August 5, 2007
Après avoir fait monter le buzz...
TOKYO (Reuters) - Shinzo Abe a présenté dimanche ses excuses aux rescapés des bombardements atomiques américains de 1945 à la suite de propos controversés tenus par son ministre de la Défense, qui a démissionné depuis, selon lequel ces attaques étaient "inévitables".
"Je fais mes excuses à propos des propos de Fumio Kyuma, qui ont beaucoup choqué les victimes des bombardements nucléaires", a déclaré le Premier ministre japonais devant une délégation de survivants du bombardement d'Hiroshima.
Le chef du gouvernement, dont la cote de popularité est en chute libre en raison d'une série de scandales et de gaffes qui se sont traduites par un échec cuisant aux récentes élections sénatoriales, doit assister (demain) lundi à une cérémonie commémorative du bombardement d'Hiroshima.
Kyuma a dû quitter ses fonctions après avoir déclaré publiquement que les bombardements d'Hiroshima et de Nagasaki, qui firent au total plus de 360.000 morts, "ne pouvaient pas être évités" étant donné qu'ils mirent fin à la Seconde Guerre mondiale.
Le chef du gouvernement a également promis dimanche de réviser les critères fixés par les autorités pour répertorier les victimes des radiations atomiques provoquées par les bombardements américains, un sujet très sensible pour les victimes qui ont intenté de nombreux procès à l'Etat.
"Soixante-deux ans se sont écoulés depuis les bombardements atomiques américains et nous devons affiner une politique convenable pour assurer le bien-être et les soins médicaux" des victimes, a expliqué Shinzo Abe, premier chef de gouvernement du Japon né après la défaite de l'armée impériale.
Les bombardements américains d'Hiroshima et de Nagasaki continuent de jouer un rôle central dans la mémoire collective des Japonais dont le pays est souvent accusé d'insister sur son statut de victime pendant le conflit mondial tout en minimisant les atrocités commises en son nom pendant cette période, notamment dans les pays asiatiques.
Polémique sur les vacances de Nicolas Sarkozy 20minutes.fr, extraits Il ne décroche pas. Après avoir fait monter le buzz autour de ses vacances, en refusant de dire où il allait, contrairement à ses ministres, Nicolas Sarkozy semble se faire un plaisir de répondre à tous les journalistes français qui ont accouru sur les bords du lac de Wolfeboro. (...) le Président a fait savoir aux reporters qu’il tiendrait un point presse dimanche. |
La une de 20minutes.fr, ce 5 août à 15h20
(...) Polémique sur le montant de ses vacances Au menu: le chef de l’Etat devrait répondre à la polémique lancée par le Parti socialiste sur le montant de ses vacances. Wolfeboro est en effet une très chic bourgade de la Nouvelle Angleterre, qui abrite des résidence d’été luxueuses, propriétés de divers magnats de l’industrie. Autant dire que résider là-bas n’est pas donné. Ainsi la villa où il séjourne est louée 22.000 euros la semaine! Soit 44.000 euros pour les quinze jours qu’il doit y passer. Rien de moins. De quoi attiser les questions d’une opposition en perte de vitesse, quand on sait que le Président gagne 6.000 euros par mois. Son escapade lui revient en effet à plus de 7 mois de salaires. Interrogé sur le choix de son lieu de villégiature, Nicolas Sarkozy a répondu «Ce sont des amis de longue date qui louent ici depuis des années. Depuis longtemps, ils voulaient que nous venions les rejoindre», selon le site de l’hebdomadaire «Paris Match». Quels amis, il n’a pas précisé. Mais tout le monde sait depuis son escapade maltaise, après sa victoire à la présidentielle, que le chef de l’Etat a de amis fortunés. Invité par George W. Bush Il pourrait aussi être question de ses relations avec George W. Bush. (...) Cependant comme l’explique l’envoyé spécial du «Parisien», depuis l’arrivée de la famille présidentielle la bourgade d’habitude calme et policée bruisse de toutes sortes de rumeurs. |
Posted 18 years, 5 months ago on August 5, 2007
The trackback url for this post is http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/1500/
The trackback url for this post is http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/1500/
Re: Après avoir fait monter le buzz...
Elections au Japon: la coalition du Premier ministre se dirige vers une lourde défaite
vendredi 27 jui, 09 h 04
TOKYO (AFP) - La campagne pour les élections sénatoriales de dimanche au Japon s'est achevée vendredi alors que les sondages annoncent une lourde défaite pour la coalition de Shinzo Abe, le jeune Premier ministre conservateur qui se dit déterminé à rester malgré tout au pouvoir.
Jusqu'au bout, cette campagne aura été marquée par des bévues et des affaires impliquant des proches de M. Abe, lui même sur la défensive et au plus bas dans les sondages.
Déjà éclaboussé par des scandales financiers, le ministre de l'Agriculture, Norihiko Akagi, a dû reconnaître vendredi une nouvelle "erreur" après avoir facturé deux fois les mêmes frais de courrier dans le cadre de ses activités politiques. Le prédécesseur de M. Akagi s'était suicidé fin mai après avoir été mouillé dans plusieurs affaires de corruption.
Le scrutin, dramatisé et médiatisé, aura valeur de test national même si les Japonais ne renouvelleront que la moitié des 242 sièges du Sénat, où la coalition dirigée par M. Abe dispose d'une courte majorité de 10 sièges.
"Donnez-nous la victoire. Nous ne pouvons nous permettre de perdre maintenant. La bataille est rude mais nous voulons nous battre jusqu'au bout", a plaidé M. Abe lors d'un meeting électoral à Tokyo.
Pourtant, selon les derniers sondages, le Parti libéral-démocrate (PLD, droite) de M. Abe et son partenaire, le petit parti bouddhiste du Nouveau Komeito, sont en passe de perdre la majorité au Sénat.
Ils n'obtiendraient que 53 sièges ou moins sur le 121 en jeu. Pour garder le contrôle de la Chambre haute, ils en ont besoin de 64.
Les politologues prédisent une percée des centristes du Parti démocrate du Japon (PDJ), la principale force d'opposition, créditée d'une soixantaine de sièges.
Face à un Premier ministre d'abord préoccupé d'idéologie, patriotique et réactionnaire, le PDJ a habilement axé sa campagne sur la vie quotidienne des Japonais et les régions rurales, bastions traditionnels du PLD, qui se sentent abandonnées par le pouvoir central.
Outre l'écart croissant entre riches et pauvres, le principal souci des électeurs est un énorme scandale concernant le système des retraites: cinquante millions de dossiers de cotisants sont devenus purement et simplement inutilisables.
Dans un archipel qui vieillit rapidement, cet incroyable fiasco a fait l'effet d'une bombe et devrait coûter fort cher à la majorité.
Arrivé au pouvoir il y a seulement dix mois, le plus jeune Premier ministre de l'après-guerre (52 ans) a toutefois fait savoir qu'il ne démissionnerait pas, quelle que soit l'issue des élections.
Son mandat comme chef du PLD, et donc Premier ministre, s'achevant en septembre 2009, il est en effet en droit de se maintenir au pouvoir, d'autant que son parti détient depuis 2005 une écrasante majorité à la Chambre des députés, la plus importante.
"Cette élection n'a rien à voir avec la désignation d'un Premier ministre. La question du départ d'Abe ne se pose", assure son entourage.
Mais, selon les politologues, la pression pour démissionner sera très forte si la défaite promise par tous les sondages se transforme en débâcle.
Il y a des précédents, comme en 1998, quand le Premier ministre de l'époque, Ryutaro Hashimoto, dut laisser sa place à la suite de sénatoriales désastreuses. En 2004, Shinzo Abe lui-même, alors secrétaire général du PLD, avait lui aussi dû démissionner pour assumer l'échec du parti.
Posted 18 years, 5 months ago by Anonymous • • • Reply
Comment Trackback URL : http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/1500/23126/
vendredi 27 jui, 09 h 04
TOKYO (AFP) - La campagne pour les élections sénatoriales de dimanche au Japon s'est achevée vendredi alors que les sondages annoncent une lourde défaite pour la coalition de Shinzo Abe, le jeune Premier ministre conservateur qui se dit déterminé à rester malgré tout au pouvoir.
Jusqu'au bout, cette campagne aura été marquée par des bévues et des affaires impliquant des proches de M. Abe, lui même sur la défensive et au plus bas dans les sondages.
Déjà éclaboussé par des scandales financiers, le ministre de l'Agriculture, Norihiko Akagi, a dû reconnaître vendredi une nouvelle "erreur" après avoir facturé deux fois les mêmes frais de courrier dans le cadre de ses activités politiques. Le prédécesseur de M. Akagi s'était suicidé fin mai après avoir été mouillé dans plusieurs affaires de corruption.
Le scrutin, dramatisé et médiatisé, aura valeur de test national même si les Japonais ne renouvelleront que la moitié des 242 sièges du Sénat, où la coalition dirigée par M. Abe dispose d'une courte majorité de 10 sièges.
"Donnez-nous la victoire. Nous ne pouvons nous permettre de perdre maintenant. La bataille est rude mais nous voulons nous battre jusqu'au bout", a plaidé M. Abe lors d'un meeting électoral à Tokyo.
Pourtant, selon les derniers sondages, le Parti libéral-démocrate (PLD, droite) de M. Abe et son partenaire, le petit parti bouddhiste du Nouveau Komeito, sont en passe de perdre la majorité au Sénat.
Ils n'obtiendraient que 53 sièges ou moins sur le 121 en jeu. Pour garder le contrôle de la Chambre haute, ils en ont besoin de 64.
Les politologues prédisent une percée des centristes du Parti démocrate du Japon (PDJ), la principale force d'opposition, créditée d'une soixantaine de sièges.
Face à un Premier ministre d'abord préoccupé d'idéologie, patriotique et réactionnaire, le PDJ a habilement axé sa campagne sur la vie quotidienne des Japonais et les régions rurales, bastions traditionnels du PLD, qui se sentent abandonnées par le pouvoir central.
Outre l'écart croissant entre riches et pauvres, le principal souci des électeurs est un énorme scandale concernant le système des retraites: cinquante millions de dossiers de cotisants sont devenus purement et simplement inutilisables.
Dans un archipel qui vieillit rapidement, cet incroyable fiasco a fait l'effet d'une bombe et devrait coûter fort cher à la majorité.
Arrivé au pouvoir il y a seulement dix mois, le plus jeune Premier ministre de l'après-guerre (52 ans) a toutefois fait savoir qu'il ne démissionnerait pas, quelle que soit l'issue des élections.
Son mandat comme chef du PLD, et donc Premier ministre, s'achevant en septembre 2009, il est en effet en droit de se maintenir au pouvoir, d'autant que son parti détient depuis 2005 une écrasante majorité à la Chambre des députés, la plus importante.
"Cette élection n'a rien à voir avec la désignation d'un Premier ministre. La question du départ d'Abe ne se pose", assure son entourage.
Mais, selon les politologues, la pression pour démissionner sera très forte si la défaite promise par tous les sondages se transforme en débâcle.
Il y a des précédents, comme en 1998, quand le Premier ministre de l'époque, Ryutaro Hashimoto, dut laisser sa place à la suite de sénatoriales désastreuses. En 2004, Shinzo Abe lui-même, alors secrétaire général du PLD, avait lui aussi dû démissionner pour assumer l'échec du parti.
Posted 18 years, 5 months ago by Anonymous • • • Reply
Comment Trackback URL : http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/1500/23126/
Perso
Articles récents
Au Garde des Sceaux
Décisions disciplinaires
20 novembre 2005
Qu'est-ce que ça signifie ?
Expert psy absent...
Bientôt noel
Bilan, mi avril 2006
Le procès d'un système
18 mai 2006, appel
Procès et similitudes
Arrêts reçus le 15 juillet
20 novembre 2006
Arrêt du 31 mai 2007
Au juge pour enfants
A propos de ce blog
Au Garde des Sceaux
Décisions disciplinaires
20 novembre 2005
Qu'est-ce que ça signifie ?
Expert psy absent...
Bientôt noel
Bilan, mi avril 2006
Le procès d'un système
18 mai 2006, appel
Procès et similitudes
Arrêts reçus le 15 juillet
20 novembre 2006
Arrêt du 31 mai 2007
Au juge pour enfants
A propos de ce blog
Protection de l'enfance
Pignoufs et pignoufferies
La justice de qualité
L'OSE France
Le code et le livre noir
27 mai 2006, manif
Manif(s) du 14 avril 2007
Envoyé spécial
Voleurs d'enfants
Le signalement
La justice de qualité
L'OSE France
Le code et le livre noir
27 mai 2006, manif
Manif(s) du 14 avril 2007
Envoyé spécial
Voleurs d'enfants
Le signalement
Affaires
Commission Outreau
Affaire Emily
Affaire Zakharova
Affaire Sébastien
Le cas Agret
Grève de Lulu
Philippe Fouquez
Le cas de Sophie
Autres affaires difficiles
Affaire Emily
Affaire Zakharova
Affaire Sébastien
Le cas Agret
Grève de Lulu
Philippe Fouquez
Le cas de Sophie
Autres affaires difficiles
Calendrier
« July 2024 » | ||||||
Sun | Mon | Tue | Wed | Thu | Fri | Sat |
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | |
7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 |
14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 |
21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 |
28 | 29 | 30 | 31 |
Articles récents
Serge Klarsfeld...
Les Français condamnent à...
Le SNES attaque le site...
Les CM2 seront...
Breteau mis en examen
Les Français condamnent à...
Le SNES attaque le site...
Les CM2 seront...
Breteau mis en examen
Sections
Manif(s) du 14 avril 2007
2007, juste le désordre
Le 3919
Actions et manifestations
L'adoption
Affaire d'Anger
Affaire Maddie
Le cas Agret
L'appel des 100
L'Arche de Zoé
Associations et liens
L'astrologie
Le cas Bamberski
En Belgique
Le cas Betancourt
Les bêtes
La justice à Bobigny
Le cas Boukovski
Boulettes
Quai Branly
Le cas Britney
La Caisse d'Epargne
Campagne 2007
Ca se discute
Le cas Enis
Clearstream
Commission Outreau
Les concubines
La corrida
Collusions et corruption
CPE
Les grands crus
Déviants et hérétiques
Discrimination et impostures
Société
Faits divers
Les docu-fictions
Douce France
Affaire EADS
Education nationale
Affaire Emily
Pour un enfant
Envoyé spécial
Le traité d'extradition
Fête des Loges
Le foot
Fusillade à Malakof
Gay prides
Le génocide
Affaire Gettliffe
Guy Drut
Un peu d'histoire
Les huîtres d'Arcachon
L'improbable
L'industrie
Les infirmières bulgares
L'inquisition
Insolite
Arrêts reçus le 15 juillet
Le JPE de Metz
Mais qui est Julie ?
La justice de Bourges
La justice de qualité
La descente de Laffrey
Dérives
Textes et Morale
Le cas des sourds
Le débat
Le Tour
La liste électorale
Le code et le livre noir
Livres, bibliographie
Grève de Lulu
Le mensonge
L'ordre moral
Actualités personnelles
L'OSE France
Outreau
Outreau saison 2
Outreau saison 3
La liste du père Noël
Personnes agées
Pierrot le fou
La place de l'enfant
La plume des psys
Proche orient
La protection de l'enfance
Centres de rétention
La rue
Rumeur et crédibilité
Le scooter de Jean
Affaire Sébastien
Au mémorial de la shoah
Le signalement
Affaires difficiles
Evolutions du site
L'affaire du SMS
Société Générale
Suicides
Tintin au Congo
Tolérance zéro
Troubles urbains
UNICEF
Deux vitesses
Affaire Zakharova
Zéro de conduite
2007, juste le désordre
Le 3919
Actions et manifestations
L'adoption
Affaire d'Anger
Affaire Maddie
Le cas Agret
L'appel des 100
L'Arche de Zoé
Associations et liens
L'astrologie
Le cas Bamberski
En Belgique
Le cas Betancourt
Les bêtes
La justice à Bobigny
Le cas Boukovski
Boulettes
Quai Branly
Le cas Britney
La Caisse d'Epargne
Campagne 2007
Ca se discute
Le cas Enis
Clearstream
Commission Outreau
Les concubines
La corrida
Collusions et corruption
CPE
Les grands crus
Déviants et hérétiques
Discrimination et impostures
Société
Faits divers
Les docu-fictions
Douce France
Affaire EADS
Education nationale
Affaire Emily
Pour un enfant
Envoyé spécial
Le traité d'extradition
Fête des Loges
Le foot
Fusillade à Malakof
Gay prides
Le génocide
Affaire Gettliffe
Guy Drut
Un peu d'histoire
Les huîtres d'Arcachon
L'improbable
L'industrie
Les infirmières bulgares
L'inquisition
Insolite
Arrêts reçus le 15 juillet
Le JPE de Metz
Mais qui est Julie ?
La justice de Bourges
La justice de qualité
La descente de Laffrey
Dérives
Textes et Morale
Le cas des sourds
Le débat
Le Tour
La liste électorale
Le code et le livre noir
Livres, bibliographie
Grève de Lulu
Le mensonge
L'ordre moral
Actualités personnelles
L'OSE France
Outreau
Outreau saison 2
Outreau saison 3
La liste du père Noël
Personnes agées
Pierrot le fou
La place de l'enfant
La plume des psys
Proche orient
La protection de l'enfance
Centres de rétention
La rue
Rumeur et crédibilité
Le scooter de Jean
Affaire Sébastien
Au mémorial de la shoah
Le signalement
Affaires difficiles
Evolutions du site
L'affaire du SMS
Société Générale
Suicides
Tintin au Congo
Tolérance zéro
Troubles urbains
UNICEF
Deux vitesses
Affaire Zakharova
Zéro de conduite
Powered by bBlog
TOKYO (AFP), 1/8/07, extrait - Le Premier ministre conservateur japonais Shinzo Abe a limogé mercredi son ministre de l'Agriculture, Norihiko Akagi, devenu le symbole de l'incurie de son gouvernement, à la suite de la débâcle électorale de la coalition au pouvoir.
Après avoir juré qu'il ne quitterait pas ses fonctions, M. Akagi a présenté sa démission qui a été acceptée par le Premier ministre.
Il est le troisième membre du gouvernement de M. Abe à se démettre en dix mois.
Son mandat de ministre aura été un des plus brefs de l'histoire récente du Japon: il avait été nommé fin mai après le suicide de son prédécesseur, Toshikatsu Matsuoka, mouillé dans plusieurs affaires de corruption.