Prochaine étape : jouer plus avec les scripts Live Helper, de la Debian
Je viens de relire un peu mieux et plus en détail l'arrêt du 1er avril qui me parvenait finalement par la Poste, ce matin. Même si ce qui a récemment été décidé par Versailles me convient, je peux me faire une raison, assez globalement, les motivations que je peux (re)découvrir depuis ce matin m'irritent, beaucoup même. Je vais prendre le temps de relire encore cet ultime arrêt, et de relire à nouveau quelques décisions rendues depuis début 2009, par le « nouveau » juge pour enfant de Nanterre.
En compulsant cet ensemble ainsi que de précédents arrêts ou jugements rendus par Versailles et sa première présidence, je pense pouvoir formuler à nouveau des critiques assez acerbes, des critiques qui feront à nouveau rire ma fille Justine, je l'avais déjà fait rire entre fin 2008 et la mi-2009. Je vais aussi transmettre ce nouveau package à mon avocat, à la cour de cassation ; il sera susceptible d'être déçu lui aussi, par ce qu'il va lire. Il n'y a rien d'urgent, j'ai quelques deux mois devant moi pour la cassation, faire déclarer un pourvoi, ce que le greffe vient de me rappeller, avec une pièce jointe à cet arrêt.
Il y a peu, j'ai redécouvert des outils permettant de créer aisément des DVD ou des images Linux prêtes à booter, sur la plupart des PC actuels ainsi que dans des PC virtuels tel que Virtual box. Ces systèmes, ces outils et ces émulateurs de PC, des logiciels libres comme le moteur de ce blog, b2evolution, sont aujourd'hui particulièrement flexibles, performants et efficaces. Par le passé, MAME ou Multi Arcade Machine Emulator permettait déjà d'émuler parfaitement des machines et des jeux des années 70 à 80. Aujourd'hui et sur du matériel moderne, nous pouvons toujours jouer au casse brique ainsi qu'à Space Invaders, avec des ROM ou programmes d'alors, il y a 40 ans...
Il y peu encore, au Sénat, j'ai fait sourire une spécialiste en droit à l'oubli sur Internet, quelque chose d'assez nouveau. Je lui ai expliqué comment j'envisageais de contourner efficacement le droit et des demandes émergeantes à travers l'Europe et le monde, des demandes susceptibles de porter bientôt atteinte à la liberté d'expression, des sortes de droits à la censure dans cet univers numérique, virtuel ou irréel diront certains, voire même des droits à des suppressions de données, sur Internet, tout simplement. Nous savons qu'à moins d'une perte ou d'une suppression de données, tout ce qui est actuellement publié sur la toile y figurera pour longtemps encore, « à vie » et probablement d'avantage. Pour s'en convaincre, il suffit de visiter archive.org ainsi que leur « way back machine », une machine parfois lente à répondre, mais à la mémoire d'éléphant.
En attendant de savoir quoi penser vraiment ou quoi faire au juste de ce dernier arrêt rendu par la cour d'appel de Versailles, je vais déjà travailler un peu plus avec les scripts Live Helper de la distribution Debian, une distribution stable, professionnelle. On peut évaluer ces outils de personalisation sur debian.net ou approfondir ces scripts chez soi. Je compte évidemment transférer un Linux, l'essentiel, et l'intégralité de ce blog sur un simple DVD. Ce que j'aurais rassemblé ici, au cours de ces dernières années, devrait ensuite être consultable en l'état, à partir d'un simple DVD ou d'une clef USB. Le contenu de ce blog sera donc consultable un peu comme un ouvrage gravé ou couché sur papier, pendant des décénies et bien plus encore, depuis un quelconque PC actuel ou avec un émulateur, lorsque nous aurons oublié ce que pouvait être un PC.
Fin mai 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier m'intimait d'oublier « mes dossiers », soit des affaires, des naufrages et des fiascos judiciaires qui concernent tous mon aînée. Plus tard, la cour d'appel de Versailles confirmait. Aujourd'hui, j'ai le sentiment que les juges du coin ainsi que d'autres personnes qui se sont opposées à moi au cours des dernières années ne souhaitent absolument plus évoquer tout ce passé et en aucun cas le décès de la mère de Justine, à Hospitalor, à Saint-Avold (57), ni de la moindre façon revenir sur ce qui s'est tramé depuis 2003, avec la caution des prétoires du coin. Je pense que c'est loupé et que ce sera d'autant plus vrai d'ici peu, lorsque ce DVD sera publié, sur Internet.
Fin mai 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier me lançait aussi qu'il en avait assez de lire mes citations.
Un top 10 des billets
Ma boite aux lettres semble être en panne, une panne assez sélective. J'attends toujours la notification de l'arrêt rendu ce 1er avril 2011, par la chambre des mineurs. A tout hasard, je vais appeller le greffe et me renseigner, j'espère recevoir bientôt cet arrêt. Mais mon facteur habituel ou celui de la cour d'appel de Versailles pourrait être en congé ou porté pâle ?
Je suis aussi toujours autant amusé par certains butineurs qui viennent s'échouer dans mon blog. Des mots clefs du jour, depuis Google : « trisomique têtu corriger ». En cherchant bien, cet internaute finira peut être par trouver un vieil ouvrage qui figure parmi mes références : L'enfance inadaptée, Anthologie de textes fondammentaux, Claude Wacjman, Privat, 1993. Mais même si ce blog est principalement consacré à des polémiques, à la justice et beaucoup à ce dispositif supposé protéger l'enfance en France, c'est Miss Paris nue qui a remporté le plus franc succès au cours des ces dernières années.
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Je poursuis également mes lectures et mes prises de notes. Certaines m'irritent plus que d'autres.
Ce jour, TF1/LCI a publié un article assez long et particulièrement critique : Garde à vue : ce qui va changer, ce qui inquiète. Je suis rassuré, en cas de garde à vue, le recours à un avocat n'est toujours qu'un simple droit et non une obligation qui s'imposerait à tous. Je préfère avoir le choix, je ne souhaiterais pas un jour avoir l'obligation d'être enfoncé, d'être « assisté », alors qu'il est très souvent assez simple de se défendre en personne, même au cours d'une garde à vue.
Ces dernières années, j'ai souvent provoqué des professionnels de la Dass ou de cette justice ainsi que des autorités françaises, les incitant ou les invitant régulièrement à s'exprimer, à me répondre, à commenter quelques unes de mes publications ou propos. Depuis octobre 2008 et alors que je venais une fois encore de provoquer la chancellerie, ces mêmes professionnels et autorités ne se font plus que très discrètes. En m'aventurant sur ces voies, pousser un magistrat professionnel de son siège, je n'imaginais pas qu'il s'ensuivrait un tel silence, pareille retenue ou réticence de ces sphères.
J'adore la chute de cet article, sur TF1/LCI. Je la trouve particulièrement scandaleuse, indécente en cette période de morosité, voire même de franche austérité qui s'impose à mon avis au plus grand nombre. Une sortie sur Paris, ce 4 mai, pour rejoindre des professionnels de la justice ? Pourquoi pas, je pourrais saisir cette opportunité pour parler encore une fois, de cassation et de brutalité, de sauvagerie judiciaire, de cachoteries, de tromperies et de véritables escroqueries aussi... « très probablement dans l'intérêt de l'enfant », à moins que « c'est pas possible », me répondrait-on encore ?
Garde à vue : ce qui va changer, ce qui inquiète
Par Alexandra Guillet , le 12 avril 2011 à 06h00, mis à jour le 12 avril 2011 à 17:28, TF1/LCI, des extraits, dont la chute
Le Parlement a définitivement adopté mardi la réforme de cette mesure privative de liberté dont la mise en oeuvre, qui inquiète notamment les policiers, pourrait être brutalement accélérée par la Cour de cassation.
[...] Locaux et moyens inadaptés. L'étude d'impact de ce projet de loi évalue à 3.600 le nombre de locaux à aménager afin de pouvoir accueillir les avocats, pour un coût total de près de 21 millions d'euros. Mais aucun calendrier des travaux n'est encore prévu. La plupart des syndicats de police ont mis en garde depuis plusieurs mois sur cette impréparation. Ils ont également mis en avant le manque de moyens humains qui risque de se faire sentir, notamment les nuits et les week-end.
François Fillon a répondu aux craintes des policiers en chargeant récemment les ministres de l'Intérieur et de la Justice d'"une mission d'audit et de suivi" sur la réforme.
[...] La profession, qui a été la première à demander une évolution de la loi, s'inquiète toutefois des moyens attribués à la réforme. Le CNB a d'ailleurs appelé à une manifestation à Paris le 4 mai pour une augmentation du budget de l'aide juridictionnelle. Le ministère de la Justice avait prévu d'augmenter l'enveloppe de 15 à 80 millions par an mais elle est jugée très insuffisante par la profession.
Par Alexandra Guillet le 12 avril 2011 à 06:00
Un tour de manège « sans objet »
Pour un 1er avril, j'ai été servi. J'attends que le délibéré rendu ce jour, par Versailles, me parvienne par la Poste.
Cet après-midi, en cours d'audience et alors que la Cour m'exposait son arrêt, j'ai commencé à rouspéter, puis j'ai mis mon éteignoir de la raison sur la tête. La Cour m'a fait comprendre que c'était « inutile », ce que je savais. A quoi servait alors de rouspéter ou de contester puisque la Cour ne pouvait d'aucune façon revenir sur la décision qu'elle vennait de rendre ?
On pourrait maintenant me conseiller la cassation, un ultime pourvoi, pour pas grand chose de plus... J'ai deux mois pour y réfléchir. A partir de ce jour, j'ai surtout définitivement du temps et l'esprit libre, à consacrer à d'autres choses.
« Conseillez lui l'appel. Je n'y vois pas d'inconvénient... »
Gens de robe, page 250, par C. Rideo, Paris, 1912
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Au parquet général de Versailles
Comme je l'avais prévu, je vais à nouveau écrire au parquet général de Versailles, le ministère public du coin. Ce 4 mars dernier, je n'ai pas rencontré de difficultés particulières à la cour d'appel, même si j'y arrivais avec mon éteignoir de la raison. Mais pour ce 1er avril qui suit, je préfère avertir que je reviendrais encore une fois avec ce même entonnoir.
Je pense que je vais simplement copier/coller et poster la bafouille qui suit, avec deux pièces jointes.
Ajout du 19... Avant d'imprimer, je dois compléter une phrase au moins, il manque le mot « crevures », « n’ont peut-être que convaincu les crevures, les ouailles ou les oies qui »...
Ajout du 29 mars... C'est (e)posté : LR_20110329_1E00123645737_PD.zip
Lettre ouverte
Messieurs,
Ce 4 mars 2011, après cassation et annulation d’un arrêt rendu en mai 2009, par la cour d’appel de Versailles, j’étais reconvoqué par la chambre des mineurs de cette même cour, encore dans le cadre d’une affaire « d’assistance éducative ». Cette affaire « sensible » et « signalée » concerne beaucoup ma fille ainée, aujourd'hui bientôt majeure.
Je vous rappelle qu'en effet, ma fille ainée a été « placée » et « sauvée » ou « aidée » par des travailleurs ou des gorets du social de l’Oeuvre de Secours aux Enfants France, puis de l’ARSEA Alsace. Au cours de ces dernières années, j’ai très souvent contesté et critiqué le « placement » de mon ainée ainsi que le « travail » accompli par ces mêmes « professionnels », jusqu'en cassation. Cela a encore été discuté ce 4 mars, à Versailles.
Ce 4 mars, j’arrivais à la cour d’appel de Versailles avec un entonnoir. En cours d’audience, cet objet a fini par intriguer l’Avocat général. Il l’a fait examiner par un policier, en présence de la Cour. C’est un très banal éteignoir de la raison, la justice a pu le constater.
Devant la Cour, je mettais aussi ce chapeau du plus fou sur ma tête pour expliquer rapidement que, début septembre 2010, j’avais déjà porté ce même éteignoir devant l’IHEJ et l’ENM de Paris, alors qu’il s’y déroulait une formation sur le thème de la justice et de la « psychiatrie », précisément. J’assume, à huis-clos, en chambre du conseil, ainsi qu’en public, à Versailles et même dans Paris.
Début décembre 2009, je contestais encore le contenu du dossier « d’assistance éducative » de ma fille ainée. Je critiquais à nouveau un très ancien avis ou expertise « psychiatrique » ; cet avis produit début 2006 figure toujours à ce dossier « d’assistance éducative », parmi les éléments qui ont « motivé » le « placement » de ma fille ainée. Début 2010 et malgré toutes mes critiques, la cour d’appel de Versailles me refusait encore une contre expertise « psychiatrique ». J’ai fini accepter cette situation ; plus récemment, je ne réclamais d’ailleurs même plus la moindre nouvelle « expertise » ou contre « expertise ».
Cet avis « psychiatrique » de 2006 me concernant fait état d’un « antécédent familial ». En effet, cet avis souligne d’abord que ma sœur ainée est trisomique. Puis après un court développement et sans plus de précisions, cet avis « psychiatrique » fini par conclure que, « dans certaines situations, sous certaines conditions », ma « personnalité » pouvait faire encourir un « danger » au « psychisme » de ma fille ainée… Je n’avais plus essuyé railleries et débilités similaires depuis l’école primaire, voire même depuis la maternelle, il y a bien plus de 30 ans. Mais j’ai donc fini par accepter cette situation et par assumer, en chambre du conseil ainsi qu’en public.
Je vous rappelle également, une fois de plus, que ma mère a longtemps été « une femme déterminée et très dévouée à la cause des personnes handicapées ». L’AFAEI de Sarreguemines (57) pourrait très certainement vous le confirmer. J’ai moi-même été sensibilisé assez tôt à cette même cause, le handicap, notamment mental, ainsi qu'à certains troubles ou déficiences avérées, telles qu'intellectuelles. Je vous joins une fois encore un faire part de décès paru le 3 mai 2006, dans un quotidien régional, le Républicain Lorrain.
A la présente, je vous joins également des extraits d’un article publié il y a peu, dans mon blog : « Une sortie à Versailles, à l'occasion du 1er avril prochain ». La justice a donc déjà pu examiner mon beau chapeau du plus fou. Je reste à votre disposition si vous souhaitiez un jour également débattre, publiquement et avec « humanité », qu’il s’agisse de « psychiatrie », de palabres ou de « motivations », de « sauvetage » d’enfants, de décisions de justice rendues ces dernières années par Nanterre et par la cour d’appel de Versailles, ou même qu’il s’agisse de liberté d’expression.
Vous finirez peut-être tout de même un jour par mieux lire, puis par souhaiter débattre ? Vous pourriez alors bientôt vous apercevoir que certaines insanités ayant motivé le « placement » de ma fille ainée n’ont peut-être que convaincu les ouailles ou les oies qui les ont rendues, qui ont rapporté ou qui ont requis, dans le secret de la chambre du conseil. Mais s’agissant beaucoup « d’assistance éducative », une affaire « d'ordre privé », vous ne pouvez peut-être pas vous extraire aisément de la chambre du conseil, pour vous lever et requérir en public, comme a souvent été requis à huis-clos.
En octobre 2010, cassant et annulant un arrêt rendu en mai 2009, par Versailles, la cour de cassation renvoyait donc à nouveau à Versailles. Suite à cela, puis après cette audience du 4 mars 2011, devant un collège « autrement composé », ce 1er avril prochain, la chambre des mineurs rendra un ultime arrêt dans le cadre de cette affaire « sensible » et « signalée », le « placement » de ma fille ainée. Je reviendrais alors bien évidemment à la cour d’appel de Versailles avec mon bel éteignoir de la raison. J'ai hâte de prendre connaissance de cet ultime délibéré que rendra très prochainement la Cour.
Je vous prie de croire, Messieurs, en d’assez cordiales salutations.
P.S. : Ce 4 courant, j’ai pu constater que Monsieur Olivier Echappe préside toujours à Versailles. Vous pourriez donc occasionnellement le croiser dans les couloirs. N’hésitez pas à lui présenter aussi ces mêmes salutations.
« Un constat d'échec », a repris le parquet
Correction du 7 mars au soir. Ce vendredi, en publiant ce billet, je me suis trompé de fichier ; on fini par s'y perdre... Ce sont ces conclusions-ci que j'ai commentées puis remises la Cour. Le document faisait 31 pages et non 30. Ce fichier a une page de plus et son contenu, mieux relu, est certainement plus mordant encore. La page de plus rappelle que les voies de recours sont réputées inopérantes, illusoires, lorsque le juge pour enfant est saisi.
En arrivant à Versailles, j'étais surpris car le nom de Olivier Echappe figurait encore sur le rôle, placardé à l'entrée de la salle d'audience. J'en ai fait part au greffier. Mais il m'a assuré que pour cette affaire, le « placement » de Justine, la Cour allait être « autrement composée », et ce fut effectivement le cas.
Comme d'habitude, à l'audience, on m'a souvent demandé d'écourter alors que je plaidais. J'ai même eu du mal, ensuite, pour remmettre des pièces à la Cour. En plaidant, j'avais fini par rappeler que, selon Nicolas Sarkozy, en France, la justice serait la même pour tous, la même pour ceux d'en haut et pour ceux d'en bas. Lorsque notre chantre national est victime, son avocat peut plaider durant trois heures... Je n'ai pas le sentiment d'avoir parlé autant, cet après-midi, à Versailles. Mais j'ai pu être assez bien entendu. Le parquet m'a d'ailleurs repris. En effet, tout comme moi, constant que Justine sera bientôt majeure et vu l'évolution de sa situation depuis juin 2008, l'avocat général a également demandé à la Cour d'établir un constat d'échec. Quoi demander ou requérir d'autre ?
Au moment de sortir des pièces et des conclusions de mon sac, mon entonnoir ou ce chapeau de fou a roulé par terre, faisant un grand bruit. Plus tard, n'y pretant aucune attention, j'ai mis un coup de pieds dedans, ce qui a encore fait raisonner cet entonnoir en métal. L'avocat général a fini par réagir et par m'interroger : « qu'est-ce ? On dirait un micro, dedans. » Je l'ai ramassé, puis le mettant sur ma tête, j'ai expliqué qu'il m'avait servi à faire le fou devant l'IHEJ ; puis j'ai ajouté que je n'avais été ni enfermé, ni interné. Mais rien que cet étouffoir de la raison sur ma tête semblait avoir suffit à scandaliser la Cour... Un policier a ensuite pu vérifier mon entonnoir ; il ne contenait aucun micro ou dispositif d'enregistrement.
Le pasteur Clementz et son époux, le généraliste, n'étaient pas présents. Justine et les gorets de l'ARSEA ou du social n'étaient pas présents non plus. L'absence de Justine n'était pas gênante, cela a été discuté.
Au premier plan, un arrêt du 6 janvier 2011 qui infirmait une décision du juge des tutelles
J'aurai pu parler des heures durant. J'avais d'ailleurs apporté de nombreux écrits et des livres à ces fins : Le droit antisémite de Vichy, Intervenir auprès des enfants et des adolescents pour la prose de Richard Josefsberg, le DSM-IV-TR pour un cas clinique, Croire et détruire, Gens de robe, Voleurs d'enfants, l'Essai sur les lois du doyen Carbonnier, etc...
J'ai peut-être pu plaider ou parler suffisamment. Puis, après une brève plaidoirie de Maître Roughol, le cafard de Justine, j'ai peiné, devant insister pour que la Cour accepte mes conclusions du jour et surtout leurs pièces jointes. Je pense que pas grand monde n'imagine à quel point il peut être dur, voire impossible de faire accepter des éléments à décharge, y compris lorsque ces éléments à décharge sont des décisions de justice dites définitives ou irrévocables.
Délibéré, ce 1er avril prochain.
Croire et détruire
L'ouvrage pourrait déplaire, demain, à la cour d'appel de Versailles. Lorsque la justice est saisie, on évoque plus fréquemment Surveiller et punir ou sa déclinaison « soigner et punir » (lire Les anormaux et Le pouvoir psychiatrique, également de Foucault, ainsi que Asiles, de Goffman, puis La police des familles, de Donzelot... Un monde de fous ?).
Croire et détruire, les intellectuels dans la machine de guerre SS, a été présenté ce 3 au soir, au mémorial de la Shoah. Car occasionnellement, je suis encore ces cours, à chaque fois de qualité.
Après cette présentation de Croire et détruire, Les dernières lettres de Stalingrad seraient à revoir, sur scène, ou à relire. Cinq mois de guerre serait aussi à relire. L'immense tromperie ou Bruit et fureur serait à revoir également. Je n'ai pas encore pris le temps de regarder Le ruban blanc, de Haneke ; ce film pourrait me distraire dans les prochains jours ?
Croire et détruire, page 384 ; chez Fayard, par Christian Ingrao, août 2010
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Pauv' juges
Je ne voulais plus les revoir et j'ai le sentiment que c'est assez réciproque, même si ce n'est certainement pas pour les mêmes raisons. En arrivant, je vais d'abord faire le guignol : « où est la Cour, est-elle bien autrement composée ? »
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Où Chantal Clos a-t-elle pu disparaitre ?
Récemment, l'affaire Zakharova a encore pu retenir notre attention. Aujourd'hui, cette affaire semble être à nouveau eclipsée, jusqu'à un prochain rebondissement, peut-être l'extradition de Natalia Zakharova. La Russie aurait réclamé son extradition, peu après son incarcération, en France.
J'ai depuis envisagé de rendre une visite à Natalia Zakharova, elle serait incarcérée à Fleury-Merogis. Renseignement pris, il me fallait un extrait du bulletin n° 3 de mon casier judiciaire pour accéder au parloir ; j'en ai demandé deux.
Un premier extrait pourrait me permettre d'entrer à Fleury, le second me permettra peut-être de rendre visite ou de communiquer avec Chantal Clos, cette « encombrante voisine » ? Depuis son coup de folie ou cette grosse bêtise, fin décembre 2009, je n'ai plus lu la moindre information la concernant. Tout le monde semble s'être fait très discret autour de cette affaire ; je suppose qu'on s'attache dans ce cas précis au respect le plus absolu du secret de l'instruction.
Je vais essayer de trouver où Chantal Clos est incarcée, puis je vais très certainement lui rendre une visite au moins. Son procès aura-t-il lieu bientôt ? Je témoignerais volontiers en sa faveur, je vais essayer d'en discuter avec elle ainsi qu'avec son avocat ; en a-t-elle un ? Chantal Clos m'avait elle-même soutenu, le 20 novembre 2009, au cours de l'inauguration de la place des droits de l'enfant, à Paris, lorsque le service d'ordre de la ville de Paris s'était précipité vers moi pour m'arracher et détruire ma banderole « fuck you - Sarkozy - very much ». D'autres soutiennent ou défendent bien des travailleurs sociaux, des familles d'accueil, des terroristes ou même des pédocriminels...
Un bulletin n° 3, « celui-ci ne comporte qu'une barre transversalle »
Une sortie à pâques ou à l'occasion de la pentecôte ?
NDLR : Ce qui est frappant, pour répondre au lieutenant-colonel Eric Freyssinet, c'est qu'en France, nos autorités et nos magistrats professionnels se dégonflent lorsqu'on les interpelle de façon assez pertinente. Mais ça va courir après des ados, puis les admonester, à huis-clos.... Quel manque de sérieux ! Je pense qu'à Pâques ou au plus tard, à la pentecôte, je vais faire un petit voyage en Alsace, pour y émouvoir la paroisse protestante et la municipalité d'Uhrwiller.
Un des "Anonymous" est un Français de 15 ans
Par Alexandra Guillet , le 27 janvier 2011 à 18h36, mis à jour le 27 janvier 2011 à 19:20, TF1/LCI, extrait
En France, l'enquête des gendarmes spécialisés dans la lutte contre la cybercriminalité, dont les locaux sont basés à Rosny-sous-Bois, avait également conduit à l'arrestation le 16 décembre dernier d'un adolescent de 15 ans dans le centre de la France. "Aucune communication n'a été faite à ce moment là pour ne pas perturber les enquêtes encore au cours dans les autres pays et qui viennent d'aboutir aujourd'hui à des interpellations, notamment au Royaume-Uni", précise à TF1 News le patron de cette cellule, le lieutenant-colonel Eric Freyssinet.
« Il y a des voies de recours », soutiendra JPR ?
Aujourd'hui, au Palais Bourbon, salle 6217, j'ai du me contenir, plusieurs fois, pour ne pas éclater de rire ni jamais exploser, de colère. En fin de matinée, j'ai du me contenir lorsque le Président de DEI-France, le juge pour enfant Jean-Pierre Rosenzweig, semblait encore soutenir que, dans ce pays, la France ou plutôt, la Moldavie française, il existerait des voies de recours, des voies de justice et de recours efficaces. A Anger, cette sorte d'anti-Outreau, tout aurait d'ailleurs très bien fonctionné ; c'est ridicule, à moins qu'on ai déjà tout oublié, des années se sont déjà écoulées.
J'ai pu me retenir tout autant en juillet 2009, à Nanterre, dans le cabinet du juge pour enfant Thierry Baranger ; je crois qu'il arrivait du 9-3, ce même fameux tribunal. J'avais alors déjà lu des publications tout aussi scandaleuses, par exemple, celles de l'AFMJF, nous assurant que « le contradictoire en assistance éducative existe », lui aussi, ou que « le catalogue des horreurs » établi par ATD Quart Monde ne pouvait être qu'une « carricature ». Allons les juges, un peu de sérieux, replongez vous déjà dans vos cours de droit, vos cours de débutants ou de doctorants, approfondissez ensuite quelques dossiers, par exemple, celui-ci, mes observations, pour ce 30 novembre, à Versailles ; puis on en discute !
Par le passé, JPR m'avait déjà irrité au cours d'un colloque du Fil d'Ariane ; il renvoyait alors chacun des parents à leurs situations et difficultés individuelles, ainsi qu'à des voies de justice et de recours parfaitement inefficaces...
Aujourd'hui, avant de partir déjeuner, j'ai remis une copie de ces mêmes et ultimes observations au Président de DEI-France. Je lui ai également remis une copie de l'arrêt rendu ce 20 octobre 2010, par la première chambre civile de la cour de cassation. J'ai tenté de lui expliquer que dans ce pays, les voies de justice et de recours n'existent pas lorsque le juge pour enfant est saisi. Comme le Président de DEI-France ne me parraissait pas très disposé à m'entendre, en insistant plus lourdement sur la seconde option, j'ai fini par lui lancer qu'il était soit naïf, soit malhonnête. « Pas ici », donc pas dans les couloirs de l'Assemblée nationale, m'a-t-il finalement répondu, « je ne peux pas me prononcer sur un dossier individuel sans en avoir pris connaissance », m'avait-il aussi répondu. Je ne peux pour ma part plus qu'insister pour que le Président de DEI-France me lise puis qu'il me réponde bientôt, par exemple, dans le Journal du Droit des Jeunes.
Dans la salle 6217, j'ai également pu discuter quelques instants avec Frédéric Jesu, vice-président de DEI France. Je lui ai d'abord rappellé qu'il avait un jour répondu à Maurice Berger, cet idéologue de droite, peut-être même d'extrème droite, ce « pédopsy en souffrance », tantôt engagé contre la protection de l'enfance, parfois engagé contre la garde alternée ou même contre la « justice » rendue par les JAF. Frédéric Jesu pourrait me lire et me répondre un jour, lui aussi ? Cet après midi, encore dans ces mêmes sous sols de l'Assemblée nationale, mon message à son attention était tout aussi explicite : « la protection de l'enfance, ça ne fonctionne pas ! » Je pense qu'il ne m'a pas pris au sérieux, pas encore.
En fin d'après midi, après une présentation d'activités de théatre forum « avec des mamans et des enfants » puis la projection d'un extrait d'un documentaire, quelqu'un a souhaité souligner « l'absence » des pères. En février dernier, Jean-Marie Bockel établissait lui aussi un constat d'echec, peut-être assez similaire ; « juste en demie-teinte », dira-t-on.
Quelques JDJ-RASJ, dont celui de novembre 2010, le n° 299,
spécial « prévention de la délinquance institutionnelle »
Fini, pfff... enfin
Page 54, j'ai remarqué une erreur, le mauvais document ou date. Ce n'est pas grave. J'en parlerais à l'audience.
Imprimé puis posté, ce 17 au matin. Et pourvu que le facteur n'égare pas tout...
Ajout du 19... Selon la Poste, ces « observations » arrivent à leurs destinataires. En Poitou-Charente, au Conseil régional, un proche de Royal a été informé ; la candidate à la présidentielle m'avait répondu, fin décembre 2006. Cette semaine, le PS a également été informé, j'ai téléphoné rue de Solférino ; le PS est aussi cynique que je pourrais l'être : « la justice, les prétoires, dans ce pays, ça ne fonctionne pas... », m'a-t-on répondu. A l'UMP et selon l'échange que je viens d'avoir au téléphone, le service ou interlocuteur « relations publiques » devrait informer Jean-François Copé, leur secrétaire général : ses prétoires ou ces dépendances, telles que de la protection de l'enfance, vers lesquels on me renvoie encore, produisent essentiellement des constats d'échecs.
Je voulais tourner cette page, en finir avec ces observations, un PDF, pour ce 30 novembre, à Versailles. J'en ai assez de brasser ces écrits et de me relire. Je pense que c'est à peu près bon, pour un tirage et des envois. Je crois que je vais en expédier un exemplaire à sa chancellerie, eventuellement après le 15 et ce remaniement récemment annoncé.
Le sujet est maintenant : comment on gagne... « en 2012 » ? La quille déjà annoncée en décembre 2009, par la chambre des confirmations de Versailles, devra suivre avant. En septembre 2011, mon aînée sera majeure.
Audience du 30 novembre 2010,
Auprès de la 2ème chambre civile, 1ère section
Cour d'appel de Versailles
Suite à renvoi par l'arrêt n° 414
n° RG 10/02431 du 24 juin 2010
En appel d'une décision du juge des tutelles d'Antony,
n° RG 58-04-00052-04 du 15 mars 2010
dossier de KANT Justine
M. Bruno KANT, appelant, ingénieur, en personne, contre :
- Madame Isabelle CLEMENTZ, née BULOW, pasteur,
- Monsieur Pascal CLEMENTZ, médecin généraliste,
- Monsieur Philippe KHUN, assistant, domicilé espace Pierrard, chez Maître HALTER, notaire,
- Madame Sylvie ETROPIE, assistant, domicilée espace Pierrard, chez Maître HALTER,
- le parquet général près la cour d'appel de Versailles,
- sa fille mineure, « protégée », « assistée », Justine KANT *
*) En raison de la nature des informations contenues dans ce document, et pour ne pas choquer sa fille mineure, Justine KANT, plutôt qu'à elle, M. KANT fait parvenir ces observations à son avocat ou cafard d'enfant, Maître Delphine ROUGHOL. Me ROUGHOL a très souvent lu M. KANT.
ses affaires, et me la remettrait à ma majorité.
Inutile de dire que je n'en ai plus jamais entendu parler... »
Sacha GUITRY, Le roman d'un tricheur,
cité en préface de Droit et intérêt n° 49, volume 3, FUSL Bruxelles, 1990,
Droit positif, droit comparé et histoire du droit
Arrêt n° 414, RG n° 10/02431, CA de Versailles, en date du 24 juin 2010,
ou encore « Avant dire droit », Versailles convie le pasteur d'Uhrwiller
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De nouvelles observations
Petit, on nous apprend vite qu'il ne faudrait pas jouer avec la merde, que ce soit avec sa propre merde, ou avec celle des autres - « Non ! Pas ça ! Crache ça ! » Petit, on apprend aussi a cacher des trucs, à les faire disparaitre, à les redécouvrir, ailleurs, à faire réapparaitre des trucs, comme par magie ou par enchantement, plus loin. Lorsqu'on grandit, on découvre encore le principe des vases communiquants, des siphons, des bulles ou des pets dans l'eau (ça refait toujours surface ; parfois, ça pue), on découvre ce que sont des pressions, puis des dépressions... et encore plus grand, occasionnellement, on perçoit aussi mieux comment fonctionnent ou dysfonctionnent certains prétoires et secteurs ?
Par chez moi, le 9-2 ou la Moldavie française, les juges sont quand même un peu bizarres, pas très cohérents. « Non ! Pas ça ! Cache ça ! » « Silence », m'ont en effet si souvent lancé des juges tandis que d'autres me réclament encore de nouvelles observations ? J'en prépare, pour la fin novembre, à Versailles, auprès de la deuxième chambre civile : un PDF, un brouillon, quasi prêt. Une mise à jour suivra peut-être, pour des broutilles, pièces ou écrits qui y seront encore joints ; mais pour ici, dans ce billet ou ce blog, ce brouillon peut suffire ? Au cours des mois et années passées, j'ai déjà publié ou suffisament décrit tous les écrits que j'évoque dans ces ultimes « observations ». Je pense qu'en 2006, Monsieur Barella aurait du préciser que les piles étaient déjà vides et que les bougies étaient aussi soufflées...
Ces jours-ci, deux de mes lettres ouvertes sont une fois encore « quasi » parvenues à leurs destinataires. A mon avis, Nicolas Sarkozy ne répondra jamais ; il semblerait que Dati n'a plus répondu au Canard non plus. Fin mai 2008, alors que des caméras m'avaient pourtant suivies jusqu'aux portes du prétoire du juge Xavier Serrier, le ministère public ainsi que les époux Clementz n'avaient pas souhaité répondre aux journalistes, eux non plus. J'ai même le sentiment qu'en juin 2008, les époux Clementz avaient requis l'anonymat alors que France 2 allait diffuser un reportage...
Quel pays, de dégonflés, de couards. Je l'avais tout autant perçu en octobre 2008, alors que Xavier Serrier allait faire pschitt. A l'époque, je venais d'écrire à Dati, Garde des Sceaux, etc : « J'invite la Chancellerie à prendre connaissance du contenu de mon site Internet. Si le ministère public n'est pas trop couard, je pense qu'il va s'empresser et exiger quelques explications. » La suite est connue et sera à nouveau assez bien décrite, dans ces ultimes observations.
« A Nanterre ? » Voir « A l'attention du chef de l'Etat et de son Ministre de la Justice », page 4
A l'attention du chef de l'Etat et de son Ministre de la Justice
J'ai déjà écrit X fois, ici et la. Ils auront été prévenus, très bien informés, et ne seront plus à une bafouille près.
Ces arrêts de décembre 2008 et d'octobre 2010, à la suite, s'articulent tout deux autour d'un même jugement, rendu en juin 2008, par le juge pour enfant de Nanterre, ainsi qu'autour d'un arrêt de la cour d'appel de Versailles, rendu le 22 mai 2009. Il y a eu « changement » de juge au siège, en octobre 2008, du fait d'une procédure de prise à partie contre le juge pour enfant, ce qui est assez exceptionnel ; puis a suivi cette décision de rejet, en cassation, en décembre 2008. Il y a maintenant eu cassation après, avec renvoi auprès de la cour d'appel, « autrement composée ». A suivre...
Après juin 2008 et une audience provoquée, chez le juge pour enfant, mon aîne finissait par refaire surface. Mon aînée avait comme disparue, depuis début novembre 2005. Nous passions ensuite l'été 2009 en famille. Mais depuis septembre 2009, nous n'avons à nouveau plus la moindre relation avec mon aînée. On fini par se faire une raison.
Dans cette baffouille, à la suite, était-il utile de rappeller qu'en 2008, la Constitution avait 50 ans, la DUDH, 60 ans, et qu'en 2009, la CIDE allait avoir 20 ans ? En décembre 2008, quelques ouvrages flambaient, dans Paris, en contrebas de la BNF. Nous étions quatre à protester, dans le cadre d'un « rassemblement » bien encadré et très officiellement déclaré auprès de la préfecture de Paris. « Saisissez les tribunaux, faites vous mieux conseiller, n'hésitez pas à faire appel, à user et à épuiser les voies de recours »... faudrait-il encore que ça produise autre chose que de tels constats d'échecs !
A l'attention de Monsieur Nicolas Sarkozy,
Président de la République Française
A l'attention de Madame Michèle Alliot-Marie,
Garde des Sceaux
et Ministre de la Justice et des Libertés
Lettre ouverte - Le PDF
Messieurs,
Veuillez trouver ci-joint copie de deux arrêts rendus par la cour de cassation :
• du 17 décembre 2008, de rejet, mais motivé,
• du 20 octobre 2010, tout aussi affligeant, un arrêt qui casse et annule
Aujourd'hui, je ne peux plus que penser que vous même ainsi que certains de vos prédécesseurs avez été d'une naïveté, d'une incompétence ou d'une mauvaise foi crasse - surlignez tout ce qui vous siéra.
Avec mes plus cordiales salutations.
Bruno Kant
http://justice.cloppy.net
Bagneux, 9-2, le 28 octobre 2010
Du 30 au soir... et du lendemain. Ce billet, sa page 1, est quasi reconstitué, suite à l'intervention d'un emmerdeur, dans mon blog ; si nécessaire, pour quelques explications, voir La curée ou le billet Un bug ? J'ai perdu un second billet dans ma rubrique Opinions, après une boulette, ce 30 au matin ; mais c'est sans importance, depuis, l'essentiel est à nouveau publié. Voir par exemple, la page 4, pour une lettre au juge pour enfant de Nanterre, postée ce 29 octobre.
« J'assume », c'était le titre de l'un de mes billets de janvier 2009. A l'époque, écrivant encore ou déjà à l'Elysée, rappelant que ce pays aurait une Constitution, je décrivais un peu ce qui venait de se passer en 2008, à Nanterre, à Versailles puis en cassation, et je posais une question à Monsieur le Président de la République : « croyez vous aux vertus de l’assistance éducative alors que la Direction Nationale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse ainsi que Madame la Secrétaire d’Etat à la famille font eux même montre de sérieuses réserves ? » Je n'ai jamais eu de réponse.
Des spécialistes ainsi que des pinnailleurs pourraient relever quelques broutilles ou bizarreries dans les pages suivantes. Comme d'autres articles ou feuilles, elles ont été assez difficiles à rédiger et à relire. Je suis disposé à en discuter. Et que mes lecteurs ne commettent pas les mêmes erreurs que Maître Eolas ; par le passé, il s'est déjà vautré ; je pense qu'il ne m'avait même pas lu, qu'il ne se doutait pas non plus que la cour de cassation mais également le juge pour enfant de Nanterre allait ensuite rendre des jugements et arrêts qui nous seraient favorables, à mes enfants ainsi qu'à ma famille. Mais des pinnailleurs peuvent se lâcher aussi, nous convoquerons alors également Schoppenhauer et Caraco.
Hé oui, j'assume et, comme d'autres, je me contrefous du qu'en dira-t-on, du tribunal de l'opinion également.
Une photo de voyage, prise ce 3 juin 2010,
au retour d'un prétoire de Lorraine
Surprise, c'est encore un strike !
Ajout du 24 au soir... Je n'avais pas vu. L'arrêt est publié, sans les moyens annexes, rubrique jurisprudence :
Arrêt n° 909 du 20 octobre 2010 (09-68.141) - Cour de cassation - Première chambre civile
CASSE ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l'arrêt rendu le 22 mai 2009, entre les parties, par la cour d'appel de Versailles ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Versailles, autrement composée
Pour le final et après un changement de juge pour enfant, en octobre 2008, j'obtiens donc, aujourd'hui, deux ans plus tard, un renvoi devant la cour d'appel, autrement composée. Le précédent arrêt, rendu le 17 décembre 2008, autour de ce même jugement ou siège, est publié sur Légifrance. Pour en rire plus, dans mon blog : Nos porte voix : « l'Elysée ne répond pas à des allégations mensongères ». Voir aussi parmi mes notes, PS : Royal demande « des sanctions » contre les fraudeurs. Cette réponse d'avril 2007, de la chancellerie, est pas mal aussi : « il convient d'attendre ». En août 2007, énervé, fâché, je finissais donc par écrire à l'Elysée, ainsi qu'au Garde des Sceaux : « Sous couvert de l'indépendance, la place Vendôme et l'Elysée se refusent au dialogue, ne me laissant pas d'autre choix. » En janvier 2010, avait encore suivi un rappel à la loi, en toute discrétion, dans l'entresol du palais de justice de Paris...
Ajout du 26... Je remercie Madame Liliane Bettencourt pour ce fou rire, je pourrais en parler très prochainement, à Versailles, ou même lancer tout à fait similaire à quelques juges et partis : « Qu’est-ce qu’elle a ma [soeur trisomique] ? Je vais bien dans la lutte. Quand c’est plat, je m’emmerde. » « Vous êtes têtu ou alors vous ne comprenez pas vite ? » Madame Bettencourt envisage à présent de s'exiler, au Congo ? Je suis très bien, par ici, à proximité immédiate de Paris. Au printemps dernier, je pense avoir été tout aussi explicite avec le juge pour enfant ainsi que dans une correspondance adressée à la chancellerie : « Je confirme ce que j'écris au juge pour enfant de Nanterre, ma soeur trisomique emmerde maintenant ton ministère public. J'invite les pas contents à trouver un drapeau français. » Je ne pourrais plus écrire la même chose à un magistrat du siège ou au Garde des Sceaux car, aujourd'hui, dans de telles allégations, certains seraient susceptibles de percevoir un outrage à un symbole de cette République, le drapeau. En décembre 2009, dans mes conclusions écrites déposées à la cour d'appel de Versailles, auprès de la chambre des mineurs, j'étais également assez explicite : « La chambre des créatures inférieures pourrait cependant très soudainement se ressaisir et faire montre d'un peu plus de sérieux ? M. KANT le sera alors tout autant. »
Ajout du 26 encore... L'arrêt du 20 octobre est à présent publié sur Légifrance, avec ses moyens annexes. Il est pas mal sous cette forme, avec ses annexes ; il rappelle que « M. X... a accablé la MECS du Château de Vaucelles [ NDLR : on parle aujourd'hui plus pompeusement de la maison d'enfants Elie Wiesel ] », le cloaque de l'OSE France dirigé par Richard Josefsberg. La suspension de tous mes droits « sur » ma fille Justine, « pour exceptionnelle et cruelle qu'elle apparaisse, n'en était pas moins nécessaire dans l'intérêt de la mineure » ? J'adore lire de nouveaux papiers ou productions de ces cours et professionnels, qui qu'ils soient. A chaque fois, on peut en écrire plus ou, tout simplement, étayer mieux de précédents écrits ou publications. Une séparation « exceptionnelle et cruelle » ? J'en reparlerais à l'occasion d'un prochain colloque ou conférence auquel contribuera Françoise Sironi. Oui, je sais, la police m'a assez souvent répété qu'on ne doit pas critiquer l'OSE France, une association reconnue d'utilité publique.
Ajout du 26, dans la nuit... Faut-il avoir de la compassion pour des bourreaux ? En a-t-on pour des pédocriminels ou des crevures ? Maintenant, 'faut assumer, Isabelle, vous voilà condamnés, toi et Pascal. Je sais, vous et Maître Delphine Roughol, cafard d'enfant, avez toujours trouvé la plupart de ces juges et les pros du social si fabuleux...
Ajout du 27 octobre, 17h20. Je viens de téléphoner à l'Elysée, le 01 4292 8100 ; il ne me paraissait plus utile d'écrire à nouveau, là bas. Le château m'a souvent répondu n'importe quoi lorsque mes lettres ou envois à l'attention du Président de cette République ne restaient pas tout simplement lettres mortes. J'ai discuté deux minutes avec une dame. On m'a dit que j'y aurai déjà écrit plus de trente fois - en 6 ou 7 ans - et que mon dossier serait « sorti » ; ce dossier n'est peut être que « égaré ». Cette dame a eu le sentiment que j'aurai « beaucoup de soucis ». J'ai bien insisté : « j'ai cassé Versailles et je ridiculise maintenant ces juges ». Selon ce qu'elle m'a répondu, mon appel devrait être « signalé ».
Je viens de survoler une correspondance et sa pièce jointe, du cabinet Defrenois et Levis, Paris. Je leurs avais confié une décision rendue par Versailles, le 22 mai 2009, j'avais fait appel de décisions rendues par Xavier Serrier. Selon ce qui m'est parvenu, la décision de Versailles a été soumise à la cour de cassation ; elle a rendu un arrêt, ce 20 octobre 2010 : casse et annule, dans toutes ses dispositions, condamne les époux Clementz aux dépends, renvoie à Versailles, auprès d'une cour autrement composée, etc... J'attends encore un complément d'information, de la part de Maître Marc Levis.
Le pasteur d'Uhrwiller, condamné ? Il me semblait bien qu'Isabelle Clementz finirait par plagier Madame Brun.
Faut-il absolument retourner à Versailles, revoir des juges de la chambre des mineurs ou des créatures inférieures ? En juillet dernier, le juge pour enfant de Nanterre avait convoqué mais j'avais décidé de laissé ces gens se débrouiller, entre eux ; je les ai snobé, je ne me suis pas rendu à l'audience, puis je n'ai même plus fait appel. Il faut que j'étudie cet arrêt du 20 octobre, il s'appliquera certainement aussi à ce que Versailles et Nanterre ont rendu après mai 2009.
Dans tous les cas, l'arrêt rendu ce 20 octobre va m'être utile. Je vais le pousser dans la deuxième chambre civile de Versailles, fin novembre prochain. La Cour a convié le pasteur et son époux, le médecin généraliste... la famille d'accueil, la tata et le tonton ou ces « tiers dignes de confiance ». En effet, les époux Clementz s'occupent depuis quelques années de ma fille ainée, une situation qui semble à présent manquer très cruellement de bases légales.
Audience publique du 20 octobre 2010, Cassation,
Pourvoi n° C 09-68.141, Arrêt n° 909 FS-P+B+I
Retourner à Versailles, puis après, à nouveau en cassation ? Ca peut faire travailler des professionnels, livrer une matière intéressante pour des juristes. Mais ça m'apporterait quoi au juste, aujourd'hui ? J'ai plus intéressant à faire. Qu'est-ce que ça pourrait apporter à mes enfants, à ma famille ? Le mal est fait. Dans à peine plus de six mois, mon ainée sera majeure. Pour le moment, j'envisage de laisser les « professionnels » de la Dass, de cette justice du coin, vaquer encore à leur occupations, avec les époux Clementz et l'ARSEA. Je pouvais aussi y retourner, juste pour le fun, recasser encore Versailles et à nouveau Serrier, les arrêts et jugements qu'ils ont rendus, recasser ou faire condamner encore les époux Clementz. Je pense que tout aurait du s'arrêter peu après 2008, alors que je venais de casser la première présidence de Versailles et de moucher Xavier Serrier. Je vais passer pour quérulent, si je continue ? Ce n'est pas sûr. Aujourd'hui, avec cet arrêt qui vient de tomber, je pense plutôt à faire condamner l'Etat français ; à mon avis, la condamnation est acquise.
En novembre dernier, je crois que j'avais été apperçu par Dominique Versini, devant le Barreau de Paris. En tous cas, une femme qui lui ressemblait beaucoup avait détourné son regard de ma banderole - celle qui a ensuite fait l'objet d'une « destruction administrative ». Je pense que le Défenseur des enfants ou des droits pourra s'emparer de cet arrêt du 20 octobre. L'arrêt complétera le rapport de Versini, rendu en 2005 ; je m'y étais référé pour alimenter les écrits et les débats auprès de la cour. Selon le pasteur Clementz, c'est à l'enfant de choisir sa voie... Du rapport 2005 du Défenseur des enfants, page 99 : « Il arrive que les adultes se cachent derrière les voeux exprimés par l’enfant pour échapper à leurs propres responsabilités ou pour faire valoir leur propre point de vue. » Aujourd'hui, le point de vue du pasteur n'a donc plus de base légale. Quand à la base morale, je pense qu'elle est absolument abjecte - suffisant, répondra la paroisse, le village et l'ARSEA Alsace ? « C'est encore motivé par des opinions psychiatriques, par les avis du ministère public ou le politique, par des rapports ou avis de goret du social, ceux de l'OSE France et l'ARSEA, par les prêches d'Isabelle Clementz également », nous diront des magistrats professionnels ? Les époux Clementz vont ils maintenant se faire mieux conseiller ? Ce n'est pas sûr. Je pense qu'ils s'en foutent tous, ils ont « gagné ». Maître Eolas a également « gagné », et à mon avis, un gros lot. Il y a peu, il publiait L'affaire René G..., je l'invite à se relire d'abord, puis à relire ou à lire aussi Un petit pot pourri. Qu'en diront Maître Delphine Roughol, cafard d'enfant, Jean-françois Guthmann, Roger Fajnzylberg et Richard Josefsberg, de l'OSE, Thomas Resch, de l'ARSEA ? Qu'en pensera maintenant le si bon Docteur Magalie Bodon-Bruzel ? Et Madame Claire Davidson, « psycho machin », va-t-elle parler un jour ? Et le substitut Laeticia Felicis, que devient-il, pourquoi n'a-t-il pas répondu aux caméras de France 2, par le passé ? Mon ami G., juriste, va se marrer après s'être arraché les cheveux ; qu'est-ce qu'on en avait chié, pendant des mois... pour un tel fiasco !
L'idée des « psys » - ainsi que de convoquer le pasteur - était celle du juge pour enfant Anne Valentini, elle même une experte, et des professionnels de l'OSE France. Ils insistaient, lourdement. Cette idée ou plutôt, nécessité de « psychiatriser », faute d'autres arguments, avait été confortée par le juge Thierry Reveneau ainsi que par la cour d'appel de Versailles. En 2009, Versailles me refusait encore une « contre expertise » ou l'intervention d'un nouveau bouffon en blouse... Maintenant que cette décision de 2009 est casséee, annulée, j'attends encore et toujours des commentaires sous cet ancien billet, Un cas clinique, histoire d'en rire. Allez, les pros, faites pas les timides !
Pourtant, aujourd'hui, tout est plus simple, tout le monde peut parler, librement. En effet, depuis juin 2008, il n'y a plus aucun journal ou tabloïde, ni la moindre caméra, nul part. Je pense que tout le monde a la trouille, depuis des lustres.
Voir parmi mes références, Le dictionnaire des curieux
Je ne sais pas si je vais retourner à Versailles, auprès de la chambre des créatures inférieures. Je vais y réfléchir, peut être très simplement rappeler trois lignes de mes conclusions déposées en décembre 2009, puis demander aux juges s'ils se foutent de ma gueule ou de celle de ma soeur trisomique : « M. KANT sait surtout que les voies de recours sont réputées illusoires lorsque les décisions de justice sont assorties de l'exécution provisoire (La responsabilité des magistrats, Gwenola Kerbaol, PUF, 2006), ce qui semble plus particulièrement vrai lorsque certains juges sont saisis. » Je pourrais ensuite citer Oswald Baudot, puis prier à nouveau ces pitres de motiver mieux, ce que j'ai déjà fait en décembre 2009. En janvier 2010, les juges de Versailles semblaient m'avoir assez bien compris, ils me refusaient même explicitement une révision, me repprochant de souhaiter remettre en cause des décisions devenues définitives - sans beaucoup plus de précisions. Que feront ces juges ? Ils vont encore devoir s'efforcer de sauver le pasteur et surtout, leur pair Serrier - le pauvre. Mais il n'y a pas de seconde chance, ce n'est pas du pénal, il s'agit « d'assistance éducative ». Depuis début 2009, mes deux filles ont encore beaucoup grandi, nous ne pourront pas nous rendre à Versailles dans l'état où nous nous trouvions avant ledit arrêt, je ne le pense pas. C'est une affaire définitivement foirée, comme d'autres. Mais c'est pas si grave ; par ici, en Moldavie française, c'est naturel, courant ; nous y sommes accoutumé.
Si je retourne au front, je pourrais aussi évoquer l'arrêt n° 2010/293 qui condamnait l'Etat, un arrêt rendu ce 10 mai 2010, par la cour d'appel d'Aix-en-Provence. Voir Un arrêt splendide, je pense enfin lire « mieux » Versailles pour plus de détails : « ... l'écoulement du temps ayant pu avoir effets négatifs sur la possibilité de la requérante de renouer une relation avec sa fille, quel que soit le contexte ; » « N'ayant obtenu en tout et pour tout en dépit de multiples démarches qu'une rencontre... dans des conditions `'délicates"... » ! Après un travail long, lourd, rendu difficile par les « pros » et le pasteur, « garant de la relation père-enfant » et « digne de confiance », un travail contre vents et marées pour déccrocher des décisions de justice favorables et surtout, un travail de fond pour renouer avec Justine, malgré des réticences, l'été en famille, en 2009, s'était finalement très bien déroulé. Puis tout est reparti en vrille, peu après le départ de mon ainée, pour l'Alsace-Lorraine et sa rentré scolaire, dans le pré carré de l'ARSEA, pas trop loin de la paroisse d'Uhrwiller. Bref, le pasteur et toute cette clique ont « gagné ».
Si je décidais de retourner au front, ca va à nouveau chier et on va encore rire - ou geindre, selon le point de vue.
Nous, ici, à Bagneux, dans le 9-2, malgré tout, ça va. Je crois que la cour de cassation ne l'a que trop bien perçu. Depuis quelques temps, je ne sors plus beaucoup, ça ne m'intéresse plus non plus. Mais je crois que j'irais assister à la prochaine conférence ou rencontre avec Boris Cyrulnik, ce 2 décembre. Après la résilence, concept que je maitrise, il devrait nous parler de la honte, concept que je maitrise également. Pourrait-on vraiment mourir de dire ? Comment ne pas s’enfermer dans la honte comme dans un terrier ? Où est passé le ministère public de ce pays, pourquoi ne me répond-il jamais en public ? Ah, je me souviens.. Ludivine m'avait répondu. ici, tout est « d'ordre privé », je dois me débrouiller tout seul.
Mais jouter et jouer avec les juges ne m'intéresse plus. Je n'ai d'ailleurs même pas relancé Lénovo France ; leur avocat m'avait répondu un peu n'importe quoi, puis ma dernière lettre à leur attention est restée morte.
Madame Mireille Millet envisageait de jouter encore ; elle retournerait au front, elle était d'une nature déterminée, pugnace, combative, ses conseils également. Elle a pu déclarer un nouveau pourvoi. En effet, en juin dernier, elle avait à nouveau été condamnée, au retour de la cour de cassation ; voir « C’est pas Auschwitz », c’est juste la Dass. Mais la situation récente de Madame Millet était totalement différente des notres, de celle de ma famille et de mon ainée, « placée ». Madame Millet se défendait finalement au pénal, pour avoir caché Sébastien, par le passé et alors que la justice, une broyeuse assez similaire, le réclamait.
Madame Millet constestait encore et systématiquement des décisions rendues par les juges pour enfant de Nanterre et de Briey, par la cour d'appel de Versailles, des décisions de certains procureurs aussi. Elle critiquait également beaucoup le juge Anne Valentini ainsi que des décisions que ce juge pour enfant de Nanterre avait rendu, des décisions confirmées par Versailles. Face à Madame Millet, les réquisitoires du ministère public que j'ai pu entendre étaient toujours assez courts, succints, je synthétise : « elle conteste encore des décisions du juge pour enfant mais elle a toujours été déboutée ou condamnée, je réclame à nouveau sa condamnation. » Et dans la foulée, effectivement, systématiquement, Madame Millet se faisait débouter ou condamner, même lorsqu'elle revenait de la cassation avec un arrêt qui lui était favorable ; par le passé, Madame Mireille Millet avait été condamnée pour des faits commis par sa fille ! Au retour de la cassation, Madame Millet a été condamnée à une peine similaire... Les juges ont confirmé, motivant autrement ; à Versailles, c'est courant.
Madame Millet aurait souhaité remporter un jour une relaxe, au pénal. Mais elle n'aura pas pu ou su faire valoir « l'état de détresse » de Sébastien, lorsqu'elle a décidé de le cacher. Cet état de détresse était pourtant reconnu selon certains documents et par tous les professionnels, reconnu également dans une ordonnance rendue par le tribunal d'instance de Paris, dans le cadre d'un recours de Madame Millet contre l'Etat.
Un article récent du Républicain Lorrain propose cependant une autre lecture de cette « affaire Sébastien » : « Si la justice n'a pas entendu l'amour de Mireille Millet, son histoire de famille lui donne gain de cause. Depuis deux ans, son petit-fils majeur a rejoint le foyer de ses grands parents. `'S'il n'avait pas cette grand mère, Sébastien serait en foyer", a pourtant insisté Me Olivier Corbas. »
Je viens de téléphoner à mémé Mireille. J'ai eu son mari. Elle en a trop fait, à moins qu'elle n'en ait trop enduré. Le titre de mon billet pourrait maintenant paraitre inapproprié. Tant pis. Tant pis pour certains de ceux qui me liront.
Mais qu'a raconté au juste le procureur Christian Girard, du parquet du Meaux ? J'ai lu le Metro du jour et des doutes m'ont envahi. Je pense que cet article assez succint peut prêter à confusion. « Nous avons estimé qu'un simple rappel de sa culpabilité était nécessaire, a expliqué le procureur » ? Mais Metro précise bien que Marine a été poursuivie puis reconnue coupable. France Soir, un article du 22/10/10 à 10h43, par Sandrine Briclot, est plus explicite :
Marine a « exprimé des regrets et présenté des excuses ». Elle a néanmoins été poursuivie jeudi matin devant le tribunal correctionnel de Meaux dans le cadre d’une « comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité » pour « dénonciation mensongère d’un crime ayant exposé à d’inutiles recherches », infraction punie de six mois de prison et d’une amende, a poursuivi le magistrat lors d’une conférence de presse.
Reconnue « coupable des faits » qui lui étaient reprochés, elle a cependant été dispensée de peine, une décision que Christian Girard a estimée « particulièrement clémente » : « Nous avons estimé qu’un simple rappel de sa culpabilité était nécessaire. »
Je parlerais plutôt d'une condamnation, dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate, avec une dispense de peine, et non d'un « simple rappel ». En janvier dernier, dans l'entresol du palais de Paris, l'un des délégués du proc' m'imposait un simple rappel à la loi. J'envisage d'écrire maintenant au procureur de Paris, pour obtenir des précisions et pour lui demander de bien vouloir faire purger certains fichiers, par exemple, de police ; certaines informations enregistrées à ces fichiers, le 21 novembre 2009, sont erronées. Pour motiver ma demande, je joindrais une copie de cet arrêt du 20 octobre 2010 ainsi qu'une copie de l'arrêt rendu le 17 décembre 2008, également rendu par la cour de cassation. Le précédent arrêt rappellait la constitution, pour son cinquantenaire. Le plus récent arrêt mouche Versailles alors que la CIDE allait avoir 20 ans. Je joindrais aussi le jugement rendu en juillet 2009 ; le juge pour enfant de Nanterre finissait par nous accorder des vacances d'été, en famille. Depuis, Justine a, à nouveau, comme disparue. Bravo, les juges !
Aujourd'hui, je suis sorti pour marcher avec des trans, des folles, des pédés, des gouines et leurs soutiens. On s'est beaucoup marré. Eux même semblent être assez brouillés avec certains courants « psychiatriques ». Ils sont susceptibles de vomir en lisant mon blog... pas plus susceptibles que d'autres de mes lecteurs ?
Au cours de cette marche, Existrans 2010, une pancarte m'a fait beaucoup rire. Qu'en dira le juge pour enfant Xavier Serrier ? En juin 2008, à l'audience, il m'avait lancé que je devais arrêter de parler de droit, un concept que, selon lui, je ne maitrisais pas ; il avait encore ajouté que dans son cabinet, seul importait un peu d'humanité... Je crois que le juge Serrier est à présent bien servi, en droit comme en humanité. Pour le moment, il serait toujours à Nanterre.
Cet après midi, une jolie jeune femme - il faut bien l'admettre - brandissait cette pancarte, « la bite ne fait pas le mec ». Avant de la prendre en photo, je lui ai demandé si elle assumerait. Elle s'est immédiatement cachée, pour la photo, m'expliquant ensuite qu'elle était enseignante, qu'elle n'aurait pas pu se permettre car certains de ses élèves seraient homophobes. Elle m'a remercié de l'avoir prévenue, puis nous avons discuté et en avons rigolé.
Pendant cette marche, mon téléphone a sonné. Oui, mon téléphone peut sonner, même quand je marche avec mon entonnoir sur la tête. On m'informait que j'avais du courrier, de la cassation. Ce n'est que plus tard, dans la soirée, que j'ai appris la mauvaise nouvelle. Mais mémé Mireille nous avait bien dit qu'elle se battrait jusqu'au bout.
Un psy, non merci ! Essayez avec un pasteur ? |
Tiens, voilà que ressurgit ce Maxi
Il y a peu, ailleurs, dans un billet au contenu bizarre, sans mon autorisation, j'ai vu paraitre une photo qui semble avoir été taillée dans ce mag, un Maxi de mars 2008. Un huissier de justice français a vu et enregistré ce montage douteux ou excentrique. Qu'en pensera le proc' du coin, Nanterre ? Depuis quelques temps, j'ai parfois le sentiment d'être « signalé », comme en Russie ou comme depuis Puteaux, par le passé. Pour le moment, je n'ai pas pu contacter un OPJ, pour en discuter encore ; ils étaient manifestement « à la circulation », du fait des conflits sociaux.
Cahiers du MONDE RUSSE
45/3-4 | 2004
Période soviétique et post-soviétique, extraits
Les dernières avancées de la recherche sur l’histoire de l’URSS ont déjà fait voler en éclats beaucoup de préjugés idéologiques, y compris le schématisme et l’extrémisme des courants « totalitariste » et « révisionniste ». [...] Selon le langage de l’époque, leurs auteurs envoyaient des « signaux » aux autorités dans le but d’attirer leur attention sur ce qui n’allait pas dans la vie publique ou privée. Cependant ils s’abstenaient, à de rares exceptions près, de critiquer le pouvoir central. C’était tout le contraire : en manifestant ainsi leur confiance au régime, ils espéraient que les autorités prendraient des mesures contre des comportements déviants de voisins, chefs, collègues, amis ou parents.
Cahiers du monde russe, 45/3-4 | 2004, [En ligne], mis en ligne le 03 juin 2009.
http://monderusse.revues.org/index4201.html. Consulté le 22 octobre 2010.
Peu après la parution de ce Maxi auquel je ne pensais plus, mes droits « sur » ma fille ainée allaient enfin être progressivement rétablis ; pour y aboutir, j'avais fini par sommer le juge pour enfant Xavier Serrier de juger. Ce sont déjà de très vieux souvenirs, de la matière pour des historiens. Les juges m'ont beaucoup reproché cette parution.
J'avais commenté cet article de Maxi. Plus tard, des journalistes de France 2 me suivaient au tribunal, pour Faits divers, le mag. Du reportage diffusé par France 2, il y a 3 ans : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. » Elle a maintenant quasi 18 ans. A mon avis, le ministère public va rester éternellement aphone, il n'a rien à répondre à ces caméras, et le pasteur ne dira rien non plus. Mais que dis-je, « ces caméras » ; les caméras se sont vaporisées
Ce dimanche, à Blois, le procureur Varin nous a beaucoup bercé parlé de présomption d'innocence ; il insistait.
Maxi n° 1114, du 3 au 9 mars 2008
« Régalez-vous économique ! » J'ai de nouveaux éléments entre les mains et il m'en parviendra encore.
La cour d'appel de Versailles, sa chambre des créatures inférieures, a elle même assez souvent été explicite : « Par ordonnance du 18 novembre 2003, malgré la résistance du père à l'interférence des tiers dans l'éducation de sa fille, en particulier des institutions judiciaires, Justine, enfermée dans un conflit de loyauté qu'elle ne pouvait maitriser seule, était placée à la Maison d'enfants du château de Vaucelles à Taverny, placement qui était renouvelé à compter du 14 avril 2004. » Prétendant « sauver », ces gorets du social ont tout cassé, travaillant plus à rompre, à servir le pasteur et le corbeau de cette histoire, une tata de la Dass, à se défausser et à se couvrir plutôt qu'à aider effectivement mon ainée. Récemment, l'ARSEA Alsace a ajouté une cerise de plus à ce gros gâteau ; ces pros là tenaient absolument, à leur tour, à « orienter » mon ainée ; ils ont réussi à faire foirer également sa scolarité. Et ce n'est pas fini ; d'autres « professionnels » ont fait un peu n'importe quoi dans le cadre de successions... Aux Français et à leurs juges : encore un petit effort, puis vous aurez bien sauvé ou veillé sur tout ! Mais je suis d'accord, on a déjà vu pire. Oui, 'y a toujours pire.
Le ministère public va rester aphone, ou arguer d'abord qu'il s'agirait « d'assistance éducative », ou que tout cela est « d'ordre privé ». J'ai beaucoup étudié et appris au cours de cette dernière année. J'ai, par exemple, étudié des procureurs et des juges ; j'avais surpris un avocat général lorsqu'il s'était apperçu que je l'avais observé au cours de l'audience, alors que les juges lisaient un rapport ; je pense que je surprennais déjà le juge Anne Valentini, dès la mi-2003 et plus encore, après l'été 2004, au cours d'une discussion, lorsqu'elle décidait de ne pas se déssaisir du dossier de ma fille, ce qui m'avait choqué. J'ai ausssi étudié SEFCA Puteaux. Par le passé, j'avais déjà longuement et assez finement étudié l'Enfant d'Abord ainsi qu'une faune qui grouillait dans les forums de aufeminin.com. J'ai étudié ou approfondi de nombreuses matières, travaux et publications, observé plus d'une créature ou association ; des historiens, des juristes et des sociologues s'en sont peut-être apperçu ; les gorets de l'ARSEA s'en sont beaucoup plaint, Richard Josefsberg a également très mal supporté ma carotte. Je recherche encore la « dimension éducative » ou ce qui, dans une telle histoire, profiterait effectivement à ma fille aînée, « l'enfant ». En ce moment, avec SEFCA Puteaux, je buche le pénal et ses préliminaires, des matières que je n'avais pas encore eu l'opportunité d'approfondir.
J'amasse des éléments - concrets, matériels - depuis de très longs mois, voire même depuis des années, tandis que d'autres allèguent, dénigrent, diffament, injurient et accusent depuis début 2009, sur la toile, ainsi que, depuis peu, auprès de la police nationale et du proc', en recherchant des témoins, en réclamant voire même en supposant des condamnations acquises, en exigant des investigations et en réclamant maintenant même un juge d'instruction ? Ces délinquants - un mot qui plait beaucoup à l'UMP - de Puteaux n'ont-ils réellement aucune preuve contre moi, leurs faudrait-il des juges, de vrais juges, pour leurs rassembler des charges ? Les démarches de ces délinquants, en France, auprès du parquet de Nanterre, de la police de Puteaux et, très probablement, auprès des services de police Neuilly aussi, ne m'inquiètent absolument pas. Tout devrait se décanter au cours des prochaines semaines ou mois. Qu'est-ce que cette « gazette de Puteaux », un autre blog également hébergé sur Wordpress.com, encore aux USA ? Cette gazette semble avoir publié ou repris des affabulations et des diatribes de l'association SEFCA Puteaux. J'en parlerais également à la police ainsi qu'à tout juge qui se saisirait des plaintes et complaintes de ces délinquants ou affabulateurs de Puteaux ; je n'ai rien à cacher ; même ce que des professionnels appellent le tribunal de l'opinion ne m'inquiète absolument pas.
Le Canard, 1er octobre 2008
On rigole souvent lorsqu'on lit le Canard ainsi que d'autres feuilles, moins satiriques. Je rigole aussi, très souvent, lorsque SEFCA Puteaux annonce que des plaintes suivront. Les plaintes de ces délinquants ont parfois été très concrètes, suivies d'effets ; la police du secteur m'a déjà convié pour me demander des explications, en mai dernier. La police pourrait bientôt, à nouveau, me repprocher d'avoir publié des « photos des enfants » de Monsieur et Madame Lorentz. Jean, le « prédésigné », n'est-il plus le fils de Nicolas Sarkozy ? Il semblerait surtout qu'il y a peu, Monsieur Lorentz a détourné une correspondance privée pour la publier, lui-même, sur Internet, tout en m'accusant de l'avoir fait, quelque chose de cette nature... Et il y a peu, la police me priait encore d'attendre ; le proc' de Nanterre doit, un jour, prendre des décisions.
Des photos de ses enfants, publiées sur Internet ? | Des photos avec Jean Sarkozy et Nadine Morano ? |
Ces deux vignettes sont celles de photos d'un constat d'huissier. Je pense que l'association SEFCA Puteaux est brouillée avec ces gens là, mes butineuses - voir ou relire Je crois qu'une bonne piqûre de rappel s'impose. Les huissiers de justice sont pourtant parfaitement compétants pour réaliser des captures, des constats, y compris sur Internet - poser la question à Google. Faire appel à leurs services n'a rien d'un crime ou d'un quelconque délit, en tous cas, pas en France - en principe, dans les grandes lignes, qui pourraient être bientôt déplacées par le proc' et des juges du coin.
Ma compagne rigole souvent, elle aussi. Elle a beaucoup rigolé lorsque Nanterre a décidé d'auditionner un dalmatien. Un juge s'éclaire comme il a envie de le faire ; les juges de Nanterre et de Versailles me l'ont assez bien démontré au cours de ces dernières années ; on dira plutôt des juges qu'ils sont indépendants ; les juges du coin ont mis un temps fou avant de reconnaitre qu'ils avaient dénaturé des éléments du dossier d'assistance éducative de ma fille ainée, ou plutôt, un temps fou à bouger un peu leurs plumes, à relire et à revoir un peu leurs motivations. Ma compagne rigole souvent, mais elle s'inquiète aussi, ces derniers temps ; les juges du coin accepteront-ils ou vont-ils, comme SEFCA Puteaux envisage de le faire, purement et simplement balayer ces constats d'huissier auxquels je me réfère ? Mais le pénal, en public, et l'assistance éducative, à huis clos ou à la dérobée, ce n'est pas du tout la même chose - en principe seulement.
J'étais hilare lorsque j'ai découvert ce PDF, dans ma boite mail, de la part du service contentieux d'Iliad. Combien de truands rêveraient d'être informés avant l'arrivée, chez eux, de la police, de fouineurs, voire même d'un juge d'instruction, en personne et à l'improviste ? « Coucou, c'est pour la fouille, puis on vous embarque ! » Fillipis, ex-PDG de Libé, pourrait en rire ou en pleurer également ; fin 2008, il a été fouillé puis amméné au juge d'instruction, toute la presse était boulversée ; « la garde à vue, ça craint, ces procédés sont inadmissibles ! » Iliad m'envoyait ce fax par mail en me suggérant alors de « prendre les mesures utiles qui s'imposent ». J'ai repeint les WC. Quoi faire d'autre ?
L'essentiel des éléments auxquels je me réfère lorsque je réagis, face aux accusations et aux diatribes de SEFCA Puteaux, est gravé dans les minutes de deux ou trois huissiers de justice français. Le proc ayant aujourd'hui d'assez larges pouvoirs d'investigations, il a probablement déjà pu accéder à ces minutes, vérifier au moins la conformité de ce que je lui ai déjà communiqué, au cours de l'hiver et du printemps dernier. Le proc' et ses services sont peut-être perdus dans ces centaines de pages de constats d'huissier qu'il ont pu découvrir depuis... et noyés dans les fichiers de police, maintenant régulièrement alimentés par SEFCA Puteaux ?
Je n'ai pas simplement fait capturer des extraits des blogs de SEFCA Puteaux, mais des pages entières, parfois des sources aussi, en communiquant simplement des URL à ces huissiers de justice, avec des manières courantes pour y accéder, par exemple, depuis Google ; on ne pourrait que très difficilement m'accuser d'avoir fait capturer des morceaux choisis, puis d'en avoir fait des « montages ». D'où j'ai ces captures réalisées sur Facebook ? Elles sont aux minutes d'un huissier, il s'est enregistré, sur Facebook ; là bas, Monsieur Lorentz avait un mur, lisible par tous, et une liste d'amis, également lisible par tous. Comment j'ai pu me procurer la plainte de Monsieur Françis Painot ? Elle est aux minutes d'un huissier, il l'a trouvée sur la toile, dans un blog de SEFCA Puteaux. Il y avait aussi des bugs, ici et là, mais je n'en parlerais pas ; là encore, l'essentiel est gravé ou noyé dans les minutes d'un huissier ; tout est légal. Il faudrait que je sois débille pour « m'introduire » quelque part et risquer une condamnation. Je ne parlerais pas car je pourrais porter préjudice à Wordpress.com ainsi qu'à Wordpress.org, certainement à Facebook aussi, ce que je ne souhaite pas faire. Mais si le proc' ou un juge insiste, je parlerais et nous rirons encore des allégations de SEFCA Puteaux - 024 076 091 093... 100
If you want it secure, cut the wires - remove the power cord. Il y a quelques temps, pour le Conseil Général du 9-2, Monsieur Françis Painot était lui-même assez explicite, je ne l'ai pas caché, SEFCA Puteaux non plus :
Internet, ce n'est pas plus confidentiel qu'un couloir, tout peut s'y éparpiller ?
Du chantage ? Mais de quel chantage se plaint SEFCA Puteaux ? Comment pourrais-je faire disparaitre quelque chose qui est depuis des mois comme gravé dans du marbre, chez des huissiers, et qui est déjà communiqué au proc', publié sur Internet aussi ? Pourquoi envisagerais-je de faire disparaitre quelque chose dont je me sers pour me défendre ? Ces plaintes ou accusations fantaisistes qu'on se prend, en retour, sont à mon avis très courantes dans ce genre d'affaires ; ce dimanche, à Blois, le club de la presse en a même parlé ; je suppose que le proc' et la police du coin sont également au parfum. SEFCA Puteaux a relevé des injures et s'en est plaint à un juge d'instruction ? Où sont ces injures dont se plaignent ces délinquants, de quoi s'agit-il ? Il y aurait ici et là, dans mes écrits, quelque chose d'inacceptable, d'inadmissible ? Je ne partage pas ce sentiment. Ce vieux texte de 1881 est vraiment très bien conçu ; son article 1er : « L'imprimerie et la librairie sont libres » ; mais il faut aussi lire les articles suivants.
Comme je l'écrivais déjà le 30 mars dernier, « des lecteurs vont vouloir me parler d'une histoire de tarte aux pommes en me lançant que la justice aurait bien mieux à faire... Mais je ne me plains pas d'un simple « salope » marmonné un jour, dans une boulangerie. » Par ailleurs, SEFCA Puteaux a tout de même réussi à mobiliser la police, le proc' ainsi que le doyen des juges d'instruction du coin. Je crois que cette affaire est aujourd'hui assez sérieuse ? En tous cas, la police de Puteaux semble avoir pris Madame Moreau et Monsieur Lorentz très au sérieux. D'autres vont me lancer qu'il se passe toujours des choses plus graves, ailleurs ; oui, je sais, et pour s'en convaincre, il suffit de parcourir ma rubrique Notes ou ma rubrique Victimes, dans ce même blog. Mais patience, le proc' va peut-être tout classer ; c'est lui, le chef, ici.
Mais que Courroye et ses services classent, une première partie, et ce sera parfait. J'ai d'ailleurs exercé diverses pressions à ces fins, pour les faire bien fouiller. En effet, en mai dernier, auprès de la police qui m'avait demandé des explications, j'ai dépose une plainte contre SEFCA Puteau, Madame Moreau et Monsieur Lorentz, en raison de dénonciations calomnieuses, une plainte que je vais évidement maintenir. En mai dernier, j'exerçais également des pressions à la chancellerie ; voir Référence à rappeler au Ministre : BDC/CP/FM-2010004446638. Plus tard, en juin, Versailles renvoyait, conviant le pasteur... et début septembre dernier, le proc' de Paris finissait par me répondre. Depuis, selon le Métro du 20 septembre, des juges ont appelé à une grève du zèle. A mon avis, le parquet s'affaire. En marge de toutes ces histoires, au tribunal de Nanterre, je me suis aussi plaint d'une doublette, à Puteaux.
récépissé de plainte en raison de dénonciations calomnieuses
Fin mai 2010... depuis, en plus des injures, il pleut les jérémiades de Puteaux
Je note que Jean Sarkozy est à nouveau en campagne. D'après le Parisien, il trime, pour ses études, et « désormais, il refuse toutes les sollicitations des médias. » Va-t-il afficher son franc soutien à SEFCA Puteaux ? Lefebvre ou Poniatowski, un ami d'Emeric Lorentz, sur Facebook, vont-ils s'en charger, pour l'UMP ? 'y a personne, au Parti, pour repécher l'un de ses membres ? Allez, courage Lefebvre, comme vous l'aviez suggéré, en février dernier, on étale tout, on passe enfin à cette ère différente ! Il faut que je retrouve un email de Puteaux adressé à Monsieur Nicolas Sarkozy, notre chantre national... J'ai déjà retrouvé ce qui semble être ce fameux faux, très émouvant, dont Monsieur Painot pourrait s'être plaint. Ah ! Voilà cet email, sur cette page : « Monsieur le Président, Je vous écrie une nouvelle fois, nouveau membre de l'UMP avec ma femme grâce à votre fils Jean Sarkozy. » Quelqu'un va renvoyer l'ascenceur ? Nadine, Ministre de la famille ou des battues (les femmes, à moins que des battues de la Dass), pourrait s'en charger ; la femme et les enfants de Monsieur Lorentz seraient les grandes victimes de cette histoire-ci.
J'ai parfois l'amère impression de faire de la politique, parmi des requins, en marge de mes affaires « d'ordre privées », menées en ce qui serait justice. Je pense que je vais devoir relire les arrêts et jugements rendus par Versailles et Nanterre, de 2007 à 2010 au moins ; je crois que d'une certaine façon, les juges du coin ont pu percevoir quelque chose d'assez similaire, ils ont souvent critiqué mon expression, en public (presse, blog et forums sur le net, télé, manifestations dans Paris, critique des gorets du social, ... alors Xavier Serrier, l'un de leurs pairs, emplafonné fin 2008, puis encore la cassation, n'en parlons même pas, j'ai pu vexer plus d'un juge et de nombreux justiciables).
Paranoïa ? Hé, du calme, les illuminés, les pitres en robe et les bouffons en blouse ! Au cours de ces dernières années, j'ai critiqué à peu près tout le monde, et souvent agit ou réagit, y compris parfois de manière virulente, dans des prétoires. Il me parait donc assez naturel qu'il y ait aussi fréquemment des réactions, en retour, jusqu'à des réactions des plus maladroites. N'est-ce pas, SEFCA Puteaux ? N'est-ce pas, l'OSE France ? N'est-ce pas, l'ARSEA Alsace ? N'est-ce pas, les juges ? CHEESE - Prennez le avec le sourir, ce ne sont que quelques mots. Je propose qu'on en discute ensemble, plus en détail, et qu'on farfouille, histoire d'en rire d'avantage. On pourrait aussi convier des historiens, spécialistes des systèmes ou régimes totalitaires, lire puis commenter ensemble Un cas clinique, histoire d'en rire, un extrait du DSM-IV, paru chez Masson, en 2008 ? Allez, on se remue, on ose, et on parle de tout, sans le moindre complexe ! Enfin... ces histoires d'inflation et d'empreintes génitales, allez en discuter avec qui vous savez.
En janvier 2009, j'envoyais une baffouille au garde des Vélodromes. J'écrivais encore que, « contrairement à ce que le Docteur Magalie Bodon-Bruzel supposait dans un rapport très contestable versé au dossier de Justine en 2006, j’ai conscience des troubles que je crée autour de moi. J’ai également bonne conscience des troubles que d’autres créent et entretiennent autour de moi et de mes enfants. Cet expert missionné par le juge pour enfant de Nanterre aurait du m’entendre ou, à défaut, deviner que j’allais un jour répondre à la hussarde. » Puis nous passions l'été 2009 en famille. Depuis, tout est reparti en vrille... mais c'est du passé, de la matière pour des historiens. En septembre 2009, ma compagne me disait : « écoute... attend, j'ai entendu ça l'autre jour... ça va te plaire... écoute, ça va venir ». J'ai adoré. Pendant quelques temps, j'ai fait la promotion d'un son de Lily Allen, y compris dans Paris, pour les 20 ans de la CIDE. Je crois qu'on m'en a beaucoup voulu :
La cassation doit donc encore rendre une décision. Je me fout de ce qu'elle rendra, mais j'attends. Ce qui pend au nez de certains, d'une manière assez sûre, est une sorte d'affaire Finaly bis. Le pasteur d'Uhrwiller pourrait bientôt plagier Madame Brun et Olivier Echappe, l'un des évèques ? Il me semble que Madame Brun n'a jamais parlé non plus. Qu'est-ce qui motive ce pasteur ? Les professionnels de l'OSE France et de l'ARSEA Alsace ont déjà endossé le rôle des français. On dit de l'affaire Finaly qu'elle avait divisé ce pays. Je pense que cette histoire-ci, où tout est couleur noyade, pourrait un jour fragmenter la France... Dans cette histoire, SEFCA Puteaux est susceptible d'avoir un second rôle, par exemple, de l'un des boulets qui m'ont fait perdre mon temps et des ressources, au cours de ces dernières années - les boulets se reconnaitront, jusqu'à la ville d'Asnières, encore le 9-2, et jusque dans des commissariats aussi.
A Puteaux, la police semble prêter une oreille très attentive à Madame Moreau ainsi qu'à Monsieur Lorentz. Par le passé, ailleurs et un peu partout, on m'a souvent envoyé chier ou pleurer plus loin, par exemple, auprès d'un avocat - « on ne porte pas plainte contre une association d'utilité publique », l'OSE France. Je m'en fout de ce qui se trame à Puteaux, que Madame Moreau et Monsieur Lorentz déposent. Pendant que SEFCA Puteaux poireaute ou s'exprime au commissariat, à ma connaissance, personne d'autre ne braille sur Internet. Tout devrait bientôt se décanter, puis se tasser.
Voir La liste électorale
Parano ou complot ? Foutaise ! D'autres choses sont bien plus certaines.
Par exemple, je n'hésite pas ni à parler, ni à sortir - ni à écrire non plus. Au cours de ces dernières années, je pense avoir mis les pieds un peu partout, même au hamasland, sur les lieux de la catastrophe aussi. Ce dimanche 17 octobre, j'aurai bien aimé me rendre au siège de l'OSE France, pour apprendre comment résister et vivre ; mais j'avais déjà mes billets de train, pour Blois, et de toute façon, j'avais suivi le cours la vie, après la Shoah.
Par le passé, ces délinquants de Puteaux diffamaient et m'injuriaient depuis unblog.fr, un hébergeur franco-suisse. Depuis le printemps dernier, après un grand ménage sur unblog.fr, après le ménage chez NouvelObs.com, ces mêmes délinquants diffament et m'injurient encore, mais depuis Wordpress.com, aux USA, tout en sollicitant maintenant très régulièrement les services de police ainsi que le parquet français. Ces délinquants souhaiteraient que je sois poursuivi, sévèrement puni, et que mon blog, hébergé à Paris, soit « fermé ». Ces jours-ci, ça m'occupe encore un peu. Même si je suis déjà en relation avec les services de Wordpress.com, je ne sais pas si j'arriverais à faire faire le ménage, là bas, aux USA. A l'étranger, les règles, la loterie ou ce cirque sont souvent très différents des notres. Je pense que le parquet confirmera, même des sites de pédopornographie peuvent rester en ligne, y compris après une condamnation. Le dommage ou préjudice sera-t-il irréversible ? Je vais suivre l'affaire Eric Le Moyne de Serigny contre rue89, elle pourrait m'inspirer... J'suis con, c'est un conseiller de Woerth et donc, une justice de tout là haut, de celles qui s'appliquent.
D'ici à la fin novembre, je dois finir de rédiger des conclusions, en prévision d'une audience, auprès de la deuxième chambre civile de la cour d'appel de Versailles. Le fisc vient de me communiquer des informations extraites du cadastre, je vais pouvoir réouvrir le livre foncier(.fr) que je viens de débuguer avec leurs services techniques.
Etc, etc. Puis suivra donc cette audience, à Versailles. Le pasteur d'Uhrwiller viendra-t-il prêcher ou sera-t-il à nouveau dispensé par les juges ? Ca me rappellerait le passé, lorsque Monsieur et Madame Clementz gagnaient à tous les coups, surtout à Versailles, comme à Nanterre. Il faut que je l'évoque, dans mes prochaines observations.
Les suisses, des antisémites ? Je profite de ce billet précis pour lancer à l'écrivain BHL ainsi qu'au cinéaste Yann Moix qu'à mon avis, ce n'est pas la Suisse, mais la France qui avait écarté ses cuisses devant l'occupant nazi. Je me trompe ? Dans ce cas, de nombreuses tondues ou leur descendance vont pouvoir exiger des réparations.
Je vous avertis... De vous tenir toujours en défense [contre le démon]
tremblez même dans la victoire ;
c'est alors qu'il fait ses plus grands efforts,
et qu'il remue ses machines les plus redoutables. • Bossuet
C'est tellement affreux de voir le destin en face. • Henrik Ibsen