Mot(s) clef: cahuzac
Cahuzac dément avoir eu un compte en Suisse
NDLR : Il fallait le « sauver », cet inconnu tombé ou projeté sur les voies ? « Aide toi, va faire fait appel, et DIEU t'aidera ». Finalement, je ne fais quasi plus que cela, comme ce pigiste, pour le NYPost. Depuis deux ans ou plus, je prend principalement quelques photos, je lis la meute, je feuillette des livres ou je rassemble des coupons de presse ; je m'amuse ; surtout lorsque je constate que des gens comptaient encore sur des prétoires pour résoudre leurs problèmes ! J'aurai bien eu des choses plus intéressantes à faire ou même à exposer, ce qui n'intéressait personne, ou si peu. Mais bonne chance à tous, surtout à ceux qui croient, ou à ceux qui se précipiteraient.
ACTUALITÉ > International
La photo d'un fait divers scandalise New York
Mots clés : Etats-Unis
Par lefigaro.fr
Mis à jour le 04/12/2012 à 21:53 | publié le 04/12/2012 à 19:47, extrait
Un pigiste du New York Post a photographié un homme juste avant qu'il ne meure, poussé sur les rails du métro. Un cliché qui déclenche l'indignation des Américains, pour qui le journaliste aurait dû essayer de le sauver au lieu de le photographier.
Photographié juste avant de mourir. La mort d'un homme poussé sous une rame de métro a suscité mardi une violente indignation à New York. Le tabloïd New York Post a choisi de publier en Une la photo de la victime, sur les rails: l'individu porte une veste verte, regarde le train qui s'approche, avec le titre «Condamné» en lettres majuscules. «Poussé sur la voie, cet homme va mourir», ajoute le quotidien en grosses lettres.
Les tribunaux français au bord de l'asphyxie financière
NDLR : J'espère qu'ils ne souffrent pas de trop, ou nous devrons envisager de les achever, de les remplacer avant les autres. Pardon, « Le code, c'est comme si un chirurgien n'avait pas de bistouri », explique Elodie Blier ? Une magistrate, il me semble. On pourrait croire que ces professionnels comparent encore leurs activités à du grand art, réfléchi, pensé, fin et minutieux. Selon des rumeurs, au moyen âge, pour lire l'avenir, les fous couraient dans les champs pour écouter le cri du coucou. Aujourd'hui, pour espérer lire le passé ou tenter de nous prémunir contre ce qui pourrait se produire dans le futur, pour calmer les foules ou pour leur épargner de sérieuses crises d'angoisses, nous avons de grands orateurs, des lois, ainsi que des tribunaux...
Le Plus France Info
Les tribunaux français au bord de l'asphyxie financière
France Info le Mercredi 5 Décembre 2012 à 07:15
Le ministère de la Justice vient de débloquer, le 20 novembre dernier, une enveloppe exceptionnelle de 65 millions d'euros pour permettre aux juridictions qui ont épuisé leur budget 2012 de finir l'année. Ce sont les tribunaux franciliens qui sont les plus touchés. Exemple au palais de justice d'Evry dans l'Essonne, où on fonctionne parfois avec des bouts de ficelles, comme un peu partout en région parisienne.
Mort du métro : le photographe se défend
NDLR : Voilà, ce photographe a bien raison, et j'aurais sûrement pu prendre la même photo que lui. Qui a récemment fait des efforts ou pris des risques pour aider cet individu à remonter sur le quai ? Personne. On a tous pu oublier déjà l'histoire de Yue Yue ; voir Fillette happée en Chine : vers une indignation mondiale ? Ce 20 novembre dernier, à Paris, des associations nous expliquaient qu'en France, environ 400 à 700 enfants meurent tous les ans, #victimes de maltraitance ; j'aurais pu me rendre à leur rassemblement, répondre à leur appel, j'étais disponible, mais je n'en ai donc même pas pris des photos. En 10 ans, je l'ai très bien étudié et éprouvé, ce dispositif supposé « sauver » ou protéger les enfants ; et je me documente encore. Pourtant, en y réfléchissant bien, depuis la fin 2009 et face à tant d'indifférences, face à beaucoup de mauvaises fois aussi, je ne milite plus, plus du tout comme par le passé ; je me contente même de rester en grève, les bras croisés #FuckYou (very much)
LE FLASH > Actualité
Mort du métro: le photographe se défend
AFP Publié le 05/12/2012 à 19:49
"Si ça se repassait dans les mêmes circonstances, que j'aie un appareil photo ou non, si j'avais couru vers lui, je n'aurais absolument pas pu sauver M. Han", poussé sur la voie quelques secondes plus tôt, a déclaré Umar Abbassi sur la chaîne de télévision NBC, expliquant qu'il était "trop loin" lorsque le métro est arrivé.
"Les gens qui étaient près de lui auraient pu l'attraper et le remonter", a également affirmé le photographe pigiste. "Mais personne n'a fait l'effort". "Les gens qui étaient peut-être à 30 ou 40 mètres de lui, il n'ont pas essayé de l'aider", a-t-il insisté.
La plainte de Cahuzac contre Mediapart transmise au parquet
FAITS DIVERS / POLITIQUE / JUSTICE / NORD
Eric Woerth blanchi par un rapport d'expert dans l'affaire de l'hippodrome de Compiègne
Créé le 24/07/2012 à 09h39, RTL, extrait
Selon le journal Le Monde, un rapport d'expert blanchit l'ancien ministre du Budget, Eric Woerth, dans l'affaire de la vente de l'hippodrome de Compiègne, dans l'Oise. Le journal cite le rapport rendu par Philippe Terneyre, professeur agrégé de droit public à l'université de Pau, le 12 juillet à Jérôme Cahuzac, nouveau ministre du Budget.
[...] "Il n'en reste pas moins que si les instances en cours devaient faire apparaître des causes d'illégalité caractérisées, je me réserverai la possibilité d'intenter une action en nullité, laquelle reste possible au cours des trois prochaines années", a ajouté M. Cahuzac dans sa lettre, dont le ministère a transmis une copie à l'AFP.
[...] "C'est évidemment un soulagement" : sur RTL, l'ancien ministre du Budget, Eric Woerth, s'est dit "soulagé" après la publication d'un rapport d'expert qui le blanchi dans l'affaire de la vente de l'hippodrome de Compiègne, dans l'Oise.
"C'est évidemment un soulagement qu'un expert indépendant nommé par Bercy puisse dire que cette vente est légale, que son prix était le bon et que la méthode qui avait été choisie était la bonne contrairement à tous ceux qui m'ont accablé, moi je ne suis pas dans cet état d'esprit, maintenant il y a eu beaucoup de positions franchement ignobles à mon égard, mais ça on ne changera pas le genre humain" a-t-il expliqué au micro de RTL.
« Je n'exclue pas l'innocence de Jérome Cahuzac »
NDLR : Un tweet ou une affaire qui aurait pu figurer dans ma rubrique Notes et #pschitt en plein vol
L'accusateur de #Cahuzac n'exclut pas son innocence. On est accablé devant son immense bêtise twitter.com/jmaphatie/stat…
— jean-michel aphatie (@jmaphatie) Décembre 7, 2012
Cahuzac contre Mediapart : l'enquête est ouverte
NDLR : Une solution, délier UBS du secret bancaire ? Le Temps semble avoir approfondi cette piste... Je reprend surtout note d'une ancienne opinion Suisse, à propos de secrets ou de cachoteries bancaires, car elle pourrait à nouveau être d'actualité : « Notre devoir consiste à protéger les créanciers et la stabilité du système financier. » Ce 7 au soir, nous avons pu lire une opinion présentant quelques similitudes, sur le site de l'Express : « Le secret bancaire n'est pas là pour protéger l'intéressé ». J'attends maintenant la suite, très probablement quelques publications encore, puis des analyses des méthodes d'investigation, des publications, des éléments de preuves et des interprétations de Mediapart, par la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Sauf nullité ou autre couac, parfois ça arrive, une réponse devrait suivre ; car « Truffé de pièges juridiques, le droit de la presse est une matière redoutable. » Et j'en reste, comme d'autres, aux déclarations ainsi qu'au démenti de Cahuzac, devant l'Assemblée. Pour en rire plus, voir également « C'est pas possible », m'a répondu Renaud Van Ruymbeke... ainsi que Journée du soutien des journalistes et des commentateurs opprimés. Inutile de me faire savoir que un blog peut faire chier ; maintenant, j'imagine un monde différent, dans lequel Mediapart, un canard, ou un organe quelconque n'aurait qu'à « dire » et « expliquer », qu'à prêcher, sans preuves ni jamais aucun débat dignes de ce nom, et nous tous, qu'à croire
Actualité > Politique
Cahuzac contre Mediapart : l'enquête est ouverte
Le Point.fr - Publié le 07/12/2012 à 18:30
Le ministre délégué au Budget est accusé par le quotidien en ligne d'avoir détenu un compte secret en Suisse.
Le parquet de Paris a ouvert vendredi une enquête préliminaire après la plainte en diffamation déposée par le ministre délégué au Budget, Jérôme Cahuzac, contre Mediapart, qui l'accuse d'avoir détenu un compte secret en Suisse, a annoncé une source judiciaire. En matière de droit de la presse, une telle enquête est formelle. Il appartiendra au tribunal correctionnel de se prononcer sur le fond et de dire si les faits de diffamation sont caractérisés.
La rétention de sûreté sera supprimée
NDLR : L'annonce de la suppression prochaine de la rétention de sûreté, un message d'espoir, de Taubira pour Fourniret, un ultime et merveilleux projet socialiste ! Cet après-midi, j'ai trouvé un commentaire ; on m'informait qu'un nouveau livre vient de paraître, L'abandon à la mort... de 76 000 fous par le régime de Vichy ; c'est bien sûr honteux, mais très peu avéré, plus du tout d'actualité, de l'histoire déjà très ancienne. Aujourd'hui, avec, ou en soutenant l'OIP, on devra plutôt se soucier de faire fermer la prison des Baumettes. Et après, on militera pour le droit à l'oubli, pour faire supprimer tout tweet, blog ou livre qui fâche
LE FLASH > Actualité
La rétention de sûreté sera supprimée
AFP Publié le 08/12/2012 à 13:29
La garde des Sceaux, Christiane Taubira, a annoncé aujourd'hui à Palaiseau dans l'Essonne qu'un texte de loi prévoyant la suppression de la rétention de sûreté était en préparation.
La rétention de sûreté, "je le confirme, elle sera supprimée, comme les tribunaux correctionnels pour mineurs seront supprimés, comme les peines plancher seront supprimés", a déclaré Taubira, à l'occasion de la journée "Prison-Justice" du Genepi (Groupement étudiant national d'enseignement aux personnes incarcérées). "Ce sera dans un texte de loi que nous sommes en train de préparer", a-t-elle ajouté. "La rétention de sûreté, c'est juste pas concevable", a-t-elle encore dit.
McAfee s'attend à pouvoir « bientôt » rentrer libre aux Etats-Unis
NDLR : Plein de bruit autour de ce pousseur du RER A... et donc, la mort d'un voyageur, « un drame qui aurait pu être évité », c'est ce qu'annonce en tous cas Metro. En suivra-t-il autant pour cet enfant, passé par la fenêtre, fin 2009, à Orly, dans le Val-de-Marne ? Peut-on à nouveau se promener librement, à Plougastel ? J'ai pu louper quelques brèves, je ne suis pas toujours toutes ces chroniques ou déferlantes. A Pau, sinon, les investigations et expertises ont-elles pu progresser ? Plus de 10 jours se sont écoulés, la maman est-elle enfin « moins dépressive » ? Voir également Cynisme et droit, rubrique Sorties... Ne pas louper non plus Le Net, c'est du chinois, puis surtout se souvenir ou bien noter que je suis et je reste en grève. De toute façon, en ce moment, tout le monde est occupé, à soutenir, à blanchir, ou par de simples rumeurs qui salissent Jérome Cahuzac, voire par un traitement de plainte qui pourrait se révéler tout à fait banal. Dans ce même billet « virtuel » ou furtif, je note enfin que Bamberski n'a pas la langue dans sa poche, et j'entends maintenant grelotter ou grommeler « on a froid ! »
Pousseur du RER A : le drame aurait pu être évité
Créé 11-12-2012 19:19 | Mis à jour 11-12-2012 21:53, Metro France
PROCES - Ahmed K., l'homme qui avait causé la mort d'un voyageur sur le RER A en avril 2010 comparaît aux Assises de Paris depuis mardi. Schizophrène, l'accusé n'observait plus ses traitements et les appels au secours de sa mère étaient restés lettre morte.
Malgré ses appels répétés et ses craintes manifestes, elle n'a jamais obtenu gain de cause. Son fils, Ahmed K. qui comparait depuis ce mardi et jusqu'à jeudi aux assises de Paris, a fini par commettre l'irréparable.
Le 2 avril 2010, peu avant 6 heures, le jeune de 29 ans causait la mort d'un voyageur en lui portant un coup de pied dans le dos alors que ce dernier attendait comme chaque jour le RER A à la gare de Lyon (12e arrondissement). Percuté par une rame qui entrait en gare, ce Sri-lankais quinquagénaire, père de quatre enfants et agent de nettoyage au Lido, a été retrouvé mort sur le quai, baignant dans une mare de sang, le crâne fracassé.
Fucked, mon compte Twitter
Il semblerait qu'après mes échanges avec des militants pro #MariagePourTous, avec des pros du droit, avec des journalistes, avec des militants pro Mediapart ou contre Jérome Cahuzac, etc, quelques twittos auront eu raison de mon compte, à force de me BL. Parmi ceux qui auront remporté la suspension de mon compte, là bas, sur Twitter, je suis sûr que beaucoup militent également en faveur de la liberté de pouvoir dire absolument n'importe quoi, sur Internet, dire n'importe quoi aussi via des journaux, à la télé, exprimer n'importe quoi dans Paris (mon blog y est hébergé, depuis toujours), au cours de colloques, de manifestations ou de rassemblements, ainsi qu'à la radio, pourvu que les discours leurs plaisent, abondent dans des sens bien particuliers...
Les « railleries » et les « critiques » seraient propres à la dynamique de Twitter, et c'est vrai, qu'est-ce qu'on en essuie parfois, sur la toile, plus globalement ! En consultant les archives Twitter, il est possible de constater que j'y échange avec des gens d'horizons et milieux divers, qu'on m'y répond parfois. J'ai souvent essuyé des BL aussi, et commencé à percevoir des problèmes plus sérieux, ce 5 décembre, alors qu'on nous annonçait l'arrivée imminente du pape... Le dernier tweet du soir, à mon attention ; je discutais avec CG, mais ce que je répondais pouvait irriter, et mon compte a donc fait #pschitt ; je ne pense pas que ce soit pur hasard, bien que juste avant, je « polluais » encore #cahuzac :
@bkant Vous ne discutez pas. Je vais choisir de ne plus vous écouter.
— CG. (@au4emeTop) Décembre 14, 2012
Quelques minutes avant cette suspension du jour, parlant du Code civil, CG m'y lançait « Ecoutez ceux qui veulent le changer aujourd'hui ». Devrais-je vraiment, moi-même, me contenter d'écouter, juste d'écouter, passivement et sans jamais réagir, « écouter » ou lire des tweets qui défilent, comme des vaches voient passer des TGV ?
@bkant Ecoutez ceux qui veulent le changer aujourd'hui.
— CG. (@au4emeTop) Décembre 14, 2012
Voyons ce que me répondra Twitter, car j'ai évidement écrit à leur support, pour obtenir le rétablissement de mon compte, près de 20 000 tweets. Ca pourrait prendre un peu de temps, « quelques jours » ; mais je m'en fous des délais, ça me fera des vacances, alors que je suis et reste de toute façon en grève.
Si nécessaire, en échangeant avec ce support, je rappellerais un extrait de l'arrêt CEDH Fressoz et Roire c. France, requête n° 29183/95, il est à mon avis toujours d'actualité : « La liberté d’expression constitue l’un des fondements essentiels d’une société démocratique. Sous réserve du paragraphe 2 de l’article 10, elle vaut non seulement pour les « informations » ou « idées » accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent : ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance et l’esprit d’ouverture sans lesquels il n’est pas de « société démocratique » (arrêts Handyside c. Royaume-Uni du 7 décembre 1976, série A n° 24, p. 23, § 49, et Jersild c. Danemark du 23 septembre 1994, série A n° 298, p. 26, § 37). »
Merci !
Votre demande a été transmise à Twitter. Nous répondons habituellement sous quelques jours, mais certaines questions prennent parfois plus de temps.
Vérifiez dans votre messagerie électronique que vous avez reçu un message du support Twitter. Si vous ne le voyez pas, essayez de vérifier dans vos dossiers de courrier indésirable ou supprimé.
Mariage gay : la bataille se poursuit dans la rue
NDLR : Parlant de droits, du Code civil français, « Ecoutez ceux qui veulent le changer aujourd'hui »... et seulement eux ? On dirait que certains ignorent tout, découvrent le monde qui les entoure. A survoler, « Mariage gay : la bataille se poursuit dans la rue », LE MONDE | 15.12.2012 à 10h00. Quelques notes ou tweets, à peine dans le désordre :
#MariagePourTous "Le projet garantit la sécurité juridique des enfants" tempsreel.nouvelobs.com/mariage-gay-le… Puisque c'est une #avocate qui vous le dit! :-)
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 13, 2012
Me Mécary: " Ils seront protégés de la même manière que les enfants de parents hétérosexuels." Ha ha ha! #tweetprécédent #MariagePourTous
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 13, 2012
"Et hop, encore"? Fumiste, mesquin, et aussi très très fier, cet avocat twitter.com/Maitre_Eolas/s… #avocats #justice
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 13, 2012
#Bugarach #FinDuMonde Le Maya est farceur #éléphants
#FinDuMonde #Bugarach "un poste médical avancé et une équipe médico-psychologique se tient prête à intervenir" lindependant.fr/2012/12/21/un-…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 21, 2012
#Bugarach #FinDuMonde Je devrais pouvoir survivre, j'ai un entonnoir, celui que j'utilise pour faire chier les juges justice.cloppy.net/index.php/epil…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 21, 2012
Depardieu critique l'opposition russe
NDLR : Depardieu qui raille l'opposition et quelques français... ça va toucher, faire mouche
LE FLASH > Actualité
Depardieu critique l'opposition russe
AFP Publié le 13/01/2013 à 14:48
L'acteur français Gérard Depardieu, qui possède depuis peu un passeport russe, a critiqué dimanche l'opposition en Russie et défendu la position du Kremlin vis-à-vis des jeunes femmes incarcérées du groupe de rock Pussy Riot, dans une émission télévisée. "L'opposition russe n'a pas de programme, rien, il y a des gens intelligents comme Kasparov (ancien champion du monde d'échecs passé à l'opposition, ndlr), mais c'est bien pour les échecs et c'est tout", a déclaré l'acteur dans des propos traduits en russe et cités par l'agence Interfax, dans cette émission diffusée en Extrême-Orient, une région en avance de sept heures sur Moscou.
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Un rabbin a-t-il étouffé une affaire d'agression sexuelle ?
NDLR : « Surtout pas un mot. » C'est ce que m'ont souvent lancé fermement des magistrats de Nanterre. « Cessez de publier, changez de discours ! » Ceux de la chambre des mineurs de cour d'appel de Versailles confirmait toujours et systématiquement. J'apprends qu'un directeur d'une école juive aurait tout fait pour convaincre des parents de jeunes victimes de ne pas porter plainte ? J'ai souvent ennuyé le juge pour enfant de Nanterre, le pasteur d'Uhrwiller et le Directeur de la maison Elie Wiesel, à Taverny, car je portais parfois plainte, contre X, contre l'OSE, ou pour ce qui s'y passait... plaintes qui sont, pour moi, toutes restées sans suites connues, malgré mes relances. On dirait que l'histoire se répète encore. Par le passé, je m'étais non seulement beaucoup plaint aux juges, à la police, au Conseil général du Val d'Oise, etc, à l'Elysée aussi, mais également auprès de Roger Fajnzylberg ; Fajnzylberg s'en souvient-il ? J'ai pu en discuter encore, plus tard, avec Jean-François Guthmann, au centre communautaire ; Guthmann m'assurait alors qu'il suivait - mais d'assez loin seulement - l'évolution de mes affaires « d'ordre privées », celles dont, manifestement, personne ne souhaite discuter en public. Dans une école juive, un enfant aurait maintenant été agressé sexuellement par un des surveillants ? Aux yeux d'un rabbin, ce genre d'histoires pourrait salir « l'honneur de la communauté » ? Oulala... Voilà encore une histoire qui me fait repenser à ce qui s'était passé au Kremlin-Bicêtre, repenser à un précédent scandale, sexuel, d'un peu avant l'an 2000 : « oui, la loi du silence existe... Les parents ont subi des pressions pour ne pas porter plainte, pour que l’affaire soit réglée au sein de l’institution. » Mais ce qui va suivre maintenant, c'est le 8 mars, encore une journée nationale du droit des femmes. Etait-il opportun d'évoquer, maintenant, une ancienne circulaire d'il y a plus de 10 ans, la NOR MESA0230297C, ou Circulaire DGA 5/SD 2 n° 2002-265 du 30 avril 2002 ? Ca va finir par faire plonger les socialistes dans un très profond embarras...
Un rabbin a-t-il étouffé une affaire d'agression sexuelle?
Créé le 22-02-2013 à 10h13 - Mis à jour à 11h54
Par Le Nouvel Observateur avec AFP
Le directeur d'une école juive orthodoxe n'aurait pas dénoncé les faits à la police et aurait tout fait pour convaincre les parents des jeunes victimes de ne pas porter plainte.
Mots-clés : France, judaïsme, RABBIN, école juive
Un rabbin, directeur d'une école juive orthodoxe de Paris, a été mis en examen jeudi 21 février par un juge d'instruction parisien pour "non dénonciation d'atteintes sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans". Selon RTL, qui révèle l'information, "il avait été alerté par des parents d'élèves au sujet d'attouchements commis par un surveillant sur de jeunes garçons. Mais il aurait tenté de les convaincre de ne pas porter plainte."
Un mail à la ville de Fresnes, ainsi qu'un mail à France 2
La semaine passée, j'ai échangé un peu avec des journalistes, ou surtout avec des assistants. Un seul journaliste m'a rappelé, pour le Parisien des Yvelines. Cette interruption d'un culte, à Saint-Cyr-l'Ecole, n'a donc produit qu'une petite brève, rubrique faits divers, parue aux informations locales, sur Internet uniquement. Il n'y a pas eu de vagues, ce qui s'est passé, mardi 19 au soir, n'était donc pas très grave... L'article 32 de la loi de 1905 est peut-être méconnu.
Loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Eglises et de l'Etat.
Article 32, de source Legifrance
Seront punis des mêmes peines ceux qui auront empêché, retardé ou interrompu les exercices d'un culte par des troubles ou désordres causés dans le local servant à ces exercices.
Mercredi, j'avais également essayé de communiquer avec le Défenseur des Droits ; je souhaitais faire parvenir un message à Marie Derain, je lui avais répondu en novembre dernier, à l'Assemblée, dans le salon Colbert. Dans mon secteur, l'accès au Délégué du Défenseur des Droits semble être réservé aux personnes incarcérées ; j'ai donc téléphoné au numéro national ; c'est de la merde, ce Défenseur des Droits, un vague SAV dont n'auraient pas à pâlir les escrocs du Bénin. Ah, qu'est ce qu'ils m'ont gonflé ! Mon premier interlocuteur m'a raccroché au nez, sans m'avoir laissé parler et en me renvoyant vers des juristes et des avocats. Ca se dit médiateur, ou se substituer à ces guichets inutiles qui le précédaient, le Défenseur des Enfants et le Médiateur de la République ! Quand au second, qui ne m'a pas beaucoup plus écouté, m'a lâché : « attention, ne faites pas n'importe quoi, ou vous serez condamné ! » J'ai raccroché au nez du second.
Jeudi, j'ai écrit à nouveau à France 2, cette fois-ci à leur Médiateur de l'information. Fin novembre dernier, j'avais écrit au Médiateur de cette même chaine, un autre service, qui me répondait début janvier ; c'est long. Après avoir écrit au Médiateur de l'information, j'ai ensuite téléphoné au Service des Relations avec les Téléspectateurs, pour mieux me présenter et afin de leur expliquer que je n'avais pas reçu de réponse satisfaisante à mon envoi de novembre dernier, que j'aimerais bien en avoir une pour celui de jeudi. Avec celle de l'Elysée, où j'ai écrit également, j'attends donc deux réponses ou réactions encore, après ce non évènement de mardi dernier, à Saint-Cyr-l'Ecole. « Non évènement », ça fera plaisir à ces cathos dont j'ai interrompu la messe...
Vendredi, et alors que le Parisien des Yvelines a bien « dévoilé » qu'un Fresnois y avait perturbé un office religieux, j'ai pensé à perturber prochainement un conseil municipal de la ville de Fresnes. J'ai téléphoné à la mairie ; après un bref échange avec le secrétariat général, j'ai été mis en relation avec un élu. L'élu et moi avons discuté longuement ; nous nous sommes agacé mutuellement pendant près de 45 minutes, mais nous avons pu discuter. Après cette conversation, j'ai également envoyé un mail à la ville de Fresnes.
Pourquoi devrais-je retourner voir des avocats, ce que me suggérait alors aussi cet élu ? Pour m'engager dans de nouvelles procédures, et très certainement, essuyer d'ultimes naufrages judiciaires ? Je ne cherche plus qu'à parler de ce qui s'est déjà tramé au cours des 15 années passées, avec le concours d'avocats et de multiples conseils, avec le concours de beaucoup d'huissiers, de clercs, de greffes, de magistrats aussi ; c'est si difficile à entendre ? Avec l'élu de Fresnes, la conversation a par moments été très ferme, tendue même, mais longue et possible ; je garde donc un assez vague espoir... « L'espoir est une vertu d'esclave », nous lâchait Cioran.
L'élu me suggérait de m'engager, d'oeuvrer non plus seulement ou principalement pour moi-même, sans se demander pourquoi j'ai fait ce choix, vers la fin 2008, mais de m'engager et de rassembler, ou de me rapprocher d'autres personnes, ayant pour motivations l'intérêt général ; n'est-ce pas en premier le boulot des élus, et de quelques fonctionnaires, parfois grassement payés pour ces tâches ? Par le passé, je louvoyais beaucoup entre des associations de touts bords, de pères, de mères, de présumés coupables, de victimes ou supposées l'être, de victimes d'inceste, de victimes d'errements judiciaires, etc. Je suivais aussi régulièrement des affaires de très près, tout en recherchant et communiquant des éléments utiles. L'arrêt rendu en octobre 2010, par la cour de cassation, protège d'abord les enfants, ainsi que leurs parents ou leurs familles aussi ; celui rendu en décembre 2008 protège les magistrats ; j'en ai fait assez, je pense, le plus souvent, sans aucun retour, sinon avec, par périodes, des retours ou réactions me valant beaucoup d'emmerdes en plus. Pour moi, c'est du passé. Inutile de me solliciter, depuis des mois, comme ont pu le faire quelques médecins, l'an dernier, très ponctuellement, après des années d'études, je reste juste en grève, je refuse d'en faire plus. Ou n'aurait-on des droits tels que familiaux, des droits, en France, que lorsqu'on est membre ou soutenu par une association ?
L'élu me déniait toute légitimité, sans tout savoir, estimant que je ne représenterais personne d'autre que moi-même. Il me renvoyait vers des « associations de pères »... et vu ce que je lui décrivais, il me renvoyait donc surtout encore, lui aussi, vers des avocats ainsi qu'à d'ultimes recours contre l'Etat. Comme si je n'avais plus que cela à faire de mon temps, de mes ressources, de ma vie, de mes revenus, consulter, compulser, étudier, saisir des juges, porter plainte, retourner encore dans des prétoires, dans ces mêmes prétoires que j'estime avoir suffisamment subis et éprouvés au cours des années passées. Si j'étais procédurier, j'aurais de quoi m'occuper et rouspéter pour le restant de mes jours ; et ce jeudi soir, à la Sorbonne, plutôt que d'écouter François Hollande, j'aurais pu le perturber ou même tenter de l'enfariner.
Quelle est la légitimité de Bansky ? Ce tagueur, ce graffeur, ce colleur, Bansky, s'exprime dans l'espace public - point. L'élu était ennuyé, car je lui parlais de perturber le conseil municipal ; il redoutait et pourrait s'attendre maintenant à me voir arriver nu (je n'ai pas le profil des FEMEN), pour faire du bruit, pour enfumer la salle ou pour y lâcher une grosse boule puante... Il m'a bien expliqué qu'à l'issue d'un conseil municipal, des citoyens peuvent poser des questions ; mais par le passé, tout en allant régulièrement à leur rencontre ainsi qu'à la rencontre de professionnels, j'ai déjà posé plusieurs fois des questions à des élus, l'essentiel est resté lettre morte ; aujourd'hui, je veux parler, je ne veux plus me contenter de poser des questions aux élus ! Je crois que c'est inaudible, surtout pour ces élus qui resteront persuadés qu'en France, l'institution judiciaire fonctionne toujours parfaitement bien, que la justice qui est rendue dans ce pays est tout à fait conforme aux standards promus sur les scènes européennes et internationales.
Je n'ai pas pris de notes lors de ma conversation avec cet élu de Fresnes. Mais je suis certain qu'il me renvoyait vers des « associations de pères ». Pour leur parler de la disparition subite de la mère de ma fille ainée ? Pour leur exposer mon dernier bilan que je publiais, celui daté de 2010 ? Pour leur parler de procédure de prise à partie d'un magistrat professionnel ? Pour leur expliquer comment on répond efficacement à un avocat, expert en droit de la famille, devant un juge aux affaires familiales ? Pour leurs expliquer comment produire de quoi introduire un pourvoi en cassation ? Pour leurs expliquer quoi faire lorsqu'on rencontre de sérieuses difficultés avec une étude de notaire, et que des magistrats vous prêtent ses carences ? Quoi faire pour revoir enfin un enfant alors que les magistrats refusent même de répondre aux requêtes ? Pour leurs expliquer comment érafler le secret bancaire, en France ? Que ces pères ou associations aillent plutôt consulter des juristes et des avocats qui pourront les éclairer, puis les assister ?
En lisant mon billet du 22, « pourquoi se jucher sur une grue... », quelques associations de pères ont pu me haïr encore. En lisant mes billets, des associations de mères ou de femmes peuvent aussi fréquemment se fâcher contre moi. Cet élu de Fresnes me disait donc de me rapprocher de ces associations, par exemple, celles de pères... Je n'ai pas envie de me faire lyncher, pas pour le moment en tous cas
Un ultime résumé
Comme je l'ai souvent fait pour beaucoup de mes billets, ici, par commodité, je rédigerais, j'éditerais, cet ultime résumé en ligne, sur plusieurs jours. Puis je modifierais cette courte introduction. Le rédiger sera long, fastidieux et surtout éprouvant. Autant que les premiers éléments de ce billet soient alors rapidement en ligne. Beaucoup pourraient ensuite mieux me comprendre, comprendre de quoi je parle depuis des lustres, de quoi je souhaite encore parler maintenant. Hormis quelques paragraphes relatifs à des faits récents, ce que je décris, dépeins, dans ce billet, est connu par beaucoup ; j'en ai souvent parlé, discuté, avec de nombreuses personnes, au cours des années passées.
On m'avait plutôt suggéré d'écrire un résumé de toutes ces histoires en une simple page, résumé que je produirais peut-être ultérieurement, pour entête, si des journalistes ne s'en occupent pas très prochainement.
J'ai deux filles, nées de deux unions différentes ; la grande est née en 1993 ; la petite est née début 2003. C'est surtout ou principalement du « sauvetage » de la grande par la protection de l'enfance dont je me plains. Avec la petite, qui a 10 ans, malgré une séparation d'avec sa mère, en 2010, puis des échanges virulents entre moi et son avocate, Maître Agathe Cordelier, ça va, j'ai des DVH classiques, un week-end tous les 15 jours, etc, après une décision rendue par un JAF, fin 2011. Par le passé, en 2003, une page pouvait suffire ; ma cadette naissait, puis ma grande, qui va avoir 20 ans, allait ensuite être « placé », « sauvée ». Aujourd'hui, je souhaite parler de ce qui s'est tramé en 10 à 15 ans, pas d'un scooter volé, un résumé ne suffirait pas ! Et pourvu, qu'ensuite, ma cadette ne soit pas « placée » à son tour, parce que j'écris et bavarde encore... En novembre 2005, ma cadette avait elle-même échappée à un tel « sauvetage » dont je me plains, le « placement » et « l'assistance », la « protection » dont aurait bénéficié ma fille ainée, entre 2003 et 2011 ; en 2005, je m'exprimais déjà beaucoup, de trop, au gout de certains, et depuis, je n'ai pas changé, bien au contraire.
La protection de l'enfance, cette « mère maltraitante » (le Monde du 13 février 2013), régulièrement décriée, sinon en perpétuelle quette de plus de moyens, réagira-t-elle au bruit que je fais encore, depuis quelques jours, ou martèlera-t-elle encore que mon ainée a été « sauvée », effectivement « aidée », qu'au cours des années passées, ces professionnels n'auront toujours qu'oeuvré dans l'intérêt de mon aînée ? Richard Josefsberg, de l'OSE France, et Thomas Resch, de l'ARSEA Alsace, daigneront-ils prochainement discuter avec moi de santé, de scolarité, et même de moralité ? J'en doute ; leurs missions sont terminées, ils ont fini de bâcler leur travail, « en faveur » de mon ainée... Maître Charles Halter, notaire, souhaitera-t-il nous parler de son travail, des carences de son étude que des juges des tutelles m'ont prêtées ? Maître Delphine Roughol, avocat d'enfant, aura-t-elle quelque chose à nous raconter, se fera-t-elle porter pâle, ou commencera-t-elle plutôt par négocier d'abord encore un renvoi, ainsi qu'un ticket restaurant ? La Caisse d'Epargne région Lorraine pourra-t-elle ou non nous parler de secret bancaire ? Qu'aurait à nous raconter le couple Clementz, rien du tout, comme pour France 2, fin mai 2008 ? Souvent, j'ai provoqué tous ces gens, il n'a jamais suivi qu'un grand silence...
Oui, fin 2005, la protection de l'enfance avait envisagé de s'occuper aussi mal de ma cadette. A cette période, sur Internet, je ne soulignais que trop l'irrationnel des décisions du juge pour enfant de Nanterre : comment ces professionnels pouvaient-ils « sauver » la grande et ne s'être jamais souciés de la petite, comment pouvaient-ils m'estimer « dangereux » pour la grande, son « psychisme », et n'avoir jamais rien envisagé alors pour « sauver » aussi la petite ? Dans la foulée, les travailleurs sociaux de l'OSE France rendaient un rapport au juge pour enfant dans lequel une allégation exprimait soudainement leurs « plus grandes inquiétudes » pour ma cadette ! A l’époque, j'étais défendu par Maître Henri Lacamp ; il avait su réagir et répondre efficacement, soulignant qu'alors, hormis une phrase de ce rapport de l'OSE France, aucun autre élément ne permettait de penser que ma cadette encourait un quelconque risque... Pour ma part, à cette période, j'avais surtout perçu d'ultimes pressions, un réel chantage encore : « fermez la, M. Kant, si vous tenez à la petite. »
Par le passé, je ne faisais pas que m'exprimer sur Internet, dans des forums de milieux associatifs, de télé, de aufeminin.com et dans le forum du Monde, le journal. Je suis bavard. Je m'étais aussi souvent adressé à des autorités, par écrit, en communiquant déjà des résumés ; j'ai souvent reçu des réponses, au cours des années passées. Au cours de l'été 2005, je recevais une première réponse de l'Elysée. En 2003 déjà, je recevais une réponse de Michèle Estraillier, pour le Conseil général des Hauts de Seine ; je m'étais alors plaint de l'ASE. Puis je me plaignais ensuite, auprès du juge pour enfant, du fonctionnement de son cabinet ; il m'avait répondu ; plus tard, ce même magistrat m'intimait en premier de cesser de lui écrire ; puis entre ce magistrat, Anne Valentini, et moi, tout s'est envenimé à tel point qu'elle s'est sentie obligée ensuite de retenir le dossier de mon ainée entre ses mains, jusqu'à l'été 2005, elle s'est obstinée, pour en finir... obstinée à tel point que Anne Valentini a même choqué Anne le Cunff, le juge des tutelles, qui siégeait alors à Antony. Il me semble que ce magistrat, Anne Valentini, a depuis été muté ou promu à Bobigny. L'été 2004, à l'audience, en présence du juge pour enfant, Richard Josesberg, Directeur de Taverny, m'avait reproché de m'être exprimé dans le forum du Monde, le journal ; je n'ai jamais su quels écrits m'avaient valu ces récriminations. En 2004, Marc Scotto me répondait, pour le Défenseur des Enfants, bureau de réclamation qui me répondait à nouveau fin 2005... Je m'étais encore plaint au Défenseur des Enfants au cours de l'été 2005 ; à l'audience et alors qu'il souhaitait plaider, Anne Valentini a rabroué Maîre Lacamp, mon avocat, et l'a fait taire ! Tout et tous me renvoyaient à chaque fois vers les tribunaux, vers le juge pour enfant, vers la cour d'appel de Versailles, sa chambre des mineurs, et m'incitaient donc à me résigner, à me taire, ou à me débrouiller tout seul, avec un avocat ; me suggérer le suicide aurait été plus sincère.
Des motivations du délibéré du 30 juin 2008,
« Attendu que M. Kant est bien trop bavard... »
Quand je ressasse et repense à tous ces détails, je suis juste envahi par un profond sentiment d'aversion. Pour la grande, jusqu'en 2007, Maître Henri Lacamp et moi même luttions également, ce que je vais redécrire à la suite ; en vain. Après 2007, je me suis mis à agir seul, sans avocat, lorsque je pouvais me représenter en personne, et en me défendant de façon plus radicale, en optant pour des stratégies de combats, de guerre ; Maître Lacamp ne m'aurait peut-être pas suivi sur ces terrains, car fréquemment moins consensuels ; par ailleurs, en me défendant en personne, j'allais aussi faire quelques économies ; je ne suis pas à l'aide juridictionnelle, et tous ces recours et procédures, cumulés, sont alors vite très onéreux ; j'ai commencé à bûcher plus le droit, puis je croisais un juriste, G., qui m'a donné un bon petit coup de pouce, gracieusement. De fin 2005 à mi, voire même fin 2008, nous n'avions plus reçu aucune nouvelle de mon aînée. En 2008, avec une procédure de prise à partie, je provoquais un changement de juge au siège ; puis en 2009, période où nous pouvions enfin renouer, nous repassions des vacances d'été, réunis, en famille. Ensuite, les hostilités reprenaient, et j'ai renoncé, face à l'obstination, la perversion de professionnels et de tiers ; nous reperdions à nouveau tout contact avec mon ainée. Pendant tout ce temps, depuis 2005 et jusqu'à septembre 2011, les époux Clementz, « tiers dignes de confiance », étaient « garants » de la relation père-enfant de mon ainée ; depuis l'été 2009, et sauf très ponctuellement, à la cour d'appel de Versailles, en 2010, je n'ai à nouveau plus aucun contact ou échange avec mon ainée. Dès début 2003, la protection de l'enfance insistait, très pesamment, pour que mon ainée soit « durablement » confiée à ses tantes maternelles ; ensuite, les juges m'ont souvent demandé de me taire, ainsi que d'attendre que le temps passe, puis d'attendre la majorité de mon ainée... elle est majeure, depuis septembre 2011.
Depuis 2003, tout en me défendant, en tentant de défendre mes enfants et ma famille, j'étudiais la protection de l'enfance, et je documentais plus particulièrement de quelle façon travaillaient les juges pour enfant de Nanterre et la cour d'appel de Versailles, comment travaillaient des professionnels de l'ASE, de l'OSE France, puis de l'ARSEA, et bien plus encore. J'ai plusieurs fois pensé à jeter l'éponge, au cours des années passées ; mi-2006, je découvrais La DPJ et la chasse aux sorcières contre les mères, puis j'échangeais même brièvement avec son auteure, Lucie Poirier ; j'ai souvent été remotivé par de telles lectures, ou par des échanges sur ces thèmes.
Je vais être prolixe, comme souvent, suffisamment exhaustif. Certains me reprocheront ensuite, à nouveau, d'étaler « la vie privée de ma fille ainée » ? C'était un argument que des professionnels m'avaient parfois avancé, par le passé, à huis-clos, en chambre du conseil, m'intimant de ne plus m'exprimer, alors que je publiais déjà beaucoup. J'avais alors bien expliqué à qui voulait l'entendre, puis à mon ainée lorsque je l'ai pu, que je n'exposais pas sa « vie privée », mais essentiellement la façon dont avaient travaillé des professionnels de la justice, de la protection de l'enfance. En étant prolixe, je vais rapidement dissuader mes lecteurs les moins intéressés ; ils iront lire plus court ou plus intéressant, ailleurs qu'ici ; cela contribuera à occulter des détails, dans ce blog, qui relèveront, malgré tout, parfois de plus intime.
Je vais donc récidiver, dans le présent billet, puis probablement encore susciter l'ire et des répliques de ceux qui se sont appliqués ou lourdement impliqués, au cours des années passés, pour « sauver » ma fille ainée. Que ces professionnels réagissent alors encore, qu'ils n'hésitent pas un seul instant. Mais qu'ils réagissent cette fois-ci enfin hors du huis-clos, où le juge pour enfant de Nanterre et la chambre des mineurs de la cour d'appel de Versailles ne nous convie maintenant plus ? Je doute que ces professionnels et même des tiers l'ouvrent un jour, sauf si des journalistes savaient leurs arracher quelques mots. Par le passé, ces professionnels et tiers, de vrais couards, ne se sont jamais aventurés hors de la chambre du conseil, cet espace clos qui les protégeait eux même, et où ils pouvaient improviser, prêcher, déblatérer, au détriment de mon ainée, au détriment de ma cadette aussi, au parfait mépris de ma famille également.
En janvier dernier, je pensais à tourner la page ; j'y avais souvent songé par le passé, j'y songeais à nouveau après avoir entendu Eric Mouzin. Puis une mouche m'a repiqué ; je publie, bavarde et gigote encore. Il y a quelque jours, on me lâchait que ce que je tweetais était décousu ; 140 caractères, c'est court ; j'ai rapidement rédigé un billet en reprenant d'anciens éléments, dont un PDF de 100 pages contenant beaucoup de correspondances qui me sont parvenues par le passé ; on m'a ensuite rétorqué que je n'étais plus crédible !
Je me suis surtout dit encore qu'il fallait que des journalistes s'emparent à nouveau de ce que je raconte aujourd'hui, pour crédibiliser mes discours, et crédibiliser surtout les éléments dont je parle, les faits que je décrits, que je commente. Après mon passage remarqué à Saint Cyr, puis ces portes closes, ce vendredi, à la mairie de Fresnes, un article est encore paru, dans le Parisien du Val de Marne : « Interdit de conseil municipal ». Mais à la parution de cet article, ce 4 mars 2013, d'autres mots semblent avoir été retenus ; mènerais-je aujourd'hui un « combat symbolique » ? Où va-t-on ! Que vais-je encore lire ou entendre, au cours des prochains jours ? Maître Eolas, me lançant à nouveau d'aller me faire soigner, comme il l'a déjà fait, début décembre 2008 ? Mes « combats » n'avaient alors absolument rien de symboliques. Lorsque je lis, aujourd'hui, Le Progrès du 5 mars 2013, j'ai pour ma part vraiment le sentiment que mon « combat » est encore très concret et toujours d'actualité, susceptible en tous cas de retenir quelques attentions : « Les jeunes parents clament leur innocence mais sont empêtrés dans une spirale juridique et administrative complexe. » Courage ! Considérer que mes « combats » ne seraient aujourd'hui plus que « symboliques » serait indécent ; début 2010, à la cour d'appel de Versailles, pour justifier la prorogation du « placement » de mon ainée, les travailleurs sociaux de l'ARSEA finissaient par arguer que j'avais ces « combats » à mener, dans le prolongement d'une lutte alors pourtant très concrete, notamment contre eux. Je comprends cependant bien que pour quelques voix, dont celles de magistrats, l'intégralité de ces procédures en matière « d'assistance éducative » s'est spontanément éteinte avec la majorité de mon ainée, en septembre 2011 ; « silence, circulez, et cessez surtout de ressasser encore ce passé si embarrassant ! »
J'ai ensuite évoqué l'affaire Mouzin et l'affaire Bamberski, deux pères qui se sont battus durant des années, Monsieur Mouzin se bat d'ailleurs encore. On m'a rétorqué que Estelle pourrait encore être vivante, qu'il faut persister, toujours la rechercher, et qu'il fallait absolument que l'assassin de Kalinka soit condamné, mais que je devrais, pour ma part, tout lâcher avant que je ne « devienne chèvre »... Comme si mes propres affaires ou « combats » n'étaient aujourd'hui plus que très « symboliques », car ce mot a été lu, il y a peu, dans un journal. Ca suffit ! Attendons de découvrir ce qui suivra ou non. En tous cas, non, je ne virerais pas chèvre ; j'ai d'ailleurs pris la ferme décision de parler, maintenant, plutôt que virer effectivement chèvre, en m'engageant à nouveau dans des procédures et dans des prétoires, ces maisons qui rendent parfois bien fou, dans le cadre de nouveaux recours contre l'Etat, ou de recours auprès de la CEDH, contre la France.
Après ces précédentes et récentes réactions, sur Twitter, j'écris cet ultime résumé en me doutant qu'un comique plagiera prochainement Lang, et me lancera que dans mes affaires, « il n'y a pas mort d'homme ! » Oui... mais ce serait alors omettre, ignorer un petit détail : la mère de ma fille ainée est morte à moins de 30 ans, très subitement ; après de premiers examens, par un généraliste, pour des douleurs persistantes et vives, elle avait été admise dans un service d'urgence, service qui avait ensuite lui-même reporté des examens au lendemain ; elle est morte dans la nuit, faute d'examens et de soins ; j'y reviendrais. Ce petit détail parmi beaucoup d'autres, dans mes affaires « d'ordre privées » change déjà un peu la donne : je pourrais aujourd'hui encore attendre un procès, comme le père de Kalinka en attendait lui-même un, durant des années... Non, je ne consacrerais plus 15 à 20 ans à cette affaire là, un décès suspect, en 1999 ; je compte simplement en reparler maintenant, reparler également du « placement de ma fille ainée, ainsi que de quelques autres broutilles ou détails qui ont aussi affecté mes enfants et ma famille, au cours des années passées. Ce décès subit, si jeune, ainsi que la façon dont cette affaire a été ensuite bâclée par la justice me permettraient probablement de justifier déjà mes agissements ou comportements récents, mes revendications, dans le but de prendre la parole dans l'espace public. Qu'auraient lâché L'IPJ et Joel Censier, les aurait-on sommé de se taire si la justice avait égaré ce dossier d'instruction, ou l'un de ses élément essentiels au renvoi devant un tribunal ? J'y reviendrais, plus en détails, ou sur des détails qui figurent d'ailleurs déjà dans ce blog, parmi de nombreux autres.
Pour la suite de ce billet, je vais être encore assez exhaustif, explicite ; je l'ai souvent été, dans ce blog, comme ailleurs.
Qui suis-je ? Est-ce que c'est important ? Par le passé, on m'a parfois confondu avec un homonyme, j'en ai repéré plusieurs, dont un prêtre ou pasteur en Allemagne, et un cariste, quelque part en région parisienne. Quelques internautes auraient parfois souhaité que je sois ce cariste. Et dans les prétoires, particulièrement dans celui de Anne Valentini, j'ai souvent eu le sentiment qu'on s'était également trompé sur ma personne ; en entrant en audience, avec ce magistrat précis, j'avais purement et simplement l'impression de m'être trompé de pièce tant le costume qu'elle m'avait taillé ne me correspondait pas... Même en janvier 2010, chez le Délégué du Procureur de Paris, j'avais eu le sentiment que quelqu'un s'était trompé sur ma personne, il me rappelait alors la loi que je connaissais déjà. Et à la cour d'appel de Versailles, on m'a longtemps pris et fait passer pour un demeuré, jusqu'à ce que je fasse casser pour une seconde fois cette baronnie ; depuis cette période, la cassation d'octobre 2010, la chambre du conseil s'est même vidée ; entre la fin 2010 et jusqu'à 2012, à Versailles, je ne retrouvais plus que les juges et les avocats généraux... Si cette jurisprudence de la fin 2010 avait pu exister bien avant cette période, le cours de cette histoire, le destin de mes enfants et de ma famille aurait certainement été très différent ; tant pis ; le mal a été fait, et tout a été écrit, beaucoup par les magistrats.
L'assistance éducative, ce n'est pas du pénal, c'est du civil. Le juge pour enfant rend des décisions que son cabinet notifie ou non. Ces décisions sont le plus généralement assorties de l'exécution provisoire, elles s'appliquent dès qu'elles sont rendues ; et lorsqu'on a connaissance de l'existence d'une de ces décisions, on peut toujours faire appel ; comment revenir, quelques 3 à 10 mois plus tard, sur le passé, lorsqu'une ordonnance ou un jugement a déjà produit des effets ? Mais qui suis-je ? Ceux qui me lisent, il y en a bien, attendaient peut-être une autre réponse à cette interrogation. Un hackeur, un hacktiviste ? Quelques uns devraient pouvoir confirmer, ou se sont déjà fourvoyés à ces sujets là aussi.
« Vous reprennez les pièces, et vous les remontez de façon différente,
le hacking, c'est rien d'autre que cela » ; Piratage, sur France 4, avril 2011
Aujourd'hui, parmi ce qui me définit le mieux, figure probablement l'affection de ma soeur aînée qui est trisomique. En 2006, le Docteur ou charlatan Magalie Bodon-Bruzel (lire Clash au Mémorial de Caen) rendait un rapport que les juges de Nanterre et de Versailles ne m'ont jamais permis de contester ; dans son introduction, cet expert auprès de la Cour relevait en premier cet « antécédant familial ». On ne m'avait plus lancé une crasse pareille depuis l'école primaire : « voyez d'abord la soeur qu'il a ! » Il y a près de 50 ans, la génétique balbutiait encore ; lorsque ma mère avait souhaité comprendre ce qu'avait ma soeur ainée, pourquoi elle était si différente, les médecins lui ont répondu : « Madame, elle est comme ça, car vous êtes vous même comme ça... » Un prête poursuivait ensuite : « c'est votre croix, vous devrez la porter. » Je pensais que depuis les années 60 à 70, les scientifiques avaient pu vulgariser leurs travaux, mais je me trompais ; je suis blasé, désabusé depuis très longtemps maintenant. Dans ce même rapport, affligeant, consternant, mais dont Nanterre s'est emparé, pour mieux motiver le « placement » de mon ainée, l'expert me reconnaissait ensuite tout de même « quelques capacités intellectuelles »...
Mais la protection de l'enfance ou ces spécialistes en savoirs, psychanalyse et psychiatrie de comptoir (j'y reviendrais) m'infligeaient déjà des affronts bien avant que ce fumeux rapport ne soit rendu et versé au dossier « d'assistance éducative » de mon ainée. Pour son entretien, Magalie Bodon-Bruzel m'avait reçu à l'Unité pour Malades Difficiles de Paul Giraud ! Bien plus tard, fin 2009, un enfant passait par la fenêtre, à Orly ; n'aurait-il pas pu être surprotégé, « aidé », lui aussi, comme l'aurait très longtemps été ma fille ainée ? Le but inavoué de tels professionnels est peut-être précisément de compromettre durablement l'avenir de familles et d'enfants... Des articles publiés par le Parisien m'avaient intrigué ; un père, sortant de Paul Giraud, avait jeté son fils par la fenêtre du deuxième étage ; je m'étais rendu à Orly, j'avais alors mené ma petite enquête dans le voisinage et même très brièvement rencontré la mère, pour en discuter. « Schizo », m'avait-on très sobrement lâché au café du coin, avec un petit signe de la main montrant la tête...
J'ai parfois connu ou croisé quelques délinquants. Mais de vrais déviants, j'ai pu en connaitre et en étudier alors que je fréquentais assidument les prétoires et ces professionnels de la protection de l'enfance. Avant cela, j'avais plutôt une meilleure compréhension de ce qu'est la déficience, ou de ce qu'est le handicap. Récemment, un élu m'a donc suggéré de m'engager ; je pense pourtant avoir encore ou déjà fait beaucoup depuis 2003, ça ne suffira pas ? Par le passé, ma propre mère était engagée, dévouée même, en faveur de personnes handicapées ; elle a même présidé L'Association Familliale d'Aide à l'Enfance Inadaptée de Sarreguemines, de novembre 1986 à janvier 1993. J'ai été profondément outré en lisant l'expertise de Magalie Bodon-Bruzel et en découvrant que pour Nanterre, comme pour Versailles, une soeur trisomique est en premier un « antécédent familial »... Ma mère est morte en mai 2006 (plus de précisions, dont le faire-part de décès). Ma mère avait-elle appris que ces magistrats réclamaient une expertise psychiatrique, puis que ce charlatant, ce bouffon auprès de la Cour, me conviait puis me recevait en Unité pour Malade difficile (un petit bureau, passé l'accueil) ? Inutile de me dire qu'il vaut mieux ne pas remuer la merde, un colonel nous l'a déjà expliqué... Je n'envisage pas de m'engager d'avantage, surtout après tous ces silences en retour. Vu ce que je lui exposais, l'élu m'intimait également de retourner plutôt dans des tribunaux ; ça suffit, je ne sais déjà que trop bien comment ceux-ci fonctionnent habituellement. Je vais juste continuer à foutre encore un peu le bordel, faire du bruit dans l'espace public, et demander à parler, de ces 10 à 15 années passées. Refuserait-on à une femme battue de parler de ses épreuves récentes ? Je n'ai pas été entendu, en décembre 2004, lorsque ma fille a été tabassée, à Taverny, dans la maison d'enfants Elie Wiesel ; c'est également de ce genre de détails dont je souhaite parler.
Ma fille ainée est donc née en 1993, à Paris. Il s'agit bien d'un livret de famille délivré par la ville de Paris.
A suivre... en cours d'édition et de relecture.
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