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Selon le CCIF, CAGE serait une association comme une autre
Edit du 27… Après quelques tweets, le CCIF nous a informé qu’il est bien déjà parti à l’étranger. Faire ses valises et partir, puis d’ailleurs ou comme depuis la Turquie, convaincre simplement ses soutiens, c’est tellement plus facile que faire des démonstrations pertinentes dans des tribunaux. Mais la balle sera peut-être encore dans le camps de Gérald, car il me semble que le CCIF avait quelques 8 antennes régionales en France. Qui me fait repenser à SEFCA Puteaux, une association de déviants, qui est un moment devenue SEFCA Europe et pour publier en Suisse, puis aux USA, on y serait tellement plus libre qu’en France aussi, mais qui semble depuis quelques temps avoir disparue.
Edit du 27 encore, quelques premières réactions vues sur Twitter, ou plutôt florilège, c’est de la liberté d’expression aussi : « La dissolution serait illégitime mais, & bien qu’ils se présentaient comme les hérauts irréprochables du droit, ils s’autodissolvent & fuient le terrain de la contestation juridique, font passer la lâcheté pour un pied de nez & l’aveu de culpabilité pour une résistance. Fascinant » « En résumé : « Vous ne nous avez pas dissous car nous sommes partis avant, nananère !» » « #CCiF Nous n’avons rien fait de mal... mais.. nous quittons la France, nous déplaçons nos actifs financiers à l’étranger, nous avons voté une #autodissolution car nous contestons la #dissolution.... bref enfumage, lâcheté et fuite de tout contrôle. » « Pauvres Belges ! Le CCIB va récupérer les activités du parti frère. Mais au moins le CCIF ne peut plus jouer aucun rôle officiel en France comme ester en justice ou rentrer dans les écoles. » « Le #CCIF qui prétend n’avoir rien à se reprocher auto-dissout son association, dispatch ses activités à d’autres associations, va clôturer ses comptes sur les RS et quitter le territoire. Quand on a rien à se reprocher, on se bat, on ne prend pas la poudre d’escampette #lache :clown: » « Cette vraie-fausse auto-dissolution est une habile opération de communication. C’est aussi un aveu. » « Savent-ils que l’auto-dissolution (c’est-à-dire le suicide) c’est « haram » en islam ? » « Le #CCIF quand il fait des pdf VS. Ce qu'il est vraiment » « En perdant le CCIF la République Française perd l'une de ses plus belles ONG qui l'honorait et ainsi un peu de son âme. Du fait de sa corruption la macronie entraîne inexorablement les institutions qui gouvernent la France dans la déchéance. » « Compte parodique ? »
Edit du 27 au soir, après avoir découvert la dernière une de Anadolu Post... Les couards ont fait leurs valise pour continuer à déblatérer, mais d’autre part, c’est confirmé. De source A News rubrique World : « The event, titled "Global Islamophobia: Roots, Context and Deconstruction," which was held by East London Mosque and the London Muslim Centre, discussed wide-ranging issues related to Muslim minorities living in Europe. Narzanin Massoumi -- a lecturer at Exeter University -- said "Islamophobia is a form of racism and should be taken seriously." An online webinar Thursday discussed the roots and context [...] Marwan Muhammad, former director of Collective Against Islamophobia in France (CCIF), criticized France for its latest policies on Islam and Muslims. » « Global Islamophobia » ?
Edit du 27 encore, alors que le CCIF et BarakaCity avec leurs nombreux avocats d'ici et de l'étranger nous ont expliqué que rien ne fonctionne en France... « Le juge des référés du Conseil d’État estime que le recours à la visio-conférence, sans l’accord de l’accusé, autorisé par l’ordonnance du 18 novembre 2020, pendant le réquisitoire de l’avocat général et les plaidoiries des avocats, porte une atteinte grave et manifestement illégale aux droits de la défense et au droit à un procès équitable. » Les détails sont sur www.conseil-etat.fr
Pour beaucoup, la dissolution de Baraka City « pour juste quelques tweets » de son président, Idriss Sihamedi, n'est qu'une flagrante injustice, une réprimande politique islamophobe, dénuée du moindre fondement factuel et juridique. Le Conseil d'Etat vient de se prononcer, et nous attendons donc que la CEDH se prononce à son tour... Il est naturel que quelques vrais avocats les défendent jusqu'au bout, nous n'en cerneront que mieux les limites admissibles en matière de liberté d'association et encore du dicible en France. « Les soussignés - William BOURDON et Vincent BRENGARTH - annoncent saisir la Cour européenne des droits de l'Homme de mesures urgentes de l'article 39, compte tenu de l'absence de voies de recours internes et des effets irrémédiables entrainées par la mesure de dissolution de l'association humanitaire. » Les voies de recours internes ayant été épuisées, ils vont à la CEDH, logique, normal.
Après leurs deux renvois pour motif de covid, Idriss Sihamedi était récemment malade, leurs avocats vont-ils s'y plaindre car le Conseil d'Etat saisi en référé n'a ainsi pas pu statuer dans les 48 heures ? Les demandes de renvoi, ces manœuvres dilatoires, ou juste pour faire trainer les choses urgentes, voire simplement pour faire chier, même en référé, je connais, ça n'y ressemblait pas. Vont-ils à la CEDH pour y espérer une décision de « quatrième instance » ? Si la requête pour sauver Baraka City était mal formulée, nous devrions être rapidement fixés, elle sera bientôt jugée irrecevable. Et puis quoi qu'il advienne, les soutiens de Baraka City resteront tous déçus, il est bien connu que ces voies là ne sont qu'illusoires.
La responsabilité des magistrats
PUF, Droit et justice, septembre 2006
Gwenola Kerbaol
Les notes de la mission de recherche droit et justice
Extrait de la page 18,
c) Les voies de recours
L'existence des voies de recours implique-t-elle l'exclusion de l'action en responsabilité du fait d'un acte juridictionnel ? La réponse ne peut être que négative puisque les deux actions ont un domaine et une finalité distincts. Les voies de recours ne sauraient empêcher l'existence d'un préjudice, ni y remédier. Elles ne sont d'aucun secours dans les cas d'exécution provisoire, en cas de décisions rendues en premier et dernier ressort, en appel ou en cassation.
Le CCIF réagit à son tour, a à répondre à l'Intérieur, la procédure de dissolution d'association est contradictoire. A lire leur tweet sur la partie 7, il y aurait « bourde des services du ministère de l'Intérieur, qui révèle surtout qu'ils sont prêts à relayer la rhétorique de la fachosphère sans aucune distance critique. » Comme si les critiques à l'encontre du CCIF ou même au sujet des « camps décoloniaux » n'avaient toutes et toujours que muries ainsi que émanées des plus extrêmes de ce pays... Faudrait oser le dire franchement, comme Yeni Şafak, ou encore comme le Pakistan, que « des nazis s’apprêtent à faire disparaitre chacun des membres du CCIF », des propos ou éléments de langage qui seraient plus clairs pour leurs nombreux soutiens ? Ca mobiliserait plus et mieux contre les services de Gérald ou encore contre Macron...
Salir les uns, enjoliver les autres, nier ou même ignorer ce qui s'est vu et su, il en restera toujours quelque chose, des très convaincus aussi. En réponse à la partie 5, le CCIF rappelle son grand attachement à la présomption d'innocence de Idriss Sihamedi. Tantôt à souvent, le droit en France est vraiment nul, mais parfois, il est brandit, avancé pour justifier des prises de positions. Sera-t-il utile de rappeler un moment que les droits et devoirs en France constituent un ensemble indissociable, qu'on y picore pas comme dans les rubriques cris et faits divers pour en élaborer un beau rapport ?
Avec la réponse du CCIF à la partie 6, nous apprenons que CAGE ou UK CAGE, des britaniques, est une association d'avocats ou de militants comme toutes les autres, qui aurait tenu des discours même tout à fait similaires à ceux de Jean-David Levitte, ambassadeur français. « Guantanamo est un embarras qui soit être réglé d'une façon ou d'une autres ». « CAGE #StopMacron défend... de la même façon que des avocats et des défenseurs des droits de l'homme le font. » Ces semaines passées, on ne les avait pas trop perçu agir dans les tribunaux, mais plutôt sur les réseaux sociaux, et particulièrement au cours de la seconde quinzaine du mois d'octobre, aux côtés de Baraka City, du CCIF, de Idris Sihamedi, ainsi que aux côtés ou vraiment pas loin des camps de Erdodan, de Malaisie, du Pakistan, d'Indonésie, j'en passe. « CAGE n'a jamais fait l'apologie du terrorisme ni même organisé des manifestations au profit de personnes condamnées pour terrorisme. CAGE défend le droit... » je le note bien, c'est ce qu'ont dû noter les britanniques aussi.
Six universities face inquiry over Cage campus talks
By Gordon Rayner ; Gordonrayner and Tomwhitehead 06 January 2016 • 22:00 pm, The Telegraph, excerpt
Six British universities are facing an inquiry after the controversial human rights group Cage used meetings on campus to encourage the “sabotage” of the government’s official anti-extremism programme. Moazzam Begg, the former Guantánamo Bay detainee who is director of Cage, told students “any right-minded person” would oppose the Prevent strategy, likening it to the methods of the Stasi secret police in the former East Germany. He also told audiences they should have sympathy for jihadists killed fighting with Al Nusra, the Syrian branch of al-Qaeda. Cage was allowed to hold the talks at the end of last year at the six institutions – which include three members of the elite Russell Group of universities – despite being described by Boris Johnson as “an apology for terror”.
Amnesty International UK
Amnesty International responds to questions about Cage
18 May 2020, 02:28pm, www.amnesty.org.uk, excerpt
Further to our statement below, Amnesty International UK's Director Kate Allen today said: “Amnesty no longer considers it appropriate to share a public platform with Cage and will not engage in coalitions of which Cage is a member. “Recent comments made by Cage representatives have been completely unacceptable, at odds with human rights principles and serve to undermine the work of NGOs, including Amnesty International.” She continued: "We had engaged with Cage together with several other organisations on the specific issue of UK complicity in torture abroad, on which they had particular expertise. [...] "Gita’s view was that it was inappropriate for Amnesty International to share a platform with individuals and organisations whose religious or political views were inconsistent with the full range of rights and women’s rights in particular. Amnesty International has never questioned the integrity of this view or the sincerity with which Gita held it. However, it is not uncommon for NGOs to enter into coalitions with other organisations or groups on one specific issue despite their disagreement on others.
Un visuel Amnesty/UK CAGE qui était presque parfait
Amnesty International considers cutting links with pressure group Cage
Mon 2 Mar 2015 19.25 GMT, The Guardian, excerpt
Kate Allen, the UK director of Amnesty, said it had no formal or financial relationship with Cage, but had campaigned with the organisation on issues relating to Guantánamo and torture. She added: “We support the call for a torture inquiry. We do not support all of Cage’s views or agree with how it expresses them. “We are reviewing whether any future association with the group would now be appropriate.” She added that Amnesty condemned any attempt to apologise for Isis or its human rights abuses. The issue is particularly sensitive for the charity given that, in 2010, the human rights activist Gita Sahgal was suspended from Amnesty after criticising its links with Cage.
Amnesty International is ‘damaged’ by Taliban link
The Times, Richard Kerbaj, Sunday February 07 2010, 12.01am GMT, The Sunday Times, excerpt
A SENIOR official at Amnesty International has accused the charity of putting the human rights of Al-Qaeda terror suspects above those of their victims. Gita Sahgal, head of the gender unit at Amnesty's international secretariat, believes that collaborating with Moazzam Begg, a former British inmate at Guantanamo Bay, "fundamentally damages" the organisation's reputation. In an email sent to Amnesty's top bosses, she suggests the charity has mistakenly allied itself with Begg and his "jihadi" group, Cageprisoners, out of fear of being branded racist and Islamophobic. Sahgal describes Begg as "Britain's most famous supporter of the Taliban". He has championed the rights of jailed Al-Qaeda members and hate preachers, including Anwar al-Awlaki, the alleged spiritual mentor of the Christmas Day Detroit plane bomber.
Cage: Important human rights group or apologists for terror?
By Henrietta McMicking
BBC News, published 27 February 2015
October 14th, 2020 | Arrest, Press Release, Raid www.cage.ngo, excerpt... Moazzam Begg, Outreach Director for CAGE said: [...] “Baraka City and Sihamedi enjoy wide spectrum of support from the Muslim community in France. Macron’s popularity is ailing and he is now pandering to the far-right to demonstrate his Islamohobic credentials for the upcoming presidential elections. Macron wants to surpass Marine Le Pen in his anti-muslim rhetoric and policies. As a result Muslims are the prime targets at the altar of his political ambitions.”
www.cage.ngo, excerpt... 6 March 2014 (London, UK) Over the course of the last week, UK counter terrorism police have conducted a series of raids and arrests, all in connection with Syria. Whether it has been Moazzam Begg, the Tahari family, or the heads of UK Muslim charities, a message is being sent by the UK authorities that contributing through civil society to alleviating the humanitarian crisis in Syria is closed to Muslim communities specifically.
Cage asked to remove video over claims
woman's delivery room was 'raided' after giving birth
By Steve Bird, 29 September 2018 • 7:00pm, The Telegraph
Counter-terror police order
controversial Muslim group Cage to
remove 'deliberately misleading' film
accusing officers of 'raiding' a woman
in hospital moments after giving birth
• Cage used the controversial video to attack government's anti-terror strategy
• Featured woman who claimed that she'd had her children taken away from her
• Anti-terror police said it was 'highly misleading' and didn't give the full picture
By Rory Tingle For Mailonline
Published: 11:50 GMT, 30 September 2018 | Updated: 13:22 GMT, 30 September 2018
Sensibiliser tous les Musulmans avec une histoire absolument terrible, on dirait que CAGE n'en est pas à son coup d'essai. « Where were my brothers ? Where were you ? » « That evening I got raided at home too »... « They are not killing our children. Theyre taking our children away. » « What for ? » « Cage, may Allah reward you. » Si CAGE, le CCIF, le NYT, Anadolu Agency, Amnesty ou même Plenel, ses journalistes et ses blogueurs ou dessinateurs souhaitaient un jour discuter plus en détails de juges et de protection de l'enfance, ainsi que d'enfants plus là pour on ne peut savoir exactement quelle raison, mais plus là et sans aucune voie de recours, ce ne sera pas un soucis pour moi.
Puis tombait la partie 8, on apprend qu'il leurs est reproché des commentaires en grand nombre, « de la part de fidèles et internautes qui constituent par eux-mêmes une provocation à la haine, à la discrimination, à la violence. » En retour, le CCIF invite Gérald à faire mieux modérer les réactions à ses propres publications. On y travaille, à tout modérer...
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34 publications = cyber-harcèlement
NDLR : On dirait que certaines pratiques en ligne ou que Emeric Z., une gazette, SEFCA Puteaux ou Europe, cette association de déviants, a enfin ou encore une fois fini condamnée. Une brève d'un 1er avril, est-ce sérieux ?
Actualités
Legalis.net, vendredi 1er avril 2016
34 publications = cyber-harcèlement
Le juge des référés du TGI de Paris a estimé que la diffusion répétée de 34 articles contre un couple caractérisait le délit de cyber-harcèlement, créé par la loi du 4 août 2014 et introduit dans l’article 222-33-2-2 4 ° du code pénal. Dans son ordonnance du 29 mars 2016, le tribunal a pris en considération le nombre de publications et la teneur des textes en cause qui nuisent à la réputation des deux personnes concernées pour juger qu’il y avait un trouble manifestement illicite. Il a listé les url de chacun des articles et a ordonné leur retrait.
Une femme qui rencontrait des difficultés par rapport à la garde de ses enfants s’était tournée vers une association. Mais ses relations avec le responsable de l’organisme se sont vite dégradées. Depuis, ce dernier a publié des articles ternissant sa réputation et celle de son mari ; le dernier en date ayant paru postérieurement à la première audience de cette procédure. Cet homme prétendait que le couple était recherché et lançait des « avis de recherche ». L’article en question du code pénal puni « le fait de harceler une personne par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une altération de sa santé physique ou mentale ». Quand les faits sont « commis par l’utilisation d’un service de communication au public en ligne », la peine maximale est de deux ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende.
Lire la décision, sur Legalis.net (TGI de Paris, ordonnance de référé du 29 mars 2016, tags pénal - harcèlement - contenu manifestement illicite - messages - e-réputation - articles - réputation - cyber-harcèlement)
Tiens, voilà que ressurgit ce Maxi
Il y a peu, ailleurs, dans un billet au contenu bizarre, sans mon autorisation, j'ai vu paraitre une photo qui semble avoir été taillée dans ce mag, un Maxi de mars 2008. Un huissier de justice français a vu et enregistré ce montage douteux ou excentrique. Qu'en pensera le proc' du coin, Nanterre ? Depuis quelques temps, j'ai parfois le sentiment d'être « signalé », comme en Russie ou comme depuis Puteaux, par le passé. Pour le moment, je n'ai pas pu contacter un OPJ, pour en discuter encore ; ils étaient manifestement « à la circulation », du fait des conflits sociaux.
Cahiers du MONDE RUSSE
45/3-4 | 2004
Période soviétique et post-soviétique, extraits
Les dernières avancées de la recherche sur l’histoire de l’URSS ont déjà fait voler en éclats beaucoup de préjugés idéologiques, y compris le schématisme et l’extrémisme des courants « totalitariste » et « révisionniste ». [...] Selon le langage de l’époque, leurs auteurs envoyaient des « signaux » aux autorités dans le but d’attirer leur attention sur ce qui n’allait pas dans la vie publique ou privée. Cependant ils s’abstenaient, à de rares exceptions près, de critiquer le pouvoir central. C’était tout le contraire : en manifestant ainsi leur confiance au régime, ils espéraient que les autorités prendraient des mesures contre des comportements déviants de voisins, chefs, collègues, amis ou parents.
Cahiers du monde russe, 45/3-4 | 2004, [En ligne], mis en ligne le 03 juin 2009.
http://monderusse.revues.org/index4201.html. Consulté le 22 octobre 2010.
Peu après la parution de ce Maxi auquel je ne pensais plus, mes droits « sur » ma fille ainée allaient enfin être progressivement rétablis ; pour y aboutir, j'avais fini par sommer le juge pour enfant Xavier Serrier de juger. Ce sont déjà de très vieux souvenirs, de la matière pour des historiens. Les juges m'ont beaucoup reproché cette parution.
J'avais commenté cet article de Maxi. Plus tard, des journalistes de France 2 me suivaient au tribunal, pour Faits divers, le mag. Du reportage diffusé par France 2, il y a 3 ans : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. » Elle a maintenant quasi 18 ans. A mon avis, le ministère public va rester éternellement aphone, il n'a rien à répondre à ces caméras, et le pasteur ne dira rien non plus. Mais que dis-je, « ces caméras » ; les caméras se sont vaporisées
Ce dimanche, à Blois, le procureur Varin nous a beaucoup bercé parlé de présomption d'innocence ; il insistait.
Maxi n° 1114, du 3 au 9 mars 2008
« Régalez-vous économique ! » J'ai de nouveaux éléments entre les mains et il m'en parviendra encore.
La cour d'appel de Versailles, sa chambre des créatures inférieures, a elle même assez souvent été explicite : « Par ordonnance du 18 novembre 2003, malgré la résistance du père à l'interférence des tiers dans l'éducation de sa fille, en particulier des institutions judiciaires, Justine, enfermée dans un conflit de loyauté qu'elle ne pouvait maitriser seule, était placée à la Maison d'enfants du château de Vaucelles à Taverny, placement qui était renouvelé à compter du 14 avril 2004. » Prétendant « sauver », ces gorets du social ont tout cassé, travaillant plus à rompre, à servir le pasteur et le corbeau de cette histoire, une tata de la Dass, à se défausser et à se couvrir plutôt qu'à aider effectivement mon ainée. Récemment, l'ARSEA Alsace a ajouté une cerise de plus à ce gros gâteau ; ces pros là tenaient absolument, à leur tour, à « orienter » mon ainée ; ils ont réussi à faire foirer également sa scolarité. Et ce n'est pas fini ; d'autres « professionnels » ont fait un peu n'importe quoi dans le cadre de successions... Aux Français et à leurs juges : encore un petit effort, puis vous aurez bien sauvé ou veillé sur tout ! Mais je suis d'accord, on a déjà vu pire. Oui, 'y a toujours pire.
Le ministère public va rester aphone, ou arguer d'abord qu'il s'agirait « d'assistance éducative », ou que tout cela est « d'ordre privé ». J'ai beaucoup étudié et appris au cours de cette dernière année. J'ai, par exemple, étudié des procureurs et des juges ; j'avais surpris un avocat général lorsqu'il s'était apperçu que je l'avais observé au cours de l'audience, alors que les juges lisaient un rapport ; je pense que je surprennais déjà le juge Anne Valentini, dès la mi-2003 et plus encore, après l'été 2004, au cours d'une discussion, lorsqu'elle décidait de ne pas se déssaisir du dossier de ma fille, ce qui m'avait choqué. J'ai ausssi étudié SEFCA Puteaux. Par le passé, j'avais déjà longuement et assez finement étudié l'Enfant d'Abord ainsi qu'une faune qui grouillait dans les forums de aufeminin.com. J'ai étudié ou approfondi de nombreuses matières, travaux et publications, observé plus d'une créature ou association ; des historiens, des juristes et des sociologues s'en sont peut-être apperçu ; les gorets de l'ARSEA s'en sont beaucoup plaint, Richard Josefsberg a également très mal supporté ma carotte. Je recherche encore la « dimension éducative » ou ce qui, dans une telle histoire, profiterait effectivement à ma fille aînée, « l'enfant ». En ce moment, avec SEFCA Puteaux, je buche le pénal et ses préliminaires, des matières que je n'avais pas encore eu l'opportunité d'approfondir.
J'amasse des éléments - concrets, matériels - depuis de très longs mois, voire même depuis des années, tandis que d'autres allèguent, dénigrent, diffament, injurient et accusent depuis début 2009, sur la toile, ainsi que, depuis peu, auprès de la police nationale et du proc', en recherchant des témoins, en réclamant voire même en supposant des condamnations acquises, en exigant des investigations et en réclamant maintenant même un juge d'instruction ? Ces délinquants - un mot qui plait beaucoup à l'UMP - de Puteaux n'ont-ils réellement aucune preuve contre moi, leurs faudrait-il des juges, de vrais juges, pour leurs rassembler des charges ? Les démarches de ces délinquants, en France, auprès du parquet de Nanterre, de la police de Puteaux et, très probablement, auprès des services de police Neuilly aussi, ne m'inquiètent absolument pas. Tout devrait se décanter au cours des prochaines semaines ou mois. Qu'est-ce que cette « gazette de Puteaux », un autre blog également hébergé sur Wordpress.com, encore aux USA ? Cette gazette semble avoir publié ou repris des affabulations et des diatribes de l'association SEFCA Puteaux. J'en parlerais également à la police ainsi qu'à tout juge qui se saisirait des plaintes et complaintes de ces délinquants ou affabulateurs de Puteaux ; je n'ai rien à cacher ; même ce que des professionnels appellent le tribunal de l'opinion ne m'inquiète absolument pas.
Le Canard, 1er octobre 2008
On rigole souvent lorsqu'on lit le Canard ainsi que d'autres feuilles, moins satiriques. Je rigole aussi, très souvent, lorsque SEFCA Puteaux annonce que des plaintes suivront. Les plaintes de ces délinquants ont parfois été très concrètes, suivies d'effets ; la police du secteur m'a déjà convié pour me demander des explications, en mai dernier. La police pourrait bientôt, à nouveau, me repprocher d'avoir publié des « photos des enfants » de Monsieur et Madame Lorentz. Jean, le « prédésigné », n'est-il plus le fils de Nicolas Sarkozy ? Il semblerait surtout qu'il y a peu, Monsieur Lorentz a détourné une correspondance privée pour la publier, lui-même, sur Internet, tout en m'accusant de l'avoir fait, quelque chose de cette nature... Et il y a peu, la police me priait encore d'attendre ; le proc' de Nanterre doit, un jour, prendre des décisions.
Des photos de ses enfants, publiées sur Internet ? | Des photos avec Jean Sarkozy et Nadine Morano ? |
Ces deux vignettes sont celles de photos d'un constat d'huissier. Je pense que l'association SEFCA Puteaux est brouillée avec ces gens là, mes butineuses - voir ou relire Je crois qu'une bonne piqûre de rappel s'impose. Les huissiers de justice sont pourtant parfaitement compétants pour réaliser des captures, des constats, y compris sur Internet - poser la question à Google. Faire appel à leurs services n'a rien d'un crime ou d'un quelconque délit, en tous cas, pas en France - en principe, dans les grandes lignes, qui pourraient être bientôt déplacées par le proc' et des juges du coin.
Ma compagne rigole souvent, elle aussi. Elle a beaucoup rigolé lorsque Nanterre a décidé d'auditionner un dalmatien. Un juge s'éclaire comme il a envie de le faire ; les juges de Nanterre et de Versailles me l'ont assez bien démontré au cours de ces dernières années ; on dira plutôt des juges qu'ils sont indépendants ; les juges du coin ont mis un temps fou avant de reconnaitre qu'ils avaient dénaturé des éléments du dossier d'assistance éducative de ma fille ainée, ou plutôt, un temps fou à bouger un peu leurs plumes, à relire et à revoir un peu leurs motivations. Ma compagne rigole souvent, mais elle s'inquiète aussi, ces derniers temps ; les juges du coin accepteront-ils ou vont-ils, comme SEFCA Puteaux envisage de le faire, purement et simplement balayer ces constats d'huissier auxquels je me réfère ? Mais le pénal, en public, et l'assistance éducative, à huis clos ou à la dérobée, ce n'est pas du tout la même chose - en principe seulement.
J'étais hilare lorsque j'ai découvert ce PDF, dans ma boite mail, de la part du service contentieux d'Iliad. Combien de truands rêveraient d'être informés avant l'arrivée, chez eux, de la police, de fouineurs, voire même d'un juge d'instruction, en personne et à l'improviste ? « Coucou, c'est pour la fouille, puis on vous embarque ! » Fillipis, ex-PDG de Libé, pourrait en rire ou en pleurer également ; fin 2008, il a été fouillé puis amméné au juge d'instruction, toute la presse était boulversée ; « la garde à vue, ça craint, ces procédés sont inadmissibles ! » Iliad m'envoyait ce fax par mail en me suggérant alors de « prendre les mesures utiles qui s'imposent ». J'ai repeint les WC. Quoi faire d'autre ?
L'essentiel des éléments auxquels je me réfère lorsque je réagis, face aux accusations et aux diatribes de SEFCA Puteaux, est gravé dans les minutes de deux ou trois huissiers de justice français. Le proc ayant aujourd'hui d'assez larges pouvoirs d'investigations, il a probablement déjà pu accéder à ces minutes, vérifier au moins la conformité de ce que je lui ai déjà communiqué, au cours de l'hiver et du printemps dernier. Le proc' et ses services sont peut-être perdus dans ces centaines de pages de constats d'huissier qu'il ont pu découvrir depuis... et noyés dans les fichiers de police, maintenant régulièrement alimentés par SEFCA Puteaux ?
Je n'ai pas simplement fait capturer des extraits des blogs de SEFCA Puteaux, mais des pages entières, parfois des sources aussi, en communiquant simplement des URL à ces huissiers de justice, avec des manières courantes pour y accéder, par exemple, depuis Google ; on ne pourrait que très difficilement m'accuser d'avoir fait capturer des morceaux choisis, puis d'en avoir fait des « montages ». D'où j'ai ces captures réalisées sur Facebook ? Elles sont aux minutes d'un huissier, il s'est enregistré, sur Facebook ; là bas, Monsieur Lorentz avait un mur, lisible par tous, et une liste d'amis, également lisible par tous. Comment j'ai pu me procurer la plainte de Monsieur Françis Painot ? Elle est aux minutes d'un huissier, il l'a trouvée sur la toile, dans un blog de SEFCA Puteaux. Il y avait aussi des bugs, ici et là, mais je n'en parlerais pas ; là encore, l'essentiel est gravé ou noyé dans les minutes d'un huissier ; tout est légal. Il faudrait que je sois débille pour « m'introduire » quelque part et risquer une condamnation. Je ne parlerais pas car je pourrais porter préjudice à Wordpress.com ainsi qu'à Wordpress.org, certainement à Facebook aussi, ce que je ne souhaite pas faire. Mais si le proc' ou un juge insiste, je parlerais et nous rirons encore des allégations de SEFCA Puteaux - 024 076 091 093... 100
If you want it secure, cut the wires - remove the power cord. Il y a quelques temps, pour le Conseil Général du 9-2, Monsieur Françis Painot était lui-même assez explicite, je ne l'ai pas caché, SEFCA Puteaux non plus :
Internet, ce n'est pas plus confidentiel qu'un couloir, tout peut s'y éparpiller ?
Du chantage ? Mais de quel chantage se plaint SEFCA Puteaux ? Comment pourrais-je faire disparaitre quelque chose qui est depuis des mois comme gravé dans du marbre, chez des huissiers, et qui est déjà communiqué au proc', publié sur Internet aussi ? Pourquoi envisagerais-je de faire disparaitre quelque chose dont je me sers pour me défendre ? Ces plaintes ou accusations fantaisistes qu'on se prend, en retour, sont à mon avis très courantes dans ce genre d'affaires ; ce dimanche, à Blois, le club de la presse en a même parlé ; je suppose que le proc' et la police du coin sont également au parfum. SEFCA Puteaux a relevé des injures et s'en est plaint à un juge d'instruction ? Où sont ces injures dont se plaignent ces délinquants, de quoi s'agit-il ? Il y aurait ici et là, dans mes écrits, quelque chose d'inacceptable, d'inadmissible ? Je ne partage pas ce sentiment. Ce vieux texte de 1881 est vraiment très bien conçu ; son article 1er : « L'imprimerie et la librairie sont libres » ; mais il faut aussi lire les articles suivants.
Comme je l'écrivais déjà le 30 mars dernier, « des lecteurs vont vouloir me parler d'une histoire de tarte aux pommes en me lançant que la justice aurait bien mieux à faire... Mais je ne me plains pas d'un simple « salope » marmonné un jour, dans une boulangerie. » Par ailleurs, SEFCA Puteaux a tout de même réussi à mobiliser la police, le proc' ainsi que le doyen des juges d'instruction du coin. Je crois que cette affaire est aujourd'hui assez sérieuse ? En tous cas, la police de Puteaux semble avoir pris Madame Moreau et Monsieur Lorentz très au sérieux. D'autres vont me lancer qu'il se passe toujours des choses plus graves, ailleurs ; oui, je sais, et pour s'en convaincre, il suffit de parcourir ma rubrique Notes ou ma rubrique Victimes, dans ce même blog. Mais patience, le proc' va peut-être tout classer ; c'est lui, le chef, ici.
Mais que Courroye et ses services classent, une première partie, et ce sera parfait. J'ai d'ailleurs exercé diverses pressions à ces fins, pour les faire bien fouiller. En effet, en mai dernier, auprès de la police qui m'avait demandé des explications, j'ai dépose une plainte contre SEFCA Puteau, Madame Moreau et Monsieur Lorentz, en raison de dénonciations calomnieuses, une plainte que je vais évidement maintenir. En mai dernier, j'exerçais également des pressions à la chancellerie ; voir Référence à rappeler au Ministre : BDC/CP/FM-2010004446638. Plus tard, en juin, Versailles renvoyait, conviant le pasteur... et début septembre dernier, le proc' de Paris finissait par me répondre. Depuis, selon le Métro du 20 septembre, des juges ont appelé à une grève du zèle. A mon avis, le parquet s'affaire. En marge de toutes ces histoires, au tribunal de Nanterre, je me suis aussi plaint d'une doublette, à Puteaux.
récépissé de plainte en raison de dénonciations calomnieuses
Fin mai 2010... depuis, en plus des injures, il pleut les jérémiades de Puteaux
Je note que Jean Sarkozy est à nouveau en campagne. D'après le Parisien, il trime, pour ses études, et « désormais, il refuse toutes les sollicitations des médias. » Va-t-il afficher son franc soutien à SEFCA Puteaux ? Lefebvre ou Poniatowski, un ami d'Emeric Lorentz, sur Facebook, vont-ils s'en charger, pour l'UMP ? 'y a personne, au Parti, pour repécher l'un de ses membres ? Allez, courage Lefebvre, comme vous l'aviez suggéré, en février dernier, on étale tout, on passe enfin à cette ère différente ! Il faut que je retrouve un email de Puteaux adressé à Monsieur Nicolas Sarkozy, notre chantre national... J'ai déjà retrouvé ce qui semble être ce fameux faux, très émouvant, dont Monsieur Painot pourrait s'être plaint. Ah ! Voilà cet email, sur cette page : « Monsieur le Président, Je vous écrie une nouvelle fois, nouveau membre de l'UMP avec ma femme grâce à votre fils Jean Sarkozy. » Quelqu'un va renvoyer l'ascenceur ? Nadine, Ministre de la famille ou des battues (les femmes, à moins que des battues de la Dass), pourrait s'en charger ; la femme et les enfants de Monsieur Lorentz seraient les grandes victimes de cette histoire-ci.
J'ai parfois l'amère impression de faire de la politique, parmi des requins, en marge de mes affaires « d'ordre privées », menées en ce qui serait justice. Je pense que je vais devoir relire les arrêts et jugements rendus par Versailles et Nanterre, de 2007 à 2010 au moins ; je crois que d'une certaine façon, les juges du coin ont pu percevoir quelque chose d'assez similaire, ils ont souvent critiqué mon expression, en public (presse, blog et forums sur le net, télé, manifestations dans Paris, critique des gorets du social, ... alors Xavier Serrier, l'un de leurs pairs, emplafonné fin 2008, puis encore la cassation, n'en parlons même pas, j'ai pu vexer plus d'un juge et de nombreux justiciables).
Paranoïa ? Hé, du calme, les illuminés, les pitres en robe et les bouffons en blouse ! Au cours de ces dernières années, j'ai critiqué à peu près tout le monde, et souvent agit ou réagit, y compris parfois de manière virulente, dans des prétoires. Il me parait donc assez naturel qu'il y ait aussi fréquemment des réactions, en retour, jusqu'à des réactions des plus maladroites. N'est-ce pas, SEFCA Puteaux ? N'est-ce pas, l'OSE France ? N'est-ce pas, l'ARSEA Alsace ? N'est-ce pas, les juges ? CHEESE - Prennez le avec le sourir, ce ne sont que quelques mots. Je propose qu'on en discute ensemble, plus en détail, et qu'on farfouille, histoire d'en rire d'avantage. On pourrait aussi convier des historiens, spécialistes des systèmes ou régimes totalitaires, lire puis commenter ensemble Un cas clinique, histoire d'en rire, un extrait du DSM-IV, paru chez Masson, en 2008 ? Allez, on se remue, on ose, et on parle de tout, sans le moindre complexe ! Enfin... ces histoires d'inflation et d'empreintes génitales, allez en discuter avec qui vous savez.
En janvier 2009, j'envoyais une baffouille au garde des Vélodromes. J'écrivais encore que, « contrairement à ce que le Docteur Magalie Bodon-Bruzel supposait dans un rapport très contestable versé au dossier de Justine en 2006, j’ai conscience des troubles que je crée autour de moi. J’ai également bonne conscience des troubles que d’autres créent et entretiennent autour de moi et de mes enfants. Cet expert missionné par le juge pour enfant de Nanterre aurait du m’entendre ou, à défaut, deviner que j’allais un jour répondre à la hussarde. » Puis nous passions l'été 2009 en famille. Depuis, tout est reparti en vrille... mais c'est du passé, de la matière pour des historiens. En septembre 2009, ma compagne me disait : « écoute... attend, j'ai entendu ça l'autre jour... ça va te plaire... écoute, ça va venir ». J'ai adoré. Pendant quelques temps, j'ai fait la promotion d'un son de Lily Allen, y compris dans Paris, pour les 20 ans de la CIDE. Je crois qu'on m'en a beaucoup voulu :
La cassation doit donc encore rendre une décision. Je me fout de ce qu'elle rendra, mais j'attends. Ce qui pend au nez de certains, d'une manière assez sûre, est une sorte d'affaire Finaly bis. Le pasteur d'Uhrwiller pourrait bientôt plagier Madame Brun et Olivier Echappe, l'un des évèques ? Il me semble que Madame Brun n'a jamais parlé non plus. Qu'est-ce qui motive ce pasteur ? Les professionnels de l'OSE France et de l'ARSEA Alsace ont déjà endossé le rôle des français. On dit de l'affaire Finaly qu'elle avait divisé ce pays. Je pense que cette histoire-ci, où tout est couleur noyade, pourrait un jour fragmenter la France... Dans cette histoire, SEFCA Puteaux est susceptible d'avoir un second rôle, par exemple, de l'un des boulets qui m'ont fait perdre mon temps et des ressources, au cours de ces dernières années - les boulets se reconnaitront, jusqu'à la ville d'Asnières, encore le 9-2, et jusque dans des commissariats aussi.
A Puteaux, la police semble prêter une oreille très attentive à Madame Moreau ainsi qu'à Monsieur Lorentz. Par le passé, ailleurs et un peu partout, on m'a souvent envoyé chier ou pleurer plus loin, par exemple, auprès d'un avocat - « on ne porte pas plainte contre une association d'utilité publique », l'OSE France. Je m'en fout de ce qui se trame à Puteaux, que Madame Moreau et Monsieur Lorentz déposent. Pendant que SEFCA Puteaux poireaute ou s'exprime au commissariat, à ma connaissance, personne d'autre ne braille sur Internet. Tout devrait bientôt se décanter, puis se tasser.
Voir La liste électorale
Parano ou complot ? Foutaise ! D'autres choses sont bien plus certaines.
Par exemple, je n'hésite pas ni à parler, ni à sortir - ni à écrire non plus. Au cours de ces dernières années, je pense avoir mis les pieds un peu partout, même au hamasland, sur les lieux de la catastrophe aussi. Ce dimanche 17 octobre, j'aurai bien aimé me rendre au siège de l'OSE France, pour apprendre comment résister et vivre ; mais j'avais déjà mes billets de train, pour Blois, et de toute façon, j'avais suivi le cours la vie, après la Shoah.
Par le passé, ces délinquants de Puteaux diffamaient et m'injuriaient depuis unblog.fr, un hébergeur franco-suisse. Depuis le printemps dernier, après un grand ménage sur unblog.fr, après le ménage chez NouvelObs.com, ces mêmes délinquants diffament et m'injurient encore, mais depuis Wordpress.com, aux USA, tout en sollicitant maintenant très régulièrement les services de police ainsi que le parquet français. Ces délinquants souhaiteraient que je sois poursuivi, sévèrement puni, et que mon blog, hébergé à Paris, soit « fermé ». Ces jours-ci, ça m'occupe encore un peu. Même si je suis déjà en relation avec les services de Wordpress.com, je ne sais pas si j'arriverais à faire faire le ménage, là bas, aux USA. A l'étranger, les règles, la loterie ou ce cirque sont souvent très différents des notres. Je pense que le parquet confirmera, même des sites de pédopornographie peuvent rester en ligne, y compris après une condamnation. Le dommage ou préjudice sera-t-il irréversible ? Je vais suivre l'affaire Eric Le Moyne de Serigny contre rue89, elle pourrait m'inspirer... J'suis con, c'est un conseiller de Woerth et donc, une justice de tout là haut, de celles qui s'appliquent.
D'ici à la fin novembre, je dois finir de rédiger des conclusions, en prévision d'une audience, auprès de la deuxième chambre civile de la cour d'appel de Versailles. Le fisc vient de me communiquer des informations extraites du cadastre, je vais pouvoir réouvrir le livre foncier(.fr) que je viens de débuguer avec leurs services techniques.
Etc, etc. Puis suivra donc cette audience, à Versailles. Le pasteur d'Uhrwiller viendra-t-il prêcher ou sera-t-il à nouveau dispensé par les juges ? Ca me rappellerait le passé, lorsque Monsieur et Madame Clementz gagnaient à tous les coups, surtout à Versailles, comme à Nanterre. Il faut que je l'évoque, dans mes prochaines observations.
Les suisses, des antisémites ? Je profite de ce billet précis pour lancer à l'écrivain BHL ainsi qu'au cinéaste Yann Moix qu'à mon avis, ce n'est pas la Suisse, mais la France qui avait écarté ses cuisses devant l'occupant nazi. Je me trompe ? Dans ce cas, de nombreuses tondues ou leur descendance vont pouvoir exiger des réparations.
Je vous avertis... De vous tenir toujours en défense [contre le démon]
tremblez même dans la victoire ;
c'est alors qu'il fait ses plus grands efforts,
et qu'il remue ses machines les plus redoutables. • Bossuet
C'est tellement affreux de voir le destin en face. • Henrik Ibsen
Un jour, effectivement, une instruction ?
Depuis ce lundi, j’essaye en vain de joindre ou d’obtenir une réponse du service contentieux d’Iliad. Je laisse tomber. Ces services me recontacteront s’ils souhaitaient un jour obtenir un complément d’information.
Depuis hier, j’essayais également de joindre le greffe de Madame Kheris, doyen des juges d’instruction, à Nanterre, une démarche toute aussi vaine. Mais le standard du TGI de Nanterre a fini par me mettre en relation avec le secrétariat général (ou de l’instruction). J’ai pu me faire confirmer que ce document que je découvrais hier, sur Internet, dans le blog de SEFCA Puteaux, est très certainement conforme. D’ici quelques temps, il pourrait donc effectivement suivre une instruction, à l’initiative de Madame Moreau et Monsieur Lorentz.
Ce lundi, Iliad s.a. me suggérait de « prendre les mesures utiles qui s'imposent ». Je vais finir de repeindre les WC.
Ajout du 14, dans la nuit. Avoir un Emeric Lorentz collé aux bask', franchement, ca craint - what a pain !
Les affabulateurs et faussaires de Puteaux recherchent des « témoignages »
C'est à lire sur Wordpress.com, aux USA, à peu près par ici. Qu'en fera le proc' de Nanterre ?
Ajout du 10 au soir. Je note que les cotes du père et du fils Sarkozy seraient encore une fois au plus bas. Je viens de farfouiller dans mes papiers ; j'ai retrouvé un ancien constat d'huissier de justice et des photos « de famille ». Monsieur Lorentz et Jean Sarkozy pourraient-ils être de très grands amis ? Jean, le prédésigné, témoignera-t-il en faveur de SEFCA Puteaux, ces soit-disantes victimes ? Nadine Morano, peut-être très radicale, témoignera-t-elle aussi, eventuellement en faveur de Madame Lorentz ou Moreau ? Qu'en pensera le proc' de Nanterre, un proche ou ami du père - à moins qu'enfant de coeur - Sarkozy ? Je me demande surtout si Jean Sarkozy se fera un jour injurier, lui aussi, s'il ne témoignait pas fissa en faveur de Madame et Monsieur Lorentz, ces infréquentables.
Ajout du 11, 12h30. Ce matin, par email, de la part du service contentieux d'Iliad s.a., il me parvenait ce qui est peut-être une copie d'une « ordonnance fixant une consignation ». L'ordonnance semble être de Nanterre et datée du 14 septembre dernier. Pour Online SAS, Iliad m'invitait à « prendre les mesures utiles qui s'imposent relatives au contenu de ce site », justice.cloppy.net. Quoi faire ? Je vais attendre de plus amples précisions, s'il en suit un jour.
Ajout du 12. Ma butineuse favorite, un huisser de justice, vient de m'informer qu'un ultime constat de 8 captures vient d'être effectué. J'ai hâte de l'éplucher. Il me parviendra bientôt, par la Poste, si les conflits sociaux ne s'enlisent pas. Depuis février 2009, j'empile des constats, le plus souvent très techniques et précis, ce que la police a pu constater, en mai dernier, alors que Madame Moreau venait de déposer une plainte absurde. Mais sur 18 mois, en les accumulant, ces constats d'huissers s'avèrent également très couteux. « 2 500 euro ? Ah oui, quand même », m'a répondu ma compagne ; il est préférable qu'elle ne sache pas tout ; je pense qu'il s'agit du prix de la liberté d'expression, dans ce pays.
Ajout du 12, fin d'après midi. « Prendre les mesures utiles qui s'imposent », c'est à dire ? J'ai depuis quelques jours pour projet de repeindre les WC, je les trouve un peu défraichis. J'ai déjà la peinture et les rouleaux.
Ajout du 12, au soir. Voilà, les WC sont suspects, le plafond et la tuyauterie sont déjà blanchis. D'ici peu, j'attaque la seconde couche, puis les murs.
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Encore un constat ?
Ajout du 3 au soir. Je tourne définitivement une page, je vais maintenant me passer de ces constats d'huissiers. J'ai d'abord cru halluciner en feuilletant celui du 28 mai dernier... puis je suis allé voir et revoir, sur la toile. Ce 19 mai 2010, j'ai été reçu par la police nationale ; j'avais alors très longuement discuté de ce qui était déjà perceptible, sur le net, depuis février 2009 ; j'étais convié pour discuter de diverses plaintes plus récemment portées contre moi. Depuis peu, sur la toile, je découvre des trucs assez bizarres, que je ne connaissais pas, pas sous ces formes, ou très mal, parfois des faux ou des documents qui semblent être altérés, probablement des scans de documents officiels aussi, tout ou partie de documents divers dont certains ressemblent à des correspondances privées ou leurs extraits. J'ai le très net sentiment d'avoir déjà amplement répondu à l'essentiel de ces éléments, le 19 mai dernier, au commissariat de police. Fin du mois dernier, dans un blog sur wordpress.com, j'avais découvert ce qui serait un « droit de réponse de Mr KANT » ; je pense qu'il m'est attribué or je n'en ai pourtant envoyé aucun récemment, nul part.
Du 3. J'ai évidemment noté que Le Sénat veut sauvegarder le Défenseur des enfants. Je pense que c'est une bonne chose. Cependant, cette institution ne pouvant intervenir lorsqu'un juge pour enfant est saisi, le nouveau Défenseur des droits - souvent réduits au néant lorsqu'un enfant « bénéficie de mesures de protection » - pourrait éventuellement compléter l'actuel Défenseur des enfants, une maison sûrement bourée de talents et de bonnes âmes, mais qui ne peut parfois que constater, compatir, puis rapporter.
Ajout du 3. Le facteur vient de m'apporter ce fameux constat d'huissier, du 28 mai dernier. Je le lirais plus tard.
Ajout du 2 juin au soir... La cour d'appel de Metz a délibéré et confirmé la condamnation de Madame Millet, une petite peine assortie de sursis. L'avocat général venait d'anticiper au cours de son réquisitoire, rappelant qu'au cours de ces dernières années, à chaque fois, Madame Millet avait été condamnée ou déboutée. Je pense qu'à présent, Madame Millet pourrait prétendre à des indemnités car, par le passé, elle a fait 4 ou 6 jours de détention provisoire. Aujourd'hui, la justice lui a encore beaucoup repproché de ne pas avoir respecté des jugements et les droits des parents de Sébastien. Madame Millet était la seule à l'audience, assistée par deux avocats. Tous les autres protagonistes ou partis de cette histoire n'étaient pas à l'audience. Complément du 3 au soir... Monsieur Millet, le grand-père de Sébastien, était cependant représenté par ces mêmes avocats ; lui-même ne croit plus en cette justice, depuis très longtemps.
Du 2 encore... A Metz, en cours d'audience, il était encore une fois beaucoup question d'un constat d'huissier et de son contenu, des retranscriptions de quelques allégations ou bribes de conversations téléphoniques, uniquement des « voix féminine[s] » et non des dialogues. A partir de ce constat, la justice prête depuis longtemps des propos à une femme précise. J'en ai discuté dans les couloirs, avec un avocat. Ce dernier partageait mon sentiment ; ce constat et de tels procédés sont assez contestables ; personnellement, je n'hésite pas à qualifier de telles pratiques et procédés de moyenageux. Mais ce constat ayant été versé aux dossiers de Sébastien, par le passé, probablement par Nanterre ou Briey, il ne serait maintenant plus possible de l'écarter.
Toujours du 2 au soir. A Grasse, dans le sud, tout semble encore assez différent. Selon ce qui m'a été exposé par mail et par téléphone, Madame Muller est aussi priée de se faire une raison. Dans ses propres affaires « d'ordre privé », les professionnels ont décidé de garder les enfants dans le Nord, à 1200km de Madame Muller, leur mère. Les professionnels de la Dass du 06 vont plutôt commencer à travailler avec les grands-parents des enfants, dans le 59. D'après ce que j'ai compris, ce 31 mai, Madame Muller a fait enregistrer une sorte d'incident d'audience ; elle n'est pas restée jusqu'à la fin, ce qu'un fax et une correspondance tendent à confirmer.
J'attends encore un nouveau constat ; lorsque je l'aurais reçu, je réactualiserais sûrement ce billet. Il pourrait maintenant s'agir du dernier constat d'huissier que je commande. Celui qui me parvenait la semaine passée m'avait encore une fois beaucoup plu ; ils sont à chaque fois très techniques, très riches de détails et d'informations publiques. André Santini et Axel Poniatowski, parmi les amis du président de SEFCA Puteaux ? Avec de telles informations sous les yeux, je ne peux que penser encore au printemps dernier, aux régionales, puis à la fermeté de Frédéric Lefebvre.
France Soir du jour nous confirme ou nous en apprend encore beaucoup. On ne devrait pas publier ni tolérer n'importe quelles publications, sur Internet. Dans ces feuilles, on peut aussi lire que des règles - voire même des décisions de justice - sont parfois difficilement applicables. Je l'avais déjà constaté alors que je me plaignais de billets ou d'informations souvent farfelues, parus sur unblog.fr, un service sur lequel la modération ignore manifestement ses conditions d'utilisation, de grands principes, une charte que leurs blogueurs sont supposés respecter. Depuis quelques temps, je découvre donc également les services de wordpress.com ainsi que les publications et moeurs tolérés par leurs modérateurs.
Il y peu, j'avais écrit que je tournais une page de plus et que je ne me soucierais plus de ce qui allait encore paraître ici et là, sur la toile et surtout sur Wordpress. Mais depuis, vu la nature de certaines nouvelles publications, j'ai changé d'avis. J'ai cru voir des faux, j'ai même cru lire avoir un jour été mis en examen ; pour le moment et alors que sur la toile, les écrits sont souvent très « volatiles », je n'en écris pas plus. Je préfère attendre le dernier constat qui me parvient, puis j'aviserais.
Demain, comme prévu, je vais encore aller me promener, visiter cette fois-ci la cour d'appel de Metz.
André Santini et Axel Poniatowski, sur Facebook ? D'un constat du 21 mai dernier |
Un arrêt splendide, je pense enfin lire « mieux » Versailles
J'ai pu prendre une assez grossière connaissance du contenu de l'arrêt n° 2010/293 rendu ce 10 mai 2010, par la cour d'appel d'Aix-en-Provence. « ... l'écoulement du temps ayant pu avoir effets négatifs sur la possibilité de la requérante de renouer une relation avec sa fille, quel que soit le contexte ; » cette décision qui n'est pas très surprenante condamnait l'Etat français. J'ai aussi relevé quelques détails concernant la prescription, le déni de justice ainsi que des points relatifs à l'inexécution de décisions ou de jugements, autant d'aspects à approfondir encore.
« N'ayant obtenu en tout et pour tout en dépit de multiples démarches qu'une rencontre... dans des conditions `'délicates"... l'exécution du droit de visite assisté avait été rendue impossible par la carence de l'association missionnée pour ces rencontres » ? J'ai toujours pour objectif de déposer maintenant une toute simple plainte contre l'ARSEA Ostwald, en raison de non représentation d'enfant. Pour le moment, je n'ai pas eu le temps de m'en occuper, SEFCA Puteaux s'est encore une fois accaparée mon temps libre, en publiant à présent sur wordpress.com et en ignorant peut-être ce qu'ils avaient eux-même publié sur unblog.fr. Porter une telle plainte contre l'ARSEA, auprès de la police, pourrait être assez délicat, voire même impossible. « On ne porte pas plainte contre des associations d'utilité publique », m'avait-on dit en 2005, lorsque je souhaitais déposer contre l'OSE France, en raison de délaissement de mineur, « allez voir un avocat. » Quelques mois plus tard et alors que ma fille aînée Justine allait « disparaitre » en Alsace, après de très longues heures de discussion au commissariat, je portais plainte contre l'OSE France en raison d'atteinte à l'autorité parentale ; je crois que cette plainte n'est jamais parvenue au parquet de Nanterre, je n'en ai plus eu la moindre nouvelle, malgré mes relances.
A présent, je ne comprends que mieux les petits juges du coin et la haute magistrature de Versailles, certains pitres en robe qui ont délibéré ou déblatéré, au cours de ces dernières années, peut être assez bien le proc' de Paris aussi. Certaines stratégies judiciaires sont parfois assez limpides ; balayer des pièces, nier, pousser des parjures et des mensonges dans les dossiers, y verser aussi des avis ou opinions de psychiatres, motiver mieux puis toujours et encore confirmer, en tous points. En janvier dernier et après ce qui s'était produit entre 2008 et l'été 2009, nous passions finalement tout un été en famille, confirmer encore devait être vraiment nécessaire du point de vue de ces magistrats.
Versailles m'avait pourtant très bien reçu, en décembre dernier. En effet, dans l'arrêt rendu ce 15 janvier 2010, je crois me souvenir que la chambre des créatures inférieures avait bien noté que je réclamais une « révision », voire même des contre-expertises. Jusqu'ici, rien d'anormal, nos juges sont des érudits. Cet arrêt était parfait, je venais d'accuser les juges d'avoir dénaturé des éléments, d'avoir triché ou trompé aussi, très souvent, au cours de toutes ces procédures. J'ai bien fait de ne pas déclarer un pourvoi en cassation, l'arrêt de janvier dernier est maintenant définitif. A mon avis, Xavier Serrier doit toujours avoir très chaud sur son siège, et il n'est probablement pas le seul à suer encore, à très grosses goutes.
La quille, ce n'est qu'en fin 2011, m'avait-on dit à Versailles, en décembre dernier. Que ces juges poussent donc le bouchon et leurs bouffons. D'ici là, ils vont encore m'entendre et devoir à nouveau me répondre. Prochaine audience, ce mardi. Selon la Poste, les services de la garde des Vélodromes auront reçu mon RAR dans des délais raisonnables. A ce jour, le ministère public et les assistants de Maître Charles Halter ne m'ont pas fait part de quelconques avis ou observations. J'en découvrirais sous peu, une fois à Versailles, devant la cour et en cours d'audience. Va-t-on me refaire encore le coup du lapin ou du placet et du chapeau, celui des juges et des professionnels qui gagnent à tous les coups ?
2008, la loterie et le chapeau
Ces persiflages vont plaire à nos fanfarons !
Rédiger ce billet parfois très technique a été pour moi une sorte de distraction ou digression, en attendant mardi, une ultime audience à la cour d'appel de Versailles, puis, peut-être, une sortie à Paris, devant l'hôtel de ville, pour la journée internationale des enfants disparus (et spoliés par les pros aussi ; dans leur intérêt supérieur, bien évidement).
Cette période et mon agenda sont en effet pas mal chargés, comme souvent, et je me serais bien passé des derniers délires de SEFCA Puteaux, des plaintes, très officiellement déclarées auprès de la police nationale. Il suit encore Grasse ainsi que Aix-en-Provence, peut-être aussi Valenciennes et Douai. Strasbourg, je pense que c'est fini. Il suivra également Metz ainsi que cette ultime conférence, au mémorial de la Shoah. Il suit également une formation conçue et organisée par une association réputée, en septembre, pour des professionnels ; dans le cadre de sa préparation, ce 22 mai, je participais à un pique-nique, avec des parents, des bénévoles et des professionnels. Je travaille également.
J'ai de plus en plus le sentiment que ces deux putéoliens, le président et la vice-présidente de SEFCA Puteaux (ou « SEFCA Puteaux 2 », rien n'est très clair...), cherchent à me nuire, sur le plan familial et personnel, sur le plan professionnel aussi, ainsi que dans le cadre associatif ou toutes ces autres affaires souvent « privées », pour lesquelles j'interviens ou contribue, notamment publiquement, que ce soit en sortant ou par l'intermédiaire de mon blog et avec mes discours, ceux qui déplaisaient déjà tant à l'OSE France, au juge Xavier Serrier et au substitut Laeticia Felicis, puis ensuite, à l'ARSEA. Certaines coïncidences, sur de longs mois, sont en tous cas maintenant vraiment très troublantes.
L'hiver dernier, alors que la droite s'était pris une bonne tôle ondulée, Eric Woerth nous rappelait qu'il faut savoir attendre « le bon moment ». Pour moi, je crois qu'il était maintenant grand temps « d'ouvrir le feu ». Certains vont rire et d'autres vont geindre, c'est sûr. Que les « pas contents » se fassent tout de suite une raison ou qu'ils aillent voir un bon Eolas, il leurs recommandera peut-être sur le champ d'aller se faire soigner ; oui, tout se soigne, je pense que quelques psys n'hésiteront pas et confirmeront aussi. J'avais prévenu, très souvent, y compris prévenu encore une fois la chambre des créatures inférieures de Versailles, en décembre 2009 ; de mes dernières conclusions, déposées là bas :
J'ai récemment changé d'avis ; je pensais un moment que j'allais arrêter de commander toutes ces coûteuses captures d'huissier, que je pouvais enfin m'en passer. Le 20 avril dernier, je croyais même pouvoir tourner enfin une page encore, après un long périple en marge de mes distractions principales, « l'assistance éducative ». Mais vu les évènements récents, toutes ces nouvelles calomnies, injures et plaintes ou pressions encore dirigées contre moi, par SEFCA Puteaux, à nouveau très concrètes ces jours-ci, j'ai relâché ma butineuse favorite, celle qui m'envoie des liasses de papier. Ce 21 mai 2010, un mail de 18h18 m'a informé que les pages qui suivent ont été matérialisées - ou enregistrées aux minutes - d'un huissier de justice français :
• http://fr.forums.wordpress.com/topic/diffamations-injures-publiques-etc
• http://eclma.wordpress.com/2010/05/20/info-du-president/
• http://justice.cloppy.net/index.php/epilogue/2010/03/30/c-est-le-printemps
• une partie de la liste des amis d'un certain Lorentz, sur Facebook
• http://justice.cloppy.net/capture.20100518.zip
Fin février dernier, Frédéric Lefebvre, porte voix de l'UMP, nous proposait « un après Soumaré ». Il va être servi.
La dernière page ou capture est vraiment particulière. J'ai du en discuter un peu avec cette butineuse, avant la capture, pour lui exposer plus en détail mes intentions et ce dont j'avais besoin. En l'état et sans plus d'informations, cette page HTML ne prouve pas grand chose ; elle est hébergée sur mon propre serveur, un détail qui n'échappera pas aux spécialistes. C'est une archive zip qui ne contient qu'un unique fichier HTML (daté) ; pour charger et afficher les images de cette page, il faut être connecté à Internet (voir ensuite le source ou la propriété des images affichées pour connaitre leur localisation réelle, sur la toile). Je destine cette page HTML aux experts ainsi qu'à la police. Sauf si certaines images disparaissaient très soudainement d'Internet, la page affichée sera certainement assez conforme à ce que la police a pu voir sur ses écrans, lorsque je discutais très librement avec un OPJ ainsi qu'avec un brigadier du coin. Au commissariat, cette page avait fait bondir, puis réagir ensuite, sur la toile... et enfin, une partie de cette page HTML, tout en bas, s'en est évaporée ; voir sur le forum de Wordpress.com et dans ce fameux billet « info du président » du 20 mai, d'où ce petit extrait :
De quels faits s'agit-il ? Serais-je à présent suspecté de maîtriser Internet ou d'être un expert de ces milieux ? Où me suis-je vanté et en parlant de quelle convocation au juste ? Pourrait-on mettre en doute la parole d'un policier ? Y aura-t-il un jour une confrontation, de qui et pour quels motifs ? Monsieur Lorentz réclamerait-il soudainement une confrontation avec un policier, après mon propre goûter avec la police du coin ? Pour mieux comprendre ce dont ce président parlait dans son propre blog, il fallait être ce 19, au commissariat, dans le bureau de l'OPJ et du brigadier qui me recevaient, savoir lire aussi monsieur Lorentz... Je ne conçois pas que le président de SEFCA Puteaux puisse s'exprimer ainsi et seul, à de tels sujets, publiquement, alors qu'il ne sait certainement pas tout ce qui s'est dit en plus de trois heures, avec trois policiers, mon portable avec moi, avec un accès Internet non restreint à disposition, ainsi qu'avec du papier en main, beaucoup de papier, certains portant la signature et le tampon d'un huissier de justice.
Attention à la page « info du président », elle pourrait être différente ou supprimée sous peu... bref, un jour, non conforme à ce qui est aux minutes de ma butineuse professionnelle ? Si nécessaire, j'en publierais une copie. Son constat me parvient par la Poste. « Je remercie les O.P.J.d’avoir mis un terme à cette situation », pouvait-on lire, là bas, ce 21 mai, à 20h22.
Toujours de ce même billet, « info du président » : « Nous avons effacés les écrits du blogueur qui nous avait diffamés sur son blog - La raison est qu’il a modifié ou effacer certain contenu de son blog ». Si je comprend bien monsieur Lorentz, qui remercie maintenant la police nationale, j'aurai récemment effacé ou modifié « certain contenu », dans mon blog ? On en apprend tous les jours, en lisant, sur Internet. Depuis ce 19 mai, et au retour du commissariat de police, je n'ai effacé que deux choses : les noms et prénoms des policiers ainsi que leurs numéros de téléphone.
Ceux qui ont l'habitude de me lire ont souvent pu constater que je ne supprime pas mes billets, mais qu'il m'arrive parfois de les éditer en ligne, parfois sur quelques heures ou jours, au gré de mon humeur et de l'actualité, puis je n'y touche plus jamais. Il me serait même très facile de démontrer que mes billets d'avant ce 12 mars 2010 n'ont subit aucune modification. A l'époque, je flairais déjà ce que SEFCA Puteaux me réservait, j'avais alors décidé de faire matérialiser l'intégralité de mes données publiques ; c'est facile et très vite fait. Selon ce récépissé de plainte, j'aurai commis des fautes assez graves, entre le 1er octobre 2009 et le 1er avril 2010, puis, il y a peu, j'aurai supprimé du contenu dans mon propre blog ! En regard de cela, les Lorentz allèguent mais ils n'ont jamais rien à prouver, ils semblent même ne pas en avoir les moyens ? Un extrait de source eclma.wordpress.com :
« Or ce Mr QUI TIENS UN BLOG JUSTICE .CLOPPY.NET NE RESPECTE PAS
Ce principe de diffusion de photo de ma famille en mettant l’adresse ou l’on habite à avoir divulgué des procédures en cour , montages de textes qui sont sur le site de sefca Puteaux et détourne le sujet en écrivant à mes amis publique ou priver
en écrivent également au service de Rambouillet qui lui fourni les documents en cour de procédure et lancent des mails aux personnes que nous aidons dans le cadre de placement proférant des menaces sur notre personne et également nous faire chanter en exigent 2500 euro.
Je vous demande donc de procéder à son audition et à poursuivre »
Des montages de portions de textes, extraits d'un blog de quelqu'un d'autre ? N'est-ce pas précisément ce qui apparait en bas de la page du fichier au format HTML, dans cette archive zip ? Cette page HTML m'avait été transmise par une autre butineuse qui matérialise également des données aperçues sur Internet. Une page assez similaire apparaissait dans le blog de SEFCA Puteaux, sur Wordpress.com, alors que j'étais moi-même convoqué par la police nationale ; je pense qu'un brigadier au moins pourrait confirmer. Par contre, et d'une manière assez bizarre, quelques temps avant cette « audition » du 19 et alors que SEFCA Puteaux savait que je pouvais un jour être convoqué par la police, l'intégralité du blog de cette association hébergé par unblog.fr disparaissait de la toile : « Cet utilisateur a décidé d'effacer son compte, et ce blog n'est donc plus disponible », peut on lire sur eclma.unblog.fr. Par un heureux hasard, mes butineuses professionnelles ont aussi très bonne mémoire : 30 ans.
De quoi au juste ai-je été accusé récemment, par Christel Moreau ? Lorsque j'ai découvert cette plainte qui ne pouvait que me concerner, je n'ai pu qu'en rire. Une « atteinte à la vie privée » par « détournement d'informations publiques », plus précisément par « détournement d'informations d'un blog sur un autre » ? On parle plus généralement de « détournement » lorsqu'il y a eu fraude ou délit, un fait passible de poursuites, tel qu'un « détournement de fonds » ou un « détournement de correspondance privée ». Je crois que de tels documents ou déclarations de plaintes sont d'autant plus publics et diffamatoires ou calomnieux qu'ils ont été placardés sur Internet, par SEFCA Puteaux en premier, dans l'un de leurs propres blogs... Je crois qu'une plainte a ensuite été déposée contre moi - ou contre X ? - car j'aurai pu me procurer ce récépissé de dépôt de plainte d'une manière douteuse ou en employant des méthodes frauduleuses ; ce document semble être authentique et en tous cas, ce 19 mai, la police ne m'a pas dit qu'il s'agissait d'un faux ou d'un document non conforme ; ce récépissé, au format PDF, avait été placardé sur http://eclma.unblog.fr, peu avant la fermeture de ce blog ! Le fond de cette plainte ou les déclarations de Madame Moreaux sont tout aussi grotesques ; j'en ai beaucoup discuté, ce 19 mai, avec la police. Je pense que l'OPJ a bien compris que je n'ai enfreint aucune loi, du moins, que j'ai été assez prudent et que je n'ai cherché qu'à me défendre, face au flot des publications de SEFCA Puteaux, qui m'inondent régulièrement, depuis février 2009, des publications ou productions figurant maintenant aussi aux fichiers de la police nationale ! Ca va beaucoup plaire à Lefebvre, à Axel Poniatowski ainsi qu'à Valérie Pécresse.
Cette semaine, je me suis encore documenté. J'ai eu beau tout revoir et réactualiser, depuis 1803 et l'article 9, 1804 et l'article 1382, puis ces textes de 1881, remis au gout du jour en juin 2004, je n'ai pas le sentiment d'avoir commis une faute. Ces si vieux textes de 1881 articulés avec la jurisprudence de Nanterre, de Lyon, de la cour de cassation et la plus récente jurisprudence en matière de liberté d'expression de la CEDH protègent finalement assez bien, quoi qu'on en dise ici et là. Au cours des semaines passées, j'avais même buché le droit à l'image, d'une manière assez pointue. Mais le parquet de Nanterre ne sera peut-être pas de cet avis ; j'ai quand même pu enfreindre quelque chose ou offenser quelqu'un ? Le pasteur d'Uhrwiller ? On verra bien. Sous peu, les plaintes de SEFCA Puteaux devraient parvenir au parquet, avec ce que j'ai moi-même déclaré à la police, ce 19 mai.
Il y a peu, SEFCA Puteaux avait donc accusé l'ASE de m'avoir communiqué des documents extraits de dossiers judiciaires de monsieur Lorentz et de Madame Moreau, vice présidente de SEFCA Puteaux. Monsieur Françis Painot semble avoir démenti récemment, leurs faisant lui-même parvenir une réponse et opinion tout à fait limpide :
Voir l'un de mes billets du 4 mai, voir aussi le reste de ce blog
Je rassure à mon tour Monsieur Painot, je dispose de documents attestant que ces accusations qui ont été portées contre l'ASE et moi, par SEFCA Puteaux, sont au minimum farfelues. C'est un huissier de justice qui a « prélevé » ces documents, très probablement un faux ainsi qu'une plainte pour faux et usage de faux, dans un blog édité par SEFCA Puteaux. Car en effet, ces documents avaient également été placardés sur Internet, par le couple Lorentz !
De telles accusations ne pouvaient pas être prises au sérieux, d'autant moins que j'en avais moi-même déjà un peu parlé dans mon propre blog. Il fallait alors que SEFCA Puteaux envisage une autre stratégie pour émouvoir la police nationale ou le parquet ? Envoyer Madame à la police, pour s'y plaindre des publications de Bruno Kant ? Madame Lorentz et ses enfants, victimes de mes publications ? C'était à mon avis une très bonne stratégie, surtout après quelques promesses faites par ceux qui nous gouvernent, pour l'année 2010. Même Nadine Morano, parfois elle-même présentée par SEFCA Puteaux comme étant si méchante et radicale, aurait pu l'ouvrir dans la foulée et m'enguirlander avant l'heure, noël prochain ou un quelconque procès indigne de ce nom. Morano vient justement de faire une petite annonce en faveur des femmes martyrisées par de si vilains hommes - Nadine, si tu viens lire ceci, fais un noeud à ton mouchoir, penses à me radier un jour de ta liste de fervents militants lorrains ; par contre, si tu repasses dans le voisinage pour visiter les pouponnières de la Dass, n'hésite pas et invite !
Sur son fond, la plainte du 1er avril 2010 de la vice présidente de SEFCA Puteaux n'a cependant rien à voir avec de telles reproductions d'extraits de textes ou de documents très précis, tel que cette plainte pour faux et usage de faux vue ici et là sur la toile, un document que j'ai soigneusement choisi dans l'ensemble des publications de cette association. Dans cette plainte récente de Madame Moreau, à moins que dans une autre, encore portée contre moi, SEFCA Puteaux me reproche plutôt une sorte de « détournement de blog » ou surtout la « publication ou le détournement de photos de familles » sur mon site internet, manifestement via Google... un truc incompréhensible, un ovni ou boulet rouge qui file maintenant tout droit au parquet de Nanterre.
En effet et mes lecteurs s'en seront aperçu, au mois de mars dernier, je me plaignais moi même d'un trouble qui a depuis cessé. Lorsqu'on effectuait alors des recherches, sur Google ou sur d'autres moteurs de recherche, avec mon nom et prénom, il apparaissait d'abord des photos de famille et des enfants de Madame Moreau et de Monsieur Lorentz. Ce 19 mai, la police ne constatait plus aucun trouble. Lorsque l'OPJ effectuait des recherches en utilisant mon nom, il ne relevait plus rien d'anormal ni de bien exceptionnel à son écran. Je lui ai alors présenté mes constats d'huissier, sur plusieurs mois.
En réalité, SEFCA Puteaux se plaint aujourd'hui d'à peu près la même chose que moi, m'accusant, le moteur de recherche Google ayant longuement associé les « photos de famille » de Madame Moreau et Monsieur Lorentz à mon propre nom et prénom, en raison des publications de leur association, SEFCA Puteaux, dans leur propre blog, hébergé par unblog.fr. En septembre 2009, Monsieur Lorentz publiait encore une diatribe à mon encontre puis finissait alors par créer dans son propre blog une section intitulée « affaire Bruno Kant ». Peu après cela, Google ainsi que d'autres moteurs de recherche tel que 123People ont référencé mon identité et leurs images et photos. En épluchant les constats de ma butineuse professionnelle, la police a elle-même pu constater que Google référençait bel et bien des images hébergées par unblog.fr, dans le blog de SEFCA Puteaux. Je n'ai en effet jamais porté atteinte à la vie privée de Monsieur et Madame Lorentz, ni publié non plus des photos de famille ou des enfants de ce même couple.
Depuis février 2009, je me suis de temps en temps plaint auprès de Monsieur Lorentz, en raison de ses publications, sur unblog.fr. Fin décembre 2009, je finissais par écrire au procureur de Paris pour me plaindre d'injures publiques ; en mars dernier, je relançais ce même procureur qui ne m'avait pas répondu. Depuis février 2009, SEFCA Puteaux n'a fait que s'obstiner d'avantage. Vers la mi-mars, après la publication d'une ultime diatribe à mon encontre, dans le blog de SEFCA Puteaux, j'ai décidé que j'allais faire faire le ménage dans les moteurs de recherche, notamment en m'adressant aux propriétaires du service et domaine unblog.fr, la société Kipubli, à Genève, en Suisse. Quelques temps après, SEFCA Puteaux finissait par fermer son blog, sur unblog.fr, supprimant aussi toutes ces « images ou photos de famille » hébergées là bas. Suite à cela, les caches des moteurs de recherche se sont assez naturellement purgés et ces moteurs cessaient enfin d'associer mon nom et prénom, soit mon identité, aux « photos de familles » ainsi qu'aux diatribes à mon encontre, publiées par SEFCA Puteaux.
A Kipubli Sàrl, en Suisse, d'où SEFCA Puteaux m'a injurié, de février 2009 à mars ou avril 2010
Aujourd'hui, je crois que Madame Christel Moreau et Monsieur Emeric Lorentz me reprochent également de les avoir aidés très ponctuellement, par le passé, au cours de l'été 2008, dans le cadre de leurs propres actions en justice ainsi que sur le plan médiatique, sur Internet. Bref... J'ai très longuement discuté dans le détail avec la police de toute cette « non affaire Bruno Kant », puis, ce 19 mai, pour finir, j'ai très volontiers fait une petite déposition, répondant très simplement à cette accusation « d'atteinte à la vie privée », par « détournement d'informations, d'un blog sur un autre ».
C'est le printemps !
Certains de mes lecteurs - il y en a - ont pu se demander ce qui se tramait ces jours-ci, à quoi je m'affairais. J'ai entrepris de faire faire le ménage, dans Google. Depuis la semaine passé, il y a déjà eu du changement. En effet, Monsieur Emeric Lorentz semble s'être enfin résigné à supprimer une rubrique ou une catégorie de son blog ; le résultat des recherches, sur Google, est maintenant différent. Aujourd'hui, un huissier de justice est encore parti fureter sur le net.
Ce soir, au téléphone, le collaborateur de cet huissier semblait être pas mal amusé. Je me demande si ces maisons lisent les pages qu'on leurs demande d'aspirer pour les déposer à leurs minutes. Il faut que j'arrête de solliciter cette étude, cet huissier précis, je le fais user ses stylos et je fatigue son poignet, je lui en ai fait signer des pages et des pages... On comprends vite pourquoi d'autres huissiers envoient plutôt des CDROM, un média certainement plus adapté.
A présent, lorsque je fais des recherches avec nom nom et prénom, sur Google, les photos de la femme et des enfants de Monsieur Lorentz n'apparaissent enfin plus. Mais pour cette recherche, il reste encore Monsieur Lorentz, parfois des références à une « affaire Bruno Kant », surtout des liens vers un blog et des diatribes dans lesquels je suis occasionnellement désigné, nommé, parfois accusé, souvent injurié. La plaisanterie a maintenant bien assez durée.
Vu sur google, ce 30 mars au soir... la « personne », en haut à gauche, n'est pas Bruno Kant
Cet ultime constat va me parvenir dans les prochains jours, par la Poste. J'attends aussi l'acheminement puis une réponse à un courrier RAR qui parvient au service juridique d'un hébergeur, OVH, ainsi qu'à Kipubli, en Suisse. La société Kipubli SàRL semble être le propriétaire et responsable technique de unblog.fr.
Des avocats et des juristes vont me dire que OVH et Kipuli ne sont pas les bons interlocuteurs pour un différend de cette nature ; je connais la chanson, ce ne sont que des prestataires techniques, pas les éditeurs. Cependant, dans un billet du 28 mars, Emeric Lorentz écrit que « son administrateur a été prévenu ». Ayant lu les CGU de unblog.fr, je suis assez surpris de lire que Monsieur Lorentz bénéficierait de telles faveurs ; son « administrateur » le soutiendrait ? Selon ces CGU, « Kipubli interdit formellement les utilisations suivantes pour le blog : … - La création massive par le Membre de blogs ou de pages au contenu similaire et répétitif dans le seul but de promouvoir un blog, un site ou un service dans les moteurs de recherche est interdite. » De source Google :
17 mars 2010 par eclma
moi on ne me dit pas de fermer ma gueule même ci c'est de mon propre compte Mr alors la pb
Mr c'est vous qui la faite a au faite merci pour l'affaire bruno kant j'ai eu 1000 visiteur qui on
regarder et puis on l'eu votre mail il nous on ...
http://christel.unblog.fr/
Des lecteurs vont vouloir me parler d'une histoire de tarte aux pommes en me lançant que la justice aurait bien mieux à faire... Mais je ne me plains pas d'un simple « salope » marmonné un jour, dans une boulangerie. Je me plains de troubles qui persistent depuis des mois et qui pourrait encore persister des années durant : lorsqu'on fait des recherches me concernant, il apparait vite le portrait d'Emeric Lorentz, puis, pour les plus curieux, ses diatribes, à mon encontre.
Depuis quelques temps, Emeric Lorentz semble considérer que « j'aurai des documents sur eux, sur leurs procédures en cours ». Monsieur Lorentz serait même récemment « allé de ce pas voir avec le conseil général des fuites au sein de leurs services ». Fin décembre dernier, j'avais encore quelques doutes. Je pense à présent que cette copie est conforme. Quel crédit accorder au blog d'un individu qui pourrait, par ailleurs, être poursuivi pour faux et usages de faux ? Mon nom est donc maintenant mêlé à de telles histoires ou affaires... Pourvu que Monsieur Lorentz soit allé se plaindre très vertement, auprès du Conseil général du 9-2. Il aurait même déposé plainte contre x et une enquête suivrait maintenant son cours ; je pense qu'on pourrait surtout, un jour, bien en rire avec quelques colistiers de Valérie Pécresse.
Ce 28 mars, abusant encore d'une certaine impunité ou d'une sorte de droit à la raillerie en public, Emeric Lorentz a surligné un extrait de l'un de mes propres billets, paru le 5 octobre 2009 : « Le Président de SEFCA Puteaux était un moment bien présent à la cour d'appel de Versailles, lorsque la chambre des mineurs remarquait elle-même, en public, que la situation de ma propre famille allait en s'améliorant, que renouer, voire même un retour de Justine à la maison pouvait être envisagé. » J'ai comparé ce passage précis à mon propre billet, cet extrait est conforme.
Je me demande ce que Monsieur Lorentz entend démontrer à partir de cet extrait de mon blog. Quiconque étant un tant soit peu familiarisé avec la procédure d'assistance éducative et ses voies de recours sait qu'à la cour d'appel, rapidement, les renvois sont négociés en présence du public. Le fond des affaires n'est abordé que plus tard, en l'absence du public, à huis-clos ou en chambre du conseil. En février 2009, Emeric Lorentz, sa femme et leur avocate avaient simplement été conviés à la même date que moi ; nous nous sommes, pour ainsi dire, simplement croisés dans les couloirs. En février 2009, le pasteur d'Uhrwiller ne s'était pas déplacé. Monsieur Lorentz aurait-il discuté alors avec Maître Roughol ?
Je ne vais finalement pas répondre encore ni tenter d'imposer un droit de réponse sur http://eclma.unblog.fr. Ce serait accorder bien trop d'importance aux publications ou aux élucubrations d'Emeric Lorentz tandis que celles des juges du coin m'occupent déjà bien assez. Par contre, je vais reécrire au Proc' près le Tribunal de Grande Instance de Paris.
Dans mon propre blog, j'ai un problème mineur depuis un changement de version. Certaines URL ou liens se terminent par un tiret. Il faut que je supprime ces tirets pour que ces billets soient à nouveau aisément lisibles par tous et par ceux qui débarquent ici, depuis Google. J'ai peur d'avoir à modifier des contenus et des liens vers plus de 500 billets...
~/temp$ gunzip * ~/temp$ grep "que Lefebvre nous propose de tout" * ... « un après Soumaré » ?', 'un-fanfaron-de-l-ump-propose-l-un-apres-', NULL, NULL, NULL, '' ... ~/temp$ grep -c "\-', NULL, NULL, NULL" * 520 ~/temp$ grep -c "\-\">" * 141
« Merci de la pub », me lancent des infréquentables de Puteaux
Depuis de longs mois déjà, sur Google et dans un blog, il est question d'une « affaire Bruno Kant » et dans la rubrique images de Google, il en apparait d'assez bizarres pour qui me connait, pour qui a lu un Maxi de mars 2008 ou pour qui a vu Faits divers, le mag, début juin 2008. Ces jours-ci, quelqu'un est arrivé dans mon blog en recherchant un « droit de réponse » ; j'y songe, mais je ne sais pas encore ce que je pourrai faire insérer maintenant, dans le blog de SEFCA Puteaux ou Puteaux 2. Chaque chose en son temps. Cette semaine, un huissier de justice a matérialisé quelques pages de plus sur Internet, dont les CGU de unblog.fr, une sorte de service franco-suisse, en .fr mais avec une immatriculation au registre du commerce de Genève, un ovni de cette nature ; un nouveau constat me parvient, par la Poste.
Sur Google, la « personne », en haut, à gauche, est Monsieur Emeric Lorentz. Sur Google, on peut également reconnaitre sa femme. Dans leur blog et comme en réponse à l'un de mes articles de septembre 2009, ils me remercient « de la pub ». Lorsque je les lis, il m'arrive de penser qu'ils ne comprennent pas grand chose au fonctionnement d'Internet et de tous ces outils ou services en ligne. Comme je l'écrivais déjà en septembre dernier, je ne peux que mettre les lecteurs en garde, leur blog est à lire avec une très grande prudence.
Dans leur billet du 12 courant, Monsieur Lorentz affirme que je ne les aurai jamais aidé. En juillet 2008, lui et sa femme lançaient un appel aux médias. A l'époque, ils semblaient être plutôt ravis de me lire et de communiquer avec moi. J'avais largement contribué à diffuser leur appel, que ce soit dans mon propre blog ou même via d'autres sites ou moyens, par exemple et pour n'en citer que deux, sur la liste internationale « euro dads&mums » ou sur le site de Psychasoc, dans le forum. A l'époque, je pense que Monsieur Lorentz et sa femme avaient beaucoup profité de mes connaissances, de mon travail, de mes moyens et de ma notoriété. Aujourd'hui, je profite probablement plus et assez régulièrement de billets d'humeur de Monsieur Lorentz, de ses élucubrations, contradictions et injures, de ses écrits mensongers, diffamatoires et calomnieux, de la « publicité » qu'il se fait tout seul et par laquelle il cherche manifestement à me porter préjudice. Je pense également que Monsieur Lorentz est inscrit et milite au Parti, le « bon » parti, celui de notre chantre.
Par le passé, un autre blogueur, vraiment très médiatique, avait aussi aidé la famille Lorentz à faire connaitre leurs difficultés. Dans leur billet du 12 courant, SEFCA Puteaux 2 semble également casser un certain Grébert... qui serait mon « copain » ? Je me demande ce qu'il en pense. Il m'est bien arrivé d'écrire à Christophe Grébert mais il ne m'a jamais répondu. A sa décharge, ce blogueur de Puteaux a souvent eu d'autres soucis que celui de me répondre, par exemple, d'obtenir d'abord gain de cause dans des tribunaux puis, un jour, l'exécution de décisions de justice.
La parution de Maxi - on voit cet article de mars 2008, sur Google - avait beaucoup ennuyé le juge pour enfant de Nanterre et la cour d'appel de Versailles également. J'avais commenté cet article de Maxi dans mon propre blog, au moment de sa parution. Fin mai 2008, alors que j'étais suivi par des journalistes de France 2, le substitut Laeticia Felicis m'avait fait l'honneur de sa présence, à l'audience. Ce substitut m'avait surtout prié de ne pas autoriser France 2 à faire son reportage, pour Faits divers, le mag. A l'époque, après la parution de Maxi et de mes commentaires, le tribunal pour enfant et le pasteur d'Uhrwiller n'avaient pas souhaité s'exprimer pour ce reportage diffusé ensuite, par France 2. Monsieur Lorentz copiait alors mes échanges et écrits, il lisait mon blog et ne se plaignait absolument pas des mails qui lui parvenaient.
« Le ridicule ne tue vraiment pas », peut-on lire aujourd'hui, dans un billet du 12 courant, publié par SEFCA Puteaux 2.
Je profite de ce billet pour saluer Les Enfants de l'Orchidée, Patou, la nonne... et pour les rassurer, j'informe ces orchidées que je commente, critique et heurte toujours autant, où que j'aille. Un jour, je lirais La diplomatie pour les nuls.
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Un simple complément d'information
Je suis allé au commissariat de quartier où l'on m'a expliqué que cette publication du 12 mars 2010, par SEFCA Puteaux, n'aurait pas à faire l'objet d'une nouvelle plainte. Il me suffirait de faire parvenir un complément d'information au parquet de Paris. Je vais donc y reécrire même si je viens à peine d'informer ce parquet que je maintiens une plainte pour des écrits publiés en septembre et octobre dernier. On m'a surtout dit que le traitement de telles plaintes pourrait prendre près d'un an. Il n'y aurait donc plus qu'à patienter ; un jour, la police devrait me convoquer pour en rediscuter...
A Vallauris, Madame Muller rencontre encore d'autres difficultés ; on sait déjà que SOS Villages d'Enfants ou l'ASE a « éparpillé » ses enfants. Cette mère souhaiterait accéder aux dossiers administratifs ainsi qu'au dossier du juge pour enfant. Mais manifestement, ces services lui refusent ces consultations. Ce 25 mars, elle devrait rencontrer un premier responsable de l'ASE et pourra alors peut-être consulter des dossiers administratifs ; si tel est le cas, sa demande de mai 2009 aura enfin pu aboutir. Dans son propre blog, Madame Muller a publié sa dernière correspondance à l'ASE.
Tandis que des enfants grandissent, que ces affaires et histoires suivent leurs cours ou s'enlisent, ce week-end, un article sur Nouvel Obs nous confirmait qu'Internet a un peu changé. Je l'avais déjà remarqué. Depuis quelques temps, les résultats de recherches affichés par Google reflètent mieux les dernières mises à jour ou publications, sur Internet. Des billets publiés dans un blog peuvent maintenant y apparaitre quasi instantanément. S'agirait-il de l'aube du web au carré ou du « web squared », annoncée au Summit, à San-Francisco, en octobre dernier ? Aujourd'hui, on peut en tous cas de plus en plus facilement trier, filtrer et découvrir en temps réel tout ce qui est publié sur Internet.
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De tous petits caractères, mais conformes
J'ai relu ces chaines de caractères, dans un des constats d'huissier qui m'est parvenu hier, imprimé sur papier. J'aurai pu faire comme n'importe quel ministre, politicien, polémicien ou des artistes, fuir Internet et courir avec une impression voir un manuscrit, chez un notaire ou un huissier de justice, pour lui demander d'enregistrer mon papier noirci d'encre. J'ai préféré tout commander par Internet ; j'ai même réglé par carte bleue. Quoi de plus naturel, en France, en 2010 ?
En effet, un premier huissier a du recevoir un simple fichier, via un site web et par email. Après confirmation, je suis allé vérifier sur le même site web. Les chaines qu'il a enregistré semblent être conformes. Le second huissier a tout simplement affiché un fichier qu'il a ouvert dans mon propre blog ; il a ensuite travaillé avec des checksums MD5. Je pense avoir fait très fort ou du durablement inaltérable avec ces trois checksums md5, sha-256 et sha-512 d'un ficher de 2 giga, après compression par gzip. Le papier du second constat m'est évidemment parvenu par la Poste, très rapidement ; j'ai le très net sentiment que mon facteur n'a rien éparpillé, que toutes les pages me sont bien parvenues, dans une enveloppe intacte. Il faut juste une bonne vue, sur cette impression au format A4, les caractères sont assez petits.
Mes écrits et de nombreuses données ont donc bien été parfaitement matérialisés, ce 12 mars 2010, par l'intermédiaire d'Internet. D'autres affirmeront que ce qu'on peut y lire n'est pas du tout fiable. Certains affirmeront même que Internet n'est rien qu'une poubelle à provoc. Mais Internet a été imaginé pour résister à une guerre thermo nucléaire, pour acheminer même des données à travers un réseau dégradé ou saturé, d'une manière tout à fait acceptable.
L'Express, vendredi 20 octobre 2006
"La fin du mythe communiste", par François Fejtö, extrait
Au moins, je recevais des données et des réactions en direct de partout, y compris de Moscou et de Pékin. Le fax et les moyens techniques nouveaux ont permis de contrer la propagande soviétique, très puissante en particulier dans la presse, l'opinion et les milieux intellectuels français.
Ces jours ci, j'ai un peu communiqué avec le boss de unblog.fr, par mail et par téléphone, rappelant que, par le passé, j'avais déjà discuté avec les services juridiques de OVH. A l'époque, j'avais déjà fait réaliser de premiers constats d'huissiers. Ce soir et après l'avoir bien étudiée, le boss de unblog.fr m'a finalement répondu que ma plainte était recevable. D'ici à lundi au plus tard, SEFCA Puteaux devrait avoir fait le ménage dans ses diatribes publiées sur unblog.fr.
J'attendais aussi une éventuelle réponse ou réaction du juge pour enfant de Nanterre, je lui ai écrit il y a huit jours. On m'a envoyé un RAR, certainement l'Administration ; je pourrais le retirer dès demain, au guichet de la Poste. Cette dernière a récemment fait la promotion d'un « coffre-fort » numérique, un nouveau service. Nous pourrons peut-être bientôt recevoir des RAR à toutes heures, par Internet, sans les contraintes des guichets et de leurs horaires d'ouverture.
D'un constat d'huissier, via Internet, puis livré par la Poste
Les régionales, en Moldavie française
Il y 10 jours, je pensais que cette page des régionales pourrait être très rapidement tournée. Cependant, juste avant le premier tour, j'ai encore vu apparaitre des écrits sur la toile, me concernant. En pleine campagne électorale et alors que la justice du 9-2 est saisie - j'ai plusieurs affaires « privées » sur le feu -, j'ai trouvé ces écrits particulièrement désagréables. Ce que j'ai lu ces jours-ci m'a beaucoup fait penser à certaines têtes, sur la liste de Pécresse ; quel hasard...
L'ex-dissident soviétique Boukovski exige le démenti des déclarations sur sa maladie psychique
14/08/2007 18:56 LONDRES, 14 août - RIA Novosti, extrait. L'ex-dissident soviétique réfugié en Grande-Bretagne Vladimir Boukovski et le groupe d'initiative de présentation de sa candidature à la présidence russe exigent le démenti des déclarations selon lesquelles M. Boukovski aurait été "psychopathe", selon un communiqué du groupe.
La veille, le journal britannique Daily Telegraph a publié certains propos d'un collaborateur anonyme de l'Institut Serbski de psychiatrie médico-légale de Moscou selon lesquels le "patient" Boukovski était incontestablement un "psychopathe". Du vivant de Brejnev, Vladimir Boukovski, connu par sa critique mordante visant le pouvoir soviétique, avait effectivement passé plusieurs années dans des hôpitaux psychiatriques.
Peu avant ce premier tour, le casier vierge d'Ali Soumaré a été critiqué par des irréprochables ; Soumaré est sur une liste qui s'oppose à celle de Pécresse. En 2007, Boukowski aurait souhaité se présenter aux présidentielles, en Russie ; par le passé, il avait lui-même beaucoup critiqué et contesté ; il n'a finalement pas pu se présenter car il aurait fallu qu'il réside en Russie. Je ne suis pas sur de telles listes, en Moldavie française, on est déjà très content lorsqu'on est autorisé à voter. Mais ce qui semble être des umpistes m'ont inventé une sorte de casier ou comme des dossiers qu'ils auraient en leur possession... et ces umpistes viennent d'en remettre une belle couche, ce 12 mars, une journée contre la cybersensure. J'ai bien écrit sensure, ce n'est pas une erreur de plume. Un tiers ou un parti aurait-il intérêt à me nuire voire à me discréditer, mes contestations et critiques déplairaient-elles à ce point là ? Ces umpistes m'ont même inventé des « problèmes de couple », c'est un coup à attirer l'attention des infréquentables de la Dass ; ma cadette n'est pas « placée », elle ne « bénéficie » heureusement d'aucune « aide » ; pourvu que le juge pour enfant de Nanterre et des gorets du social ne commencent pas bientôt à investiguer pour s'assurer encore une fois qu'il n'y a pas de problèmes chez nous, à Bagneux... pour que la petite en « profite » encore plus, évidemment.
Comme ce genre d'écrits douteux, sur le net, se « vaporisent » parfois très subitement, avant de réagir, j'ai préféré les faire matérialiser d'abord par un huissier, en personne. Les huissiers de justice sont aujourd'hui des experts dans ce domaine ; ce soir, en rentrant, ce que j'ai trouvé posé sur mon PC me l'a confirmé ; c'est ma compagne qui reçoit mes RAR et paquets, depuis longtemps. Je suis même agréablement surpris par l'épaisseur des documents et par l'ensemble qui m'a été communiqué. Cette fois-ci, je n'ai pas qu'un simple CD avec des images, des fichiers et un procès verbal de constat ; aujourd'hui, j'ai reçu de nombreuses pages imprimées, en couleur, numérotées et dument certifiées.
En décembre dernier, j'avais écrit au procureur de la République près le TGI de Paris. Je pense qu'il n'a pas donné suite mais j'attends confirmation. Au cours de ces dernières années, le ministère public n'aura donné suite à aucune de mes plaintes ; je sais juste que l'une d'elles a été « classée d'office ». En décembre dernier, je portais plainte en raison d'injures publiques, sur Internet, me plaignant aussi de faux et de calomnies, de mensonge ou de diatribes que je lisais, sur la toile, dans un blog, un service qui pourrait être hébergé en France, par OVH. Je souhaitais surtout que certains écrits disparaissent un jour d'Internet, mais la plupart sont encore en ligne. Depuis, j'en ai donc découvert de nouveaux.
J'ai encore de la lecture, ça va me distraire d'ici à dimanche et ce second tour. Ce dimanche, je vais à nouveau aller glisser une enveloppe dans l'urne mais l'UMP, Pécresse ou SarK.O. n'aura pas ma voix.
Un extrait de deux épais constats d'huissiers... justice.cloppy ? Un juge pour enfant de Nanterre ?