July 22, 2006

Pratique de l'histoire et dévoiements

[L’historien] ne doit pas avoir en face des témoins du passé cette attitude renfrognée, tatillonne et hargneuse, celle du mauvais policier pour qui toute personne appelée à comparaître est a priori suspecte et tenue pour coupable jusqu’à preuve du contraire; une telle surexcitation de l’esprit critique, loin d’être une qualité, serait pour l’historien un vice radical, le rendant pratiquement incapable de reconnaître la signification réelle, la portée, la valeur des documents qu’il étudie; une telle attitude est aussi dangereuse en histoire que, dans la vie quotidienne, la peur d’être dupe, cette affectation que Stendhal aime à prêter à ses personnages (« je suppose toujours que la personne qui me parle veut me tromper »...).

Henri-Irénée Marrou,
De la connaissance historique,
Éd. du Seuil, coll. Points Histoire, 1975

[La] “méthode” [des négationnistes], si l’on peut dire, est perverse: elle associe l’hypercritique à la fabulation, l’ergotage sur les détails et sur les mots à l’ignorance massive du contexte, et cherche à faire apparaître comme conclusion d’une démonstration ce qui est postulat affirmé au départ.[C’est une] anti-histoire.

Bernard Comte,
Le Génocide nazi et les négationnistes, 1990


De source phdn.

Trois enfants ?


Voir éventuellement " Comprendre les institutions : un premier regard sur l'autisme " ou " Supprimer les accusateurs bis "...

Justine, happée par les rouages, réclamée par ses tantes maternelles...

Laisser Julie tranquille ?

Keïra née en 2001 ?

Fin juin 2006, plus de trois ans après les investigations de l'ASE, deux ans après les investigations de l'OSE France, près d'un an après les investigations du juge des tutelles, il apparait que les qualités professionnelles et l'intégration sociale du couple et de la famille ne sont pas à remettre en cause ?



July 21, 2006

Parole, parole... Authentique ?


La parole, ce ne sont pas seulement des mots qui s'inscrivent dans un espace. La parole authentique est celle qu'on ne peut pas ne pas écouter. C'est celle qui, tout à coup, sort l'auditeur du ronron facile à gérer, où la banalité des propos l'enferme, pour le contraindre à se mettre en éveil ou à se réveiller. La parole ne doit pas seulement se contenter de dire.

Extrait de Parole, parole...
Du blog de Philipe Bilger
Avocat Général près la cour d'appel de Paris


Selon les éducateurs, Justine aurait un moment été en voie d'accéder à une parole "authentique" (au sens de "personnel", et non plus sous influence). Justine n'était pas présente, elle n'était que représentée ce 18 mai dernier. La Cour d'appel n'a donc pas pu entendre la parole de Justine, en voie d'être "authentique" ou peut être déjà "authentique".

Au bout de quasi deux ans de placement, Justine a écrit qu'elle souhaitait aller vivre avec sa tante (quitter enfin l'établissement de l'OSE France, ce que je comprend) puis le dossier d'assistance prétendue éducative a été bouclé en ce sens.


La contention est une technique typiquement employée dans les unités unités psychiatriques, sous contrôle de médecins.

Dans l'activité des centres de rééducation, on met l'accent sur l'usage prioritaire des moyens éducatifs pour prévenir le désordre;

Dans les cas tout à fait spéciaux (agression et hétéro-agression) on emploie des moyens de contention physique de courte durée; ceux-ci n'ont pas un but disciplinaire et ils sont mis en pratique par décision du directeur du centre de rééducation et seulement avec son accord;

D'une réponse du Gouvernement de la Roumanie
au rapport du Comité européen pour la
prévention de la torture et des peines ou
traitements inhumains ou dégradants (CPT)
relatif à sa visite en Roumanie


En France, la contention des enfants est employée afin de "faire penser" ou de "remettre au monde" les enfants :

Circulaire /DGS/DGAS/DHOS/DPJJ 2002/282 du 3 mai 2002
Extraits :

Les orientations thérapeutiques
Il a donc fallu créer des dispositifs inhabituels pour que la pensée advienne. Notre première question dans ces circonstances n'était pas « que va-t-il penser ? », mais « va-t-il penser ? ».

La contention
Elle peut avoir lieu de deux manières en fonction du niveau de sécurité nécessaire et de l'âge. Pour les préadolescents, on utilise des attaches (poignets, chevilles, ceinture ventrale) pour une durée prolongée, parfois de plusieurs semaines. Ceci nécessite de relever le conflit, et de penser qu'un sujet omnipotent est un enfant terrorisé par un objet interne ; un des buts de la contention est de permettre au sujet de tolérer quelque chose de son impuissance face à ces sensations - émotions internes. Pour les enfants petits, on utilise des enveloppements avec un drap non humide d'une durée de 40 minutes.


L’étymologie latine - de la séparation - propose deux hypothèses : une qui signifierait disposer, placer, préparer, l’autre désignerait le fait de produire, d’inventer, de créer et mettre au monde.

Ces deux théories sont retenues par J.Lacan qui joue sur l’équivoque « autorisée par les latinistes » dit-il entre « se séparer » et « s’engendrer ». Se séparer c’est donc pouvoir donner naissance à.

Extraits de "Internat et séparations"
Richard Josefsberg
Cahier de l'Actif n°306/307


Disposer, placer... Madame Josefsberg était en amont du placement et Monsieur Josefsberg a disposé de Justine, il a d'ailleurs même endossé le statut de tuteur légal.

A Taverny, le Directeur et son personnel travaillent donc à séparer, à créer, à remettre au monde les enfants que le ministère public leurs confie provisoirement. Pour parvenir à ces fins, la "renaissance", les enfants sont séquestrés pendant tout le temps nécessaire. Puis, dès que l'enfant parait enfin penser comme les travailleurs sociaux de l'OSE France le souhaitent, les juges peuvent motiver la rupture, la période de placement en institution peut avoir un terme.

Dans les ordonnances rendues, il apparait en différents points et périodes que l'avis apparent - ou simplement allégué - de l'enfant ainsi manipulé et contraint par les travailleurs sociaux de l'OSE France motive à lui seul les orientations des mesures d'assistance éducative :




Le choix contraint - ici, du placement chez le couple Clementz - a été instituté en 1958-1959, l'ONED le rappelle dans une synthèse de septembre 2005. Nous sommes en France, en juillet 2006...


Dans les Cahiers de l'Actif il est encore question d'un travail de deuil à accomplir par l'enfant, parfois impossible, et pour exemple, Monsieur Josefsberg reprend celui des enfants de déportés, au siècle dernier. Monsieur Josefsberg et sa femme sont des ** indicible **, Justine n'a pas fait le deuil de sa maman, décédée en 1999, et ils demandent à Justine d'entreprendre le deuil de son papa, de sa petite soeur, de sa belle-mère, de ses amis et proches en région parisienne alors que nous sommes tous vivants !


« Utiliser le concept de séparation dans une perspective positive, en s'appuyant sur des références diverses et sans orientation idéologique, a été une préoccupation majeure »

« Internat et séparation »
Intervenir auprès des enfants et des adolescents
ENSP, 2000, collection « ETSUP savoirs professionnels »

Tout au contraire de cette affirmation qui serait alors une dénégation, Monsieur et Madame Josefsberg ne seraient ils pas très fortement empreints d'une idéologie particulière relative à leur propre histoire et difficultés toutes personnelles ?

S'il m'arrive de croiser à nouveau Monsieur Richard Josefsberg, cette sorte de révisionniste, cet éducateur spécialisé qui tue les parents dans la tête des enfants tout en alléguant par la suite, auprès de la Cour, qu'il y a eu travail de médiatisation, je lui adresse un salut nazi.

La fabrique des tortionnaires
Des notes de lecture de Bourreaux et Victimes
Ed. Odile Jacob, 1999, Françoise Sironi

S'il est vrai que la torture doit être pensée comme pratique de déculturation et de désaffiliation, dans le même temps, l'auteur insiste sur le fait que le processus de déculturation subi par la victime doit être compris comme un processus d'influence, celui imposé par le groupe des tortionnaires au sujet torturé. F. Sironi appelle effraction psychique cette action du bourreau qui fait entrer en chacun l'autre que soi et le modifie radicalement, au point que tout ce qu'éprouve et pense l'individu est en lien avec un autre, avec la manière dont l'autre l'a pensé, chosifié.

Cet effet d'effraction est consciemment pensé et visé par les techniques de torture, il coïncide même avec l'action psychique de la torture comme pensée en acte, pensée agissante faisant irruption dans le psychisme du torturé.

July 20, 2006

L'évolution du droit de la famille inquiète profondémment l'Eglise

L'autre jour, j'écrivais la chose suivante dans mon blog ainsi que dans le forum du Monde :

Vu mon propre dossier, j'ai l'amer sentiment d'avoir été accusé, jugé et condamné par des pasteurs assistés par un tribunal rabbinique. Je suis un goy, je ne vais plus à l'église depuis des lustres et je vis maritalement ce qui ne peut que déplaire à la bourgeoisie. Tout cela ne me laissait aucune chance.


Les trois arrêts de la cour d'appel vient de rendre ne font que renforcer mon sentiment :




Isabelle Clementz n'est pas psy, elle est pasteur protestant. Elle et sa soeur Carole, l'assistante sociale de l'ASE, souhaitaient obtenir la garde de Justine, Isabelle n'allait donc pas dire autre chose que cela.

De même, le Directeur de l'établissement de l'OSE France n'allait pas se déjuger ni d'ailleurs contester du coup le travail d'investigation - non fait - qui avait été confié à sa propre femme, en amont du placement.

Je souligne que Pascal Clementz était encore absent (non convoqué il me semble). Pourtant c'est le couple Clementz qui est tiers digne de confiance et non simplement Madame...


Il y avait donc un homme (le père, ma compagne n'était pas convoquée non plus) et une femme (une tante) devant la Cour et l'objet de mon appel était la mainlevée de la mesure d'assistance prétendue éducative. En effet, je souhaitais que Justine puisse enfin réintégrer sa place, au sein de ma famille.

Mais la Cour a confirmé les ordonnances et le placement de ma fille aînée chez sa tante, en Alsace. L'un des motifs de ce placement semble très clairement être la situation conflictuelle dont l'enjeu pour Isabelle et Carole était Justine, sa garde mais également l'administration légale de ses biens.


Il semblerait donc que, contrairement à ce qu'allègue Chirac, l'autorité parentale n'est pas si capitale que cela et que cet Etant n'est pas si droit que cela au vu de mes plaintes toutes sans suite connue, de mes éléments, tous écartés, et au su de ce qu'on me prie d'accepter purement et simplement ce qui n'est pas conforme à la réalité juridique.

Car, en effet, Il faut que je reécrire au juge des tutelles qui semble me presser d'accepter une succession dont l'inventaire n'est pas conforme à la réalité juridique.

Drôle d'Etat et drôle de monde, il y apparait clairement que certains jouissent de privilèges judiciaires. Les parents devraient accepter tout et n'importe quoi, surtout de se démettre, l'institution veillerait à rendre des décisions dans l'intérêt supérieur de l'enfant, dans l'intérêt de la nation. J'ai des doutes, de très serieux doutes, depuis longtemps, je me plaignais encore en août de l'année dernière.


De l'échange, sur le forum du Monde :


Re: régularisés en deux heures
[re: kurukuru]
impaire
07/07/2006 09:54

..."je vis maritalement ce qui ne peut que déplaire à la bourgeoisie"..

Vous plaisantez , sortez de votre grotte , ça fait des lustres que les bourgeois vivent maritalement !


ce n'est que trois ans plus tard que l'institution s'en est très soudainement préoccupée, lorsque j'ai rappellé l'existence de ma deuxième fille - ce toujours sans convoquer ma compagne, la mère de cette enfant. j'ai un courrier dans lequel il figure que je serais "veuf et non remarié" or je n'ai même jamais été marié.


la bourgeoisie a souvent fait des choses qu'elle ne tolèrait pas elle même. de nos jours toutes les classes comptent des homos, des couples homos, des couples homos avec des enfants.

L'évolution du droit de la famille inquiète profondémment l'Eglise: 'Cliquez Ici'


..."J'ai l'amer sentiment d'avoir été accusé, jugé et condamné ..."..

Ce n'est pas qu'un sentiment : au niveau de la démagogie et de l'instrumentalisation vous etes le champion !

le decallage entre le contenu du dossier - de l'une de mes deux filles - et la réalité n'est pas de mon fait. les travailleurs sociaux ont construit un dossier et le juge a ordonné.

July 19, 2006

Comme une vitesse particuliere pour qui n'est rien que citoyen


D'un échange dans un autre forum encore...

Si je puis me permettre, dire qu'on ne peut tenir compte de l'évolution de la situation lors d'un appel, c'est du n'importe quoi. C'est au bon vouloir du juge ; j'en ai fait l'expérience il y a quelques années devant le JAF. Certains éléments nouveaux me concernant ont étés pris en compte à mes dépends.


De l'un des trois arrêts rendus ce 29 juin :




J'ai là le très net sentiment que tous mes éléments anciens ont été écartés car ceux-ci ne figuraient pas au dossier tel que l'avaient constitué le JPE et les travailleurs sociaux de l'OSE France.

Mais dans un second arrêt rendu ce même 29 juin 2006, des éléments nouveaux et postérieurs à l'ordonnance contestée sont pris en considération :




L'ordonnance du 9 novembre 2005 m'intimait de laisser "Julie" tranquille... Je n'ai pas d'enfant qui se prénomme Julie. Puis ces arrêts m'adressent le repproche de n'avoir pas renoué avec des gens qui ne souhaitent pas avoir de relations avec moi, des gens qui ne voulaient rien d'autre que ma fille aînée Justine. Si ces gens, Carole et Isabelle, avaient voulu autre chose que Justine, tel que des DVH, elles auraient saisi un JAF plutôt qu'un JPE.

Il faut que je relise encore ces trois arrêts, j'ai le sentiment que la cour d'appel n'a même pas remarqué que son arrêt de mars 2005 n'avait pas été respecté, il y figurait grossièrement : "pour l'équilibre de l'enfant les relations avec la famille maternelle ET la famille paternelle doivent être maintenues". L'OSE France n'a pas respecté cet arrêt puis c'est ensuite que Justine est apparue en pleurs, à l'audience du 4 novembre 2005 chez le JPE. Ce 18 mai 2006 Justine n'était pas présente à l'audience, elle irait bien, elle aurait besoin de se reconstruire.


Mais depuis le début de ces mesures d'assistance prétendue éducative, les juges et les travailleurs sociaux n'ont fait qu'oeuvrer afin que ma fille Justine retrouve sa place dans la famille élargie maternelle (KANT - BULOW / CLEMENTZ épouse BULOW dans les diverses ordonnances et arrêts rendus).


C’est à partir de la seconde moitié du XXème siècle que les études sur les séparations deviennent plus systématiques et « avec le recul une synergie apparaît entre les thèmes investis par le chercheur et le contexte social, entre l’histoire des idées et celle des hommes : ce n’est pas un hasard si l’étude de la séparation prend naissance au détour d’une période de l’humanité marquée par des millions de morts et de déportations ».

L’agrippement est à la base à la fois de l’attachement et de la séparation. Une fois établie la confiance de l’enfant, la séparation définitive de la mère a lieu soit du fait de la mère soit du fait de l’enfant.

Les missions des organisations de suppléances familiales furent d’abord religieuses et politiques (recherche d’un salut, conversions des enfants protestants)... et même économiques (pérennisation institutionnelle pour l’emploi et pour des positions sociales (les notables)...

Extraits de "Internat et séparations"
Richard Josefsberg
Cahier de l'Actif n°306/307


La maman de Justine est décédée en 1999 et en 2003, Carole Bulow et sa soeur, Isabelle Clementz, ont réclamé sa garde.

Je ne suis que le père, mes éléments, ma parole et celle de Justine s'est opposée aux allégations versées au dossier par des notables :

  • Carole Bulow, AS de l'ASE en Moselle
  • Isabelle Bulow épouse Clementz, pasteur en Alsace
  • Madame Josefsberg, professionnel de l'OSE France
  • Monsieur Josefsberg, professionnel de l'OSE France
  • le juge Anne Valentini


Rien à faire en tant que simple citoyen français ; je ne suis ni juif, musulman ou arabe, j'ai des papiers, je suis d'ailleurs né sur le territoire de parents eux même français, je ne suis pas SDF, etc, etc, etc.

Quand je pense que les sans papiers ne se font pas retirer leurs momes, je reste songeur quant aux réelles motiviations de ces lettres de cachet.

July 18, 2006

Re: deux options: plier ou se démettre

D'un échange sur la toile, dans un forum :

Re: deux options: plier ou se démettre
Auteur: Bruno KANT
Date: 18-07-2006 12:35

> d'aborder les audiences de manière plus neutre
> (car vous pouvez être assuré que les juges vous lisent).

Qu'ils lisent. La justice est rendue "par le peuple et pour le peuple". Les décisions de justice - réputée juste et bonne - peuvent être contestées et peuvent même être portées ou contestées en place publique.

Moi, ce que je conteste avant tout, c'est que l'institution se défausse maintenant totalement de ses responsabilités derriere les écrits d'un enfant de 12 ans sur laquelle les travailleurs sociaux ont exercé des pressions considérables:

http://justice.cloppy.net/ArretJuin2006-4.gif


C'est l'enfant de 12 ans qui décide - là, soudainement, le 12 octobre 2005, parce qu'il vient d'écrire autre chose que ce qu'il réclame depuis plusieurs années - ou c'est le juge qui décide?

Les décisions de justice doivent elles être justes ou doivent elles satisfaire, sur le moment, lorsque l'enfant s'effondre après avoir pris sur ses épaules tout le poid de la décision?

Tant pis si mon point de vue ne plait pas aux juges. Moi j'y vois mes enfants qui en souffrent.


M'en cogne que ce soit ici les juges et un collège d'une cour d'appel. Il y aurait une rumeur qui dit que des arrêts peuvent être cassés.



Re: deux options: plier ou se démettre
Auteur: Bruno KANT
Date: 18-07-2006 19:49

> -Vos textes sont tellement accusatoires

j'ai revérifié des dates et des écrits. le 12 octobre ma fille a donc écrit une lettre au juge.

je sais ce que cette lettre contient mais vous, non.

peut avant, il s'était produit des choses au sien de l'établissement gardien, ma fille m'en a parlé, à vous, non.

un médecin m'a écrit à ces sujets, à vous, non.

...

Vous m'aviez bien écrit vous même qu'il ne fallait pas tout dévoiler. ;-)


vous aussi, vous écririez n'importe quoi pour que ca cesse, lorsqu'on vous "casse" des doigts.


> -Vous vous trompez d'arène

si c'était ce que je recherchais, je saurai à quelle porte aller fraper.


Re: deux options: plier ou se démettre
Auteur: Bruno KANT
Date: 18-07-2006 22:03

> Je sais bien que c'est dur, c'est aussi pour cela
> que je vous dit de ne pas écrire n'importe quoi.

quoi, que ma fille s'est par exemple pris un coup de pied dans les doigts? il y a une mention de cela dans un compte rendu de radiologie. c'est grave de l'écrire?


Re: deux options: plier ou se démettre
Auteur: Bruno KANT
Date: 18-07-2006 23:55

> (en résumé) la situation

en résumé, la sitation est que je ne peut pas accepter les décisions de "justice". rien ne justifie la séparation, que ce soit à priori ou à postériori, si ce ne sont les allégations des tantes et des travailleurs sociaux.


les travailleurs sociaux ont travaillé à contraindre ma fille aînée à accepter la rupture, dans son prétendu intérêt.

en un certain sens, ma fille avait intérêt à accepter car dès 2003, il lui a été dit qu'elle finirait chez ses tantes - point barre. ma fille n'avait donc pas d'autre choix que d'écrire cette lettre du 12 octobre ou de rester dans le foyer de l'OSE.

Elle ne voullait pas rester dans un foyer, elle voulait une vie "normale"... je pensais avoir des voies de recours... et la mome a du percevoir qu'il n'y en a pas, que le retour serait impossible avant sa majorité.


des arrêts de la CA et du dossier...

de l'avis d'un psy, j'aurais empèché, moi, ma fille d'aimer l'une de ses tantes (qui avait disparue sans nous laisser d'adresse, raison pour laquelle le JPE lui a confié la garde de ma mome) et même plus généralement les femmes de sa famille maternelle.

je mettrais ma propre fille en danger car j'exigerais le retour de ma fille en demandant que la famille maternelle soit exclue... or j'ai pourtant toléré des relations entre ma fille et sa famille maternelle pendant la période du placement.

que d'ailleurs, le 2 février 2006 je reconnaissais devant la cour d'appel que je n'avais aucune relation avec ceux qui ont la garde de ma fille (le juge m'a interdit d'entrer en relation avec ma fille et le couple qui a la garde est celui qui avait disparu sans laisser d'adresse, c'est l'une des deux tantes qui réclamaient la garde de ma fille dès 2003 février, tout en m'accusant de souhaiter délaisser ma fille, de la maltraiter...).


seul importe maintenant pour les juges la place que Justine peut prendre au sein de la famille élargie kant-bulow-clementz...

le juge concluait que la famille kant (la famille paternelle) est rayée de la vie de Justine et la CA confirme.


la famille élargie de Justine n'est plus que bulow-clementz, la famille maternelle.


dans une de mes lettres au JPE de 2003, j'alléguais que ces tantes ne souhaitaient rien d'autre que la garde et de m'exclure de la vie de cette enfant. c'est fait, j'aurai alors souhaité que ma fille et ma famille soyons protégé de cela.


si vous avez des explications, je prend.

July 17, 2006

De la parfaite inutilité d'interjeter appel d'une décision d'un JPE

Ou de la parfaite inutilité de solliciter n'importe quelle instance ou institution de la République Française susceptible d'effectuer un quelconque contrôle : Un juge du siège est indépendant (n'en fait qu'à sa tête, du moins selon ce dont il dispose sur le moment, à son dossier tel qu'il le construit).


Depuis 2003 le juge pour enfant (JPE, un juge du siège qui a à la fois le pouvoir d'instruire et de condamner) a systématiquement écarté l'ensemble de mes éléments, sauf peut être ceux qu'il à pu employer à charge, afin de me noircir. Le JPE a parfois pris ses décisions la veille des audiences contradictoires, avec l'enfant même, comme ce fût le cas le 30 juin 2005 en prévision de l'audience du 1er juillet 2005. Le JPE a peut être aussi parfois pris ses décisions en mon absence, en concertation avec l'OSE France, cela semble avoir été le cas aux environs du 21 octobre 2005 mais il y en a eu d'autres, décisions prises en mon absence et sans même m'en informer, avec certitude. Le JPE n'est jamais revenu sur ses décisions, il m'annoncait simplement la couleur à l'ouverture de ses audiences prétendues contradictoires. Le JPE a même un jour pris des décisions motivées par un rapport de l'OSE France reçu le jour même de l'audience, ce qui fût le cas le 4 novembre 2005, clairement au parfait mépris du respect du principe du contradictoire (voir le décret d'application du 15 mars 2002 par lequel la France se mettait enfin en apparente conformité par rapport aux attentes de la CEDH). Le jour des audiences il ne figurait la plupart du temps - pour ne pas dire systématiquement, selon les principes du taylorisme - rien d'autre au dossier que les allégations nouvelles des travailleurs sociaux de l'OSE France et du JPE, allégations conformes aux intérêts sinon parfait reflet des allégations des deux tantes maternelles de Justine, Carole et Isabelle. Carole et Isabelle, les soeurs Bulow, sont comme cul et chemise, elles partent même ensemble en vacances d'été. Carole et Isabelle me sont par ailleurs apparues comme cul et chemise avec Madame et Monsieur Josefsberg de l'OSE France (quoi de plus normal, entre soeurs, confrères de l'assistance publique, mari et femme travaillant pour l'OSE France, tous rangés aux côtés du JPE, à désigner unanimement le même présumé coupable : Monsieur Bruno KANT, le papa de Justine).

Extrait significatif de l'un des arrêts de la cour d'appel de Versailles rendu fin juin 2006, on remarque que la cour d'appel de Versailles ne considère pas les éléments nouveaux, ne s'en tient qu'aux motivations et à ce qui figurait au dossier à l'époque de la decision contestée, contenu du dossier qui n'était alors que morceaux choisis par le JPE et les travailleurs sociaux de l'OSE France :




Conclusion : les diverses décisions rendues les 1er juillet 2005, 4 et 9 novembre 2005 étaient alors d'apparence parfaitement motivées - l'apparence est importante, la France est un Etat de paraître droit et soigne son image, des instances d'arbitrage et de contrôle telles que la CEDH et l'ONU veillent. Les dernières décisions du JPE sont surtout motivées par l'approbation d'abord allégué fin juin 2005 puis le revirement soudain de Justine dans sa lettre du 12 octobre 2005 (dans laquelle il apparait que Justine plie alors que le 26 septembre 2005 l'OSE m'écrivait encore que Justine souhaitait passer les vacances de la toussain 2005 à la maison). Les travailleurs sociaux de l'OSE France allègueront que ce revirement de Justine est du au fait qu'ils ont enfin pu la libérer de l'emprise de son très vilain papa (voir plus bas, le lien et les explications relatifs au lavage de cerveau). Les décisions sont toutes les trois confirmées en toutes leur disposition : le juge Anne Valentini, le juge Thierry Reveneau et les travailleurs sociaux de l'OSE France sont donc parfaitement propres. De même, il n'y a strictement rien à repprocher à Carole et à Isabelle. On croirait lire un rapport récent de l'IGSJ : le résultat est absolument quelconque mais personne n'a jamais fait la moindre erreur.

A remarquer ou à savoir, entre juillet et novembre, tous mes droits ont été drastiquement restreints, il avait déjà été annoncé à Justine qu'elle ne vivrait plus jamais à la maison, avec son papa, sa petite soeur, sa belle-mère. Quel choix le JPE et les travailleurs sociaux de l'OSE laissaient-ils à Justine sinon de croupir en foyer de l'assistance publique ou de se soumettre à l'issue certaine pour elle car contrainte d'aller vivre en Alsace, chez tata Isabelle, le pasteur protestant ?


Conclusion encore de la cour d'appel : je ne suis pas coupable ni d'ailleurs incapable, à croire que la cour d'appel supposait que je ne souhaitais qu'être rassuré sur ces points. J'avais pourtant été très clair au cours de l'audience du 18 mai dernier, même si mon document du 4 juin n'est finalement pas parvenu à la cour d'appel, je réclamais bien la main levée des mesures d'assistance prétendue éducative.

Mais, depuis 2002-2003, beaucoup de mal a été fait comme il serait d'usage lorsque l'assistance et la justice sont saisis. La situation de Justine a bien changée et il m'appartiendrait maintenant de ressaisir le JPE avec des éléments nouveaux... Mes vieux éléments, qu'il n'a jamais voulu parcourir. En effet, le JPE et les travailleurs sociaux n'ont jamais travaillé avec moi bien que je suis le papa de Justine et que sa maman est déjà décédée. Justine est orpheline de mère depuis 1999 et l'institution socio judiciaire a tout fait pour que cette mome soit aussi privée de son papa mais également de sa petite soeur, de sa belle-mère ainsi que de tous ses amis et proches, en région parisienne. justine est d'ailleurs née en région parisienne, elle y a passé la majeur partie de son existance, et la voila télébroyée en Alsace !

De l'avis ou du moins des conclusions de la cour d'appel de versailles, il m'apparait surtout que toute démarche auprès du JPE serait parfaitement vaine : les travailleurs sociaux de l'OSE ont fait un travail prétendu merveilleux, aucune cour ne me rendra jamais Justine vu le dossier qu'ils ont construit (des allégations, des interpretations de faits et des agissements au parfait mépris du droit proclamé). Si je m'en fie à l'article 8-2 de la CIDE, l'Etat devrait pourtant réparer ?


Et la Direction de la PJJ, J. Leborgne, de me recommander encore et encore de prendre conseil auprès d'un avocat, de m'épuiser à user des voies de recours accessibles, de ressaisir même le JPE... Connait-il réellement le fonctionnement du dispositif de la protection de l'enfance ou, comme d'autres, ne peut il répondre que loyal et droit ?

Il y aurait un risque majeur à ressaisir le JPE : bien que mécontente de ne plus voir sa grande soeur, Keïra a pour le moment été épargnée par cette broyeuse. L'OSE France serait capable de n'importe quoi pour sauver cette enfant là aussi... De quoi sauver Keïra? L'OSE France l'établirait au bout de quelques années de harcellement et d'une période de placement (A 150€ par jour, ça peut profiter) assortie d'une entreprise de destruction des relations parents-enfant (de nombreuses familles d'accueil n'attendent pas mieux de l'autre côté de la broyeuse).


Les trois arrêts de la cour d'appel sont cependant extrèmement intéressants car ils me permettent encore de prendre connaissance d'autres éléments du dossier de Justine, tel que construit par le JPE et les travailleurs sociaux de l'OSE France. En effet, sauf par le biais du contenu des motivations des ordonnances du JPE et des arrêts de CA, je n'ai jamais pu accéder personnellement au dossier de ma propre fille même si depuis mars 2002 une telle démarche serait accessible aux parents (si le dossier leurs était accessible et si le contradictoire était respecté, les parents pourraient se défendre efficacement...). Les éléments dont je viens d'avoir connaissance ne font que conforter mon propre dossier, je dispose déjà de très nombreux écrits (y compris de réponses des plus farfelues de l'institution ou même de l'OSE France).


Extrait du rapport 2005 du Défenseur des Enfants, page 99, partie "L'enfant face à la Justice" :

Il arrive que les adultes se cachent derrière les voeux exprimés par l’enfant pour échapper à leurs propres responsabilités ou pour faire valoir leur propre point de vue. Il arrive également qu’un enfant, sous la pression d’événements et dans une situation de crise, fasse valoir un point de vue qu’il regrettera par la suite et qui peut avoir de lourdes conséquences pour lui : c’est le cas des enfants qui, dans le cadre d’une séparation parentale, affirment soudain, à l’occasion d’un conflit, qu’ils n’aiment plus ou ne veulent plus voir leur père ou leur mère. Enfin, il arrive que des parents exercent des pressions sur leur enfant pour qu’il fasse telles déclarations ou lui reprochent de ne pas avoir dit ce qu’ils attendaient de lui. Il est du devoir de l’institution judiciaire de protéger l’enfant de telles manipulations. En premier lieu, en rappelant que le droit de l’enfant d’être entendu n’est pas incompatible avec celui de se taire et d’être épargné de l’obligation de prendre une position. En second lieu, en expliquant clairement à l’enfant, avant qu’il ne parle, comment ses propos vont être retraduits à ses parents. Enfin, en apportant à l’enfant une information claire et accessible sur les enjeux de la procédure et la place qu’il y occupe, en lui rappelant la responsabilité des adultes, parents ou juge, dans la prise de décision. En effet, entendre l’enfant n’est surtout pas le laisser décider : tenir compte de son état d’enfant, c’est d’abord le protéger du poids de la décision.


Le 30 juin 2005 Justine était à l'OSE et ces services l'ont accompagnée chez le JPE. Justine aurait alors accepté d'aller vivre chez sa tante, en Alsace, alors que quelques jours plus tôt elle confiait à une inconnue qu'elle souhaitait rentrer à la maison et vivre auprès de son papa.

Entre septembre et octobre 2005 Justine a eu beaucoup de problèmes au sein de l'établissement de l'OSE de Taverny. Le 12 octobre 2005, dans l'établissement de l'OSE France, Justine a écrit la lettre qui motive maintenant à elle seule la rupture définitive de la relation père-enfant (voir à ce sujet l'un de mes anciens articles relatif au lavage de cerveau tel que le pratique l'OSE France, la méthode Josefsberg décrite dans "Internats et séparation", et tel que retranscrit noir sur blanc dans les ordonnances du JPE ; vous avez dit réforme de la pensée en Chine, 1950, je répond en France, en 2005).

Au 4 novembre 2005 Justine rentrait d'un séjour en Alsace ou en Moselle, très certainement avec ses très chères tantes maternelles, Carole et Isabelle. Justine était effondrée, les lavages de cerveau sont réputés épuisants...

Mais la cour, les juges et les travailleurs sociaux affirment que moi, Monsieur KANT, son papa, j'exercais des pressions sur Justine... Pour ces motifs et car c'est là leur avis et point de vue, ce 4 novembre dernier le JPE a suspendu tous mes droits et Justine a été dans la foulée donnée à ses deux tantes maternelles - amen.


Page 20 de ce même rapport 2005 du Défenseur des Enfants, extrait que je citais déjà le 20 novembre 2005, à l'occasion de la journée internationale des droits de l'Enfant, au sujet d'une prétendue autorité de cette institution :

Le Défenseur ne se substitue pas aux services spécialisés, aux associations, au dispositif social et judiciaire de protection de l’enfance. Il intervient lorsque les procédures et les recours normaux se sont avérés inopérants et que les enfants en sont les victimes, lorsque les effets de ces situations entravent leur développement et compromettent leur équilibre.


Du rapport 2000 du SCPC qui cite un article de Claire Brisset :

Il n’est pas rare de voir de faux jugements, des accords dans lesquels le consentement est vicié ou des enfants purement et simplement donnés contre l’avis de la famille...


Mais bientôt 2007, dès la rentrée prochaine le dispositif de la protection de l'enfance occupera un moment le devant de la scène :


July 16, 2006

« La séparation ? Vous n’êtes pas sérieux. »


Extrait du Monde diplo d'août 2003
Aux origines des controverses sur la laïcité

« La séparation ? Vous n’êtes pas sérieux. Il faudra encore vingt ans. » Paris, printemps 1903. La Chambre des députés vient d’élire une commission chargée de proposer une loi sur la séparation des Eglises et de l’Etat. Pourtant, Emile Combes, le président du Conseil, exprime ses doutes. Sous la IIIe République, une commission n’est-elle pas le meilleur moyen d’enterrer un problème ? Pas cette fois, car, deux ans plus tard, le 9 décembre 1905, la loi de séparation sera promulguée. Un siècle après, qui se souvient des conditions dans lesquelles la laïcité s’est s’imposée en France ?


Autres extraits des arrêts rendus fin juin 2006 par la cour d'appel
de Versailles auxquels j'opposerai volontier quelques éléments matériels,
y compris des références à ceux que le Directeur a détruit :






La France à nouveau visée
Le Monde, 08 Novembre 2005

Extrait : La France n'apparaît qu'à la fin du 7e rapport américain sur les libertés religieuses dans le monde, bien derrière des pays comme la Birmanie, la Chine ou Cuba accusés d'avoir des "actions totalitaires ou autoritaires pour contrôler les croyances ou les pratiques religieuses". Mais comme l'an dernier, le département d'Etat américain insiste sur les "inquiétudes" de certains groupes religieux à propos de deux lois : celle de 2001 contre les dérives sectaires, dite About-Picard, et celle de 2004 sur l'interdiction du port de signes religieux à l'école publique.

De la conclusion de l'article 

"En dépit d'efforts significatifs du gouvernement pour combattre l'antisémitisme, les attentats et les incidents antisémites persistent", relève aussi le rapport. il note toutefois" des améliorations dans le respect de la liberté religieuse", soulignant que le nombre d'actes antisémites a diminué de 48 % en France durant les six premiers mois de 2005, par rapport à la même période de 2004.


Les enfants, la santé et l'humanitaire sont les principales cibles des sectes
Le Monde, le 26 Avril 2006

Déjà dans mes sections Dérives et Protection de l'enfance.




Depuis cette période, l'allure, les robes et les
coiffes de compère et compagnon ont un peu changé.

July 15, 2006

J'ai finalement reçu les trois arrêts de la cour d'appel

La cour confirme que tout allait relativement bien entre ma fille aînée et moi, les membres de ma famille et ma fille aînée, même jusqu'au mois d'octobre 2005.

Mes capacités et celles de ma compagne ne sont plus remises en cause sauf au travers d'allégations versées par les tantes maternelles de ma fille et par les travailleurs sociaux de l'OSE France (mes éléments matériels établissent tout autre chose que ce qu'allèguent ces autres partis, tantes et travailleurs sociaux, et la cour d'appel en a bien convenu).


Mais début novembre 2005 le JPE a donc soudainement suspendu tous mes droits au bénéfice de l'une des tantes maternelles de ma fille (du fait d'un rapport inattendu des travailleurs sociaux de l'OSE France).


Depuis, la situation de l'enfant a changée. En effet, ma fille aînée n'a plus aucune relation avec moi qui suis son père, du fait des conflits crées puis alimentés par la famille maternelle et par les travailleurs sociaux.

La cour d'appel n'a donc aujourd'hui pas d'autre choix que de confirmer les jugements rendus par le JPE (qui a donc rompu les relations père enfant au bénéfice des relations enfant-famille Bulow/Clemetz, les deux tantes maternelles, je rappelle que la maman de cette enfant, mon ex, est décédée en 1999).


L'enfant est donc passé de l'autre côté du tuyau, avec les outils et la broyeuse de la DDASS, chez celles qui ont réclamé l'enfant tout en créant et en attisant des conflits, suite au décès du grand-père et l'ouverture de cette succession.

Ces tantes voulaient cette enfant et les juges la leur ont donné, sans même une enquête, l'arrachant d'où l'enfant s'épanouissait correctement.


La cour d'appel écrit par ailleurs quelque chose de très intéressant: lorsque le JPE est saisi, il est parfaitement inutile et vain de faire appel d'une décision. En d'autres termes, le JPE et les travailleurs sociaux sont seuls maîtres et Dieu à bord du bateau ivre.

Des arrêts:




Le couple parental et plus particulièrement le père ont le dos large, dès les premières lignes. Mais là, l'institution nie que la maman de Justine et moi, nous avions règlé nos différents, ce que je peux établir avec des éléments tels que des ordonnances judiciaires rendues en 1997 et 1998.

Les problèmes graves sont apparus fin 2002, après l'ouverture de la succession du grand-père (il y a eu menaces puis signalement pour maltraitance par le père). De nombreux problèmes ont ainsi été crées et alimentés par les tantes de justine qui, dès début 2003, réclamaient sa garde.


La cour se trompe : Keïra est née en janvier 2003 et c'est entre janvier et février que l'ASE a commencé à nous faire chier, au moment où ma famille était au plus vulnérable. Fin 2002 Carole nous a harcelé et menacé alors que ma compagne était enceinte et arrivait au terme de la grossesse et début 2003, alors que nous avions un nourrisson à la maison, les services de l'assistance publique se sont rangés aux côtés des tantes de Justine !


L'ambivalence dont il est ensuite question est à rechercher dans les rapports calomnieux des travailleurs sociaux de l'ASE et de l'OSE France et dans le fait que Nanterre a systématiquement écarté tous mes éléments à décharge. En effet, les juges ne s'en remettent qu'à ce qu'allèguent les travailleurs sociaux, tout le reste, surtout si cela vient contredire les travailleurs sociaux, n'est pas versé au dossier.

Le dossier du JPE est donc bien vide de motivations pertinentes mais pour la cour d'appel, puisqu'elle y est, Justine reste chez ses tantes. L'institution gagnerait parfois à se relire et à poser quelques questions aux parents.


Un clin d'oeil au passage à d'autres parents, pères ou mères, qui, avec le même genre de broyeuse, ont aussi été éliminés de l'existence de leurs enfants...