Mot(s) clef: inamovible
Un chapitre est clos, des affaires ou procédures ont fait pschitt
Depuis quelques temps, je murissais un ultime billet. Je l'ai rédigé, édité en ligne, sur plusieurs jours, comme d'habitude, ici. J'avais deux sujets à développer, à priori, sans rapports avec le « placement » de ma fille aînée et, à priori encore, sans rapport entre eux non plus. Très brièvement, que Valentine et Arthur ne seront manifestement pas « placés » ; un jugement du JPE de Paris semble avoir été annulé. Plus ou moins sobrement, que la décision rendue par un JAF de Nanterre, en décembre dernier, est aujourd'hui définitive ; j'ai « gagné », s'il est possible de remporter quelque chose dans ces affaires là...
Des butineurs pourraient s'égarer dans ce blog, à la recherche d'un contact ou du site Internet de la SCP Cordeliers et Associés, Paris, ou encore, se perdre ici, à la recherche du Réseau Eurojuris France. Stop, ce site n'est d'aucune façon en relation avec la SCP Cordelier, 7 Avocats , 4 Assistantes et 1 Comptable, ni avec Eurojuris France, 160 cabinets d'avocats, huissiers et notaires. Ici, il n'y a rien d'autre à trouver que le blog ou des notes d'un simple particulier. Mon blog est encore en ligne même si au cours des années passé, on m'a fréquemment menacé, fermement suggéré ou intimé de le supprimer, ou de cesser au moins d'y publier... J'ai résisté, je suis resté droit dans mes bottes, plus même, comme Staline aurait pu le faire.
QUESTION. - Que pensez-vous du bruit soulevé ces jours-ci dans la presse étrangère à l'occasion de l’essai d'une bombe atomique en Union soviétique ?
RÉPONSE. - En effet, il a été procédé récemment chez nous à l'essai d'un des types de la bombe atomique. L’expérimentation de bombes atomiques de différents calibres se poursuivra également à l'avenir d'après le plan de défense de notre pays contre une attaque de la part du bloc agressif anglo-américain.
La suite de l'interview de Joseph Staline du 6 octobre 1951, http://www.cvce.eu
Staline, et du nucléaire, ça peut laisser pantois ou dubitatif. En 2008, j'ai quand même fait sauter un juge de son siège, on les dit inamovibles. Début 2011, j'ai infligé un vent à une étude de notaire... Et fin 2011, je me suis battu comme un chien, contre Maître Agathe Cordelier, elle a perdu. En 2010, j'ai fait recasser Versailles, et je faisais fermer des blogs à l'étranger... Staline, quoi, droit dans mes bottes, avec des réponses énergiques. Pour justifier tout ce bordel, des magistrats français avanceront une expertise « psy » et la trisomie de ma soeur aînée, on se situe toujours, quelque part, en union soviétique !
Staline, mais aussi Brejnev et ses psychiatres ? Je crois qu'avec de pareilles pirouettes, allusions ou parallèles, je dois être illisible pour plus d'un professionnels de la justice, je pense que la famille et les proches de Ilan Halimi confirmeront... Pareils sujets sont sensibles et susceptibles de heurter, surtout lorsqu'ils sont évoqués en cours d'audience.
Je me demande si Stéphane Guillon ne serait pas aujourd'hui le plus à même de me comprendre, lui, ainsi que Françoise Sironi, auteure de Bourreaux et victimes. Ce 16 au soir, pour Médiapart, Stéphane Guillon a tenté d'expliquer son malaise, ce qu'il a véçu ou perçu, il estime avoir été licencié par Radio France pour des motifs ou du fait de pressions politiques. Un jour, j'aurais peut-être l'opportunité de discuter avec Guillon d'une audience, fin mai 2008, en chambre du conseil, au cours de laquelle j'ai été humilé par le procureur, rabroué par un pasteur, houspillé puis débouté par le juge... Je pourrais lui parler aussi d'autres audiences au cours desquelles prévalaient souvent une morale juive, douteuse, parfois une morale catho ou plus humaniste, mais pas plus radieuse, et fréquemment la morale d'un pasteur à la perception apocalyptique du monde.
Un pasteur ? Ce Pays est laïque, pourrait-on me répondre. D'où je parle, m'a-t-on demandé sur Twitter. Pour moi, c'est assez évident. J'avais déjà ébauché une réponse, depuis la Moldavie française, un espace d'infra-droit où un et un ne feront jamais deux, où la justice rendue est entre médiévale et coutumière, archaïque, sauvage, où, comme conformément à des usages, ce sont toujours les mêmes qui sont priés de se taire, d'aller se faire « mieux conseiller », puis les mêmes qui se font débouter : la juridiction du juge pour enfant. D'accord, dans ces espaces, on peut occasionnellement « gagner » quand même, mais ce n'est parfois qu'au prix d'efforts soutenus et intenses, j'ai pu le démontrer entre le printemps 2008 et l'été 2009.
Staline, ces essais ou cette menance nucléaire, d'accord, c'est un peu excessif. Et je n'ai jamais envisagé de pirater ou de détourner ni des crevettes, ni le moindre missile M51 français, je le jure ! Au lieu de Staline, il aurait peut-être été préférable que je cite plutôt et à nouveau Deleuze, alors qu'au cours des années passées, j'ai mis à l'épreuve et parfois à genoux plus d'un professionnel du corps ou de ce qu'on appelle la « grande profession du droit ». Des théories, j'en ai développé ou réadapté plus d'une, « il faut que ça serve. Il faut que ça fonctionne... » et « on en fait d'autres. »
Sur twitter ainsi que sur Facebook, j'ai déjà abordé un peu ce que je développe dans ce billet. Sur Twitter, on m'a suggéré de ne plus trop m'épancher, m'avertissant que Maître Agathe Cordelier pourrait attraper le « blues ». Je vais donc faire un immense effort d'humilité dans ce billet, essayer en tous cas, tâcher d'être bref et concis, pas trop incisif. Mais en me lisant maintenant, d'autres que Maître Cordelier pourraient également soupirer... « M. KANT a récidivé, et il publie encore ! »
Sur Facebook, amusée, et tout en me soumettant une lecture, une amie très avisée m'a supplié d'arrêter de « briser des coeurs [ NDLR : de qui donc, Tristane Banon ? ] et des magistrats »... Un article récemment paru sur Psychopium explique que « la douleur physique aurait [ NDLR: je reste un grand sceptique, surtout lorsqu'il s'agit de « psychologie » ] deux composantes – sensorielle et affective –, chacune d’elles étant associée à une partie différente du cerveau. Les chercheurs en psychologie qui étudient la douleur ont montré que le cortex cingulaire antérieur dorsal (CCAd) et l’insula antérieure, qui seraient cruciaux pour la composante affective ou déplaisante de la douleur, seraient également impliqués dans l’expérience de la douleur sociale. [...] Il pourrait y avoir une explication évolutionniste à la sensation de douleur éprouvée en cas de rejet social. » J'ai le sentiment que mom amie souhaitait me parler d'opprobre et d'ostracisme, des expériences sociales que je connais très bien, et que Gérard Carreyrou, éditorialiste chez France Soir, connait également. J'ai le sentiment encore que mon amie, sur Facebook, a très bien perçue, elle-aussi, cette « forte animosité » déjà discernée par une chambre civile de la cour d'appel de Versailles, en janvier 2011. Les mots ont un sens, qui ne le sait pas encore, et les situations, leurs évolutions ainsi que les discours peuvent produire des effets assez variés... souvent inattendus, je pense que l'étude de Maître Charles Halter, Notaire à Saint Avold (57), pourrait aujourd'hui encore confirmer, je crois que le juge Xavier Serrier pourrait également un jour acquiècer.
A mon interlocuteur sur Twitter ainsi qu'à mon amie, je répondrais de façon lapidaire, en renvoyant à la lecture d'un article de Psychonet, à son châpeau au moins : « [ La tristesse a-t-elle des bienfaits ? ] Aussi étrange que cela paraisse, le blues est bon pour la santé car il aide les personnes à entreprendre de nouvelles choses en changeant de cap. » Je ne leurs ferais pas l'affront de leurs infliger la lecture de la prose ou des insinuations de Maître Eolas... ni d'ailleurs, celle de Daniel Zagury, « tout se soigne désormais », nous expliquait-il. A mon interlocuteur, sur Twitter, ainsi qu'à mon amie, Facebook et IRL, je répondrais surtout en plagiant So incredible !, de Jean-Loup Chiflet : « Si vous avez attrapé un éléphant [rose] par une patte de derrière et qu'il cherche à s'enfuir, il vaut mieux lâcher prise. »
Passé cette introduction, pour ceux qui s'intéresseraient à la situation de Valentine et de Arthur, je renverrais en priorité vers le blog de leurs soutiens, l'assocation ARVA. Ces enfants ne seront donc pas « placés », ils restent avec leur mère, je suis content, comme je l'étais par le passé, lorsque Aude et Jamel récupéraient leurs bébés « placés ». Il y a peu, Mallaury Nataf, SDF, refaisait surface avec Pause Café car son petit dernier a été récemment « placé » par un juge pour enfant de Paris, puis nous apprenions encore que la garde de deux autres enfants lui avait déjà été rétirée. Nataf qui a récemment commis un braquage médiatique pour sa manucure et pour se reloguer, ce tout en narguant ATD Quart Monde et l'AFMJF, n'imaginera certainement pas à quel point je suis content de savoir que Arthur et Valentine resteront avec leur mère !
Ce monde est petit, avais-je publié en octobre dernier. En lisant ce billet d'octobre, en lisant ensuite un billet de novembre (Chambon ?), je pense que #legens (même les plus débiles) comprendront rapidement pourquoi je ne souhaitais pas que Arthur et Valentine soient à leur tout « placés ». En lisant le Nouveau Détective de cette semaine, découvrant l'histoire de Chantal, 11 ans, caricaturale, un ultime plagiat de L'enfant proie, je me disais encore que Valentine et Arthur l'ont échappée belle. D'autre part, la cour d'appel de Paris ayant donc manifestement annulé une décision du juge pour enfant Hervé Hamon, un jugement motivé par un avis du « psychologue » ou charlatant Claire Davidson, l'arrêt rendu en faveur de Valentine, d'Arthur et de leur mère me sera d'une façon ou d'une autre utile pour critiquer encore plus vertement d'anciennes décisons et arrêts rendus par Nanterre et sa cour d'appel, Versailles. J'évoquais d'ailleurs ce sujet, très récemment, en chambre du conseil, à Versailles, dans des conclusions écrites... un arrêt doit m'être rendu tout début mars, je n'entre pas d'avantage dans les détails de ces « affaires d'ordre privées », mais aux dénouements tout de même susceptibles d'influencer les situations de milliers d'enfants français et de leurs familles. Je peux cependant déjà ajouter que mes conclusions, déposées le 20 janvier dernier, à Versailles, pourrait certainement faire blémir Nadine Morano, aujourd'hui à l'apprentissages, et par le passé, à la famille, à l'enfance aussi.
Sur Twitter, juste avant de me blacklister et en refusant des débats, après m'avoir parlé de « blues », un membre m'a encore parlé de « compréhension », je pourrais en avoir besoin... De la compréhension et même de la compassion, j'en ai, j'en éprouve suffisamment, notamment lorsque je publie dans ma rubrique Victimes.
De la compréhension, il m'est aussi arrivé d'en avoir pour Maître Eolas, surtout lorsqu'il me répondait sans s'être donné la peine ni de me lire, ni d'approffondir mes affaires en cours ou celles remportées, ni surtout la peine d'approfondir celles qui ont été foirées dans des prétoires, par ou avec la contribution de professionnels de son milieu, la justice. De la compréhesion, j'ai pu en avoir déjà pour Maître Agathe Cordelier, il est probable qu'elle ne m'ai pas lu ou qu'elle m'ait que très mal lu. Mais il est également probable que Maître Cordelier ait estimé inutile de me lire avant de me répondre, en décembre dernier, auprès d'un juge, qui a donc tranché. Un JAF a en effet récemment tranché, et je suis satisfait du résultat, je n'ai d'ailleurs pas fait appel - mon ex non plus, m'a-t-elle dit, le jugement rendu le 13 décembre dernier devrait donc aujourd'hui être définitif.
D'observations, parvenues à Maître Agathe Cordelier, le 5 décembre 2011,
puis remises au JAF de Nanterre, le lendemain, 6 décembre
« Une religieuse, mon ami, cela se prend dans une cellule, une nuit de mai, au pied d'un crucifix... » Anna de Noailles, que j'ai déjà citée dans ce blog, dans un billet parvenu au parquet général de Versailles. Plutôt que Noailles, j'aurai pu citer à nouveau Sartre, Sade ou même Jean Genêt... Genêt, peut-être un peu trop cru, très « explicite » et surtout trop direct, illisible ? Peut-être dans un prochain chapitre, ma fille aînée est déjà majeure, mais j'attend encore des arrêts de Versailles ainsi que de la cour de cassation.
L'été dernier, je recevais une requête couchée sur du papier à entête de la SCP Cordelier, un document duement signé et paraphé ; j'étais hilare, en larmes, avant même la fin de ma première lecture. En juillet ou en août dernier, entre des cours de salsa et de bachata, je publiais que « j'avais d'abord eu l'impression de lire une débutante. Après relectures, j'avais plus le sentiment que Maître Cordelier demandait à être déniaisée, en tous cas, ce serait fait, bientôt. » Je pense qu'à la Nuit du Hack, chez Mickey, fin juin dernier, je n'ai pas lâché un lapsus par hasard ; au cours de ma présentation, j'avais dit « érotique... » j'en parle un peu dans ce billet : Rachida Dati fait appel de sa condamnation pour diffamation.
Dès la fin de l'audience, chez le JAF, en décembre dernier, à Nanterre, j'estimais que tout s'était assez bien tramé et déroulé. Dans une réplique et ses conclusions, Maître Agathe Corderlier avait alors qualifié mes observations en réponse à sa requête de « diatribe » ; je réagissais ensuite rapidement, dans mon blog, en citant Victor Hugo, Choses vues, 1885 : « Lire des diatribes, c'est respirer les latrines de sa renommée. ». Puis à peine plus tard encore, alors qu'on m'avait fait part du résultat, je me disais que la tempête était passée, que je ne ferais pas appel, cela ne me paraissait pas nécessaire du tout.
Comment j'ai fait ? Quelques 80% de français qui pourraient un jour souhaiter échapper ou se soustraire de procédures parfois longues, douloureuses et onéreuses voudront peut-être plus de détails, comprendre mieux comment j'ai procédé, comment je me suis défendu. Je suis navré, ici, dans ce blog, tout est « d'ordre privé », le ministère de la justice confirmera.
Le plus éprouvant ou terrible, dans cette histoire, c'est que je trouve Agathe ravissante, surtout lorsqu'elle est fâchée. D'après le site Internet de la SCP Cordelier, depuis 2007, elle développe leur business ou « Pôle Droit des Personnes (Famille, Succession) », dirige leur « département Droit de la Famille ». J'ai le très net sentiment qu'elle et moi, nous ne sommes pas conçus pour nous comprendre. Elle est ravissante, je pense que beaucoup pourraient partager cette opinion, mais de toutes les façons, après la déculottée que je viens de lui infliger, rare, pour moi, c'est sans le moindre espoir - à vrai dire, je n'en cogne.
Sur Twitter, le Nouveau Détective de la semaine pourrait avoir un peu heurté, mais surtout pour des opinions sur les conditions d'incarcération en France : « le Club med »... un projet de loi récent semble un peu viser à faire changer ces choses. La protection de l'enfance, je pense que tous #lesgens s'en cognent : une unique réaction seulement concernant Chantal, 11 ans, et aucune ou peu, il me semble, concernant Valentine et Arthur. Mais sur Twitter, j'ai surtout perçu un peu de combativité puis un BL - je devrais être blessé ? - en faveur de Maître Agathe Cordelier. Dont acte.
Ce 17 courant, j'ai twitté, c'était plus fort que moi : « @Senat_Info Deux vitesses, l'une pour le suivi et le contrôle des familles, et une autre, tous freins serrés, pour le contrôle des pros :-) » Alors que certains étaient occupés par la garde à vue de DSK, je lisais que la commission des affaires sociales du Sénat avait adopté une proposition de loi sur le « suivi » des enfants en danger. Ca progresse, le dispositif est sur une voie d'amélioration, des améliorations qui pourrait suivre tranquillement, sans bousculer personne. Ce 17, je repensais assez rapidement à la dalle de Marina, à un mea culpa des services sociaux, ainsi qu'à septembre 2009... puis surtout à Lilly Alen, son tube Fuck You (very much).
Au cours des années passées, pour tenter de comprendre ce qui avait motivé leurs auteurs, j'ai souvent décortiqué ou suivi l'élaboration de discours, de rapports et de projets de lois. En 2010, Nadine nous avait fait des annonces, pour le moment, elles semblent avoir été suivies d'effets ; applause ! Encore des efforts dans nos assemblées, puis peut-être un Canard ou des couacs de plus, et cette nouvelle loi pourrait un jour être appliquée. D'ici là, les familles très en froid avec des services ou des travailleurs sociaux devraient s'empresser de déménager, lorsque c'est raisonnable et possible...
Enfance maltraitée : Morano veut améliorer le signalement Plus de 265 000 enfants sont sous le coup d'une mesure de protection. En septembre 2009, le corps de Marina, 8 ans, tuée par ses parents après des années de maltraitance, était découvert dans la Sarthe. Signalée à trois reprises, sa famille avait déménagé pour échapper aux services sociaux. Quelques mois plus tard, Lorenzo, 10 mois, mourait de faim et de soif dans son lit alors que sa mère, toxicomane, était hospitalisée. Le bébé avait été signalé à sa naissance à un juge des enfants, en Isère. |
Depuis quelques semaines, sur Twitter, beaucoup sont très critiques envers le bilan de Nicolas Sarkozy, critiques et souvent très préoccupés par la censure et la liberté de la presse ou d'expression également. J'observe et fréquemment, j'interviens dans ces flots de brèves, de petites phrases et d'altercations. Il y a quelques temps, un porte voix de l'UMP lançait que « avec le PS, c'est l'excuse permanente ». Tout en m'expliquant, en répliquant, je lui répondais que « avec l'UMP, c'est la fuite permanente ». Après ces échanges, j'ai lourdement insisté, ce porte voix de l'UMP, juste une enthousiaste, m'a finalement suggéré d'écrire à Sébastien Huyghe, membre de leur « cellute riposte ».
Quoi envoyer à Sébastien Huyghe ? Il me semble qu'il est un spécialiste du « fossé entre les citoyens et la justice », je vais lui faire imprimer et parvenir ce billet de blog, par la Poste. Récemment, une prof a été sanctionnée pour une correspondance parvenue à Sébastien Huyghe. Cette prof pourrait surtout avoir été sanctionnée pour avoir elle-même placardé sa lettre en public. Je suis curieux de la suite, quelle sera la réaction de Sébastien Huygues, lorsqu'il aura pris connaissance de mon envoi et appris que ce billet est public, comme de précédents billets, tous de nature et aux contenus tout à fait similaires ?
Avec des mensonges, tout peut paraitre très bien motivé
Comme souvent, j'ai édité ce billet en ligne. Pendant que je le développais, je suggérais la lecture de Sieg Versailles !
Certains de mes lecteurs pourraient souhaiter des explications... De source afmjf.fr, rubrique Contacts - Médias - Colloques • Vous êtes journaliste, chercheur, organisateur d’un colloque, parmi les représentants de l’AFMJF, vous pouvez solliciter : • Catherine Sultan, présidente de l’AFMJF et présidente du tribunal pour enfants de Créteil - tél : 06.18.04.06.48 • Thierry Baranger, président du tribunal pour enfants de Nanterre, ancien président de l’AFMJF et responsable de la revue Mélampous - tél : 06.63.71.48.65 • Martine de Maximy, vice-présidente de l’AFMJF et conseiller à la cour d’appel de Paris - tél : 06.07.18.61.00 • Robert Bidart, ancien président de l’AFMJF et juge des enfants à Pau - tél : 05.59.82.46.29 ou 06.20.19.63.40
A propos du cas Adolf Eichman, que j'évoque, plus bas, voir plutôt sur juger-eichmann.memorialdelashoah.org
Un spécialiste, par Rony Brauman et Eyal Sivan
Cette notion d'obéissance et de serment discutée au cours du procès Eichman peut faire peur. Nos magistrats ont tous prêté serment et nos fonctionnaires ont également tous des obligations, notament un devoir de réserve. Je me suis souvent adressé à des magistrats au cours de mes sorties, certains n'ont pu que compatir ou m'ont parfois encouragé à poursuivre sur des voies où je m'étais déjà engagé... JPR aussi a prêté serment, c'est un magistrat ; en novembre dernier, je lui avais remis un dossier ; je n'ai pas connaissance du moindre commentaire qu'il aurait formulé depuis. Le Défenseur des enfants obéit, lui aussi ; je l'ai souvent informé ou sollicité, et à chaque fois il m'a répondu qu'il ne pouvait pas intervenir car la justice était saisie. Nos élus obéissent également, tous. Quelques élus m'ont répondu, par le passé. Mais depuis la cassation de 2008, il ne me parvient plus grand chose... En mai, l'an dernier, à l'occasion de la journée internationale des enfants disparus, en public, devant l'hôtel de ville de Paris, j'avais interpellé et provoqué Nadine Morano ; mais l'entourage de Morano m'a lancé qu'elle ne pouvait pas formuler le moindre commentaire non plus. Dans ce pays, tout le monde semble obéir ou plutôt, avoir prêté un serment de fonctionnaire... Seul des historiens, à Blois, l'an dernier, m'ont répondu de façon assez courte mais très pertinente. Depuis la cassation d'octobre 2010, j'avais téléphoné plusieurs fois aux Dernières Nouvelles d'Alsace, à Hagenau ; ces journalistes m'ont répondu que cette histoire ou affaire était devenue trop « complexe », j'en ai conclu que ce canard local ne publierait pas autre chose que des articles qui flattent le pasteur d'Uhrwiller ; il est aussi possible que le journalisme d'investiguation soit mort. Au Monde et au Figaro, des spécialistes, des chroniqueurs judiciaires, m'ont plus sobrement répondu que ces sujets, « l'assistance éducative », et des jugements ou des décisions de la cour de cassation dans ces matières ne les intéressaient pas.
J'ai l'impression que la Cour s'est un peu perdue dans ses petits papiers, ou qu'elle s'est une fois de plus vautrée dans cet épais dossier « d'assistance éducative ». Plus je relis cet ultime arrêt, rendu ce 1er avril 2011, par la chambre des mineurs de la cour d'appel de Versailles, et d'avantage j'en rigole. Ce 4 mars, je ne demandais que du papier noirci d'encre, un délibéré, un simple « constat d'échec » ; quoi réclamer d'autre ? Merci les juges ou cette Cour « autrement composée », vous me l'avez rendu !
Le 4 mars dernier, les époux Clementz, ces tiers ou partis au procès mais toujours « dignes de confiance », étaient encore une fois absents et excusés, comme souvent. Pourquoi se seraient-ils déplacé ? A Versailles, même sans s'y déplacer, comme des juges, les Clementz ont aussi l'habitude de gagner à tous les coups, un peu comme le parquet général. C'était moins vrai auprès de la chambre civile, où le pasteur d'Uhrwiller avait été convié. C'était encore moins vrai en cassation, où la cour d'appel de Versailles et le juge Xavier Serrier comme les époux Clementz se sont fait sévèrement moucher, en 2008 et en 2010.
Le parquet général de Versailles doit être content. Il aurait fait observer que l'appel était devenu « sans objet » et, « subsidiairement », demandé la confirmation des dispositions du jugement du 30 juin 2008. Le parquet aurait-il formulé des demandes par écrit ? Ce 4 mars, il ne me semblait pas avoir entendu toutes ces demandes ou elles m'avaient parues un peu différentes, à l'oral. Quoi qu'il en soit... ou à vrai dire, aujourd'hui, je m'en contrefout, l'arrêt de mai 2009 restera cassé et annulé. L'arrêt de janvier 2010 aurait été annulé pour les mêmes motifs, un particularisme de bureaux dont ont profité ceux qui se sont opposés à moi au cours de ces dernières années, à Nanterre, ainsi qu'à sa cour d'appel de Versailles.
Le parquet général de Versailles, l'un des grands gagnants de cette histoire, le « sauvetage » de ma fille aînée, a systématiquement demandé et a à chaque fois obtenu la confirmation des jugements de Nanterre. Devant la chambre civile, en appel d'une décision du juge des tutelles, le parquet général s'était cependant encore une fois pris une bonne rouste ou un revers. Lorsque je faisais appel de la décision du juge des tutelles d'Antony, avec de nombreux écrits indiscutables, dont des jugements d'Antony, les magistrats de la chambre civile ne pouvaient ni tricher et très difficilement tromper...
Un parquet toujours gagnant à Versailles, auprès de la chambre des mineurs, auprès de la première présidence, ainsi qu'à Nanterre, chez le juge pour enfant, des travailleurs sociaux toujours neutres et bienfaisants, une justice et un dispositif de la protection de l'enfance très souvent critiqués en public mais toujours idylliques selon ces magistrats et dans ces prétoires ou bureaux du coin, des tiers ayant des intérêts particuliers dans des successions, des tiers récemment condamnés aux dépens par la cour de cassation, mais des tiers toujours et absolument dignes de confiance, selon le juge pour enfant et la chambre des mineurs, etc... et moi, débile ou parano, alors qu'il y a peu, la chambre civile avait bien relevé une « forte animosité » à mon encontre ? Car comme la cour de cassation qui statuait plus en droit, la chambre civile s'est en effet désolidarisée du juge pour enfant de Nanterre et du parquet. La chambre civile a finalement bien infirmé une décision du juge des tutelles d'Antony.
Fin 2008, alors que le juge Serrier, le parquet et la première présidence de Versailles allaient perdre, au cours de l'audience publique, l'Avocat général de la cour de cassation remarquait déjà qu'il s'agissait d'une affaire « douloureuse » et d'abord « d'assistance éducative ». Je pense que Pierre Vidal-Nacquet aurait pu en pouffer de rire, lui aussi, surtout après avoir lu encore « cruel et exceptionnel » dans l'arrêt rendu par la cour de cassation, fin octobre 2010 !
Ce 4 mars, à la cour d'appel, mon aînée Justine était également absente, c'était parfait ainsi, elle n'aura pas eu à s'exprimer ni surtout à entendre toutes les choses qui ont été dites en cours d'audience. Justine était cependant représentée par Maître Delphine Roughol, son cafard ou avocat d'enfant. Les enfants auraient des droits, un avocat leurs serait donc utile dans ces prétoires et bureaux ; mon ainée a été très favorisée au cours de ces dernières années ; selon des statistiques officielles que j'ai pu lire, rare semblent être les enfants et les parents bénéficiant des prestations d'un cafard, lorsque le juge pour enfant est saisi. Mais aujourd'hui, nous parlerons plutôt de la nécessité absolue de la présence des avocats en cas de garde à vue...
Ce 4 mars, je n'avais vu personne arriver, ni ma fille, ni les Clementz, ni l'ARSEA et ni Maître Rouhol. J'avais aussi pu constater que le juge Olivier Echappe allait présider ; cela m'avait rendu assez nerveux, ce que la Cour a pu constater avant qu'elle ne se retire pour laisser finalement sa place à une autre composition... Maître Roughol n'est arrivée que très tardivement, après le début des audiences ; nous n'avons pas échangé le moindre mot dans les couloirs.
Dans les conclusions que je déposais ce 4 mars, j'exposais moi-même que la présence de Justine dans ces prétoires n'était plus nécessaire car elle pouvait être représentée. Je l'exposais déjà dans des conclusions de décembre 2009. Ce 4 mars, je n'ai d'ailleurs pas exigé un renvoi comme je l'avais fait, en 2009, pour que Justine soit convoquée et pour que le pasteur Clementz puisse se libérer et être présent devant la Cour. Début 2009, alors que Justine et nous avions déjà pu renouer, je souhaitais que la Cour puisse entendre la demande de Justine, en personne ; depuis, nous savons que la Cour avait balayé sa demande, puis que la Cour et sa décision ont été cassées, en octobre dernier... L'audience de début mars dernier ne s'était déroulée qu'en présence de vrais gens de robe.
En décembre 2009, auprès de la chambre des mineurs et un collège présidé par le juge Olivier Echappe, je me plaignais une fois encore car, tout en refusant de m'entendre, des juges avaient dénaturé des éléments de la procédure ou de ce dossier « d'assistance éducative ». Dans son délibéré de janvier 2010, il apparaissait clairement que la Cour s'était un peu ressaisie, comme je le lui avais très vertement suggéré. Puis rebelotte, ce 1er avril 2011, tout repartait en vrille... Dans cet ultime délibéré ou arrêt et après une procédure ou audience pourtant à nouveau supputée contradictoire, il réapparait de très anciennes allégations que j'avais souvent contestées ou critiquées par le passé, et qui avaient finalement été écartées ou présentées avec beaucoup plus de réserves dans les motivations de la chambre des mineurs !
A quoi sert de fréquenter assiduement bureaux et prétoires si des professionnels de la Dass excluent de travailler avec vous, si des juges excluent contre expertises et révisions, mais que les juges s'octroient tout de même la possibilité d'opérer une très soigneuse sélection dans les choses dites jugées, et même la possibilité de revisiter ou de falsifier à nouveau l'histoire ? De 2008 à 2010, je pouvais comprendre pareille nécessité : il fallait absolument sauver le soldat Serrier... Fallait-il aujourd'hui aussi sauver le pair ou camarade Echappe et sauver à nouveau le juge pour enfant Anne Valentini ?
L'arrêt de ce 1er avril est une fois encore des plus croustillants. Lorsque cette forme d'infra-justice pour mineurs ou pour créatures inférieures est saisie, les parents ne peuvent pas obtenir de copies des rapports ou de pièces versées au dossier du juge pour enfant, c'est une loi assez strictement appliquée par les greffes, par tous ces professionnels de la Dass. Pour se défendre ou contrer ces moeurs, il est cependant parfois possible de tricher un peu soi-même, en retour, et d'emporter un dictaphone ou même d'utiliser discretement un appareil photo... Je n'avais même plus cherché à prendre connaissance du rapport de l'ARSEA de juin 2010, mais la Cour vient de me communiquer la substance qu'elle décidait d'en retenir :
Assistance éducative n° 87, arrêt du 1/4/2011, aff. n° 11/00005,
pas d'autre numéro ou référence RG, CA Versailles
D'entrée et comme pour me le reprocher ou pour me renvoyer au moins à une contradiction entre mes choix passés et mes discours actuels, ces gorets ou kapos du social avancent que je n'ai pas repris contact avec eux, ce qui est exact. J'en avais assez de leurs injures aux savoirs, à l'Histoire et à cette histoire, ainsi qu'assez de leurs écrits et propos mensongers, diffamatoires et dénigrants. La réciproque est également vrai, eux même ne m'ont pas recontacté non plus, et ils n'ont pas d'avantage supporté mes critiques publiques, ce qui est plutôt limpide maintenant dans des arrêt rendus par Versailles.
A partir de la mi-2008 et jusqu'à début 2009, j'avais retroussé et très vigoureusement brossé ces travailleurs sociaux, aussi énergiquement que j'avais déboulonné le juge pour enfant Xavier Serrier, un inamovible, un magistrat du siège. Suite à cela, Justine et nous avions enfin pu renouer, tout à fait sereinement, malgré toutes les interdictions pourtant strictement maintenues par ce même juge pour enfant, Xavier Serrier. En 2009, Dominique Wagner, une éducatrice de l'ARSEA, finissait très chaleureusement remerciée et Marieke Romain, aussi de l'ARSEA Alsace, entrait en scène. En septembre 2009, j'avais téléphoné et eu une très longue conversation avec cette dernière. Mais Marieke Romain n'en aura pas retenu grand chose...
Ces kapos du social ou de l'ARSEA Alsace s'imaginaient-ils que j'allais les retourner et les étriller à nouveau, de septembre 2009 à la mi-2010 ? N'y avait-il personne d'autre que moi pour leurs apprendre de meilleures manières ou pratiques professionnelles ? Ces juges et si bons travailleurs pourrait déjà commencer par lire maintenant le Journal des Droits de Jeunes n° 303 de mars 2011, à la page Enfance et respect de la procédure, une page qui aurait à elle seule pu achever mémé Mireille. J'en retiens d'abord la prose de Jean-Luc Rongé : « ... comme si son contenu [les rapports de tels travailleurs] valait par-dessus tout parole d'évangile » ! En 2004, cet arrêt récemment rendu et commenté dans ce JDJ aurait pu être utile à Madame Millet, elle s'était plainte d'une intervention, d'un fax envoyé par un juge, en cours de délibéré : « Qu'en statuant ainsi, au visa d'une pièce qui avait été transmise à la cour d'appel en cours de délibéré... Par ces motifs... Casse et annule ».
Au cours de l'audience, ce 4 mars 2011, et alors que je parlais des problèmes de santé de mon aînée, le juge Geraud-Charvert paraissait être assez ennuyé par ce qu'il avait lu et par ce que j'expliquais. Je ne crois pas qu'il ait lu la prose de Sara Choukroun. La Cour semblait plutôt avoir pris bonne connaissance d'une lettre ou d'un avis médical du 17 février 2005, du Docteur Philippe Babin, exerçant alors à Taverny. Selon l'arrêt du 20 octobre 2010 rendu par la cour de cassation, « il incombait à la cour d'appel de se placer au moment où elle statue pour apprécier les faits ». Mais étrangement, dans son arrêt rendu ce 1er avril 2011, la Cour n'évoque pas ma lettre du 29 octobre 2010 ou de précédents échanges avec le juge pour enfant Thierry Baranger, à ces mêmes sujets, la santé et la scolarité de Justine. A ces sujets, la Cour n'évoque pas non plus le jugement rendu en juillet 2010, par le juge pour enfant de Nanterre, et la Cour n'évoque pas d'avantage cet avis déjà ancien émis par le Docteur Babin. La Cour qui vient de rendre un arrêt supputé contradictoire n'évoque pas non plus une lettre de janvier 2005 de Richard Josefsberg et tronque également ce que j'avais exposé oralement, le 4 mars dernier.
Dans son rapport du 8 juin 2010, l'ARSEA répondait donc à mes « inquiétudes », des inquiétudes qui avaient été jugées légitimes par le juge Thierry Baranger. L'ARSEA affirmait porter une « attention régulière » sur l'état de santé de Justine et « qu'il n'y avait pas d'inquiétude à avoir » ; pour en avoir discuté avec Justine au cours de l'été 2009, je pense que ce ne sont que de gros mensonges. Par le passé, l'OSE France mentait aussi tout en affirmant qu'ils « prendraient toujours soin de Justine (..) comme ils le feraient pour leurs propres enfants. » Les travailleurs socieux de l'OSE France mentaient, de nombreux éléments (avis, attestations, radio, factures ou remboursements, correspondances du chateau de Vaucelles) me permettent encore de l'affirmer aujourd'hui. Les travailleurs sociaux de l'ARSEA seraient-ils vraiment plus sérieux que ceux de l'OSE France ? Je ne le pense pas, et d'ailleurs, selon des délibérés tel que celui rendu en janvier 2010, la cour d'appel de Versailles semble elle-même considérer que tous les travailleurs sociaux font un boulot de goret, ou à peu près de la même manière.
Au retour de la cassation, en octobre dernier, « il incombait donc à la cour d'appel de se placer au moment où elle statue pour apprécier les faits ». Dans l'arrêt rendu ce 1er avril courant, la Cour note qu'en juin 2010, le service AEMO de l'ARSEA « faisait le point sur l'orientation scolaire de Justine en 1ère ; ». C'est encore grotesque. La Cour semble avoir écarté aussi des débats quelques lignes du jugement pourtant rendu en juillet 2010, par le juge pour enfant de Nanterre. Il est ici évident qu'il n'est plus utile de faire appel d'une décision d'un juge pour enfant et qu'il est encore moins utile de se pouvoir en cassation. Mais sans référence à ces éléments récents ou anciens concernant la santé et la scolarité de mon ainée, l'arrêt du 1er avril courant, rendu par un collège « autrement composé », semble être parfaitement motivé, c'est probablement l'essentiel pour des magistrats !
Secteur 8, affaire 808/0170, parquet 0323010135
n° jugement 10/AE/... Nanterre, 27 juillet 2010
Je pense que la Cour a aussi pu se torcher avec les conclusions et les pièces que je lui communiquais, ce 4 mars, et que la Cour a aussi balayé une grande partie de ma plaidoirie. Ce 4 mars, je n'ai pas parlé que de « vertiges ». Ce 4 mars, j'avais aussi beaucoup parlé d'une « forte animosité » à mon encontre, ce qui figure bien dans mes conclusions écrites. Etc, etc...
Devant la Cour comme dans mes conclusions écrites, j'étais explicite. Contrairement à ce que notait finalement la Cour, je formulais une demande bien précise qu'il est d'ailleurs possible de lire ci-dessous, dans le même paragraphe : je demandais « que soit dressé un constat d'échec de la mesure AEMO qui était censée faciliter les relations père/fille ».
Encore de l'arrêt rendu ce 1er avril 2011, par Versailles
Je pense qu'en effet, la Cour et le parquet se sont torché avec mes conclusions et tout ce que j'exposais, par exemple, Voleurs d'enfants, un déjà vieux livre, d'août 2007, par Henri Darbes. J'ai le sentiment qu'assez gobalement, la Cour n'a pas du tout répondu à mes conclusions écrites. Je me référais, entre autres, à l'arrêt n° 2010/293 rendu le 10 mai 2010, par la cour d'appel d'Aix-en-Provence : « ... l'écoulement du temps ayant pu avoir effets négatifs sur la possibilité de la requérante de renouer une relation avec sa fille, quel que soit le contexte ; ». Bientôt 6 ans se sont écoulés depuis la « disparition » de ma fille aînée, chez les époux Clementz, à Uhrwiller. Cette décision d'Aix en provence qui n'est pas très surprenante condamnait l'Etat français. « N'ayant obtenu en tout et pour tout en dépit de multiples démarches qu'une rencontre... dans des conditions `'délicates"... l'exécution du droit de visite assisté avait été rendue impossible par la carence de l'association missionnée pour ces rencontres »... En 2009, lorsque Justine et nous avions à nouveau pu avoir des relations, sans interférences de gorets du social, tout se passait plutôt bien. Puis, soudainement, après l'été 2009, toutes relations avec Justine étaient à nouveau impossibles.
En septembre 2009, Justine replongeait dans le pré carré de l'ARSEA, pas trop loin du presbytère d'Uhrwiller, dans un milieu qui m'est très fortement hostile, depuis des années. Cette magistratüre du coin, ces kapos du social, de l'OSE France ou de l'ARSEA et le pasteur Clementz sont vraiment très drôles, surtout lorsqu'ils soutiennent qu'ils ont pu permettre à mon aînée de renouer avec sa « famille paternelle ». Les tensions et la « forte animosité » remarquée par la chambre civile, à mon encontre ainsi qu'à l'encontre de ma famille, sont perceptibles jusque dans le faire-part de décès de ma mère. En mai 2006, ma fille cadette avait 3 ans. Dans ce faire-part de décès, l'une de mes deux filles est inexistante...
De mon point de vue, quelques juges de Nanterre et des collèges ou ramas de juges de Versailles, des crevures du social et quelques autres créatures bienfaisantes tel que ce pasteur d'Uhrwiller et sa soeur ont plutôt le mérite d'avoir fait exploser ce qui était la famille naturelle, la vrai famille paternelle de Justine. Le 20 décembre 2010, je reçevais encore une lettre du Défenseur des enfants, il regrettait de ne pouvoir « intervenir dans une procédure déjà engagée », puis il concluait « En souhaitant à Justine de pouvoir construire sereinement sa vie d'adulte et dans les meilleures conditions, je vous prie de croire... »
Républicain Lorrain, 3 mai 2006
« Justine ne souhaitait pas revoir son père disant attendre de lui une réponse affective et non uniquement judiciaire et procédurière » ? C'est un laïus qui a été très souvent repris au cours de ces dernières années, notament par le cafard de Justine, Maître Delphine Roughol. Ces juges et professionnels de la Dass ont à mon humble avis un esprit particulièrement limité, et même très franchement étriqué. De la part de travailleurs sociaux, ce n'est pas très surprennant ?
Pareils écrits dans un arrêt de cour d'appel, de la part de magistrats professionnels, c'est assez grotesque aussi. Je croyais les juges aptes à prendre un peu de recul, je les pensais capables de discernement, aptes à prendre un peu de « distance » comme ils le disent parfois, dans leur propre jargon. « Pas d'affect pour sa fille », c'est une allégation qui manquait encore dans la pile de papiers que j'ai rassemblés au cours de toutes ces années. A chaque fois que je rentrais dans un prétoire, j'en ressortais avec de nouveaux écrits. Les juges, le pasteur, le procureur, les travailleurs sociaux et Maître Roughol m'ont assez souvent reproché de les avoir trainé dans des prétoires, d'où ils sont parfois sortis piteux, touchants, vivement déçus... Jamais je n'aurais imaginé qu'ils articuleraient pareils reproches dans une même allégation, une supposée absence d'affect de ma part, pour ma fille Justine, articulée avec le reproche d'avoir trainé des crevures d'abord dans des prétoires, puis jusqu'à la cour de cassation.
Lorsque j'ai expédié « Fuck You » de Lilly Allen, puis des suppositoires à l'Elysée, mes envois ont pu parvenir au chef de l'Etat, à Nicolas Sarkozy, ou au cabinet du président de la république française. A mon avis, ces envois ne sont pas parvenus à ma fille Justine. De même, lorsque j'expédiais un poussin crevé à Rachida Dati, Garde des Sceaux, Ministre de la justice, je ne pense pas que mon paquet parvenait à ma fille aînée. Car dans tout ce brouhaha, je crois distinguer mes enfants de ceux que je provoque parfois, je crois distinguer aussi mes enfants de ceux que j'ai trainé dans des prétoires, après y avoir été moi-même convié, très souvent, non par ma fille Justine, mais par d'autres individus ! Ces individus et le parquet n'assument pas...
Moi, « procédurier », selon des juges et ces travailleurs sociaux ? Qu'est-c'qu'on s'marre lorsque cette justice s'est vautrée ! En janvier dernier, une chambre civile de Versailles a infirmé une décision rendue par le juge des tutelles d'Antony ; sur cette voie souvent pénible et douloureuse aussi, l'étude de Maître Charles Halter a beaucoup et souvent été trainée dans la boue. Pour obtenir ce jugement, en janvier dernier, j'ai du travailler durant cinq années environ. La chambre civile ne m'a pas débouté, ne m'a pas condamné aux dépens, ne m'a pas condamné en raison d'un « abus de l'utilisation d'un droit ». La chambre civile a bel et bien infirmé une décision du juge des tutelles d'Antony. Bien sûr, ça peut faire chier autour de moi, surtout ceux qui échouent ou perdent, mais se défendre dans des prétoires, c'est encore légal et même assez souvent conseillé !
D'ici quelques temps, si Justine se faisait elle-même un peu mieux conseiller, elle pourra tirer profit de cet arrêt rendu par la chambre civil, en janvier dernier, s'en emparer à son tour et présenter une facture à l'étude de Maître Halter. En effet, comme cette étude a parfois travaillé bizarrement, puis n'a rien foutu ou rien pu faire pendant plusieurs années, les juges ont infirmé un jugement d'Antony. Mais ces juges ont tout de même désigné un administrateur ad'hoc, en raison d'une « forte animosité » à mon encontre, dans le cadre d'une succession de la famille maternelle. D'ici quelques temps, cet administrateur ad'hoc pourrait donc lui-même présenter une douloureuse à Justine, en personne...
« Procédurier », c'était une idée originale du juge Anne Valintini, de l'OSE France ou de Claire Davidson (une psychologue ou nicienne). Il fallait bien que ces gens trouvent un moyen pour se défendre, pour me répondre, et pour motiver leurs choix. Je pense que pour ces gens, il était impératif que je sois durablement discrédité, mes discours étaient déjà bien trop incisifs, notament mes discours contre Richard Josefsberg. A l'époque, j'étais à mon avis mal conseillé ; j'aurai du à plusieurs reprises tenter la récusation du juge Anne Valentini, elle tombait à coup sûr, au plus tard, fin juin 2005.
« Procédurier »... C'est bizarre. Début décembre 2008, à la cour de cassation, alors que je me défendais en personne contre le juge Serrier, la Cour ne m'a pas fait de reproches particuliers. Bien au contraire, le 17 décembre 2008, Xavier Serrier et la cour d'appel de Versailles se faisaient moucher par un arret de rejet, mais très bien motivé. Je n'en demandais pas plus. Début 2008, nous Justine et nous n'avions plus de relations depuis près de 3 ans, elles avaient été interdites par les juges. J'avais du sommer Xavier Serrier de juger. A l'époque, j'ai d'abord du convaincre un huisser de justice, il devait délivrer mes sommations. Plus tard, j'ai du convaincre un avoué afin qu'il glisse une requête auprès de la première présidence. Ensuite, j'ai du pousser le tout à la cour de cassation alors que la greffière en chef m'assurait que je me ferais débouter et condamner... Pendant tout ce temps, Justine et nous avions pu renouer. Mes enfants étaient même assez contentes d'avoir pu se retrouver.
« Procédurier » ? C'est un concept, une stratégie de défense que les époux Clementz ont assez souvent adopté, par exemple, en ne se présentant pas à la cour d'appel, en ne répondant pas au téléphone, en ne retirant pas leurs courriers recommandés... Maître Delphine Roughol se débrouille également assez bien à ces jeux là, négocier ou imposer renvois sur renvois, y compris dans le cadre de procédures plutôt urgentes, en référe.
« Procédurier », laissez moi rire, franchement. Les juges se sont-ils relus, cet arrêt serait-il truffé d'erreurs de plume ? Selon ce même délibéré du 1er avril 2011, « En substance j'indiquais en personne que depuis la fin de l'été 2009 je ne faisais même plus appel de la mesure de placement... » Pourquoi faire encore appel, puisque à Versailles, les juges avaient pour usage ou coutume de me débouter, systématiquement ? Je n'ai perçu qu'un réel changement auprès de la chambre civile, surtout après la cassation d'octobre 2010 et alors que je disposais d'une épaisse pile d'éléments matériels dans mes mains. Je crois qu'avec ce qui s'est passé depuis septembre 2009, il apparait plutôt que personne ne revient ou ne s'adresse à moi si je ne fais pas convoquer moi-même des adultes, dans des prétoires !
« Procéduriers », ainsi qu'une « forte animosité » à mon encontre ? Il est vrai que le cabinet du juge Anne Valentini ne fonctionnait que de façon très erratique, jusqu'à oublier parfois de me notifier des décisions, jusqu'à me notifier occasionnellement de façon tardive aussi, etc, etc. Je reste persuadé que ce juge des enfants avait fini par avoir elle même très peur de mes discours, je l'avais d'ailleurs bien perçu, en cours d'audiences. Puis après avoir été affectée dans un autre secteur que le notre, Bagneux, Anne Valentini avait tout de même décidé de conserver le dossier de mon ainée entre ses mains ; Anne Valentini et moi-même vennions alors d'avoir un échange très virulent, dans son bureau.
A la cour d'appel, j'ai plutôt trouvé les juges eux-même toujours très à cheval sur la procédure, très à cheval tout en étant parfois aussi extrèmement restricfifs sur l'interprétation du droit. En décembre 2009, la Cour a refusé mes appels de simples correspondances du juge pour enfant. Pourtant, d'après un guide de la protection de l'enfance, il pouvait être possible de faire appel de simples lettres d'un juge pour enfant. En faisant appel de ces simples lettres, je souhaitais alors d'abord pouvoir me référer à des évènements récents et nouveaux, figurant alors au dossier du juge pour enfant de Nanterre. D'une certaine façon, j'anticipais déjà l'arrêt rendu un an plus tard, par la cassation, nous apprenant que « il incombait à la cour d'appel de se placer au moment où elle statue pour apprécier les faits »...
Selon un article du Monde du 7 janvier 2010, Une encombrante voisine, Madame Clos aurait été procédurière. Je prend l'information avec les réserves qui s'imposent, ce n'est jamais qu'un article du Monde, un lynchage de précaution : « grâce à l'aide juridictionnelle qui assure aux plus démunis une prise en charge par l'Etat des honoraires et frais de justice, Chantal Clos a multiplié les actions, réclamant systématiquement des dommages et intérêts. » Maître Roughol est à l'aide juridictionnelle, versée par l'Etat. Les époux Clementz sont tiers digne de confiance et bénéficient d'une petite enveloppe mensuelle pour s'occuper de Justine. Mais depuis des années, les époux Clementz bénéficient surtout d'un très franc et nauséabond soutien du parquet et de la magistratüre du coin. Les travailleurs sociaux et les psychologues ou psychiatres désignés par les juges ont aussi bénéficié d'enveloppes, pour des missions, ainsi que du franc soutien de magistrats. Deux années de placement d'un enfant à Taverny representent une somme d'environ 100 000 euro, payés par la collectivité.
Je ne suis pas à l'aide juridictionnelle, lorsqu'il me faut un avocat ou le concours d'un huissier, je dois mettre la main à la poche. Sur 8 ans, j'ai du lâcher des euro par milliers. En cassation, en 2008, contre le juge Xavier Serrier, je n'avais même pas envisagé de réclamer des domages et intérêts, j'attendais tout autre chose de cette procédure précise ; la cour de cassation a rappelé le droit et dans le même temps, nous avions pu renouer avec Justine, puis tard, passer l'été 2009 en famille.
Justine souhaitait une « réponse affective » ? Que signifie ce charabia, « pas d'affect » ? D'après des professionnels du social, je n'aimerais pas ma fille ainée, et je ne ferais que m'amuser à répondre, à répondre à leurs mensonges et calomnies... Si ces gorets, le ministère public, ce pasteur et sa soeur n'étaient pas entrés dans nos existances et s'ils n'avaient pas arraché Justine de ma famille et de la région parisienne tout en nous interdisant toutes relations avec elle, je n'aurai pas eu à les faire convoquer et reconvoquer tous dans des prétoires. A versailles, en cours d'audience, des hypocrites en robe noire ont cependant assez souvent rassuré Justine, lui disant : « ton papa t'aime, ou il ne serait plus ici, à la cour d'appel » !
En mars 2008, le magazine Maxi a peut-être été excessif en publiant « je suis coupable d'aimer ma fille », l'auteur ou ceux qui l'ont renseigné se sont peut-être trompé de dossier. Cependant, avec le recul, le magazine Maxi avait éventuellement raison, surtout s'il s'est au préalable adressé au ministère public afin de se faire une idée plus globale de la situation de Justine. Une chose est plus certaine, les juges et Xavier Serrier m'ont beaucoup et souvent repproché la parution de cet article, dans Maxi. Et pour Maxi, la décision de justice était alors « incompréhensible »...
Maxi n° 1114, du 3 au 9 mars 2008
Je pense qu'effectivement, mes « réponses judiciaires » ont pu assez souvent ennuyer ma fille aînée, surtout à partir de son adolescence. Mais je crois que ces mêmes « réponses judiciaires », à chaque fois jugés légitimes par des juges, ont d'avantage ennuyé des adultes auxquels je me suis adressé au cours de ces dernières années, dans des prétoires, ainsi qu'encore dans cet ultime billet, publié sur Internet.
Je pense qu'en guise « réponses » ou de commentaires de cet arrêt du 1er avril 2010, ce sera à présent suffisant. S'il me venait encore quelque chose d'important ou drôle à l'esprit au cours des prochains jours, je l'ajouterais. J'ai maintenant surtout d'autres chats à fouetter, par exemple, sortir, beaucoup encore, et me distraitre également.
On rigole beaucoup à Versailles... et on peut s'amuser à Paris aussi
Il faut que je pense aussi un peu plus sérieusement à la cassation. Depuis que j'ai vu cet arrêt dans le JDJ de mars 2011 et vu mes conclusions déposées le 4 mars dernier, notament la page 30, je crois qu'un bon pourvoi est susceptible de passer à nouveau, un peu comme une lettre simple, par la Poste. Les juges viennent d'estimer que cet ultime passage à la cour d'appel était devenu « sans objet ». Pourtant, la situation actuelle de Justine est encore assez similaire à celle de juin 2008, elle est toujours « placée », en internat, et à mon avis, toujours « placée » sans raisons valables. Lorsqu'on a fini déplucher ces jugements et ces arrêts, leurs « motivations » semblent plutôt être des plus farfelues et fantaisistes.
Il faut également que j'approfondisse maintenant un peu plus le cas Adolf Eichmann, peut-être un personnage d'une assez banale et courante inhumanité administrative, un très zèlé ou dévoué haut fonctionnaire, peut-être un Maurice Papon, ainsi qu'approfondir un peu le procès Eichman qui s'était déroulé à Jérusalem, à quelques controverses ou polémiques sur ces thèmes. J'aimerais surtout éviter d'écrire n'importe quoi, ni risquer de susciter trop l'hilarité parmi des historiens, ni susciter non plus une très franche et virulente indignation au sein de quelques communautées ou associations juives.
Adolf Eichamn a été l'un des principaux architectes de la « solution finale » (Endlösung) ; « architectes » et non « artisants », car cette « solution » de destruction de masses a tout de même été poussée jusqu'à son industrialisation. Papon, s'en souvient-on encore, ou avons nous déjà quelques lacunes ou trous dans la Mémoire ? Papon, c'était d'abord Vichy. Or, pour ce qui concerne ma fille aînée, il ne s'agissait manifestement que d'une très courante « solution durable » et non « finale », une solution occcasionnellement « cruelle et exceptionnelle », mais rien de bien grave ou dramatique, juste des décisions « dans l'intérêt de l'enfant », et un de ces fabuleux « projets » habituellement élaborés et emplatrés par ces gens de robe, des spécialistes et ces professionnels de la protection de l'enfance. « C’est pas Auschwitz », c’est juste la Dass, et ce n'est vraiment que du bout des lèvres qu'il est envisageable de parler de La vie, après la Shoah.
Mais à tous ces sujets, quelques magistrats du coin martelleront que je n'ai rien d'un sachant quelque chose ou d'un pouvant démontrer quoi que ce soit. Par contre, le pasteur d'Uhrwiller, Isabelle Clementz, peut se contenter de « dire » et « d'expliquer », ce même coeur de magistrats confirmera systématiquement. Cependant, pour ce qui concerne la Shoah, l'Histoire et des recherches ou expérimentations plus récentes, il sera à mon avis tout de même préférable de s'adresser à des spécialistes autorisés, par exemple, ceux de l'OSE France. Kathy Hazan, historienne, peut parler de l'après Shoah, elle a contribué à la création de l'exposition « A la vie ! » Richard Josefsberg compte également parmi les autorisés et de vrais experts ou chercheurs de l'après Shoah. En cas de scandale, il faudra plutôt solliciter Jean-François Guthmann, il aura réponse à tout, c'est assez certain ; en 1993, il avait déjà pu préserver des emplois ou la réputation d'un fabricant de rillettes.
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Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège
Je ne vais pas attendre la fin mai, une audience à Versailles, puis d'avoir lu l'ultime lettre de cachet que rendra ensuite la cour d'appel. J'ai tranquillement rédigé et vais faire parvenir une lettre ouverte au juge pour enfant de Nanterre. Je suppose que le juge Thierry Baranger, « clinicien judiciaire », est toujours saisi du dossier de ma fille aînée.
Quelques uns de mes lecteurs pourraient encore être scandalisés par ce que j'envoie maintenant à ce magistrat du siège. Je leurs répondrais comme je pourrais répondre à un Mégel, à un Supéri ou leurs soutiens, ces derniers acquiesceraient très certainement : des pros de la Dass ne devraient pas sodomiser les gosses, ce n'est ni merveilleux, ni éducatif.
Ce qui suit est à peine différent des conclusions que je déposais en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles. J'informais ou éclairais alors très bien ces professionnels : « Après avoir plaidé, M. KANT ne se lèvera plus jamais devant aucune Cour ni aucun juge français. » J'assume, tandis que ces cafards se défilent tous ou restent retranchés en chambre dite du conseil. En janvier dernier, je pensais qu'il allait y avoir un changement ; mais je n'ai alors été convié qu'à prendre un thé dans l'entresol du palais de justice de Paris... je venais de commettre une offense au chef de l'Etat français.
Je pourrais lui en écrire ou lui en communiquer plus, éclairer mieux le juge pour enfant. Mais il n'y a pas urgence ni aucun impératif ou nécessité, la quille ou la fin de ce « placement provisoire », c'est en fin 2011. Je n'ai plus qu'à imprimer cette lettre et ses pièces jointes, en deux exemplaires ; dans les prochains jours, je m'arrêterais à la Poste.
Madame Muller a également publié un petit bilan de ses affaires en cours, dans son blog SOS Parents Abusés ou Villages de Marly : Serait-ce de l'acharnement ? Avec d'autres, je continue à la soutenir dans ses démarches, je l'aide à résister ainsi qu'à agir un peu. Cette autre histoire et pratiques « professionnelles » présentent d'étranges similitudes avec les pratiques de l'OSE France et celles de l'ARSEA. Quant aux récents discours de Laurence Ferrari, ils me rappellent beaucoup ceux qui ont été promus par Enfance et Partage, en novembre 2007. Peut-on parler d'impostures ?
Mais ces derniers temps, en attendant des audiences ou d'autres conférences et sorties, je préfère me distraire. Je me suis détaché du flot de l'actualité pour me consacrer à plus utile mais également à beaucoup plus futile aussi. Depuis quelques jours, je regarde souvent pousser mes plantes en me demandant comment exploiter des vieilleries russes.
Lettre ouverte
Monsieur le juge pour enfant,
Par le passé, Madame Carole Bulow, le corbeau de cette histoire, avait affirmé que j'aurais un jour acquis une maison « à Rambouillet », d'une manière douteuse, voire ignoble (pièce n°9). A l'époque, les juges du secteur courraient déjà comme de beaux lévriers après un leurre. Aujourd'hui et malgré mes multiples remarques, je pense que cette correspondance de ce corbeau figure toujours à votre dossier, parmi de nombreuses correspondances et avis ou rapports de nature et aux fonds assez similaires : calomnieux et diffamatoires, à mon encontre. Je pense aussi qu'aujourd'hui, de grands naïfs et des magistrats - dont vous même - courent toujours.
Il y a peu, le juge des tutelles rendait une lettre de cachet (pièce n° 1) en faveur de l'étude de Maître Charles Halter. J'ai fait appel de cette décision ; la cour d'appel a convoqué pour le 25 mai prochain. Je me plaindrais alors de l'inexistence du contradictoire chez le juge des tutelles. Je critiquerais encore une fois le travail de l'étude de Maître Charles Halter. Je sais cependant que cette démarche est vaine ; je connais aujourd'hui très bien les coutumes et les usages de la magistrature de ce pays. La Cour soutiendra le juge des tutelles et blanchira l'étude de Maître Charles Halter, notaire.
Je ne sais pas si vous avez pu lire les conclusions écrites que j'ai déposé, en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles ; si elles vous intéressent, vous les trouverez facilement sur Internet. En octobre 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier, un indéboullonable ou, selon votre jargon, un inamovible, sautait de son siège (pièce n° 6) ; j'avais engagé une procédure de prise à partie contre ce magistrat professionnel ; vous pouvez avoir oublié ou vous pourriez tout simplement nier ce passé, tout ce qui s'est tramé depuis, comme certains de vos compères pairs qui trônent à Versailles. Depuis octobre 2008, vous avez eu de nombreuses opportunités de me lire. Vous m'avez aussi reçu et entendu. Vous avez également lu, reçu et entendu ma compagne.
En mars dernier, je vous informais que ma fille Justine semble souffrir de vertiges, depuis de nombreuses années maintenant (pièce n° 7). Selon votre correspondance du 22 mars 2010 (pièce n° 2), vous paraissez m'avoir compris. Cependant, selon cette même correspondance, je constate que vous avez simplement transmis aux gorets de l'ARSEA. Eu égard aux informations que je vous communiquais, je suis surpris que vous ne leurs ayez pas réclamé une note d'information. Mais par le passé, alors que Justine était placée dans un établissement de l'OSE France, le juge pour enfant de Nanterre et Versailles n'en auraient pas fait beaucoup plus (pièce n°10).
Dans votre correspondance du 22 mars 2010, vous me suggériez de contacter l'ARSEA afin, probablement, de leurs parler de ces problèmes de santé dont se plaint ou parle parfois ma fille Justine. Entre juin 2008 et septembre 2009, j'ai bien essayé de discuter avec les gorets de l'ARSEA. Depuis, je n'ai plus aucun contact avec ces professionnels. Eux-même ne me sollicitent ni ne m'informent jamais. Je n'ai plus l'intention d'échanger quoi que ce soit avec ces gens là. Je ne me fais cependant aucun soucis pour ma fille Justine. Le pasteur d'Urhwiller, la soeur du corbeau, tiers digne de confiance, son avocat ou cafard, Maître Delphine Roughol, ainsi que vous-même, bourreau juge pour enfant, veillez aux intérêts supérieurs de mon aînée. D'autre part, selon la cour d'appel de Versailles, ma fille Justine est aujourd'hui en âge de se faire entendre, de préciser son point de vue et ses opinions. D'ici quelques temps, même si je ne « collabore » pas, vous pourrez donc confirmer ou infirmer les problèmes de santé dont parle ou se plaint parfois Justine.
La mère de Justine est décédée en 1999. Dans une correspondance du 3 décembre 2009 (pièce n° 5), vous me rappeliez que je suis toujours détenteur exclusif de l'autorité parentale sur ma fille aînée Justine - j'adore le cynisme et l'hypocrisie, surtout celui de professionnels de la justice ou de la Dass, n'hésitez pas à m'en renvoyer de pareilles. Dans les faits dont vous ignorez peut-être tout, ce sont d'autres que moi qui exercent l'autorité parentale sur ma fille Justine, depuis 2004 au moins. A l'occasion, vous pourriez envisager de me déchoir pour ne plus m'accorder qu'un simple droit très occasionnel et approximatif de surveillance sur ma fille aînée, ce serait plus conforme à ce que je peux encore exercer - car j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays.
En février dernier, selon France Soir (pièce n° 3), Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat à la justice, a « enfin insisté sur le soutien à l'exercice de l'autorité parentale, en constatant que les mesures prises à Mulhouse avaient eu des résultats `' en demie teinte ", certains parents étant `' totalement déconnectés " . » La chancellerie elle-même pourrait déjà s'être fait une raison : mener des expérimentations ou confier des missions à l'ARSEA, ce n'est peut être pas la panacée. Mais vous êtes indépendant ; vous pouvez encore vous obstiner ou persister et vous référer toujours à ce que des gorets vous rapporteront ainsi qu'à ce que le pasteur d'Uhrwiller vous expliquera. Vous pouvez bien évidemment faire suivre également la présente aux services concernés de l'ARSEA, en Alsace, soit ceux d'Ostwald, dirigés par Monsieur Thomas Resch ; mais je pense qu'ils n'en feront pas grand chose.
Vous pouvez savoir que, depuis 2005, mes paroles et écrits en public comme sur Internet ont fait l'objet de très nombreuses critiques ou complaintes en chambre du conseil, à huis-clos. Fin mai 2008, le ministère public en la personne du substitut Laeticia Felicis, le pasteur d'Uhrwiller et le juge pour enfant Xavier Serrier m'avaient supplié de supprimer mon blog ; en 2009, la cour d'appel de Versailles confirmait en tous points ; en janvier 2010, la cour d'appel de Versailles confirmait à nouveau. Mon blog est toujours en ligne ; récemment, deux huissiers de justice ont matérialisé tout son contenu (pièce n° 4). Pour le moment, je n'ai nullement l'intention de faire disparaitre un jour mon blog d'Internet. La présente lettre ouverte à votre attention est publié dans un billet dont le titre est le suivant : « Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège ».
Dans un billet du 3 avril 2010, je publiais peut-être tout aussi intéressant que la présente, « Un bilan », une synthèse grossière, après sept années « d'assistance éducative ». Je vous en joins l'essentiel (pièce n° 8). Vous remarquerez peut-être qu'avec d'autres, je soutiens une mère qui est elle aussi priée de faire disparaitre son blog ; depuis juin 2009, elle subit de plus en plus de pressions et vient de recevoir une ultime lettre d'intimidation ou de mise en demeure. Un petit procès pourrait suivre à l'occasion duquel elle est susceptible de déterrer de très vieux textes, de 1881, relatifs à la liberté d'expression, ainsi que de plus récents, de juin 2004, relatifs à la confiance dans l'économie numérique.
Vous souhaitant bonne lecture, je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de mes plus respectueuses salutations.
Copie à Madame Michèle Alliot-Marie,
Garde des Vélodromes et Ministre de la Justice
P.S.: Ma soeur trisomique t'emmerde, pas qu'un peu, et elle emmerde tout autant tes pairs et ton ministère public. Si t'es pas content, trouve toi un drapeau français.
Pièces jointes, toutes publiées et commentées, parmi d'autres, sur Internet :
1) Une ordonnance du 15 mars 2010 du juge des tutelles,
2) Une correspondance du 22 mars 2010 de Monsieur Thierry Baranger,
3) Un coupon de presse taillé dans France Soir du 19 février 2010,
4) Un extrait d'un constat d'huissier du 15 mars 2010,
5) Une correspondance du 3 décembre 2009 du juge des enfants,
6) Une correspondance du 28 octobre 2008 du juge des enfants,
7) Une correspondance du 8 mars 2010, au juge pour enfant,
8) « Un bilan », d'un billet du blog http://justice.cloppy.net,
9) Une photo d'une lettre du corbeau, au dossier du juge pour enfant,
10) Une main courante de janvier 2005, un document « confidentiel »
Sieg Versailles !
Je viens de recevoir du courrier. J'apprends que la magistrature du coin reconnait enfin que ma fille cadette est née en 2003, ce qui figure depuis toujours aux fichiers de l'état civil ? Mais ce n'est peut être qu'une coquille dans le dernier arrêt rendu. En effet, selon « l'autorité de choses jugées » par le passé, par Versailles ainsi que par Nanterre, ma cadette devrait être née en 2001... Que de progrès après cet ultime appel. Encore un ou deux passages à Versailles et les juges du coin reconnaitront peut être timidement que la Shoah, ce n'est pas qu'un mythe ?
Dans ce même arrêt on me reproche de ne rien démontrer tout en me déniant encore tout droit et même possibilité de le faire un jour ? Par contre, le pasteur d'Uhrwiller « expose », « dit », « explique » en un très court paragraphe, et la Cour suit... Je ne peux que repenser encore à ces juges qui marchent au pas aux côtés de ces grandes figures d'avant 1905.
Feuilleter La République et l'Eglise (il y a un siècle)
Je crois que la chambre des créatures inférieurs n'a pas compris que je n'attendais plus qu'une choses de sa part, soit qu'elle se ressaisisse, soit qu'elle recrache encore du papier noirci d'encre, ce qu'elle vient à nouveau de faire.
Je constate aussi que le cadre défini par le juge Thierry Baranger a définitivement volé en éclat, fin juillet dernier. Selon lui, ce n'est pas à l'enfant de décider, or il apparaitrait maintenant que l'enfant est à présent ferme : Justine ne veut pas être scolarisée à Paris, elle exige de rester à Hagenau ? Quelle importance après tout, elle est « placée » là bas aux frais de la collectivité... Par ailleurs, les travailleurs sociaux de l'ARSEA ou ces kapos du social ne souhaitant pas travailler avec moi, je pense que plus globalement, la décision confirmée ce 15 courant, par la Cour, restera sûrement inexécutée, comme de précédents jugements ou arrêts rendus par Nanterre et Versailles. Mais conformément aux usages de la Cour, comme depuis plusieurs années déjà, le jugement déféré est confirmé en tous points. Il suffisait à sa Cour de motiver mieux. A la suite, quelques extraits. Mes conclusions déposées en décembre dernier semblent avoir été lues.
Le pasteur d'Uhrwiller n'en peut plus de « ce cirque », que je ferais souffrir à Justine ? Pauv'chérie ; le pasteur devrait lire du Barella, elle s'apercevra qu'hors de sa paroisse et des huis clos, ce même cirque peut faire rire. J'avais très bien expliqué à l'ARSEA que Justine en personne ne souhaitait plus retourner dans les prétoires, que sa présence n'y était plus requise puisqu'elle peut y être représentée par son avocate, susceptible de mieux la conseiller aussi. En décembre dernier, Justine n'y serait-elle plus venue de son plein gré, bien entourée par Mme Romain, son avocate et ce même pasteur ? Ce n'est pas son père qui a trainé Justine à Versailles, ce 11 décembre dernier ; mais elle a pu y être convoquée par la Cour... qui note : « Justine a souhaité être entendue en présence de son père ». Tout ce cirque nous serait-il à tous imposé par l'enfant qui n'en ferait qu'à sa tête ? Ne serait-ce pas précisément ce que le juge Thierry Baranger souhaitait un jour assainir ?
Je pense que d'ici quelques temps, je vais me faire un plaisir de répondre à la Cour, notamment sur des points sensibles et particuliers tel que celui du « prosélytisme religieux abusif ». Ca va beaucoup plaire à Richard Josefsberg, de l'OSE France ; il gémissait déjà mi 2005, c'est un peu suite à cela que le si bon Docteur Magalie Bodon-Bruzel est intervenu dans ce dossier « d'assistance éducative ». Mais je parlerais plutôt de pratiques proprement sectaires. J'ai tout mon temps pour murir une réponse. En effet, en décembre dernier, la Cour me rappelait bien que la quille, soit la majorité de ma fille aînée et la fin de ces mesures « d'assistances éducatives », ce n'est que dans deux ans ; d'ici là, Justine restera donc en Alsace, avec un pasteur et une sociale travailleuse - point. D'autre part, ce n'est qu'en octobre 2012 que l'OSE fêtera son centenaire, ce qui me laisse également assez de temps pour rédiger un petit pamphlet.
Mais pour « bien » répondre déjà au petit paragraphe, plus bas, publié sous la lettre de la MIVILUDES, d'avril 2006, soit à ces pitres en robe noire ainsi qu'au Docteur Magalie Bodon-Bruzel, un bouffon en blouse, et à son prédécesseur, Madame Claire Davidson, je ne vais pas me gêner et publier bientôt l'intégralité d'autres décisions de justice qui ont été rendues par d'autres prétoires que ceux de Nanterre et de Versailles, tel que :
- celle rendue en 2002, par Strasbourg(67), un non-lieu d'un homicide involontaire, suite au décès subit de la mère de Justine, en milieu hospitalier,
- celle rendue en 2005, par Antony(92), par le juge des tutelles, qui confirmait finalement mon statut d'administrateur légal des biens de Justine, quelqu'un souhaitait que je sois déchu,
- celle rendue par Anthony(92), début 2007, qui m'inscrivait sur la liste électorale alors que des représentants de la préfecture et du TGI de Nanterre avaient refusé de le faire,
- celle rendue par le tribunal administratif de Strasbourg, qui a étouffé mon recours contre l'Etat suite au non-lieu rendu en 2002,
- l'arrêt rendu en décembre 2008, par la cour de cassation, déjà publié dans ce blog, qui reste toujours sans le moindre commentaires, comme ces vidéos,
- une correspondance de septembre 2009 qui confirme que je détiens toujours et malgré tout l'autorité parentale sur ma fille Justine,
- le très simple et si sobre rappel à la loi imposé en décembre dernier, par le parquet de Paris, je venais de déployer une banderole dans cette cité, à l'occasion des 20 ans de la CIDE
Notant d'abord que ma soeur aînée est trisomique, le Docteur Magalie Bodon-Bruzel affirmera que rien de tout cela est réel. Madame Claire Davidson poursuivra, dans le prolongement de l'OSE France : « M. KANT est un très vilain procédurier, il est peut être dangereux ». C'est à ce moment là qu'interviendra ponctuellement le juge Thierry Reveneau, soutenant que « les larmes versées à l'audience par l'enfant démontraient... » On s'apercevra peut-être aussi que les paranos, les zinzins ou les oies sont plutôt du côté de ceux qui recherchaient mes comptes au Japon, ceux sur lesquels j'aurai pu verser les fortes sommes perçue suite à mon recours contre l'Etat, après le décès de la maman de Justine... Je percevais 90 euro par mois, l'allocation dont peut bénéficier tout orphelin d'un parent. Depuis plusieurs années, cette allocation est due à Madame et Monsieur Clementz qui n'a à ma connaissance jamais le moindre compte à rendre à personne. Madame et Monsieur Clementz bénéficient aussi des indemnités de tiers « dignes de confiance » et bénéficient aussi comme du soutien de toute une institution. En effet, ils n'ont jamais eu besoin du moindre avocat dans les prétoires du coin.
Je pourrais encore retrouver d'autres jugements ou republier aussi des correspondances qui m'ont été adressées par divers ministères, élus, Conseils généraux, par l'Elysée ainsi que par divers services tel que le SCPC. En regard de tout cela, Madame et Monsieur Clementz, les tiers « dignes de confiance », un statut qu'ils revendiquent et que leurs accorde gracieusement la Cour, ne pourront rien avancer du tout ? Les arrêts de Versailles, les jugements rendus par Anne Valentini, voire même ceux qui ne m'ont jamais été notifiés par Nanterre... Le pasteur d'Uhrwiller pourra aussi « exposer », « dire » et « expliquer », peut être un peu prêcher aussi.
Mais je crois que je publierais d'abord le mémoire du juge Xavier Serrier qui se défendait contre moi, à la fin 2008. Tout le monde pourra alors constater comment ce dernier se sera défendu contre moi, en cassation, me réclamant 2 500 euro qu'il n'a jamais obtenu. Je venais de le pousser de son siège. Quelle offense, un magistrat du siège est réputé inamovible ! Aurais-je vexé la magistrature française pour avoir touché un jour et vraiment l'un des leurs ? Certains « aspects narcissiques » seraient alors à rechercher maintenant ailleurs qu'à Bagneux, dans le 9-2.
De l'arrêt rendu ce 15 janvier 2010,
par la cour d'appel de Versailles