April 19, 2007

La loi sur les armes en question





Un article de Aujourd'hui en France. De sa conclusion, qui ppourrait avoir été alimenté par les media tant il a été question des origines de l'auteur des faits : « D'ores et déjà, de nombreuses injures racistes contre les étudiants asiatiques du campus pleuvent sur Internet. L'Amérique doit désormais faire face à plusieurs de de ses démons. »


SEOUL (AFP), extrait - La nationalité sud-coréenne de l'auteur de la fusillade de Virginia Tech a provoqué stupeur et honte à Séoul où les autorités redoutent des représailles contre leurs ressortissants aux Etats-Unis.

Nombre d'habitants interrogés à Séoul demeuraient interloqués, tel Lee Young-Seok qui confie son sentiment de honte et la peur que ses compatriotes aux Etats-Unis ne pâtissent de l'acte d'un fou.

Près de 460 étudiants coréens étudient à l'université Virginia Tech (Virginie, Est), selon l'agence Yonhap.

"En tant que Coréen, je ressens une certaine honte", explique à l'AFP ce fonctionnaire. "Je sais que beaucoup d'étudiants sud-coréens habitent aux Etats-Unis et, maintenant, je me fais vraiment du souci pour leur sécurité", ajoute-t-il.







PARIS (AFP), extrait - A Paris, les affiches de la campagne présidentielle sont détournées, pour attaquer tel ou tel candidat ou sur le mode de la dérision visant toute la classe politique.

Aucun des candidats à la présidentielle, dont les affiches sont apposées sur les panneaux officiels installés devant les mairies ou les écoles, n'échappe au gros nez rouge des clowns.


ISSY-LES-MOULINEAUX (AP), extrait - Nicolas Sarkozy a ironisé mercredi soir sur ses adversaires, qui n'ont comme "seule idée" que de "faire barrage" à son élection à la présidence de la République.

"Les autres candidats, épuisés par le premier tour, voilà qu'ils n'ont plus rien d'autre à dire que du mal de moi. Mais si je n'existais pas, il faudrait m'inventer!", a raillé le candidat de l'UMP, anticipant le mot d'ordre "tout sauf Sarkozy" que ses adversaires s'apprêtent à lancer pour le second tour, lors d'une réunion publique à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine).

Eclairage Les éléphants de la droite pensent à l'après-campagne
Compte rendu Les anciens UDF chargent Bayrou
Le Monde, L'UMP feint d'ignorer la virulence des attaques contre son candidat
Les partisans du président de l'UMP continuent de croire que le front anti-Sarkozy ne verra pas le jour. Qu'il ne sera qu'un phénomène marginal circonscrit à une élite à laquelle "la majorité silencieuse" saura répondre dans les urnes.

L'UMP feint d'ignorer...

Les marathoniens qui se sont lancés, dimanche 15 avril, sur le bitume parisien n'en sont pas revenus. A intervalles réguliers, ils ont pu lire, peint sur la chaussée en grosses lettres blanches : "Sarkozy = danger". Une première selon les habitués de l'épreuve. Le lendemain, l'hebdomadaire Marianne annonçait un retirage de 60 000 exemplaires de son numéro du 14 avril : "Le vrai Sarkozy. Ce que les grands médias ne veulent pas ou n'osent pas dévoiler". Utilisant force citations anonymes et informations déjà parues, l'article décrit le candidat de l'UMP sous les traits d'un futur dictateur, de surcroît psychopathe. Les 300 000 exemplaires du précédent tirage s'étant arrachés comme des petits pains.


Le Monde, Des arguments en faveur des antidépresseurs pour les jeunes
Une étude de la Food and Drug Administration (FDA) a été rendue publique par le "Journal of the American Medical Association" mercredi 18 avril.


- L'Amérique face à ses démons -


Posted 18 years, 6 months ago on April 19, 2007
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Re: La loi sur les armes en question
mercredi 18 avril 2007, 18h38

Les affiches de campagne détournées, par combat politique ou dérision

Par Dominique SIMON


PARIS (AFP) - A Paris, les affiches de la campagne présidentielle sont détournées, pour attaquer tel ou tel candidat ou sur le mode de la dérision visant toute la classe politique.

Aucun des candidats à la présidentielle, dont les affiches sont apposées sur les panneaux officiels installés devant les mairies ou les écoles, n'échappe au gros nez rouge des clowns.

Bien souvent, outre ce nez, des commentaires fleurissent autour des visages et des slogans. "Facho", "cochon", "porc", "imbécile" ne sont pas les moindres des invectives jetées par des mains anonymes.

Tous les candidats sont frappés: Arlette Laguiller (LO) est renvoyée "au goulag". Idem pour Olivier Besancenot, candidat de la LCR, dont le slogan, "Nos vies valent plus que leurs profits !", est commenté par un laconique "100.000.000 de morts". Ou une bulle pensive, sortant de sa bouche: "Mais quelle valeur à la vie ?".

Les inévitables moustaches roulées à la Salvador Dali ou drues sous le nez, à la manière d'Adolf Hitler, ornent des visages, tandis que Dominique Voynet (Verts) est traitée de "gauchiste".

Jean-Marie Le Pen (FN) a la face biffée d'un feutre rageur ou ornée de dents rouges de vampire. Sur l'une de ses affiches, les mots du poète Paul Eluard "Liberté, j'écris ton nom". "J'aime le cochon", barre la figure de Philippe de Villiers, candidat du MPF qui dénonce "l'islamisation" de la France.

Sur celle de Nicolas Sarkozy sont déclinées balafres, boucles d'oreilles, moustaches ou oreilles d'ânes ou bien sont collées les petites affiches au triangle rouge inversé de "Ras l'front".

Sur d'autres panneaux, son visage est blanchi et remplacé par une affichette avec trois petits bonshommes noirs brandissant un étendard à tête de mort sous l'assertion "Soyons pirates". Son slogan devient : "Ensemble tout devient pénible".

Sur le visage souriant du candidat Chasse, Pêche, Nature et Traditions, Frédéric Nihous, une interrogation: "C'est qui lui ?" tandis que Gérard Schivardi, le candidat soutenu par le Parti des travailleurs et qui ne décolle pas dans les sondages, est gratifié du commentaire: "C'est du lourd!".

La célèbre pipe de José Bové, absente des affiches, est remise dans sa bouche tandis qu'un grand chapeau paysan orne sa tête. Une bulle sort de sa bouche: "La terre réclame le sang".

Sur le visage déchiré de Ségolène Royal, "Zorro is back" est inscrit en grosses lettres marron. Ou encore "gauche caviar", "Danger. Je paye l'ISF mais je suis à gauche". Certains montages mêlent son visage et celui du candidat UDF, François Bayrou.

Placardées sur ce dernier, ces questions et réponses: "Quel programme? Aucun!. Quelle majorité ? Aucune . Confusion totale!". Ou sur sa bouche "L'immobilisme". Et à côté: "Entrée libre".
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Re: La loi sur les armes en question
jeudi 19 avril 2007, 18h57
Fusillades de Virginia Tech: l'Amérique sous le choc après les vidéos du tueur

BLACKSBURG (AFP) - L'Amérique était jeudi sous le choc des vidéos transmises par l'auteur du carnage de Virginia Tech, dont la diffusion provoque un début de polémique et aussi alimente les questions sur la manière dont l'étudiant a pu échapper à la vigilance des autorités.

Etalées sur toutes les Unes, diffusées en boucle à la télévision, les images de Cho Seung-Hui, posant armé et regard menaçant, sont venues renforcer le portrait d'un jeune homme gravement perturbé, plein de violence et de haine.

"Vous m'avez poussé dans mes derniers retranchements et ne m'avez pas laissé le choix", affirme le jeune sud-coréen dans une des 27 mini-vidéos expédiées par la poste, avant le massacre et avant son suicide, à la chaîne américaine NBC.

"Vous aviez des centaines de milliards de possibilités et de moyens d'éviter ce jour", dit-il d'un ton saccadé, ne levant que brièvement les yeux vers l'objectif de la caméra. "Mais vous avez décidé de verser mon sang... C'était votre décision. Maintenant vous avez du sang sur les mains".

Dans son flot de propos, il se place en martyr, s'en prend aux riches, fait référence à Jésus ou aux deux jeunes auteurs de la tuerie de Columbine. Sur une photo, il apparaît brandissant les deux pistolets qui lui serviront lundi dernier à massacrer 32 étudiants et professeurs de l'université où il étudiait l'anglais.

Depuis le jour de la tuerie, l'Amérique se demande comment l'étudiant, repéré par la police du campus en 2005 après une plainte d'étudiantes pour harcèlement, puis envoyé en hôpital psychiatrique, puis également repéré par un juge et plusieurs professeurs, a pu passer entre les mailles.

Jeudi, au lendemain de la diffusion des vidéos du tueur, les dirigeants de Virginia Tech se sont défendus de toute inaction.

"Je sais que nous avons suivi nos procédures correctement dans le passé, nous avons agi d'après les informations dont nous disposions à l'époque, et maintenant nous avons bien plus d'informations", a dit le vice-président de l'université, Ed Spencer, lors d'une conférence de presse."Je pense à la séduisante tentation d'accuser, et j'espère que personne parmi nous n'ira dans ce sens".

Le chef de la police de Virginia Tech a pour sa part critiqué la décision de NBC de montrer ces images.

"Je suis déçu par la décision éditoriale de diffuser ces perturbantes images," a dit Steve Flaherty, relevant qu'habituellement seuls les policiers ont accès à ce genre de matériel. "Je suis désolé que vous ayiez tous été exposés à ces images... Je déteste l'idée que des gens non habitués aient dû voir ce genre d'images".

Par ailleurs, l'officier a indiqué que le contenu du paquet avait apporté dans l'immédiat peu d'éléments à l'enquête: "Le colis a simplement confirmé ce que nous savions déjà, sur de nombreux aspects".

Une autre polémique enfle aussi quant à la réaction policière pendant les deux heures qui se sont écoulées entre une première fusillade, qui a fait deux morts sur le campus lundi en début de matinée, et le carnage qui a suivi. Selon le New York Times, la police, après la première attaque, a peut-être suivi une fausse piste et initialement poursuivi un jeune homme qui n'était pas le bon.

Les enquêteurs tentent désormais de déterminer si Cho a utilisé ce temps pour aller poster son colis à NBC: le cachet postal indique Blacksburg, lundi à 9H01, soit une heure et demie après la première fusillade et moins d'une demi-heure avant le début de la seconde.

La police n'était cependant pas en mesure jeudi de confirmer qu'il avait bien posté lui-même le paquet à l'heure dite: lundi étant la date limite pour les déclarations de revenus aux Etats-Unis, le bureau de poste était bondé et les souvenirs des employés ne sont pas précis.
Posted 18 years, 6 months ago by Anonymous • • • Reply
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