Mot(s) clef: proku
Un rapt et séquestration de mineur, une ou deux disparitions forcées ?
Il va falloir que j'y réfléchisse un peu plus. En tous cas, du point de vue de l'ONU, le sujet pourrait être sérieux. Faire disparaitre les gens, c'est mal ? Un sujet susceptible d'être aujourd'hui sérieux pour la France également :
Journée internationale des victimes de disparition forcée (30 août 2020)
De source www.diplomatie.gouv.fr, extrait pris ce jour :
Le 30 août, la communauté internationale commémore la journée internationale des victimes de disparition forcée.
À l’occasion de cette journée, l’Argentine et la France rappellent leur ferme attachement à la lutte contre l’impunité en matière de disparitions forcées et leurs pensées vont aux victimes et à leurs familles. Ces graves violations des droits de l’Homme sont inacceptables et doivent être condamnées par la communauté internationale.
Considérée comme l’un des traités fondamentaux dans le domaine des droits de l’Homme, la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées (2006) offre d’importantes mesures de prévention et a permis le renforcement de la coopération pénale et de l’entraide judiciaire.
Une disparition, un rapt de mineur, j'en ai souvent parlé par le passé déjà. Et ça faisait énormément chier les juges ainsi que le parquet. Ces gens là - péjoratif - ne supportaient pas grand chose, ni d'ailleurs que j'agisse dans leurs tribunaux :
« Attendu que M. KANT est bien trop bavard » (c) Xavier Serrier, juin 2008
Absolument tout devient ainsi prétexte à vous débouter, sans qu'il n'y ait jamais le moindre débat sérieux sur le fond. Mais ça paraitra légal, juste, parfaitement motivé, surtout si dans la foulée, une première présidence saisie en référé refusait de suspendre le jugement ainsi rendu, bâclait aussi vite fait la procédure de prise à partie, puis que plus tard, un collège de la cour de confirmation d'appel confirmait, réconfortant ou soutenant davantage le même magistrat du siège...
Je doute que tous ces faits soient prescrits. Et il faut que j'y réfléchisse plus. Car j'avais moi-même fini détenu, enfermé cinq longues semaines, séquestré, après ou pour avoir pu discuter avec des journalistes du Parisien... Leur parler était inadmissible ? Disparu en service psychiatrique, qui n'avait finalement rien trouvé d'anormal chez moi, sinon que je protestais encore, me plaignant de ce qui avait été infligé à ma famille, à mes enfants, à moi même. C'est plutôt en Chine ou dans ces autres contrées éloignées et régulièrement taxées de totalitaires qu'on fini « traité » pour avoir bavardé :
Moi ou mes discours, « dangereux pour l'ordre public » ?
La proküratura a déposé son avis ? Ha ha, notre bienfaiteur !
Mes discours ? Et ce que je publie ? « Est-ce une raison suffisante pour l’enfermer ? »
Evidemment, nous diront la magistrature, leurs camarades, comparses et compagnons !
Mars/avril 2013, aucun des faits dont je me plaignais n'étaient prescrits. J'en parle à des journalistes du Parisien et puis la préfecture de Paris me fait disparaitre en psychiatrie... A moins que j'y ai été poussé par le commissaire, en tous cas, je suis passé par la case I3P. « Ce que vous racontez est calomnieux », m'envoyait ensuite un psychiatre, à Paul Giraud ; et alors ? Pourraient à nouveau suivre les questions à la con ou d'usage. « Aviez vous un avocat, avez vous fait appel, déposé une plainte ? Qu'est-ce que vous avez fait, la correctionnelle, c'en est où ? » Vers la fin août, j'ai essayé de prendre un rendez-vous au commissariat du coin, pour un dépôt de plainte, mais c'est tombé à l'eau :
Purée, quelle époque, tendue. Depuis tout ce temps, je me demande encore si en juin 2008, Xavier Serrier rendait un jugement dans l'intérêt de la mineure, séquestrée, disparue, ou sachant la procédure de prise à partie contre lui-même bien engagée, pour présenter ultérieurement sa décision à la cour de cassation, pour sa propre défense. « Il a relevé que les raisons qui avaient conduit au placement de la mineure demeuraient, que son retour chez son père mettrait gravement en péril son équilibre psychologique et qu’il appartiendrait à ce dernier de modifier son attitude et son discours... »
D'un arrêt du 22 mai 2009, « collaborer » avec les kapos de l'ARSEA Alsace m'était inaccessible
Selon Xavier Serrier, il aurait fallu que je change de discours pour susciter chez ma fille l’envie de me rencontrer… Mais à cette période, comme depuis l’été 2005, je n’avais aucun droit de visite ni d’ailleurs de droits de communication avec mon ainée, de quelque nature que ce soit (courrier, email, electronique…). Ni jamais la moindre nouvelle de mon ainée, ni aucune sur sa santé, sa scolarité, etc. Et pour le parquet de Nanterre, un substitut s’était exceptionnellement présenté à l’audience de mai 2008, il aurait fallu que j’interdise à France 2 de diffuser un reportage que des journalistes étaient en train de filmer. Pour autant, ce substitut me disait alors que : « pour le moment, la diffamation, ça va. » Passé cette audience, fin mai 2008, provoquée par la sommation de juger, puis la diffusion de Faits Divers, le Mag, début juin 2008, très vite, nous avions pu régulièrement discuter avec elle, au téléphone, à l’insu de tous, dont de ces « professionnels ».
Ce fumeux « péril psychologique », j'y ai jamais cru ; d'ailleurs après ce juge, Xavier Serrier, un autre est arrivé au siège, et sans que j'ai eu à changer, ni d'attitude, ni de discours, d'aucune façon de personnalité, puis contre l'avis de certains encore, notamment les travailleurs sociaux, après m'être rapproché de mon ainée, nous avions pu passer un été en famille. Quelques six semaines tranquilles ; puis tout s'était à nouveau gâté, envenimé... On ne lute pas si facilement ni indéfiniment, tout seul ou quasi, contre des tiers, des travailleurs sociaux, des magistrats et des autorités obstinées, déterminés à vous faire passer pour un abruti, défaillant, maltraitant, qui a sa place en psychiatrie, et même en UMD, chez les extrêmement dangereux, à exclure, un danger pour l'une de mes filles, celle qu'ils prétendaient « sauver ».
La « psychiatrie », la psychiatrisation ou des palabres de cette nature, sans que je ne puisse me défendre décemment, une offense en soi, on en reparlera peut-être à l'occasion. Ma mère avait longuement présidé une AFAEI... Mais on peut également en rire, ça ne me pose aucun problème. J'ai moi-même souvent rit en lisant et en relisant une page du DSM-IV-TR cas cliniques, American Psychiatric Association, paru en 2008. Ah, ces Chinois, et les Soviets, ces saletés
Le juge Xavier Serrier qui m’estimait également carencé, malcomprenant s’agissant de droit, « des notions qui vous dépassent », devrait avoir lui-même gardé un excellent souvenir de cette époque, du printemps à la fin 2008. Depuis, ainsi que après une nomination l'administration centrale du ministère de la justice, il a été promu à la cour de cassation, pour son expertise aujourd'hui certaine en statut de la magistrature, ces intouchables :
L'arrêt ensuite rendu est publié sur Légifrance, de rejet, mais motivé
« Vu l'article 700 du code de procédure civile, rejette la demande ; »
Un petit mot de mon ainée, reçu vers la fin 2008
« Magistrat, juste une carrière de bourreau », en disait Laurent Leguevaque
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Petite note
D'un post semi private que j'ai envoyé à l'attention de @..., qui connait des choses, sur Facebook...
Et voilà, c'est fait, depuis un moment je manquais de temps pour cela, cette courte note est enfin ajoutée.
Richard Josefsberg, une médaille, en présence de Jean-François Guthmann, expert en rillettes pas du tout fraiches (et très accessoirement en présence aussi du Grand Rabbin de France Haim Korsia), je rigole, rien ne les étouffe
Juste un regret, que Agnes Josefsberg, experte en AEMO, de l'OSE, n'ait pas pu assister à cette cérémonie...
Ne manque plus qu'une médaille pour Xavier Serrier et pour son dévouement à la Magistratüre ou à la Prokuratura.
Par ailleurs, il semblerait qu'une gendarmette, sa hiérarchie et un Procureur sont en de très bonnes voies également.
Pour les 30 ans de la CIDE, n'y avait-il pas mieux à faire que de récompenser ce Richard là et son cloaque ?
Mais depuis tout ce temps, on s'en fout, je crois. Et que chacun de ceux là aient dérivé et fauté, on s'en fout.
Ce Richard ou ce ringard de l'OSE France va-il protester ? J'y crois pas non plus, il s'effondrerait très vite.
Le juge ou le magistrat Serrier ne protestera pas, il n'a jamais pris un tel risque. Le ferait-il un jour ?
On s'en contrefout, on pourrait raconter n'importe quoi, ici, ça laisse juste indifférent.
Je retourne à d'autres occupations, celles-ci, ici, ne sont que stérile, nauséeuse ou irritantes.
Image/info de source www.ose-france.org
La perle du lendemain était offerte par l'Intérieur, à Mohamed Khattabi
Nous avons déjà du mal à reconnaitre une autorité au parquet français, au ministère public, le Garde des sceaux et ses procureurs - « le procureur est là pour exécuter les décisions du garde des Sceaux et si ce n'est pas le cas, il faut le changer », lisions nous dans Entreprendre, en mars 2009. Dati et l'UMP contre les petits pois, toute une histoire...
Avons nous maintenant fini de nous embourber, toute l'autorité est-elle déjà captée par le gouvernement, ses ministres, la Prokuratura, les préfets et les forces telles que de police (ainsi que gendarmerie, douanes, fisc, Renseignement, indics et délateurs...) ? Contrairement à Me Arié Alimi, je doute fort que l'abrogation de l'assignation de cet imam de Montpellier soit une victoire, une grande victoire de l'Etat de droit. Ce dernier prévoirait plutôt un contrôle de l'Administration par l'autorité judiciaire, une autorité indépendante et impartiale, et non des assignations puis des levées à la faveur d'opinions élaborées dans des bureaux, avec des notes pas toujours très claires et avec des coups de téléphone.
La prochaine perle, très attendue, nous sera rendue par le Conseil constitutionnel. La loi du 20 novembre dernier est-elle conforme ? C'est assez probable. Sur le site web de ce Conseil, une page sur Michel Debré et la protection de la liberté individuelle par l'autorité judiciaire nous apprend que ce ministre avait songé à intégrer l'Habeas corpus dans la Constitution, qu'il avait également bien songé à « préserver les intérêts supérieurs de l'État ». L'article 66 de la Constitution du 4 octobre 1958 reste aujourd'hui ainsi rédigé : « Nul ne peut être arbitrairement détenu. L'autorité judiciaire, gardienne de la liberté individuelle, assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi. » Michel Debré, quelques ex ou déracinés de la Réunion lui en voulaient encore récemment, beaucoup...
« Les services sociaux vont mettre un zèle particulier à une mission qui, selon l'IGAS, jouira de "l'attention personnelle de Michel Debré" . Les familles en difficulté sont légion. Misère, alcoolisme, illettrisme font des ravages. Les 2 CV de la direction départementale de l'action sanitaire et sociale (Ddass) vont sillonner l'île pour alimenter le pont aérien et contenter leurs supérieurs. » • Les enfances dérobées de la réunion, le Monde, 15 septembre 2005
« Mesdames, Messieurs, La loi de 1958 sur l'assistante éducative, modifiée en 1970, a été conçue à une époque où les enfants étaient fréquemment placés d'une manière abusive, et abusivement prolongée sans réexamen de leur situation personnelle et familiale. Afin de mettre fin à ces pratiques, la loi a été construite en mettant au cœur de sa logique `'l'aide et le conseil à la famille", le service chargé de cette action devant suivre le développement de l'enfant et en rendre compte périodiquement au juge des enfants. Si un retrait de l'enfant de son milieu naturel s'avère nécessaire, une telle mesure doit être réévaluée au minimum tous les deux ans. L'exposé des motifs de la loi de 1958 indique que cette loi `'s'inspire d'études préalables très poussées, de l'expérience, des enseignements du droit comparé". ... » • Proposition de loi n°2014 sur la protection de l'enfance... décembre 2004
MONTESQUIEU
Qu'en sais-je ? car, d'après vos paroles, je vois déjà qu'ils dévieront quand il s'agira d'intérêts politiques.
MACHIAVEL
Ils ne dévieront pas ; ils feront leur devoir comme ils doivent le faire, car, en matière politique, il est nécessaire, dans l'intérêt de l'ordre, que les juges soient toujours du côté du pouvoir. Ce serait la pire des choses, qu'un souverain pût être atteint par des arrêts factieux dont le pays entier s'emparerait, à l'instant même, contre le gouvernement. Que servirait d'avoir imposé silence à la presse, si elle se retrouvait dans les jugements des tribunaux ?
Du Dialogues aux enfers entre Machiavel et Montesquieu, par Maurice Joly, 1864
Par ailleurs, des avocats souhaitent que le champ d'application de ces nouvelles lois et mesures soient restreint, au terrorisme, et que des agitateurs tels que du front de gauche ou encore de l'écologie ne soient plus jamais inquiétés. Vers 1958, des précisions avaient été apportées, seul les « Français musulmans d'Algérie » devaient être visées par ces mesures privatives de libertés. Je doute que des restrictions similaires soient aujourd'hui constitutionnelles, ni qu'elles seraient acceptables du point de vue de la CEDH, qui veille à la non discrimination, à l'égalité. De nos jours, l'égalité serait si chère à beaucoup. Il y a peu, l'Intérieur s'expliquait : « la forte mobilisation des forces de sécurité pour lutter contre la menace terroriste ne saurait être détournée pour répondre aux risques d’ordre public liés à de telles manifestations revendicatives ». La loi du 20 novembre sur l’état d’urgence autorise l’assignation à résidence d’une personne lorsqu’il existe « des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre publics ».
Le Conseil d’Etat rejette la requête de militants écologistes assignés à résidence
Le Monde.fr | 11.12.2015 à 20h55 • Mis à jour le 11.12.2015 à 21h27, extrait
Le Conseil d’Etat a cependant demandé au Conseil constitutionnel de se prononcer sur le régime des assignations à résidence dans le cadre de l’état d’urgence. En attendant que cette « question prioritaire de constitutionnalité » (QPC) soit examinée, le Conseil d’Etat a aussi demandé aux tribunaux administratifs d’exercer un contrôle plus étroit, via les procédures de « référé », c’est-à-dire d’urgence.
Assignations à résidence : le Conseil d’État renvoie une QPC, considère que les 7 assignations ne sont pas manifestement illégales 1/2
— Conseil d'État (@Conseil_Etat) 11 Décembre 2015
Actualités > Faits divers
Etat d'urgence : l'assignation à résidence d'un imam de Montpellier abrogée
12 Déc. 2015, 14h50 | MAJ : 12 Déc. 2015, 18h57, le Parisien
L'assignation à résidence d'un imam de Montpellier, soupçonné de tenir un discours radical, a été abrogée par le ministère de l'Intérieur. L'imam Mohamed Khattabi avait été assigné à résidence le 22 novembre, après une perquisition menée à son domicile ainsi qu'à la mosquée Aïcha. Il avait lui-même annoncé la perquisition sur les réseaux sociaux, appelant sa communauté à garder «son calme».
Dans l'arrêté d'abrogation daté du vendredi 11 décembre, l'Intérieur considère qu'«aucun élément corroborant» une menace pour l'ordre et la sécurité publics «n'a été établi» lors de la perquisition menée dans le nuit du 22 au 23 novembre. Cette abrogation fait suite à une requête transmise par l'avocat de Mohamed Katthabi à la sous-direction du conseil juridique et du contentieux du ministère. L'imam, débouté par le tribunal administratif de Montpellier, avait également saisi le Conseil d'Etat, qui devait étudier sa requête lundi. «C'est une grande victoire pour l'État de droit. Après le temps de l'hystérie sécuritaire, nous pouvons entrer dans celui de la réflexion», a affirmé l'avocat de Mohamed Khattabi, Me Arié Alimi.
Le porte-parole du ministère de l'Intérieur a confirmé qu'un «nouvel examen des éléments fournis» avait «conduit à lever l'assignation à résidence». «Nous veillons scrupuleusement à ce que toutes les mesures prises dans le cadre de l'état d'urgence soient justes et accompagnées de toutes les garanties», a assuré Pierre-Henry Brandet.
La loi prolongeant « l'état d'urgence » pour trois mois est promulguée
Je ne percevrais pas grand chose comme changement au cours des mois et des années à venir. Et si l'Administration débarque un jour chez moi, elle sera la première bien emmerdée. Elle en aura pour des heures et des jours à expertiser, à comprendre, à se connecter et à « copier », aspirer, me voler tout le contenu auquel j'ai accès depuis mes PC. Les fonctionnaires découvriront surtout foule de choses et trucs connectables quand ça veut bien, mon switch faiblard, une ligne ADSL au débit d'antan, des câbles pourris et ma wifi de merde qui ralentissent et plantent régulièrement mes sessions. Mais qu'ils arrivent, et qu'ils « copient » sans rien effacer ni détruire. Qu'ils « copient » mes données, plutôt que de les saisir...
Ben oui, je suis un « hacker », ce que je n'ai jamais caché, bien au contraire. Et je peux bidouiller autant avec le droit dans des prétoires et dans des bureaux qu'avec tout le reste que je croise ou qui me passe sous la main. Et ?
This is hacked. Now missing some wires and code for WiFi. #IoT #arduino #esp8266 pic.twitter.com/cWPCPhjegC
— Bruno Kant (@bkant) 19 Septembre 2015
Vais-je être houspillé ou intimidé à nouveau demain par quelques employés de bureaux car je tweete et publie toujours des diatribes, ici, quand je n'en poste pas à des ministres ? Ce n'est pas improbable, les nouveaux droits #égalité distinguent clairement élus, journalistes, magistrats et avocats, des castes de privilégiés, auxquelles je n'appartiens pas, bien au contraire. Ma fiche « S » a-t-elle déjà été complétée car j'ai affiché mon intention d'aller papoter encore, semaine prochaine, avec une faune minoritaire ? Une fiche « S » ? Au minimum, sinon bien chargée.
Vais-je finir assigné à résidence, « dénoncé » comme parfois, par le passé, ou car l'un ou l'autre d'entre quelques fonctionnaires aura eu des craintes, de grandes inquiétudes, des boutons, et aura trouvé des prétextes susceptibles de tromper encore tout le monde ? Il y aurait bien pire que d'être retenu chez soi, contraint à y entretenir ses plantes vertes et ses animaux de compagnie. Car depuis très longtemps, historiquement, l'Administration sait attraper, retenir et détenir des gens sans qu'ils aient accès à un juge ou à une justice digne de ce nom...
Ces gens là, souvent des débiles à l'éthique, à la dignité ou à la déontologie douteuse, des crevures ou des saloperies sur pattes, savent même vous rafler un enfant de deux, puis vous menacer de vous « retirer » aussi le second si vous persistez à vous opposer à eux, puis si vous récidivez au cours de luttes menées avec du droit. Ayant été pendant des années confronté à quelques magistrats, juges et représentants du parquet, ainsi qu'à leurs sbires et auxillaires, à de grands moralistes ou censeurs aussi, j'ai vraiment assez d'expérience ; je pourrais ajouter : ça suffit maintenant !
.@marievaton Pour les parents, porter plainte, ester en justice, publier, parler aux journalistes, tout est interdit! pic.twitter.com/wxkEqmfo2b
— Bruno Kant (@bkant) 29 Septembre 2014
https://t.co/Cxce1rdlak @FdeRugy La @LDH_Fr ou cette ligue des droits des déviants et des syndicalistes n'est pas contente #PJLEtatUrgence
— Bruno Kant (@bkant) 19 Novembre 2015
Tout ça pour qu'on puisse aller boire, se distraire, pas manifester ni surtout rouspéter, qu'on aille pas trop fumer mais plutôt manger, danser, jouir, baiser, s'aimer et éjaculer tranquille dans Paris. Sortir de chez soi, c'est important. D'une part, ça fait toujours plaisir à nos commerçants, tandis que d'une autre, ça permet à notre Etat de taxer, de s'alimenter, de se goinfrer ainsi que d'en redistribuer aux plus démunis, à ceux qui savent faire bien peser leurs intérêts particuliers aussi.
Pouvoir sortir et circuler librement, j'y tiens. Mon meilleur choix, au cours des années passées ? Oser le permis moto, car malgré les bouchons #étatdurgence sur la route, on se faufile partout, on avance toujours assez vite - bien sûr, aux allures tout à fait règlementaires. Pouvoir se faufiler et avancer, c'est mieux pour retrouver vite quelqu'un avec qui folâtrer...
Paris, « capitale des abominations et de la perversion », pourrait marteler encore Daesch, ou pourrait surenchérir également le pasteur Steven Anderson ! Qu'ils n'apprennent jamais qui je rejoins ou vole à moi lorsque c'est possible
«Les violences connues en France découlent des pêchés sociaux de la nation». ça va être de notre faute maintenant! https://t.co/qwunP037IZ
— Planning Familial 63 (@Planning63) 17 Novembre 2015
La caricature de Chappatte pour New York Times est une fois encore parfaite. Ce dessinateur de presse étranger - « controversé » pour certains - souhaitait-il ouvrir les yeux sur ce qui vient d'être décidé, en France, par le gouvernement ainsi que par nos parlementaires, ou mettait-il davantage en lumière « l'Apartheid territorial, social, ethnique » dont nous avait parlé Valls après #Charlie les attentats de janvier dernier ? En janvier, Valls fustigeait « la relégation périurbaine, les ghettos »... Plus tard, en mars 2015, après de précédentes critiques, le Monde publiait :
#Paris, le lendemain - © Chappatte dans The International New York Times pic.twitter.com/FSAZuTVMc4
— Dessins de Chappatte (@chappatte) 19 Novembre 2015
#Valls a lâché des mots durs, nous a même parlé d'Apartheid en France, on s'en souvient? https://t.co/hZP00tsKnK
— Bruno Kant (@bkant) 18 Novembre 2015
Drame familial à Salon : « ce fut un choc et la semaine fut terrible »
NDLR : Le prochain qui me pond un laïus, une complainte ou un court tweet, me parlant d'une femme baffée façon Trintignant, je lui retourne direct que la victime avait très certainement été violentée en bas âge, par son papa de merde, et qu'on n'y peut rien, si la pauv'dame en redemandait. Qu'on ne me reparle plus non plus d'homophobie, à moins que ce ne soit pour rediscuter de l'efficacité ou de l'utilité de la HALDE, et surtout du terrible cas Sébastien Nouchet et de ses agresseurs. Mon billet du 14 courant, je ne le mettrais finalement pas à jour ; je conserve cependant mes notes ou tweets (auxquels personne n'avait réagit, comme le plus souvent) ; gazouillant, j'avais raillé Valls, son « opération séduction », son discours adressé récemment à la Fédération protestante de France, et réagit également à une citation de Alain, selon qui, « penser, c'est dire non ». Oui, ce que je publie peut être illisible pour beaucoup ; de mon point de vue, ce sont d'autres qui sont abjects lorsqu'ils s'obstinent dans leur mutisme, lorsqu'ils refusent les débats portant sur la protection de l'enfance, ou même lorsqu'ils refusent les débats portant sur les divorces les plus conflictuels. Hier sur Twitter, je finissais ma soirée en citant Jean Genet, une phrase extraite de Pompes funèbres, Sartre pouvait le lire : « Pourtant, si je me complais dans la vue de tant de laideurs que j'enlaidis encore quand j'en écris, dans ce que m'inspire la mort de Jean existe cet ordre de ne rien faire de mal. ».
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Drame familial à Salon : "Ce fut un choc et la semaine fut terrible"
Publié le dimanche 23 décembre 2012 à 14H54, La Provence, extrait
Il y a une semaine, Uribatan Teles Almeida poignardait de deux coups de couteau sa femme, Catherine, 29 ans et caporal-chef à la base aérienne 701 de Salon, et pendait leurs deux filles, Suely et Yuna, 3 et 6 ans, avant de lui-même se suspendre à une corde. Catherine lui avait annoncé son souhait de divorcer. Arrivant du Brésil, la petite famille venait de s'installer dans le quartier Saint-Jean en août.
Aussi abrupte qu'absurde, la tragédie laissait encore hier sans voix la plupart des participants à la marche blanche organisée durant l'après-midi par la FCPE en mémoire des trois victimes, dont les corps ont été rapatriés en Alsace auprès de leur famille maternelle.
Une marche en trois étapes... la suite, sur La Provence
Lulu m'a fait marrer
Par le passé, je bavardais beaucoup avec Lulu. On se marrait, sur la toile, en discutant de « justice ». Lulu a été condamné aux alentours de 2005, il me semble, pour avoir « diffamé ». Mais je pense qu'il en est encore très fier. Il avait un peu raillé un « enquêteur », un travailleur social, l'une de ces fouines ou kapos qui rapportent à des juges. Je viens de relire Lulu sur Facebook, « la gauche, blablah et cette justice » ; il râle encore, parmi et avec d'autres écorchés.
Avant ce 6 mai, on avait des gouvernements de droite, Chirac, puis Sarkozy, plus populaire ou populiste, qui se sont spécialisés dans l’inculcation, dans l'instrumentalisation de la Mémoire, de la Shoah... et plus. Maintenant, à la justice, on a Taubira, une spécialiste de l'esclavage des noirs ou de la souffrance ? C'est juste #LOL Je m'imagine écrire aujourd'hui, à nouveau, à la chancellerie, et développer encore mon article d'octobre 2006, Le code noir. Taubira et les fonctionnaires de la place Vendôme feraient des yeux tout ronds, ne me répondraient probablement jamais, ou me renverraient une variante de lettre type, une réponse idiote, comme le plus souvent, lorsque ces sphères daignaient me recevoir... Récemment, à l'UMP, je n’envoyais plus que des conneries, après avoir été encore une fois suffisamment explicite en public, début mars dernier, au Mémorial de Caen. Non, je n'ai pas toujours qu'écrit ou envoyé que des torchons incompréhensibles dans la nature, beaucoup devraient pouvoir confirmer. Pourquoi devrais-je m'abstenir, m'en priver, écrire mieux, alors que des magistrats peuvent rendre n'importe quoi lorsqu'ils délibèrent ou déblatèrent ?
J'en ai plus qu'assez, plus grand chose à foutre non plus, de toutes ces procédures et salades. Ca se termine. Et contrairement à ce que quelques fervents praticiens du droit pourraient supposer, je suis content ! Récemment, je voulais voir le nabot dégager ; c'est fait. MAM a déjà jarreté, Lathoud aussi, ainsi que d'autres. Beaucoup ont « perdu », y compris contre moi, dans des affaires « d'ordre privé », toutes étalées en public... à moins que ce blog, Twitter, Facebook et plus globalement, Maxi, les mags ou docs de France 2, les journaux diffusés par France 3 et TF1, ce ne soit plus qu'irréel, très virtuel, comme Internet ! Non, je ne prétendrais jamais que j'ai pu provoquer, à moi tout seul, la chute de Sarkozy et de son entourage, il s'agissait bien du choix du peuple français, certainement très inspiré par les discours des candidats ! Par contre, et avec tout ce que j'ai échangé ou publié, au cours des semaines, des mois et des années passées, je ne serais pas surpris si j'avais pu finir de convaincre un citoyen ou deux de voter contre Sarkozy, ce 6 mai.
Aux dernières nouvelles, colportées par le Parisien et le Figaro, Dati a fait pschitt. Parfait. Elle aurait déjà pu être bien emmerdée dès octobre 2008, ou au plus tard, à partir d'avril 2009 ? Ce 16 mai, dans Libé, j'ai lu que Courroye a également fait pschitt, il ne devrait pas contribuer à un colloque « éthique du magistrat, éthique du journaliste », à l'ENM, à la fin du mois ? Je regrette que Courroye soit évincé si tôt, car ça m'aurait beaucoup plu d'avoir ces actes, j'aurais pu les oublier, à coté de « justice et psychiatrie, normes, responsabilité, éthique », pour l'ENM déjà, avec Anne Valentini, cette crevure. C'est tout un ramas de pitres que j'aurais vu se vautrer les uns après les autres, des pitres dont je me serais bien moqué, au cours des années passées.
Je ricane, ai-je expliqué à Lulu. Avant ce 6 mai, il fallait donc espérer quelque chose, avoir du #courage, de la #force, travailler plus et mieux pour être libre... avec des naïfs, des imbéciles, des pétainistes au pouvoir ? « Vas faire appel, couillon, et fais toi soigner si le résultat ne te plait pas ! » Je leurs ai déjà rétorqué Fuck You, mais very much, dès septembre 2009 ; puis la cour d'appel de Versailles se faisait encore une fois bien moucher, en octobre 2010.
Aujourd'hui, je n'attends pas grand chose de plus, je souhaiterais simplement que mon pourvoi déclaré début 2011 soit très prochainement admis par la cour de cassation et non rejeté, « en raison de la majorité de mon ainée », puis que cette cour exerce un réel contrôle. A quoi ou à qui serviraient, sinon, les voies de recours et la cour de cassation ? Jamais deux sans trois, dit-on. Un bel arrêt de plus, à s'encadrer, bien motivé, rendu par la cour de cassation me plairait beaucoup. Ca ferait peut-être également un peu de papier en plus, un peu de jurisprudence, susceptible d'être commenté à nouveau par Dalloz, par LexisNexis, puis par qui sais-je encore...
Je ne publierais ensuite plus grand chose par ici, dans ce blog. Je n'ai plus que quelques billets à y ajouter ou à y mettre à jour. Et non sans observer encore la suite, mais d'assez loin, je laisserais ensuite ce peuple de cons et sa magistratüre à ses rêves, avec @fhollande, à ces mirages ou leurres socialistes, puis à des déceptions, à des désillusions, à que sais-je encore. Ca ne s'aide pas, une populace pareille, ça se laisse décrépir, puis pourrir sur place, chacuns dans leurs bourbiers, ou remplacer par des autres, qui ne vaudront probablement pas beaucoup mieux.
Oui, c'est vrai, plutôt que de m'en tenir finalement à ces récents « regrets » de l'UMP ainsi qu'à l'indifférence des socialistes de mon quartier, plutôt que de déblatérer à mon tour, en tournant la page, j'aurai pu insister, persévérer, tenter encore de discuter sérieusement de divorces, ça aurait pu, un jour, retenir l'attention. J'aurais aussi pu récidiver, essayer de discuter à nouveau d'enfants plus ou moins en « danger », « signalés » ou non, « ponctuellement suivis » par des services, « aidés », ou « sauvés », « transitoirement placés » pendant des années... bah, bref et basta.
Le racisme des intellectuels | LE MONDE | 05.05.2012 à 14h46
De notes de ce 5 mai 2012
Sarkozy parle à « la majorité silencieuse »
NDLR : Après tout ce qui s'est passé, pas de réactions au contenu de mon blog, juste du off, très occasionnellement, parfois des « s'il vous plait, modifiez ceci et cela, pliiiize, ne publiez plus... » ou encore, « oui, on le sait bien, la justice, ça fonctionne mal, mais avez vous fait appel ? » La « majorité silencieuse » à laquelle Sarkozy vient de s'adresser, je l'ai souvent sondée au cours des années passés. Récemment, après avoir échangé sur twitter puis avoir écrit à Sébastien Huygue, cellule riposte UMP, je sondais donc encore une fois des socialistes, ceux du quartier, en les incitant aussi à lire également mon blog. Un peu comme Sarkozy, et alors que je suis effectivement très souvent lu et entendu, je me doute que tous ces silencieux ou taiseux n'en pensent pas moins, et qu'ils prennent aussi et très régulièrement des décisions. Je pense que le comité de soutien qui se constitue autour de Christophe Grébet et de monputeaux.com devrait pouvoir confirmer, l'association ARVA qui soutenait Arthur et Valentine devrait pouvoir confirmer également, des silencieux peuvent parfois se rassembler et agir ou réagir.
LE FLASH > Présidentielle
Sarkozy parle à "la majorité silencieuse"
AFP Publié le 16/03/2012 à 13:50
Le président-candidat Nicolas Sarkozy a exhorté aujourd'hui, lors d'un meeting à Meaux, "la majorité silencieuse" des Français à refuser "le diktat de la pensée unique" et "les scénarios écrits à l'avance" pour permettre sa victoire le 6 mai.
"Pendant cinq ans, j'ai donné à la France tout ce que je pouvais lui donner et je vous dis, du fond de mon coeur: j'ai fait tout ce qui était humainement possible avec une seule idée, tenir, tenir, tenir, envers et contre tout pour que la France tienne", a-t-il déclaré aux militants (plus de 2.000, selon l'UMP) réunis au Gymnase Tauziet, à Meaux, la ville dont le secrétaire-général de l'UMP, Jean-François Copé, est maire.
"Refuser le diktat de la pensée unique"
"Lorsqu'on est président de la République, il faut avoir du courage, il faut savoir dire non, il faut savoir résister", a-t-il insisté pendant son meeting après avoir visité le quartier de Beauval, axée sur la rénovation urbaine. "Dans ces deux mois qui restent, la victoire, le résultat, dépendra de vous, comme jamais dans l'histoire politique de notre pays, jamais. Vous n'imaginez pas", a lancé le chef de l'Etat.
"Si le peuple de France décide que la majorité silencieuse refuse le diktat de la pensée unique, refuse les scénarios écrits à l'avance, refuse qu'on lui impose des idées dont elle ne veut pas, et si ce peuple de France, où qu'il se trouve, quel qu'il soit, dit "maintenant, ça suffit, c'est nous en liberté qui choisirons le prochain président de la République" alors je vous le dis, mes chers amis, oui, on va gagner", a-t-il assuré sous les "Nicolas président!" de la salle.
Vers une théorie des dysfonctionnements acceptés
Ce soir, à l'hôtel de Ville de Paris, je pense m'être brouillé avec Monsieur Eric Mouzin. Après son propre échange sous les caméras, avec Madame la Ministre, une mère s'est plainte auprès d'elle, puis j'ai haranguée Nadine Morano, à mon tour. Je pense que nos si courageux journalistes nationaux n'auront pas la moindre difficulté à couper cette séquence, mon intervention, au cours de laquelle un proche de Morano - à moins qu'un élu de la mairie de Paris - m'a répondu qu'ils ne pouvaient pas commenter des décisions de justice. Foutaise, mauvaise foi et langue de bois !
Si je leurs avais annoncé qu'un juge ou un greffier m'avait fait libérer par inadvertance ou copier/coller, après un viol puis avoir écorché vif un enfant ou pire, une femme, ces mêmes élus ne se seraient probablement pas gênés ! Je les invitais durement à commenter un arrêt de la première chambre civile de la cour de cassation dont les références - ainsi que le nom du défendeur, Xavier Serrier, juge pour enfant - était placardés dans mon dos, sur mon tee-shirt. N'a-t-on jamais commenté des décisions de justice rendues en faveur de Vanneste ? J'ai pu rêver lorsque j'écoutais la radio, en novembre 2008, et qu'une décision pourtant dite de justice ou rendue par de vrais juges a été longuement critiquée sur les ondes.
Les enfants disparus, c'est sérieux, ou c'est juste une corvée, en prévision de 2012 ?
Plus tard, j'ai parlé à l'assemblé, pour clarifier un peu ce qui s'était passé, leurs exposant surtout que mon aînée avait disparue pendant plus de trois ans, puis qu'elle avait ensuite pu passer l'été 2009 à la maison. Depuis, plus rien. C'est la Dass, celle qui oeuvre en faveur de l'enfance. Ce que j'ai dit ou exposé a pu heurter. D'autres se sont encore souvenus de cette affaire des enfants des bois et de relations mère-enfant aujourd'hui toujours impossible tant elles ont été distendues ; cette histoire a récemment encore une fois été relatée dans un magazine Elle ; il est rangé dans mon placard, avec de vieux journaux. Je pense que dans les milieux professionnels il n'y a plus que des juges pour enfants pour croire encore fermement au merveilleux ou au fabuleux de ce dispositif supposé protéger les enfants. Je peux me tromper, mais il me semble qu'à Aix-en-Provence, au tribunal administratif, ainsi qu'à la CDEH des juges partagent assez mes propres opinions en matière de relations familiales distendues ou durablement et délibérément rompues.
Monsieur Mouzin m'a encore une fois fait savoir qu'il n'adhérait pas aux théories dites du complot. Je n'entre pas plus avant dans ce dont lui et moi avons encore discuté. Mais pour qui suit l'actualité, je crois qu'il est assez clair que les grands théoriciens du complot sont au château, dans l'entourage de notre chantre. On en parlait beaucoup lorsqu'ils accusaient Dominique de Villepin. Puis nous avons encore entendu parler d'un éventuel complot en marge de rumeurs concernant le couple Bruni-Sarkozy. Les complots, je n'y crois pas. Lorsqu'il s'agit de justice et plus particulièrement de protection de l'enfance, je crois plus volontiers d'abords aux boulettes, aux dysfonctionnements ainsi qu'ensuite, aux dérives plus généralisées.
Nadine Morano sait, elle nous a très souvent parlé de dysfonctionnements de la Dass pour promouvoir l'adoption. Nous aurait-elle récemment parlé de ce dispositif de la protection de l'enfance sans rien en savoir ? Que nous a raconté Jean-Marie Bockel, en février dernier, était-il sérieux et crédible ou souhaitait-il juste amuser la galerie ? Notre chantre pourrait savoir, lui aussi. Nicolas Sarkozy ne m'a jamais répondu à une correspondance de fin janvier 2009 : « Question : croyez vous aux vertus de l’assistance éducative alors que la Direction Nationale de la Protection judiciaire de la Jeunesse ainsi que Madame la Secrétaire d’Etat à la famille font eux même montre de sérieuses réserves ? » A l'époque, je lui communiquais aussi cette fameuse décision de la cour de cassation dont les références sont à présent placardés dans le dos de mon tee-shirt. En novembre 2009, pour les 20 ans de la CIDE, je finissais par commettre une offense ou un outrage au chef de l'Etat français ; son parquet l'a très bien perçu, j'ai eu droit à un petit rappel à la loi, en catimini, dans l'entresol du Palais de justice de Paris. J'en garde un souvenir, maintenant placardé sur l'avant de mon tee-shirt.
Par le passé, Nadine Morano m'avait elle même fait part de sa compassion alors que je venais de lui faire parvenir un petit dossier ; j'ai sa lettre, scannée, au fond de mon blog ; elle ne s'en souvient probablement plus. Elle m'avait écrit que « le temps judiciaire n'est pas compatible avec le temps de l'enfance », ce que ma famille a eu tout le temps de percevoir au cours de ces dernières années. « Justice, une lenteur coupable », cet excellent ouvrage figure bien évidemment dans mes étagères et parmi mes références, depuis une éternité déjà.
Je viens encore de constater qu'une décision « de justice » concernant mon aînée n'a pas été exécutée, celle rendue en mars 2007, par le juge des tutelles. Trois années entières se sont perdues ! Un assistant ainsi que Maître Charles Halter me l'ont eux-même récemment confirmé. J'ai aimé les lire. Je n'en demande maintenant pas beaucoup plus au juge des enfants de Nanterre à qui j'écrivais récemment que « j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays. »
Aujourd'hui, à Versailles, alors que je soutenais que personne ne m'informe jamais, la cour me demandait des preuves. Comment prouver qu'on ne m'a jamais communiqué un inventaire de succession conforme à la réalité ? Comment pouvais-je même me permettre d'en réclamer un alors qu'un admin ad'hoc devait s'occuper de cette succession ? Lorsque j'étais moi même en charge de cette même succession, je m'étais un jour fait accuser d'avoir commis des diligences, entre la fin 2004 et début 2005. A cette époque, je n'arrivais pas à obtenir la moindre informations... A l'audience, je parlais un peu de dysfonctionnements, les juges pourraient eux-même avoir bien perçu qu'il y a eu un gros couac, un de plus dans mes divers dossiers qui concernent mon aînée.
Un délibéré va suivre, ce 24 juin prochain. Vers la fin de l'audience, les juges m'ont demandé ce que je pouvais encore avoir à leurs communiquer. Je les ai alors informé que la chancellerie pourrait elle même avoir fait n'importe quoi mais qu'elle semble avoir bien perçu, elle également, qu'il y a eu un couac quelque part, entre Antony (92) et la Moselle (57). Et alors ? La deuxième chambre civile a maintenant trois options au moins, elle pourrait :
1) confirmer en tous points la décision du juge des tutelles d'Antony (92),
2) désigner un autre admin ad'hoc,
3) me confier à nouveau ce qu'un assistant de notaire n'a lui-même pas pu faire avancer plus, depuis mars 2007
Dans l'hypothèse 1) ou 2), un juge m'a dit que cela me coûterait « très cher ». Pour un contrôle et pour une signature ?
En marge de cette journée, devant l'hôtel de ville de Paris, parlant un peu d'injures sur Internet, un proche de Monsieur Mouzin m'a dit qu'il recevait aussi « de tout », sans entrer dans les détails. Ce serait normal lorsqu'on prend position. Il faut donc que je me soucie maintenant juste de cette histoire d'usurpations de plaques, à Puteaux, en octobre dernier.
Après tout ce que j'ai encore pu lire ou entendre et vu ce que j'avais déjà perçu du fonctionnement accepté par tout le monde ou habituel de ces institutions françaises, des couacs, des boulettes et très souvent n'importe quoi aussi, je pense que ma plus récente lettre ouverte à MAM était pas mal, jusqu'à son dernier paragraphe : « Par ailleurs, je vous informe qu'il pourrait y avoir un problème au palais de justice de Paris. En effet, j'ai le sentiment que des services égarent ce que j'essaye de faire parvenir au procureur près ce prétoire (pièce n° 4). Par le passé, celui près le tribunal de grande instance de Nanterre ne recevait pas grand chose non plus. »
Un nouveau voyage
En novembre dernier, l'ARSEA Ostwald rendait un rapport me reprochant d'être « virulent à l'égard des services sociaux en général » et selon lequel j'aurai des « combats » à mener qui, manifestement, ne permettraient pas à notre couple d'élever nos deux enfants, quelque chose de cet ordre - pour plus de détails, voir ces conclusions, déposées à la cour d'appel de Versailles, l'an dernier. Depuis cette période, et selon la proposition qu'ils ont faite au juge pour enfant de Nanterre, ces gorets du social s'occupent d'aider ma fille ainée à « faire le deuil de son père idéal »... un père qui critiquerait, bavarderait et contesterait moins ? L'ainée reste « placée », en Alsace, à l'internat, jusqu'à la fin 2011 ; c'est un juge de la cour d'appel qui l'a affirmé, début décembre dernier. J'ai donc du temps à consacrer à des voyages et sorties.
J'ai lu le verso de l'amende majorée qui me parvenait hier. Je vais rapidement formuler une réclamation « justifiée ». La police nationale n'a pas pu voir mon véhicule personnel à Puteaux, le premier octobre 2009, j'en ai la preuve, assez flagrante - une preuve dont je n'ai pas parlé et que je vais réserver pour cette « réclamation », un placet dont on se souviendra longtemps. Plus tard, je pourrais raconter à mes petits enfants que l'aînée restait « placée », malgré mes critiques « virulentes », et « aidée » par l'ARSEA, le pasteur d'Uhrwiller, un cafard et le juge pour enfant de Nanterre pour me permettre un jour de répondre, comme un truand, à l'Officier du ministère public près le tribunal de police de Puteaux.
En marge de ce nouveau voyage ou périple judiciaire et alors que je viens de relire ces conclusions de décembre dernier, je me dis que je vais bientôt aller déposer une plainte en raison de non représentation d'enfant. Selon le dernier rapport de l'ARSEA que j'ai pu lire, d'après leur propre perception ou interprétation du jugement du mois de juillet 2009, confirmé en tous points en janvier dernier, par la cour d'appel de Versailles, la « mission de ces gorets est d'être intermédiaire entre Justine et son père afin d'organiser les droits d'hébergement ». Cette plainte sera très probablement « classée d'office », voire refusée par la police, c'est classique, à moins qu'elle ne se perde et ne parvienne jamais au ministère public.
Un recommandé m'attend à la Poste ; ce lundi, un huissier de justice est encore parti butiner, sur le net. Ce jour, j'ai découvert le billet d'un autre blogueur, de Puteaux ; il semblerait toujours qu'on ne peut pas publier n'importe quoi.
Le verso d'une amende majorée
Au ministre de cette justice franco-moldave
Cette semaine, je pense que j'aurais le temps de m'arrêter à la Poste. Je devrais également envoyer une copie de ces observations aux assistants de Maître Charles Halter, notaire, tout en les invitant à me communiquer les leurs, s'ils en ont de quelconques à formuler. Mes observations déposées ce 3 mai, à Versailles, sont ici, au format PDF, avec les pièces jointes. Ce qui parvient au juge pour enfant de Nanterre est là, également au format PDF.
Lettre ouverte - au format PDF, avec deux des pièces jointes
Madame Michèle Alliot-Marie,
garde des Vélodromes et ministre de cette Justice franco-moldave,
J’ai fait appel d’une décision du juge des tutelles d’Antony (92) du 15 mars 2010. La cour d’appel de Versailles a convoqué pour ce 25 mai prochain, le greffe me demandant de déposer mes « éventuelles » observations avant ce 4 mai (pièce n° 1).
Ce 3 mai, au greffe de Versailles, je constatais que j’étais le premier ou le seul à déposer des observations. Je constatais également que le dossier avait déjà été transmis au ministère public, il est donc susceptible de formuler bientôt un avis sans même m’avoir lu.
Ce 3 mai, le greffier affirmait qu’il ferait rapidement suivre mes observations tout en m’invitant également à les communiquer au ministère public. Vous trouverez donc, ci-joint, copie de ces observations (pièce n° 2) que j’ai déposées, ce 3 courant, au greffe de la 2ième chambre 1ère section civile de la cour d’appel de Versailles.
Ci-joint, vous trouverez également copie d’une lettre ouverte (pièce n° 3) qui parvient au juge pour enfant de Nanterre. Il devrait bientôt convoquer, pour juillet prochain.
Les documents que je joignais aux pièces n° 2 et 3 seront consultables aux greffes de Nanterre et de Versailles. Ces documents sont également tous consultables sur Internet, je les ai publiés dans mon blog, à l’adresse suivante : http://justice.cloppy.net
Par ailleurs, je vous informe qu'il pourrait y avoir un problème au palais de justice de Paris. En effet, j'ai le sentiment que des services égarent ce que j'essaye de faire parvenir au procureur près ce prétoire (pièce n° 4). Par le passé, celui près le tribunal de grande instance de Nanterre ne recevait pas grand chose non plus.
Cordialement.
P.S. : Je confirme ce que j'écris au juge pour enfant de Nanterre, ma soeur trisomique emmerde maintenant ton ministère public. J'invite les pas contents à trouver un drapeau français.
Pièces jointes, toutes publiées et commentées, parmi d'autres, sur Internet :
1) Une convocation, pour ce 25 mai, journée internationale des enfants disparus,
2) Des observations déposées ce 3 mai 2010, à Versailles,
3) Une lettre ouverte au juge pour enfant de Nanterre
4) Une correspondance de mars dernier, restée lettre morte
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Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège
Je ne vais pas attendre la fin mai, une audience à Versailles, puis d'avoir lu l'ultime lettre de cachet que rendra ensuite la cour d'appel. J'ai tranquillement rédigé et vais faire parvenir une lettre ouverte au juge pour enfant de Nanterre. Je suppose que le juge Thierry Baranger, « clinicien judiciaire », est toujours saisi du dossier de ma fille aînée.
Quelques uns de mes lecteurs pourraient encore être scandalisés par ce que j'envoie maintenant à ce magistrat du siège. Je leurs répondrais comme je pourrais répondre à un Mégel, à un Supéri ou leurs soutiens, ces derniers acquiesceraient très certainement : des pros de la Dass ne devraient pas sodomiser les gosses, ce n'est ni merveilleux, ni éducatif.
Ce qui suit est à peine différent des conclusions que je déposais en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles. J'informais ou éclairais alors très bien ces professionnels : « Après avoir plaidé, M. KANT ne se lèvera plus jamais devant aucune Cour ni aucun juge français. » J'assume, tandis que ces cafards se défilent tous ou restent retranchés en chambre dite du conseil. En janvier dernier, je pensais qu'il allait y avoir un changement ; mais je n'ai alors été convié qu'à prendre un thé dans l'entresol du palais de justice de Paris... je venais de commettre une offense au chef de l'Etat français.
Je pourrais lui en écrire ou lui en communiquer plus, éclairer mieux le juge pour enfant. Mais il n'y a pas urgence ni aucun impératif ou nécessité, la quille ou la fin de ce « placement provisoire », c'est en fin 2011. Je n'ai plus qu'à imprimer cette lettre et ses pièces jointes, en deux exemplaires ; dans les prochains jours, je m'arrêterais à la Poste.
Madame Muller a également publié un petit bilan de ses affaires en cours, dans son blog SOS Parents Abusés ou Villages de Marly : Serait-ce de l'acharnement ? Avec d'autres, je continue à la soutenir dans ses démarches, je l'aide à résister ainsi qu'à agir un peu. Cette autre histoire et pratiques « professionnelles » présentent d'étranges similitudes avec les pratiques de l'OSE France et celles de l'ARSEA. Quant aux récents discours de Laurence Ferrari, ils me rappellent beaucoup ceux qui ont été promus par Enfance et Partage, en novembre 2007. Peut-on parler d'impostures ?
Mais ces derniers temps, en attendant des audiences ou d'autres conférences et sorties, je préfère me distraire. Je me suis détaché du flot de l'actualité pour me consacrer à plus utile mais également à beaucoup plus futile aussi. Depuis quelques jours, je regarde souvent pousser mes plantes en me demandant comment exploiter des vieilleries russes.
Lettre ouverte
Monsieur le juge pour enfant,
Par le passé, Madame Carole Bulow, le corbeau de cette histoire, avait affirmé que j'aurais un jour acquis une maison « à Rambouillet », d'une manière douteuse, voire ignoble (pièce n°9). A l'époque, les juges du secteur courraient déjà comme de beaux lévriers après un leurre. Aujourd'hui et malgré mes multiples remarques, je pense que cette correspondance de ce corbeau figure toujours à votre dossier, parmi de nombreuses correspondances et avis ou rapports de nature et aux fonds assez similaires : calomnieux et diffamatoires, à mon encontre. Je pense aussi qu'aujourd'hui, de grands naïfs et des magistrats - dont vous même - courent toujours.
Il y a peu, le juge des tutelles rendait une lettre de cachet (pièce n° 1) en faveur de l'étude de Maître Charles Halter. J'ai fait appel de cette décision ; la cour d'appel a convoqué pour le 25 mai prochain. Je me plaindrais alors de l'inexistence du contradictoire chez le juge des tutelles. Je critiquerais encore une fois le travail de l'étude de Maître Charles Halter. Je sais cependant que cette démarche est vaine ; je connais aujourd'hui très bien les coutumes et les usages de la magistrature de ce pays. La Cour soutiendra le juge des tutelles et blanchira l'étude de Maître Charles Halter, notaire.
Je ne sais pas si vous avez pu lire les conclusions écrites que j'ai déposé, en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles ; si elles vous intéressent, vous les trouverez facilement sur Internet. En octobre 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier, un indéboullonable ou, selon votre jargon, un inamovible, sautait de son siège (pièce n° 6) ; j'avais engagé une procédure de prise à partie contre ce magistrat professionnel ; vous pouvez avoir oublié ou vous pourriez tout simplement nier ce passé, tout ce qui s'est tramé depuis, comme certains de vos compères pairs qui trônent à Versailles. Depuis octobre 2008, vous avez eu de nombreuses opportunités de me lire. Vous m'avez aussi reçu et entendu. Vous avez également lu, reçu et entendu ma compagne.
En mars dernier, je vous informais que ma fille Justine semble souffrir de vertiges, depuis de nombreuses années maintenant (pièce n° 7). Selon votre correspondance du 22 mars 2010 (pièce n° 2), vous paraissez m'avoir compris. Cependant, selon cette même correspondance, je constate que vous avez simplement transmis aux gorets de l'ARSEA. Eu égard aux informations que je vous communiquais, je suis surpris que vous ne leurs ayez pas réclamé une note d'information. Mais par le passé, alors que Justine était placée dans un établissement de l'OSE France, le juge pour enfant de Nanterre et Versailles n'en auraient pas fait beaucoup plus (pièce n°10).
Dans votre correspondance du 22 mars 2010, vous me suggériez de contacter l'ARSEA afin, probablement, de leurs parler de ces problèmes de santé dont se plaint ou parle parfois ma fille Justine. Entre juin 2008 et septembre 2009, j'ai bien essayé de discuter avec les gorets de l'ARSEA. Depuis, je n'ai plus aucun contact avec ces professionnels. Eux-même ne me sollicitent ni ne m'informent jamais. Je n'ai plus l'intention d'échanger quoi que ce soit avec ces gens là. Je ne me fais cependant aucun soucis pour ma fille Justine. Le pasteur d'Urhwiller, la soeur du corbeau, tiers digne de confiance, son avocat ou cafard, Maître Delphine Roughol, ainsi que vous-même, bourreau juge pour enfant, veillez aux intérêts supérieurs de mon aînée. D'autre part, selon la cour d'appel de Versailles, ma fille Justine est aujourd'hui en âge de se faire entendre, de préciser son point de vue et ses opinions. D'ici quelques temps, même si je ne « collabore » pas, vous pourrez donc confirmer ou infirmer les problèmes de santé dont parle ou se plaint parfois Justine.
La mère de Justine est décédée en 1999. Dans une correspondance du 3 décembre 2009 (pièce n° 5), vous me rappeliez que je suis toujours détenteur exclusif de l'autorité parentale sur ma fille aînée Justine - j'adore le cynisme et l'hypocrisie, surtout celui de professionnels de la justice ou de la Dass, n'hésitez pas à m'en renvoyer de pareilles. Dans les faits dont vous ignorez peut-être tout, ce sont d'autres que moi qui exercent l'autorité parentale sur ma fille Justine, depuis 2004 au moins. A l'occasion, vous pourriez envisager de me déchoir pour ne plus m'accorder qu'un simple droit très occasionnel et approximatif de surveillance sur ma fille aînée, ce serait plus conforme à ce que je peux encore exercer - car j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays.
En février dernier, selon France Soir (pièce n° 3), Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat à la justice, a « enfin insisté sur le soutien à l'exercice de l'autorité parentale, en constatant que les mesures prises à Mulhouse avaient eu des résultats `' en demie teinte ", certains parents étant `' totalement déconnectés " . » La chancellerie elle-même pourrait déjà s'être fait une raison : mener des expérimentations ou confier des missions à l'ARSEA, ce n'est peut être pas la panacée. Mais vous êtes indépendant ; vous pouvez encore vous obstiner ou persister et vous référer toujours à ce que des gorets vous rapporteront ainsi qu'à ce que le pasteur d'Uhrwiller vous expliquera. Vous pouvez bien évidemment faire suivre également la présente aux services concernés de l'ARSEA, en Alsace, soit ceux d'Ostwald, dirigés par Monsieur Thomas Resch ; mais je pense qu'ils n'en feront pas grand chose.
Vous pouvez savoir que, depuis 2005, mes paroles et écrits en public comme sur Internet ont fait l'objet de très nombreuses critiques ou complaintes en chambre du conseil, à huis-clos. Fin mai 2008, le ministère public en la personne du substitut Laeticia Felicis, le pasteur d'Uhrwiller et le juge pour enfant Xavier Serrier m'avaient supplié de supprimer mon blog ; en 2009, la cour d'appel de Versailles confirmait en tous points ; en janvier 2010, la cour d'appel de Versailles confirmait à nouveau. Mon blog est toujours en ligne ; récemment, deux huissiers de justice ont matérialisé tout son contenu (pièce n° 4). Pour le moment, je n'ai nullement l'intention de faire disparaitre un jour mon blog d'Internet. La présente lettre ouverte à votre attention est publié dans un billet dont le titre est le suivant : « Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège ».
Dans un billet du 3 avril 2010, je publiais peut-être tout aussi intéressant que la présente, « Un bilan », une synthèse grossière, après sept années « d'assistance éducative ». Je vous en joins l'essentiel (pièce n° 8). Vous remarquerez peut-être qu'avec d'autres, je soutiens une mère qui est elle aussi priée de faire disparaitre son blog ; depuis juin 2009, elle subit de plus en plus de pressions et vient de recevoir une ultime lettre d'intimidation ou de mise en demeure. Un petit procès pourrait suivre à l'occasion duquel elle est susceptible de déterrer de très vieux textes, de 1881, relatifs à la liberté d'expression, ainsi que de plus récents, de juin 2004, relatifs à la confiance dans l'économie numérique.
Vous souhaitant bonne lecture, je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de mes plus respectueuses salutations.
Copie à Madame Michèle Alliot-Marie,
Garde des Vélodromes et Ministre de la Justice
P.S.: Ma soeur trisomique t'emmerde, pas qu'un peu, et elle emmerde tout autant tes pairs et ton ministère public. Si t'es pas content, trouve toi un drapeau français.
Pièces jointes, toutes publiées et commentées, parmi d'autres, sur Internet :
1) Une ordonnance du 15 mars 2010 du juge des tutelles,
2) Une correspondance du 22 mars 2010 de Monsieur Thierry Baranger,
3) Un coupon de presse taillé dans France Soir du 19 février 2010,
4) Un extrait d'un constat d'huissier du 15 mars 2010,
5) Une correspondance du 3 décembre 2009 du juge des enfants,
6) Une correspondance du 28 octobre 2008 du juge des enfants,
7) Une correspondance du 8 mars 2010, au juge pour enfant,
8) « Un bilan », d'un billet du blog http://justice.cloppy.net,
9) Une photo d'une lettre du corbeau, au dossier du juge pour enfant,
10) Une main courante de janvier 2005, un document « confidentiel »
Ca bouge encore
Il fallait donc juste insister, relancer, ressasser, faire appel, etc, contester et houspiller à nouveau, lourdement. Le juge pour enfant de Nanterre pourrait avoir relevé mon erreur de plume dans ma correspondance qui lui parvenait ce mois-ci. C'est depuis l'automne 2004 que Justine « souffrirait », se plaint ou parle occasionnellement de ces vertiges.
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Il va me falloir l'Arche n° 622
Hier, j'ai encore lu un peu de Thierry Baranger ; ça m'avait à nouveau fait bondir. Il a pu recevoir ma plus récente bafouille au juge pour enfant à moins que son greffe ou le tribunal ne l'aient égarée. Réagira-t-il ou ne répondra-t-il même jamais ? A l'instant, j'ai visité le site de Radio J où le mensuel l'Arche de mars a retenu mon attention. Je devrais le trouver demain matin, chez mon libraire habituel. Avant la fin 2011, les juges du secteur devraient encore convoquer, plus d'une fois. Je me rendrais encore à des audiences avec, de temps en temps, Ach Goood dans mon sac ou sous le bras. J'emporterais également ce numéro de l'Arche pour en rire avec les juges. L'humour est aux pages 32 et 33...
Je vais prendre deux exemplaires de l'Arche. Avec l'un des deux, je ferais un beau chapeau pour Ach Goood.
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De tous petits caractères, mais conformes
J'ai relu ces chaines de caractères, dans un des constats d'huissier qui m'est parvenu hier, imprimé sur papier. J'aurai pu faire comme n'importe quel ministre, politicien, polémicien ou des artistes, fuir Internet et courir avec une impression voir un manuscrit, chez un notaire ou un huissier de justice, pour lui demander d'enregistrer mon papier noirci d'encre. J'ai préféré tout commander par Internet ; j'ai même réglé par carte bleue. Quoi de plus naturel, en France, en 2010 ?
En effet, un premier huissier a du recevoir un simple fichier, via un site web et par email. Après confirmation, je suis allé vérifier sur le même site web. Les chaines qu'il a enregistré semblent être conformes. Le second huissier a tout simplement affiché un fichier qu'il a ouvert dans mon propre blog ; il a ensuite travaillé avec des checksums MD5. Je pense avoir fait très fort ou du durablement inaltérable avec ces trois checksums md5, sha-256 et sha-512 d'un ficher de 2 giga, après compression par gzip. Le papier du second constat m'est évidemment parvenu par la Poste, très rapidement ; j'ai le très net sentiment que mon facteur n'a rien éparpillé, que toutes les pages me sont bien parvenues, dans une enveloppe intacte. Il faut juste une bonne vue, sur cette impression au format A4, les caractères sont assez petits.
Mes écrits et de nombreuses données ont donc bien été parfaitement matérialisés, ce 12 mars 2010, par l'intermédiaire d'Internet. D'autres affirmeront que ce qu'on peut y lire n'est pas du tout fiable. Certains affirmeront même que Internet n'est rien qu'une poubelle à provoc. Mais Internet a été imaginé pour résister à une guerre thermo nucléaire, pour acheminer même des données à travers un réseau dégradé ou saturé, d'une manière tout à fait acceptable.
L'Express, vendredi 20 octobre 2006
"La fin du mythe communiste", par François Fejtö, extrait
Au moins, je recevais des données et des réactions en direct de partout, y compris de Moscou et de Pékin. Le fax et les moyens techniques nouveaux ont permis de contrer la propagande soviétique, très puissante en particulier dans la presse, l'opinion et les milieux intellectuels français.
Ces jours ci, j'ai un peu communiqué avec le boss de unblog.fr, par mail et par téléphone, rappelant que, par le passé, j'avais déjà discuté avec les services juridiques de OVH. A l'époque, j'avais déjà fait réaliser de premiers constats d'huissiers. Ce soir et après l'avoir bien étudiée, le boss de unblog.fr m'a finalement répondu que ma plainte était recevable. D'ici à lundi au plus tard, SEFCA Puteaux devrait avoir fait le ménage dans ses diatribes publiées sur unblog.fr.
J'attendais aussi une éventuelle réponse ou réaction du juge pour enfant de Nanterre, je lui ai écrit il y a huit jours. On m'a envoyé un RAR, certainement l'Administration ; je pourrais le retirer dès demain, au guichet de la Poste. Cette dernière a récemment fait la promotion d'un « coffre-fort » numérique, un nouveau service. Nous pourrons peut-être bientôt recevoir des RAR à toutes heures, par Internet, sans les contraintes des guichets et de leurs horaires d'ouverture.
D'un constat d'huissier, via Internet, puis livré par la Poste
Les régionales, en Moldavie française
Il y 10 jours, je pensais que cette page des régionales pourrait être très rapidement tournée. Cependant, juste avant le premier tour, j'ai encore vu apparaitre des écrits sur la toile, me concernant. En pleine campagne électorale et alors que la justice du 9-2 est saisie - j'ai plusieurs affaires « privées » sur le feu -, j'ai trouvé ces écrits particulièrement désagréables. Ce que j'ai lu ces jours-ci m'a beaucoup fait penser à certaines têtes, sur la liste de Pécresse ; quel hasard...
L'ex-dissident soviétique Boukovski exige le démenti des déclarations sur sa maladie psychique
14/08/2007 18:56 LONDRES, 14 août - RIA Novosti, extrait. L'ex-dissident soviétique réfugié en Grande-Bretagne Vladimir Boukovski et le groupe d'initiative de présentation de sa candidature à la présidence russe exigent le démenti des déclarations selon lesquelles M. Boukovski aurait été "psychopathe", selon un communiqué du groupe.
La veille, le journal britannique Daily Telegraph a publié certains propos d'un collaborateur anonyme de l'Institut Serbski de psychiatrie médico-légale de Moscou selon lesquels le "patient" Boukovski était incontestablement un "psychopathe". Du vivant de Brejnev, Vladimir Boukovski, connu par sa critique mordante visant le pouvoir soviétique, avait effectivement passé plusieurs années dans des hôpitaux psychiatriques.
Peu avant ce premier tour, le casier vierge d'Ali Soumaré a été critiqué par des irréprochables ; Soumaré est sur une liste qui s'oppose à celle de Pécresse. En 2007, Boukowski aurait souhaité se présenter aux présidentielles, en Russie ; par le passé, il avait lui-même beaucoup critiqué et contesté ; il n'a finalement pas pu se présenter car il aurait fallu qu'il réside en Russie. Je ne suis pas sur de telles listes, en Moldavie française, on est déjà très content lorsqu'on est autorisé à voter. Mais ce qui semble être des umpistes m'ont inventé une sorte de casier ou comme des dossiers qu'ils auraient en leur possession... et ces umpistes viennent d'en remettre une belle couche, ce 12 mars, une journée contre la cybersensure. J'ai bien écrit sensure, ce n'est pas une erreur de plume. Un tiers ou un parti aurait-il intérêt à me nuire voire à me discréditer, mes contestations et critiques déplairaient-elles à ce point là ? Ces umpistes m'ont même inventé des « problèmes de couple », c'est un coup à attirer l'attention des infréquentables de la Dass ; ma cadette n'est pas « placée », elle ne « bénéficie » heureusement d'aucune « aide » ; pourvu que le juge pour enfant de Nanterre et des gorets du social ne commencent pas bientôt à investiguer pour s'assurer encore une fois qu'il n'y a pas de problèmes chez nous, à Bagneux... pour que la petite en « profite » encore plus, évidemment.
Comme ce genre d'écrits douteux, sur le net, se « vaporisent » parfois très subitement, avant de réagir, j'ai préféré les faire matérialiser d'abord par un huissier, en personne. Les huissiers de justice sont aujourd'hui des experts dans ce domaine ; ce soir, en rentrant, ce que j'ai trouvé posé sur mon PC me l'a confirmé ; c'est ma compagne qui reçoit mes RAR et paquets, depuis longtemps. Je suis même agréablement surpris par l'épaisseur des documents et par l'ensemble qui m'a été communiqué. Cette fois-ci, je n'ai pas qu'un simple CD avec des images, des fichiers et un procès verbal de constat ; aujourd'hui, j'ai reçu de nombreuses pages imprimées, en couleur, numérotées et dument certifiées.
En décembre dernier, j'avais écrit au procureur de la République près le TGI de Paris. Je pense qu'il n'a pas donné suite mais j'attends confirmation. Au cours de ces dernières années, le ministère public n'aura donné suite à aucune de mes plaintes ; je sais juste que l'une d'elles a été « classée d'office ». En décembre dernier, je portais plainte en raison d'injures publiques, sur Internet, me plaignant aussi de faux et de calomnies, de mensonge ou de diatribes que je lisais, sur la toile, dans un blog, un service qui pourrait être hébergé en France, par OVH. Je souhaitais surtout que certains écrits disparaissent un jour d'Internet, mais la plupart sont encore en ligne. Depuis, j'en ai donc découvert de nouveaux.
J'ai encore de la lecture, ça va me distraire d'ici à dimanche et ce second tour. Ce dimanche, je vais à nouveau aller glisser une enveloppe dans l'urne mais l'UMP, Pécresse ou SarK.O. n'aura pas ma voix.
Un extrait de deux épais constats d'huissiers... justice.cloppy ? Un juge pour enfant de Nanterre ?
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