemment « mineur », qui pourrait encore suivre ? Est-ce que cela signifie encore que je vais devoir corriger aussi, moi-même, le livre de Dupond-Morretti et de Durand-Souffland, « Bête noire » ? Page 35 de cet ouvrage très éclairant, j'ai relevé une sorte de coquille, peut-être un gros couac de copier/coller, il me semble que je n'y lis pas le bon serment du magistrat. En tous cas, sur Légifrance, dans la version actuelle et consolidée de l'ordonnance n° 58-1270 du 22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de la magistrature, à l'article 6, je lis tout autre chose : « Je jure de bien et fidèlement remplir mes fonctions, de garder religieusement le secret des délibérations et de me...»
Faut-il que je fasse maintenant un peu plus attention à mes propres coquilles, lapsus, piques et autres approximations ? Va-t-on me reprendre également, potentiellement très vertement, voire même dans des prétoires ?
La première se corrige. La seconde se combat. » • Nietzsche…
Une lettre... que faire d'une lettre ?
De temps en temps, je découvre un commentaire, dans ce blog. Parfois, dans ma boite mail, je trouve aussi autre chose que du spam. Tout aussi occasionnellement, la Poste m'apporte une lettre. Il m'en est encore parvenu une, un peu par hasard, via mon ancienne adresse, à Bagneux. Cette lettre-ci est anonyme, mais avec un numéro de téléphone.
Il fallait plutôt solliciter le parquet, un juge, ou contacter un bon avocat ? |
Il semblerait que l'auteur de cette lettre souhaiterait discuter de l'établissement de Taverny, ce cloaque de l'OSE France. J'ai surtout le sentiment que son auteur voudrait savoir comment fonctionne cette « maison d'enfants », ou quel peut y être le quotidien pour les enfants que ces « professionnels » de la Dass « sauvent ». Mais ces histoires « d'ordre privées » ne m'intéressent plus. Je pense avoir déjà assez gaspillé de temps, d'énergie et de ressources avec des « difficultés familiales ou personnelles » des autres, dans une grande indifférence, ou en essuyant parfois plus que du mépris, des réactions de vrais plaies, de la haine. Je vais donc ranger cette lettre que j'ai simplement survolée.
Aujourd'hui, sur Europe 1, un ultime discours ou le « cri » d'un « survivant » ne m'a pas laissé indifférent. Karol Pila, en vidéo pour Europe 1 soir, à partir de 44'00", après avoir précisé qu'il ne livrait que de son opinion personnelle : «... et d'autre part, les gens se moquaient, personne n'était à l'écoute, mais personne n'était à l'écoute, j'avais aucune sensibilité, comme j'ai la sensibilité en vous, à l'heure actuelle, c'est pour ça que je peux parler ». Parler, écrire ou parler à des magistrats, ou même parler parfois à des militants ainsi qu'à des élus ou à des personnalités, publier ici, dans ce blog, ou même tweeter dans un #violon, je maitrise... Mais ai-je bien compris ce que diffusait Europe 1, on nous invite à nouveau, on nous incite à visiter encore le Mémorial de la Shoah ? Ces sujets, présentations, expositions et débats ne m'intéressent plus non plus, j'en ai également fait amplement le tour au cours des années passées.