August 17, 2007

Un froid entre la police et le père ?


CALGARY (PC) - Le Service canadien de renseignements criminels (SCRC) fait état, dans son rapport annuel rendu public vendredi, de l'existence de 950 organisations criminelles au Canada, alors que le pays n"en comptait que 800 l'an dernier.

En point de presse à Calgary, le commissaire de la Gendarmerie royale du Canada, William Elliott, a expliqué que cette augmentation pourrait être attribuable au fait que la cueillette des rapports policiers se fait de façon plus systématique.





Plus d'informations ainsi qu'un
mot des parents sur www.cedrika.ca


LCN • Disparition de Cédrika Provencher • Le présumé ravisseur pourrait être une femme

La Sûreté du Québec (SQ) poursuit toujours son enquête dans la disparition de Cédrika Provencher. Dix-sept jours après la disparition de la fillette, la SQ n'écarte pas l'hypothèse qu'une femme ou un couple soit à l'origine du présumé enlèvement de l’enfant de neuf ans.
C'est le témoignage de Madeleine Bournival, au premier jour de la disparition, qui permet d'étudier cette piste. Elle avait alors affirmé avoir vu Cédrika qui disait qu'une femme cherchait un petit chien.

Par la suite, les témoignages de trois fillettes ont réorienté les recherches vers un homme qui lui aussi cherchait son chien.

La SQ affirme cependant que l'hypothèse d'un homme seul est la plus étudiée actuellement.

Par ailleurs, la police a demandé au père de Cédrika, Martin Provencher, de ne plus s’entretenir avec les médias pour le moment.


MAURICIE (RC) - Cela fait maintenant plus de deux semaines que Cédrika Provencher est portée disparue. Martin Provencher, le père de la fillette de 9 ans, a donné beaucoup d'entrevues aux médias lors des premières journées de recherches. Mais voilà que celui-ci affirme que la Sûreté du Québec (SQ) lui a demandé de rester loin des médias et de ne plus accorder d'entrevues, du moins pour le moment.

La SQ tient toutefois à nuancer ses propos. Elle dit plutôt avoir indiqué au père de faire attention à ses propos afin de ne pas nuire au déroulement de l'enquête.


Ainsi depuis mardi, M. Provencher ne parle plus aux médias. « À première vue, je ne serais pas d'accord avec leur décision, mais je la respecte de toute façon. Ils ont sûrement un but derrière ça », soutient Henri Provencher, le grand-père de la fillette.

Le porte-parole de la SQ n'a pas voulu commenter le sujet, mais soutient qu'il s'agit probablement d'une incompréhension entre le père et le service de police.

Le grand-père de Cédrika croit que les gens travaillent d'arrache-pied afin de retrouver sa petite-fille. Il précise toutefois que la famille ne reçoit pas beaucoup d'informations de la part de la SQ.

Vendredi soir entre 18 h et 21 h, une vigile aura lieu à l'angle de la rue Chapais et du boulevard des Chenaux, à l'endroit même où Cédrika a été vue pour la dernière fois le 31 juillet.

TROIS-RIVIERES (PC) - Une récompense pouvant aller jusqu'à 80 000 $ est offerte par l'organisme Jeunesse au soleil dans l'espoir de faire progresser l'enquête sur la disparition de la jeune Cédrika Provencher.

Cette initiative vise à obtenir des informations pertinentes qui permettraient de localiser l'enfant de neuf ans disparue le soir du 31 juillet.

Il s'agit de la plus importante somme jamais offerte au Québec pour aider à résoudre une enquête. L'offre demeurera en vigueur jusqu'au 13 novembre.

"On a les sous en banque. On est prêt à faire un chèque demain matin", a déclaré Tommy Kulczyk, de Jeunesse au soleil, à l'occasion d'une conférence de presse tenue lundi. Les personnes qui croient détenir des informations peuvent composer le 1-800-659-4264.

"Je dis 'pouvant aller' jusqu'à 80 000 $, parce qu'on peut avoir deux ou trois informations qui vont nous mener à retrouver la jeune Cédrika, a ajouté M. Kulczyk. Ce sont les policiers, à moment-là, qui vont décider quel montant sera donné."

Des 80 000 $, 40 000 $ ont été recueillis par le Centre d'organisation mauricien de services et d'éducation populaire et 30 000 $ par des gens d'affaires de Shawinigan. Un donateur particulier de Montréal a aussi contribué pour 10 000 $ à la récompense.

L'organisme Jeunesse au soleil et les autorités demandent au public de ne plus amasser de fonds au nom de la petite Cédrika, puisqu'il n'est pas question de bonifier la récompense proposée.

On avertit aussi les gens de se méfier de ceux qui leur demanderaient de l'argent pour cette cause. Il pourrait s'agir d'une fraude.


- On avertit aussi les gens de se méfier -

August 6, 2007

Affaire Maddie : les enquêteurs semblent écarter la thèse de l'enlèvement


Did Maddie die in holiday flat?
news24.com, 06/08/2007 14:00 - (SA)

Lisbon - British toddler Madeleine McCann may have died accidentally in her parents' holiday apartment in the southern Portuguese resort of Praia da Luz, a Portuguese daily said on Monday.

Quoting an unnamed police source, Jornal de Noticias said police had discovered traces of the blood of a dead person on a wall in the apartment where four-year-old Madeleine went missing from her bed three months ago.

Someone had tried to clean the traces away, but that did not necessarily mean that Madeleine was murdered, according to the daily.

Jornal de Noticias said police intended to interrogate Madeleine's parents and their friends. Police, who have accused the media of speculative and false reporting, did not comment on the report.

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Maddie : les enquêteurs semblent écarter la thèse de l'enlèvement
20minutes.fr, le 6/8/07

Les policiers portugais qui enquêtent sur la disparition de Madeleine McCann le 3 mai dernier, dans une station balnéaire du sud du Portugal, semblent écarter la thèse d'un enlèvement pour privilégier celle d'un meurtre ou d'un accident, selon la presse portugaise de lundi.

«La thèse de l'enlèvement est définitivement écartée», va même jusqu'à écrire le quotidien Correio da Manha, tandis que le Jornal de Noticias (JN) titre en Une : «Madeleine est peut-être morte par accident».

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- Peut être un accident -

Affaire Maddie : la mère de l'enfant dit être rongée par un sentiment de culpabilité


GUWAHATI, Inde (Reuters) - Les autorités redoutaient dimanche que des épidémies affectent les millions de victimes des pires inondations survenues de mémoire d'homme en Asie du Sud alors que les critiques sur la gestion des secours pleuvent.

SAINT-DENIS-DE-LA REUNION (AFP) - L'enlèvement d'Alexandre, 12 ans, par des membres présumés d'une secte a connu un dénouement heureux dimanche à la Réunion, avec la libération du jeune garçon sain et sauf et l'arrestation de ses ravisseurs dont le gourou de la secte.

LONDRES (AP) - Kate McCann, la mère de la petite Britannique de quatre ans disparue le 3 mai lors de vacances au Portugal, dit être rongée par un sentiment de culpabilité, pour avoir laissé la fillette seule avec son frère et sa soeur de deux ans dans leur chambre d'hôtel à Praia da Luz.

Kate McCann a expliqué dimanche au "Sunday Times" qu'elle n'avait jamais pensé que quelque chose pouvait arriver à Madeleine. L'enfant, son frère et sa soeur, des jumeaux de deux ans, étaient restés seuls dans leur chambre pendant que leurs parents dînaient dans un restaurant de l'hôtel.

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- « It wasn't a 'shall I, shan't I?' thing » -

July 23, 2007

L'enfer

MOULINS (AFP) - Les parents de la petite Audrey, 2 ans et demi, "remplis de haine", n'arrivent pas à comprendre "le coup de folie" de leur neveu, suspecté d'avoir torturé et battu à mort sa cousine, début juillet à Garnat-sur-Engièvre (Allier).

L'enquête se concentre également sur le rôle joué par la mère du jeune homme, soupçonnée d'avoir dissimulé ce drame familial marqué par un contexte de difficultés sociales, a-t-on appris lundi auprès d'une source proche du dossier.

"On est remplis de haine envers mon neveu pour ce qu'il a fait subir à notre petite fille, les coups de pied, les coups de poing, qui en fin de compte l'ont tuée", a déclaré à l'AFP René Delaune, le père de la fillette, domicilié à Yzeure (Allier). "On n'arrive pas à comprendre. Pour nous c'est un coup de folie", a-t-il ajouté.

Audrey, qui passait des vacances depuis la mi-juin chez sa tante, à Garnat-sur-Engièvre, aurait été prise comme souffre-douleur par son cousin de 16 ans, qui l'aurait rouée de coups pendant plusieurs jours, selon les enquêteurs.

La tante aurait remarqué les traces de coups, mais n'aurait pas donné l'alerte pour protéger son fils qu'elle soupçonnait, a indiqué une source proche de l'enquête.

Alors que sa nièce était tombée dans le coma le 7 juillet, la tante ne lui aurait donné qu'une douche froide pour essayer de la réveiller et aurait attendu le lendemain pour la conduire à l'hôpital de Moulins et alerter les parents d'Audrey que leur fille était "tombée". La petite fille est décédée deux jours plus tard, au CHU de Clermont-Ferrand.

C'est l'hôpital qui a alerté le parquet, entraînant l'ouverture de l'enquête. Les parents d'Audrey, dont les enfants étaient suivis par les services sociaux, ont un temps été suspectés, avant d'être innocentés.

"C'est une affaire épouvantable, et d'autant plus épouvantable que les parents ont été placés en garde à vue au moment des faits", a déclaré leur avocate Me Danielle Demure.


Le cousin de la fillette a été mis en examen et écroué pour "coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner par personne ayant autorité sur mineur de moins de 15 ans", selon le parquet de Moulins. L'adolescent ne souffre d'aucun antécédent psychiatrique, est décrit par ses proches comme "gentil" et "pas violent".

Il encourt 15 ans de prison, portés à 30 ans si la cour d'assises lève l'excuse de minorité.

Sa mère et le concubin de celle-ci ont été mis en examen pour "non-assistance à personne en danger et non dénonciation de crime", a indiqué le parquet. Ils risquent jusqu'à 8 ans de prison.

Les six autres enfants de la tante de la victime, qui a été écrouée, ont été placés en famille d'accueil.

TRIPOLI (AFP) - Après huit ans de détention sous l'accusation d'avoir inoculé le sida à des enfants, le dénouement semblait proche lundi pour les infirmières bulgares, dont la commissaire européenne aux Relations extérieures et l'épouse du président français plaident la libération à Tripoli.

TRIPOLI (AFP) - Les tractations pour trouver une issue à l'affaire des infirmières et du médecin bulgares accusés depuis huit ans d'avoir inoculé le sida à des enfants libyens se prolongeaient lundi soir, Sofia dénonçant de "nouvelles conditions inacceptables" de la part de Tripoli.

"La Libye ne contribue pas à la normalisation de ses relations avec l'Union européenne en posant de nouvelles conditions" qui sont "trop ambitieuses et certaines même inacceptables", a déclaré ministre bulgare des Affaires étrangères Ivaïlo Kalfine à Bruxelles, où l'UE devait aborder le dossier.

M. Kalfine a refusé de donner des détails sur les demandes libyennes tandis qu'à Tripoli, le black-out règnait sur les pourparlers en cours entre des responsables du ministère libyen des Affaires étrangères, la Fondation Kadhafi qui a mené les négociations avec les familles et la commissaire européenne aux Relations extérieures Benita Ferrero-Waldner.

L'arrivée en Libye dimanche de cette dernière, ainsi que celle de l'épouse du président français Nicolas Sarkozy, Cécilia, avait pourtant fait naître l'espoir d'un règlement rapide de l'affaire des cinq infirmières et du médecin d'origine palestinienne.

Leur condamnation à mort a été commuée la semaine dernière en peine de prison à vie, ouvrant la voie à leur extradition vers Sofia.

Selon une source diplomatique à Tripoli, la Libye a réclamé une "normalisation complète" de ses relations avec les pays de l'UE "dans tous les domaines" ainsi que des garanties pour le traitement des enfants libyens atteints du sida.

La Libye exige en prime "la réalisation de projets en Libye", dont une autoroute traversant son territoire de sa frontière avec la Tunisie (est) à celle avec l'Egypte (ouest).

Elle réclame également un chemin de fer reliant les ports libyens à des villes africaines, ainsi que la réhabilitation de ses sites archéologiques, a ajouté la même source sous couvert de l'anonymat, précisant que "les discussions étaient très difficiles".

"Sauf développement de dernière minute, les négociations ont peu de chance d'aboutir", a ajouté la même source.

De son côté, Mme Sarkozy a rencontré à Tripoli la fille du dirigeant libyen Aïcha. Mme Sarkozy, dont la mission est plus humanitaire que diplomatique selon Paris, "devrait rentrer dans la soirée", selon une source diplomatique à Tripoli.

Le président français a multiplié pour sa part les consultations, s'entretenant trois fois avec le président de la Commission européenne José Manuel Barroso, deux fois avec le numéro un libyen Mouammar Kadhafi, et une fois avec le président bulgare Guéorgui Parvanov, selon son porte-parole.

Selon une source officielle libyenne, M. Sarkozy est attendu mercredi à Syrte pour des entretiens avec le colonel Kadhafi, une visite que la présidence française n'a pas confirmé.

Mme Sarkozy s'était déjà rendue en Libye le 12 juillet pour rendre visite aux infirmières accusées depuis 1999 d'avoir inoculé le virus du sida à 438 enfants de Benghazi, deuxième ville de Libye, dont 56 sont décédés.

Les infirmières Kristiana Valtcheva, Nassia Nenova, Valia Tcherveniachka, Valentina Siropoulo et Snejana Dimitrova, ainsi que le médecin Achraf Joumaa Hajouj, ont toujours clamé leur innocence, affirmant que leurs aveux avaient été arrachés sous la torture.

Ils ont reçu le soutien de deux des chercheurs les plus éminents sur le virus, les spécialistes français Luc Montagnier et italien Vittorio Colizzi, pour qui la contamination résultait de mauvaises conditions d'hygiène.

A Paris, le collectif de familles des victimes françaises de l'attentat libyen de 1989 contre un avion DC-10 de la compagnie UTA, a demandé qu'on se montre "vigilant" afin que ce dossier ne fasse pas les frais des efforts pour la libération des infirmières bulgares.

En 1999, six Libyens, dont un beau-frère du colonel Mouammar Kadhafi, ont été condamnés à perpétuité par la justice française pour cet attentat, qui avait fait 170 morts, de dix-sept nationalités différentes, dont 54 Français, dans le désert du Ténéré (Niger).


- Les parents ont été placés en garde à vue -

July 22, 2007

Deux ans et demi, torturée à mort


Il se jette dans les eaux glaciales d'un lac pour acheter le dernier Harry Potter
dimanche 22 juillet 2007, 9h30 | leparisien.fr

Un Australien de 21 ans, à qui le vent avait emporté la preuve d'achat du dernier volet de la saga Harry Potter dans un lac glacé, n'a pas hésité à se jetter dans les eaux froides pour récupéré son précieux sésame. Il a fait une hypothermie.

La folie suscitée par la sortie mondiale du dernier tome de la saga Harry Potter n'a vraiment pas de limite. (...) Un vigile l'a sorti du lac avant qu'il ne soit transporté à l'hôpital pour hypothermie.

Apitoyé, un médecin a appelé une librairie locale pour s'assurer que le fan recevrait son exemplaire de «Harry Potter et les Reliques de la mort» («Harry Potter and the Deathly Hallows»), mis en vente samedi.


AISNE - DELINQUANCE
RTL, 01/08/06, voir au 3 août 2006

Une mineure torturée par cinq adolescentes
Nuit de terreur vendredi dernier dans l'Aisne, à Saint-Quentin, dans un foyer de jeunes filles où l'une des résidentes a été torturée pendant de longues heures par cinq autres adolescentes. ...

Une fillette de deux ans torturée à mort par son cousin dans l'Allier
dimanche 22 juillet 2007, 10h10 | leparisien.fr

Le jeune homme de 16 ans aurait roué de coups de pied et de poings, mais aussi brûlé avec des cigarettes, sa petite cousine venue passer des vacances chez sa tante.

Une petite fille de deux ans et demi a connu un véritable calvaire avant de mourir des actes de tortures infligés par son cousin de 16 ans, alors qu'elle était en vacances chez sa tante à Garnat-sur-Engièvre (Allier).

La fillette, confiée fin juin à sa tante par des parents extrêmement modestes résidant à Yzeure (Allier), est morte le 10 juillet des suites de maltraitances. Elle aurait été rouée de coups de pieds et poings, secouée et brûlée avec des cigarettes pendant plusieurs jours par son cousin, qui l'aurait prise comme souffre-douleur, sans que sa tante ne réagisse, a expliqué une source proche du dossier à l'AFP, confirmant des informations parues dans le quotidien La Montagne.

La tante mise en examen pour non dénonciation de crime

Tombée dans le coma le samedi 7 juillet, elle n'a été emmenée à l'hôpital de Moulins-Yzeure par sa tante que le dimanche 8 juillet. Toujours selon le quotidien la Montagne, dans son édition d'aujourd'hui, l'oncle et la tante auraient néanmoins tenté de la réanimer le samedi soir en lui donnant une douche froide. Sans résultat. Ce qui ne les a pas empêcher ensuite de terminer la soirée à regarder la télévision. Transférée à l'hôpital de Clermont-Ferrand, elle est décédée de ses blessures deux jours plus tard.

Une information judiciaire pour violences ayant entraîné la mort a été ouverte par le parquet de Moulins, qui a confié l'enquête à la brigade de recherches de la gendarmerie. L'adolescent a été placé en détention provisoire.

La tante de la fillette a été mise en examen et écrouée pour non assistance à personne en danger et non dénonciation de crime. Le concubin de cette dernière a été placé sous contrôle judiciaire.

CLERMONT-FERRAND (AFP) - Une fillette de deux ans et demi, qui était en vacances chez sa tante à Garnat-sur-Engièvre (Allier), est récemment décédée des suites de blessures qui lui auraient été infligées par son cousin, âgé de 16 ans, a-t-on appris dimanche auprès de la gendarmerie.

La fillette, confiée fin juin à sa tante par ses parents résidant à Yzeure (Allier), est morte le 10 juillet des suites de maltraitances.

Elle aurait été rouée de coups de pieds et poings, secouée et brûlée avec des cigarettes pendant plusieurs jours par son cousin, qui l'aurait prise comme souffre-douleur, sans que sa tante ne réagisse, a indiqué la même source, confirmant des informations du quotidien La Montagne.

Tombée dans le coma le samedi 7 juillet, elle n'a été emmenée à l'hôpital de Moulins-Yzeure par sa tante que le dimanche 8 juillet. Transférée à l'hôpital de Clermont-Ferrand, elle est décédée de ses blessures deux jours plus tard.

Une information judiciaire pour violences ayant entraîné la mort a été ouverte par le parquet de Moulins, qui a confié l'enquête à la brigade de recherches de la gendarmerie.

L'adolescent a été placé en détention provisoire.

La tante de la fillette a été mise en examen et écrouée pour non assistance à personne en danger et non dénonciation de crime. Le concubin de cette dernière a été placé sous contrôle judiciaire.


Journal La Montagne, rubrique Temps Fort
Une fillette de 2 ans battue à mort par son cousin de 16 ans


Une fillette de 2 ans qui était en vacances chez sa tante a succombé aux blessures que lui aurait infligées son cousin de 16 ans. Et la tante n’aurait rien fait pour arrêter les actes de torture de son fils.

Soupçonné d’homicide, un adolescent de 16 ans aurait battu à mort sa cousine germaine, une fillette de 2 ans et demi à laquelle il aurait fait subir une répétition de tortures jusqu’à ce que mort s’en suive.
(...)
En confiant leur bébé, mi-juin, pour les vacances, à sa tante de Garnat-sur-Engièvre, son père et sa mère, un couple extrêmement modeste domicilié à Yzeure, parents de trois autres enfants, dont deux de 12 et 9 ans placés en famille d’accueil, pensaient pourtant l’avoir mis entre de bonnes mains.

L'enfant a été prise comme souffre-douleur

Mais au cours du dernier séjour de la fillette à Garnat-sur-Engièvre, l’un des fils de la tante aurait pris l’enfant comme souffre-douleur et l’aurait torturée. Il l’aurait, entre autres, pendant plusieurs jours, roué de coups de pieds et poings, violemment secoué à plusieurs reprises ou encore brûlé de façon répétée avec des cigarettes.

La tante pouvait-elle ne pas le savoir, alors que de multiples et grosses blessures tuméfiaient le visage et le corps de la fillette ? Elle ne serait, en tout cas, jamais intervenue pour arrêter son fils.

Une interminable agonie

Et le terrible calvaire de la petite fille s’est conclu par une interminable agonie. Le samedi 7 juillet au soir, (...) la fillette aurait sombré dans le coma. Sans que le couple semble beaucoup s’en inquiéter.
Il lui aurait simplement donné une douche froide pour tenter de la réanimer. Sans résultat. Ce qui ne les aurait pas empêchés de terminer la soirée en regardant la télé.

Ce n’est que le lendemain matin, dimanche 8 juillet, que la tante, en constatant que sa nièce n’avait toujours pas repris connaissance, l’a emmenée au centre-hospitalier de Moulins Yzeure. La petite fille a ensuite été rapidement transférée à l’Hôtel-Dieu, à Clermont-Ferrand, où elle a succombé à ses blessures, le mardi 10 juillet.

Après leur garde à vue à la brigade de recherches de Moulins, suivie d’une présentation devant le parquet, l’adolescent de 16 ans a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Moulins-Yzeure, sa mère en détention provisoire à la maison d’arrêt de Bourges et son concubin a été mis sous contrôle judiciaire. Mais aucune information sur ce drame n’a jamais filtré de la part du parquet de Moulins et des gendarmes qui ont mené l’enquête.


- Elle était en vacances chez sa tante -

July 18, 2007

Disparition de Thomas : le pessimisme s'installe


Voir au 25 mai 2007, journée internationale des enfants disparus : « quand un enfant disparait, c'est tout un monde qui s'écroule ».

BARATIER (AFP) - Les sauveteurs et les proches du petit Thomas se montraient pessimistes mercredi sur la possibilité de retrouver, vivant, le garçonnet de 7 ans, disparu depuis samedi d'un campement de gens du voyage à Baratier (Hautes-Alpes), près du lac de Serre-Ponçon.

"Si Thomas est réellement seul dans la nature, la période semble un petit peu critique. Chaque jour qui passe ne rassure personne", a déclaré à l'AFP le capitaine Christophe Girard, de la gendarmerie de Gap.

"Tant que l'on n'a rien trouvé, on conserve l'espoir qu'il soit vivant, ici ou ailleurs", a-t-il souligné en réaffirmant "qu'aucune piste" n'est privilégiée entre une noyade accidentelle, une disparition de l'enfant en pleine nature ou un enlèvement.

Dans l'esprit des pompiers, partis ratisser mercredi un secteur de 3 kilomètres autour du campement avec une soixantaine de gendarmes et de militaires, le même pessimisme s'est installé.

"Les jours passant, les chances de survie s'amenuisent. Certes, si l'enfant est dans les environs, il est menacé de déshydratation et de sous-alimentation. Mais la principale préoccupation, c'est le traitement de l'enfant contre son épilepsie", a indiqué l'adjudant-chef Pierre Mattio, du centre de secours des sapeurs-pompiers d'Embrun (Hautes-Alpes).

"Avec l'épuisement, les risques de tétanie sont de plus en plus importants", a-t-il expliqué en ajoutant néanmoins qu'il "y a toujours une chance" de retrouver Thomas vivant. "Il y a l'ombre des arbres, la fraîcheur de la végétation et surtout de l'eau partout pour boire", a-t-il souligné avant de partir avec ses hommes pour de nouvelles recherches sous une chaleur accablante.

Assis sur une chaise, l'air sombre et triste, le grand-père de Thomas, Georgi Viccini, est plus tranchant dans ses affirmations. "Dans mon coeur, je pense qu'aujourd'hui Thomas s'est envolé. Il est là-haut", dit-il.


"Ce gosse est malade. Il est normalement suivi (ndlr: médicalement) matin et soir, et un jour sans ses médicaments, c'est déjà trop long", ajoute M. Viccini, 73 ans.

Il assure dire aux siens, en tant que patriarche, qu'il y a "toujours de l'espoir, jusqu'à la dernière seconde, de retrouver Thomas" (vivant). "On souffre intérieurement mais on ne le montre pas. Quand on naît Tzigane, on naît digne. Je dis à son père d'attendre", poursuit M. Viccini.

"L'accident, chez nous les Tziganes, est accepté, pas la disparition. Je suis aujourd'hui un homme meurtri, un mort-vivant", ajoute-t-il.


Thomas a échappé à la surveillance de ses parents alors que la famille s'apprêtait à se rendre à la piscine, samedi en début d'après-midi. Le campement se situe au bord de la Durance, rivière se jetant 200 m plus loin dans l'immense lac de Serre-Ponçon.


- La disparition n'est pas acceptée -

June 20, 2007

La mère aurait constaté son absence à la crèche

BÉZIERS (AFP) - Une petite fille de 19 mois a été retrouvée morte de déshydratation dans une voiture où elle avait été oubliée par son père, jeudi, dans la zone industrielle de Béziers (Hérault), a-t-on appris de sources concordantes.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le père avait été chargé le matin par son épouse d'emmener l'enfant à la crèche. En chemin, il se serait arrêté au bureau et aurait "oublié" la petite fille dans la voiture.

La mère, en allant chercher l'enfant à la crèche en fin d'après-midi, aurait constaté son absence. L'alerte aurait été donnée vers 16h45.

Plus d'infos...

- Le père aurait « oublié » la petite fille dans la voiture -

June 6, 2007

Retrouvée, l'adolescente a été placée

BLOOMFIELD, Connecticut (AP) - Une adolescente de 15 ans qui avait disparu depuis près d'un an a été retrouvée mercredi dans une petite pièce cachée sous une cage d'escalier dans la maison d'un couple du Connecticut, a-t-on appris de source policière.

La police de Bloomfield a expliqué qu'elle avait été retrouvée vivante dans une pièce dont l'accès était bloqué par une armoire. Deux personnes qui vivaient dans la maison ont été arrêtées.

Adam Gault, 41 ans, a notamment été inculpé pour séquestration. Il a été placé en détention en attendant le versement d'une caution de 500.000 dollars (plus de 370.000 euros). Ann Murphy, 40 ans, devra débourser 100.000 dollars (plus de 74.000 euros).

L'adolescente a été placée et est examinée par des médecins.


- Placée et examinée par des médecins -


June 5, 2007

Le rapt de trois enfants

Ce 7 juin au soir, envoyé spécial, « Jamais sans ma mère », après la campagne SOS enfants disparus : « quand un enfant disparait, c'est tout un monde qui s'écroule ».

Extrait du 12-13 de France 3, « d'abord l'agression d'un magistrat en pleine audience, au tribunal pour enfants de Metz (...) ». Suit « un geste d'ouverture, dans l'espoir de faciliter la libération d'Ingrid Betancourt (...) et toujours dans ce même genre d'histoires, de familles déchirées (...) trois enfants viennent d'être placés dans un foyer » :






- Un geste d'ouverture, dans l'espoir... -

May 30, 2007

« La fête des mères, c'est dans cinq jours »

Région Languedoc-Roussillon, au 19/20 de France 3 du 29 mai. Des médecins ont été extrèmement surpris d'avoir été attaqués par les laboratoires, « le futur procès devrait être très suivi car l'enjeu est d'importance : c'est toute la question de la liberté d'expression sur les médicaments face au mastodontes de la pharmacie qui est posée. (...) La fête des mères, c'est dans cinq jours, mais ce sera une fête au gout amer pour trois femmes, trois mères de familles, qui sont en grève de la faim à Montpellier (...) un homme, un père de famille, [les] a rejoint (...) devant le mutisme gèné de la justice locale, les quatre parents déséspérés en appellent au président de la république » :






- C'est toute la question de la liberté d'expression qui est posée -


May 27, 2007

« Elle n’a pas tenu ses promesses », a regretté le Proc'


PARIS (AFP) - La ministre de la Justice, Rachida Dati, a confirmé dimanche que les deux projets de loi promis par Nicolas Sarkozy pour punir sévèrement les délinquants multirécidivistes seront présentés au Parlement cet été.

"C'est un engagement du président de la République (...) Ca sera évoqué lors de la session extraordinaire de cet été", a déclaré Mme Dati sur Canal+.

Elle faisait allusion à deux textes contre la multirécidive, promis par le candidat Sarkozy avant son élection à la présidence: la création de peines plancher pour les majeurs et la suppression de l'excuse de minorité pour les jeunes de 16 à 18 ans.

ALBI (AFP) - Une fillette de 6 ans a été enlevée à sa mère samedi au commissariat d'Albi, pour être remise à son père, un Français vivant à Montréal, sur réquisition du procureur de la République d'Albi (Tarn) dans le cadre d'une procédure judiciaire engagée au Canada.

Katia Sanchez, la mère de l'enfant, qui aura 7 ans dans quelques jours, a indiqué à l'AFP qu'elle avait été convoquée, pour une "simple audition administrative", au commissariat, où on lui a "retiré de force son enfant pour le remettre à son père qui ne s'en occupait plus depuis plusieurs mois".

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- Une affaire en cassation -


May 11, 2007

L'itinéraire de Pascal Dazin

« Comme un couple sur trois, Pascal Dazin, médecin du travail, a vécu une séparation. Une histoire banale qui est devenue un enfer », paru dans Ouest-France :




L'article au format lisible


- Une histoire banale -

April 24, 2007

Expertises "ambiguës et contradictoires", selon le procureur

VALENCE (AFP) - Le procureur de la République de Valence, Jean-Pierre Nahon, a annoncé mardi que le résultat des expertises complémentaires menées sur le corps du petit Julien ne permettait pas "de définir les conditions exactes et précises du décès de l'enfant".

"Malgré tous les rapports que j'ai reçus, dont le dernier en date m'a été remis vendredi, on aboutit à des conclusions ambiguës et parfois contradictoires", a expliqué M. Nahon à l'AFP.

Plus d'infos...


- Un rapport de synthèse à suivre dans un mois -

April 10, 2007

Manifestation d'une association de défense des droits des victimes

STRASBOURG (Reuters) - Une association de défense des droits des victimes a manifesté mardi à Strasbourg, à la veille de l'ouverture du procès d'assises de Pierre Bodein, accusé d'avoir tué une fillette, une adolescente et une jeune femme en juin 2004 en Alsace.

Environ 300 personnes ont observé une minute de silence à l'appel de l'association "Fondation Julie", du nom d'une des victimes, devant la salle où se tiendra, durant 13 semaines, le procès de ce repris de justice de 59 ans, dit "Pierrot le fou", qui était en liberté conditionnelle au moment des faits.

Le président de l'association, Jean-Louis Renaudin, a rappelé les buts de l'association qui demande la stricte application des peines et la mise à l'écart définitive pour les criminels les plus dangereux.

"Peu importe la formule mais il faut absolument trouver un moyen qui nous mette à l'abri de ces individus dangereux, a-t-il dit. Il a rappelé que si l'abolition de la peine de mort était inscrite dans la constitution, elle restait "toujours d'actualité pour les victimes".


L'association fondée par les parents de Julie Scharsch, tuée et violée à l'âge de 14 ans, ne demande pas le rétablissement de la peine de mort, mais milite en faveur d'une perpétuité réelle pour les individus les plus dangereux.

Me Thierry Moser, avocat des parents de Julie et conseil juridique de l'association, s'est dit personnellement opposé à la peine de mort, mais a jugé que la "perpétuité réelle" était indispensable pour "un noyau de délinquants dangereux, chevronnés, irrécupérables".

La famille de Julie, a-t-il annoncé, envisage "d'engager une action en responsabilité pénale de l'Etat devant le tribunal administratif" pour avoir laissé sortir Pierre Bodein à quelques mois de la fin de sa peine sans se donner les moyens de l'empêcher de commettre d'autres crimes.





Jeanne-Marie et Julie ont disparu à une
semaine d'intervalle - AFP/RTL.fr


L'Humanité, 7 juillet 2004
Criminalité
La sanglante voiture de Bodein

Du sang de la petite Jeanne-Marie a été retrouvé dans le véhicule de " Pierrot le fou ".

Du sang de Jeanne-Marie, onze ans, retrouvé morte le 29 juin dans le Bas-Rhin, a été découvert hier dans la voiture du principal suspect, Pierre Bodein. La présence de ces traces génétiques confirme le lien entre le meurtre de la jeune fille et celui de Julie. À cela s’ajoute la similitude des coups de couteau dans la partie génitale présents sur les deux corps. Autre fait troublant, la petite Jeanne-Marie fut retrouvée dans un cours d’eau, à Valff, situé à deux kilomètres de Bourgheim, lieu de résidence de " Pierrot le fou " depuis sa libération conditionnelle en mars dernier.

Jusqu’à ce jour, Pierre Bodein, qui a un lourd passé judiciaire et psychiatrique, est officiellement impliqué pour " enlèvement et séquestration suivis de mort " seulement dans l’affaire du meurtre de Julie, quatorze ans, dont le corps a été retrouvé samedi dernier près de Nothalten (Bas-Rhin). Du sang de Julie a été retrouvé dans le véhicule de Bodein. De même, du sang de ce dernier se trouvait sur le vélo de l’adolescente, abandonné dans une forêt près de Schirmeck (Bas-Rhin).

Le nombre de crimes attribués à Pierre Bodein ne s’arrête pas là. Il est également soupçonné de la mort d’une femme de trente-huit ans, Hedwige Vallée, disparue le 21 juin après la fête de la musique à Obernai et retrouvée dans un cours d’eau dans la même zone géographique.

Par ailleurs, huit personnes, appartenant toutes à une famille de Gitans sédentarisés à laquelle Bodein est apparenté, sont toujours mises en examen et écroués dans l’affaire Jeanne-Marie, dont deux frères pour " enlèvement suivi de mort ". Les enquêteurs soupçonnent l’aîné d’avoir heurté la fillette qui jouait près de chez elle, de l’avoir chargée dans la voiture, puis de l’avoir abandonnée " dans des conditions mal déterminées ".

Alors que les parquets de Strasbourg et de Saverne, qui sont saisis des trois dossiers, sont restés muets lundi, la position officielle des enquêteurs était toujours la même : reconnaître l’existence " de coïncidences troublantes " entre la disparition de Julie et les deux autres affaires, en raison de " la proximité de temps et de lieu " et d’une " certaine similitude " dans les blessures.


- L'association milite en faveur d'une perpétuité réelle -

March 12, 2007

Kärcher se rebiffe


MEAUX (AFP) - La belle-mère de Lydia Gouardo, une femme violée et maltraitée par son père 28 années durant, a été condamnée lundi à du sursis par le tribunal correctionnel de Meaux pour "non empêchement de crime", à la grande déception de la victime qui veut faire appel et poursuivre l'Etat.

Le parquet de Meaux a annoncé lundi soir son intention de faire appel.

Lydia Gouardo, 44 ans, a subi des viols, séquestrations et actes de barbarie de la part de son père légitime (mais pas génétique) de 1971 à 1999, date du décès de Raymond Gouardo, qui l'avait reconnue comme sa fille. Six enfants en sont nés entre 1982 et 1993, sans que les services sociaux ni la justice ne se porte à son secours.

Lucienne Ulpat, qui selon l'accusation a assisté à ces crimes sans rien dire, ce qu'elle a nié, n'était jugée que pour la période courant du 10 août 1998 au 19 novembre 1999, les faits concernant la période antérieure étant prescrits.

Mme Ulpat, qui ne s'est pas présentée au tribunal pour le délibéré, a été condamnée à trois ans de prison avec sursis, et à verser 15.000 euros de dommage et intérêt à sa belle-fille, plus 3.000 euros de frais d'avocat.

Au prononcé du jugement, Lydia Gouardo n'a pu s'empêcher de s'exclamer: "elle aurait au moins pu passer cinq jours en prison, après tout le temps que j'ai passé enfermée !"

PARIS (AFP) - La société Kärcher a lancé lundi une campagne de communiqués dans la presse pour dénoncer "l'utilisation répétée" de la marque dans la campagne électorale et écrit aux candidats à la présidentielle pour les mettre en garde contre une utilisation abusive de son nom.

"L'usage de notre marque à des fins politiques et pour désigner une ligne politique en relation avec des sujets de société sensibles est en opposition avec les valeurs que souhaite véhiculer notre entreprise, façonnée par 70 ans d'Histoire", a souligné Patrice Anderouard, porte-parole de Kärcher France.

Le ministre de l'Intérieur et candidat UMP à la présidentielle Nicolas Sarkozy avait déclaré en 2005 qu'il voulait "nettoyer au Kärcher" la cité des 4.000 de la Courneuve après la mort d'un enfant de 11 ans. Cette expression musclée est depuis passée dans le vocabulaire politique.

"La société Kärcher sort aujourd'hui de sa discrétion car elle ne peut se reconnaître dans les propos et les amalgames récents auxquels est associé son nom", souligne le texte de la marque spécialisée dans les appareils de nettoyage sous haute pression, paru lundi ou à paraître dans la semaine dans plusieurs quotidiens nationaux et hebdomadaires d'information générale.

Kärcher France a en outre écrit à tous les candidats à l'élection présidentielle et aux présidents de groupes parlementaires à l'Assemblée nationale pour "expliciter clairement le positionnement de l’entreprise, placée malgré elle au coeur d’un débat qui ne la concerne pas", selon un communiqué.

L’entreprise y rappelle que "Kärcher est une marque déposée (...) qui appartient à sa maison mère, la société Alfred Kärcher GmbH & Co Kg, dont elle distribue les produits en France et que le groupe dispose en conséquence de droits exclusifs sur l’emploi de cette dénomination".

- Kärcher aurait des droits sur sa marque -