Tiens, voilà que ressurgit ce Maxi
Il y a peu, ailleurs, dans un billet au contenu bizarre, sans mon autorisation, j'ai vu paraitre une photo qui semble avoir été taillée dans ce mag, un Maxi de mars 2008. Un huissier de justice français a vu et enregistré ce montage douteux ou excentrique. Qu'en pensera le proc' du coin, Nanterre ? Depuis quelques temps, j'ai parfois le sentiment d'être « signalé », comme en Russie ou comme depuis Puteaux, par le passé. Pour le moment, je n'ai pas pu contacter un OPJ, pour en discuter encore ; ils étaient manifestement « à la circulation », du fait des conflits sociaux.
Cahiers du MONDE RUSSE
45/3-4 | 2004
Période soviétique et post-soviétique, extraits
Les dernières avancées de la recherche sur l’histoire de l’URSS ont déjà fait voler en éclats beaucoup de préjugés idéologiques, y compris le schématisme et l’extrémisme des courants « totalitariste » et « révisionniste ». [...] Selon le langage de l’époque, leurs auteurs envoyaient des « signaux » aux autorités dans le but d’attirer leur attention sur ce qui n’allait pas dans la vie publique ou privée. Cependant ils s’abstenaient, à de rares exceptions près, de critiquer le pouvoir central. C’était tout le contraire : en manifestant ainsi leur confiance au régime, ils espéraient que les autorités prendraient des mesures contre des comportements déviants de voisins, chefs, collègues, amis ou parents.
Cahiers du monde russe, 45/3-4 | 2004, [En ligne], mis en ligne le 03 juin 2009.
http://monderusse.revues.org/index4201.html. Consulté le 22 octobre 2010.
Peu après la parution de ce Maxi auquel je ne pensais plus, mes droits « sur » ma fille ainée allaient enfin être progressivement rétablis ; pour y aboutir, j'avais fini par sommer le juge pour enfant Xavier Serrier de juger. Ce sont déjà de très vieux souvenirs, de la matière pour des historiens. Les juges m'ont beaucoup reproché cette parution.
J'avais commenté cet article de Maxi. Plus tard, des journalistes de France 2 me suivaient au tribunal, pour Faits divers, le mag. Du reportage diffusé par France 2, il y a 3 ans : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. » Elle a maintenant quasi 18 ans. A mon avis, le ministère public va rester éternellement aphone, il n'a rien à répondre à ces caméras, et le pasteur ne dira rien non plus. Mais que dis-je, « ces caméras » ; les caméras se sont vaporisées
Ce dimanche, à Blois, le procureur Varin nous a beaucoup bercé parlé de présomption d'innocence ; il insistait.

Maxi n° 1114, du 3 au 9 mars 2008
« Régalez-vous économique ! » J'ai de nouveaux éléments entre les mains et il m'en parviendra encore.
La cour d'appel de Versailles, sa chambre des créatures inférieures, a elle même assez souvent été explicite : « Par ordonnance du 18 novembre 2003, malgré la résistance du père à l'interférence des tiers dans l'éducation de sa fille, en particulier des institutions judiciaires, Justine, enfermée dans un conflit de loyauté qu'elle ne pouvait maitriser seule, était placée à la Maison d'enfants du château de Vaucelles à Taverny, placement qui était renouvelé à compter du 14 avril 2004. » Prétendant « sauver », ces gorets du social ont tout cassé, travaillant plus à rompre, à servir le pasteur et le corbeau de cette histoire, une tata de la Dass, à se défausser et à se couvrir plutôt qu'à aider effectivement mon ainée. Récemment, l'ARSEA Alsace a ajouté une cerise de plus à ce gros gâteau ; ces pros là tenaient absolument, à leur tour, à « orienter » mon ainée ; ils ont réussi à faire foirer également sa scolarité. Et ce n'est pas fini ; d'autres « professionnels » ont fait un peu n'importe quoi dans le cadre de successions... Aux Français et à leurs juges : encore un petit effort, puis vous aurez bien sauvé ou veillé sur tout ! Mais je suis d'accord, on a déjà vu pire. Oui, 'y a toujours pire.
Le ministère public va rester aphone, ou arguer d'abord qu'il s'agirait « d'assistance éducative », ou que tout cela est « d'ordre privé ». J'ai beaucoup étudié et appris au cours de cette dernière année. J'ai, par exemple, étudié des procureurs et des juges ; j'avais surpris un avocat général lorsqu'il s'était apperçu que je l'avais observé au cours de l'audience, alors que les juges lisaient un rapport ; je pense que je surprennais déjà le juge Anne Valentini, dès la mi-2003 et plus encore, après l'été 2004, au cours d'une discussion, lorsqu'elle décidait de ne pas se déssaisir du dossier de ma fille, ce qui m'avait choqué. J'ai ausssi étudié SEFCA Puteaux. Par le passé, j'avais déjà longuement et assez finement étudié l'Enfant d'Abord ainsi qu'une faune qui grouillait dans les forums de aufeminin.com. J'ai étudié ou approfondi de nombreuses matières, travaux et publications, observé plus d'une créature ou association ; des historiens, des juristes et des sociologues s'en sont peut-être apperçu ; les gorets de l'ARSEA s'en sont beaucoup plaint, Richard Josefsberg a également très mal supporté ma carotte. Je recherche encore la « dimension éducative » ou ce qui, dans une telle histoire, profiterait effectivement à ma fille aînée, « l'enfant ». En ce moment, avec SEFCA Puteaux, je buche le pénal et ses préliminaires, des matières que je n'avais pas encore eu l'opportunité d'approfondir.
J'amasse des éléments - concrets, matériels - depuis de très longs mois, voire même depuis des années, tandis que d'autres allèguent, dénigrent, diffament, injurient et accusent depuis début 2009, sur la toile, ainsi que, depuis peu, auprès de la police nationale et du proc', en recherchant des témoins, en réclamant voire même en supposant des condamnations acquises, en exigant des investigations et en réclamant maintenant même un juge d'instruction ? Ces délinquants - un mot qui plait beaucoup à l'UMP - de Puteaux n'ont-ils réellement aucune preuve contre moi, leurs faudrait-il des juges, de vrais juges, pour leurs rassembler des charges ? Les démarches de ces délinquants, en France, auprès du parquet de Nanterre, de la police de Puteaux et, très probablement, auprès des services de police Neuilly aussi, ne m'inquiètent absolument pas. Tout devrait se décanter au cours des prochaines semaines ou mois. Qu'est-ce que cette « gazette de Puteaux », un autre blog également hébergé sur Wordpress.com, encore aux USA ? Cette gazette semble avoir publié ou repris des affabulations et des diatribes de l'association SEFCA Puteaux. J'en parlerais également à la police ainsi qu'à tout juge qui se saisirait des plaintes et complaintes de ces délinquants ou affabulateurs de Puteaux ; je n'ai rien à cacher ; même ce que des professionnels appellent le tribunal de l'opinion ne m'inquiète absolument pas.

Le Canard, 1er octobre 2008
On rigole souvent lorsqu'on lit le Canard ainsi que d'autres feuilles, moins satiriques. Je rigole aussi, très souvent, lorsque SEFCA Puteaux annonce que des plaintes suivront. Les plaintes de ces délinquants ont parfois été très concrètes, suivies d'effets ; la police du secteur m'a déjà convié pour me demander des explications, en mai dernier. La police pourrait bientôt, à nouveau, me repprocher d'avoir publié des « photos des enfants » de Monsieur et Madame Lorentz. Jean, le « prédésigné », n'est-il plus le fils de Nicolas Sarkozy ? Il semblerait surtout qu'il y a peu, Monsieur Lorentz a détourné une correspondance privée pour la publier, lui-même, sur Internet, tout en m'accusant de l'avoir fait, quelque chose de cette nature... Et il y a peu, la police me priait encore d'attendre ; le proc' de Nanterre doit, un jour, prendre des décisions.
Des photos de ses enfants, publiées sur Internet ? | Des photos avec Jean Sarkozy et Nadine Morano ? |
Ces deux vignettes sont celles de photos d'un constat d'huissier. Je pense que l'association SEFCA Puteaux est brouillée avec ces gens là, mes butineuses - voir ou relire Je crois qu'une bonne piqûre de rappel s'impose. Les huissiers de justice sont pourtant parfaitement compétants pour réaliser des captures, des constats, y compris sur Internet - poser la question à Google. Faire appel à leurs services n'a rien d'un crime ou d'un quelconque délit, en tous cas, pas en France - en principe, dans les grandes lignes, qui pourraient être bientôt déplacées par le proc' et des juges du coin.
Ma compagne rigole souvent, elle aussi. Elle a beaucoup rigolé lorsque Nanterre a décidé d'auditionner un dalmatien. Un juge s'éclaire comme il a envie de le faire ; les juges de Nanterre et de Versailles me l'ont assez bien démontré au cours de ces dernières années ; on dira plutôt des juges qu'ils sont indépendants ; les juges du coin ont mis un temps fou avant de reconnaitre qu'ils avaient dénaturé des éléments du dossier d'assistance éducative de ma fille ainée, ou plutôt, un temps fou à bouger un peu leurs plumes, à relire et à revoir un peu leurs motivations. Ma compagne rigole souvent, mais elle s'inquiète aussi, ces derniers temps ; les juges du coin accepteront-ils ou vont-ils, comme SEFCA Puteaux envisage de le faire, purement et simplement balayer ces constats d'huissier auxquels je me réfère ? Mais le pénal, en public, et l'assistance éducative, à huis clos ou à la dérobée, ce n'est pas du tout la même chose - en principe seulement.
J'étais hilare lorsque j'ai découvert ce PDF, dans ma boite mail, de la part du service contentieux d'Iliad. Combien de truands rêveraient d'être informés avant l'arrivée, chez eux, de la police, de fouineurs, voire même d'un juge d'instruction, en personne et à l'improviste ? « Coucou, c'est pour la fouille, puis on vous embarque ! » Fillipis, ex-PDG de Libé, pourrait en rire ou en pleurer également ; fin 2008, il a été fouillé puis amméné au juge d'instruction, toute la presse était boulversée ; « la garde à vue, ça craint, ces procédés sont inadmissibles ! » Iliad m'envoyait ce fax par mail en me suggérant alors de « prendre les mesures utiles qui s'imposent ». J'ai repeint les WC. Quoi faire d'autre ?
L'essentiel des éléments auxquels je me réfère lorsque je réagis, face aux accusations et aux diatribes de SEFCA Puteaux, est gravé dans les minutes de deux ou trois huissiers de justice français. Le proc ayant aujourd'hui d'assez larges pouvoirs d'investigations, il a probablement déjà pu accéder à ces minutes, vérifier au moins la conformité de ce que je lui ai déjà communiqué, au cours de l'hiver et du printemps dernier. Le proc' et ses services sont peut-être perdus dans ces centaines de pages de constats d'huissier qu'il ont pu découvrir depuis... et noyés dans les fichiers de police, maintenant régulièrement alimentés par SEFCA Puteaux ?
Je n'ai pas simplement fait capturer des extraits des blogs de SEFCA Puteaux, mais des pages entières, parfois des sources aussi, en communiquant simplement des URL à ces huissiers de justice, avec des manières courantes pour y accéder, par exemple, depuis Google ; on ne pourrait que très difficilement m'accuser d'avoir fait capturer des morceaux choisis, puis d'en avoir fait des « montages ». D'où j'ai ces captures réalisées sur Facebook ? Elles sont aux minutes d'un huissier, il s'est enregistré, sur Facebook ; là bas, Monsieur Lorentz avait un mur, lisible par tous, et une liste d'amis, également lisible par tous. Comment j'ai pu me procurer la plainte de Monsieur Françis Painot ? Elle est aux minutes d'un huissier, il l'a trouvée sur la toile, dans un blog de SEFCA Puteaux. Il y avait aussi des bugs, ici et là, mais je n'en parlerais pas ; là encore, l'essentiel est gravé ou noyé dans les minutes d'un huissier ; tout est légal. Il faudrait que je sois débille pour « m'introduire » quelque part et risquer une condamnation. Je ne parlerais pas car je pourrais porter préjudice à Wordpress.com ainsi qu'à Wordpress.org, certainement à Facebook aussi, ce que je ne souhaite pas faire. Mais si le proc' ou un juge insiste, je parlerais et nous rirons encore des allégations de SEFCA Puteaux - 024 076 091 093... 100
If you want it secure, cut the wires - remove the power cord. Il y a quelques temps, pour le Conseil Général du 9-2, Monsieur Françis Painot était lui-même assez explicite, je ne l'ai pas caché, SEFCA Puteaux non plus :

Internet, ce n'est pas plus confidentiel qu'un couloir, tout peut s'y éparpiller ?
Du chantage ? Mais de quel chantage se plaint SEFCA Puteaux ? Comment pourrais-je faire disparaitre quelque chose qui est depuis des mois comme gravé dans du marbre, chez des huissiers, et qui est déjà communiqué au proc', publié sur Internet aussi ? Pourquoi envisagerais-je de faire disparaitre quelque chose dont je me sers pour me défendre ? Ces plaintes ou accusations fantaisistes qu'on se prend, en retour, sont à mon avis très courantes dans ce genre d'affaires ; ce dimanche, à Blois, le club de la presse en a même parlé ; je suppose que le proc' et la police du coin sont également au parfum. SEFCA Puteaux a relevé des injures et s'en est plaint à un juge d'instruction ? Où sont ces injures dont se plaignent ces délinquants, de quoi s'agit-il ? Il y aurait ici et là, dans mes écrits, quelque chose d'inacceptable, d'inadmissible ? Je ne partage pas ce sentiment. Ce vieux texte de 1881 est vraiment très bien conçu ; son article 1er : « L'imprimerie et la librairie sont libres » ; mais il faut aussi lire les articles suivants.
Comme je l'écrivais déjà le 30 mars dernier, « des lecteurs vont vouloir me parler d'une histoire de tarte aux pommes en me lançant que la justice aurait bien mieux à faire... Mais je ne me plains pas d'un simple « salope » marmonné un jour, dans une boulangerie. » Par ailleurs, SEFCA Puteaux a tout de même réussi à mobiliser la police, le proc' ainsi que le doyen des juges d'instruction du coin. Je crois que cette affaire est aujourd'hui assez sérieuse ? En tous cas, la police de Puteaux semble avoir pris Madame Moreau et Monsieur Lorentz très au sérieux. D'autres vont me lancer qu'il se passe toujours des choses plus graves, ailleurs ; oui, je sais, et pour s'en convaincre, il suffit de parcourir ma rubrique Notes ou ma rubrique Victimes, dans ce même blog. Mais patience, le proc' va peut-être tout classer ; c'est lui, le chef, ici.
Mais que Courroye et ses services classent, une première partie, et ce sera parfait. J'ai d'ailleurs exercé diverses pressions à ces fins, pour les faire bien fouiller. En effet, en mai dernier, auprès de la police qui m'avait demandé des explications, j'ai dépose une plainte contre SEFCA Puteau, Madame Moreau et Monsieur Lorentz, en raison de dénonciations calomnieuses, une plainte que je vais évidement maintenir. En mai dernier, j'exerçais également des pressions à la chancellerie ; voir Référence à rappeler au Ministre : BDC/CP/FM-2010004446638. Plus tard, en juin, Versailles renvoyait, conviant le pasteur... et début septembre dernier, le proc' de Paris finissait par me répondre. Depuis, selon le Métro du 20 septembre, des juges ont appelé à une grève du zèle. A mon avis, le parquet s'affaire. En marge de toutes ces histoires, au tribunal de Nanterre, je me suis aussi plaint d'une doublette, à Puteaux.
récépissé de plainte en raison de dénonciations calomnieuses
Fin mai 2010... depuis, en plus des injures, il pleut les jérémiades de Puteaux
Je note que Jean Sarkozy est à nouveau en campagne. D'après le Parisien, il trime, pour ses études, et « désormais, il refuse toutes les sollicitations des médias. » Va-t-il afficher son franc soutien à SEFCA Puteaux ? Lefebvre ou Poniatowski, un ami d'Emeric Lorentz, sur Facebook, vont-ils s'en charger, pour l'UMP ? 'y a personne, au Parti, pour repécher l'un de ses membres ? Allez, courage Lefebvre, comme vous l'aviez suggéré, en février dernier, on étale tout, on passe enfin à cette ère différente ! Il faut que je retrouve un email de Puteaux adressé à Monsieur Nicolas Sarkozy, notre chantre national... J'ai déjà retrouvé ce qui semble être ce fameux faux, très émouvant, dont Monsieur Painot pourrait s'être plaint. Ah ! Voilà cet email, sur cette page : « Monsieur le Président, Je vous écrie une nouvelle fois, nouveau membre de l'UMP avec ma femme grâce à votre fils Jean Sarkozy. » Quelqu'un va renvoyer l'ascenceur ? Nadine, Ministre de la famille ou des battues (les femmes, à moins que des battues de la Dass), pourrait s'en charger ; la femme et les enfants de Monsieur Lorentz seraient les grandes victimes de cette histoire-ci.
J'ai parfois l'amère impression de faire de la politique, parmi des requins, en marge de mes affaires « d'ordre privées », menées en ce qui serait justice. Je pense que je vais devoir relire les arrêts et jugements rendus par Versailles et Nanterre, de 2007 à 2010 au moins ; je crois que d'une certaine façon, les juges du coin ont pu percevoir quelque chose d'assez similaire, ils ont souvent critiqué mon expression, en public (presse, blog et forums sur le net, télé, manifestations dans Paris, critique des gorets du social, ... alors Xavier Serrier, l'un de leurs pairs, emplafonné fin 2008, puis encore la cassation, n'en parlons même pas, j'ai pu vexer plus d'un juge et de nombreux justiciables).
Paranoïa ? Hé, du calme, les illuminés, les pitres en robe et les bouffons en blouse ! Au cours de ces dernières années, j'ai critiqué à peu près tout le monde, et souvent agit ou réagit, y compris parfois de manière virulente, dans des prétoires. Il me parait donc assez naturel qu'il y ait aussi fréquemment des réactions, en retour, jusqu'à des réactions des plus maladroites. N'est-ce pas, SEFCA Puteaux ? N'est-ce pas, l'OSE France ? N'est-ce pas, l'ARSEA Alsace ? N'est-ce pas, les juges ? CHEESE - Prennez le avec le sourir, ce ne sont que quelques mots. Je propose qu'on en discute ensemble, plus en détail, et qu'on farfouille, histoire d'en rire d'avantage. On pourrait aussi convier des historiens, spécialistes des systèmes ou régimes totalitaires, lire puis commenter ensemble Un cas clinique, histoire d'en rire, un extrait du DSM-IV, paru chez Masson, en 2008 ? Allez, on se remue, on ose, et on parle de tout, sans le moindre complexe ! Enfin... ces histoires d'inflation et d'empreintes génitales, allez en discuter avec qui vous savez.
En janvier 2009, j'envoyais une baffouille au garde des Vélodromes. J'écrivais encore que, « contrairement à ce que le Docteur Magalie Bodon-Bruzel supposait dans un rapport très contestable versé au dossier de Justine en 2006, j’ai conscience des troubles que je crée autour de moi. J’ai également bonne conscience des troubles que d’autres créent et entretiennent autour de moi et de mes enfants. Cet expert missionné par le juge pour enfant de Nanterre aurait du m’entendre ou, à défaut, deviner que j’allais un jour répondre à la hussarde. » Puis nous passions l'été 2009 en famille. Depuis, tout est reparti en vrille... mais c'est du passé, de la matière pour des historiens. En septembre 2009, ma compagne me disait : « écoute... attend, j'ai entendu ça l'autre jour... ça va te plaire... écoute, ça va venir ». J'ai adoré. Pendant quelques temps, j'ai fait la promotion d'un son de Lily Allen, y compris dans Paris, pour les 20 ans de la CIDE. Je crois qu'on m'en a beaucoup voulu :
La cassation doit donc encore rendre une décision. Je me fout de ce qu'elle rendra, mais j'attends. Ce qui pend au nez de certains, d'une manière assez sûre, est une sorte d'affaire Finaly bis. Le pasteur d'Uhrwiller pourrait bientôt plagier Madame Brun et Olivier Echappe, l'un des évèques ? Il me semble que Madame Brun n'a jamais parlé non plus. Qu'est-ce qui motive ce pasteur ? Les professionnels de l'OSE France et de l'ARSEA Alsace ont déjà endossé le rôle des français. On dit de l'affaire Finaly qu'elle avait divisé ce pays. Je pense que cette histoire-ci, où tout est couleur noyade, pourrait un jour fragmenter la France... Dans cette histoire, SEFCA Puteaux est susceptible d'avoir un second rôle, par exemple, de l'un des boulets qui m'ont fait perdre mon temps et des ressources, au cours de ces dernières années - les boulets se reconnaitront, jusqu'à la ville d'Asnières, encore le 9-2, et jusque dans des commissariats aussi.
A Puteaux, la police semble prêter une oreille très attentive à Madame Moreau ainsi qu'à Monsieur Lorentz. Par le passé, ailleurs et un peu partout, on m'a souvent envoyé chier ou pleurer plus loin, par exemple, auprès d'un avocat - « on ne porte pas plainte contre une association d'utilité publique », l'OSE France. Je m'en fout de ce qui se trame à Puteaux, que Madame Moreau et Monsieur Lorentz déposent. Pendant que SEFCA Puteaux poireaute ou s'exprime au commissariat, à ma connaissance, personne d'autre ne braille sur Internet. Tout devrait bientôt se décanter, puis se tasser.
Voir La liste électorale
Parano ou complot ? Foutaise ! D'autres choses sont bien plus certaines.
Par exemple, je n'hésite pas ni à parler, ni à sortir - ni à écrire non plus. Au cours de ces dernières années, je pense avoir mis les pieds un peu partout, même au hamasland, sur les lieux de la catastrophe aussi. Ce dimanche 17 octobre, j'aurai bien aimé me rendre au siège de l'OSE France, pour apprendre comment résister et vivre ; mais j'avais déjà mes billets de train, pour Blois, et de toute façon, j'avais suivi le cours la vie, après la Shoah.
Par le passé, ces délinquants de Puteaux diffamaient et m'injuriaient depuis unblog.fr, un hébergeur franco-suisse. Depuis le printemps dernier, après un grand ménage sur unblog.fr, après le ménage chez NouvelObs.com, ces mêmes délinquants diffament et m'injurient encore, mais depuis Wordpress.com, aux USA, tout en sollicitant maintenant très régulièrement les services de police ainsi que le parquet français. Ces délinquants souhaiteraient que je sois poursuivi, sévèrement puni, et que mon blog, hébergé à Paris, soit « fermé ». Ces jours-ci, ça m'occupe encore un peu. Même si je suis déjà en relation avec les services de Wordpress.com, je ne sais pas si j'arriverais à faire faire le ménage, là bas, aux USA. A l'étranger, les règles, la loterie ou ce cirque sont souvent très différents des notres. Je pense que le parquet confirmera, même des sites de pédopornographie peuvent rester en ligne, y compris après une condamnation. Le dommage ou préjudice sera-t-il irréversible ? Je vais suivre l'affaire Eric Le Moyne de Serigny contre rue89, elle pourrait m'inspirer... J'suis con, c'est un conseiller de Woerth et donc, une justice de tout là haut, de celles qui s'appliquent.
D'ici à la fin novembre, je dois finir de rédiger des conclusions, en prévision d'une audience, auprès de la deuxième chambre civile de la cour d'appel de Versailles. Le fisc vient de me communiquer des informations extraites du cadastre, je vais pouvoir réouvrir le livre foncier(.fr) que je viens de débuguer avec leurs services techniques.
Etc, etc. Puis suivra donc cette audience, à Versailles. Le pasteur d'Uhrwiller viendra-t-il prêcher ou sera-t-il à nouveau dispensé par les juges ? Ca me rappellerait le passé, lorsque Monsieur et Madame Clementz gagnaient à tous les coups, surtout à Versailles, comme à Nanterre. Il faut que je l'évoque, dans mes prochaines observations.
Les suisses, des antisémites ? Je profite de ce billet précis pour lancer à l'écrivain BHL ainsi qu'au cinéaste Yann Moix qu'à mon avis, ce n'est pas la Suisse, mais la France qui avait écarté ses cuisses devant l'occupant nazi. Je me trompe ? Dans ce cas, de nombreuses tondues ou leur descendance vont pouvoir exiger des réparations.
Je vous avertis... De vous tenir toujours en défense [contre le démon]
tremblez même dans la victoire ;
c'est alors qu'il fait ses plus grands efforts,
et qu'il remue ses machines les plus redoutables. • Bossuet
C'est tellement affreux de voir le destin en face. • Henrik Ibsen
« Une presse aux ordres, une radio domestiquée... »
Je rentre de Blois, du 13ième rendez-vous de l'Histoire, où une carte postale m'a outré. « LES FASCISTES n'admettent qu'un seul parti : le leur. STALINE AUSSI. [...] LES FASCISTES n'admettent qu'une presse aux ordres, une radio domestiquée, un cinéma asservi, une littérature dirigée, des syndicats obéissants. ... » J'aurai du en acheter un lot et en expédier à certains journalistes, par exemple, à la Direction de l'Agence France Frousse ou au Parisien.
Une carte postale, un canard et un mag, des souvenirs de Blois
Je crois que cette carte postale ou affiche de propagande du SFIO m'a été vendue par la fondation Jean Jaures, elle aurait pour première « ambition » d'être « le lieu de la rénovation de la pensée socialiste en portant à la fois une vision globale et des solutions concrètes. » J'attends toujours « les solutions » du parti socialiste à qui j'avais écrit, en décembre 2006. Ségolène Royal, la candidate, m'avait répondu. Je n'espère pas de réaction ni aucune réponse de la part des communistes. Je n'attends plus de réponse de la part DU PARTI je pense m'être trop moqué de notre chantre national, de trop nombreux discours et de bien trop de membres de son gouvernement ou de l'UMP. En août 2007, j'écrivais au château et à sa chancellerie, à Sarkozy et à Dati, en citant aussi Vladimir Boukovsky : « Sous couvert de l'indépendance, la place Vendôme et l'Elysée se refusent au dialogue, ne me laissant pas d'autre choix. »
En arrivant à Blois, j'ai ramassé la Nouvelle République du jour. J'ai dévoré l'article d'Onfray, en page 4. « Tu ne tuera pas, sauf si c'est des Boches » ? Je n'ai pu qu'en rire, repenser à mes conclusions balayées par Versailles, en janvier dernier, à Cinq mois de guerre, un ouvrage paru en 1916 ou 17, ainsi qu'à Sade, moraliste : « je ne vois guère (...) que ce qu'on peut appeler le meurtre moral, auquel on parvient par (...) écrit. » Personne n'a réagit après la publication de Sieg Versailles ! Il n'y a pas eu d'avantage de réactions après la parution de La vie, après la Shoah.
Les juges me répondent encore, lorsque je les y contraints. Parfois je reçois des ordonnances ou arrêts ; très occasionnellement, je reçois aussi des correspondances, par exemple, du parquet. J'attends toujours un arrêt ou une décision de la cour de cassation, j'avais déclaré un pourvoi en juillet 2009, contre un arrêt de Versailles ; cette décision plaira certainement au Défenseur des Enfants, s'il ne disparait pas avant qu'elle soit rendue.
Tout le monde se fait discret depuis que j'ai emplafonné Xavier Serrier et la première présidence de Versailles, en cassation, fin décembre 2008, surtout les journalistes et nos intellectuels ? « Une constitution est faite pour être respectée ; cette évidence n'a jamais été discutée. » J'en ai parlé ce jour, à Blois.
J'y allais pour rencontrer ou taquiner d'abord des journalistes. J'ai fait sourire un avocat qui a remarqué mon entonnoir. J'ai entendu beaucoup de banalités. Je préfère lire ou écouter Boltanski, par exemple lorqu'il nous parle de la critique. Chomsky et Foucault sont tout aussi drôles que Boltanski, aussi drôles qu'Onfray ou Sade. Je m'en fous du qu'en dira-t-on ; j'ai d'ailleurs passé cette journée, à Blois, avec un entonnoir avec moi et sur la tête, au cours des conférences ou débats auxquels j'assistais. Je portais déjà cet entonnoir sur la tête, en septembre dernier, devant l'IHEJ et l'ENM de Paris. Je pense que le pasteur d'Uhrwiller ainsi que certains magistrats de Versailles s'en foutent aussi du qu'en dira-t-on.
Faire justice devant le tribunal de l'opinion,
avec un club de la presse
A l'issue de l'une de ces conférences, Faire justice à la victime, j'ai pu brièvement discuter avec Denis Salas. Je lui ai rappelé qu'il avait préfacé L'enfant et son juge, de Thierry Barranger, « clinicien judiciaire ». Je lui ai parlé d'un couac au tribunal administratif de Strasbourg ; je pense que Denis Salas m'a très bien compris. Ses propres ouvrages figurent depuis longtemps parmi mes nombreuses références.
C'était une matinée passionnante, j'ai pris des notes que je vais conserver pour la suite, en attendant éventuellement la parution des actes de ces journées. Dans l'après midi, j'aurai souhaité assister à La fabrique des peurs judiciaires, mais l'amphi était complet ; c'est sans grande importance. J'allais surtout à Blois pour La justice dans les pays totalitaires, par des historiens ; la Chine, les nazi, les soviets... « On pense à l'absence de justice caractérisée par l'absence de l'Etat de droit ». Ils m'ont amusé. Comme personne n'osait s'aventurer à une question à l'issue de leurs présentations, j'ai parlé.
J'ai exposé comment des juges du coin, des experts « psy » et des travailleurs sociaux de l'OSE France s'étaient emparés de la trisome 21 de ma soeur ainée. Je pense que tout le monde a assez bien compris pourquoi j'avais cet entonnoir sur la tête. J'attends encore des réactions sous Un cas clinique, histoire d'en rire... J'ai aussi parlé de la cassation, contre le juge pour enfant Xavier Serrier, contre le parquet général et la première présidence de Versailles. J'ai surtout bien précisé qu'en 2008, pour le cinquantenaire de la constitution, la cour de cassation finissait par rappeler des textes organiques et le statut de la magistrature. J'ai le sentiment que personne n'a rigolé lorsque je parlais. Je pense que certains, dans l'assemblée, m'ont assez bien compris.
Finalement pressé par le modérateur, j'ai demandé si dans nos contrées, en France, il ne pouvait pas parfois se constituer des micro-systèmes totalitaires - relire Carl Schmitt, « si A est, B doit être ». Le modérateur s'est défilé, non sans m'avoir laché d'abord, qu'un peu partout, les opposants sont souvent traités de fous - voir, par exemple, Une nouvelle maladie mentale en URSS : l'opposition. Royal, souvent raillée, pourrait peut-être nous parler de certains discours de Lefebvre ? Le modérateur aurait pu faire rire Chomsky, je le citais déjà avant d'emplafonner Xavier Serrier, magistrat professionnel : « Il a raison. Je veux dire par là qu'il faut en effet être dérangé pour admettre des truismes moraux élémentaires et pour décrire des réalités qu'il ne faut pas décrire. C'est probablement vrai. » • Noam Chomsky, Robert W. McChesney, Propagande, médias et démocratie, Echosociété, Q4 2004
Le modérateur m'a surtout répondu qu'ils étaient des historiens et qu'ils ne pouvaient pas se prononcer sur une affaire en cours. Je n'ai pas pu reprendre le micro pour lui préciser que les décisions dites « de justice » auxquelles je me référais, cet après midi, sont aujourd'hui quasi toutes définitives. C'est le cas de cet arrêt de cours de cassation, rendu en décembre 2008. Sous très peu, peut-être dans six à dix mois, tout appartiendra au passé ; d'ici là, j'ai encore quelques marrons à retirer du feu, des broutilles. Plus tard, je n'en conserverais plus qu'un bel entonnoir et une longue histoire.
Robert Badinter devait clore ce rendez-vous, à Blois. Je suis parti, prendre le train. Par le passé, je lui avais envoyé un dossier dont il a pu prendre connaissance. Il m'avait ensuite écrit. Je crois qu'il m'a répondu qu'il n'était plus inscrit aux barreaux du coin. Je connais les discours et les engagements de Badinter. J'ai déjà pu l'entendre, par exemple, en septembre 2008, au cours du colloque international Culture psychiatrique et culture judiciaire : relire Michel Foucault. De ce colloque, j'avais surtout retenu l'intervention de Daniel Zagury ; j'aprennait ce qu'est, selon lui, l'expert bouffon.
Un peu plus tard, j'allais à la préfecture de Créteil, pour le colloque Autour de l’enfermement... Je me référais déjà aux travaux de Françoise Sironi, à Versailles, dès début 2006, il me semble ; Richard Josefsberg, de l'OSE France, ne supportait pas mes discours et publications. Depuis, MAM nous a assuré qu'il n'y a pas de procès politiques en France. Je crois que ce que j'ai décrit et rassemblé au cours de ces dernières années est surtout scandaleux, abject.
Déjà cité dans La Moldavie française, ébauche de définition, ainsi qu'évoqué à Versailles :
[...] la jurisprudence de la Cour Européenne a, d’une manière constante, jugé que la liberté d’expression « vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec faveur, considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent ». Il faut rappeler aussi l’importance pour la démocratie et les progrès en matière d’accès aux droits d’une presse libre, informative et contestataire, en tous cas pluraliste. De plus, personne ne peut se soustraire à sa responsabilité pénale en cas d’atteinte à la réputation ou aux droits d’autrui. Les journalistes sont soumis aux mêmes lois que quiconque s’ils diffament ou insultent nommément une personne, et de surcroît s’autorégulent par des règles de déontologie. Informer, rapporter des faits, les décrire, les interpréter sont l’essence même de leur métier.
Extrait de source CNCDH, d'un avis du 18 novembre 2004 sur le projet de loi relatif à la lutte contre les propos discriminatoires à caractère sexiste ou homophobe et réponse du gouvernement
Les juges de Versailles vont-ils me croire ?
Je prépare des observations en prévision de fin novembre prochain, date à laquelle la seconde chambre civile de Versailles a renvoyé, en juin dernier. J'ai entrepris de farfouiller au cadastre, dans les fichiers du fisc, ainsi qu'au livre foncier. J'attends déjà un premier courrier, mais son contenu pourrait ne pas être fiable. J'ai trouvé un truc inovant et spécifique à l'Alsace-Moselle. Je pense que j'ai ou que je porte la poisse. « Choisissez... » J'ai signalé le bug, par email.
J'espère bientôt pouvoir obtenir quelques extraits de ce livre. Je vais encore devoir mettre la main à la poche ? Selon ce même site, www.livrefoncier.fr, il semblerait que l'accès à ces informations serait plus aisé et que les données pourraient être plus exhaustives lorsqu'une demande est formulée par un juge. J'en ferais part au ministère public ainsi qu'à la Cour.
A mon avis, il y eu un problème au cadastre, Maitre Halter m'en avait même parlé. j'en avais fait part à la Cour. Mais plutôt qu'ouvrir le livre foncier, la Cour semble donc avoir préféré convier le pasteur d'Uhrwiller ou son mari, le médecin généraliste... Comme je l'ai écrit il y a 3 jours, après avoir lu Laurence De Charette, je crois vraiment que « j'aurai du tout signer, les yeux fermés... sans bavarder ni surtout critiquer. » Qu'est-ce que la Cour va me répondre, un peu plus tard, « on triche et trompe jamais, on statue toujours dans l'intérêt du mineur ou de la personne vulnérable » ? Pour plus de détails, voir cette correspondance ou lettre ouverte, envoyée à la Cour et publiée au cours de cet été.

Un peu plus grand
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Un jour, effectivement, une instruction ?
Depuis ce lundi, j’essaye en vain de joindre ou d’obtenir une réponse du service contentieux d’Iliad. Je laisse tomber. Ces services me recontacteront s’ils souhaitaient un jour obtenir un complément d’information.
Depuis hier, j’essayais également de joindre le greffe de Madame Kheris, doyen des juges d’instruction, à Nanterre, une démarche toute aussi vaine. Mais le standard du TGI de Nanterre a fini par me mettre en relation avec le secrétariat général (ou de l’instruction). J’ai pu me faire confirmer que ce document que je découvrais hier, sur Internet, dans le blog de SEFCA Puteaux, est très certainement conforme. D’ici quelques temps, il pourrait donc effectivement suivre une instruction, à l’initiative de Madame Moreau et Monsieur Lorentz.
Ce lundi, Iliad s.a. me suggérait de « prendre les mesures utiles qui s'imposent ». Je vais finir de repeindre les WC.
Ajout du 14, dans la nuit. Avoir un Emeric Lorentz collé aux bask', franchement, ca craint - what a pain !
Les affabulateurs et faussaires de Puteaux recherchent des « témoignages »
C'est à lire sur Wordpress.com, aux USA, à peu près par ici. Qu'en fera le proc' de Nanterre ?
Ajout du 10 au soir. Je note que les cotes du père et du fils Sarkozy seraient encore une fois au plus bas. Je viens de farfouiller dans mes papiers ; j'ai retrouvé un ancien constat d'huissier de justice et des photos « de famille ». Monsieur Lorentz et Jean Sarkozy pourraient-ils être de très grands amis ? Jean, le prédésigné, témoignera-t-il en faveur de SEFCA Puteaux, ces soit-disantes victimes ? Nadine Morano, peut-être très radicale, témoignera-t-elle aussi, eventuellement en faveur de Madame Lorentz ou Moreau ? Qu'en pensera le proc' de Nanterre, un proche ou ami du père - à moins qu'enfant de coeur - Sarkozy ? Je me demande surtout si Jean Sarkozy se fera un jour injurier, lui aussi, s'il ne témoignait pas fissa en faveur de Madame et Monsieur Lorentz, ces infréquentables.
Ajout du 11, 12h30. Ce matin, par email, de la part du service contentieux d'Iliad s.a., il me parvenait ce qui est peut-être une copie d'une « ordonnance fixant une consignation ». L'ordonnance semble être de Nanterre et datée du 14 septembre dernier. Pour Online SAS, Iliad m'invitait à « prendre les mesures utiles qui s'imposent relatives au contenu de ce site », justice.cloppy.net. Quoi faire ? Je vais attendre de plus amples précisions, s'il en suit un jour.

Ajout du 12. Ma butineuse favorite, un huisser de justice, vient de m'informer qu'un ultime constat de 8 captures vient d'être effectué. J'ai hâte de l'éplucher. Il me parviendra bientôt, par la Poste, si les conflits sociaux ne s'enlisent pas. Depuis février 2009, j'empile des constats, le plus souvent très techniques et précis, ce que la police a pu constater, en mai dernier, alors que Madame Moreau venait de déposer une plainte absurde. Mais sur 18 mois, en les accumulant, ces constats d'huissers s'avèrent également très couteux. « 2 500 euro ? Ah oui, quand même », m'a répondu ma compagne ; il est préférable qu'elle ne sache pas tout ; je pense qu'il s'agit du prix de la liberté d'expression, dans ce pays.
Ajout du 12, fin d'après midi. « Prendre les mesures utiles qui s'imposent », c'est à dire ? J'ai depuis quelques jours pour projet de repeindre les WC, je les trouve un peu défraichis. J'ai déjà la peinture et les rouleaux.
Ajout du 12, au soir. Voilà, les WC sont suspects, le plafond et la tuyauterie sont déjà blanchis. D'ici peu, j'attaque la seconde couche, puis les murs.
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« Ca dérange », m'a lancé la police
« Que faites vous là », m'a demandé la police, « ça dérange », m'a-t-elle lancé un peu plus tard. Sans blagues... Jusqu'à vendredi, des professionnels - et des psychiatres - dispensent une formation, à l'ENM de Paris. Je me suis planté devant le bâtiment, avec un entonnoir sur la tête - on le voit bien sur la plaque de l'IHEJ, dans les reflets. 'y avait pas d'âne, ou je n'en ai vu aucun.
Une photo publiée aussi sur Facebook, sur la page « J'ai été conçu pour faire chier, je dois accomplir mon devoir. » |
Je crois qu'une bonne piqûre de rappel s'impose
D'une image, sur Facebook... Ou à voir mieux, directement chez l'éditeur : http://www.pourlesnuls.fr/

« A mettre entre toutes les mains »
Roselyne, à l'aide, nous nous en sortirons peut-être qu'avec ce qu'il nous reste de nos masques anti-H1N1 ? Disposons nous encore d'un stock de seringues, d'un fond de quoi que ce soit, aurions nous encore un quelconque espoir ?
NKM, au secours, une certaine forme de justice souhaiterait me supprimer mon blog ! Je suis pété de rire lorsque je la lis, sur eco89, comme depuis des mois, lorsque j'ouvre des journaux ou lis ces tribunes.
L'image incluse, page 2, est une photo d'un constat d'huissier de justice français, effectué fin mai 2010, sur Wordpress.com, USA, Californie... mais dans une sorte de « journal intime public », manifestement édité par une association de Puteaux (92), France. Cette association semble exiger depuis quelques temps la fermeture de mon blog. Et quoi encore ? Que cette association de Puteaux aille donc d'abord faire poursuivre et enterrer la société Legavox, des juristes, comme elle pouvait l'envisager, en mai dernier.
Tribune
NKM : « La neutralité du Net est un principe plutôt qu'un credo »
Par Nathalie Kosciusko-Morizet | Secrétaire d'Etat chargée de la Pro... | 14/08/2010 | 10H02, eco89, extrait
Si aucune mesure n'était prise pour éviter la congestion de l'Internet public ou pour empêcher la restriction d'accès à certains services, le réseau ne resterait ouvert qu'à ceux des usagers qui ont les moyens de s'acheter des connexions à débit garanti. De ce réseau-là, celui des contenus restreints et des accès bloqués, nous ne voulons pas.
La réflexion se poursuit, en France, comme dans toute l'Europe, et au-delà avec les gouvernements qui sont attachés à préserver un Internet libre et ouvert. Libre des interventions de régimes en lutte contre la liberté d'expression, libre de la pression de lobbys politiques ou économiques. Ouvert à tous, pour tous. Il faut donc poser la question des modèles économiques du développement des infrastructures et des contenus. La puissance publique doit s'y intéresser, en même temps qu'elle ne doit pas renoncer à son devoir, celui de faire respecter la loi, y compris sur Internet.
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Tiens ?
Quelque chose semble avoir bougé. Je viens de recevoir un « avis de déssaisissement », un petit dossier pourrait avoir filé du parquet de Paris vers celui de Nanterre. La correspondance est datée du 2, son cachet de la Poste est du 3 et je l'ai reçue ce 4 septembre. Tout le monde pourrait être rentré de ses vacances d'été. Je croyais que ce dossier s'était perdu. Il n'était donc peut-être pas inutile ou vain de solliciter d'abord Paris, deux fois, puis la chancellerie aussi, je ne recevais pas de réponse. Il n'y a maintenant plus qu'à attendre encore, quelques mois de plus.
J'attends aussi une éventuelle réponse du tribunal de police de Puteaux. Elle devrait suivre avant l'été prochain. En mai dernier, j'ai contesté une amende, tout en me plaignant ou signalant une usurpation de plaques, à Puteaux.
Ces jours-ci, j'attends également une réponse ou une quelconque réaction de la part de Lenovo France. Je pense que quelques photos et une demande de complément d'information leurs sont parvenus. Leur avocat m'avait répondu.
Il faut que j'écrive aussi prochainement à la Caisse d'Epargne région Lorraine ainsi qu'au juge des tutelles, au cadastre et au fisc. J'ai un peu de retard dans mes correspondances. J'avais préféré profiter de l'été et laisser couler un peu d'eau sous les ponts, vaquer à d'autres choses, souvent plus utiles, plus intéressantes, ou plus futiles et distrayantes.
L'assistance éducative, c'est terminé. Cette page est pour moi tournée. Je n'ai pas fait appel de la dernière décision rendue par le juge pour enfant de Nanterre ; je lui ai écrit début août, ce PDF est aujourd'hui très certainement à son dossier. Je n'attends pas de réponse. Justine restera « placée » jusqu'à la quille, fin 2011, et bien entourée, par l'ARSEA Alsace et des tiers dits « dignes de confiance ». Il suivra maintenant simplement une décision de la cour de cassation, suite à mon pourvoi déclaré en juillet 2009, j'y avais fait soumettre un arrêt de la cour d'appel de Versailles.
Juillet va sur sa fin
Ces jours-ci, même la Poste semble acheminer correspondances et accusés avec quelques délais supplémentaires. Cela ne me parait pas anormal. Au cours des jours et semaines qui suivront il me parviendra peut-être quelques réponses. Bientôt, il devrait aussi me parvenir le prochain jugement que rendra le juge pour enfant de Nanterre.
J'aurai bien ri, depuis hier, à l'ENS. Maintenant, je pense qu'une suite à ce blog est devenue inutile, superflue. Il doit y avoir autre chose de plus intéressant à faire de sa vie que de bloguer. Ce même billet sera parfait pour l'année prochaine, la quille ou la fin de cet acharnement socio-judiciaire et de ce placement « durable » et merveilleusement motivé.
Pour les plus curieux, l'épilogue est déjà écrit, j'y travaillais depuis septembre, l'an dernier, flairant la suite. Quant à ceux de mes lecteurs qui ne seraient pas déjà partis cet été, je leurs souhaite de passer de bonnes vacances !
Quelques premiers récépissés, de Lenovo, de Microsoft, de Versailles, de Haguenau,
de la Caisse d'Epargne et du Ministère de la Défense... sur cet U350 troué, patché
« Au poste ! », pour satisfaire le Ministère de la Défense Nationale
Une petite bafouille ou des remerciements d'abord, puis, plus bas, le billet ou mes notes et observations du jour.
Lettre ouverte
A l'attention de Monsieur Hubert Falco,
Secrétaire d’État à la Défense et aux Anciens combattants,
et de Monsieur le Ministre de l'Intérieur
Messieurs,
Par le passé, j'avais eu l'opportunité de remercier très chaleureusement Monsieur Nicolas Sarkozy, Ministre de l'Intérieur, alors que je venais de manifester devant le mémorial de la Shoah. En effet, le 4 mars 2007, sans déclaration préalable en préfecture, je m'étais rassemblé tout seul en ces lieux, avec un écriteau autour du cou : « j'ai couché avec une allemande ». « C'était kippour* », m'avait-on lancé sur place.
A l'époque, la police nationale est évidemment arrivée pour me questionner. Elle avait bloqué le quartier pendant une trentaine de minutes. Tout seul, je n'aurai jamais pu marquer ainsi mon passage devant ce mémorial.
Ce matin, je me suis rendu quai de Grenelle, je souhaitais assister à la commémoration officielle de la rafle du Vel d'Hiv. Sur place, j'ai été vivement déçu, apprennant qu'il fallait être « invité » ; ce n'était pas précisé sur le site Internet du mémorial de la Shoah. J'ai ensuite décidé de rester dans le voisinage immédiat d'où j'ai été emporté par la police nationale, à la demande, à moins que sur ordre d'un représentant du Ministère de la Défense. Un peu plus tard, au commissariat de police du XVe, la police m'a rendu toutes mes affaires et m'a relaché, en parfaite santé.
Ce matin, j'aurai souhaité assister à cette cérémonie officielle et prendre quelques photos. J'ai de bonnes raisons de penser qu'il y avait des hypocrites parmi les conviés au moins. Je me contenterais donc des photos et, peut-être même, de discours officiels ; j'attends de les découvrir.
Aujourd'hui et par la présente, je remercie simplement vos services respectifs d'avoir bien pris acte de mon passage, ce matin, quai de Grenelle, alors que la France allait très officiellement commémorer la rafle du Vel d'Hiv.
Je vous prie de croire, Messieurs, en l'assurance de mes plus cordiales salutations.
Quand on est pas d'accord on le dit • Yves Jannier
C'est (e)posté. *) Rectification... à moins qu'un lapsus. Je crois que c'était plutôt pourim. Ca remonte à 3 ans, déjà.
Du 21, encore... J'ai eu de la chance, tout s'est encore une fois très bien passé. Mais d'après ce que je viens de lire, sur Wikipédia, c'est plus tard, à l'autome prochain, que tout pourrait se gâter. « A l'automne 1944, devant l'échec manifeste de la politique NN (la dissuasion est nulle, le nombre d'insurgés augmentant sans cesse), le régime NN est partiellement levé. Les Allemands vident leurs prisons et leurs bagnes surpeuplés des détenus NN qui sont mis au régime commun dans les camps de concentration où les résistants sont envoyés sans procédure ni jugement. » Je pense qu'on peut déjà s'indigner ou ricaner plus.
Du 21, dans la nuit. J'assume : LR 20100722 1E00060387172 PD.zip. Rachida Dati assumait aussi, disait-elle, puis ça finissait mal, peut être même très mal. Parfois, il arrive que certaines histoires « divisent ». Je connais une histoire qui pourrait, à mon avis, un jour, « fragmenter ». « Quand on écrit une pièce, il y a toujours des causes occasionnelles et des soucis profonds... » Sartre, l'origine de Huis-clos, Sartre, qui nous disait que « l'enfer, c'est les autres ».
Ajout du 22, je crois qu'une petite rectification ou correctif s'impose. Je n'avais pas écrit « partout ». En effet, c'est la toute première fois que j'écris au Ministère de la Défense. Par contre, ces sphères pouvaient déjà connaitre mon blog. Mes commentaires après cette collision de sous-marins nucléaires avaient attiré quelques butineurs. De même, Le 41me fauteuil de l'Académie française avait été beaucoup lu, Quelques pschitts en plein vol aussi.
Du 22, dans la nuit... Ses écarts : « a répondu à l'officier » ? Non. Variante, peut-être plus drôle encore... « l'Elysée ne répond pas à des allégations mensongères » ? J'suis con. Sa justice est saisie et, maintenant, bien trop empétrée. Auncun de ces camarades ne réagira suite à mes interpellations.
Hé oui, pour qui me connait, ce matin, dimanche, je suis tombé du lit. Petit, on m'avait appris que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Je constate que ce mythe s'effondre, lui aussi : levez vous et les forces de l'ordre vous renverront chez vous, surtout si vous n'êtes pas convié à ces cérémonies officielles. A l'avenir, je ne ferais plus l'effort.
Lorsqu'on m'a dit que je ne pourrais pas assister à cette cérémonie ou commémoration, je me suis installé contre une rambarde et j'ai mis mon casque sur les oreilles. Je crois qu'on a déjà vu pire « militant » ou « dissident ». Je portais mon tee-shirt, cette peau d'ours, avec une décison de justice dans le dos et une décision politique sur l'avant, et j'avais bien expliqué pourquoi j'étais là. On m'a prié de partir de l'espace public, ce que j'ai refusé de faire. Mais le représentant du ministère de la défense a insisté puis la police est arrivée. Je me suis rapidement mis assis par terre, non sans avoir d'abord fourni encore quelques explications. Quelques minutes plus tard, deux policiers en tenue d'apparat m'ont ramassé, je restais en position du tailleur, et ils m'ont « emporté » plus loin, où allait arriver un pannier à salade.
Au poste, j'ai entendu les explications faites à l'OPJ : « le représentant du ministère de la défense a eu peur qu'il y ait un esclandre si je restais sur place ». La réponse de l'OPJ m'a fait rire : « vous l'avez arrêté dans l'espace public et ammené ici, il a ses papiers, il n'a rien fait et il est en règle, que voulez vous que je fasse de lui ? » J'avais juste « désobéi ».
Quelques minutes plus tard, j'étais dans la rue, devant le commissariat, à discuter. On m'a redemandé mes papiers et de nouvelles informations, mon numéro de téléphone, probablement pour compléter un « rapport administratif ». J'ai fini par retourner dans le poste où on ma dit qu'on ne pouvait pas y entrer et circuler comme je m'apprétais à le faire. J'ai expliqué que je voulais récupérer mes papiers à quoi on m'a répondu que je devais attendre. J'ai rétorqué que ces manières de procéder ne sont pas légales. Dans l'instant suivant, je récupérais mes papiers puis je repartais me promener, dans Paris.
Ce coup-ci, à la question « avez vous des proches à prévenir », j'ai préféré répondre « non ». Tout s'est encore une fois très bien passé, comme en novembre dernier ; je finissais alors en garde à vue. Ce matin, j'ai juste insisté auprès des policiers qui « m'emportaient » : « ne me laissez pas tomber, vous feriez une bavure ».
J'ai beaucoup discuté. On m'a évidement dit que ce n'est pas en me comportant de la sorte que « mes affaires » allaient avancer. On m'a recommandé d'écrire... A qui donc encore ? J'ai très bien expliqué à ceux qui voulaient l'entendre que j'avais déjà écrit partout et où j'en étais rendu, aujourd'hui, dans mes affaires « d'ordre privé ». Les plus curieux pourront toujours solliciter le ministère de cette justice, j'ai d'ailleurs publié récemment une bonne référence à ces fins.
Un esclandre, ce matin, à mon initiative ? Si j'avais souhaité foutre le bordel, j'aurai pu saisir quantité d'autres opportunité, par exemple, début mai dernier, à la grande synagogue de Paris. Jean-François Guthmann, de l'OSE France, comptait parmi ceux qui introduisaient Loulek ou Meir Lau, grand rabin d'Israël. J'en conserve des photos.
En rentrant, la une du JDD a retenu mon attention. Une expertise ou un rapport accablerait soudainement un médecin ? A l'intérieur de ce même JDD, on lit plutôt que l'avocat du chirurgien maintiendrait « qu'il n'y a pas eu de faute ». Concernant la mère de Justine, décédée très subitement en milieu hospitalier, nous n'en saurons jamais plus ; la Poste ou cette même justice franco-moldave semble avoir perdu ou détruit son dossier médical. Le reste de mes affaires qui concernent directement ma fille Justine mais également ma famille et ses autres membres suivent un cours tout à fait similaire.
« La justice, c'est un concept sympa mais nous savons tous fort bien que ça ne marche pas... » Oui, oui, j'ai moi aussi lu ce Monte, à présent censuré par un prétoire de Paris. On me l'avait déjà dit, début 2009, alors que je venais encore de geindre dans un forum, sur Internet. Depuis quelques temps, je m'attache surtout à le démontrer.
Mon facteur n'est pas en panne
J'ai toujours quelques bafouilles à rédiger et à poster. Je m'en occupe depuis ce week-end, tranquillement :
• pour la Caisse d'Epargne région Lorraine, ils m'énervent,
• une copie au juge des tutelles ou d'application des peines d'Antony, il me contrôle et pourrait un jour se fâcher,
• pour le juge pour enfant de Nanterre, histoire de l'éclairer plus,
• une copie au juge des tutelles de Haguenau, il pourrait bientôt auditionner M ou Mme Clementz,
• pour un opérateur de téléphonie mobile, j'ai un abonnement à résilier, devenu inutile depuis septembre dernier,
• pour la 2ième chambre civile de la cour d'appel du coin, en prévision de novembre prochain,
• pour Maître Halter, je peux maintenant accepter cette succession, sous réserve d'inventaire,
• pour Lenovo France, ca me change les idées et leur facteur fonctionne aussi
Ajout du 14 au soir. Après relectures et quelques petites modifications, je n'ai plus qu'à imprimer puis à engraisser à nouveau la Poste. Par le passé, je pouvais encore espérer quelques changements. Aujourd'hui, je n'attends plus rien de particulier. Je suis simplement impatient, très curieux de découvrir et de lire des réponses ainsi que les prochains délibérés qui me parviendront au cours des 6 à 8 prochains mois. Puis ce sera enfin fini, la Dass aura « sauvé » Justine.
Du 14 encore, dans la nuit... J'ai enfin remis la main sur un lot d'anciennes correspondances. Woerth vient d'être « blanchi » ; selon l'IGF, il n'aurait pas donné la moindre instruction pour « lancer ou arrêter » un contrôle fiscal contre la milliardaire, Liliane Bettencourt. A l'UMP ainsi qu'au château, tout le monde est content, on va pouvoir parler de nos retraites puis réformer encore. L'IGF a surtout du constater l'absence de toutes traces écrites. Que découvrirait l'IGSJ si elle s'aventurait à fouiner un jour dans des dossiers qui concernent ma fille Justine ? Un cas clinique ?
Ajout du 15. Un avertissement : tout ceci ne prouve bien évidemment rien, pour aucun juge de ce pays. Pour certains d'entre eux, c'est tout juste s'il y a parfois des raisons « légitimes » de s'inquiéter ou de se poser quelques questions.
Du 15 au soir, vu sur le Monde... "J'ai peur que ces affaires soient le feuilleton de l'été", soupire Claude Goasguen, député UMP. Le pourrissement de l'image des politiques serait aussi dommageable pour la gauche que pour la droite, estiment les élus UMP. "Dans cette escalade des affaires, nous assistons à la répétition de celle des années 1930 : en pleine crise économique, on risque de voir s'additionner une grave crise politique allumée par une histoire anecdotique [l'affaire Stavisky, NDLR]. Le Front national et les abstentionnistes seront les principaux gagnants de ce climat de défiance, pas le Parti socialiste", estime M. Goasguen, député-maire du 16e arrondissement de Paris.
Ajout du 16. En ce moment, c'est peut-être avec Zoé et les fonctionnaires territoriaux qu'on rigole le plus. Force est de constater que nous ne devrions plus lire ni surtout retenir Montesquieu. En juin 2008, à l'audience, le juge pour enfant avait lui même été explicite avec moi, à l'audience. Il en avait assez de lire mes citations. Depuis, j'ai cité moins, écrit et publié plus. En juin dernier, je citais précisément Montesquieu lorsque j'écrivais à Nanterre. Vu ce contexte, je crois que je fais très bien, pour le moment au moins, de ne plus retourner là bas. J'ai ramassé le Monte et Paris Match. Mais ces jours-ci, j'ai surtout empilé des Monde, notamment pour l'interview de Courroye et la réponse que lui a faite ensuite Joly. « Un magistrat n'a rien à prouver, sauf sa volonté de faire respecter la loi », nous a-t-il lancé. On aura tout lu.
Le Monte - finalement censuré - et Paris Match du moment
Ajout du 17. Hier, pour changer, il n'y avait pas cours de Shoah, mais commémoration. J'ai pu constater qu'en effet, quelques fils et filles de déportés juifs se sont rassemblés, rue de Grenelle. J'ai discuté quelques minutes, d'abord, je me disais que j'allais me taire. On m'a encore répondu que tout serait bientôt fini, dès la majorité de ma fille, donc, fin 2011. J'ai appris que Serge Klarsfeld connaîtrait Jean-François Guthmann. Ce dernier suivrait de « très loin » la progression de mes affaires « d'ordre privé », lui et moi en avions discuté un peu, en novembre dernier, au centre communautaire. Plus j'y pense et d'avantage je suis maintenant rassuré. Fin 2011, tout sera fini. Je n'ai donc plus qu'à prévoir un bon budget. En effet, en mai dernier, les magistrats m'ont apris que d'ici à la quille, je devrais à nouveau mettre la main à la poche, et ca doit encore me coûter « très cher ». Ca ne me fait plus ni chaud ni froid. A présent, j'imprime puis je passe au Louvre.
Au retour de Paris... Ca va, ce n'était pas trop fastidieux, j'avais principalement à copier/coller ou à imprimer des trucs déjà publiés sur Internet. Je n'ai plus qu'à attendre des réponses, des réactions ou de quelconques effets, s'il en suivra. L'opérateur de téléphonie mobile devrait me répondre favorablement, j'avais conclu un accord oral qui devrait se concrétiser après un simple RAR. Après tous ces envois, d'autres vont certainement travailler à s'épouiller à nouveau d'ici à l'hiver prochain ; on verra bien. De ces jours là, je retiendrais principalement qu'on ne doit pas abandonner les chiens, ils pourraient mourir, c'est affreux. Demain, les officiels sont sur le pont, pour commémorer à leur tour et, très probablement, au nom de ce pays. Je vais règler un réveil ou deux. Si je sors du lit, j'aurais sûrement l'opportunité de rencontrer à nouveau quelques hypocrites, par exemple, des représentants de l'OSE France.
A Guantanamo comme à Nanterre ? Bah, la peine ou ces mesures sont pour la plupart prononcées, depuis 2003, définitives, et l'essentiel est déjà derrière nous. « Pas de révision, ni aucune contre-exertise », m'a-t-on encore répondu, en janvier dernier, « la quille suivra ». Qu'attendre alors, sinon plus de papier tamponné et de nouvelles motivations ?
Guantanamo: il va boycotter son procès
AFP, 12/07/2010 | Mise à jour : 21:06, extrait
Le Canadien Omar Khadr, dernier occidental détenu à la base américaine de Guantanamo, a annoncé aujourd'hui devant un tribunal militaire qu'il allait boycotter son procès pour le meurtre d'un soldat américain en Afghanistan, prévu en août. Omar Khadr, 23 ans, en a fait l'annonce après avoir rejeté à nouveau un accord avec la justice américaine, qui lui a proposé de plaider coupable en échange d'une réduction de peine.
Ce vendredi 9, il me parvenait une convocation par courrier simple. Samedi 10, mon facteur me proposait la même chose qui me parvenait par RAR, une convocation du juge pour enfant, pour ce 27 juillet. Le RAR retourne à Nanterre, s'il n'y est pas déjà, avec ma signature et la mention « refusé ». Je ne my rendrais pas. Personne ne se plaindra de mon absence à la fin du mois, le cabinet ou bocal du juge pour enfant est assez petit, d'autres qui l'y retrouveront auront plus d'air frais.
« Obligatoire, absolu, impératif... » Si je reste chez moi, quelqu'un va venir et m'y trainer par une oreille ? « Une décision pourrait être prise même en mon absence » ? Qu'il juge, je suis impatient de lire le délibéré.
« Obligatoire, absolu, impératif... » et quoi encore d'intimidant ou de menaçant ?
Les temps changeraient
« Les temps changent », pouvait-on lire dans Ouest-France de ce 2 juillet. J'ai des doutes. Hier, j'ai découvert un livre de Guy Beaujouan, de 1994 : Comprendre et maîtriser la nature au Moyen Âge. Un chapitre m'a fait repenser au cas des sourds, à « l'assistance éducative » aussi, ainsi qu'à « des juges sourds », un viel article de l'Humanité.
En 1994, Guy Beaujouan estimait que « Des siècles antérieurs, on retient en généralisant que les 'mal-entendants' ont toujours souffert de la domination des 'mal-comprenants'. Les 'mal-comprenants", ainsi certains sourds nous définissent-ils, nous autres qui entendons... Voilà qui situe d'emblée le coeur du problème. Les sourds nous renvoient ce que nous avons longtemps projeté sur eux, l'incapacité à comprendre. »
Les temps changeraient, en janvier 2008, sur LCP, Philippe Houillon était lui aussi plutôt formel. J'en doute, très fort. On a pas le droit de formuler des critiques dans ce pays, les retours sont assez sévères ; je l'exposais sommairement, en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles, certains millieux sont réticents aux observations. Une certaine Zoé Shepard, trop bavarde aussi, et le Conseil Régional de l'Aquitaine viennent encore de nous en faire une belle démonstration, dans le prolongement de l'expulsion de Guillon et de Porte par Val.
Au printemps 2008, je finissais par sommer le juge pour enfant de Nanterre de juger, il refusait d'audiencer. Plus tard, alors que la première présidence de Versailles m'avait suggéré d'aller me faire « mieux conseiller », en me débrouillant tout seul, sans véritable conseil, j'incrustais le parquet général et plusieurs juges dans Légifrance (je récidivais le mois dernier).
Aujourd'hui, tout est un peu différent. Je ne somme plus des juges de juger, j'ai bien enrayé et relancé la machine. Des juges sont maintenant obligés de juger. Mais les temps ont-ils vraiment changés ? Entre la mi-2008 et l'été 2009, mon ainée et nous finissions par renouer, un « nouveau » juge pour enfant avait fini par tolérer des « relations père-enfant ». Ses prédécesseurs avaient durablement interdit toutes relations et correspondances. Depuis septembre 2009, nous n'avons à nouveau plus aucune nouvelle de mon ainée. En juillet dernier, le juge pour enfant de Nanterre a rendu une décision qui allait rester inexécutée ; je m'en suit plaint à la cour d'appel de Versailles, mais elle a confirmé en tous points.
Tout est donc maintenant à peu près pareil qu'à la mi-2008, peut-être même pareil qu'en 2005, à la différence près que j'ai décidé que je ne me rendrais plus à Nanterre, chez le juge pour enfant. A quoi bon, pour qui m'a lu au cours de ces dernières années ? Pour jouer avec les juges et au yoyo, avec mon ainée ? Pour saluer le pasteur d'Uhrwiller ?
Des juges, les travailleurs sociaux ainsi que ses tantes maternelles ne veulent pas de « relations père-enfant » pour Justine. Selon de très nombreux juges et spécialistes de la Dass pour qui ma soeur ainée est trisomique, ça m'aurait affecté, tout est parfait ainsi pour mes enfants. Je suppose que le pasteur d'Uhrwiller se porte toujours autant garant de la « relation père-enfant » de mon ainée, dans son « intérêt supérieur ». J'en saurais bientôt plus, en lisant les prochaines décisions rendues par Nanterre. Avant la fin 2011, il devrait encore m'en parvenir de nouvelles...
Le pasteur d'Uhrwiller pourrait donc aussi bientôt s'occuper convenablement des successions de la famille maternelle de mon aînée, pour son compte et dans son intérêt. Ce serait assez conforme à ce que le pasteur et le corbeau, les deux tantes maternelles de Justine, exigeaient depuis 2003 à 2004 : une « solution durable » (« finale », c'était une autre histoire que celle-ci), la garde exclusive de leur nièce ainsi que l'administration de ses biens et successions. Pour l'administration de ses biens, ces tantes se débrouillent déjà toutes seules ; en France, les banques ne semblent pas être très regardantes. Pour la succession de la maman de Justine, tout est déjà bâclé par sa famille maternelle ; cette sucesssion s'est en partie vaporisée ; les juges et le parquet ont fermé les yeux, il n'y a que moi qu'ils enquiquinent.
Je viens de téléphoner à nouveau à la Caisse d'Epargnes région Lorraine. Je n'espère pas de réponse. Je le fais simplement parce que les juges du coin veulent des « preuves »... à rejeter ensuite. Au printemps 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier me répondait, m'écrivant et signant en personne sa correspondance. En juin 2008, la cour d'appel de Versailles balayait cette « preuve »... pourquoi en rassembler ? Dès la mi-2007, auprès des juges, je me plaignait déjà assez vertement de dénaturation des élements de la procédure par cette justice franco-moldave. En janvier dernier, la cour d'appel de Versailles m'a très bien compris ; en effet, leurs plumes ont un peu bougé, les juges ont quelque peu rectifié leurs motivations. Mais ça ne prouve bien évidemment rien pour cette justice là !
Aujourd'hui, le pasteur d'Uhrwiller ainsi que son mari restent encore « tiers digne de confiance » ; les juges du coin m'ont intimé de respecter « l'autorité de cette chose jugée ». L'OSE France ainsi que le juge pour enfant Anne Valentin avaient identifié ces tiers « dignes de confiance ». Je n'en avais même pas été informé ; une décision de Nanterre ne m'avait pas été notifiée. Plus tard, le juge Anne Valentini confiait Justine au pasteur ainsi qu'à son mari, le médecin généraliste. Je n'étais pas d'accord avec cela, mais je n'ai jamais pu faire appel de ces décisions, cela avait fait l'objet de discussions auprès de la chambre des mineurs de Versailles. Aujourd'hui, on me prie de respecter ces choses supputées « jugées » En janvier dernier, la cour d'appel était explicite : une « révision » est exclue. Soit. Avec le temps, on fini par s'accommoder à tout. De manière non exhaustive, il pourrait encore suivre :
• des décisions du juge pour enfant de Nanterre, il doit proroger, Justine va rester « placée » jusqu'à la fin 2011,
• des décisions de la chambre des mineurs, si je décidais de faire encore appel,
• des décisions du parquet de Nanterre, des plaintes ont fusées au printemps dernier,
• une décison du tribunal de police de Puteaux, j'ai contesté une amende, signalant une usurpation de plaques,
• une décision de la cour de cassation, j'y ai soumis une décison de Versailles, de mai 2009,
• une décision de la 2ième chambre civile de Versailles, il y a eu renvoi à fin novembre prochain,
• des échanges de correspondances avec la Caisse d'Epargne, ça va rassurer le juge des tutelles,
• des échanges de correspondances avec Lenovo France, ils m'amusent
Depuis l'hiver dernier, je m'adressais aussi au parquet de Paris mais je ne recevais aucune réponse. D'après ce que j'ai lu dans des journaux du moment, notamment le JDD, je pense que c'est tout à fait normal et que MAM ou sa nièce Ludivine confirmeraient. Cette justice ne favorise jamais aucun parti ; elle est la même pour tous, pareille pour ceux d'en haut et ceux d'en bas, pareille pour les amis aussi, c'est en tous cas ce qu'on nous martelle. J'ai de gros doutes.
J'ai aussi très bien retenu ce que nous disait Nicolas Sarkozy, en 2006 : « peut-être qu'on s'est trompé », mais dans ce cas, « qu'ils fassent valoir leurs droits devant les tribunaux ». J'ai tout aussi bien lu le juge pour enfant Thierry Baranger, fin septembre 2009 ; « allez donc d'abord à la cour d'appel ». A quoi bon ? J'ai bien entendu ensuite le rapporteur, en décembre 2009 : « la quille suit, en septembre 2011 ». Comme je l'exposais alors moi-même, à la cour d'appel de Versailles, les voies de recours sont réputées illusioires lorsque le juge pour enfant est saisi, seul les professionnels peuvent faire appel ; Jacques Donzelot nous le disait déjà, en 1977 ; Gwenola Kerbaol ou le GIP Recherche Justice nous en disait tout autant, en 2006. On s'y accommode également.
Il y a peu, un OPJ s'était encore interrogé alors que je lui parlais de suspiçions de maltraitance, les tantes maternelles de Justine ainsi que des harpies de la Dass m'avaient un jour accusé. Je lui ai répondu qu'il ne s'agissait que de vent, dont des juges et l'OSE France se sont emparés, en chambre du conseil. L'OPJ n'a pas insisté, il doit connaitre ces maisons.
Je vais peut-être un jour publier des extraits de Faits Divers, le mag, diffusé le 7 juin 2008, sur France 2. Des images ainsi que des sons explicites me plaisent toujours autant. Du reportage de ces journalistes qui m'avaient accompagné jusqu'au tribunal de Nanterre, alors que le juge Xavier Serrier venait enfin de convoquer, suite à mes sommations : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. » En septembre prochain, Justine aura 17 ans.

Faits divers, le mag, un reportage de France 2, diffusé le 7 juin 2008
Encore mon tee-shirt ?
Il me semblait bien avoir participé, devant le Fouquet's, en mai dernier, sur invitation d'Alévêque, pour les trois ans « du Petit ». J'en avais d'ailleurs rapporté une petite vidéo. En farfouillant sur Facebook, j'ai fini par en obtenir une confirmation, dans des liens sur l'humoriste. Je crois que nos journalistes nationaux se sont bel et bien dégonflés.

Apperçu via Facebook, dans une galerie Les 3 ans du Petit au Fouquet's
Attention, laissez tongs et couvre-chef dans le couloir
Voilà enfin l'été, les très grosses chaleurs et, par endroits, même la canicule. Hier, en Bretagne, un coucou en panne, peut être avec un pneu lisse, est resté sur le tarmac. Pour passer le temps, faute d'un Monde que j'ai fini par trouver aujourd'hui, j'ai ramassé un Ouest-France. Sur sa une, un « commentaire » nous confirmait qu'en France, « des magistrats restent très attachés à l'autorité de la chose jugée » - surtout les choses très soigneusement triées et sélectionnées, seulement celles qui plaisent à la Cour, quels que soient leurs vices, c'est ce que j'ai pu constater.
En pages intérieures d'Ouest-France, j'ai également remarqué une information ou mise en garde à destination de ceux qui seront convoqués au cours de ces prochaines semaines. Comme d'autres, ce service public est aussi en demande de respect : le cas échéant, faites comme à la mosqué ou à l'église, laissez tongs et couvre-chef dans le couloir.
Ouest-France du 2 juillet, « les temps changent »
Trois lettres, puis suivront les vacances, sur fond de laxisme judiciaire
Je vais maintenant envoyer trois lettres, l'une à Lenovo France, il faut que je leurs réponde, une autre à la 2ième chambre civile de Versailles, en prévision de l'audience de novembre prochain, ainsi qu'une lettre pour Maître Charles Halter ; pour cette dernière, j'ai tout mon temps, la 2ième chambre civile de Versailles vient de le confirmer : « ce laxisme judiciaire ne serait pas de nature à préjudicier aux intérêts de la mineure ». Ensuite, il ne se passera probablement plus rien pendant de longs mois, d'abord en raison des vacances judiciaires. On en profitera pour se mobiliser en faveur de victimes, de vrais, par exemple, en faveur de Gilad Shalit dont on nous parle tant ces derniers jours.
Il y a peu, Lenovo France me répondait, estimant que je serais un « consommateur totalement atypique ». Je vais leurs retourner qu'ils ont raison. En effet, il fait ici 29°C et le ventilateur de mon U350 tourne au ralenti, même ou surtout lorsque je l'utilise. Je pense être le seul ou parmi les rares possesseurs à travers le monde d'un U350 à peu près silencieux. Je vais surtout leurs retourner que j'estime pour ma part avoir été trompé par les conditions d'utilisation de Lenovo, soit par ce que les logiciels préinstallés sur cet U350 affichaient à l'écran, lors de son tout premier démarrage. Ca va m'amuser.
Je vais peut-être bientôt écrire aussi au greffe de la chambre des créatures inférieures, si je décidais de faire appel de la toute prochaine décision que rendra le juge pour enfant de Nanterre. Il m'offrira peut-être l'opportunité de saisir à nouveau la première présidence de Versailles ? J'en saurais plus au cours du mois de juillet, si le greffe de ce juge n'a pas oublié mon adresse postale et sait encore comment me notifier des jugements.
Je vais également devoir téléphoner ou écrire au cadastre de Holving, la 2ième chambre civile de Versailles exige des « preuves » ; au cadastre, les fonctionnaires et procédures sont peut-être plus rigoureux qu'ailleurs, j'en saurais plus d'ici quelques mois. Je me demande ce que de tels documents pourraient établir, selon des juges, encore de vrais, alors qu'à Versailles, des correspondances de juges et même d'un notaire, se référant lui même au cadastre et s'adressant à un juge, n'ont jamais rien « prouvé ». Là bas, même des jugements et arrêts ne « prouvent » ni ne démontrent le plus souvent jamais rien. C'est à se demander parfois à quoi servent encore des prétoires, des actes et des sceaux officiels.
Ajout du 27 au soir... Je pense être en colère, probablement comme quelques juifs ou hypocrites peuvent l'être.
Je me demande pourquoi ces magistrats me font aujourd'hui encore tant chier alors qu'ils savent très bien que tous ces recours et procédures ne font que me coûter - et me coûteront encore « très cher », selon leurs propres mots ; quelques milliers d'euro ? C'est autant d'argent qui ne profitera jamais ni à mon aînée, ni à ma cadette. Ce sont des sangsues... pardon, des notables et l'Etat qui s'empliront les poches et les caisses où d'autres se gavent sans la moindre gène.
« Prouvez », me lancent ces juges ! Hé, ducon, aux alentours de 2005, le parquet du coin a « classé d'office » alors que je me plaignais car la succession de la mère de Justine s'était à mon avis en grande partie vaporisée. Un OPJ a en effet dépouillé ma plainte de ses preuves puis ton parquet a « classé d'office » ! Aujourd'hui, tu envisages de désigner le pasteur ou son mari, le médecin, à la place des assistants de Charles Halter, pour t'assurer que son père ne pourra pas spolier la mineure, en niant toutes les carrences de ta justice et l'incurie crasse de la Dass et autres administrations de ce pays, la France ? Qu'est ce que ça signifie ?
Chez Halter, rien n'a bougé au cours des dernières années et cette situation aurait encore pu perdurer, longtemps. Ce n'est pas le pasteur qui a fait appel de la plus récente décision du juge des tutelles, ce qui a maintenant permis de mettre en lumière un certain nombre d'anomalies - « où ça », rétorqueront ces juges ? Ce n'est pas non plus le pasteur qui a signalé qu'il y avait des anomalies à l'inventaire présenté au juge des tutelles, pour approbation, et ce n'est pas le pasteur ni son mari, le médecin, qui a fait rectifier le cadastre de Holving, en 2006 ! « Ca prouve rien » ? Ne serait-ce pas à la famille maternelle de Justine de présenter et de détailler spontannément les éléments de ces successions qu'elle entend se partager un jour ? Va te faire foutre puis torche toi dans ta robe, elle n'est pas noire sans raisons !
Voir dans mes notes ou parmi mes références
Des boches aidés, jaugés et jugés par des juifs « qui ne pardonneront jamais » ? Quelle idée ! Ce pasteur et son mari, tiers dignes de confiance, ainsi qu'admin ad'hoc ? Et pourquoi pas, assis parmi, voire même, à la place des juges ou des juifs - mais évidemment « neutres », selon Anne Valentini - qui nous ont jugé ou plutôt, qui ont pollué le dossier « d'assistance éducative » de Justine, au cours des ces mascarades de procès et d'années de « travail de la relation père-enfant » ? Entre 2003 et 2005, alors que « ça se passait pas bien » pour Justine, au foyer de ces juifs - c'est le choix de Valentini, confirmé par la cour d'appel - de l'OSE France, le pasteur et son mari le médecin ont tous les deux fermé les yeux. Le pasteur d'Uhrwiller a encore fermé les yeux alors que « ça se passait pas bien » dans son presbytère non plus, aux alentours de 2008 - raison pour laquelle Justine optait finalement pour la solution de l'internat scolaire. Le pasteur et son mari ont systématiquement fermé les yeux, ils n'ont jamais bougé, jamais fait appel de quoi que ce soit.
Tu parles d'un médecin, généraliste. Lui-même et sa femme, le pasteur d'Uhrwiller, m'ont très souvent lu et même entendu au cours de ces dernières années, dans ces prétoires. Il n'y a que quelques crevures tel ce bouffon ou Bodon-Bruzel et des ignares tel des magistrats et des professionnels de l'OSE France ou de l'ARSEA Alsace qui pourraient en effet croire ou penser que la trisomie 21 de ma soeur aînée est susceptible de m'avoir affecté. A ces pitres en robe noire en premier, qu'ils soient du parquet, de Nanterre, des chambres ou de la première présidence de Versailles : la trisomie 21 n'a rien à voir avec un rhume et ne vous saute pas à la gorge tel H1N1 !
Le pasteur et son mari, tiers dignes de confiance, et maintenant admin ad'hoc également, mais quelle farce, quelle fumisterie ! J'attends avec impatience le délibéré de Nanterre, pour l'éventuelle opportunité d'un appel et la possibilité de rencontrer Echappe, probablement Olivier, membre du cercle des constitutionalistes et docteur en droit canon, un bon catho. J'ai deux mots à lui dire, en pleine face, s'il ne se dégonfle pas et ne dépèche pas un simple raporteur. J'attends aussi avec impatience la fin novembre prochain et l'opportunité de reparler à ces juges de la 2ième chambre civile.
Le pasteur d'Uhrwiller a bizarrement toujours pu se contenter d'alléguer, de prêcher, de « dire » et « d'expliquer », il n'a jamais eu à démontrer ou à prouver quoi que ce soit ; on doit dire de lui qu'il est « digne de confiance » - et donc bientôt admin ad'hoc aussi, même s'il a tous les dimanches le cul sur des successions de la famille maternelle de Justine ?
Par contre, selon ces mêmes juges, « M. KANT allègue toujours sans jamais rien établir » ou « ne justifie jamais de la réalité des faits dont il fait état ». J'ai le très net sentiment que ces juges de la 2ième chambre civile sont également un chouilla partiaux, comme les autres juges du secteur. J'y suis accoutumé, depuis longtemps. J'en rediscuterais avec la 2ième chambre civile, en novembre prochain ; il faut peut être tout simplement « mieux » éclairer ces juges ?
Leurs inculque-t-on ces moeurs à l'ENM ou au cours des stages qui les amènent sur leurs trônes ? Dans le cadre de l'affaire Bettencourt, d'abord une « affaire de famille », j'avais remarqué une bizarerie de nature assez similaire.
Hier, en me documentant, j'ai appris que Philippe Ingal-Montagnier, actuel procureur général de Versailles, devrait savoir ce qu'est l'antisémitisme. Il pourrait donc également savoir ce qu'est la Shoah ; le CRIF ou des conférenciers ont pu lui en glisser deux mots. Les juges du coin ne retenant le plus souvent pas mes mots, je pense maintenant illustrer mes prochaines conclusions ou observations avec de belles images, des caricatures antisionistes. Celle qui suivent me plaisent beaucoup ; leurs auteurs ont pu s'inspirer d'anciennes caricatures françaises de boches ou anticléricales.
Voir La République et l'Eglise (il y a un siècle)
