August 10, 2007

Eric Ghozlan, Directeur du pôle Enfance


La diaspora solidaire
Tribune Juive n° 20, extraits

Quand la terre d’Israël et ses habitants sont touchés, c’est le coeur de tous les Juifs qui saigne. Lors du conflit opposant l’État hébreu au Hezbollah, la communauté de France s’est mobilisée. Hommage à de belles initiatives.

Tomer n’a que 15 ans, et pourtant la gravité de son regard en dit long sur un tragique basculement dans l’âge adulte. Il fait partie de la dizaine d’enfants de la ville de Maalot accueillis en France par l’OSE (l’OEuvre de secours à l’enfance) avec l’aide de l’AUJF (Appel unifié juif de France).

(...) C’est lors d’un séjour à Jérusalem qu’Éric Ghozlan, directeur de la maison d’enfants de Draveil, où des jeunes Israéliens sont reçus, a pris conscience de la nécessité d’agir. « Un nombre important de réfugiés du Nord étaient accueillis dans des hôtels. Ils avaient fui en emportant le minimum, certains se promenaient même en chaussons. Une travailleuse sociale venue spécialement de Hollande, Dina Weill, a proposé à des enfants de faire des dessins. En tant que psychologue, j’ai été frappé par le traumatisme qui émanait de leurs illustrations très réalistes représentant des abris clos, suffocants, et surtout la peur. »

Eric Ghozlan, Directeur du pôle Enfance : "construire ensemble une nouvelle politique de l'Enfance"

Le 08/06/2007
Actualité de l'OSE, extraits

Jeudi 7 juin a été dévoilé, devant les salariés rassemblés, le nom du Directeur du pôle Enfance de l’OSE : Eric Ghozlan. A cette place, il est dans la lignée de la regrettée Vivette Samuel, Directrice de l’enfance, en 1979.

(...) Tout comme notre association, il poursuit un idéal de justice, rapporté au domaine d’action qu’il a choisit, c'est-à-dire, le soutien à l’enfance. Ses valeurs : « l’écoute, la tolérance, le respect et l’accueil ».

C’est donc sans crainte et avec la détermination qui le caractérise qu’il mesure l’importance de la mission passionnante et complexe dont l’OSE l’investit aujourd’hui. « L’enfance est historiquement le cœur de l’OSE qui consacre 80% de son activité au pôle Enfance. Nos professionnels accompagnent plus de 1000 enfants et leurs familles. Hormis la colonie, les douze autres services de ce pôle sont financés et contrôlés par les pouvoirs publics ».

Les objectifs du Directeur du pôle Enfance sont d’ores et déjà fixés.

Eric Ghozlan entend en effet « réaffirmer le projet associatif qui fixe comme mission prioritaire de s’occuper d’enfants juifs dans le respect de la laïcité

Articuler cette exigence avec l’ouverture aux enfants d’autres cultures en gardant notre mission de service public

Adapter aussi notre développement à la politique de décentralisation de la protection de l’enfance en créant des structures de proximité assurant prévention, orientation, soutien, actions éducatives et placement ».

Installé désormais au siège, le Directeur du pôle Enfance va travailler en lien étroit avec le Directeur général et les directeurs d’établissements et de services « dans un esprit de dialogue ». Il aura pour interlocuteurs, les instances professionnelles, les inter secteurs de la pédopsychiatrie, les tribunaux pour enfants et les départements.

D'après l'ONU, la bande de Gaza est au bord de l'asphyxie
LEMONDE.FR | 09.08.07

"Si le régime de blocus continue comme aujourd'hui, Gaza risque de devenir une communauté 100 % dépendante de l'aide internationale, isolée et refermée sur elle-même", prévient Filippo Grandi, numéro deux de l'UNRWA, l'agence de l'ONU chargée des réfugiés palestiniens.

Pour le responsable onusien, la bande de Gaza, désormais sous contrôle du Hamas, se retrouvera bientôt menacée d'implosion économique si les pays limitrophes n'ouvrent pas leurs frontières. Depuis la mi-juin, Israël et l'Egypte n'autorisent que le passage de l'aide humanitaire, protestant contre la mainmise du Hamas.

(...) C'est pourquoi il exhorte l'Autorité palestinienne, Israël et les autres pays limitrophes à rouvrir les points de passage, sous peine de voir se développer à Gaza des "conséquences désastreuses, une atmosphère de désespoir favorable au développement de l'extrémisme".




« Olmert rend visite à Abbas », par Chapatte • Yahoo!



The Associated Press
- 06/08/07 à 19:15:02 - 683 mots

Monde
Première rencontre Olmert-Abbas en territoire palestinien

Ehoud Olmert est devenu lundi le premier chef du gouvernement israélien à se rendre dans une ville palestinienne depuis le début de la deuxième Intifada, il y a sept ans. Sous haute protection, il a rencontré à Jéricho, en Cisjordanie, le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas pour évoquer notamment la création d'un Etat palestinien.

M. Olmert, qui a déclaré à M. Abbas être venu pour discuter de "questions fondamentales", a pris un risque pour sa sécurité se rendant dans cette ville mais il a aussi fait un geste symbolique en faveur de Mahmoud Abbas, qui accueille enfin sur ses terres le Premier ministre israélien.

Il est arrivé dans un convoi de voitures, surveillé par deux hélicoptères, avant de descendre dans un hôtel cinq étoiles situé à quelques centaines de mètres d'un poste de contrôle permanent de Tsahal, l'armée israélienne, installé dans la banlieue de Jéricho. Les deux hommes se sont salués devant l'hôtel. "Je suis ravi de vous voir", a déclaré M. Olmert à M. Abbas.

L'entretien a pris fin trois heures plus tard, et le convoi de M. Olmert a quitté Jéricho en direction de Jérusalem. Les deux parties ont qualifié la rencontre de "constructive" mais n'ont pas fait état de progrès significatifs.

M. Abbas "n'est pas venu à la rencontre avec une baguette magique, pas plus que M. Olmert", a déclaré Saeb Erekat
, proche collaborateur du président palestinien, lors d'une conférence de presse après l'entretien. "Il y a un accord sur une série de rencontres pour discuter de ces questions, parmi lesquelles la création d'un Etat palestinien", a-t-il ajouté.

David Baker, un porte-parole de M. Olmert, a affirmé que les deux hommes n'avaient pas évoqué les questions centrales du conflit, ni mené des négociations. "Les deux parties ont décidé d'élargir le champ de leurs discussions pour mieux se comprendre (...) afin de permettre de nouveaux progrès en vue de la création d'un Etat palestinien", a déclaré M. Baker.

La rencontre s'est déroulée dans une des régions les plus calmes de Cisjordanie. Toutefois, elle représentait un défi pour le détachement chargé de protéger M. Olmert, les forces de sécurité de M. Abbas en Cisjordanie étant toujours fragiles. En juin, elles n'ont pas réussi à empêcher les militants du Hamas de prendre de force le contrôle de la Bande de Gaza.

Cette visite était aussi un test pour la coordination de la sécurité entre Israéliens et Palestiniens en Cisjordanie. Tsahal a bouclé les postes de contrôle autour de Jéricho, alors que la police palestinienne bloquait les routes autour de l'hôtel.

Mahmoud Abbas et Ehoud Olmert se sont rencontrés à plusieurs reprises ces derniers mois pour tenter de trouver des moyens de reprendre les pourparlers de paix dans l'impasse. Ils doivent aussi préparer une conférence internationale sur le Proche-Orient prévue aux Etats-Unis au mois de novembre.

Les deux parties semblaient toutefois nourrir des espoirs contradictoires. Les Palestiniens souhaitaient que les deux dirigeants esquissent le contour d'un accord de paix définitif, qui doit être présenté lors de la conférence aux Etats-Unis, a déclaré lundi le négociateur palestinien Saeb Erekat.

Les quatre questions centrales concernant un futur accord de paix sont celles des frontières définitives d'un Etat palestinien, d'une division de Jérusalem, d'un retrait des colonies israéliennes, et du sort des réfugiés palestiniens. "Ce qu'ils doivent faire, c'est établir les paramètres pour régler toutes ces questions", a déclaré M. Erekat. "Une fois que les paramètres seront établis, alors cela peut être remis aux experts" pour élaborer une version préliminaire.

M. Olmert est resté plus prudent. "Je suis venu ici pour discuter avec vous des questions fondamentales en suspens entre Israël et l'Autorité palestinienne, en espérant que cela va nous conduire bientôt à des négociations sur la création d'un Etat palestinien", a-t-il dit au début des discussions, avec Mahmoud Abbas debout à ses côtés. AP


- « Dans un esprit de dialogue » ? -


Posted 18 years, 1 month ago on August 10, 2007
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M. Bush dit volontiers croire aux bienfaits de rapports amicaux
Etats-Unis: Bush reçoit samedi le président Sarkozy dans un cadre "privé"
Metrofrance, le 10/8 à 11h52

Le président Nicolas Sarkozy dans le lac Winnipesaukee, près de Wolfeboro, dans le nord-est des Etats-Unis, le 3 août 2007 Photo: Don Emmert/AFP Le président George W. Bush reçoit samedi pour la première fois son nouvel homologue français Nicolas Sarkozy avec pour seul ordre du jour d'établir une relation personnelle qui faisait cruellement défaut avec son prédécesseur Jacques Chirac.

Pas de programme préétabli quand M. Bush et sa femme Laura accueilleront M. et Mme Sarkozy dans la résidence familiale de Kennebunkport (Maine, nord-est) sur l'Atlantique, sinon un déjeuner en petit comité au cours duquel M. Bush devrait gâter ses invités au homard, la spécialité locale.

Le déjeuner et les entretiens seront tout ce qu'il y a de "privé", a insisté la Maison Blanche. Parce que la circonstance est vraiment informelle, un des porte-parole de la Maison Blanche, Gordon Johndroe, n'a pas exclu une partie de pêche en mer.

Bush père, 41ème président des Etats-Unis et hôte officiel de la rencontre en tant que propriétaire des lieux où le futur 43ème président passait ses vacances enfant, "a l'invitation facile" quand il s'agit de pêche, relève M. Johndroe. Aucune conférence de presse n'est annoncée bien qu'il s'agisse des premiers entretiens sur le sol américain depuis que M. Sarkozy a accédé à la présidence en mai.

Les grandes préoccupations communes sont nombreuses. Mais Kennebunkport est d'abord "l'occasion pour ces deux dirigeants et leurs épouses de faire davantage connaissance, de passer du temps ensemble dans un cadre privé", dit M. Johndroe. Le déjeuner est un "déjeuner social où, à un moment donné, si l'occasion s'en présente, ils parleront des problèmes auxquels sont confrontés nos deux pays".

A en croire la Maison Blanche, la rencontre elle-même est quasiment un concours de circonstances: les Sarkozy sont en vacances à quelques dizaines de kilomètres de Kennebunkport où M. Bush est arrivé jeudi, officiellement pour assister à un mariage ce week-end. Et comme Mme Bush avait invité les Sarkozy lors du sommet des pays industrialisés en juin...

"Ce n'est pas un sommet, il n'y a pas d'ordre du jour. L'ordre du jour, c'est: passez nous voir et rencontrons nous", selon le porte-parole de la Maison Blanche Tony Snow, sourd à la polémique en France sur les vacances américaines de M. Sarkozy. MM. Bush et Sarkozy pourront s'absorber plus profondément dans les grands dossiers plus tard, lors d'une rencontre officielle probable que M. Johndroe prévoit "quelque part en automne".

M. Bush dit volontiers croire aux bienfaits de rapports amicaux pour résoudre les problèmes du monde et compte sur les vertus de l'air marin pour nouer avec M. Sarkozy des liens qui n'existaient pas avec M. Chirac. Après les tensions provoquées par la guerre en Irak, l'élection de M. Sarkozy a suscité aux Etats-Unis l'attente de relations apaisées.

Et M. Sarkozy, auquel ses sensibilités proaméricaines valent les critiques de ses adversaires en France, bénéficie d'un a priori favorable aux Etats-Unis, fatalement sensibles à son image de fils d'immigrés et de dirigeant volontaire. Les experts conviennent aussi que les styles de MM. Bush et Sarkozy s'accordent beaucoup mieux que ceux de MM. Bush et Chirac.

"Nous semblons à l'aube d'une nouvelle ère dans les relations avec les Français, et c'est une bonne chose", a dit le porte-parole Tony Snow. Des deux côtés de l'Atlantique, on souligne que les plaies de la guerre en Irak sont refermées ou en passe de l'être.

"La France et les Etats-Unis sont de proches alliés depuis plus de 200 ans", dit M. Johndroe, "des différences peuvent apparaître de temps en temps sur des sujets précis. Mais sur la grande majorité des questions, nous collaborons très étroitement", dit-il en citant en exemple les crises iranienne, libanaise ou soudanaise et les dossiers dont est saisi le Conseil de sécurité de l'ONU.

M. Sarkozy a interrompu ses vacances américaines pour assister vendredi aux obsèques du cardinal Jean-Marie Lustiger à Paris mais effectuera l'aller-retour pour voir M. Bush samedi.

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Re: Eric Ghozlan, Directeur du pôle Enfance
KENNEBUNKPORT, Maine (Reuters) - Le président américain George W. Bush et son homologue français Nicolas Sarkozy ont souligné samedi la primauté de l'amitié sur les désaccords, avant le déjeuner de hot dogs et de hamburgers qui les attendait à Kennebunkport, sur la côte Atlantique du Maine, dans la résidence de famille des Bush.

Alors qu'il attendait le président français, en vacances actuellement à une centaine de kilomètres de là au bord d'un lac du New Hampshire, Bush a qualifié Nicolas Sarkozy d'"ami".

"Nous avons de bonnes relations avec la France, même si, c'est clair, il y a des désaccords", a dit Bush. "Nous avons eu des désaccords sur l'Irak en particulier. "Je n'ai jamais permis que les désaccords empêchent de trouver d'autres moyens de travailler ensemble", a-t-il déclaré aux journalistes.

A ce sujet, Nicolas Sarkozy, accueilli par Bush à son arrivée, a abondé dans le même sens: "Est-ce qu'on est d'accord sur tout ? Non, parce que dans une famille, on peut avoir des désaccords. On peut être des amis et ne pas être d'accord sur tout".


"Je viens de lire la biographie de La Fayette. Ça fait jamais pratiquement que 250 ans que la France et les Etats-Unis sont des alliés", a rappelé le président français. "A la naissance des Etats-Unis, la France a choisi les Etats-Unis, à l'époque il y avait quatre millions d'Américains. La France était l'amie des Américains".

"Et après, quand nous, les Français, nous avons été en guerre, les Américains étaient avec nous", a souligné Sarkozy, qui portait un jeans bleu soulignant le caractère informel de la rencontre.

L'épouse de Nicolas Sarkozy, Cécilia, n'a pu se rendre au déjeuner avec Bush car elle souffre d'une angine blanche, a expliqué le président français. Lors d'une discussion avec son hôte, retransmise par la chaîne LCI, Nicolas Sarkozy a rappelé à George Bush qu'il s'était rendu vendredi en France pour assister aux obsèques du cardinal Lustiger.

"Quand je suis rentré, j'ai deux de mes enfants et ma femme qui ont eu une angine blanche", a-t-il dit. "C'est moi qui la leur ai passé", a-t-il ajouté.

"Cécilia a eu Madame Bush ce matin", pour l'informer de son empêchement, a ajouté Nicolas Sarkozy.

Selon la porte-parole adjointe de la Maison blanche, Dana Perino, Cécilia Sarkozy a effectivement téléphoné dans la matinée à Laura Bush pour l'informer qu'elle et ses enfants n'assisteraient pas au déjeuner parce qu'ils étaient indisposés.

"C'est une femme très dynamique, nous sommes impatients de la voir elle aussi, ainsi que les enfants", a dit le président Bush. "Nous comprenons parfaitement".

Le chef de l'Etat français est en villégiature à une centaine de km de là, au bord d'un lac du New Hampshire, et cette "proximité géographique" a favorisé l'organisation de ce "déjeuner simple et détendu", a précisé Dana Perino.

Avant le déjeuner, Bush Jr, Sarkozy et le père de Bush, l'ancien président George Bush, ont eu un entretien privé d'une cinquantaine de minutes. Bush fils avait déclaré qu'ils devaient discuter "à coeur ouvert" de dossiers de la première importance comme l'Iran.

INVITATION LANCÉE AU SOMMET DU G8 EN JUIN

"Il s'agit d'un déjeuner informel, amical et familial mais il est vraisemblable que des sujets d'actualité seront abordés, sans ordre du jour", avait précisé à Paris Pierre-Jérôme Hénin, porte-parole adjoint de l'Elysée.

Le déjeuner a consisté en "un menu de pique-nique traditionnel américain" comprenant hot dogs et hamburgers, avait fait savoir la Maison blanche, qui a souligné que c'était l'occasion pour Nicolas Sarkozy de faire connaissance avec la totalité du clan Bush, dont les parents du président, ses jumelles Jenna et Barbara et son frère Jeb.

Bush et Sarkozy ont fait un tour en bateau avant que le président français ne reparte, au terme d'une visite de plus de deux heures.

L'invitation à ce déjeuner avait été lancée à Nicolas Sarkozy par George Bush lors du sommet du G8 en Allemagne en juin. Seul un autre hôte de marque étranger a été auparavant invité par George Bush Jr dans sa résidence de famille: il s'agit du président russe Vladimir Poutine, le mois dernier.

Les Etats-Unis, qui entretenaient des relations sans chaleur avec l'Elysée du temps de Jacques Chirac, souhaitent améliorer leurs relations avec la France à la faveur du quinquennat de Sarkozy.

"A l'évidence, nous travaillons très étroitement avec la France actuellement sur un certain nombre de questions", a déclaré Perino, citant notamment les efforts diplomatiques conjoints de Paris et Washington à l'Onu sur le Liban, le Darfour et l'Iran. L'Elysée souligne également qu'il y a "de nombreux sujets de consensus entre les Etats-Unis et la France, notamment sur le terrorisme".

Bush invite d'ordinaire ses alliés étrangers dans son ranch de Crawford, au Texas, pour illustrer la relation particulière qu'il entretient avec eux. Le dernier chef d'Etat à se rendre dans le ranch était le président colombien, Alvaro Uribe, en août 2005.

Bush, qui s'est rendu dans le Maine pour assister au mariage d'un ami de la famille, va poursuivre dès lundi ses vacances dans son ranch texan. Prié par la presse de dire s'il pourrait envisager d'aller passer des vacances en France, il a répondu par l'affirmative: "Absolument".

Mais il a fait remarquer qu'il aimait aller à Crawford. "Je suis un Texan, j'aime l'endroit, là-bas, j'aime y aller aussi souvent que je peux. C'est là-bas que je peux me détendre", a-t-il expliqué.


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