Mot(s) clef: shoah
« Au poste ! », pour satisfaire le Ministère de la Défense Nationale
Une petite bafouille ou des remerciements d'abord, puis, plus bas, le billet ou mes notes et observations du jour.
Lettre ouverte
A l'attention de Monsieur Hubert Falco,
Secrétaire d’État à la Défense et aux Anciens combattants,
et de Monsieur le Ministre de l'Intérieur
Messieurs,
Par le passé, j'avais eu l'opportunité de remercier très chaleureusement Monsieur Nicolas Sarkozy, Ministre de l'Intérieur, alors que je venais de manifester devant le mémorial de la Shoah. En effet, le 4 mars 2007, sans déclaration préalable en préfecture, je m'étais rassemblé tout seul en ces lieux, avec un écriteau autour du cou : « j'ai couché avec une allemande ». « C'était kippour* », m'avait-on lancé sur place.
A l'époque, la police nationale est évidemment arrivée pour me questionner. Elle avait bloqué le quartier pendant une trentaine de minutes. Tout seul, je n'aurai jamais pu marquer ainsi mon passage devant ce mémorial.
Ce matin, je me suis rendu quai de Grenelle, je souhaitais assister à la commémoration officielle de la rafle du Vel d'Hiv. Sur place, j'ai été vivement déçu, apprennant qu'il fallait être « invité » ; ce n'était pas précisé sur le site Internet du mémorial de la Shoah. J'ai ensuite décidé de rester dans le voisinage immédiat d'où j'ai été emporté par la police nationale, à la demande, à moins que sur ordre d'un représentant du Ministère de la Défense. Un peu plus tard, au commissariat de police du XVe, la police m'a rendu toutes mes affaires et m'a relaché, en parfaite santé.
Ce matin, j'aurai souhaité assister à cette cérémonie officielle et prendre quelques photos. J'ai de bonnes raisons de penser qu'il y avait des hypocrites parmi les conviés au moins. Je me contenterais donc des photos et, peut-être même, de discours officiels ; j'attends de les découvrir.
Aujourd'hui et par la présente, je remercie simplement vos services respectifs d'avoir bien pris acte de mon passage, ce matin, quai de Grenelle, alors que la France allait très officiellement commémorer la rafle du Vel d'Hiv.
Je vous prie de croire, Messieurs, en l'assurance de mes plus cordiales salutations.
Quand on est pas d'accord on le dit • Yves Jannier
C'est (e)posté. *) Rectification... à moins qu'un lapsus. Je crois que c'était plutôt pourim. Ca remonte à 3 ans, déjà.
Du 21, encore... J'ai eu de la chance, tout s'est encore une fois très bien passé. Mais d'après ce que je viens de lire, sur Wikipédia, c'est plus tard, à l'autome prochain, que tout pourrait se gâter. « A l'automne 1944, devant l'échec manifeste de la politique NN (la dissuasion est nulle, le nombre d'insurgés augmentant sans cesse), le régime NN est partiellement levé. Les Allemands vident leurs prisons et leurs bagnes surpeuplés des détenus NN qui sont mis au régime commun dans les camps de concentration où les résistants sont envoyés sans procédure ni jugement. » Je pense qu'on peut déjà s'indigner ou ricaner plus.
Du 21, dans la nuit. J'assume : LR 20100722 1E00060387172 PD.zip. Rachida Dati assumait aussi, disait-elle, puis ça finissait mal, peut être même très mal. Parfois, il arrive que certaines histoires « divisent ». Je connais une histoire qui pourrait, à mon avis, un jour, « fragmenter ». « Quand on écrit une pièce, il y a toujours des causes occasionnelles et des soucis profonds... » Sartre, l'origine de Huis-clos, Sartre, qui nous disait que « l'enfer, c'est les autres ».
Ajout du 22, je crois qu'une petite rectification ou correctif s'impose. Je n'avais pas écrit « partout ». En effet, c'est la toute première fois que j'écris au Ministère de la Défense. Par contre, ces sphères pouvaient déjà connaitre mon blog. Mes commentaires après cette collision de sous-marins nucléaires avaient attiré quelques butineurs. De même, Le 41me fauteuil de l'Académie française avait été beaucoup lu, Quelques pschitts en plein vol aussi.
Du 22, dans la nuit... Ses écarts : « a répondu à l'officier » ? Non. Variante, peut-être plus drôle encore... « l'Elysée ne répond pas à des allégations mensongères » ? J'suis con. Sa justice est saisie et, maintenant, bien trop empétrée. Auncun de ces camarades ne réagira suite à mes interpellations.
Hé oui, pour qui me connait, ce matin, dimanche, je suis tombé du lit. Petit, on m'avait appris que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Je constate que ce mythe s'effondre, lui aussi : levez vous et les forces de l'ordre vous renverront chez vous, surtout si vous n'êtes pas convié à ces cérémonies officielles. A l'avenir, je ne ferais plus l'effort.
Lorsqu'on m'a dit que je ne pourrais pas assister à cette cérémonie ou commémoration, je me suis installé contre une rambarde et j'ai mis mon casque sur les oreilles. Je crois qu'on a déjà vu pire « militant » ou « dissident ». Je portais mon tee-shirt, cette peau d'ours, avec une décison de justice dans le dos et une décision politique sur l'avant, et j'avais bien expliqué pourquoi j'étais là. On m'a prié de partir de l'espace public, ce que j'ai refusé de faire. Mais le représentant du ministère de la défense a insisté puis la police est arrivée. Je me suis rapidement mis assis par terre, non sans avoir d'abord fourni encore quelques explications. Quelques minutes plus tard, deux policiers en tenue d'apparat m'ont ramassé, je restais en position du tailleur, et ils m'ont « emporté » plus loin, où allait arriver un pannier à salade.
Au poste, j'ai entendu les explications faites à l'OPJ : « le représentant du ministère de la défense a eu peur qu'il y ait un esclandre si je restais sur place ». La réponse de l'OPJ m'a fait rire : « vous l'avez arrêté dans l'espace public et ammené ici, il a ses papiers, il n'a rien fait et il est en règle, que voulez vous que je fasse de lui ? » J'avais juste « désobéi ».
Quelques minutes plus tard, j'étais dans la rue, devant le commissariat, à discuter. On m'a redemandé mes papiers et de nouvelles informations, mon numéro de téléphone, probablement pour compléter un « rapport administratif ». J'ai fini par retourner dans le poste où on ma dit qu'on ne pouvait pas y entrer et circuler comme je m'apprétais à le faire. J'ai expliqué que je voulais récupérer mes papiers à quoi on m'a répondu que je devais attendre. J'ai rétorqué que ces manières de procéder ne sont pas légales. Dans l'instant suivant, je récupérais mes papiers puis je repartais me promener, dans Paris.
Ce coup-ci, à la question « avez vous des proches à prévenir », j'ai préféré répondre « non ». Tout s'est encore une fois très bien passé, comme en novembre dernier ; je finissais alors en garde à vue. Ce matin, j'ai juste insisté auprès des policiers qui « m'emportaient » : « ne me laissez pas tomber, vous feriez une bavure ».
J'ai beaucoup discuté. On m'a évidement dit que ce n'est pas en me comportant de la sorte que « mes affaires » allaient avancer. On m'a recommandé d'écrire... A qui donc encore ? J'ai très bien expliqué à ceux qui voulaient l'entendre que j'avais déjà écrit partout et où j'en étais rendu, aujourd'hui, dans mes affaires « d'ordre privé ». Les plus curieux pourront toujours solliciter le ministère de cette justice, j'ai d'ailleurs publié récemment une bonne référence à ces fins.
Un esclandre, ce matin, à mon initiative ? Si j'avais souhaité foutre le bordel, j'aurai pu saisir quantité d'autres opportunité, par exemple, début mai dernier, à la grande synagogue de Paris. Jean-François Guthmann, de l'OSE France, comptait parmi ceux qui introduisaient Loulek ou Meir Lau, grand rabin d'Israël. J'en conserve des photos.
En rentrant, la une du JDD a retenu mon attention. Une expertise ou un rapport accablerait soudainement un médecin ? A l'intérieur de ce même JDD, on lit plutôt que l'avocat du chirurgien maintiendrait « qu'il n'y a pas eu de faute ». Concernant la mère de Justine, décédée très subitement en milieu hospitalier, nous n'en saurons jamais plus ; la Poste ou cette même justice franco-moldave semble avoir perdu ou détruit son dossier médical. Le reste de mes affaires qui concernent directement ma fille Justine mais également ma famille et ses autres membres suivent un cours tout à fait similaire.
« La justice, c'est un concept sympa mais nous savons tous fort bien que ça ne marche pas... » Oui, oui, j'ai moi aussi lu ce Monte, à présent censuré par un prétoire de Paris. On me l'avait déjà dit, début 2009, alors que je venais encore de geindre dans un forum, sur Internet. Depuis quelques temps, je m'attache surtout à le démontrer.
Mon facteur n'est pas en panne
J'ai toujours quelques bafouilles à rédiger et à poster. Je m'en occupe depuis ce week-end, tranquillement :
• pour la Caisse d'Epargne région Lorraine, ils m'énervent,
• une copie au juge des tutelles ou d'application des peines d'Antony, il me contrôle et pourrait un jour se fâcher,
• pour le juge pour enfant de Nanterre, histoire de l'éclairer plus,
• une copie au juge des tutelles de Haguenau, il pourrait bientôt auditionner M ou Mme Clementz,
• pour un opérateur de téléphonie mobile, j'ai un abonnement à résilier, devenu inutile depuis septembre dernier,
• pour la 2ième chambre civile de la cour d'appel du coin, en prévision de novembre prochain,
• pour Maître Halter, je peux maintenant accepter cette succession, sous réserve d'inventaire,
• pour Lenovo France, ca me change les idées et leur facteur fonctionne aussi
Ajout du 14 au soir. Après relectures et quelques petites modifications, je n'ai plus qu'à imprimer puis à engraisser à nouveau la Poste. Par le passé, je pouvais encore espérer quelques changements. Aujourd'hui, je n'attends plus rien de particulier. Je suis simplement impatient, très curieux de découvrir et de lire des réponses ainsi que les prochains délibérés qui me parviendront au cours des 6 à 8 prochains mois. Puis ce sera enfin fini, la Dass aura « sauvé » Justine.
Du 14 encore, dans la nuit... J'ai enfin remis la main sur un lot d'anciennes correspondances. Woerth vient d'être « blanchi » ; selon l'IGF, il n'aurait pas donné la moindre instruction pour « lancer ou arrêter » un contrôle fiscal contre la milliardaire, Liliane Bettencourt. A l'UMP ainsi qu'au château, tout le monde est content, on va pouvoir parler de nos retraites puis réformer encore. L'IGF a surtout du constater l'absence de toutes traces écrites. Que découvrirait l'IGSJ si elle s'aventurait à fouiner un jour dans des dossiers qui concernent ma fille Justine ? Un cas clinique ?
Ajout du 15. Un avertissement : tout ceci ne prouve bien évidemment rien, pour aucun juge de ce pays. Pour certains d'entre eux, c'est tout juste s'il y a parfois des raisons « légitimes » de s'inquiéter ou de se poser quelques questions.
Du 15 au soir, vu sur le Monde... "J'ai peur que ces affaires soient le feuilleton de l'été", soupire Claude Goasguen, député UMP. Le pourrissement de l'image des politiques serait aussi dommageable pour la gauche que pour la droite, estiment les élus UMP. "Dans cette escalade des affaires, nous assistons à la répétition de celle des années 1930 : en pleine crise économique, on risque de voir s'additionner une grave crise politique allumée par une histoire anecdotique [l'affaire Stavisky, NDLR]. Le Front national et les abstentionnistes seront les principaux gagnants de ce climat de défiance, pas le Parti socialiste", estime M. Goasguen, député-maire du 16e arrondissement de Paris.
Ajout du 16. En ce moment, c'est peut-être avec Zoé et les fonctionnaires territoriaux qu'on rigole le plus. Force est de constater que nous ne devrions plus lire ni surtout retenir Montesquieu. En juin 2008, à l'audience, le juge pour enfant avait lui même été explicite avec moi, à l'audience. Il en avait assez de lire mes citations. Depuis, j'ai cité moins, écrit et publié plus. En juin dernier, je citais précisément Montesquieu lorsque j'écrivais à Nanterre. Vu ce contexte, je crois que je fais très bien, pour le moment au moins, de ne plus retourner là bas. J'ai ramassé le Monte et Paris Match. Mais ces jours-ci, j'ai surtout empilé des Monde, notamment pour l'interview de Courroye et la réponse que lui a faite ensuite Joly. « Un magistrat n'a rien à prouver, sauf sa volonté de faire respecter la loi », nous a-t-il lancé. On aura tout lu.
Le Monte - finalement censuré - et Paris Match du moment
Ajout du 17. Hier, pour changer, il n'y avait pas cours de Shoah, mais commémoration. J'ai pu constater qu'en effet, quelques fils et filles de déportés juifs se sont rassemblés, rue de Grenelle. J'ai discuté quelques minutes, d'abord, je me disais que j'allais me taire. On m'a encore répondu que tout serait bientôt fini, dès la majorité de ma fille, donc, fin 2011. J'ai appris que Serge Klarsfeld connaîtrait Jean-François Guthmann. Ce dernier suivrait de « très loin » la progression de mes affaires « d'ordre privé », lui et moi en avions discuté un peu, en novembre dernier, au centre communautaire. Plus j'y pense et d'avantage je suis maintenant rassuré. Fin 2011, tout sera fini. Je n'ai donc plus qu'à prévoir un bon budget. En effet, en mai dernier, les magistrats m'ont apris que d'ici à la quille, je devrais à nouveau mettre la main à la poche, et ca doit encore me coûter « très cher ». Ca ne me fait plus ni chaud ni froid. A présent, j'imprime puis je passe au Louvre.
Au retour de Paris... Ca va, ce n'était pas trop fastidieux, j'avais principalement à copier/coller ou à imprimer des trucs déjà publiés sur Internet. Je n'ai plus qu'à attendre des réponses, des réactions ou de quelconques effets, s'il en suivra. L'opérateur de téléphonie mobile devrait me répondre favorablement, j'avais conclu un accord oral qui devrait se concrétiser après un simple RAR. Après tous ces envois, d'autres vont certainement travailler à s'épouiller à nouveau d'ici à l'hiver prochain ; on verra bien. De ces jours là, je retiendrais principalement qu'on ne doit pas abandonner les chiens, ils pourraient mourir, c'est affreux. Demain, les officiels sont sur le pont, pour commémorer à leur tour et, très probablement, au nom de ce pays. Je vais règler un réveil ou deux. Si je sors du lit, j'aurais sûrement l'opportunité de rencontrer à nouveau quelques hypocrites, par exemple, des représentants de l'OSE France.
A Guantanamo comme à Nanterre ? Bah, la peine ou ces mesures sont pour la plupart prononcées, depuis 2003, définitives, et l'essentiel est déjà derrière nous. « Pas de révision, ni aucune contre-exertise », m'a-t-on encore répondu, en janvier dernier, « la quille suivra ». Qu'attendre alors, sinon plus de papier tamponné et de nouvelles motivations ?
Guantanamo: il va boycotter son procès
AFP, 12/07/2010 | Mise à jour : 21:06, extrait
Le Canadien Omar Khadr, dernier occidental détenu à la base américaine de Guantanamo, a annoncé aujourd'hui devant un tribunal militaire qu'il allait boycotter son procès pour le meurtre d'un soldat américain en Afghanistan, prévu en août. Omar Khadr, 23 ans, en a fait l'annonce après avoir rejeté à nouveau un accord avec la justice américaine, qui lui a proposé de plaider coupable en échange d'une réduction de peine.
Ce vendredi 9, il me parvenait une convocation par courrier simple. Samedi 10, mon facteur me proposait la même chose qui me parvenait par RAR, une convocation du juge pour enfant, pour ce 27 juillet. Le RAR retourne à Nanterre, s'il n'y est pas déjà, avec ma signature et la mention « refusé ». Je ne my rendrais pas. Personne ne se plaindra de mon absence à la fin du mois, le cabinet ou bocal du juge pour enfant est assez petit, d'autres qui l'y retrouveront auront plus d'air frais.
« Obligatoire, absolu, impératif... » Si je reste chez moi, quelqu'un va venir et m'y trainer par une oreille ? « Une décision pourrait être prise même en mon absence » ? Qu'il juge, je suis impatient de lire le délibéré.
« Obligatoire, absolu, impératif... » et quoi encore d'intimidant ou de menaçant ?
Trois lettres, puis suivront les vacances, sur fond de laxisme judiciaire
Je vais maintenant envoyer trois lettres, l'une à Lenovo France, il faut que je leurs réponde, une autre à la 2ième chambre civile de Versailles, en prévision de l'audience de novembre prochain, ainsi qu'une lettre pour Maître Charles Halter ; pour cette dernière, j'ai tout mon temps, la 2ième chambre civile de Versailles vient de le confirmer : « ce laxisme judiciaire ne serait pas de nature à préjudicier aux intérêts de la mineure ». Ensuite, il ne se passera probablement plus rien pendant de longs mois, d'abord en raison des vacances judiciaires. On en profitera pour se mobiliser en faveur de victimes, de vrais, par exemple, en faveur de Gilad Shalit dont on nous parle tant ces derniers jours.
Il y a peu, Lenovo France me répondait, estimant que je serais un « consommateur totalement atypique ». Je vais leurs retourner qu'ils ont raison. En effet, il fait ici 29°C et le ventilateur de mon U350 tourne au ralenti, même ou surtout lorsque je l'utilise. Je pense être le seul ou parmi les rares possesseurs à travers le monde d'un U350 à peu près silencieux. Je vais surtout leurs retourner que j'estime pour ma part avoir été trompé par les conditions d'utilisation de Lenovo, soit par ce que les logiciels préinstallés sur cet U350 affichaient à l'écran, lors de son tout premier démarrage. Ca va m'amuser.
Je vais peut-être bientôt écrire aussi au greffe de la chambre des créatures inférieures, si je décidais de faire appel de la toute prochaine décision que rendra le juge pour enfant de Nanterre. Il m'offrira peut-être l'opportunité de saisir à nouveau la première présidence de Versailles ? J'en saurais plus au cours du mois de juillet, si le greffe de ce juge n'a pas oublié mon adresse postale et sait encore comment me notifier des jugements.
Je vais également devoir téléphoner ou écrire au cadastre de Holving, la 2ième chambre civile de Versailles exige des « preuves » ; au cadastre, les fonctionnaires et procédures sont peut-être plus rigoureux qu'ailleurs, j'en saurais plus d'ici quelques mois. Je me demande ce que de tels documents pourraient établir, selon des juges, encore de vrais, alors qu'à Versailles, des correspondances de juges et même d'un notaire, se référant lui même au cadastre et s'adressant à un juge, n'ont jamais rien « prouvé ». Là bas, même des jugements et arrêts ne « prouvent » ni ne démontrent le plus souvent jamais rien. C'est à se demander parfois à quoi servent encore des prétoires, des actes et des sceaux officiels.
Ajout du 27 au soir... Je pense être en colère, probablement comme quelques juifs ou hypocrites peuvent l'être.
Je me demande pourquoi ces magistrats me font aujourd'hui encore tant chier alors qu'ils savent très bien que tous ces recours et procédures ne font que me coûter - et me coûteront encore « très cher », selon leurs propres mots ; quelques milliers d'euro ? C'est autant d'argent qui ne profitera jamais ni à mon aînée, ni à ma cadette. Ce sont des sangsues... pardon, des notables et l'Etat qui s'empliront les poches et les caisses où d'autres se gavent sans la moindre gène.
« Prouvez », me lancent ces juges ! Hé, ducon, aux alentours de 2005, le parquet du coin a « classé d'office » alors que je me plaignais car la succession de la mère de Justine s'était à mon avis en grande partie vaporisée. Un OPJ a en effet dépouillé ma plainte de ses preuves puis ton parquet a « classé d'office » ! Aujourd'hui, tu envisages de désigner le pasteur ou son mari, le médecin, à la place des assistants de Charles Halter, pour t'assurer que son père ne pourra pas spolier la mineure, en niant toutes les carrences de ta justice et l'incurie crasse de la Dass et autres administrations de ce pays, la France ? Qu'est ce que ça signifie ?
Chez Halter, rien n'a bougé au cours des dernières années et cette situation aurait encore pu perdurer, longtemps. Ce n'est pas le pasteur qui a fait appel de la plus récente décision du juge des tutelles, ce qui a maintenant permis de mettre en lumière un certain nombre d'anomalies - « où ça », rétorqueront ces juges ? Ce n'est pas non plus le pasteur qui a signalé qu'il y avait des anomalies à l'inventaire présenté au juge des tutelles, pour approbation, et ce n'est pas le pasteur ni son mari, le médecin, qui a fait rectifier le cadastre de Holving, en 2006 ! « Ca prouve rien » ? Ne serait-ce pas à la famille maternelle de Justine de présenter et de détailler spontannément les éléments de ces successions qu'elle entend se partager un jour ? Va te faire foutre puis torche toi dans ta robe, elle n'est pas noire sans raisons !
Voir dans mes notes ou parmi mes références
Des boches aidés, jaugés et jugés par des juifs « qui ne pardonneront jamais » ? Quelle idée ! Ce pasteur et son mari, tiers dignes de confiance, ainsi qu'admin ad'hoc ? Et pourquoi pas, assis parmi, voire même, à la place des juges ou des juifs - mais évidemment « neutres », selon Anne Valentini - qui nous ont jugé ou plutôt, qui ont pollué le dossier « d'assistance éducative » de Justine, au cours des ces mascarades de procès et d'années de « travail de la relation père-enfant » ? Entre 2003 et 2005, alors que « ça se passait pas bien » pour Justine, au foyer de ces juifs - c'est le choix de Valentini, confirmé par la cour d'appel - de l'OSE France, le pasteur et son mari le médecin ont tous les deux fermé les yeux. Le pasteur d'Uhrwiller a encore fermé les yeux alors que « ça se passait pas bien » dans son presbytère non plus, aux alentours de 2008 - raison pour laquelle Justine optait finalement pour la solution de l'internat scolaire. Le pasteur et son mari ont systématiquement fermé les yeux, ils n'ont jamais bougé, jamais fait appel de quoi que ce soit.
Tu parles d'un médecin, généraliste. Lui-même et sa femme, le pasteur d'Uhrwiller, m'ont très souvent lu et même entendu au cours de ces dernières années, dans ces prétoires. Il n'y a que quelques crevures tel ce bouffon ou Bodon-Bruzel et des ignares tel des magistrats et des professionnels de l'OSE France ou de l'ARSEA Alsace qui pourraient en effet croire ou penser que la trisomie 21 de ma soeur aînée est susceptible de m'avoir affecté. A ces pitres en robe noire en premier, qu'ils soient du parquet, de Nanterre, des chambres ou de la première présidence de Versailles : la trisomie 21 n'a rien à voir avec un rhume et ne vous saute pas à la gorge tel H1N1 !
Le pasteur et son mari, tiers dignes de confiance, et maintenant admin ad'hoc également, mais quelle farce, quelle fumisterie ! J'attends avec impatience le délibéré de Nanterre, pour l'éventuelle opportunité d'un appel et la possibilité de rencontrer Echappe, probablement Olivier, membre du cercle des constitutionalistes et docteur en droit canon, un bon catho. J'ai deux mots à lui dire, en pleine face, s'il ne se dégonfle pas et ne dépèche pas un simple raporteur. J'attends aussi avec impatience la fin novembre prochain et l'opportunité de reparler à ces juges de la 2ième chambre civile.
Le pasteur d'Uhrwiller a bizarrement toujours pu se contenter d'alléguer, de prêcher, de « dire » et « d'expliquer », il n'a jamais eu à démontrer ou à prouver quoi que ce soit ; on doit dire de lui qu'il est « digne de confiance » - et donc bientôt admin ad'hoc aussi, même s'il a tous les dimanches le cul sur des successions de la famille maternelle de Justine ?
Par contre, selon ces mêmes juges, « M. KANT allègue toujours sans jamais rien établir » ou « ne justifie jamais de la réalité des faits dont il fait état ». J'ai le très net sentiment que ces juges de la 2ième chambre civile sont également un chouilla partiaux, comme les autres juges du secteur. J'y suis accoutumé, depuis longtemps. J'en rediscuterais avec la 2ième chambre civile, en novembre prochain ; il faut peut être tout simplement « mieux » éclairer ces juges ?
Leurs inculque-t-on ces moeurs à l'ENM ou au cours des stages qui les amènent sur leurs trônes ? Dans le cadre de l'affaire Bettencourt, d'abord une « affaire de famille », j'avais remarqué une bizarerie de nature assez similaire.
Hier, en me documentant, j'ai appris que Philippe Ingal-Montagnier, actuel procureur général de Versailles, devrait savoir ce qu'est l'antisémitisme. Il pourrait donc également savoir ce qu'est la Shoah ; le CRIF ou des conférenciers ont pu lui en glisser deux mots. Les juges du coin ne retenant le plus souvent pas mes mots, je pense maintenant illustrer mes prochaines conclusions ou observations avec de belles images, des caricatures antisionistes. Celle qui suivent me plaisent beaucoup ; leurs auteurs ont pu s'inspirer d'anciennes caricatures françaises de boches ou anticléricales.
Voir La République et l'Eglise (il y a un siècle)
Shalit, c'est grave, or ce n'est pourtant pas la Shoah
Ce n'est ni la Shoah et il n'est pas non plus un chat, mais Shalit, c'est grave. C'est à ne rien y comprendre. Mais Reiss, Polanski, Petrella, Aubenas, Colonna, Cassez ou Bétancourt, c'était ou c'est encore tout aussi grave. Polanski, on nous en parle encore, en Suisse ; les juges tarderaient maintenant ou ne jugeraient pas ? Le pauvre homme ; il doit beaucoup souffrir, parmi les siens, dans son joli chalet Suisse.
Shalit, ce cas particulier, c'est cependant un peu différent ; il n'est pas suspect, juste victime. Récemment, de 10 à 15 000 personnes se sont réunies sur le parvis des droits de l'homme, à Paris. Sa situation a pu beaucoup émouvoir. Un son, entendu ce jour, sur RTL, va encore faire larmoyer dans nos chaumières et kiboutz ou colonies :
Shalit, c'est vraiment grave, même s'il serait pourtant tellement mieux logé ou loti que d'autres. Selon le Hamas, il aurait la télévision et suivrait en effet la coupe du monde. Sa situation n'est donc pas si dramatique qu'on voudrait nous le faire croire ? Bétancourt aussi avait sa radio ; au fond de la jungle, alors qu'elle était retenue par les FARC, elle pouvait de temps en temps entendre des messages d'espoir ou de ses enfants. Depuis, Bétancourt est libre.
Ces FARC ou même ce Hamas ne sont donc finalement pas si inhumains que cela. A Nanterre, fin 2005, le juge pour enfant m'interdisait durablement et très strictement de communiquer avec mon aînée, ce que le pasteur d'Uhrwiller a ensuite très scrupuleusement respecté, « dans l'intérêt de l'enfant ». Nous étions resté près de trois ans sans avoir la moindre nouvelle de mon aînée. Mais il s'agit « d'assistance éducative » et ces « mesures provisoires » étaient bien évidement dûment motivées, même si par la suite, vers janvier 2010, la cour d'appel de Versailles s'est un peu ressaisie. Cette rupture a d'abord été motivée par un rapport versé par l'OSE France, une association juive, puis ensuite, par un rapport ou avis versé par un bon psychiatre français ; faute de mieux, le juge Anne Valentini avait très lourdement insisté pour obtenir cet avis « psychiatrique », des opinions ou un rapport assez particulier que les juges de Nanterre et de Versailles ne m'ont jamais permis de contester.
Aujourd'hui, le troufion Shalit, ce grand gaillard de 24 ans, pourrait avoir des problèmes de santé ? Je crois que le CICR ne peut rien vérifier - la faute à Kouchner ? - mais ce que j'ai pu lire ici et là, sur la toile, n'est pas spécialement alarmant ? Des preuves occasionnelles de vie rassureront tout le monde ; quiconque en douterait pourrait en discuter avec les travailleurs sociaux de l'ARSEA Alsace ou, pourquoi pas, écrire au juge pour enfant Thierry Baranger, « clinicien judiciaire », qui pourrait également rassurer.
Je m'aperçois qu'au final, j'en arrive à bien écouter tout de même le juge Xavier Serrier. En juin 2008, alors qu'il n'imaginait probablement pas qu'il allait devoir sauter de son siège, il m'intimait de changer de discours, ce que la cour d'appel de Versailles confirmait en 2009. J'ai le sentiment que mes discours ont un peu changés ces derniers temps. Par moments, je me perçois en tous cas un peu plus proche de courants assez radicaux qui snobent eux aussi Israel.
De source le Temps
Un Point Shoah : 9€90
Je connaissais la loi et le point Godwin ; je connais maintenant le prix d'un Point Shoah : 9€90. J'avais la même chose à la maison, dans un coffret 3 DVD. Mais, plus globalement, ce Point collector m'a beaucoup plu. « Est-il si nul ? »
Je sortais pour un Monde et l'interview récente de Liliane Bettencourt. J'en ai profité pour ramasser le n° 1 de rue89.com ainsi que Hacker n° 32. Dans ce mag Hacker, une news m'a beaucoup amusé : « les internautes lisent-ils les conditions de vente ? » Ce mag va m'être utile ; je dois répondre à Lenovo France qui pourrait m'avoir pris pour un con - un consommateur « totalement atypique », selon leurs termes. J'ai refusé des CLUF ou conditions d'utilisation et j'ai demandé des remboursements de logiciels qui me sont inutiles ; en retour, Lenovo France me propose simplement de leurs retourner un PC que je viens d'acquérir, s'il est encore « neuf » ; mais je l'ai troué et patché. Ca m'occupe.
J'ai bien indiqué avoir refusé ces CLUF ; mon facteur n'est pas en panne
Ma boite aux lettres et mon facteur fonctionnent très bien, ils ne sont ni en panne, ni en grève. Je n'ai toujours pas reçu de convocation de la part de Nanterre, mais je m'en fous. Selon ma compagne, le juge pour enfant devrait me convoquer ou la décision qu'il rendra prochainement serait illégale. Mais les magistrats du coin ne s'embarasseront pas de tels détails ; si nécessaire, ils motiveront mieux. De toute façon, je n'ai plus l'intention de retourner à Nanterre, je crois que le juge pour enfant m'a très bien lu ; j'attends simplement de découvrir la prochaine décision que rendra ce prétoire.
J'ai eu des nouvelles de Madame Muller. Elle semble être à présent, elle également, dérangée, un peu « parano » ; elle aurait même « sans doute », un jour, pu déprimer... Je pense que depuis début 2009, Madame Muller a surtout beaucoup trop critiqué SOS Villages d'Enfants ainsi que divers services de l'ASE du Nord et des Alpes Maritimes. Heureusement que ces juges pour enfant ont de si bons psys ; pour n'importe quel ignare, tout semblera être parfaitement motivé.
« C’est pas Auschwitz », c’est juste la Dass
Ce 2 courant, à Metz, le président de la cour d’appel m’a choqué lorsqu’il répondait à Madame Mireille Millet, affirmant – de mémoire – qu’un enfant de « 15 ans et 30kg, ce n’est pas Auschwitz, mais une stature courante et acceptable pour un ado français » - lire comment l'infériorité de stature était perçue et décrite, à des périodes aujourd'hui révolues. J’entends certaines mauvaises langues nous lancer que « Sébastien n’est même pas mort » ; selon le tribunal administratif de Paris 13, « c’était juste un enfant qui envisageait de se suicider, rien qu’un ado en grande détresse, pas du tout en danger ; la justice française veillait sur lui ». En cours d’audience, ce 2 juin, Madame Millet finissait par fondre en larmes alors que le président de la cour d’appel attendait qu’elle lui fournisse des éléments susceptibles de motiver l’exception, une relaxe. Madame Millet a été condamnée ; mais d’après ce qu’elle m’a dit récemment, elle ne jette pas encore l’éponge ; je pense qu’elle perd son temps, depuis longtemps, qu’elle se ruine sa santé, qu’elle se ruine, elle aussi, tout simplement, avec toutes ces onéreuses procédures et démarches vaines, dans des prétoires de ce pays. « Matérialiste », renchériront quelques plaies ! Je ne parlerais pas moins d'escroqueries judiciaires sur fond d'incurie crasse de ces mêmes sphères ou « services publics » de la Dass - je sais, de tels clichés et ce vocabulaire sont d'une autre ère.
Concernant mon aînée, Justine, on me lance souvent que « elle n’a pas vraiment disparue puisqu’elle est chez ses tantes maternelles ; vous renouerez plus tard ; ne perdez pas espoir, elle reviendra vers vous ». Dans De l'inconvéniant d'être né, Cioran m'a semblé assez explicite : « l'espoir est une vertu d'esclaves. » La cour d’appel de Versailles était elle-même formelle en janvier dernier ; mon aînée n’a pas été « prélevée » en région parisienne, elle est simplement « placée sur décision de justice », dans son intérêt, en Alsace, où des gorets de l’ARSEA et un pasteur veillent sur elle. En attendant fin 2011, la quille ou la fin de ces « mesures provisoires », la magistratüre du coin me prie encore fermement d’aller me faire soigner, ma sœur aînée est trisomique… « Nous sommes en France, ce pays des lumières et des cathédrales, et non en Moldavie profonde, il y a 10 ou 20 ans » ? A d’autres ; je cumule les dénis de justice, des « motivations » des plus farfelues ou abjectes, des décisions, arrêts ou jugements non exécutés aussi. Il faut se faire une raison.
Quoi répondre encore à des juges lorsque plus rien – hormis, peut-être, la Shoah ou perdre un chat – n’est grave ou scandaleux ? Des intellectuels et autres journalistes ou penseurs nous invitent maintenant à soutenir Israël ? Dans la vie, on peut être amené à faire des choix. Sur cet échiquier, je vais tout au contraire me ranger pas loin de ceux qui snoberont Israël, la France et leurs langues de bois, encore observer et en rire également, comme souvent.
Nous sommes déjà le 14 juin. J'ai le sentiment que le juge pour enfant de Nanterre ne me fera pas convoquer pour sa toute prochaine audience. C'est parfait ainsi ; il m'aura sûrement très bien lu.
Finkielkraut et "le mouvement islamo-gauchiste"
LEMONDE.FR | 13.06.10 | 15h45 • Mis à jour le 13.06.10 | 15h45, extrait
Le philosophe français Alain Finkielkraut a dénoncé dimanche le danger que représente à ses yeux "un mouvement islamo-gauchiste qui est ostensiblement indifférent à la mémoire de la Shoah". Invité à la 7e conférence sur l'enseignement de la Shoah, organisé par le mémorial de Yad Vashem à Jérusalem, M. Finkielkraut a déploré que l'enseignement de la Shoah, notamment dans les écoles, "soit si difficile en France". Selon lui, "la situation au Proche-Orient risque d'amplifier ce mouvement de rage contre la mémoire de la Shoah qui existe" dans le pays.
Dans une interview à l'AFP, le philosophe a désigné ce mouvement comme "l'union de gens issus de l'immigration et d'intellectuels progressistes, une sorte d'arc islamo-gauchiste qui m'inquiète". "Je crois que le moment où Auschwitz sera boycotté comme un produit israélien peut arriver", a-t-il ajouté, en faisant allusion au mouvement international pro-palestinien qui appelle au boycottage économique et culturel d'Israël.
De son côté, François Zimeray, ambassadeur pour les droits de l'homme au ministère français des Affaires étrangères, également invité, a regretté que "la perception déformée de la Shoah par une partie du public en France amène à une négation d'Auschwitz". "Quand j'entends en France des gens comparer Gaza à un camp de concentration, c'est du révisionnisme contre lequel nous devons lutter", a-t-il estimé.
Google, Sciences/Tech
PARIS - Polémique autour d'un apéro géant "saucisson et pinard"
Le Point - ýIl y a 23 minutes
Un projet d'apéritif géant prévu vendredi dans un quartier multiethnique de Paris avec alcool et charcuterie, ce qui exclut tout participant de confession juive ou musulmane, suscite l'émoi d'une partie de la gauche. Dans le sillage de SOS-Racisme, ...
Ces persiflages vont plaire à nos fanfarons !
Rédiger ce billet parfois très technique a été pour moi une sorte de distraction ou digression, en attendant mardi, une ultime audience à la cour d'appel de Versailles, puis, peut-être, une sortie à Paris, devant l'hôtel de ville, pour la journée internationale des enfants disparus (et spoliés par les pros aussi ; dans leur intérêt supérieur, bien évidement).
Cette période et mon agenda sont en effet pas mal chargés, comme souvent, et je me serais bien passé des derniers délires de SEFCA Puteaux, des plaintes, très officiellement déclarées auprès de la police nationale. Il suit encore Grasse ainsi que Aix-en-Provence, peut-être aussi Valenciennes et Douai. Strasbourg, je pense que c'est fini. Il suivra également Metz ainsi que cette ultime conférence, au mémorial de la Shoah. Il suit également une formation conçue et organisée par une association réputée, en septembre, pour des professionnels ; dans le cadre de sa préparation, ce 22 mai, je participais à un pique-nique, avec des parents, des bénévoles et des professionnels. Je travaille également.
J'ai de plus en plus le sentiment que ces deux putéoliens, le président et la vice-présidente de SEFCA Puteaux (ou « SEFCA Puteaux 2 », rien n'est très clair...), cherchent à me nuire, sur le plan familial et personnel, sur le plan professionnel aussi, ainsi que dans le cadre associatif ou toutes ces autres affaires souvent « privées », pour lesquelles j'interviens ou contribue, notamment publiquement, que ce soit en sortant ou par l'intermédiaire de mon blog et avec mes discours, ceux qui déplaisaient déjà tant à l'OSE France, au juge Xavier Serrier et au substitut Laeticia Felicis, puis ensuite, à l'ARSEA. Certaines coïncidences, sur de longs mois, sont en tous cas maintenant vraiment très troublantes.
L'hiver dernier, alors que la droite s'était pris une bonne tôle ondulée, Eric Woerth nous rappelait qu'il faut savoir attendre « le bon moment ». Pour moi, je crois qu'il était maintenant grand temps « d'ouvrir le feu ». Certains vont rire et d'autres vont geindre, c'est sûr. Que les « pas contents » se fassent tout de suite une raison ou qu'ils aillent voir un bon Eolas, il leurs recommandera peut-être sur le champ d'aller se faire soigner ; oui, tout se soigne, je pense que quelques psys n'hésiteront pas et confirmeront aussi. J'avais prévenu, très souvent, y compris prévenu encore une fois la chambre des créatures inférieures de Versailles, en décembre 2009 ; de mes dernières conclusions, déposées là bas :
J'ai récemment changé d'avis ; je pensais un moment que j'allais arrêter de commander toutes ces coûteuses captures d'huissier, que je pouvais enfin m'en passer. Le 20 avril dernier, je croyais même pouvoir tourner enfin une page encore, après un long périple en marge de mes distractions principales, « l'assistance éducative ». Mais vu les évènements récents, toutes ces nouvelles calomnies, injures et plaintes ou pressions encore dirigées contre moi, par SEFCA Puteaux, à nouveau très concrètes ces jours-ci, j'ai relâché ma butineuse favorite, celle qui m'envoie des liasses de papier. Ce 21 mai 2010, un mail de 18h18 m'a informé que les pages qui suivent ont été matérialisées - ou enregistrées aux minutes - d'un huissier de justice français :
• http://fr.forums.wordpress.com/topic/diffamations-injures-publiques-etc
• http://eclma.wordpress.com/2010/05/20/info-du-president/
• http://justice.cloppy.net/index.php/epilogue/2010/03/30/c-est-le-printemps
• une partie de la liste des amis d'un certain Lorentz, sur Facebook
• http://justice.cloppy.net/capture.20100518.zip
Fin février dernier, Frédéric Lefebvre, porte voix de l'UMP, nous proposait « un après Soumaré ». Il va être servi.
La dernière page ou capture est vraiment particulière. J'ai du en discuter un peu avec cette butineuse, avant la capture, pour lui exposer plus en détail mes intentions et ce dont j'avais besoin. En l'état et sans plus d'informations, cette page HTML ne prouve pas grand chose ; elle est hébergée sur mon propre serveur, un détail qui n'échappera pas aux spécialistes. C'est une archive zip qui ne contient qu'un unique fichier HTML (daté) ; pour charger et afficher les images de cette page, il faut être connecté à Internet (voir ensuite le source ou la propriété des images affichées pour connaitre leur localisation réelle, sur la toile). Je destine cette page HTML aux experts ainsi qu'à la police. Sauf si certaines images disparaissaient très soudainement d'Internet, la page affichée sera certainement assez conforme à ce que la police a pu voir sur ses écrans, lorsque je discutais très librement avec un OPJ ainsi qu'avec un brigadier du coin. Au commissariat, cette page avait fait bondir, puis réagir ensuite, sur la toile... et enfin, une partie de cette page HTML, tout en bas, s'en est évaporée ; voir sur le forum de Wordpress.com et dans ce fameux billet « info du président » du 20 mai, d'où ce petit extrait :
De quels faits s'agit-il ? Serais-je à présent suspecté de maîtriser Internet ou d'être un expert de ces milieux ? Où me suis-je vanté et en parlant de quelle convocation au juste ? Pourrait-on mettre en doute la parole d'un policier ? Y aura-t-il un jour une confrontation, de qui et pour quels motifs ? Monsieur Lorentz réclamerait-il soudainement une confrontation avec un policier, après mon propre goûter avec la police du coin ? Pour mieux comprendre ce dont ce président parlait dans son propre blog, il fallait être ce 19, au commissariat, dans le bureau de l'OPJ et du brigadier qui me recevaient, savoir lire aussi monsieur Lorentz... Je ne conçois pas que le président de SEFCA Puteaux puisse s'exprimer ainsi et seul, à de tels sujets, publiquement, alors qu'il ne sait certainement pas tout ce qui s'est dit en plus de trois heures, avec trois policiers, mon portable avec moi, avec un accès Internet non restreint à disposition, ainsi qu'avec du papier en main, beaucoup de papier, certains portant la signature et le tampon d'un huissier de justice.
Attention à la page « info du président », elle pourrait être différente ou supprimée sous peu... bref, un jour, non conforme à ce qui est aux minutes de ma butineuse professionnelle ? Si nécessaire, j'en publierais une copie. Son constat me parvient par la Poste. « Je remercie les O.P.J.d’avoir mis un terme à cette situation », pouvait-on lire, là bas, ce 21 mai, à 20h22.
Toujours de ce même billet, « info du président » : « Nous avons effacés les écrits du blogueur qui nous avait diffamés sur son blog - La raison est qu’il a modifié ou effacer certain contenu de son blog ». Si je comprend bien monsieur Lorentz, qui remercie maintenant la police nationale, j'aurai récemment effacé ou modifié « certain contenu », dans mon blog ? On en apprend tous les jours, en lisant, sur Internet. Depuis ce 19 mai, et au retour du commissariat de police, je n'ai effacé que deux choses : les noms et prénoms des policiers ainsi que leurs numéros de téléphone.
Ceux qui ont l'habitude de me lire ont souvent pu constater que je ne supprime pas mes billets, mais qu'il m'arrive parfois de les éditer en ligne, parfois sur quelques heures ou jours, au gré de mon humeur et de l'actualité, puis je n'y touche plus jamais. Il me serait même très facile de démontrer que mes billets d'avant ce 12 mars 2010 n'ont subit aucune modification. A l'époque, je flairais déjà ce que SEFCA Puteaux me réservait, j'avais alors décidé de faire matérialiser l'intégralité de mes données publiques ; c'est facile et très vite fait. Selon ce récépissé de plainte, j'aurai commis des fautes assez graves, entre le 1er octobre 2009 et le 1er avril 2010, puis, il y a peu, j'aurai supprimé du contenu dans mon propre blog ! En regard de cela, les Lorentz allèguent mais ils n'ont jamais rien à prouver, ils semblent même ne pas en avoir les moyens ? Un extrait de source eclma.wordpress.com :
« Or ce Mr QUI TIENS UN BLOG JUSTICE .CLOPPY.NET NE RESPECTE PAS
Ce principe de diffusion de photo de ma famille en mettant l’adresse ou l’on habite à avoir divulgué des procédures en cour , montages de textes qui sont sur le site de sefca Puteaux et détourne le sujet en écrivant à mes amis publique ou priver
en écrivent également au service de Rambouillet qui lui fourni les documents en cour de procédure et lancent des mails aux personnes que nous aidons dans le cadre de placement proférant des menaces sur notre personne et également nous faire chanter en exigent 2500 euro.
Je vous demande donc de procéder à son audition et à poursuivre »
Des montages de portions de textes, extraits d'un blog de quelqu'un d'autre ? N'est-ce pas précisément ce qui apparait en bas de la page du fichier au format HTML, dans cette archive zip ? Cette page HTML m'avait été transmise par une autre butineuse qui matérialise également des données aperçues sur Internet. Une page assez similaire apparaissait dans le blog de SEFCA Puteaux, sur Wordpress.com, alors que j'étais moi-même convoqué par la police nationale ; je pense qu'un brigadier au moins pourrait confirmer. Par contre, et d'une manière assez bizarre, quelques temps avant cette « audition » du 19 et alors que SEFCA Puteaux savait que je pouvais un jour être convoqué par la police, l'intégralité du blog de cette association hébergé par unblog.fr disparaissait de la toile : « Cet utilisateur a décidé d'effacer son compte, et ce blog n'est donc plus disponible », peut on lire sur eclma.unblog.fr. Par un heureux hasard, mes butineuses professionnelles ont aussi très bonne mémoire : 30 ans.
De quoi au juste ai-je été accusé récemment, par Christel Moreau ? Lorsque j'ai découvert cette plainte qui ne pouvait que me concerner, je n'ai pu qu'en rire. Une « atteinte à la vie privée » par « détournement d'informations publiques », plus précisément par « détournement d'informations d'un blog sur un autre » ? On parle plus généralement de « détournement » lorsqu'il y a eu fraude ou délit, un fait passible de poursuites, tel qu'un « détournement de fonds » ou un « détournement de correspondance privée ». Je crois que de tels documents ou déclarations de plaintes sont d'autant plus publics et diffamatoires ou calomnieux qu'ils ont été placardés sur Internet, par SEFCA Puteaux en premier, dans l'un de leurs propres blogs... Je crois qu'une plainte a ensuite été déposée contre moi - ou contre X ? - car j'aurai pu me procurer ce récépissé de dépôt de plainte d'une manière douteuse ou en employant des méthodes frauduleuses ; ce document semble être authentique et en tous cas, ce 19 mai, la police ne m'a pas dit qu'il s'agissait d'un faux ou d'un document non conforme ; ce récépissé, au format PDF, avait été placardé sur http://eclma.unblog.fr, peu avant la fermeture de ce blog ! Le fond de cette plainte ou les déclarations de Madame Moreaux sont tout aussi grotesques ; j'en ai beaucoup discuté, ce 19 mai, avec la police. Je pense que l'OPJ a bien compris que je n'ai enfreint aucune loi, du moins, que j'ai été assez prudent et que je n'ai cherché qu'à me défendre, face au flot des publications de SEFCA Puteaux, qui m'inondent régulièrement, depuis février 2009, des publications ou productions figurant maintenant aussi aux fichiers de la police nationale ! Ca va beaucoup plaire à Lefebvre, à Axel Poniatowski ainsi qu'à Valérie Pécresse.
Cette semaine, je me suis encore documenté. J'ai eu beau tout revoir et réactualiser, depuis 1803 et l'article 9, 1804 et l'article 1382, puis ces textes de 1881, remis au gout du jour en juin 2004, je n'ai pas le sentiment d'avoir commis une faute. Ces si vieux textes de 1881 articulés avec la jurisprudence de Nanterre, de Lyon, de la cour de cassation et la plus récente jurisprudence en matière de liberté d'expression de la CEDH protègent finalement assez bien, quoi qu'on en dise ici et là. Au cours des semaines passées, j'avais même buché le droit à l'image, d'une manière assez pointue. Mais le parquet de Nanterre ne sera peut-être pas de cet avis ; j'ai quand même pu enfreindre quelque chose ou offenser quelqu'un ? Le pasteur d'Uhrwiller ? On verra bien. Sous peu, les plaintes de SEFCA Puteaux devraient parvenir au parquet, avec ce que j'ai moi-même déclaré à la police, ce 19 mai.
Il y a peu, SEFCA Puteaux avait donc accusé l'ASE de m'avoir communiqué des documents extraits de dossiers judiciaires de monsieur Lorentz et de Madame Moreau, vice présidente de SEFCA Puteaux. Monsieur Françis Painot semble avoir démenti récemment, leurs faisant lui-même parvenir une réponse et opinion tout à fait limpide :
Voir l'un de mes billets du 4 mai, voir aussi le reste de ce blog
Je rassure à mon tour Monsieur Painot, je dispose de documents attestant que ces accusations qui ont été portées contre l'ASE et moi, par SEFCA Puteaux, sont au minimum farfelues. C'est un huissier de justice qui a « prélevé » ces documents, très probablement un faux ainsi qu'une plainte pour faux et usage de faux, dans un blog édité par SEFCA Puteaux. Car en effet, ces documents avaient également été placardés sur Internet, par le couple Lorentz !
De telles accusations ne pouvaient pas être prises au sérieux, d'autant moins que j'en avais moi-même déjà un peu parlé dans mon propre blog. Il fallait alors que SEFCA Puteaux envisage une autre stratégie pour émouvoir la police nationale ou le parquet ? Envoyer Madame à la police, pour s'y plaindre des publications de Bruno Kant ? Madame Lorentz et ses enfants, victimes de mes publications ? C'était à mon avis une très bonne stratégie, surtout après quelques promesses faites par ceux qui nous gouvernent, pour l'année 2010. Même Nadine Morano, parfois elle-même présentée par SEFCA Puteaux comme étant si méchante et radicale, aurait pu l'ouvrir dans la foulée et m'enguirlander avant l'heure, noël prochain ou un quelconque procès indigne de ce nom. Morano vient justement de faire une petite annonce en faveur des femmes martyrisées par de si vilains hommes - Nadine, si tu viens lire ceci, fais un noeud à ton mouchoir, penses à me radier un jour de ta liste de fervents militants lorrains ; par contre, si tu repasses dans le voisinage pour visiter les pouponnières de la Dass, n'hésite pas et invite !
Sur son fond, la plainte du 1er avril 2010 de la vice présidente de SEFCA Puteaux n'a cependant rien à voir avec de telles reproductions d'extraits de textes ou de documents très précis, tel que cette plainte pour faux et usage de faux vue ici et là sur la toile, un document que j'ai soigneusement choisi dans l'ensemble des publications de cette association. Dans cette plainte récente de Madame Moreau, à moins que dans une autre, encore portée contre moi, SEFCA Puteaux me reproche plutôt une sorte de « détournement de blog » ou surtout la « publication ou le détournement de photos de familles » sur mon site internet, manifestement via Google... un truc incompréhensible, un ovni ou boulet rouge qui file maintenant tout droit au parquet de Nanterre.
En effet et mes lecteurs s'en seront aperçu, au mois de mars dernier, je me plaignais moi même d'un trouble qui a depuis cessé. Lorsqu'on effectuait alors des recherches, sur Google ou sur d'autres moteurs de recherche, avec mon nom et prénom, il apparaissait d'abord des photos de famille et des enfants de Madame Moreau et de Monsieur Lorentz. Ce 19 mai, la police ne constatait plus aucun trouble. Lorsque l'OPJ effectuait des recherches en utilisant mon nom, il ne relevait plus rien d'anormal ni de bien exceptionnel à son écran. Je lui ai alors présenté mes constats d'huissier, sur plusieurs mois.
En réalité, SEFCA Puteaux se plaint aujourd'hui d'à peu près la même chose que moi, m'accusant, le moteur de recherche Google ayant longuement associé les « photos de famille » de Madame Moreau et Monsieur Lorentz à mon propre nom et prénom, en raison des publications de leur association, SEFCA Puteaux, dans leur propre blog, hébergé par unblog.fr. En septembre 2009, Monsieur Lorentz publiait encore une diatribe à mon encontre puis finissait alors par créer dans son propre blog une section intitulée « affaire Bruno Kant ». Peu après cela, Google ainsi que d'autres moteurs de recherche tel que 123People ont référencé mon identité et leurs images et photos. En épluchant les constats de ma butineuse professionnelle, la police a elle-même pu constater que Google référençait bel et bien des images hébergées par unblog.fr, dans le blog de SEFCA Puteaux. Je n'ai en effet jamais porté atteinte à la vie privée de Monsieur et Madame Lorentz, ni publié non plus des photos de famille ou des enfants de ce même couple.
Depuis février 2009, je me suis de temps en temps plaint auprès de Monsieur Lorentz, en raison de ses publications, sur unblog.fr. Fin décembre 2009, je finissais par écrire au procureur de Paris pour me plaindre d'injures publiques ; en mars dernier, je relançais ce même procureur qui ne m'avait pas répondu. Depuis février 2009, SEFCA Puteaux n'a fait que s'obstiner d'avantage. Vers la mi-mars, après la publication d'une ultime diatribe à mon encontre, dans le blog de SEFCA Puteaux, j'ai décidé que j'allais faire faire le ménage dans les moteurs de recherche, notamment en m'adressant aux propriétaires du service et domaine unblog.fr, la société Kipubli, à Genève, en Suisse. Quelques temps après, SEFCA Puteaux finissait par fermer son blog, sur unblog.fr, supprimant aussi toutes ces « images ou photos de famille » hébergées là bas. Suite à cela, les caches des moteurs de recherche se sont assez naturellement purgés et ces moteurs cessaient enfin d'associer mon nom et prénom, soit mon identité, aux « photos de familles » ainsi qu'aux diatribes à mon encontre, publiées par SEFCA Puteaux.
A Kipubli Sàrl, en Suisse, d'où SEFCA Puteaux m'a injurié, de février 2009 à mars ou avril 2010
Aujourd'hui, je crois que Madame Christel Moreau et Monsieur Emeric Lorentz me reprochent également de les avoir aidés très ponctuellement, par le passé, au cours de l'été 2008, dans le cadre de leurs propres actions en justice ainsi que sur le plan médiatique, sur Internet. Bref... J'ai très longuement discuté dans le détail avec la police de toute cette « non affaire Bruno Kant », puis, ce 19 mai, pour finir, j'ai très volontiers fait une petite déposition, répondant très simplement à cette accusation « d'atteinte à la vie privée », par « détournement d'informations, d'un blog sur un autre ».
Fuck la Proküratura française
En novembre dernier, je pensais que j'en avais fini avec la promotion de ce son de Lilly Allen. Mais aujourd'hui, après avoir lu le Parisien du 5, je n'hésite plus à le republier, un extrait de Fuck You (very much), maintenant bien connu :
Que nous a dit cette mère, par l'intermédiaire des plumes du Parisien ? « Je voyais ma fille souffrir et je ne pouvais rien faire ». J'imagine assez facilement la scène des cadres qui volent en éclat et des prédateurs qui s'acharnent, dans une grande confusion d'indifférence et d'effroi général. Cette mère aura du se débrouiller toute seule, peut-être un peu comme lorsqu'un juge pour enfant et qu'une cour d'appel sont saisis. Je publiais la photo qui suit au retour de Versailles, début décembre dernier, avec mon compte rendu d'audience et les conclusions que je venais de déposer :
Loisel, son chat et ses hiboux, dans des cadres distincts
On ne peut pas comparer ni faire un quelconque rapprochement entre ce qu'ont eu à endurer cette mère et sa fille, en Seine et Marne, et ce que mes enfants et ma famille avons eu à endurer au cours de ces sept longues dernières années. La situation de ma famille est différente ; un enfant n'est plus là, ma fille aînée a été « placée » ou « sauvée » par la Dass. En Seine et Marnes, cette fillette « s'est faite bouffer » en quelques interminables minutes seulement. Car certains reprocheront à cette enfant d'avoir couru et d'avoir donc excité ces chiens ? Par chance pour elles, pour se défendre, sa mère avait son sac à main. Pourvu qu'aucun chien n'ai de séquelles, des défenseurs de la cause animale pourraient sous peu se retourner contre cette mère et cette fillette. Des professionnels du social relèveront-ils d'abord un terrible trouble de la relation mère-enfant ? Qu'en diraient Claire Davidson, « psychologue », « spécialiste » de la petite enfance, Richard Josefsberg et Thomas Resch, des éducateurs spécialisé ? On pourrait aussi questionner quelques comportementalistes ou des dresseurs de fauves, ce serait alors une tâche pour un juge d'instruction ou, de nos jours, pour le parquet. Ah, si j'avais eu un sac à main en janvier 2005, j'aurai pu frapper plutôt que de tenter de porter plainte...
Que souhaite maintenant cette mère de Seine et Marne, des « investigations », puis un « procès » ? De quoi se plainte-elle au juste ? Selon ce Parisien, « Personne ne les a aidées, aucun des clients n’a appelé les secours [..]. C’était comme si elles ne comptaient pour rien. Le patron les a laissée partir seules, avec la fille qui saignait dans ses bras. Voilà ce qui lui laisse le plus de séquelles… » Je crois que quelques professionnels ne manqueront pas de renvoyer d'abord cette mère vers un psychiatre, pour une bonne thérapie. D'autres relèveront peut-être qu'aucune « cellule psychologique » ni aucun ministre n'ont été dépêchés sur place ? Mais il peut toujours arriver des choses pires dans la vie, ce que des rescapés ou des descendants de déportés confirmeront. Je pense que des artistes tel que les Giraud confirmeront aussi. D'ailleurs cette fillette et cette mère de Seine et Marnes s'en sont toutes les deux plutôt bien sorties ? Je me doute cependant de ce que pourrait en penser Francis Gillery avec qui j'ai pu discuter quelques instants « d'expériences singulières », fin janvier dernier, au mémorial de la Shoah.
Cette semaine, j'ai encore eu des nouvelles de cette blogueuse, Madame Muller, ses enfants sont également « placés » - ou plutôt, éparpillés sur le territoire français ? Elle dit ressortir d'un entretien avec la police. Elle affirme avoir porté plusieurs plaintes en raison de non représentations d'enfants. Elle dit maintenir ses plaintes et dit avoir le sentiment qu'elles font depuis quelques temps « le ping-pong » entre un parquet du nord et un parquet du sud de la France. Ces jours-ci, elle se plaignait aussi de ne pas pouvoir accéder aux dossiers du juge pour enfant et de l'ASE, elle semble essuyer à chaque fois comme des fins de non recevoir. Je pense que cette histoire ou de tels déboires, kafkaïens, pourraient plaire à Jean-François Copé ainsi qu'à Eric Woerth, ils recenseraient ce genre de difficultés « administratives » ? A mon avis, cette mère n'est pas réellement en demande d'un « procès », je crois plutôt qu'elle souhaiterait que ses enfants soient un jour rapprochés. Mais vu le « travail » déjà accompli par la Dass, cela me semble pour le moment assez improbable. Certains pourraient un jour prier cette « pas contente » d'aller se faire soigner aussi. Mais les enfants de cette mère sont vivants ; dans ce genre de situations, d'autres encourageraient plutôt les parents à « se battre » et même « jusqu'au bout » ? Bienvenu au pays où Ubu est roi. D'ici quelques années, si ce « traitement » persiste, cette mère pourrait effectivement être mûre pour l'asile. Quelle importance, nous dira-t-on, car ses enfants auront pleinement « profité » de l'aide de la Dass ?
Juillet 2005, un enfant de 15 ans et demi, 30kg seulement...
ou tel que « sauvé » par l'OSE France, Nanterre et Versailles
S'il y avait eu des vagues en 2004 ou en 2005, il y aurait déjà eu un très bon scandale, de ceux dont nos élus ne veulent pas, Philippe Bas pourrait confirmer. Mais des professionnels de la Dass et des magistrats ont alors pu estimer que cela ne suffirait pas... à moins qu'ils aient supposé qu'il était alors préférable de tout balayer alors sous le tapis ? Depuis ce temps, la bosse sous ce tapis est devenue très épaisse ; ça jure, sur fonds de nombreux naufrages et fiascos judiciaires. A cette période là, 2005, une affaire glauque à Drancy avait déjà beaucoup émue. Drancy, Outreau puis Anger avaient même impulsé des réformes, un « appel des 100 », des voeux pieux, un travail balayé plus tard par l'UMP.
La Moldavie française,
un pays où les pourris et les filous sont rois
Je crois qu'il n'est plus la peine que j'en ajoute. Maintenant ce serait très certainement à d'autres d'assumer, d'oser ou de se risquer un jour à répliquer, par exemple, ceux qui ont toujours su faire montre de tant d'assurance, à huis-clos, ou lorsqu'ils rédigeaient puis expédiaient un rapport, une note ou une correspondance au juge pour enfant ou à la cour d'appel ? Qu'en dira Michèle Aliot-Marie ou MAM, Garde des vélodromes, des sceaux, Ministre de sa justice, de libertés ou quelque chose de cette nature ? En toute logique, elle soutiendra les juges et son ministère public, plusieurs substituts, procureurs et procureurs généraux ; je pense qu'elle sera très rapidement en difficulté, ce sera drôle. Si MAM ne savait plus quoi dire, elle pourrait solliciter Rachida Dati ainsi que Pascal Clément, Philippe Bas, Jean-Marie Bockel et Nadine Morano ; ses discours n'en seront que plus hilarants et obscènes. Que lâcheront encore les résidents du château ? Ils feront sûrement encore le bonheur des humoristes de tous bords. Roger Rajnzylberg, Directeur Général de l'OSE France, reprendra-t-il que les comptes de l'OSE France sont « certifiés par deux commissaire aux comptes » ? Jean-François Guthmann, Président de l'OSE France, va-t-il très cordialement m'inviter à porter plainte ? Il suivra alors une très franche rigolade, surtout si l'OSE France ajoute encore une fois que ses comptes sont « régulièrement déposés en préfecture en respect des dispositions légales ». J'attends aussi d'entendre le Président de l'ARSEA Alsace ou nos médias, journalistes, élus et professionnels de sa justice nous parler à nouveau de « logique citoyenne » ainsi que de « respect », surtout de « respect des autres », nous ne rirons que plus. A Gouvieux, les gaulois défendaient la famille d'accueil. Que fera Alfred Slovencik, maire d'Uhrwiller, prendra-t-il la défense du pasteur du village ? Entendrons nous prêcher Madame Clementz, soutenue par sa soeur, corbeau ou tata de la Dass, et son mari, médecin généraliste ? Que feront l'Eglise, les rabins et le CRIF, vont-ils défendre l'OSE France, l'ASREA Alsace et l'ASE du 9-2 ? Je pense qu'ils devront très vite défendre aussi l'association SOS Villages d'Enfants et leur ambassadrice ou marraine, Laurence Ferrari. A l'Unicef et à la mairie de Paris, ils devraient râler aussi, je pourrais leurs avoir gâché une très grande fête, en novembre dernier, celle des 20 ans de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant. A toutes ces railleries et complaintes devraient aussi s'ajouter celles des syndicats de professionnels de la justice, de la police, du Ministre de l'Intérieur, des syndicats de « psychologues », de victimes, de travailleuses familiales et de gorets du social également. De nombreuses voix pourraient s'élever ou rester encorde absentes du champ médiatique, nos polémiciens et journalistes ou scribouillards seront susceptibles d'avoir encore du pain sur la planche. Puis suivront ensuite les conclusions des Etats généraux de l'enfance, cette année-ci, patronnés par notre chantre en personne ? Pauv' pays, où les chats américains sont certainement mieux lotis.
Eric Besson : "Je n'ai pas fait le jeu du Front national"
LE MONDE | 06.03.10 | 12h54, extrait
Après avoir lancé le débat controversé sur l'identité nationale, Eric Besson s'est fait plus discret. Le ministre de l'immigration, de l'intégration et de l'identité serait-il en disgrâce, obligé de se brider ? Il nie et repart à l'offensive : "C'est le tabou et non le débat qui entretient les mauvais instincts", assure-t-il en annonçant la tenue d'un colloque le 8 avril.
Mis à jour 07-03-2010 13:46, Metro France, extraits
Xavier Bertrand attaque le bilan "nul" du PS à la tête des régions
A une semaine du premier tour des élections régionales, le secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand est monté avec force au créneau dans une interview parue ce dimanche 7 mars dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France". Interrogé sur le bilan des socialistes à la tête de la quasi-totalité des régions depuis cinq ans, le député de l'Aisne ne le qualifie pas seulement de mauvais, mais de franchement "nul", parce que selon lui, "il n'y a rien dans ce bilan". [...] D'après lui, depuis 2007 le PS s'inscrit avant tout dans "une logique d'antisarkozysme", ce qui "ne fait pas un projet".
Avec des tribunaux, une justice, des élus et des professionnels aussi couards ou pourris que ceux que j'ai fréquentés au cours de ces dernières années, le bilan de l'UMP ne peut être aujourd'hui que supérieur à celui des « anti-sakozystes » ? Je me demande si des magistrats professionnels n'auraient pas du me lire un peu mieux. Depuis janvier 2009, ils auraient pourtant pu saisir de très nombreuses opportunités. Où avaient-ils encore la tête ? A l'époque, j'étais très clair dans mon blog alors qu'au même moment, j'écrivais encore une fois au Garde des sceaux : « Contrairement à ce que le Docteur Magalie Bodon-Bruzel supposait dans un rapport très contestable versé au dossier de Justine en 2006, j’ai conscience des troubles que je crée autour de moi. J’ai également bonne conscience des troubles que d’autres créent et entretiennent autour de moi et de mes enfants. Cet expert missionné par le juge pour enfant de Nanterre aurait du m’entendre ou, à défaut, deviner que j’allais un jour répondre à la hussarde. » Juste après, Versailles renvoyait.
« C'est quoi ce blog, c'est à qui ? » C'est souvent très bien précisé, par exemple dans ce fichier ou ce billet. « C'est quoi ce titre et la Proküratura ? » C'est une invitation au voyage, pas en Russie, mais en Moldavie française.
« Russes, encore un effort », Courrier International du 4 au 10 mars 2010
« Peut-être qu'on s'est trompé », mais dans ce cas, « qu'ils fassent valoir leurs droits devant les tribunaux », a-t-il ajouté. « Je préfère qu'on ait le risque d'un contentieux devant un tribunal parce qu'on aura été trop sévère pour une habilitation plutôt qu'on se retrouve avec un drame par ce qu'on n'aura pas été assez sévère. »
Sarkozy justifie le retrait des badges
Le Figaro avec AP, le 21 octobre 2006, voir « Peut-être qu'on s'est trompé », a dit le ministre
La famille ? Un business !
Je trouve toujours de ces perles chez mon libraire favori. Hier matin, j'ai mis la main sur Culture Droit n° 23, de décembre 2009, spécial « affaires » ou « marché » de la famille. Mon libraire s'était-il aperçu que je n'avais pas remarqué cette couverture ? Nous sommes en février, ce numéro ne devait plus être en rayons. L'éditorial est succulent : « Las, impactés, les juristes de France, les avocats, les notaires, les huissiers, les hommes du droit et du chiffre, tous ont besoin d'être consolés [quand ils regardent, impuissants, leur périmètre d'activité s'effriter]. » Je les avais déjà beaucoup taquiné par le passé, lorsque le Figaro publiait un premier pamphlet de Laurence de Charrette, des prémisses seulement de critiques qui allaient ébranler ces milieux. Les lire pouvait émouvoir ; ah, cette commission, puis ce rapport Darrois... j'ai évoqué le sujet dans mes conclusions déposées en décembre dernier, à la chambre des créatures inférieures : « Au cours de cet été, M. KANT a une fois encore `' détourné " de nombreux lecteurs du blog de Maître Eolas. »
D'autres souhaiteraient faire taire Stéphane Guillon ? J'ai commencé à lire son interview, il a pu me plagier. En décembre dernier, je déposais à peu près la même chose, j'abrège, les plus curieux rechercheront dans le PDF : « Aujourd’hui, à la fin 2009, M. KANT n’a pas connaissance d'un quelconque différend avéré ni de la moindre action concrète, en justice, à son encontre, pour ses discours publics ou des écrits dans son blog. » Guillon a même osé taquiner ses chefs ? Je taquine bien des juges, depuis plusieurs années déjà, ca peut impressionner, mais ça ne mord pas, certains paraissent parfois se vexer ou régler leurs comptes en chambre du conseil, où ils trichent souvent, très maladroitement, c'est tout. Guillon reste sur scène, sur le net et à la radio, je n'ai pas « supprimé » mon blog et cette mère non plus.
J'ai déjà feuilleté un peu Culture Droit. J'ai le sentiment qu'hormis les mineurs étrangers, il n'y a que peu de place pour l'enfance ; serait-ce le pré carré des travailleurs sociaux ? « 2010, une année pour rassurer ? » Je vais prendre le temps de bien lire d'abord tout ce que j'ai ramassé ce matin, dont le dernier exemplaire du Nouveau Détective, puis on verra.
Histoire
La mère patrie
Quand l'Etat pensait prendre en charge les « enfants mal nés ».
Libération du 18 mai 2006
1849 - L'enjeu était complexe : il fallait d'abord couper tous les liens avec une famille biologique jugée indigne, éduquer et moraliser les pupilles par l'école, puis les régénérer par le travail agricole, érigé en valeur suprême. Le placement rural, dans des « familles nourricières », constituait donc la clé de voûte du dispositif.
Selon Paul Vasseur, parmi mes références, « le véritable tournant de la question sociale se situe en 1840 : `' la misère cesse d'être un fait marginal ; elle est au coeur des choses. Elle cesse d'être inoffensive (...) elle devient importante, encombrante et dangereuse ". » Laurent Mucchielli nous renseigne aussi beaucoup avec son ouvrage, Histoire de la criminologie française. C'est à partir de cette période déjà lointaine que des parents - plus particulièrement des pères - pouvaient être déclarés indignes, déchus de leurs droits sur leurs enfants et être stigmatisés. A l'époque et alors que la France abolissait l'esclavage, les enfants les plus vigoureux pouvaient partir aux champs ou même en colonie... Culture Droit de décembre dernier revient à sa manière sur tout ce passé historique, du « modèle » napoléonien aux réformes « républicaines ». Lorsque j'ai rencontré le Docteur Magalie Bodon-Bruzel, en décembre 2005, je lui avais un peu parlé de ces usages et courants de pensées archaïques ainsi que des procédés et pratiques actuelles des professionnel de l'OSE France. Il semblerait qu'elle ne m'a pas cru, mais ce docteur a bien mentionné quelques uns de mes arguments dans un rapport « psychiatrique », versé au dossier « d'assistance éducative » de ma fille Justine. J'ai bien essayé d'obtenir depuis une nouvelle ou contre-expertise « psychiatrique », ce que la chambre des créatures me refusait encore, mi 2009. Je n'ai pu que rire en lisant une brochure publicitaire, Osmose, de l'OSE France, distribuée en novembre dernier.
J'ai moins étudié les « pros » de l'ARSEA, des gorets du social, ils ne l'ont pas contesté. Je n'ai eu que trop peu de relations avec l'ARSEA, mais leurs pratiques et coutumes, notamment « judiciaires », valent bien celles des professionnels de l'OSE France. L'ARSEA semble avoir beaucoup travaillé pour la chancellerie, sous Dati, « l'ambitieuse », elle-même souvent passionnée par certaines violences faites aux femmes ou à des enfants. En marge de leur leurs activités tournées « vers les populations juives défavorisées », l'OSE France travaille plutôt à l'élaboration d'un « patrimoine » et à l'élaboration de « la mémoire » française, à la propagation de ce qu'on ne doit pas oublier et, en aucun cas, nier : la Shoah. Ca peut laisser pantois.
Je me demande si certains juges ou des hauts magistrats ne regrettent pas déjà d'avoir, comme d'autres, suivi des oies, des psys, des travailleurs sociaux, le pasteur d'Uhrwiller et sa soeur, le corbeau de cette histoire, une tata de la Dass.
Extrait de Osmose, septembre-octobre 2009
Le Canard du jour est encore une fois amusant. Un juge a jugé son copain juge et ce dernier aurait maintenant enfin remporté un procès contre un citoyen lambda, après 13 longues années de querelles en justice ? Oh, les pauvres juges, victimes d'un lambda quérulent... Siné nous apprend que Haïti continue encore à prier. Pourtant, le chat va bien.
VSD, Culture Droit, etc...
Une petite distraction, au « Hamasland »
En fin de matinée, ce vendredi, j'ouvrais l'eParisien puis je percevais l'ire de « quelques associations juives ». Quelle chance, car sans ce message fort, je n'apprenais pas que ce soir, je pouvais me distraire. On ne peut que parler d'une « distraction », il ne s'agissait que de la mise en scène d'une « nouvelle », « Terre promise », puis d'un court débat avec des acteurs. C'est d'un tout autre esprit que des conférences parfois animées par des scientifiques, des juristes et des historiens, parfois suivies ou entrecoupées de témoignages individuels, parfois de cacophonies de témoignages aussi.
Quelques mots sont très durs, dès le début de la pièce. Un peu plus tard, lorsque les mères se retrouvaient, je ne me questionnais pas moins. Le fils a reproché à ses parents naturels d'être partis et de ne jamais s'être battus pour le retrouver ? Je n'ai pas trop pensé à des « terroristes », ce que pourrait supposer Albert Miara. J'avais souvent la si douloureuse affaire Finaly à l'esprit ainsi que certains de mes propres « dossiers ». Albert Miara pourrait éventuellement en discuter un jour avec la Direction de l'Oeuvre de Secours aux Enfants France, elle en sait quelque chose.
Je rassure ceux qui craignaient une « importation » du conflit israélo-palestinien en France, ce matin, le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) s'affolait, d'inquiétude. Les abords et l'espace Jean Vilar étaient plutôt paisibles et les gens que j'ai rencontré, là bas, m'ont semblé être de natures assez pacifiques. S'il y avait des « terroristes » sur place, ils étaient très bien cachés ou vraiment discrets. En tous cas, j'ai survécu.
Même la municipalité d'Arcueil ne m'a pas parue si radicale ou extrémiste que cela, je le relevais rapidement dans leur mensuel de février, « Arcueil, notre cité » n° 204. On le lit en page 5, sur la feuille du carnet de routes du maire, conseiller général : « La réponse au drame n'est pas dans la surenchère [...] mais dans l'éducation ». J'ai le très net sentiment que leur maire pouvait répondre à Amara ; la cité d'Arcueil, abonnée à ses feuilles, me comprendra très bien. J'y passe souvent pour me rendre à Paris, par le RER. Il m'arrive aussi d'y faire parfois des photos, comme celle-ci.
Comme lors de toutes mes sorties, j'ai assez longuement discuté avec des personnes présentes sur place.
Un jour, j'irais voir aussi Vers toi, Terre promise, tragédie dentaire.
Théâtre
Vers toi Terre promise, tragédie dentaire, au Théâtre du Rond-Point
L'Express, publié le 09/04/2009 09:00, extrait
Imaginez-vous sur le fauteuil du dentiste. Imaginez la roulette atteignant le nerf et votre cri de douleur qui se double d'un éclat de rire noir. Et ce rire vous fait plus mal encore, car il vous a été arraché à votre coeur défendant. Qui oserait s'amuser, en effet, au récit de la souffrance, de la révolte et des nuits blanches de ces parents dont l'une des filles est morte en déportation tandis que l'autre, cachée dans un couvent, refuse de les revoir ?
Terres promises, un père et deux mères, face à « l'Histoire »
La vie, après la Shoah
Cet après midi, au moment de sortir, ma compagne ne savait pas où je me rendais. Elle constatait que j'étais assez stressé par l'idée d'arriver en retard. Elle me déposait dans Paris et je pouvais donc arriver beaucoup trop tard pour être admis dans la salle... Elle insistait, voulant savoir. Je lui ai répondu : « j'ai cours, vivre après la Shoah, au mémorial. » Se tournant vers moi, subitement illuminée par un large sourire, elle poursuivait : « et tu rentres à quelle heure ? » Percevant alors très bien ses arrières pensées, j'ajoutais : « ne t'inquiètes pas, la garde à vue n'est pas prévue, tu vois bien que j'y vais avec mon PC, je serais très sage. » Là bas, l'auditorium m'a encore paru comble, je ne stressais pas sans raisons, il fallait arriver avant l'heure pour y accéder. Je souhaitais assister à cette rencontre pour glisser une carte de visite à Madame Catherine Vieu-Charrier, l'actuelle adjointe au Maire de Paris, chargée de la Mémoire et du monde Combattant.
Une assemblée, des témoins, un médiateur et Madame Catherine Vieu-Charrier
J'ai d'abord et bien évidement sagement écouté les discours et les débats... mais surtout le médiateur qui a mobilisé une bonne partie du temps de parole. La conférence faisait suite à une récente projection d'un film de Francis Gillery, La vie après la shoah, promu maintenant, dans le cadre de la commémoration de la « libération » du camp d'Auschwitz, il y a 65 ans. Ce projet souhaitait illustrer la diversité des difficultés rencontrés par les ex-prisonniers ou déportés, après la fermeture puis l'évacuation des camps de concentration nazi. Il s'agirait d'une trame validée par des historiens et entrecoupée par des témoignages ; je n'ai pas vu ce film, mais en sortant, des DVD ont été distribués.
Je n'ai toujours pas regardé Nuit et brouillard, réalisé par Alain Resnais ; je crois que c'est ce documentaire qui avait suscité une première et réelle prise de conscience en France, après ce qu'on appelait alors l'holocauste. Avant cela, les français semblait plutôt être préoccupés par leurs soucis personnels, d'après guerre, ce qui a été rappelé ce jour.
Au cours des débats de l'après-midi, le médiateur a longuement critiqué et contesté le choix d'une scène, dans ce nouveau film. J'en verrais peut-être, assez identiques, dans Nuit et brouillard. Je pense que ce sont précisément ces images là qui ont pu embrouiller l'Europe, voire aussi le Monde : « non, c'est irréel » ou sa variante « non, tu ne peux pas avoir subit cela, tu est là, et tu m'en parles ». A suivi Shoah, le film de Claude Lanzmann. Plus tard, le réalisateur répondait au médiateur. Par le passé, dans les années qui ont suivies la guerre, le monde n'a pas immédiatement réalisé ce qui s'était produit, pour une partie de la population, celle des déportés, notamment juifs. Depuis, je crois que pas grand monde ne sait ce qui a pu se tramer encore, massivement, pour tout ceux qui ont été extraits vivants des camps.
Ce nouveau film ou documentaire, produit 65 ans après ces « libérations », pourrait contribuer à faire voler en éclat certains mythes ou stéréotypes, à lever le voile de divers silences. L'euthanasie douce ou les années noires des malades mentaux français, c'est documenté. Le cas particulier des sourds, ces témoins silencieux, est également documenté. Haïti, c'est déjà documenté... Aujourd'hui, certains ont donc encore pu « témoigner » ; d'ici quelques temps, il n'aurait plus été possible de réaliser un tel film, La vie après la Shoah. Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Parce qu'il ne faut pas remuer la merde ? Je partage assez la perception d'un colonel.
L'un des témoins ayant apporté sa contribution a contesté sa mise en scène, s'interrogeant, parce que, dans ce film, il est présenté en tant que « ancien déporté, exerçant aujourd'hui telle profession ». Le médiateur a bien dit aujourd'hui qu'il n'est pas question de réduire « l'identité » de ces gens à leur ancien ou ex statut de « déporté ». C'est un sujet qui suscite manifestement la critique, voire des contestations. Faudrait-il en retenir que tout ex-déporté pouvait alors malgré tout espérer exercer une profession ? Ces cas seraient rares. L'un des frères Finaly est bien « chirurgien » mais l'autre n'est « que » « entrepreneur » ou « chef d'entreprise », peut être un statut social plus commun.
Un autre témoin de ce film ou documentaire nous a exposé la situation après guerre d'ados ou de jeunes majeures qui ont été déportés, puis extraits de ces « enfers ». Il semblerait qu'ils ont été parqués comme des boeuf, après leur « libération ». Il nous expliquait que tous ceux qui avaient alors de 18 à 23 ou 24 ans n'avaient aucune issue. Ils étaient majeurs, isolés, trop âgés pour être soutenus, et pas assez « adultes » disait-il, pas assez murs ou autonomes pour s'extraire ensuite de cette période qui a suivie leur internement dans des camps. J'ai pensé à ces ados dont personne ne semble vouloir, de nos jours. De nombreuses difficultés qui se sont posées entre 1945 et 1948 auraient été tues... Beaucoup, jeunes comme adultes, se seraient plus tard suicidés. Divers intellectuels se sont depuis aussi suicidés ; certains d'entre eux ont été classés parmi les nihilistes, des courants de pensées « désespérants », inaudibles ou souvent très vivement critiqués. A mon avis, tous ces sujets ont plutôt fait l'objet de débats entre initiés ou personnes plus directement concernées ou sensibilisées. Assez globalement, hormis, peut-être, les enfants, tous ces individus libérés des camps semblent avoir été refoulés par l'Europe et refusés aussi par les Etats Unis. Ce nouveau film pourrait illustrer ces phénomènes « humains » ou « sociaux ». « Comment cela, ils sont revenus ? », selon d'autres témoignages et historiens, notamment dans des pays de l'est. Ce nouveau film pourrait choquer.
Un témoin a un moment évoqué Hiroshima, redoutant que la troisième guerre serait nucléaire. Lorsqu'on nous a récemment annoncé la catastrophe de Haïti, on nous a rapidement parlé de 200 000 morts, on ne pouvait penser qu'à Hiroshima ? Le bilan actuel, là bas, s'élèverait maintenant à 170 000 cadavres évacués auxquels s'ajoutent de nombreux amputés et des orphelins, en veux tu, en voilà. Le magazine Choc actuellement en kiosques est assez « explicite ».
Au cours de ces débats du jour, j'ai souvent songé aux travaux de Katy Hazan, historienne qui travaille avec l'OSE France, surtout lorsque « le jeune majeur » parlait. J'avais pu communiquer avec Katy Hazan, début 2006, il me semble. En mai 2006, lors d'une manifestation sur le parvis des droits de l'Homme, je rencontrais « les X en colère », des adultes nés sous X, ainsi qu'avec des parents qui ont un jour eu à se battre contre l'Administration française pour retrouver puis renouer avec leurs enfants. Katy Hazan contestait alors ma propre critique, acide et acerbe. Elle soutenait que la réalité n'était pas aussi négative que je pouvais le penser. De mon ancien blog, publié fin mai 2006, aujourd'hui aspiré par archives.org :
L'enfance dans l'ombre du génocide
LE MONDE DES LIVRES | 12.09.05
Katy Hazan décrit ces maisons comme de véritables communautés éducatives animées par de fortes personnalités qui ont la ferme volonté d'appliquer des méthodes d'éducation nouvelles. Les programmes conçus sont originaux, mêlant activités libres à la Freinet et dirigisme à la Makarenko. Mais il y a loin de la théorie aux actes : beaucoup d'anciens pensionnaires conservent le souvenir d'une réalité routinière peu épanouissante.
Suite à ces échanges avec l'historienne et à la suite de mes écrits, dans mon blog, j'ajoutais ceci : « Katy Hazan, historienne, renvoit à la lecture de son livre, "les maisons de l'espoir", voir l'article du Monde des livres pour plus de détails. Selon elle, le bilan de cette période et l'enseignement à en tirer ne serait pas à ce point négatif, ce dont je ne doute pas. Mais sur le terrain, pour ceux qui prétendent s'inspirer aujourd'hui de tels travaux et références, les résultats sont donc parfois mitigés. » Mon discours était toujours assez clair, même dès la refonte de mon blog, début 2008.
Depuis, j'ai pu visiter l'exposition « A la vie ! », de l'OSE France. Le contraste auquel je pensais est bien perceptible, sur divers panneaux de cette exposition. Des situations puis des existences ou trajets individuels pouvait être très durs, pour diverses raisons, surtout pour des enfants. Pour l'avoir vu, le travail des historiens de l'OSE me parait cependant assez fidèle. Des carrières telles que celles de Elie Wiesel ou même de l'un des frères Finaly semblent être assez rares. Les laissés pour comptes, les incasables et les irrécupérables - des mots qui ne choqueront pas certains travailleurs sociaux, ni certains moralistes ou criminologues - étaient à mon avis bien plus nombreux.
La communauté juive, en Europe, délaissée après 45, aurait alors tout de même été efficacement assistée, par l'OSE France, financièrement soutenue par le JOINT. Je pense que des ouvrages d'historiens déjà parus confirmeront. Cela a été dit ce jour, au cours de débats parfois chaotiques, au cours desquels se sont finalement entremêlés des témoignages ou récits des plus divers. La nécessité, pour certains, de parler était très perceptible. Une enseignante s'est un moment levée, une enfant de déporté(s) qui n'a pas eu à subir ces « enfers », un mot qui a été employé ce jour. Elle nous a décrit son propre « combat » pour la mémoire, au sein d'établissements scolaires. A ce moment précis, j'ai pensé à Chantal Clos qui s'était levée, le 18 novembre dernier, au cours d'un colloque de l'Unicef, à Sciences Po... Lors de ce colloque, Madame Myriam El Khomri, adjointe au maire de Paris chargée de la Protection de l'Enfance, nous avait parlé « d'humain » et de « dentelle », de projets « sur mesure », en faveur de mineurs. Depuis, je pense que cette adjointe ainsi que d'autres m'ont très bien entendu, probablement même lu. Chantal Clos, on l'oublie, elle a depuis fait une très grosse « bêtise » ; les initiés savent, à mon avis ils sont nombreux et parmi eux, certains pourraient être honteux.
A l'issue de ces débats, je suis descendu vers les intervenants du jour, pour m'approcher d'abord de Madame Catherine Vieu-Charier. Je lui ai demandé si elle connaissait Madame El Khomri, ainsi que l'OSE France. Elle m'a répondu par l'affirmative et des propos élogieux. J'ai poursuivi en lui annonçant que le 20 novembre dernier, j'avais commis une offense au chef de l'Etat mais que le parquet de Paris n'avais pas osé donner suite. Tout en lui remettant ma carte de visite, je lui ai dit que je n'hésite pas à traiter Richard Josefsberg, de l'OSE France, de révisionniste. Je l'ai souvent écrit par le passé, en décrivant ses travaux ; il n'a jamais contesté. Mais Madame Catherine Vieu-Charier s'est alors mise à rire aux éclats, se tournant de suite vers un autre interlocuteur et glissant ma carte de visite dans sa poche. Qu'elle la conserve bien, je n'en demande pas plus. Je la rencontrerais encore, je vais un peu suivre son agenda.
Je suis ensuite allé discuter avec le réalisateur du film. Je pense qu'il m'a très bien entendu.
Dans un billet de ce 23 janvier, après avoir cité un extrait de l'arrêt rendu ce 15, j'écrivais que ma fille pouvait en effet s'exprimer comme une « poissonnière ». La chambre des créatures inférieures motivait récemment en ces termes : « Considérant que Justine a souhaité être entendu par la Cour ; qu'elle est âgée de 16 ans et parfaitement capable non seulement de discernement mais également d'exposer et d'expliquer son point de vue concernant sa situation et de dire à son père, ainsi qu'elle a pu le faire à l'audience, la souffrance que lui cause l'attitude de celui-ci à son égard ; », notant dans ce même arrêt que, cet été, les relations entre ma fille et moi ont parfois été plus « conflictuelles ».
Cet été, Justine m'avait encore lancé : « tu ne peux pas savoir ce que c'est, d'être placée chez des juifs ». Pour des juges, des pros de la Dass et le pasteur d'Uhrwiller, ça démontrera encore que toute relation père-enfant est toujours impossible. La vie après la Shoah, chez soi, c'est fabuleux. Depuis, j'ai une fois encore fait savoir à Justine que des juges qui trichent gagnent à tous les coups. L'OSE France ne m'a jamais répondu, je leurs posais une question très simple, par mail, en septembre dernier. Au cours de ces débats du jour, il a été question de « vengeance », un sujet à polémique qui n'aurait pas été traitée par ce nouveau film ou documentaire. Je n'en écris pas plus pour le moment, je pense que c'est un sujet tabou, des plus sensibles. J'en parlerais, si je rencontrais un jour, à nouveau, des juges de la cour d'appel de Versailles. Plutôt que de juges, s'agissant de ceux qui m'ont reçu en chambre du conseil, entendu et lu, je parle depuis quelques temps de pitres et même de souteneurs tout en affublant aussi le mot magistrature d'un tréma, ce qui peut heurter certaines sensibilités. Mais la chancellerie que j'ai très souvent informée ne réagit pas. Par le passé, fin mai 2008, le pasteur d'Uhrwiller envisageait de faire « supprimer » mon blog mais à l'époque, le substitut Laeticia Felici m'avait dit que « pour le moment, la diffamation, ça va ».
Dans les prochains jours, je regarderais La vie après la Shoah, ainsi que Nuit et brouillard. Cet après-midi, j'ai appris que demain, un fils de déporté, aujourd'hui talentueux juriste, devrait former ou éduquer de hauts magistrats français... Il s'agit peut-être de la concrétisation de ce que MAM nous annonçait il y a peu : Paris, bientôt hyper compétant.
Aujourd'hui, j'ai encore appris qu'une circulaire de l'EN ne serait pas convenablement appliquée, les enseignants n'en feraient pas déjà assez ? Ca m'a un peu étonné car lorsque Justine était encore « placée » à l'OSE France, leur établissement de Taverny, elle avait fait un voyage avec sa classe, pour rencontrer des survivants ou témoins. Je crois me souvenir qu'elle allait à Chambon sur Lignon, en Haute Loire. Richard Josefsberg pourra sûrement confirmer, tout en refusant de me les présenter, il avait signé tous les documents d'inscription de ma fille. A l'époque, j'avais du me rapprocher de l'école pour obtenir plus d'informations ; cette Dass a ensuite fini par me qualifier « d'intrusif », puis de « parano », puis par rompre durablement la relation père-enfant. Ce 21 janvier 2010, je publiais Sieg Versailles !
Ca pourrait plaire à Richard Josefsberg, « Ship to freedom ! »
« Ni père, ni mère », et un tampon du château de Vaucelles
De l'identité Nationale à l'identité Juive, que de débats
Hier, sur France Info, j'entendais le discours de ce qui pouvait être une association juive. Je n'ai pas retenu de nom et je n'ai pas eu le temps d'enregistrer ce son que je ne retrouve pas sur Internet. J'apprenais que des juifs dont les noms ont été francisés souhaiteraient maintenant obtenir plus facilement des modifications des fichiers de l'état civil, pour renouer avec leurs origines, renforcer leur identité. Un nom et l'état civil sont-ils porteurs de sens ? En surfant ici et là, on apprend qu'à travers l'histoire, nos assemblées ont souvent débattu de ces sujets, la francisation des noms des populations immigrées ou des noms étrangers, de noms difficiles à prononcer, des prénoms ridicules également. J'ai repéré des ouvrages intéressants, plutôt vieux, onéreux ou indisponibles à la vente. Le sujet est bel et bien d'actualité ; hier, en rubrique Société, Libé publiait « Avec cette francisation, je me suis senti étranger ».
Mais selon l'arrêt rendu ce 15 courant, par Versailles, ces débats n'ont probablement pas lieu d'être. Tout ce que j'ai entendu ou lu dans l'actu depuis hier, lu aujourd'hui sur la toile, par exemple, dans quelques extraits de livres d'historiens ou de droit, ce n'est pas vraiment avéré, c'est tout juste virtuel, irréel, au moins numérique ou simplement diffusé par Radio France. Même ce qui est écrit noir sur blanc, sur du papier, dans mes piles et mes étagères, c'est irréel, à oublier, voire même à faire brûler, à détruire. Qui accorde encore une quelconque importance à l'état civil et à ces noms, à l'histoire des contraintes exercées sur ces derniers, voire même sur certains sujets, du fait de leurs noms ? Certainement pas les magistrats professionnels du coin.
Depuis que j'ai lu cet ultime arrêt rendu ce 15 courant, par Versailles, j'ai eu de nombreux doutes. Sur Wikipédia, j'ai bien relu que Klaus, Papon et Touvier ont été condamnés. J'ai aussi lu encore que « Jacques Chirac a consacré plusieurs de ses discours au sort des Juifs de France » ; on peut le lire ici. Un peu plus loin, on peut même lire que « Le Président de la République française, Jacques Chirac, a inauguré le 25.1.2005 à Paris le `' Mémorial de la Shoah " ». Est-ce bien sérieux ? Certaines de ces condamnations sont anciennes, mais quelques discours de Jacques Chirac seraient plus récents. Il n'est pas sûr qu'ils aient porté partout. J'ai maintenant assez hâte de feuilleter Parquet et politique pénale depuis le XIXe siècle, ce collectif paru en 2002. Quelques pages pourraient être consacrées à des périodes plus glauques du passé, comme « Vichy », « l'Algérie », etc.
Par le passé, j'ai manifesté devant le mémorial de la Shoah. Je ne suis pas passé inaperçu, j'avais un écriteau autours du cou : « j'ai couché avec une allemande ». Il y a eu des discussions et la police est évidemment passée, ce jour là. Une dame m'a houspillé, j'apprenais que c'était kipour. Mais je suis resté digne, avec mon écriteau autour du cou. Après m'avoir écouté puis après ses propres vérifications, la police ne m'a pas embarqué. Depuis, je suis parfois retourné au mémorial ; j'ai prévu de m'y rendre encore, dans 10 jours.
Parfois, tout vacille lorsqu'on a été confronté à des discours ou à des écrits de révisionnistes, de négationnistes. Je doutais et devais faire une vérification dans le livret de famille de ma fille Justine ; elle en voulait une photocopie, ce dont la Dass et la chambre des créatures inférieures de Versailles ont fait tout un fromage. J'ai bel et bien couché avec une allemande, quand à cette gosse, pour certains, ce sera bien une enfant de boches. Elle est sûrement très à l'aise, à Hagenau plutôt qu'à Bagneux, de l'autre côté des Vosges, parmi ou moins loin d'autres schleus.
Peut-on rire, en France, après la Shoah ? Oui, beaucoup même, par exemple en lisant le Charlie hebdo qui paraissait hier. La chancellerie ne m'a pas répondu ; en septembre dernier, j'écrivais à la Garde des vélodromes. Souvent, je me demande pourquoi des français auraient souhaité priver Papon de sa médaille ; n'a-t-il pas été enterré de l'autre côté du périph ? Ces jours-ci, Monseigneur Williamson fait encore un carton, sur dailymotion ; est-ce bien réel ? Sur le Parisien, je lis : « En réponse à une question, il dit qu'il est poursuivi en Allemagne pour avoir "mis en question les six millions de juifs gazés. Et le mettre en question, c'est un crime, selon le droit allemand, donc ils m'attaquent". » Mais en France, aujourd'hui, on rigole plus volontiers d'autres sujets, tel que celui de la burqa ou du voile.
La burqa s'invite aux vœux de Sarkozy
AFP, 21/01/2010 | Mise à jour : 20:10, extrait
Les responsables religieux ont présenté aujourd'hui leurs voeux au président de la République à l'Elysée et parlé du voile intégral, le représentant de l'islam Mohammed Moussaoui redisant son opposition à une loi d'interdiction.
Charlie hebdo du 20/1/2010 et un livret de famille de boche délivré par la ville de Paris
Sieg Versailles !
Je viens de recevoir du courrier. J'apprends que la magistrature du coin reconnait enfin que ma fille cadette est née en 2003, ce qui figure depuis toujours aux fichiers de l'état civil ? Mais ce n'est peut être qu'une coquille dans le dernier arrêt rendu. En effet, selon « l'autorité de choses jugées » par le passé, par Versailles ainsi que par Nanterre, ma cadette devrait être née en 2001... Que de progrès après cet ultime appel. Encore un ou deux passages à Versailles et les juges du coin reconnaitront peut être timidement que la Shoah, ce n'est pas qu'un mythe ?
Dans ce même arrêt on me reproche de ne rien démontrer tout en me déniant encore tout droit et même possibilité de le faire un jour ? Par contre, le pasteur d'Uhrwiller « expose », « dit », « explique » en un très court paragraphe, et la Cour suit... Je ne peux que repenser encore à ces juges qui marchent au pas aux côtés de ces grandes figures d'avant 1905.
Feuilleter La République et l'Eglise (il y a un siècle)
Je crois que la chambre des créatures inférieurs n'a pas compris que je n'attendais plus qu'une choses de sa part, soit qu'elle se ressaisisse, soit qu'elle recrache encore du papier noirci d'encre, ce qu'elle vient à nouveau de faire.
Je constate aussi que le cadre défini par le juge Thierry Baranger a définitivement volé en éclat, fin juillet dernier. Selon lui, ce n'est pas à l'enfant de décider, or il apparaitrait maintenant que l'enfant est à présent ferme : Justine ne veut pas être scolarisée à Paris, elle exige de rester à Hagenau ? Quelle importance après tout, elle est « placée » là bas aux frais de la collectivité... Par ailleurs, les travailleurs sociaux de l'ARSEA ou ces kapos du social ne souhaitant pas travailler avec moi, je pense que plus globalement, la décision confirmée ce 15 courant, par la Cour, restera sûrement inexécutée, comme de précédents jugements ou arrêts rendus par Nanterre et Versailles. Mais conformément aux usages de la Cour, comme depuis plusieurs années déjà, le jugement déféré est confirmé en tous points. Il suffisait à sa Cour de motiver mieux. A la suite, quelques extraits. Mes conclusions déposées en décembre dernier semblent avoir été lues.
Le pasteur d'Uhrwiller n'en peut plus de « ce cirque », que je ferais souffrir à Justine ? Pauv'chérie ; le pasteur devrait lire du Barella, elle s'apercevra qu'hors de sa paroisse et des huis clos, ce même cirque peut faire rire. J'avais très bien expliqué à l'ARSEA que Justine en personne ne souhaitait plus retourner dans les prétoires, que sa présence n'y était plus requise puisqu'elle peut y être représentée par son avocate, susceptible de mieux la conseiller aussi. En décembre dernier, Justine n'y serait-elle plus venue de son plein gré, bien entourée par Mme Romain, son avocate et ce même pasteur ? Ce n'est pas son père qui a trainé Justine à Versailles, ce 11 décembre dernier ; mais elle a pu y être convoquée par la Cour... qui note : « Justine a souhaité être entendue en présence de son père ». Tout ce cirque nous serait-il à tous imposé par l'enfant qui n'en ferait qu'à sa tête ? Ne serait-ce pas précisément ce que le juge Thierry Baranger souhaitait un jour assainir ?
Je pense que d'ici quelques temps, je vais me faire un plaisir de répondre à la Cour, notamment sur des points sensibles et particuliers tel que celui du « prosélytisme religieux abusif ». Ca va beaucoup plaire à Richard Josefsberg, de l'OSE France ; il gémissait déjà mi 2005, c'est un peu suite à cela que le si bon Docteur Magalie Bodon-Bruzel est intervenu dans ce dossier « d'assistance éducative ». Mais je parlerais plutôt de pratiques proprement sectaires. J'ai tout mon temps pour murir une réponse. En effet, en décembre dernier, la Cour me rappelait bien que la quille, soit la majorité de ma fille aînée et la fin de ces mesures « d'assistances éducatives », ce n'est que dans deux ans ; d'ici là, Justine restera donc en Alsace, avec un pasteur et une sociale travailleuse - point. D'autre part, ce n'est qu'en octobre 2012 que l'OSE fêtera son centenaire, ce qui me laisse également assez de temps pour rédiger un petit pamphlet.
Mais pour « bien » répondre déjà au petit paragraphe, plus bas, publié sous la lettre de la MIVILUDES, d'avril 2006, soit à ces pitres en robe noire ainsi qu'au Docteur Magalie Bodon-Bruzel, un bouffon en blouse, et à son prédécesseur, Madame Claire Davidson, je ne vais pas me gêner et publier bientôt l'intégralité d'autres décisions de justice qui ont été rendues par d'autres prétoires que ceux de Nanterre et de Versailles, tel que :
- celle rendue en 2002, par Strasbourg(67), un non-lieu d'un homicide involontaire, suite au décès subit de la mère de Justine, en milieu hospitalier,
- celle rendue en 2005, par Antony(92), par le juge des tutelles, qui confirmait finalement mon statut d'administrateur légal des biens de Justine, quelqu'un souhaitait que je sois déchu,
- celle rendue par Anthony(92), début 2007, qui m'inscrivait sur la liste électorale alors que des représentants de la préfecture et du TGI de Nanterre avaient refusé de le faire,
- celle rendue par le tribunal administratif de Strasbourg, qui a étouffé mon recours contre l'Etat suite au non-lieu rendu en 2002,
- l'arrêt rendu en décembre 2008, par la cour de cassation, déjà publié dans ce blog, qui reste toujours sans le moindre commentaires, comme ces vidéos,
- une correspondance de septembre 2009 qui confirme que je détiens toujours et malgré tout l'autorité parentale sur ma fille Justine,
- le très simple et si sobre rappel à la loi imposé en décembre dernier, par le parquet de Paris, je venais de déployer une banderole dans cette cité, à l'occasion des 20 ans de la CIDE
Notant d'abord que ma soeur aînée est trisomique, le Docteur Magalie Bodon-Bruzel affirmera que rien de tout cela est réel. Madame Claire Davidson poursuivra, dans le prolongement de l'OSE France : « M. KANT est un très vilain procédurier, il est peut être dangereux ». C'est à ce moment là qu'interviendra ponctuellement le juge Thierry Reveneau, soutenant que « les larmes versées à l'audience par l'enfant démontraient... » On s'apercevra peut-être aussi que les paranos, les zinzins ou les oies sont plutôt du côté de ceux qui recherchaient mes comptes au Japon, ceux sur lesquels j'aurai pu verser les fortes sommes perçue suite à mon recours contre l'Etat, après le décès de la maman de Justine... Je percevais 90 euro par mois, l'allocation dont peut bénéficier tout orphelin d'un parent. Depuis plusieurs années, cette allocation est due à Madame et Monsieur Clementz qui n'a à ma connaissance jamais le moindre compte à rendre à personne. Madame et Monsieur Clementz bénéficient aussi des indemnités de tiers « dignes de confiance » et bénéficient aussi comme du soutien de toute une institution. En effet, ils n'ont jamais eu besoin du moindre avocat dans les prétoires du coin.
Je pourrais encore retrouver d'autres jugements ou republier aussi des correspondances qui m'ont été adressées par divers ministères, élus, Conseils généraux, par l'Elysée ainsi que par divers services tel que le SCPC. En regard de tout cela, Madame et Monsieur Clementz, les tiers « dignes de confiance », un statut qu'ils revendiquent et que leurs accorde gracieusement la Cour, ne pourront rien avancer du tout ? Les arrêts de Versailles, les jugements rendus par Anne Valentini, voire même ceux qui ne m'ont jamais été notifiés par Nanterre... Le pasteur d'Uhrwiller pourra aussi « exposer », « dire » et « expliquer », peut être un peu prêcher aussi.
Mais je crois que je publierais d'abord le mémoire du juge Xavier Serrier qui se défendait contre moi, à la fin 2008. Tout le monde pourra alors constater comment ce dernier se sera défendu contre moi, en cassation, me réclamant 2 500 euro qu'il n'a jamais obtenu. Je venais de le pousser de son siège. Quelle offense, un magistrat du siège est réputé inamovible ! Aurais-je vexé la magistrature française pour avoir touché un jour et vraiment l'un des leurs ? Certains « aspects narcissiques » seraient alors à rechercher maintenant ailleurs qu'à Bagneux, dans le 9-2.
De l'arrêt rendu ce 15 janvier 2010,
par la cour d'appel de Versailles
« Bavures »
Ce matin, en raison d'un quelconque mouvement social, je n'ai pas trouvé la presse que j'affectionne. J'ai donc regardé autour de moi, me disant que j'allais bien trouver quelques distractions. Bingo. J'ai pris Management, pour son dossier spécial « emmerdeurs ». Jamais je n'aurai pensé que des pros de la Dass et de sa justice pouvaient faire tant chier, pas si longtemps non plus, bientôt sept très longues années, l'âge de ma cadette.
Ces feuilles dans Management sont vraiment très drôles, dès leur sommaire. « Test : et vous, quel genre de casse-pieds êtes vous ? » Ma compagne m'a donné une réponse, il y longtemps déjà, je crois qu'il est inutile que je me livre à cet exercice : « poil à gratter ». Et c'est bien ce que j'utilise depuis quelques temps, pour un champ, lorsque j'expédie mes (e)messages par l'intermédiaire du portail Internet de l'Elysée, « poil à gratter ». Une fois là bas, le détecteur de virus les fourre probablement direct dans la corbeille. « Ouin Ouin, c'était encore lui ».
« Bavures », avec tout ce qu'on peut apprendre dans nos médias, ce samedi, ma compagne a été effrayée. Elle m'en a voulu, beaucoup. Elle n'a eu qu'un appel, très administratif, cordial et bref : « il est en garde à vue ». Elle ne manque pas d'imagination or on sait que parfois, en garde à vue, on joue à cache cache.
Un « emmerdeur », c'est aussi ce que j'ai ressenti, ce samedi, en présence de la police. On venait de m'interpeller et de me faire remarquer que trois petits cars s'étaient déplacés, rien que pour moi. De gros moyens pour pas grand chose, j'étais tout seul et je rentrais paisiblement chez moi. Tandis que je geignais encore parce qu'ils me confisquaient ma banderole et car je souhaitais la montrer aux juges de Versailles, un quatrième véhicule arrivait pour m'emmener au poste... bref.
Une fois au poste, j'ai même réussi à m'emmerder moi même. En effet, j'avais demandé à voir un médecin. Or tel que tout cela s'est enchainé, la visite du médecin n'a été possible qu'au moment même où débutait mon audition. Elle a donc été abandonnée et on m'a emmené à l'Hôtel Dieu. Sans cette visite chez un médecin, j'aurais pu être libéré beaucoup plus tôt ! Ce n'est ensuite que plus tard que l'audition a enfin pu avoir lieu, non sans débats préalables.
Hier, j'ai lu l'édito du Monde et j'ai pu irriter encore, rien qu'en m'exprimant dans mon blog. Aujourd'hui, je découvre l'édito du Monde de demain et je crois que mon témoignage doit encore agacer. « Poil à gratter », le Docteur Bodon-Bruzel l'avait bien relevé : « M. KANT n'a pas conscience des troubles qu'il crée autours de lui », quelque chose de cet ordre.
Hier, je rentrais du Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme, j'étais à la conférence sur le thème de l'antisémitisme à gauche. Aujourd'hui, j'ai entendu Nadine Roudinesco, sur France Info. Il y a longtemps déjà, elle contribuait à l'occasion d'un colloque justice et psychiatrie, une réaction ainsi que diverses intervention m'avaient alors beaucoup amusé. Je crois que j'irrite, depuis très longtemps, le juge Xavier Serrier me l'avait bien fait sentir, le juge Anne Valentini, le pasteur d'Uhrwiller, la cour d'appel de Versailles et les travailleurs sociaux de l'OSE France très souvent aussi.
Je viens aussi de voir la réponse d'Eric Besson à Anyss Arbib, sur rue89 : « dans un Etat de droit, on accuse pas la police, des CRS, sans preuve », « il n'y a ni plainte ni même saisine de l'Inspection générale ». Même s'il y a eu au minimum deux couacs au moins ce samedi, tous deux aux fichiers, c'est fréquent, je ne vois pas de quoi me plaindre ni pour quelle raison je saisirais l'Inspection générale. Tout s'est très bien passé. Un commissariat, un médecin, des témoins aux Halles, 3 mini cars de policiers ou de CRS, le barreau de Paris, un co-gardé à vue (le troisième était bourré) ainsi que les enregistrements des caméras du palais de justice de Paris devraient en attester. Je pense que ma déposition en attesterait aussi, car j'ai même le sentiment d'avoir été entendu. J'attends donc de découvrir ce qu'en fera ou non le parquet de Paris. J'en saurais plus d'ici six mois mais je pense à y écrire très prochainement, histoire de délocaliser.
Je ne vais pas parler de ce qui doit apparaitre sur certains enregistrements de caméras, je crois que j'ai bien assez irrité ainsi, ces 20 et 21 novembre, à l'occasion de cet anniversaire, les 20 ans de la CIDE.
Je me demande cependant si les autorités n'ont pas fait une « bavure » en m'interpellant car en ayant pris cette décision, la République se souviendra longtemps encore de cet anniversaire. Par le passé, alors que je distribuais des tracts et des chewing-gums parfum banane, j'ai été interpellé devant le TGI de Nanterre. On m'avait alors très rapidement relâché, après m'avoir retenu au poste ou j'ai très certainement été soigneusement inscrit sur les registres.
Par le passé encore, alors que je venais aussi de manifester tout seul, devant le mémorial de la Shoah, et qu'on aurait alors souhaité « m'offrir un petit déjeuner », j'avais écrit au Ministre de l'Intérieur, M. Nicolas Sarkozy. Je l'avais alors très chaleureusement remercié pour la contribution de ses services. En effet, la police était alors venue pour me demander des explications et avait bloqué la rue pendant près d'une demie-heure, peut-être plus. A l'époque, tout seul et sans avoir rien déclaré du tout en préfecture, je n'aurai jamais pu en faire autant, en toute légalité ou légitimité.
Ces jours-ci, j'ai lu que Chirac a encore une fois rencontré Poutine. Ca m'a fait sourire.
Ce 24, j'ai également bien lu que la CNDS allait bientôt disparaitre elle aussi, peut être un peu comme le Défenseur des Enfants, au profit du nouveau Défenseur des Droits. La CNDS avait cependant des pouvoirs particuliers, elle pouvait exercer de réels contrôles, produisant plus que de simples rapports et avis pas très contraignants.
« Est-ce que ce monde est sérieux ? ... Je ne vais pas trembler devant »... Un autre son.
Le Monde du 28, ou « Bavures », et Management n° 170, décembre 2009, spécial « emmerdeurs »
La réponse d'Eric Besson à Anyss Arbib
Y aurait-il différentes manières d'interpréter ces mêmes faits ?
Pour ce soir, on nous avait programmé du « ludique ». Demain, la grille pourrait être un peu plus désagréable ? Je préfère pour ma part ce coupon de dimanche et des mots durs : « un zèle effroyable ».
Qu'en pensent-ils à l'OSE France ? Quelques uns de leurs professionnels pourraient peut-être aussi préciser comment ils lisent eux même du David Hume, ce qu'ils pensent de certains Etats de droit et de nécessités.
"Guy Môquet, un amour fusillé" sur France 5
France Info/Culture, par Danièle Ohayon - 18:30, extrait
Un tour d’horizon des programmes de premières partie de soirée et pour commencer, une soirée de fiction sur France 5, c’est une nouveauté ! Et la première est ce soir. Une manière d’appréhender l’histoire ou les faits de société plus ludique qu’un documentaire. Le programme est présenté par Thomas Hugues. France 5 commence avec la fiction de Philippe Bérenger : " Guy Môquet, un amour fusillé", qui avait été diffusée il y a un an par France 2. On se souvient que le jeune militant communiste et 26 de ses compagnons de détention du Camp de Chateaubriand en Loire Atlantique, ont été exécutés le 22 octobre 1941.
De source Yahoo!, au programme de France 3, demain soir, mardi :
22h00– 22h55 : Les rafles d'août 1942 en zone libre
Un crime de l'Etat français
« Les rafles de l'été 1942 menées en zone libre demeurent encore ignorées du grand public » déplore Serge Klarsfeld. Grâce à de nombreux documents d'archive et des témoignages, c'est un regard nouveau que pose Antoine Casubolo sur le rôle de l'Etat et de l'administration française dans la déportation des juifs. La parole est donnée aux derniers survivants de ces rafles. En août 1942, 10 000 juifs, hommes, femmes et enfants, ont été arrêtés dans le Sud de la France sur initiative de l'Etat français. Durant la Seconde Guerre mondiale, la France est le seul pays d'Europe qui a arrêté et déporté une partie de sa population. En 1945, seuls 270 prisonniers avaient survécu. Un documentaire produit avec le soutien de la Fondation pour la mémoire de la Shoah.