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S'agirait-il de sauvagerie judiciaire ?
Si Onfray me lisait, il pourrait découvrir bien pire que ce que Camus avait pu imaginer, à savoir ce qu'est de la sauvagerie judiciaire en chambre du conseil, et même ce qu'est pire qu'un curé, un pasteur à la perception littéralement apocalyptique ? Je ne pensais pas non plus que cela pouvait exister, pas en France, au troisième millénaire.
Mais Onfray, comme d'autres, ne pourra que s'incliner devant sa magistratüre qui travaille donc très dur, depuis plusieurs années déjà, à sauver ma fille ainée. Elle aurait pu attraper la trisomie 21 de ma propre soeur ainée ? « Leur caractère est plutôt sournois ; leur éducabilité relative », peut-on lire dans un compte rendu de Désiré-Magloire Bourneville de 1902-1903. Cette même magistratüre pourrait aussi avoir sauvé une certaine M. Zakharova de l'autisme... ce qui serait un tout autre « dossier » même si j'y lis comme des signatures de professionnels du coin, un secteur un peu à l'ouest de Paris.
Ce 22 novembre, dans le Parisien, justement, j'ai lu un message à l'attention des parents d'enfants trisomiques, une « petite lueur d'espoir » dans un « vide thérapeutique sidéral ». Un traitement pourrait un jour améliorer les capacités d'apprentissages de ces enfants aussi ? Pour le moment, des recherches menées avec des souris génétiquement modifiées seraient en tous cas très prometteuses. Je suppose que contrairement à celles de Richard Josefsberg, de l'OSE France, ces recherches sont très bien encadrées, il s'agit de petites bêtes et non de créatures inférieures...
Justine a eu beaucoup de chance, comme M., elle aura donc échappé au pire ? Souvent, je me demande pourquoi cette même Dass ne s'est pas acharnée aussi sur ma fille cadette. Pourquoi sa magistratüre, l'ASE et l'OSE France n'ont-ils pas insisté pour la sauver également de la trisomie 21 de ma soeur ? Le Docteur Bodon-Bruzel a peut-être une bonne explication à fournir ? Comme il n'a pas été très précis dans son « expertise », il pourra toujours prétendre qu'il a été très mal compris par les tantes de Justine, les pros de la Dass et son parquet. A ma connaissance, ces derniers n'ont jamais fait appel, ils ne s'expriment jamais en public et certains tendent donc même à se défiler lorsqu'ils sont convoqués à Versailles. En février dernier, même le collège a eu comme un malaise, il m'a semblé qu'il a également préféré se défausser.
Ce samedi, j'ai été assez clair avec la police. Si le parquet de Paris décide de me poursuivre, il m'offrira une magnifique tribune en public. Si ce parquet classe ou renonce à me poursuivre, qu'en penseront les résidents du château, mes lecteurs, les élus, les associatifs, les professionnels ainsi que le peuple que j'ai croisé ces 20 et 21 novembre ?
« Est-ce que ce monde est sérieux ? ... Je ne vais pas trembler devant »... Un autre son.
Le Monde du 25/11, par Michel Onfray,
« Monsieur le Président, devenez camusien ! »
Ma première garde à vue
Ce matin, de 9h00 à passé 9h30, je me suis planté sur un trottoir de l'ile de la cité, juste devant le bâtiment du barreau de Paris. J'ai déployé ma nouvelle banderole. J'ai encore pu discuter avec quelques personnes et bien expliquer à certaines d'entre elles pourquoi j'étais là (voir mon billet de la veille, Ah, si j'avais su ?). Juste après 9h00, on m'a proposé un café et de l'aide mais j'ai décliné cette offre car je souhaitais plutôt rester planté là, sur le trottoir. Je ne vois de toute façon pas trop quelle aide des personnes du barreau de Paris pourraient m'apporter... ni en quoi me suggérer de replier mes banderoles pourrait aujourd'hui faire avancer mes affaires dites privées.
J'ai cru voir arriver Mme Dominique Versini, ce monde est décidément petit. Elle a détourné son regard en secouant la tête. Ce que j'affichais encore là pouvait indigner ou heurter, j'en avais conscience et on me l'avais bien fait sentir dès la veille, sur la place des droits de l'enfant puis sur la place du palais Royal. Pour le moment, à de nombreuses occasions, je ne suis plus sur des terrains et dialogues consensuels. Au cours de ces dernières années, j'ai pu constater où ceux-ci menaient lorsque le juge pour enfant est saisi : l'enfant disparait, pour une durée indéterminée, parfois extrêmement longue. D'autre part, certains messages explicites pourraient parfois vraiment sembler faire avancer les choses. L'une de mes correspondances de juin 2006 tendrait à l'attester, peu de temps après, M. Jacques Chirac nommait précisément Mme Dominique Versini à son poste de Défenseure des Enfants. Une autre de mes correspondances d'octobre 2008 tendrait elle aussi à attester certaines choses. En effet, le 28, une de mes bafouilles arrivait à sa chancellerie et le jour même, un juge pour enfant m'écrivait. Je m'interroge encore à ce sujet... Et depuis, le Président de la République ou son cabinet ne m'ont pas donné le moindre élément de réponse, malgré mes diverses relances à ces sujets.
Ce matin, peu après 9h30, j'ai replié ma banderole et je suis entré dans le hall du barreau. J'aurai souhaité reparler à une personne, comme cela avait été convenu sur le trottoir. Mais la conférence du jour avait déjà commencée et cette personne n'était plus disponible, je suis donc ressorti. Je m'éloignais du barreau, m'apprêtant à quitter l'ile, lorsque qu'un gros panier à salade s'est arrêté à côté de moi. D'autres ont suivi. C'est à ces moments là qu'on souhaiterait se voir pousser des ailes ?
Je pense qu'il y a eu divers malentendus. Certaines autorités semblent avoir estimé que j'avais déployé ma banderole au voisinage du palais de justice... j'apparaissais dans le champ de caméras, je n'avais même pas conscience de leur présence. Mais pour moi, le palais de justice est de l'autre côté du pâté, bien éloigné du bâtiment du barreau. On m'a pris, puis déployé, photographié et enfin confisqué ma toute nouvelle banderole. Plus tard, au poste, j'ai appris qu'elle devrait faire l'objet d'une « destruction administrative ». J'ai d'abord été beaucoup ennuyé car je souhaitais emporter cette banderole pour la montrer dans la chambre des créatures inférieures. Changement de programme : j'ai maintenant une référence d'un dossier administratif ou judiciaire dont je pourrais parler, une affaire en cours qui pourrait faire l'objet d'une demande d'information complémentaire voire d'un classement sans suite. On m'a dit que j'en saurais plus d'ici 6 mois au plus tard.
La police a été surprise parce que je n'ai pas déjà eu de gros ennuis la veille, lorsque je sortais vraiment à l'occasion du 20 novembre, et non dans le prolongement de cette grande fête des 20 ans de la CIDE. Je pense qu'hier, j'ai été très bien entendu, même si j'ai heurté quelques sensibilités (avec lesquelles j'ai parfois pu discuter quand même).
Aujourd'hui, tout s'est encore très bien passé, même avec la police, ainsi qu'en garde à vue. Lorsqu'on m'a demandé si je voulais un avocat... j'ai répondu non. Comme je l'ai déjà expliqué dans un précédent billet, je n'ai pas de soucis avec de tels services, même si je suis maintenant bien « connu » de ceux-ci aussi, au fichier pour 20 ans, pour cette banderole.
Je pense que j'ai eu de la chance, nous n'étions que 3 à nous partager deux cellules très spacieuses ? Si nous avions été entassés à 20 par cellule, je n'aurai pas pu faire une petite sieste dans l'après-midi. Je n'ai pas eu à tousser trois fois... mais l'administration a un moment envisagé de me faire transférer au « dépôt », pour la nuit. Le « dépôt » n'a pas la meilleure des réputations. Un magistrat de service aurait pu souhaiter me demander un complément d'information. Je pense que c'est là bas qu'on aurait pu me faire tousser, juste avant de le rencontrer.
J'ai fait mes déclarations au poste. J'ai bien expliqué que peu m'importait le nom du Président et que j'en aurais fait tout autant en pareilles circonstances s'il s'appelait aujourd'hui Royal. Il se trouve que par l'effet des élections, c'est aujourd'hui un certain Sarkozy. J'ai très bien pu expliquer pourquoi j'étais précisément devant ce barreau là, ce matin, peu avant 9h30. Mon billet d'hier soir, Ah, si j'avais su ?, a été joint au dossier avec l'adresse de ce blog. Plutôt que de me retenir plus longtemps ou que de me faire transférer au « dépôt », on m'a laissé rentrer. D'autres magistrats du parquet examineront ce dossier un peu plus tard, c'est « politique » et « sensible », m'a-t-on fait comprendre, c'est « le chef de l'Etat ». Pour moi, il est aussi le garant du bon fonctionnement de nos diverses institutions, c'est à lui ainsi qu'à certaines de ces dernières que je comptais m'adresser à l'occasion de cette date anniversaire, je pense que c'est fait et que je peux tourner cette page aussi.
Je file au supermarché, je dois faire les courses, il faut des gouters pour la petite.
Ah, si j'avais su ?
Je viens de lire un peu mieux le programme que j'ai fourré dans ma poche, aujourd'hui, alors que je déambulais dans le hall du barreau de Paris, avec ma banderole repliée. C'était un colloque spécial cafard ou avocat de l'enfant, je l'avais bien remarqué sur les affiches. Par contre, je découvre à l'instant que le juge Thierry Barranger devait intervenir aujourd'hui, à partir de 16 heures. Si je l'avais su, j'y serais peut être repassé avant de me rendre devant le Conseil d'Etat.
Je constate également que Mme Myriam El Khomri pourrait en fait très bien connaitre l'Oeuvre de Secours aux Enfants France. Cette association réagira-t-elle un jour à ce billet-ci à moins qu'à ce billet-la ? Des avocats pourraient réagir un peu partout dans mon blog, mais je crois qu'ils sont fermement tenus à certaines obligations, de part leur serment...
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause we hate what you do, And we hate... Un son « explicite ».
Du programme du colloque
Demain, 21/11...
20 ans déjà, et tout est maintenant différent
Par le passé, Justine a compté parmi les enfants disparus. Depuis quelques temps, j'ai le sentiment que Justine compte parmi les enfants dits livrés à eux-même. En effet, certains enfants de la Dass sont en foyer ou en famille d'accueil, voire à la rue, tandis que d'autres sont en internats scolaires, comme elle. Mais d'après l'ARSEA avec qui j'ai pu discuter longuement au cours de ces dernières semaines, il me semble que tout est parfait ainsi pour Justine.
Ce matin, à l'occasion de l'inauguration de la place des droits de l'enfant, dans Paris, l'accueil de ma dernière banderole a été mitigé, comme d'habitude lors de mes sorties. Mais j'ai été bien soutenu dans ma démarche qui vise à dénoncer que dans mon secteur, Nanterre et Versailles, il n'est pas possible de faire valoir de quelconques droits lorsque le juge pour enfant est saisi. C'est moins vrai depuis que le juge pour enfant Thierry Baranger est saisi du dossier de Justine.
Je ne pouvais qu'être sur cette place ce matin, à l'occasion de cette journée et cette inauguration symbolique. Quant à ma banderole, elle est bien assez précise et explicite : ce n'était pas vraiment à ces gens là, présents ce matin, élus et personnalités de la ville de Paris, que s'adressait mon message du moment. La ville de Paris pourrait cependant se sentir directement concernée, elle travaille très souvent avec l'Oeuvre de Secours aux Enfants France.
Des représentants de l'Unicef m'ont boudé, me reprochant d'avoir commis une offense au chef de l'Etat. Son cabinet semble encore faire l'autruche... L'Unicef pourrait fouiner dans mon blog et s'apercevoir que je n'en suis pas à mon coup d'essai. Je pense avoir marqué des esprits en 2007 aussi, devant l'Unesco. J'ai du en marquer également le 10 décembre dernier, à l'occasion du soixantenaire de la DUDH.
La LDH était également sur place, comme à tous ces rassemblements. Elle était aussi là le 17 octobre dernier. Cette ligue fini par me faire penser aux socialistes et au PCF, toujours visibles au cours de certaines manifs ou grandes fêtes...
Plus tard, je suis passé tout à fait par hasard au barreau de Paris, il contribue également à l'occasion de cet anniversaire. Je ne m'y suis pas éternisé. Je n'attends plus grand chose de cette sphère là alors que je travaille souvent à désacraliser la justice. Devant ce barreau, un avocat a d'ailleurs été lui-même très franc et clair avec moi, m'expliquant qu'à son avis, ce genre de dispositif n'est que pour ceux qui y croient. Je lui ai répondu que je partage son sentiment.
Je file au palais Royal, la fête du jour se poursuivrait aux abords du Conseil d'Etat.
Ajout du 20 au soir... Entre le Conseil d'Etat et le musée du Louvre, tout s'est assez bien passé aussi. Le lieu est également hautement symbolique et surtout très touristique. Il faisait déjà nuit, j'ai fait crépiter les flashs. Je conserve cette banderole, en décembre, je la déploierais devant les juges et surtout sous le nez de l'avocat général.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause we hate what you do, And we hate... Un son « explicite ».
« Very much », c'est le plus important
De source France Info
Un grand corps schyzophrène ?
Ce matin, en ouvrant l'e-journal, je n'ai pu penser qu'à la schyzophrénie (pas sa forme torpide). Depuis, je m'interroge alors qu'on nous a souvent parlé d'un corps malade, d'un après Outreau, de petits pois aussi, tous fades, comme sortis d'un même moule ou de l'ENM. Je vais mettre ce billet à jour un peu plus tard. Pour le moment, je suis occupé.
Le Parisien du 5/11, édition de l'Oise
Vu dans Paris-Match : le conseil général du 9-2 recrute des pétoncles
Ajout du 24 au soir... Lu sur Facebook et repris par divers médias, de la page de Nicolas Sarkozy : « Jean a fait preuve cette semaine de grandes qualités [...] Je suis fier de lui. Il sait maintenant le travail qu’il lui reste à accomplir. »
Lu le 26, sur le Parisien... Interrogés sur l'impact de cette intervention [télévisée, jeudi dernier], 23% des personnes sondées répondent qu'elle a plutôt amélioré l'image qu'ils avaient de Jean Sarkozy, 69% qu'elle n'a pas changé cette image, 6% qu'elle a plutôt détérioré l'image, et 2% ne se prononcent pas. [...] Sondage réalisé par téléphone auprès de 1.006 personnes de 15 ans et plus, les 23 et 24 octobre (méthode des quotas).
Ce soir, à la radio, j'ai appris la mauvaise nouvelle : pour le moment et après avoir pu en parler avec papa, Jean ne brigue plus la tête de l'EPAD. D'après Paris Match du jour, Jean était attendu au tournant... par des requins ? Un article suggère maintenant à Jean de s'accorder d'abord « le temps de grandir » tandis qu'en page 125, ce même hebdo nous dresse le portrait de quelques jeunes élites, « bien nés ou pas », mais tous « surdiplômés et engagés », « contre la politique à papa ». « Le problème n'est pas Jean Sarkozy », peut-on lire, « mais l'absence de contre-pouvoirs dans notre pays. »
D'après le Canard du moment, ces derniers temps, sur fond de grand complot voire même d'une très vaste conspiration planétaire, notre chantre a fustigé une presse qui n'a pas hésité - ignominie suprême, précise le Canard - à « s'en prendre à [sa] famille » ? Qu'est-ce qui a motivé ce choix de photo de Jean dans ce dernier Paris Match ? Je crois y distinguer une grande affiche qui pourrait correspondre à ces offres d'emplois d'assistants familiaux pour des enfants de la Dass, des enfants « placés », très « transitoirement ou durablement » retirés de leurs familles naturelles.
La culture psychique ou ces psychothérapies, j'ai essayé, mais je n'ai pas su m'abrutir assez pour postuler ni pour faire postuler ma compagne, Justine reste donc « placée » ailleurs. Je pense que je vais faire comme Germaine Tillion, en discuter sous peu, avec quelques magistrats de la cour d'appel de Versailles, ils me feront de nouvelles suggestions.
disparaissait à jamais. Dorénavant, on voit le nez en l’air de
la sociale travailleuse et l’enfant disparaît à jamais.
Voir dans mes références, un article de Lucie Poirier
Valeurs Actuelles du jour nous propose un petit dossier « sur une blessure française », un certain mal-être, « un dernier tabou » ou ce drame des Français d'Algérie qui ont disparus entre 54 et 63. « "Elle avait 11 ans et était `'la plus heureuse des petites filles". `'Je ne savais pas ce que c'était d'être triste." Et puis un soir d'août 1962, le père, la mère et le petit frère - 21 mois - de Danielle ne sont pas rentrés. `'Volatilisés." Pas de nouvelles, pas de témoins, pas de traces, pas de corps. `'Disparus", comme le dit la terminologie officielle. [...] `'A Orléansville, tout le monde savait ce qui signifiait cette disparition, mais personne n'a trouvé les mots. On me disait : "ne t'inquiète pas, ils vont revenir." Alors j'ai attendu, attendu...'' »
Ma cadette redemande des nouvelles de sa grande soeur, des explications. J'hésite encore car je ne sais pas encore quels mots employer pour lui en parler. Je pense que je vais tout simplement lui dire que nous sommes en France, à la fin 2009, et que, par ici, historiquement, parfois, comme ailleurs à travers la planète, des gens disparaissent ou ne rentrent plus.
Page 56 de ce même Paris Match, un numéro « spécial Berlin et chute du mur », je lis encore que le single « Fuck You » de Lily allen l'a établie « prima dona de la provoc ». Ce son est très bon, je crois que c'est incontestable.
Le Canard n° 4643 du 21/10 et Paris Match n° 3153, du 22 au 28/10 : « on recrute des tatas »
Affaire Clearstream versus infra-justice, « pour mineurs »
On peut être surpris ou amusé par le petit encart, dans le Figaro du jour : Maitre Herzog a été prié de faire « plus court » pour la « deuxième » partie de sa plaidoirie. Il aura donc pu plaider pendant trois heures ? Dans le Figaro du jour, on peut encore lire que le réquisitoire du ministère public sera examiné à la loupe, par des juristes. Ca peut faire rêver lorsque le juge pour enfants est saisi. A Versailles, à huis-clos, l'Avocat général n'a une fois que lancé un seul mot : « prorogation ».
La défense de Monsieur de Villepin avait pu disposer de toute une journée pour plaider ? Je n'en demande pas tant !
De mon mémoire, déposé à la Cour de cassation, à l'automne 2008, tout le reste, dans ce même document, est à mon avis sans grande importance, même si dans son ensemble, son contenu a pu choquer, depuis le greffe jusqu'à la première chambre civile, en passant par la chambre sociale :
C’est pourquoi si la très haute juridiction devait retenir que la procédure de prise à partie était irrecevable en raison du statut professionnel du Juge des enfants Xavier SERRIER, M. KANT demande dans une telle éventualité que les magistrats de la Cour de cassation acceptent de prendre en compte:
- qu’aucun des professionnels et magistrats professionnels qui ont examiné la requête de prise à partie, n’a relevé cette irrecevabilité, ce qui a induit M. KANT en erreur sur la procédure à utiliser pour que le déni de justice et les fautes lourdes qu’il allègue soient instruits par une instance compétente,
- que le ministère public en la personne du Procureur général près la Cour d’appel de Versailles avait émis un avis en date du 11 juin 2008 tendant au rejet de l’autorisation d’assigner sans manifestement relever un motif d’irrecevabilité en raison du statut de magistrat professionnel du Juge pour enfant,
- qu’en conséquence, il serait inéquitable que M. KANT soit condamné à verser une quelconque indemnité à un magistrat professionnel en raison de la présente procédure.
Le résultat est maintenant connu. J'en arrive parfois à penser-moi même que ça se passe de commentaires.
Les opinions, selon moi, parfois tout à fait particulières de quelques magistrats du coin sont aujourd'hui également connues. Mais d'après un avis de Versailles, rendu en mai dernier, mes ou « ces courriers » - lesquels ? - confirmeraient « à plus suffire » les observations des professionnels et des experts... De temps en temps, je me dis qu'au cours de ces dernières années, j'ai souvent gêné voire même vexé au minimum quelques juges et autres professionnels de la justice ou de la Dass, cela pourrait très certainement expliquer leur très franc parti pris ? Pour me faire inscrire sur la liste électorale, tout était aussi assez simple, peut-être un peu comme à la cassation, fin 2008. Mais ces audiences étaient publiques. En chambre dite du conseil, à huis-clos, tout devient à chaque fois beaucoup plus « compliqué », irrationnel.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause we hate what you do, And we hate... Un son « explicite ».
Le Figaro du 20/10, « un réquisitoire examiné à la loupe... »
Petite bafouille au juge pour enfant
Ajout du 17 au soir. Je suis allé faire un tour sur le parvis du Troca, à la fête de la misère, où j'ai pu discuter brièvement avec quelques personnages ou personnalités. La LDH pourrait être intéressée par ce billet-ci ainsi que par ce billet-là... voir par un peu plus, dans les différentes sections de ce blog ; on m'a déjà dit que son contenu n'est pas inintéressant. Le Défenseur des Enfants devrait connaitre mon blog. J'en ai tout de même profité pour glisser une carte de visite à Madame Dominique Versini. Ce matin même, je me référais encore à un rapport récent du Défenseur des Enfants lorsque je découvrais une sorte de critique d'une décision de justice américaine. Je pense que ATD Quart Monde ainsi que Monsieur Martin Hirsch trouveront quelques opinions ou points de vues et quantités d'informations utiles dans mon blog, par exemple, ces quelques extraits de la revue de l'AFMJF, plus particulièrement, cette référence là. Le contenu de la revue Société Civile de janvier 2005 devrait être connu. Ce genre de recueil est peut être plus utile. La section Epilogue ou même ce blabla là devrait suffire à démontrer combien il est facile en France de faire placer un enfant, puis de toujours proroger ensuite la mesure. Les outils sont des plus variés, mais certains discours semblent souvent être si similaires... Je n'attends pas de retour particulier ; le placement de Justine est une affaire dite « privée ». Par contre, je pense que quelques personnes à qui j'ai parlé aujourd'hui sauront s'inspirer et exploiter ce qui est publié par ici ? Une personne a levé les yeux et a pris très peur pour moi lorsque j'ai parlé de tout ce que j'ai déjà envoyé au château ou à sa chancellerie ; je lui ai répondu que je n'ai rien à redouter car je suis très officiellement et définitivement débile, la Cour confirmait, fin mai dernier : « les résultats d'une psychothérapie se font attendre ».
Ajout du 18. Je me relis et je ne vois pas quoi ajouter d'autre hormis, encore une fois, Fuck You (mais very much).
Ajout du 19. Ces deux billets sont aussi susceptibles de retenir l'attention de ATD-Quart Monde : Très cher divorce... ou « Silence, on souffre » et « La police des familles », c'est concret et confirmé par Morano ? On attend maintenant l'issue à la crise, puis des jours meilleurs. D'ici là, Un mode d'emploi du blog pourrait servir également.
Du 19 encore... Ce matin, j'ai appelé M. Roth, des services AEMO de l'ARSEA Oswald, je n'avais pas la moindre nouvelle de ses services. Je l'ai informé que j'ai finalement opté pour la voie de l'outrage de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République Française. Après quelques Fuck You (very much) suivis d'un envoi de suppos au château, des laxatifs, ce devrait être suffisant, l'outrage est-il avéré ? Qu'en pensera l'UMP ?
Je pense que je ne vais pas changer grand chose à ce qui suit. Je vais encore attendre quelques jours, y réfléchir un peu, me relire, puis très certainement copier/poster ce qui suit. Si je change ou ajoute quelque chose à cette lettre ouverte, j'aviserais. Mais je crois qu'il est inutile de trop en faire, seul des pros ou des initiés y comprendront quelque chose, or ils ne font aucun commentaire... auraient-ils la trouille ? Il faut admettre que ce qui arrive au chef Jean-Hugues Matelly n'est pas très rassurant. Ces derniers temps, on parle aussi de plus en plus fréquemment de maltraitance de personnes âgées ou vulnérables, ce n'est pas très rassurant non plus. Une opinion de Brazelton et Greenspan de 2001 pourrait même faire rire ou ricaner frémir : « L'ironie est que, si cet état de choses perdure, dans quatre-vingt ans, les bébés d'aujourd'hui se trouveront replongés dans ces environnements impersonnels qui leurs sembleront étrangement familiers. »
Ah, ces récits noirs ou Loup... Qui es tu ?... Les requins sont à peine plus loin, un dauphin vient de nous en parler. Par chance pour lui, ce poisson là, élu et « pré-désigné », a un super comité de soutien mais aussi un hyper papa vu à la télé qui ont le droit de le défendre. C'est ça, la démocratie, et ce qui est juste et bon, nous dit-on. J'ai des doutes.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause... Un son « explicite », posté en septembre dernier.
Dossier ...
Assistance éducative
Brouillon de lettre ouverte
Monsieur le juge pour enfant,
Par votre correspondance du 21 septembre dernier, j’ai le sentiment que vous me suggériez de ne plus vous solliciter, d’attendre le mois de décembre et une improbable audience, à la cour d’appel de Versailles. Il me semble que vous m’avez fait parvenir votre correspondance alors que ma fille Justine ou Maître Delphine Roughol, son avocat, venaient de vous communiquer eux même des éléments dont je ne connais pas la teneur.
Depuis, j’ai téléphoné aux services AEMO de l’ARSEA Ostwald et j’ai alors pu discuter longuement avec Monsieur Roth, un responsable. Ces services ont été priés de vous communiquer une note d’information. Je crois cependant que pour les parents, la représentation n’est pas obligatoire lorsque le juge pour enfant est saisi.
[...] Je souhaite rappeler maintenant que depuis plusieurs années déjà, Justine a un juge pour enfant, un juge des tutelles, un ministère public, un corbeau, des kapos, des travailleurs sociaux, des psychologues, un cafard, un avocat et même un pasteur qui lui sont tous très dévoués. Je vous informe que, très récemment, Justine ne parraissait toujours pas avoir un médecin ; je crois qu'elle n'en a plus vraiment depuis son « placement » à l'OSE France, qui lui profitait tant.
[...] Vous me suggérez donc d’attendre d’être enfin reçu et « entendu » par la cour d’appel, sa chambre des créatures inférieures mineurs. Je crois que vous connaissez les travaux de Jacques Donzelot et de Irène Théry. L’affaire dite d’Outreau a aussi fait couler beaucoup d’encre ; vous pouvez aussi connaître certains travaux de la Mission de recherche Droit et Justice ; d’autres travaux et publications tels que ceux de l’Inserm ou du CNRS sont parfois plus confidentiels ou méconnus. Il y a peu, la Cour des comptes rendait un rapport public, « La protection de l’enfance », jugeant manifestement ce dispositif « insuffisant ». Mi septembre dernier, une Directrice départementale de la PJJ se jetait par la fenêtre, nous avons entendu parler un peu de maltraitance institutionnelle. Je vais bientôt aller plaider à la cour d’appel de Versailles tout en connaissant très bien ses usages et en sachant moi aussi parfaitement que cette voie de recours ou de Justice est réputée illusoire ou inaccessible aux parents d’un enfant « placé ».
[...] Mais avant de publier cette nouvelle caricature, vers le 20 novembre prochain, je devrais être dans Paris avec un mégaphone, pour la grande fête des 20 ans de la CIDE. L'an dernier, à l'occasion de la grande fête du soixantenaire de la DUDH, j'organisais un autodafé d'ouvrages de Dalloz et de l'Unicef; en contrebas de la BNF, à Paris. Je parle depuis quelques mois de l’incurie crasse de l’administration judiciaire française et, depuis peu, je n’hésite plus à parler aussi parfois de tromperies, d’escroqueries et même de pédopornographie judiciaire.
Je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de ma plus haute considération.
Ne pas savoir imaginer dans les bornes du réel est un art • Nihil Messtavic
Une soeur trisomique : « un antécédent familial », selon sa magistratüre
Le tréma ou l'Umlaut de « sa magistratüre » n'est pas une faute de frappe. J'assume ; ce billet aussi. Je ne cherche pas à récolter des points goodwin, je les laisse au SNEP. J'assume, tout simplement, comme ce billet.
Avec ce faire part, plus bas, d'une AFAEI, chez Dalloz ainsi qu'à la HALDE ou à la FNATH, des pros comprendront peut-être un peu mieux pourquoi, en décembre dernier, leur fumeux et tout nouveau Code du handicap flambait, par dessus deux autres ouvrages ? J'assume cet autodafé de livres inexploitables, tout autant que ce billet-ci.
Mi avril 2008, Madame Laurence Ballet, Directrice juridique des éditions Dalloz, m'avait fait l'honneur d'un commentaire alors que je ne comprenais pas bien ce que m'avait écrit le juge Xavier Serrier. Je me demande si les éditions Dalloz commenteront un jour ce billet-là à moins que celui-ci. Il en reste, des pros, sur la toile ?
Ces deux faire part, à la suite, sont publics. Ils sont parus dans un grand quotidien régional. Même le corbeau de l'histoire, une tata de la Dass, et sa soeur, le pasteur d'Uhrwiller, pourraient s'aventurer à les commenter. Le pasteur d'Uhrwiller n'a jamais constesté aucune décision de Nanterre, bien au contraire. Qu'en diront les spécialistes plus laïques de l'OSE France ainsi que la Direction de cette même association qui oeuvre elle également dans ces domaines du dit « handicap mental », mais plutôt et historiquement en faveur de certaines catégories socio-cultuelles ? Le pasteur d'Uhrwiller a déjà été assez clair avec moi : la « polémique », ça ne l'intéresse pas ; d'après ce que j'ai pu constater, les débats devant la cour d'appel, ça ne l'intéresse pas trop non plus.
Le second faire part, de l'AFAEI, va pouvoir constituer une belle « preuve » pour deux intellectuels putéolois, ils pourront l'ajouter à leur dossier « psychiatrique » me concernant. Nous ne pourrons que « mieux » situer la qualité de certaines expertises socio-judiciaires : de comptoir voire de cours de récré de primaire, d'il y a plus de 30 ans.
Maître Delphine Roughol me dira encore qu'on expose pas « la vie privée de Justine », pas comme ça ? La réponse que je lui ferais sera tout aussi simple que celle que j'adressais il y peu, au pasteur d'Uhrwiller : prout.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause... Un son « explicite », posté en septembre dernier.
Dialogue
Nicolas Sarkozy et Michel Onfray - Confidences entre ennemis
D'un côté, un philosophe athée, antilibéral, hédoniste et libertaire. De l'autre, un candidat à la présidentielle n'hésitant pas à remettre en cause la loi sur la séparation de l'Église et de l'État, un ministre de l'Intérieur rêvant au rétablissement de l'autorité. À notre initiative, les deux hommes se sont rencontrés. On s'attendait à un choc frontal, il a été question de la croyance, du mal, de la liberté, de la transgression. Voici un court extrait du dialogue qui a provoqué la polémique dans les semaines précédant le premier tour de l'élection présidentielle. Le dialogue intégral, sur 8 pages, est publié dans Philosophie magazine n°8.
M. O. : Je ne suis pas rousseauiste et ne soutiendrais pas que l'homme est naturellement bon. À mon sens, on ne naît ni bon ni mauvais. On le devient, car ce sont les circonstances qui fabriquent l'homme.
N. S. : Mais que faites-vous de nos choix, de la liberté de chacun ?
M. O. : Je ne leur donnerais pas une importance exagérée. Il y a beaucoup de choses que nous ne choisissons pas. Vous n'avez pas choisi votre sexualité parmi plusieurs formules, par exemple. Un pédophile non plus. Il n'a pas décidé un beau matin, parmi toutes les orientations sexuelles possibles, d'être attiré par les enfants. Pour autant, on ne naît pas homosexuel, ni hétérosexuel, ni pédophile. Je pense que nous sommes façonnés, non pas par nos gènes, mais par notre environnement, par les conditions familiales et socio-historiques dans lesquelles nous évoluons.
N. S. : Je ne suis pas d'accord avec vous. J'inclinerais, pour ma part, à penser qu'on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1 200 ou 1 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable. Prenez les fumeurs : certains développent un cancer, d'autres non. Les premiers ont une faiblesse physiologique héréditaire. Les circonstances ne font pas tout, la part de l'inné est immense.
Darcos au secours de Jean Sarkozy
AFP, 14/10/2009 | Mise à jour : 09:12
Le ministre du Travail Xavier Darcos a volé à son tour aujourd'hui au secours du fils du chef de l'Etat, Jean Sarkozy, dont la probable accession à la tête de l'Epad, l'établissement public de La Défense (Hauts-de-Seine), continue de susciter le malaise y compris à l'UMP. "Je peux comprendre que, lorsqu'on a soi-même des enfants à aider dans leur carrière, ce soit difficile à comprendre, mais cette affaire au demeurant est pour moi incompréhensible", a déclaré M. Darcos sur Canal +. "Où est le problème? Il a été élu par le peuple conseiller général, président de son groupe par des conseillers généraux, il sera vraisemblablement élu par le conseil d'administration de l'Epad, ça s'appelle la démocratie", a défendu M. Darcos. Dénonçant un "climat délétère et répugnant qui cherche à cibler les personnes au lieu des sujets, souvent d'ailleurs alimenté par l'extrême-droite", M. Darcos a invité à "ne pas faire un délit de sale nom auprès de Jean Sarkozy ou un délit d'anti-jeune". Répondant aux critiques sur l'âge (23 ans) et la formation de Jean Sarkozy, M. Darcos a répondu qu'il y avait "11.500 élus de moins de 25 ans en France".
Une bafouille à Nicolas Sarkozy, Président de la République Française
Ajout du 17/10 ; la Poste se porte plutôt bien, mais où est la signature ?
Ajout du 14, peu après 13h. Ce matin, dans les différentes sections de mon blog ou de ce site, j'ai remarqué que mes compteurs et mes statistiques se sont ponctuellement affolés. Sur le site de la Poste, je peux lire que le « courrier » n° 1A03584482637 (Lettre recommandée AR) été remis contre signature du destinataire (ou de son représentant dûment mandaté). Il y a maintenant différentes options possibles. L’enveloppe a pu arriver vide car, en effet, la Poste a pu éparpiller tout son contenu. Au château, certains pourraient encore faire l’autruche, mais maintenant, avec des suppos dans son cabinet ou parsemés dans ses couloirs ? Le cabinet du Président pourrait aussi faire suivre, voire même, pourquoi pas, me répondre et me prier de leurs envoyer plus de suppos ? En décembre dernier, la Cour de cassation rappelait des textes « organiques ». Ces suppos, un laxatif, pourraient-ils être un remède ad' hoc ? Aux plus tatillions, je réponds déjà que, oui, je sais, de tels suppos pourraient aussi servir à tout autre chose... Je n’attends qu’une très hypothétique et improbable suite à cet ultime envoi, à l’attention de Monsieur Nicolas Sarkozy, Président de la République Française, Président du Conseil Supérieur de la Magistrature également. A mon avis, tout sera encore étouffé en décembre prochain, à la cour d’appel de Versailles, à huis clos, en chambre du conseil, « dans l’intérêt de l’enfant », ma fille aînée Justine.
Ajout du 14, au matin... Le Canard du jour ou ce n° 4642 s'annonce succulent, un must have. Selon la Poste, le « courrier » à l'attention de notre chantre est arrivé au bureau distributeur de PARIS (75008) le 14/10/2009.
Ajout du 13 en soirée... Pour le moment et tout en constatant que Jean a des droits, y compris celui d'avoir de nombreux soutiens, y compris par l'intermédiaire de tribunes dans des médias, selon le service de suivi de la Poste, je constate aussi que ma correspondance et ses pièces jointes ne sont pas encore arrivées au château.
La presse étrangère raille "Sarko junior" et la "république bananière française"
LEMONDE.FR | 12.10.09 | 18h04 • Mis à jour le 12.10.09 | 21h34
Sur le Monde encore, daté du 13 : "Tout ce qui livre en pâture une personne, sans fondement et de façon excessive, ce n'est jamais bien", a déclaré Nicolas Sarkozy, mardi 13 octobre, à propos de la polémique qu'a suscitée l'accession de son fils, Jean, à la tête de l'Etablissement public d'aménagement de La Défense (EPAD). Selon AFP et une dépèche du 13 reprise par le Figaro.fr, Henri Guaino, conseiller spécial de Sarkozy, a affirmé ce matin que Jean Sarkozy, probable futur président de l'Etablissement public de la Défense (Epad), n'avait "pas moins de droits" que les autres "parce qu'il (était) le fils du président". Par AP, le 13... Se présentant comme "un élu comme les autres", Jean Sarkozy, a maintenu lundi sa candidature à la présidence de l'Etablissement public de La Défense (EPAD), estimant que son devoir "n'est pas d'attendre mais de prendre des responsabilités". A écouter sur RTL info : Quand Nicolas Sarkozy critique la formation d'élites par la naissance...
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause... Un son « explicite », posté en septembre dernier.
Je pense qu'à partir de lundi, tout va encore tanguer, comme d'habitude. Car lorsque je me fie au flot continu de l'actualité, sur plusieurs années, il ne serait jamais opportun de poster, de publier ni d'interpeller qui que ce soit.
Certains pourraient sous peu faire « ouin », geindre. Je les rassure, immédiatement. Personne n'aura à être jaloux des destinataires de cette bafouille et de ses pièces jointes. On trouve ces mêmes suppos modèles N - ainsi que d'autres, pour beaucoup plus âgés - dans n'importe quelle bonne pharmacie. Il faudra veiller à bien lire la notice.
Lettre ouverte
Bagneux, le 10 octobre 2009
Monsieur Nicolas Sarkozy,
Président de la République Française,
Depuis quelques temps, des correspondances que je vous adresse semblent toutes rester lettre morte. Pourtant, selon les accusés de réception de la Poste, ces correspondances seraient toutes bien arrivées à l’Elysée.
Les services de la Poste ainsi que ma propre boite aux lettre me donnent très généralement entière satisfaction. Je suis donc étonné et même parfois inquiet lorsque je constate qu’il ne me parvient plus jamais la moindre réponse type de la part de votre cabinet – avons pris connaissance blabla, faisons suivre...
Bientôt 20 ans
Il m'a semblé que la France nous prépare encore une grande fête, celle des 20 ans de la CIDE. Pour le soixantenaire de la DUDH, j'avais organisé un petit rassemblement, aux abords de la BNF. Pas grand monde ne s'était déplacé mais l'ambiance était très conviviale, autours d'un petit autodafé de livres inexploitables dans ce pays.
Pour cette fête-ci, je vais sortir dans Paris, avec un mégaphone. J'ai maintenant été assez sage, le substitut Felicis et des juges de Nanterre ou de la cour d'appel de Versailles ne pourront pas marteler le contraire, je n'y avais plus sorti mes banderoles depuis des mois. J'attends encore de découvrir où et quand se rassembleront les officiels, s'ils quitteront leurs beaux salons feutrés. Car je suppose qu'ils vont eux-même être de la partie, dans l'espace public ? La dernière grande fête de la Dass avait été organisée tout ailleurs, loin de Paris, dans un espace privé.
Par chance, nous ne vivons pas encore en Chine. Nous ne sommes toujours qu'en France, quelque part entre le bas moyen âge et le troisième millénaire, peut être encore sous l'Ancien régime, à moins qu'une quelconque variante postsociale ou néo 1838, et nous jouissons toujours de la possibilité de nous exprimer assez librement dans la rue.
Comme pour la fête de la DUDH, je déclarerais très officiellement cette sortie auprès de la préfecture de Paris. Ce sera le minimum si je ne souhaite pas passer quelques heures tout nu, chez les fous, pour avoir parlé ? Je suis plutôt confiant. Sauf Tour de France, dans Paris, sous haute surveillance, lors de mes sorties, je n'ai jamais eu de réelles difficultés avec les forces de l'ordre, les autorités ou l'administration, bien au contraire.
Avec ce billet-ci, les éditions Dalloz pourraient se fâcher tout rouge, comme certains de leurs épais pavés... et de vrais professionnels et des élus aussi ? Ce sera peut-être une opportunité d'initier de réels débats alors que je ferais encore la promotion d'un son. Je rappelle aussi à ces mêmes sphères que plusieurs de mes billets n'ont toujours pas été commentés. Le pasteur d'Uhrwiller en pensera et en dira ce qu'il voudra ; malgré les pressions des juges, je ne vais pas me convertir et je lui lance déjà un très sobre bruit que je sais faire avec un grand sourire : prout.
Ajout du 14 au soir... J'ai adapté la petite bannière sur la gauche, sous le calendrier, afin de soutenir moi aussi l'enfant « pré-désigné ». A ce sujet, voir, entre autres, Epad : 4 000 signatures contre Jean Sarkozy ?
Voir Fin des vacances, début mai 2009
Extraits du communiqué de presse de la Cour des comptes relatif à la parution du rapport publique thématique "La protection de l'enfance" d'octobre 2009 : Une remise en cause radicale de l’organisation actuelle n’est ni opportune ni souhaitable. En revanche, les dysfonctionnements relevés au cours de l’enquête montrent que tous les acteurs doivent veiller ensemble à améliorer la qualité des prises en charge sur la base des bonnes pratiques et des formules innovantes recensées par la Cour. [...] L’offre de prise en charge évolue trop peu et trop lentement, sans prendre suffisamment en compte les dispositifs les plus innovants. Les départements ne doivent plus se contenter de financer les structures existantes : ils doivent fixer aux établissements et aux services de prise en charge des mineurs des objectifs précis, notamment pour le traitement des situations les plus difficiles, procéder à des appels à projets pour choisir leurs prestataires, conclure des conventions avec les associations qui exécutent les mesures et les contrôler. Ainsi, la nature exacte des mesures de prévention ou d’aide à domicile est trop souvent laissée à l’appréciation des associations qui les exécutent. Leur contenu devrait être défini au préalable avec beaucoup de soin. Un effort spécifique doit être entrepris au bénéfice d’enfants placés qui ont besoin d’autres types de soutien (pédopsychiatrie, handicap...)
Pour le rapport de 180 pages et de plus amples informations, visiter http://www.ccomptes.fr.
L'histoire se répète
J'avais déjà demandé de l'aide, dès la fin 2002, puis Justine a fini « placée ». Depuis j'avais fait plusieurs signalements, entre 2003 et la mi-2005. Mais Justine avait ensuite fini par disparaitre, pendant de très longues années. Depuis peu, Justine ne souhaiterait à nouveau plus vivre avec nous, un peu comme à l'automne 2005 ?
Ici, sa chambre réaménagée au cours de cet été, avec elle, à son gout, restera donc pour le moment vide. En 2005, divers projets sont aussi tombés à l'eau... demander de l'aide dans ce pays qui semble parfois être complètement noyauté par des camaraderies, je crois qu'il vaut mieux éviter. Ne surtout pas solliciter la Dass...
Bref, on a donc « perdu », encore une fois ; tout était alors parfaitement justifié et motivé quand même, M. Kant a fait tout ce cinéma pour rien ? Ce qui se trame maintenant va sûrement rassurer tout le monde, notamment certains professionnels de la Dass ainsi que d'autres moralistes ou apôtres - relire le doyen Carbonnier, son essai sur les lois.
There's nothing to do and there's nothing to say... je lis et j'écoute Lily Allen, It's Not Me, It's You, ça me détend.
Aujourd'hui, bientôt fin 2009, la situation est totalement différente. Justine a déjà 16 ans et depuis peu, les juges ne lisent plus dans ses larmes, versées à l'audience, comme le ferait un guru, lisant dans des entrailles d'un poulet, mais pour un résultat ou des effets présentant pourtant d'étranges similitudes.
Pour ce qui suit, un poème de la fin 2005, voir au mois de mars 2008 ; ont suivis depuis cette procédure de prise à parti, un véritable ovni judiciaire, puis un arrêt de cassation qui me donnait donc entière satisfation. Depuis, nous avons surtout pu passer cet été 2009 en famille, avec nos deux enfants, à peu près comme tout le monde.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause we hate what you do, And we hate... Un son « explicite ».
Je peux maintenant tourner une page. J'ai crée une nouvelle section pour un épilogue, un blog « à l'envers ».
Voilà l'automne
Les cartes et clefs USB sont postées. Si ces divers services en panne dysfonctionnent aussi mal que d'habitude, ces envois seront dès demain matin chez leurs destinataires respectifs. J'en saurais plus ultérieurement, lorsque je recevrais les accusés de réception. Par précaution, ce matin, je suis allé au greffe du juge des tutelles. J'y ai déposé une copie de ce que je lui fais parvenir ; voir mon billet du 18.
Ce 23 au soir, Monsieur Nicolas Sarkozy devrait être l'invité des journaux de 20h de TF1 et de France 2, en direct de New York. Ce soir là, j'ai déjà prévu de filer me distraire au ciné.
Un son « explicite », des cartes de visite et une correspondance
Au juge des tutelles
Son greffier doit impatiemment attendre que je lui écrive, il souhaitait ma réponse pour le 15 courant. Mais je n'ai pas eu le temps entre tous ces trucs à faire ou à lire. Cette semaine, sur un mur d'une entreprise, j'ai relu quelques citation supposées renforcer l'esprit d'innovation et la créativité du personnel. Parmi d'autres, j'ai retenu cette phrase de Michel-Ange : « Le plus grand danger pour la plupart d’entre nous n’est pas que notre but soit trop élevé et que nous le manquions, mais qu’il soit trop bas et que nous l’atteignons. » J'adore ces citations... de débiles ?
Il y a peu, dans le forum du Monde, un certain Ancistrus2 affirmait qu'il n'y [aurait] plus de justice dans ce pays. Je lui ai répondu que dans un tel cas, « on répond avec une plume ou une carotte. Je pense que dans certaines situations, vraiment grotesques, on pourrait même répondre sans gène avec des tampons taillés dans une patate. Je crois d'ailleurs que je vais tailler un tampon pour répondre sous peu au juge des tutelles. »
C'est fait. Je crois que je vais simplement imprimer et expédier ce qui suit ; il parviendra une copie au juge pour enfant. J'en remettrais une copie à la cour d'appel de Versailles, au Président de la chambre des créatures inférieures. Un juge des tutelles, ça a un peu plus les pieds sur terre, parfois même ancrés dans le cadastre... Je suis curieux de sa réaction. Par le passé, j'avais beaucoup aimé travailler avec lui.
Mais au train où vont certaines choses lorsque sa justice est saisie, je ne sais pas si le juge des tutelles me sera encore utile pour faire avancer mes affaires. Certaines avancent d'elles mêmes, tout à fait naturellement. Les autres concernent très directement, sinon principalement, ma fille aînée Justine. Dans moins de deux ans, Justine sera déjà majeure, peut-être livrée à elle-même ainsi qu'à de bons conseils...
D'après le greffier du juge des tutelles, je suis sous contrôle judiciaire. Je répondais à Ancistrus2 que « c'est à peu près tout ce qui doit être sous contrôle dans mes affaires. » Le reste, de mon point de vue, c'est juste étouffé.
Voir L'alibi généralisé de la notion de l'intérêt de l'enfant
Monsieur le juge des tutelles,
Cet été, en pleine période estivale, me rappelant que je suis l'administrateur légal des biens de ma fille aînée Justine Kant et que je suis sous contrôle judiciaire, votre greffier m’a prié de vous faire parvenir un état détaillé de ses biens et revenus.
Je n’ai pas d’informations récentes relatives au compte bancaire de ma fille Justine, à la Caisse d’Epargne. Je vais à nouveau solliciter cette banque et m’assurer que « inconnu » n’est pas réintervenu sur ce compte de ma fille. Je vous informerais si cette banque m'opposait encore une fois le secret bancaire et si elle persistait à nouveau dans son refus de me répondre.
[...] Par le passé, j’avais déposé un certain nombre de plaintes mais celles-ci ont toutes été classées, dépouillées de leurs éléments matériels ou sont restées sans suites connues. J'avais informé le juge des tutelles. Depuis, et après relance, je n’ai plus sollicité le Procureur de la République à ces sujets, la démarche me paraissait vaine.
[...] Cet été, votre greffier me demandait donc de vous retourner un épais formulaire dument rempli. Mais comme la justice ne coopère manifestement pas avec moi, bien au contraire, et que personne ne me tient informé, dans l'immédiat et peut-être pour un moment encore, je ne pourrais pas satisfaire cette demande votre greffier - voir les motifs précédemment exposés.
[...] Par ailleurs, je vous joins à la présente la copie d'un arrêt de rejet - mais motivé - rendu en décembre dernier, par la première chambre civile de la cour de cassation. L'arrêt rappelle des textes organiques et le statut de la magistrature. Plusieurs juges ainsi que le ministère public ont pu être surpris par cette issue qui me donnait entière satisfaction. Depuis, j'ai déclaré un second pourvoi. J'ai également fait appel de la dernière décision rendue par le juge pour enfant ; la cour d'appel a convoqué pour ce 11 décembre prochain. Il y a peu, j'ai aussi communiqué des éléments nouveaux au juge pour enfant ; aujourd'hui, je reste dans l'attente de sa réponse, souhaitant qu'il me convoque bientôt, avec ma compagne.
J'expédie un son
Des suspects, des condamnés et même des terroristes peuvent expédier toutes sortes de choses, un peu partout. Il leurs arrive parfois d'être entendu, des radios peuvent même relayer certaines informations. Je crois qu'on recherche encore la « cellule 34 » et que certains services très spécialisés souhaiteraient, un jour, enfin la recevoir ?
De temps en temps, je poste aussi des trucs. Pourquoi m'en priverais-je ? En début d'année, j'ai expédié un poussin à sa chancellerie. Je n'ai jamais eu de réponse. Par contre, à peine plus tard, j'ai pu rencontrer ma fille aînée. Puis cet été, elle a pu passer quasi toutes ses vacances scolaires avec nous, en famille, et renouer avec des amis aussi.
Je n'expédie pas le son de ce billet-ci, mais celui que j'ai publié dans ce même blog, dans la nuit de samedi à dimanche dernier. Il [me] plait beaucoup. Comme prévu, je l'expédie avec des cartes de visites, à l'attention :
• du Garde des Vélodromes Sceaux,
• de l'Agence France Frousse Presse,
• du Président de la chambre spéciale des créatures inférieures mineurs
Certains de mes lecteurs ont pu remarquer que j'ai quatre clefs USB à poster. La quatrième parviendra évidement au château. Les uns vont ricaner tandis que d'autres pourraient s'émouvoir en pensant qu'un tel son parviendra bientôt à Monsieur Nicolas Sarkozy, notre chantre. Mais que tout le monde se ravise ou se rassure. Pourvu que la Poste ne tombe pas en panne et la quatrième clef parviendra au château, à l'attention du Président de la République Française.
Je pensais d'abord ajouter quelques broutilles sur ces clefs de 2 giga. Mais je vais m'abstenir, les destinataires en trouveront bien assez dans ce blog. Je ne souhaite pas les embrouiller ni passer encore une fois pour un imbécile en joignant, par exemple, cet extrait du Parisien qui nous rapportait des propos prêtés à MAM. Ce son et mes cartes de visite, ce sera amplement suffisant et, à mon humble avis, certainement très « explicite ».
Des clefs USB et un Monde récent
"Marianne" a reçu une lettre de cavale de Jean-Pierre Treiber
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 17.09.09 | 20h01 • Mis à jour le 17.09.09 | 20h56
Scientologie : tollé dans la magistrature après la modification de la loi
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 16.09.09 | 14h33
Quand Jean-Pierre Treiber écrit à la presse
France Info - 20:46, un son
Périco Légasse,
chroniqueur culinaire à Marianne et destinataire de la lettre attribuée à Jean Pierre Treiber (0'45")