July 1, 2007

A l'hôtel de ville de Paris


De l'arrêt du 31 mai 2007 : « Par ordonnance du 18 novembre 2003, malgré la résistance du père à l'interférence de tiers dans l'éducation de sa fille, en particulier des institutions judiciaires, Justine [...] était placée à la maison d'enfants... »

La ville de Paris travaille souvent avec l'Oeuvre de Secours aux Enfants (l'OSE ou l'OSE France). L'OSE apparait aussi parmi les organismes « habilité Justice » des mineurs cités sur le site web de la cour d'appel de Paris.

« quand un enfant disparait, c'est tout un monde qui s'écroule ». Voir au 25 mai 2007, journée internationale des enfants disparus.





A l'ordre du Jour du Conseil Général du lundi 14 mai 2007 :

2007 DASES 162 G - Autorisation à M. le Président du Conseil de Paris, siégeant en formation de Conseil général, de signer avec la Fondation de l'Oeuvre de Secours aux Enfants (OSE) une convention fixant les conditions d'attribution d'une subvention d'investissement pour des travaux d'aménagement du centre d'accueil de jour "Edith Kremsdorf" [ un « ilôt de bientraitance », pour les aînés atteints de la maladie d'Alzeimer ] situé 16, rue du Pont-aux-Choux (3e). - Montant : 20.000 euros.

2007 DASES 27 G - Attribution d'une subvention d'investissement de 50.000 euros à l'association "Oeuvre de secours aux enfants" (OSE) pour le développement du pôle dentaire du centre de santé [ lio Habib, un lieu de soin « pour tous » ] situé 25, boulevard de Picpus (12e). - Autorisation à M. le Président du Conseil de Paris, siégeant en formation de Conseil général, de signer une convention avec cette association.


Extrait de Tribune Juive n°9, « l'OSE en question » :

«Ce que je veux dénoncer, c’est l’emballement des procédures. Le signalement peut se faire par n’importe qui et les services sociaux s’alarment un peu vite.» Quant à la famille d’accueil, elle doit respecter le passé de l’enfant, mais aussi sa liberté de pensée et de religion. Un droit trop souvent bafoué selon maître Kouhana. «La réalité sur le terrain est différente et certaines familles d’accueil entravent la nécessaire liberté religieuse.» Sylvie, placée dès l’âge de 8 ans avec sa sœur, reste ainsi très marquée par sa vie dans cette deuxième famille. Elle parle d’une enfance brisée par de mauvais traitements. «Ils nous traitaient de sales juives et nous battaient. Aujourd’hui, je veux témoigner pour éviter que cela se reproduise.» De son côté, Sos Nechama souhaiterait aujourd’hui obtenir l’agrément de l’État afin de pouvoir choisir des familles d’accueil juives et y placer elle-même des enfants. Devenir, en quelque sorte, un substitut de l’OSE. L’association a donc fait sa demande auprès du ministère de la Justice. Une demande qui est restée lettre morte à ce jour.




Plus tard, sur le périph extérieur


- « 14 ans, otage de Nanterre » -


Posted 18 years, 3 months ago on July 1, 2007
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