Mot(s) clef: jean sarkozy
Une bafouille à Nicolas Sarkozy, Président de la République Française
Ajout du 17/10 ; la Poste se porte plutôt bien, mais où est la signature ?
Ajout du 14, peu après 13h. Ce matin, dans les différentes sections de mon blog ou de ce site, j'ai remarqué que mes compteurs et mes statistiques se sont ponctuellement affolés. Sur le site de la Poste, je peux lire que le « courrier » n° 1A03584482637 (Lettre recommandée AR) été remis contre signature du destinataire (ou de son représentant dûment mandaté). Il y a maintenant différentes options possibles. L’enveloppe a pu arriver vide car, en effet, la Poste a pu éparpiller tout son contenu. Au château, certains pourraient encore faire l’autruche, mais maintenant, avec des suppos dans son cabinet ou parsemés dans ses couloirs ? Le cabinet du Président pourrait aussi faire suivre, voire même, pourquoi pas, me répondre et me prier de leurs envoyer plus de suppos ? En décembre dernier, la Cour de cassation rappelait des textes « organiques ». Ces suppos, un laxatif, pourraient-ils être un remède ad' hoc ? Aux plus tatillions, je réponds déjà que, oui, je sais, de tels suppos pourraient aussi servir à tout autre chose... Je n’attends qu’une très hypothétique et improbable suite à cet ultime envoi, à l’attention de Monsieur Nicolas Sarkozy, Président de la République Française, Président du Conseil Supérieur de la Magistrature également. A mon avis, tout sera encore étouffé en décembre prochain, à la cour d’appel de Versailles, à huis clos, en chambre du conseil, « dans l’intérêt de l’enfant », ma fille aînée Justine.
Ajout du 14, au matin... Le Canard du jour ou ce n° 4642 s'annonce succulent, un must have. Selon la Poste, le « courrier » à l'attention de notre chantre est arrivé au bureau distributeur de PARIS (75008) le 14/10/2009.
Ajout du 13 en soirée... Pour le moment et tout en constatant que Jean a des droits, y compris celui d'avoir de nombreux soutiens, y compris par l'intermédiaire de tribunes dans des médias, selon le service de suivi de la Poste, je constate aussi que ma correspondance et ses pièces jointes ne sont pas encore arrivées au château.
La presse étrangère raille "Sarko junior" et la "république bananière française"
LEMONDE.FR | 12.10.09 | 18h04 • Mis à jour le 12.10.09 | 21h34
Sur le Monde encore, daté du 13 : "Tout ce qui livre en pâture une personne, sans fondement et de façon excessive, ce n'est jamais bien", a déclaré Nicolas Sarkozy, mardi 13 octobre, à propos de la polémique qu'a suscitée l'accession de son fils, Jean, à la tête de l'Etablissement public d'aménagement de La Défense (EPAD). Selon AFP et une dépèche du 13 reprise par le Figaro.fr, Henri Guaino, conseiller spécial de Sarkozy, a affirmé ce matin que Jean Sarkozy, probable futur président de l'Etablissement public de la Défense (Epad), n'avait "pas moins de droits" que les autres "parce qu'il (était) le fils du président". Par AP, le 13... Se présentant comme "un élu comme les autres", Jean Sarkozy, a maintenu lundi sa candidature à la présidence de l'Etablissement public de La Défense (EPAD), estimant que son devoir "n'est pas d'attendre mais de prendre des responsabilités". A écouter sur RTL info : Quand Nicolas Sarkozy critique la formation d'élites par la naissance...
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause... Un son « explicite », posté en septembre dernier.
Je pense qu'à partir de lundi, tout va encore tanguer, comme d'habitude. Car lorsque je me fie au flot continu de l'actualité, sur plusieurs années, il ne serait jamais opportun de poster, de publier ni d'interpeller qui que ce soit.
Certains pourraient sous peu faire « ouin », geindre. Je les rassure, immédiatement. Personne n'aura à être jaloux des destinataires de cette bafouille et de ses pièces jointes. On trouve ces mêmes suppos modèles N - ainsi que d'autres, pour beaucoup plus âgés - dans n'importe quelle bonne pharmacie. Il faudra veiller à bien lire la notice.
Lettre ouverte
Bagneux, le 10 octobre 2009
Monsieur Nicolas Sarkozy,
Président de la République Française,
Depuis quelques temps, des correspondances que je vous adresse semblent toutes rester lettre morte. Pourtant, selon les accusés de réception de la Poste, ces correspondances seraient toutes bien arrivées à l’Elysée.
Les services de la Poste ainsi que ma propre boite aux lettre me donnent très généralement entière satisfaction. Je suis donc étonné et même parfois inquiet lorsque je constate qu’il ne me parvient plus jamais la moindre réponse type de la part de votre cabinet – avons pris connaissance blabla, faisons suivre...
Après la rupture, la grande déchirure ou ce phénomène cubain ?
Ce matin, au cours d'une revue de presse par France Info, j'ai appris que les couples et familles françaises seraient à présent effectivement confrontés au phénomène du divorce « à la cubaine ». Ce que je préssentais pourrait donc bel et bien se produire, d'ici très peu de temps : des batailles à couteaux tirés, sur les mêmes territoires ? Il me faut le Parisien du jour, un ultime collector.
Demain, le château devrait donc recevoir des suppos à distribuer à ses résidents. Contrairement à fiston Jean, je ne suis pas en seconde année de droit, je crois qu'ils le savent. J'attends d'éventuelles réactions.
Société
COUPLE
Ils sont séparés mais doivent vivre sous le même toit
Le Parisien | 12.10.2009, 07h00, extrait
Il y a ceux qui aménagent une chambre dans le bureau, ceux qui choisissent l’option clic-clac dans le salon, ceux qui se croisent matin et soir et ceux qui s’arrangent pour ne même plus se voir… De plus en plus de conjoints « séparés » sont contraints de cohabiter. Rien de comparable avec ces modus vivendi « pour sauver la face » dont se sont accommodées bien des générations passées… Ce sont les effets conjugués de la crise économique et du marché de l’immobilier qui obligent désormais les couples à rester sous le même toit. « Sur la trentaine de dossiers de divorce que je traite chaque mois, cinq ou six couples décident de reporter ou tout simplement d’annuler leur projet quand ils prennent conscience du coût d’une séparation, affirme ainsi Me Michel Apelbaum, un avocat parisien. Ils ne peuvent tout simplement pas assumer ça maintenant. »
Polémique autour de l'arrivée de Jean Sarkozy à l'Epad
J.B. (lefigaro.fr) Avec AFP et AP
12/10/2009 | Mise à jour : 08:57, extraits
Si Jean Sarkozy «ne portait pas le nom qu'il porte, est-ce qu'il serait à la place à laquelle il est aujourd'hui ?», s'est ainsi interrogée Royal. «La République, c'est quoi ? C'est la reconnaissance des places de chacun en fonction de ses mérites propres, pas en fonction du nom qu'il porte», a-t-elle lancé. La présidente de Poitou-Charentes a aussi fait allusion aux «enjeux», selon elle, de cette nomination. «Ça peut toujours servir avant une prochaine élection présidentielle, si vous voyez ce que je veux dire, de détenir ainsi des clefs et de brasser des milliards d'euros», a-t-elle lâché, sans en dire plus. [...] Même tonalité dans les critiques de Cécile Duflot. «Dès qu'on sort des limites de l'Hexagone, les gens trouvent ça juste invraisemblable, inouï», a déclaré la secrétaire nationale des Verts. «Il ose tout. Après, tout le monde plie parce qu'il a le nom qu'il a», a-t-elle ajouté tout en soulignant que «les gens (ne doivent pas) être victimes de leur nom» et que Jean Sarkozy «a le droit d'avoir une vie politique bien qu'il soit le fils de son père». Quant à Laurent Fabius, il a manié l'ironie sur France Inter lundi : «Il nous faut un juriste, il est en deuxième année de droit ; il faut quelqu'un qui connaît bien les affaires, je suis sûr qu'il a des prédispositions ; et puis Martin Hirsch a présenté un plan de promotion des jeunes, Jean Sarkozy rentre dans ce cadre». Comparant dans une interview au Monde la France de Nicolas Sarkozy à l'Empire romain, le patron du MoDem, François Bayrou, en a également profité pour dénoncer cette nomination.
Un certain Jean Sarkozy, un « héritier qui dérange » ?
Je pense que mes discours et mes écrits dérangent beaucoup eux aussi, depuis très longtemps, y compris lorsque j'écris au juge des tutelles avec un tampon taillé dans une patate ou même lorsque j'écris ou envoie des trucs au château et à sa chancellerie. Des juges m'avaient intimé de faire brûler mes dossiers, de supprimer mon blog, de tout oublier... et d'aller voir un psy. J'ai désobéi, j'ai écrit plus et, depuis, j'ai empilé plus de papier encore.
Les français sont parmi les plus douillets de l'Europe ? Peut-être est-ce pour cela que la Dass a inculqué à Justine que la médecine, ça ne sert pas à faire soigner les enfants, ça sert juste à disculper des professionnels de la Dass. Je ne suis pas sûr que Justine, encore un peu jeune pour en juger, a perçu que la médecine, le droit et le savoir en général ont aussi beaucoup servis à ces mêmes professionnels pour motiver « mieux » leurs décisions, jugements ou arrêts et « bien » noircir son papa. Polanski tombe malade ? C'est un français, il est probablement trop douillet...
Jean, « un papa absent et une maman gravement malade, protectrice » ? Il n'a jamais été placé, malgré le divorce de ses parents ? Jean aurait un moment été « soudé » à son frère ? La Dass n'a pas d'antenne à Neuilly sa mère ?
C'est quoi, ce son, de RTL ? Ne sont-ils pas un peu taquins dans cette rédac' ?
RTL info | Politique | 13 oct. 2009 | Màj 20h29
Quand Nicolas Sarkozy critique la formation d'élites par la naissance...
Nicolas Sarkozy a salué mardi en la naissance des lycées en 1802 "le geste fondateur de notre éducation nationale", qui signifiait "la fin des privilèges de la naissance". Une déclaration faite à l'occasion de la présentation à l'Elysée de la réforme des lycées. Une phrase qui prend surtout du relief [???] que la polémique fait rage sur le projet de nomination de son fils de 23 ans, étudiant en deuxième année de droit, à la tête de l'établissement public d'aménagement du quartier d'affaires de la Défense (Epad). Une polémique que le Président juge "sans fondement" et "excessive".
Sur RTL, on peut aussi écouter l'opinion et le plaidoyer de Charles Pasqua, en faveur de Jean, « un garçon brillant » [NDLR: Charles est lui même plutôt âgé, il parle donc d'un « garçon » qui débute, en fac de droit], « aux qualités exceptionnelles », qui se serait déjà « énormément documenté, formé, sur tous les problèmes ». On apprend que Jean a « les mêmes qualités de dynamisme que son père » [NDLR: de ce père absent ou vu à la télé?] mais aussi autre chose en lui, qu'il a aussi, « probablement, une bonne part des qualités de sa mère » [NDLR: c'est à dire?]. Charles Pasqua nous assure que Jean sera à sa place, avec d'autres, à la tête de l'EPAD. Dans cet interview de Charles Pasqua, on apprend également que Jean a été « pré-désigné » par le groupe UMP du conseil général, pour être membre du conseil d'administration de l'EPAD. Jean n'aurait-il pas été « élu » par ce groupe ? Que signifie au juste avoir été « pré-désigné » par un groupe de l'UMP, c'est génétique ?
Ajout du 14... entendu sur France Info, peu après 9h00, Jean qui parle et nous dit qu'il a été élu ; je n'ai pas pu enregistrer le début du son au cours duquel il nous dit bien qu'il n'a pas été « nommé ». Jean nous dit peut être surtout qu'en France ou dans la République de son papa, nous avons des lois, très certainement les mêmes pour tout ceux qui ont un scooter et qui portent les codes de Nicolas Sarkozy :
Le Parisien du jour nous reparle encore d'Outreau et de sa justice. Je pensais qu'il s'agissait également d'un épisode à effacer de nos mémoires... Les français sont « méfiants » lorsqu'on leurs parle de sa justice ?
Le Monde du 14, « le surendettement frappe toujours plus »
Une soeur trisomique : « un antécédent familial », selon sa magistratüre
Le tréma ou l'Umlaut de « sa magistratüre » n'est pas une faute de frappe. J'assume ; ce billet aussi. Je ne cherche pas à récolter des points goodwin, je les laisse au SNEP. J'assume, tout simplement, comme ce billet.
Avec ce faire part, plus bas, d'une AFAEI, chez Dalloz ainsi qu'à la HALDE ou à la FNATH, des pros comprendront peut-être un peu mieux pourquoi, en décembre dernier, leur fumeux et tout nouveau Code du handicap flambait, par dessus deux autres ouvrages ? J'assume cet autodafé de livres inexploitables, tout autant que ce billet-ci.
Mi avril 2008, Madame Laurence Ballet, Directrice juridique des éditions Dalloz, m'avait fait l'honneur d'un commentaire alors que je ne comprenais pas bien ce que m'avait écrit le juge Xavier Serrier. Je me demande si les éditions Dalloz commenteront un jour ce billet-là à moins que celui-ci. Il en reste, des pros, sur la toile ?
Ces deux faire part, à la suite, sont publics. Ils sont parus dans un grand quotidien régional. Même le corbeau de l'histoire, une tata de la Dass, et sa soeur, le pasteur d'Uhrwiller, pourraient s'aventurer à les commenter. Le pasteur d'Uhrwiller n'a jamais constesté aucune décision de Nanterre, bien au contraire. Qu'en diront les spécialistes plus laïques de l'OSE France ainsi que la Direction de cette même association qui oeuvre elle également dans ces domaines du dit « handicap mental », mais plutôt et historiquement en faveur de certaines catégories socio-cultuelles ? Le pasteur d'Uhrwiller a déjà été assez clair avec moi : la « polémique », ça ne l'intéresse pas ; d'après ce que j'ai pu constater, les débats devant la cour d'appel, ça ne l'intéresse pas trop non plus.
Le second faire part, de l'AFAEI, va pouvoir constituer une belle « preuve » pour deux intellectuels putéolois, ils pourront l'ajouter à leur dossier « psychiatrique » me concernant. Nous ne pourrons que « mieux » situer la qualité de certaines expertises socio-judiciaires : de comptoir voire de cours de récré de primaire, d'il y a plus de 30 ans.
Maître Delphine Roughol me dira encore qu'on expose pas « la vie privée de Justine », pas comme ça ? La réponse que je lui ferais sera tout aussi simple que celle que j'adressais il y peu, au pasteur d'Uhrwiller : prout.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause... Un son « explicite », posté en septembre dernier.
Dialogue
Nicolas Sarkozy et Michel Onfray - Confidences entre ennemis
D'un côté, un philosophe athée, antilibéral, hédoniste et libertaire. De l'autre, un candidat à la présidentielle n'hésitant pas à remettre en cause la loi sur la séparation de l'Église et de l'État, un ministre de l'Intérieur rêvant au rétablissement de l'autorité. À notre initiative, les deux hommes se sont rencontrés. On s'attendait à un choc frontal, il a été question de la croyance, du mal, de la liberté, de la transgression. Voici un court extrait du dialogue qui a provoqué la polémique dans les semaines précédant le premier tour de l'élection présidentielle. Le dialogue intégral, sur 8 pages, est publié dans Philosophie magazine n°8.
M. O. : Je ne suis pas rousseauiste et ne soutiendrais pas que l'homme est naturellement bon. À mon sens, on ne naît ni bon ni mauvais. On le devient, car ce sont les circonstances qui fabriquent l'homme.
N. S. : Mais que faites-vous de nos choix, de la liberté de chacun ?
M. O. : Je ne leur donnerais pas une importance exagérée. Il y a beaucoup de choses que nous ne choisissons pas. Vous n'avez pas choisi votre sexualité parmi plusieurs formules, par exemple. Un pédophile non plus. Il n'a pas décidé un beau matin, parmi toutes les orientations sexuelles possibles, d'être attiré par les enfants. Pour autant, on ne naît pas homosexuel, ni hétérosexuel, ni pédophile. Je pense que nous sommes façonnés, non pas par nos gènes, mais par notre environnement, par les conditions familiales et socio-historiques dans lesquelles nous évoluons.
N. S. : Je ne suis pas d'accord avec vous. J'inclinerais, pour ma part, à penser qu'on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1 200 ou 1 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable. Prenez les fumeurs : certains développent un cancer, d'autres non. Les premiers ont une faiblesse physiologique héréditaire. Les circonstances ne font pas tout, la part de l'inné est immense.
Darcos au secours de Jean Sarkozy
AFP, 14/10/2009 | Mise à jour : 09:12
Le ministre du Travail Xavier Darcos a volé à son tour aujourd'hui au secours du fils du chef de l'Etat, Jean Sarkozy, dont la probable accession à la tête de l'Epad, l'établissement public de La Défense (Hauts-de-Seine), continue de susciter le malaise y compris à l'UMP. "Je peux comprendre que, lorsqu'on a soi-même des enfants à aider dans leur carrière, ce soit difficile à comprendre, mais cette affaire au demeurant est pour moi incompréhensible", a déclaré M. Darcos sur Canal +. "Où est le problème? Il a été élu par le peuple conseiller général, président de son groupe par des conseillers généraux, il sera vraisemblablement élu par le conseil d'administration de l'Epad, ça s'appelle la démocratie", a défendu M. Darcos. Dénonçant un "climat délétère et répugnant qui cherche à cibler les personnes au lieu des sujets, souvent d'ailleurs alimenté par l'extrême-droite", M. Darcos a invité à "ne pas faire un délit de sale nom auprès de Jean Sarkozy ou un délit d'anti-jeune". Répondant aux critiques sur l'âge (23 ans) et la formation de Jean Sarkozy, M. Darcos a répondu qu'il y avait "11.500 élus de moins de 25 ans en France".
Cali méro ca li méro... ou l'autruche ?
Je l'avais déjà relu ou entendu encore cette semaine, peut-être sur France Info ou sur RTL. Notre hyper chantre à la tête de tout s'implique et se sent maintenant très directement concerné, ou « visé » même, par tout ce qui se trame, grouille, grenouille ou gargouille autours de lui ? Cela me parait assez naturel. Il y a quelques temps, le comparant à ses prédécesseurs, des spécialistes ont estimé qu'il s'était trop exposé. Le titre de l'article et de cet interview du Figaro est un choix étrange bien que ce sujet, les droits de Jean, l'enfant « pré-désigné », soit depuis quelques jours un sujet d'actualité. On aurait pu parler plutôt de la crise ou de sa justice, l'institution et ses moyens, certaines méthodes ou pratiques archaïques, mais nous parlerons donc plutôt de lui, « visé ». Pourquoi pas ? J'avais pour ma part bel et bien l'intention de l'interpeller avec les faibles moyens dont je dispose. M'a-t-il entendu ? J'en doute très fort. Il parle, beaucoup, mais souvent, il n'entend rien du tout. Il aurait pu nous dire qu'il était à Gandrange, qu'il a enfin fini par retrouver cette route là. Ce sera pour une autre fois.
France, vendredi 16 octobre 2009, le Temps, extrait
L’affaire Jean Sarkozy inquiète la droite
L’image du président Nicolas Sarkozy souffre de la promotion éclair de son fils aîné, qui brigue la direction de l’organisme public qui gère La Défense. «C’est très mauvais pour lui»: voilà le jugement d’un familier du pouvoir sur l’impact de «l’affaire Jean» pour Nicolas Sarkozy. L’arrivée de son fils à La Défense inquiète la droite française, d’autant qu’elle intervient dans une «séquence» difficile, marquée, dans les milieux conservateurs, par l’idée que le président a perdu sa boussole morale.
Népotisme, mercredi 14 octobre 2009, le Temps, extrait
Sarkozy, père et fils, contre-attaquent
Le président de la République dénonce ceux qui donnent son fils «en pâture». Ce dernier affiche des ambitions qui dépassent la gestion du quartier d’affaires de La Défense. Les Sarkozy restent droits dans leurs bottes. Loin de reculer face à la polémique, le président et ses proches ont défendu mardi la candidature de Jean Sarkozy à la tête du conseil d’administration de la Défense, ce quartier d’affaires dont les tours géantes dominent Paris. Non seulement l’étudiant en droit de 23 ans a le profil idéal pour ce poste, selon eux, mais il s’apprête déjà à briguer de plus hautes fonctions.
Cette semaine, je pense que le château a bien reçu ses suppos. En général, la Poste fonctionne bien. Aujourd'hui, j'ai même reçu ma convoc pour le 11 décembre, dans l'un de ses prétoires, à Versailles. Pourvu que les autres s'y présentent... Je verrais cela le moment venu. A la cour d'appel de Versailles, j'ai l'habitude de me faire poser des lapins.
Aujourd'hui, j'ai téléphoné au greffe de la chambre des créatures inférieures. J'ai bien décidé de faire appel de la correspondance ou décision récente que me communiquait le juge Thierry Baranger, vers la fin septembre. Comme je l'ai demandé par lettre, le greffier m'a assuré que cet appel sera joint, le 11 décembre prochain, à celui interjeté contre le jugement rendu en juillet dernier, également par le juge Thierry Baranger. Cet appel ne rime pas à grand chose. Je l'aurai préféré partiel, ça pouvait suffire. Mais ce n'est pas possible avec cette infra-justice. J'aurai même préféré une audience chez le juge pour enfant, puis un nouveau jugement, plus adapté à la situation actuelle qui est à nouveau bien différente de juillet dernier. Mais ce n'est pas possible non plus, Donzelot nous l'a bien expliqué en 1977, au siècle dernier : seul les professionnels peuvent faire appel, etc... pas les parents, jamais ; ils doivent plier ou se démettre.
Justine a de nouveau comme disparue. J'ai de bonnes raisons de penser qu'elle est encore comme fâchée contre nous, pour des futilités, une situation que nous avions déjà connue par le passé, plus particulièrement à la fin octobre 2005, avant qu'elle ne disparaisse pendant 3 à 4 longues années. Tout ce qui a pu se faire et se construire depuis septembre 2008 pourrait bien avoir été balayé depuis la fin août ou plutôt, peut-être, depuis la rentrée, tout début septembre. Nous avions déjà construit par le passé. Mais à chaque fois, tout a été balayé. C'est de l'assistance dite éducative, une sorte de peine sans fin, sans jamais aucun procès ni investigations dignes de ce nom, juste des paroles de cafards, des écrits de corbeaux, des avis de psys ou des prêches du pasteur, puis des jugements... détachés de tout, « dans l'intérêt de l'enfant » dont s'occupent les professionnels et les tiers dits « gardiens » et « neutres » ou « dignes de confiance ».
Dans sa dernière correspondance, le juge Thierry Baranger pouvait se vouloir rassurant, il me rappelait que j'exerce toujours l'autorité parentale sur Justine... quels bons princes, ces magistrats. Mais j'aime bien cette lettre et son contenu, c'est un peu plus qu'une réponse et cela change beaucoup des attitudes des juges qui l'ont précédés.
En kiosque | Une droite sans boussole Réhabilitation du travail ou résignation à la “décroissance” sous l’influence des Verts ? À mi-mandat, de solides arbitrages s’imposent. Coupables : de même que ce mot de trop pourrait bien constituer le tournant majeur du procès Clearstream, de même les “couacs” qui se multiplient dans la majorité suggèrent qu’une étape est atteinte dans l’histoire du quinquennat. Celle qui précède, au choix, une prompte reprise en main… ou l’approfondissement des malentendus. Nicolas Sarkozy, pourtant, avait négocié avec un certain bonheur le tournant de la crise. Certes aidé par le calendrier – le rôle de premier plan offert par la présidence française de l’Union européenne, pendant le second semestre de 2008 –, le président avait su, en quelques mois, convertir la droite au retour en force de l’État (soutien aux banques, création d’un ministère de la Relance chargé de superviser l’aide aux secteurs en difficulté) et, du même mouvement, désarmer les critiques d’une gauche toujours prompte à stigmatiser son “ultralibéralisme” présumé. |
Lorsqu'on fait de bonnes coupes dans l'interview du chantre, voir à la suite, on y retrouve des infos plutôt intéressantes. Il nous parle d'abord beaucoup du passé. Pourquoi donc, puisqu'ensuite, il affirme lui-même que « la situation de l'actuelle majorité est bien différente » ? Jean a des droits, comme tout le monde, oui, on le sait bien. Depuis quelques temps, on nous le répète en boucle tout en nous vantant les utopies d'une démocratie et tout le fabuleux de cette République - bannanière, a-t-on encore pu lire, il y a peu, dans des médias. On a beau me dire ou souhaiter me faire croire que tout est différent, comme d'autres, j'ai une expérience qui me fait plutôt penser que notre chantre a une perception eronnée de ces systèmes qui peuvent profiter aux uns et parfois nuire aux autres, notamment aux dits « petits » - pas au petit Jean, il est « pré-désigné ».
Dans le Monde de demain, Plantu nous suggère d'évaluer la télépathie. J'en parlerais à ma cadette, lorsqu'elle redemandera des nouvelles de sa grande soeur. Pour le moment, ma cadette n'en parle plus ; elle est assez futée et fini par connaitre elle aussi les pirouettes et caprices de sa justice. Elle s'aperçoit en tous cas que la chambre de sa grande soeur reste vide, comme par le passé.
Dans le Monde de demain, on lit aussi que les banques prospèrent. Nous pouvons enfin souffler alors que ce ne sont plus 900 millions mais un peu plus d'un milliard de terriens qui crèvent la dalle. Qu'est-ce qu'on est bien, en France, sous Nicolas Sarkozy. Il y a peu, un clown a fait des bulles dans l'espace. On veut croire à ces grands spectacles, nous en redemandons, comme de ces miracles en une de France Soir. Attention lors de vos voyages d'agréments, à l'étranger : ne faites pas l'autruche, pensez à vous faire vacciner avant le départ.
Dans un interview à paraitre dans le Figaro de demain, on devrait lire quelques conseils rafraichissants : « Il n'est pas interdit de prendre un peu de recul. [...] J'en tire la conclusion qu'il ne faut pas confondre le climat du milieu médiatique, qui est par construction politisé et agité... » Bref, ce qu'on sait bien. Il y a des requins et des loups (plus des éléphants, des lions, des canards, des grenouilles...) sur à peu près tous les territoires, même le dauphin est au parfum.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause... Un son « explicite », posté en septembre dernier.
Quelques canards et une autruche
«Ce n'est pas mon fils qui est visé, c'est moi»
Propos recueillis par Etienne Mougeotte, Gaëtan de Capele,
Philippe Goulliaud, Charles Jaigu, Paul-Henri du Limbert, et Guillaume Tabard
Le Figaro, 15/10/2009 | Mise à jour : 20:32, extraits
Dans un entretien à paraître demain dans le Figaro, le chef de l'Etat revient sur les polémiques récentes.
La majorité traverse une zone de turbulences. Que pensez-vous de cette détérioration du climat politique ?
Il n'est pas interdit de prendre un peu de recul. [...] J'en tire la conclusion qu'il ne faut pas confondre le climat du milieu médiatique, qui est par construction politisé et agité avec la réalité de la société française qui attend du gouvernement qu'il apporte des solutions concrètes aux problèmes des Français : le chômage, la sécurité, l'éducation de leurs enfants, le pouvoir d'achat.
[...] A travers cette polémique [NDLR: l'enfant prodige], qui est visé ? Ce n'est pas mon fils. C'est moi. Ceux qui ne se sont jamais faits à mon élection et qui n'ont rien à dire sur le fond [NDLR: réponds à ma bafouille ou prend des suppos] essayent d'attaquer sur tous les sujets avec une mauvaise foi [NDLR: t'es grotesque, prend un suppo] et une méchanceté qui ne trompera pas les Français [NDLR: Lily allen est toujours top 50, même si elle est descendue à la 24ième place].
Ca chauffe encore et Yade s'est dite « choquée » ?
Qu'est-ce qu'au juste une « assimilation » ou un « amalgame » ? Quand deviennent-ils inacceptables ? Lorsqu'il y en a, qui les produit et où est leur terreau ? J'adore ce qui est souligné plus bas, par une dépêche AP et selon une source policière : « il y avait pourtant du monde dans le wagon mais personne n'a rien fait ».
Un violeur présumé remis en liberté
AFP, 16/10/2009 | Mise à jour : 12:02, extrait
Mis en examen mardi pour des viols répétés sur ses quatre nièces mineures, un homme de 53 ans, condamné par la cour d'assises de Nevers en 1987 pour des faits similaires, a été remis en liberté à l'issue de sa garde à vue, a-t-on appris ce matin de source judiciaire. Il a toutefois été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d'entrer en contact avec les victimes. Selon le Journal du Centre, citant le Parquet de Bourges (Cher) où est installé le pôle d'instruction de la Nièvre, la condamnation de 1987 "ne figure pas (ou plus) au casier judiciaire" du violeur présumé.
Il était une mauvaise foi ou vers un compromis sur « l’affaire » J. Sarkozy ?
J'ai constaté que l'OSE France a communiqué ce 16 octobre, suite à l'ouverture d'une enquête qui ne concerne pas cette association. Cette semaine, nous avons pu lire que notre chantre dénonçait « la mauvaise foi » de certains qui l'attaqueraient sans avoir rien à dire sur le fond. Un son, à écouter avec une certaine distance, capté sur France Info, d'une chronique quotidienne de Jean-Pierre Gauffre... « place aux jeunes, après tout » ou « errare humanitaire est » :
Pour retrouver toutes ses chroniques, visiter France Info. Jean-Pierre doit lui aussi être mûr pour une greffe. Sa chronique du 6 octobre est pas mal drôle aussi, « Contrôles » : « Croyez-moi ou pas, mais je n’arrive pas à croire que certaines stars du dernier Tour de France, et notamment Armstrong et Contador, aient pu être protégés pour bénéficier de faveur au moment de tous les contrôles anti-dopage… Si c’est vraiment ce qui s’est passé, c’est, à mon avis, le pur fruit du hasard… [...] Mais vraiment, n’allez pas penser à une quelconque entourloupe à propos de ces contrôles, sous prétexte que c’est écrit dans " Le Monde "… Vous savez que les journalistes sont prêts à raconter n’importe quoi pour qu’on parle un peu d’eux… Evidemment, vous n’êtes pas obligés de me croire… »
Histoire d'en rire plus encore, l'un de mes billets d'avril 2008 : L'Arche de Zoé aurait fait tanguer les ONG. A ne pas louper non plus, sur France Soir, le 9 octobre, « “Arche de Zoé” : l’instruction close malgré des zones d’ombre ».
Vers un compromis sur "l’affaire" Jean Sarkozy ?
France Info - Hier, 17:37, extraits
Après une bonne semaine de polémique, le gouvernement semble saisir la perche tendue par la gauche au sujet de la promotion annoncée de Jean Sarkozy à la tête du quartier d’affaires de La Défense… Le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, déclare en effet "imaginer" que les neuf représentants de l’Etat au conseil d’administration de l’Etablissement public d’aménagement de La Défense (Epad) ne prennent pas part au vote, lors de l’élection du président dans six semaines. [...] Il ne s’agit de toute façon pour l’instant que d’une idée, suggérée à la droite par le député socialiste Gaëtan Gorce. Il revient "aux ministres compétents d’en donner l’instruction", souligne Luc Chatel.
ATTENTION, PAS DE CONFUSION: IL NE S'AGIT PAS DE L'OEUVRE DE SECOURS AUX ENFANTS!
Le 16/10/2009, un communiqué de source OSE-France
Un certain nombre d’articles parus dans la presse de ce jour font état d’une enquête ouverte par le procureur de la République de Paris visant 17 associations. Ces associations ont fait l’objet d’une information judiciaire contre X pour « escroquerie et abus de confiance » et « abus de confiance aggravé ».
Deux juges d’instruction du Pôle Financier ont été désignés pour conduire des investigations et tenter de déterminer la destination réelle des sommes collectées par ces associations
Ces informations ne nous conduiraient pas à nous exprimer à ce stade si ce n’est que l’une d’elles porte la dénomination Opération Sauvetage Enfants – OSE – Cette dénomination de nature à semer le trouble et la confusion dans l’esprit du public nous amène à vous confirmer l’évidence : l’OSE – Œuvre de Secours aux Enfants- association déclarée d’utilité publique loi 1901 n’a aucun rapport de près ou de loin avec cette structure.
Notre mission, sous l’égide de l’Etat, est contrôlée par les autorités de contrôle et de tarification – Etat, conseils Généraux, Protection Judiciaire de la Jeunesse…-
Nos comptes sont certifiés par deux commissaire aux comptes et régulièrement déposés en préfecture en respect des dispositions légales.
La dénomination OSE – Œuvre de Secours aux Enfants a fait l’objet d’un dépôt à l’INPI.
L’OSE est membre de France Générosités et en relation avec le Comité de la Charte en vue de sa prochaine adhésion.
Ces informations permettront de lever toute confusion et de maintenir la confiance de nos usagers, de nos amis et de nos donateurs en faveur d’une association née en 1912 et qui a traversé le siècle en vivant toutes les souffrances des populations juives d’Europe. L’OSE a contribué au sauvetage de milliers d’enfants des griffes de la Shoah et permis leur reconstruction. Elle a pris en charge l’accueil des enfants juifs d’Afrique du nord au moment de l’arrivée de leurs familles sur le sol de la République.
L’OSE contribue aujourd’hui par ses établissements dédiés à l’Enfance, à la protection de la jeunesse, par ses centres de jour, à la prise en charge de la maladie d’Alzheimer, par ses structures de travail et d’activité à l’insertion des adultes handicapés, comme au travers d’un IME, à la prise en charge d’enfants très lourdement handicapés.
L’OSE représente aujourd’hui 20 établissements, répartis sur le territoire, et compte 650 salariés. Son budget s’élève à 30 Millions d’euros.
L’OSE ne laissera pas détourner son nom symbole de générosité au service de l’intérêt général.
Vu dans Paris-Match : le conseil général du 9-2 recrute des pétoncles
Ajout du 24 au soir... Lu sur Facebook et repris par divers médias, de la page de Nicolas Sarkozy : « Jean a fait preuve cette semaine de grandes qualités [...] Je suis fier de lui. Il sait maintenant le travail qu’il lui reste à accomplir. »
Lu le 26, sur le Parisien... Interrogés sur l'impact de cette intervention [télévisée, jeudi dernier], 23% des personnes sondées répondent qu'elle a plutôt amélioré l'image qu'ils avaient de Jean Sarkozy, 69% qu'elle n'a pas changé cette image, 6% qu'elle a plutôt détérioré l'image, et 2% ne se prononcent pas. [...] Sondage réalisé par téléphone auprès de 1.006 personnes de 15 ans et plus, les 23 et 24 octobre (méthode des quotas).
Ce soir, à la radio, j'ai appris la mauvaise nouvelle : pour le moment et après avoir pu en parler avec papa, Jean ne brigue plus la tête de l'EPAD. D'après Paris Match du jour, Jean était attendu au tournant... par des requins ? Un article suggère maintenant à Jean de s'accorder d'abord « le temps de grandir » tandis qu'en page 125, ce même hebdo nous dresse le portrait de quelques jeunes élites, « bien nés ou pas », mais tous « surdiplômés et engagés », « contre la politique à papa ». « Le problème n'est pas Jean Sarkozy », peut-on lire, « mais l'absence de contre-pouvoirs dans notre pays. »
D'après le Canard du moment, ces derniers temps, sur fond de grand complot voire même d'une très vaste conspiration planétaire, notre chantre a fustigé une presse qui n'a pas hésité - ignominie suprême, précise le Canard - à « s'en prendre à [sa] famille » ? Qu'est-ce qui a motivé ce choix de photo de Jean dans ce dernier Paris Match ? Je crois y distinguer une grande affiche qui pourrait correspondre à ces offres d'emplois d'assistants familiaux pour des enfants de la Dass, des enfants « placés », très « transitoirement ou durablement » retirés de leurs familles naturelles.
La culture psychique ou ces psychothérapies, j'ai essayé, mais je n'ai pas su m'abrutir assez pour postuler ni pour faire postuler ma compagne, Justine reste donc « placée » ailleurs. Je pense que je vais faire comme Germaine Tillion, en discuter sous peu, avec quelques magistrats de la cour d'appel de Versailles, ils me feront de nouvelles suggestions.
disparaissait à jamais. Dorénavant, on voit le nez en l’air de
la sociale travailleuse et l’enfant disparaît à jamais.
Voir dans mes références, un article de Lucie Poirier
Valeurs Actuelles du jour nous propose un petit dossier « sur une blessure française », un certain mal-être, « un dernier tabou » ou ce drame des Français d'Algérie qui ont disparus entre 54 et 63. « "Elle avait 11 ans et était `'la plus heureuse des petites filles". `'Je ne savais pas ce que c'était d'être triste." Et puis un soir d'août 1962, le père, la mère et le petit frère - 21 mois - de Danielle ne sont pas rentrés. `'Volatilisés." Pas de nouvelles, pas de témoins, pas de traces, pas de corps. `'Disparus", comme le dit la terminologie officielle. [...] `'A Orléansville, tout le monde savait ce qui signifiait cette disparition, mais personne n'a trouvé les mots. On me disait : "ne t'inquiète pas, ils vont revenir." Alors j'ai attendu, attendu...'' »
Ma cadette redemande des nouvelles de sa grande soeur, des explications. J'hésite encore car je ne sais pas encore quels mots employer pour lui en parler. Je pense que je vais tout simplement lui dire que nous sommes en France, à la fin 2009, et que, par ici, historiquement, parfois, comme ailleurs à travers la planète, des gens disparaissent ou ne rentrent plus.
Page 56 de ce même Paris Match, un numéro « spécial Berlin et chute du mur », je lis encore que le single « Fuck You » de Lily allen l'a établie « prima dona de la provoc ». Ce son est très bon, je crois que c'est incontestable.
Le Canard n° 4643 du 21/10 et Paris Match n° 3153, du 22 au 28/10 : « on recrute des tatas »
Les affabulateurs et faussaires de Puteaux recherchent des « témoignages »
C'est à lire sur Wordpress.com, aux USA, à peu près par ici. Qu'en fera le proc' de Nanterre ?
Ajout du 10 au soir. Je note que les cotes du père et du fils Sarkozy seraient encore une fois au plus bas. Je viens de farfouiller dans mes papiers ; j'ai retrouvé un ancien constat d'huissier de justice et des photos « de famille ». Monsieur Lorentz et Jean Sarkozy pourraient-ils être de très grands amis ? Jean, le prédésigné, témoignera-t-il en faveur de SEFCA Puteaux, ces soit-disantes victimes ? Nadine Morano, peut-être très radicale, témoignera-t-elle aussi, eventuellement en faveur de Madame Lorentz ou Moreau ? Qu'en pensera le proc' de Nanterre, un proche ou ami du père - à moins qu'enfant de coeur - Sarkozy ? Je me demande surtout si Jean Sarkozy se fera un jour injurier, lui aussi, s'il ne témoignait pas fissa en faveur de Madame et Monsieur Lorentz, ces infréquentables.
Ajout du 11, 12h30. Ce matin, par email, de la part du service contentieux d'Iliad s.a., il me parvenait ce qui est peut-être une copie d'une « ordonnance fixant une consignation ». L'ordonnance semble être de Nanterre et datée du 14 septembre dernier. Pour Online SAS, Iliad m'invitait à « prendre les mesures utiles qui s'imposent relatives au contenu de ce site », justice.cloppy.net. Quoi faire ? Je vais attendre de plus amples précisions, s'il en suit un jour.
Ajout du 12. Ma butineuse favorite, un huisser de justice, vient de m'informer qu'un ultime constat de 8 captures vient d'être effectué. J'ai hâte de l'éplucher. Il me parviendra bientôt, par la Poste, si les conflits sociaux ne s'enlisent pas. Depuis février 2009, j'empile des constats, le plus souvent très techniques et précis, ce que la police a pu constater, en mai dernier, alors que Madame Moreau venait de déposer une plainte absurde. Mais sur 18 mois, en les accumulant, ces constats d'huissers s'avèrent également très couteux. « 2 500 euro ? Ah oui, quand même », m'a répondu ma compagne ; il est préférable qu'elle ne sache pas tout ; je pense qu'il s'agit du prix de la liberté d'expression, dans ce pays.
Ajout du 12, fin d'après midi. « Prendre les mesures utiles qui s'imposent », c'est à dire ? J'ai depuis quelques jours pour projet de repeindre les WC, je les trouve un peu défraichis. J'ai déjà la peinture et les rouleaux.
Ajout du 12, au soir. Voilà, les WC sont suspects, le plafond et la tuyauterie sont déjà blanchis. D'ici peu, j'attaque la seconde couche, puis les murs.
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Tiens, voilà que ressurgit ce Maxi
Il y a peu, ailleurs, dans un billet au contenu bizarre, sans mon autorisation, j'ai vu paraitre une photo qui semble avoir été taillée dans ce mag, un Maxi de mars 2008. Un huissier de justice français a vu et enregistré ce montage douteux ou excentrique. Qu'en pensera le proc' du coin, Nanterre ? Depuis quelques temps, j'ai parfois le sentiment d'être « signalé », comme en Russie ou comme depuis Puteaux, par le passé. Pour le moment, je n'ai pas pu contacter un OPJ, pour en discuter encore ; ils étaient manifestement « à la circulation », du fait des conflits sociaux.
Cahiers du MONDE RUSSE
45/3-4 | 2004
Période soviétique et post-soviétique, extraits
Les dernières avancées de la recherche sur l’histoire de l’URSS ont déjà fait voler en éclats beaucoup de préjugés idéologiques, y compris le schématisme et l’extrémisme des courants « totalitariste » et « révisionniste ». [...] Selon le langage de l’époque, leurs auteurs envoyaient des « signaux » aux autorités dans le but d’attirer leur attention sur ce qui n’allait pas dans la vie publique ou privée. Cependant ils s’abstenaient, à de rares exceptions près, de critiquer le pouvoir central. C’était tout le contraire : en manifestant ainsi leur confiance au régime, ils espéraient que les autorités prendraient des mesures contre des comportements déviants de voisins, chefs, collègues, amis ou parents.
Cahiers du monde russe, 45/3-4 | 2004, [En ligne], mis en ligne le 03 juin 2009.
http://monderusse.revues.org/index4201.html. Consulté le 22 octobre 2010.
Peu après la parution de ce Maxi auquel je ne pensais plus, mes droits « sur » ma fille ainée allaient enfin être progressivement rétablis ; pour y aboutir, j'avais fini par sommer le juge pour enfant Xavier Serrier de juger. Ce sont déjà de très vieux souvenirs, de la matière pour des historiens. Les juges m'ont beaucoup reproché cette parution.
J'avais commenté cet article de Maxi. Plus tard, des journalistes de France 2 me suivaient au tribunal, pour Faits divers, le mag. Du reportage diffusé par France 2, il y a 3 ans : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. » Elle a maintenant quasi 18 ans. A mon avis, le ministère public va rester éternellement aphone, il n'a rien à répondre à ces caméras, et le pasteur ne dira rien non plus. Mais que dis-je, « ces caméras » ; les caméras se sont vaporisées
Ce dimanche, à Blois, le procureur Varin nous a beaucoup bercé parlé de présomption d'innocence ; il insistait.
Maxi n° 1114, du 3 au 9 mars 2008
« Régalez-vous économique ! » J'ai de nouveaux éléments entre les mains et il m'en parviendra encore.
La cour d'appel de Versailles, sa chambre des créatures inférieures, a elle même assez souvent été explicite : « Par ordonnance du 18 novembre 2003, malgré la résistance du père à l'interférence des tiers dans l'éducation de sa fille, en particulier des institutions judiciaires, Justine, enfermée dans un conflit de loyauté qu'elle ne pouvait maitriser seule, était placée à la Maison d'enfants du château de Vaucelles à Taverny, placement qui était renouvelé à compter du 14 avril 2004. » Prétendant « sauver », ces gorets du social ont tout cassé, travaillant plus à rompre, à servir le pasteur et le corbeau de cette histoire, une tata de la Dass, à se défausser et à se couvrir plutôt qu'à aider effectivement mon ainée. Récemment, l'ARSEA Alsace a ajouté une cerise de plus à ce gros gâteau ; ces pros là tenaient absolument, à leur tour, à « orienter » mon ainée ; ils ont réussi à faire foirer également sa scolarité. Et ce n'est pas fini ; d'autres « professionnels » ont fait un peu n'importe quoi dans le cadre de successions... Aux Français et à leurs juges : encore un petit effort, puis vous aurez bien sauvé ou veillé sur tout ! Mais je suis d'accord, on a déjà vu pire. Oui, 'y a toujours pire.
Le ministère public va rester aphone, ou arguer d'abord qu'il s'agirait « d'assistance éducative », ou que tout cela est « d'ordre privé ». J'ai beaucoup étudié et appris au cours de cette dernière année. J'ai, par exemple, étudié des procureurs et des juges ; j'avais surpris un avocat général lorsqu'il s'était apperçu que je l'avais observé au cours de l'audience, alors que les juges lisaient un rapport ; je pense que je surprennais déjà le juge Anne Valentini, dès la mi-2003 et plus encore, après l'été 2004, au cours d'une discussion, lorsqu'elle décidait de ne pas se déssaisir du dossier de ma fille, ce qui m'avait choqué. J'ai ausssi étudié SEFCA Puteaux. Par le passé, j'avais déjà longuement et assez finement étudié l'Enfant d'Abord ainsi qu'une faune qui grouillait dans les forums de aufeminin.com. J'ai étudié ou approfondi de nombreuses matières, travaux et publications, observé plus d'une créature ou association ; des historiens, des juristes et des sociologues s'en sont peut-être apperçu ; les gorets de l'ARSEA s'en sont beaucoup plaint, Richard Josefsberg a également très mal supporté ma carotte. Je recherche encore la « dimension éducative » ou ce qui, dans une telle histoire, profiterait effectivement à ma fille aînée, « l'enfant ». En ce moment, avec SEFCA Puteaux, je buche le pénal et ses préliminaires, des matières que je n'avais pas encore eu l'opportunité d'approfondir.
J'amasse des éléments - concrets, matériels - depuis de très longs mois, voire même depuis des années, tandis que d'autres allèguent, dénigrent, diffament, injurient et accusent depuis début 2009, sur la toile, ainsi que, depuis peu, auprès de la police nationale et du proc', en recherchant des témoins, en réclamant voire même en supposant des condamnations acquises, en exigant des investigations et en réclamant maintenant même un juge d'instruction ? Ces délinquants - un mot qui plait beaucoup à l'UMP - de Puteaux n'ont-ils réellement aucune preuve contre moi, leurs faudrait-il des juges, de vrais juges, pour leurs rassembler des charges ? Les démarches de ces délinquants, en France, auprès du parquet de Nanterre, de la police de Puteaux et, très probablement, auprès des services de police Neuilly aussi, ne m'inquiètent absolument pas. Tout devrait se décanter au cours des prochaines semaines ou mois. Qu'est-ce que cette « gazette de Puteaux », un autre blog également hébergé sur Wordpress.com, encore aux USA ? Cette gazette semble avoir publié ou repris des affabulations et des diatribes de l'association SEFCA Puteaux. J'en parlerais également à la police ainsi qu'à tout juge qui se saisirait des plaintes et complaintes de ces délinquants ou affabulateurs de Puteaux ; je n'ai rien à cacher ; même ce que des professionnels appellent le tribunal de l'opinion ne m'inquiète absolument pas.
Le Canard, 1er octobre 2008
On rigole souvent lorsqu'on lit le Canard ainsi que d'autres feuilles, moins satiriques. Je rigole aussi, très souvent, lorsque SEFCA Puteaux annonce que des plaintes suivront. Les plaintes de ces délinquants ont parfois été très concrètes, suivies d'effets ; la police du secteur m'a déjà convié pour me demander des explications, en mai dernier. La police pourrait bientôt, à nouveau, me repprocher d'avoir publié des « photos des enfants » de Monsieur et Madame Lorentz. Jean, le « prédésigné », n'est-il plus le fils de Nicolas Sarkozy ? Il semblerait surtout qu'il y a peu, Monsieur Lorentz a détourné une correspondance privée pour la publier, lui-même, sur Internet, tout en m'accusant de l'avoir fait, quelque chose de cette nature... Et il y a peu, la police me priait encore d'attendre ; le proc' de Nanterre doit, un jour, prendre des décisions.
Des photos de ses enfants, publiées sur Internet ? | Des photos avec Jean Sarkozy et Nadine Morano ? |
Ces deux vignettes sont celles de photos d'un constat d'huissier. Je pense que l'association SEFCA Puteaux est brouillée avec ces gens là, mes butineuses - voir ou relire Je crois qu'une bonne piqûre de rappel s'impose. Les huissiers de justice sont pourtant parfaitement compétants pour réaliser des captures, des constats, y compris sur Internet - poser la question à Google. Faire appel à leurs services n'a rien d'un crime ou d'un quelconque délit, en tous cas, pas en France - en principe, dans les grandes lignes, qui pourraient être bientôt déplacées par le proc' et des juges du coin.
Ma compagne rigole souvent, elle aussi. Elle a beaucoup rigolé lorsque Nanterre a décidé d'auditionner un dalmatien. Un juge s'éclaire comme il a envie de le faire ; les juges de Nanterre et de Versailles me l'ont assez bien démontré au cours de ces dernières années ; on dira plutôt des juges qu'ils sont indépendants ; les juges du coin ont mis un temps fou avant de reconnaitre qu'ils avaient dénaturé des éléments du dossier d'assistance éducative de ma fille ainée, ou plutôt, un temps fou à bouger un peu leurs plumes, à relire et à revoir un peu leurs motivations. Ma compagne rigole souvent, mais elle s'inquiète aussi, ces derniers temps ; les juges du coin accepteront-ils ou vont-ils, comme SEFCA Puteaux envisage de le faire, purement et simplement balayer ces constats d'huissier auxquels je me réfère ? Mais le pénal, en public, et l'assistance éducative, à huis clos ou à la dérobée, ce n'est pas du tout la même chose - en principe seulement.
J'étais hilare lorsque j'ai découvert ce PDF, dans ma boite mail, de la part du service contentieux d'Iliad. Combien de truands rêveraient d'être informés avant l'arrivée, chez eux, de la police, de fouineurs, voire même d'un juge d'instruction, en personne et à l'improviste ? « Coucou, c'est pour la fouille, puis on vous embarque ! » Fillipis, ex-PDG de Libé, pourrait en rire ou en pleurer également ; fin 2008, il a été fouillé puis amméné au juge d'instruction, toute la presse était boulversée ; « la garde à vue, ça craint, ces procédés sont inadmissibles ! » Iliad m'envoyait ce fax par mail en me suggérant alors de « prendre les mesures utiles qui s'imposent ». J'ai repeint les WC. Quoi faire d'autre ?
L'essentiel des éléments auxquels je me réfère lorsque je réagis, face aux accusations et aux diatribes de SEFCA Puteaux, est gravé dans les minutes de deux ou trois huissiers de justice français. Le proc ayant aujourd'hui d'assez larges pouvoirs d'investigations, il a probablement déjà pu accéder à ces minutes, vérifier au moins la conformité de ce que je lui ai déjà communiqué, au cours de l'hiver et du printemps dernier. Le proc' et ses services sont peut-être perdus dans ces centaines de pages de constats d'huissier qu'il ont pu découvrir depuis... et noyés dans les fichiers de police, maintenant régulièrement alimentés par SEFCA Puteaux ?
Je n'ai pas simplement fait capturer des extraits des blogs de SEFCA Puteaux, mais des pages entières, parfois des sources aussi, en communiquant simplement des URL à ces huissiers de justice, avec des manières courantes pour y accéder, par exemple, depuis Google ; on ne pourrait que très difficilement m'accuser d'avoir fait capturer des morceaux choisis, puis d'en avoir fait des « montages ». D'où j'ai ces captures réalisées sur Facebook ? Elles sont aux minutes d'un huissier, il s'est enregistré, sur Facebook ; là bas, Monsieur Lorentz avait un mur, lisible par tous, et une liste d'amis, également lisible par tous. Comment j'ai pu me procurer la plainte de Monsieur Françis Painot ? Elle est aux minutes d'un huissier, il l'a trouvée sur la toile, dans un blog de SEFCA Puteaux. Il y avait aussi des bugs, ici et là, mais je n'en parlerais pas ; là encore, l'essentiel est gravé ou noyé dans les minutes d'un huissier ; tout est légal. Il faudrait que je sois débille pour « m'introduire » quelque part et risquer une condamnation. Je ne parlerais pas car je pourrais porter préjudice à Wordpress.com ainsi qu'à Wordpress.org, certainement à Facebook aussi, ce que je ne souhaite pas faire. Mais si le proc' ou un juge insiste, je parlerais et nous rirons encore des allégations de SEFCA Puteaux - 024 076 091 093... 100
If you want it secure, cut the wires - remove the power cord. Il y a quelques temps, pour le Conseil Général du 9-2, Monsieur Françis Painot était lui-même assez explicite, je ne l'ai pas caché, SEFCA Puteaux non plus :
Internet, ce n'est pas plus confidentiel qu'un couloir, tout peut s'y éparpiller ?
Du chantage ? Mais de quel chantage se plaint SEFCA Puteaux ? Comment pourrais-je faire disparaitre quelque chose qui est depuis des mois comme gravé dans du marbre, chez des huissiers, et qui est déjà communiqué au proc', publié sur Internet aussi ? Pourquoi envisagerais-je de faire disparaitre quelque chose dont je me sers pour me défendre ? Ces plaintes ou accusations fantaisistes qu'on se prend, en retour, sont à mon avis très courantes dans ce genre d'affaires ; ce dimanche, à Blois, le club de la presse en a même parlé ; je suppose que le proc' et la police du coin sont également au parfum. SEFCA Puteaux a relevé des injures et s'en est plaint à un juge d'instruction ? Où sont ces injures dont se plaignent ces délinquants, de quoi s'agit-il ? Il y aurait ici et là, dans mes écrits, quelque chose d'inacceptable, d'inadmissible ? Je ne partage pas ce sentiment. Ce vieux texte de 1881 est vraiment très bien conçu ; son article 1er : « L'imprimerie et la librairie sont libres » ; mais il faut aussi lire les articles suivants.
Comme je l'écrivais déjà le 30 mars dernier, « des lecteurs vont vouloir me parler d'une histoire de tarte aux pommes en me lançant que la justice aurait bien mieux à faire... Mais je ne me plains pas d'un simple « salope » marmonné un jour, dans une boulangerie. » Par ailleurs, SEFCA Puteaux a tout de même réussi à mobiliser la police, le proc' ainsi que le doyen des juges d'instruction du coin. Je crois que cette affaire est aujourd'hui assez sérieuse ? En tous cas, la police de Puteaux semble avoir pris Madame Moreau et Monsieur Lorentz très au sérieux. D'autres vont me lancer qu'il se passe toujours des choses plus graves, ailleurs ; oui, je sais, et pour s'en convaincre, il suffit de parcourir ma rubrique Notes ou ma rubrique Victimes, dans ce même blog. Mais patience, le proc' va peut-être tout classer ; c'est lui, le chef, ici.
Mais que Courroye et ses services classent, une première partie, et ce sera parfait. J'ai d'ailleurs exercé diverses pressions à ces fins, pour les faire bien fouiller. En effet, en mai dernier, auprès de la police qui m'avait demandé des explications, j'ai dépose une plainte contre SEFCA Puteau, Madame Moreau et Monsieur Lorentz, en raison de dénonciations calomnieuses, une plainte que je vais évidement maintenir. En mai dernier, j'exerçais également des pressions à la chancellerie ; voir Référence à rappeler au Ministre : BDC/CP/FM-2010004446638. Plus tard, en juin, Versailles renvoyait, conviant le pasteur... et début septembre dernier, le proc' de Paris finissait par me répondre. Depuis, selon le Métro du 20 septembre, des juges ont appelé à une grève du zèle. A mon avis, le parquet s'affaire. En marge de toutes ces histoires, au tribunal de Nanterre, je me suis aussi plaint d'une doublette, à Puteaux.
récépissé de plainte en raison de dénonciations calomnieuses
Fin mai 2010... depuis, en plus des injures, il pleut les jérémiades de Puteaux
Je note que Jean Sarkozy est à nouveau en campagne. D'après le Parisien, il trime, pour ses études, et « désormais, il refuse toutes les sollicitations des médias. » Va-t-il afficher son franc soutien à SEFCA Puteaux ? Lefebvre ou Poniatowski, un ami d'Emeric Lorentz, sur Facebook, vont-ils s'en charger, pour l'UMP ? 'y a personne, au Parti, pour repécher l'un de ses membres ? Allez, courage Lefebvre, comme vous l'aviez suggéré, en février dernier, on étale tout, on passe enfin à cette ère différente ! Il faut que je retrouve un email de Puteaux adressé à Monsieur Nicolas Sarkozy, notre chantre national... J'ai déjà retrouvé ce qui semble être ce fameux faux, très émouvant, dont Monsieur Painot pourrait s'être plaint. Ah ! Voilà cet email, sur cette page : « Monsieur le Président, Je vous écrie une nouvelle fois, nouveau membre de l'UMP avec ma femme grâce à votre fils Jean Sarkozy. » Quelqu'un va renvoyer l'ascenceur ? Nadine, Ministre de la famille ou des battues (les femmes, à moins que des battues de la Dass), pourrait s'en charger ; la femme et les enfants de Monsieur Lorentz seraient les grandes victimes de cette histoire-ci.
J'ai parfois l'amère impression de faire de la politique, parmi des requins, en marge de mes affaires « d'ordre privées », menées en ce qui serait justice. Je pense que je vais devoir relire les arrêts et jugements rendus par Versailles et Nanterre, de 2007 à 2010 au moins ; je crois que d'une certaine façon, les juges du coin ont pu percevoir quelque chose d'assez similaire, ils ont souvent critiqué mon expression, en public (presse, blog et forums sur le net, télé, manifestations dans Paris, critique des gorets du social, ... alors Xavier Serrier, l'un de leurs pairs, emplafonné fin 2008, puis encore la cassation, n'en parlons même pas, j'ai pu vexer plus d'un juge et de nombreux justiciables).
Paranoïa ? Hé, du calme, les illuminés, les pitres en robe et les bouffons en blouse ! Au cours de ces dernières années, j'ai critiqué à peu près tout le monde, et souvent agit ou réagit, y compris parfois de manière virulente, dans des prétoires. Il me parait donc assez naturel qu'il y ait aussi fréquemment des réactions, en retour, jusqu'à des réactions des plus maladroites. N'est-ce pas, SEFCA Puteaux ? N'est-ce pas, l'OSE France ? N'est-ce pas, l'ARSEA Alsace ? N'est-ce pas, les juges ? CHEESE - Prennez le avec le sourir, ce ne sont que quelques mots. Je propose qu'on en discute ensemble, plus en détail, et qu'on farfouille, histoire d'en rire d'avantage. On pourrait aussi convier des historiens, spécialistes des systèmes ou régimes totalitaires, lire puis commenter ensemble Un cas clinique, histoire d'en rire, un extrait du DSM-IV, paru chez Masson, en 2008 ? Allez, on se remue, on ose, et on parle de tout, sans le moindre complexe ! Enfin... ces histoires d'inflation et d'empreintes génitales, allez en discuter avec qui vous savez.
En janvier 2009, j'envoyais une baffouille au garde des Vélodromes. J'écrivais encore que, « contrairement à ce que le Docteur Magalie Bodon-Bruzel supposait dans un rapport très contestable versé au dossier de Justine en 2006, j’ai conscience des troubles que je crée autour de moi. J’ai également bonne conscience des troubles que d’autres créent et entretiennent autour de moi et de mes enfants. Cet expert missionné par le juge pour enfant de Nanterre aurait du m’entendre ou, à défaut, deviner que j’allais un jour répondre à la hussarde. » Puis nous passions l'été 2009 en famille. Depuis, tout est reparti en vrille... mais c'est du passé, de la matière pour des historiens. En septembre 2009, ma compagne me disait : « écoute... attend, j'ai entendu ça l'autre jour... ça va te plaire... écoute, ça va venir ». J'ai adoré. Pendant quelques temps, j'ai fait la promotion d'un son de Lily Allen, y compris dans Paris, pour les 20 ans de la CIDE. Je crois qu'on m'en a beaucoup voulu :
La cassation doit donc encore rendre une décision. Je me fout de ce qu'elle rendra, mais j'attends. Ce qui pend au nez de certains, d'une manière assez sûre, est une sorte d'affaire Finaly bis. Le pasteur d'Uhrwiller pourrait bientôt plagier Madame Brun et Olivier Echappe, l'un des évèques ? Il me semble que Madame Brun n'a jamais parlé non plus. Qu'est-ce qui motive ce pasteur ? Les professionnels de l'OSE France et de l'ARSEA Alsace ont déjà endossé le rôle des français. On dit de l'affaire Finaly qu'elle avait divisé ce pays. Je pense que cette histoire-ci, où tout est couleur noyade, pourrait un jour fragmenter la France... Dans cette histoire, SEFCA Puteaux est susceptible d'avoir un second rôle, par exemple, de l'un des boulets qui m'ont fait perdre mon temps et des ressources, au cours de ces dernières années - les boulets se reconnaitront, jusqu'à la ville d'Asnières, encore le 9-2, et jusque dans des commissariats aussi.
A Puteaux, la police semble prêter une oreille très attentive à Madame Moreau ainsi qu'à Monsieur Lorentz. Par le passé, ailleurs et un peu partout, on m'a souvent envoyé chier ou pleurer plus loin, par exemple, auprès d'un avocat - « on ne porte pas plainte contre une association d'utilité publique », l'OSE France. Je m'en fout de ce qui se trame à Puteaux, que Madame Moreau et Monsieur Lorentz déposent. Pendant que SEFCA Puteaux poireaute ou s'exprime au commissariat, à ma connaissance, personne d'autre ne braille sur Internet. Tout devrait bientôt se décanter, puis se tasser.
Voir La liste électorale
Parano ou complot ? Foutaise ! D'autres choses sont bien plus certaines.
Par exemple, je n'hésite pas ni à parler, ni à sortir - ni à écrire non plus. Au cours de ces dernières années, je pense avoir mis les pieds un peu partout, même au hamasland, sur les lieux de la catastrophe aussi. Ce dimanche 17 octobre, j'aurai bien aimé me rendre au siège de l'OSE France, pour apprendre comment résister et vivre ; mais j'avais déjà mes billets de train, pour Blois, et de toute façon, j'avais suivi le cours la vie, après la Shoah.
Par le passé, ces délinquants de Puteaux diffamaient et m'injuriaient depuis unblog.fr, un hébergeur franco-suisse. Depuis le printemps dernier, après un grand ménage sur unblog.fr, après le ménage chez NouvelObs.com, ces mêmes délinquants diffament et m'injurient encore, mais depuis Wordpress.com, aux USA, tout en sollicitant maintenant très régulièrement les services de police ainsi que le parquet français. Ces délinquants souhaiteraient que je sois poursuivi, sévèrement puni, et que mon blog, hébergé à Paris, soit « fermé ». Ces jours-ci, ça m'occupe encore un peu. Même si je suis déjà en relation avec les services de Wordpress.com, je ne sais pas si j'arriverais à faire faire le ménage, là bas, aux USA. A l'étranger, les règles, la loterie ou ce cirque sont souvent très différents des notres. Je pense que le parquet confirmera, même des sites de pédopornographie peuvent rester en ligne, y compris après une condamnation. Le dommage ou préjudice sera-t-il irréversible ? Je vais suivre l'affaire Eric Le Moyne de Serigny contre rue89, elle pourrait m'inspirer... J'suis con, c'est un conseiller de Woerth et donc, une justice de tout là haut, de celles qui s'appliquent.
D'ici à la fin novembre, je dois finir de rédiger des conclusions, en prévision d'une audience, auprès de la deuxième chambre civile de la cour d'appel de Versailles. Le fisc vient de me communiquer des informations extraites du cadastre, je vais pouvoir réouvrir le livre foncier(.fr) que je viens de débuguer avec leurs services techniques.
Etc, etc. Puis suivra donc cette audience, à Versailles. Le pasteur d'Uhrwiller viendra-t-il prêcher ou sera-t-il à nouveau dispensé par les juges ? Ca me rappellerait le passé, lorsque Monsieur et Madame Clementz gagnaient à tous les coups, surtout à Versailles, comme à Nanterre. Il faut que je l'évoque, dans mes prochaines observations.
Les suisses, des antisémites ? Je profite de ce billet précis pour lancer à l'écrivain BHL ainsi qu'au cinéaste Yann Moix qu'à mon avis, ce n'est pas la Suisse, mais la France qui avait écarté ses cuisses devant l'occupant nazi. Je me trompe ? Dans ce cas, de nombreuses tondues ou leur descendance vont pouvoir exiger des réparations.
Je vous avertis... De vous tenir toujours en défense [contre le démon]
tremblez même dans la victoire ;
c'est alors qu'il fait ses plus grands efforts,
et qu'il remue ses machines les plus redoutables. • Bossuet
C'est tellement affreux de voir le destin en face. • Henrik Ibsen