August 13, 2007
Le lavage de cerveaux en liberté
Noam Chomsky, paranoïaque ? La théorie du complot, je n'y crois pas. Un interview de Noam Chomsky est introduit en une du Monde diplomatique du mois courant, extraits à la suite. Plutôt que paranoïa et complot, je pencherais pour un inculte à Nanterre, à moins que parmi les travailleurs sociaux de l'OSE France.Ma fille aînée a comme disparue depuis bientôt deux ans et ce après qu'elle a été habituellement maltraitée dans l'établissement de Taverny de l'OSE France. De mon point de vue, c'est avant toute chose un rapt de mineur de moins de 15 ans en bande organisée, par des travailleurs sociaux, cautionné par le juge pour enfant de Nanterre. Dénoncer cela, faits et preuves à l'appui, ne peut pas faire de moi un paranoïaque.
« Taire les arguments de l’opposition et jeter l’anathème sur l’ennemi idéal », voir à la suite, c'est ce que les juges de mon secteur semblent faire depuis des lustres, j'ai d'ailleurs déjà des références relatives au lavage de cerveau tel que pratiqué en Chine, dans les années 1950, ou par l'OSE France et le juge pour enfant de Nanterre. Un avocat soutiendra plus sobrement que « le contradictoire et la procédure montrent leurs insuffisances ».
De la dernière lettre de cachet de la Cour d'appel de Versailles :
Le lavage de cerveaux en liberté
En une du Monde diplo d'août 2007 :
Rachats de grands journaux – le « Wall Street Journal » aux Etats-Unis, « Les Echos » en France – par des hommes fortunés habitués à plier la vérité au gré de leurs intérêts (lire aussi, dans ce numéro, « Prédateurs de presse et marchands d’influence », par Marie Bénilde), médiatisation outrancière de M. Nicolas Sarkozy, cannibalisation de l’information par les sports, la météo et les faits divers, le tout dans une débauche de publicités : la « communication » constitue l’instrument de gouvernement permanent des régimes démocratiques. Elle est, pour eux, ce que la propagande est aux dictatures. Dans un entretien accordé au journaliste de France Inter Daniel Mermet, l’intellectuel américain Noam Chomsky analyse ces mécanismes de domination et les replace dans leur contexte historique. Il rappelle, par exemple, que les régimes totalitaires se sont appuyés sur les ressorts de la communication publicitaire perfectionnés aux Etats-Unis au lendemain de la première guerre mondiale. Au-delà, il évoque les perspectives de transformation sociale dans le monde actuel, et ce à quoi pourrait ressembler l’utopie pour ceux qui, malgré la pédagogie de l’impuissance martelée par les médias, n’ont pas renoncé à changer le monde.
« Plus efficace encore que les dictatures »
(...) En France, en mai 2005, lors du référendum sur le traité de Constitution européenne, la plupart des organes de presse étaient partisans du « oui », et cependant 55 % des Français ont voté « non ». La puissance de manipulation des médias ne semble donc pas absolue. Ce vote des citoyens représentait-il aussi un « non » aux médias ? Le travail sur la manipulation médiatique ou la fabrique du consentement fait par Edward Herman et moi n’aborde pas la question des effets des médias sur le public. C’est un sujet compliqué, mais les quelques recherches en profondeur menées sur ce thème suggèrent que, en réalité, l’influence des médias est plus importante sur la fraction de la population la plus éduquée. La masse de l’opinion publique paraît, elle, moins tributaire du discours des médias. Extraits d'un article de l'Huma du 4 juillet 2002... La fabrique du consentement Malin, Chomsky, s’il remonte au début du XXe siècle et dissèque les effets de la propagande outre-Atlantique, c’est pour mieux mettre à l’index l’ensemble des " démocraties " occidentales. Il évoque donc la commission Creel qui, sous les auspices du président Wilson, eut pour mission, en 1916, de transformer un peuple pacifiste en une horde belliciste. Et ce grâce à une propagande dont les principes n’ont pas changé d’un iota : taire les arguments de l’opposition et jeter l’anathème sur l’ennemi idéal. (...) Cette stratégie repose sur une conception foncièrement antidémocratique qui veut que, dans " l’intérêt du plus grand nombre " - en fait celui des élites - et du " bien commun " - accaparé par quelques-uns -, le pouvoir politique soit entre les mains d’un petit groupe. Paranoïa ? Hélas non : Walter Lippman, l’une des figures de proue du journalisme, dans la première moitié du XXe siècle, plaidait pour une " révolution dans l’art d’exercer la démocratie ", avec comme but la " fabrique du consentement ". Le peuple se voit taxé de " troupeau dérouté " réduit au rôle de " spectateur ". Qu’importe s’il se lobotomise devant le foot ou une sitcom, il faut tout faire pour éviter que les opposants se regroupent, que les non-dits s’entendent, que la population s’organise. « ... Il n’y a aucune différence intrinsèque entre la perception et l’hallucination. La seule chose qui nous permette de les distinguer, c’est la discussion avec d’autres. » • Edgar Morin dans les cahiers du millénaire 3 n°31 |
Page 8 du Monde diplo
De notes du 26 août 2006, « L'assistance publique du XXIe siècle », ou encore du 2 septembre 2006 au sujet de « Lumières, colonialisme et traite », il semblerait bien que l'Etat français s'accommode de pratiques proprement staliniennes : La vérité qui déboule à l'audience est un produit de la superstition. Lachée du ciel ou déchiffré dans les cris du supplicié ou les larmes de la victime, elle n'a pas été formée par une enquête serieuse et impartiale mais par un décrêt paré d'autorité de l'Etat. Sous prétexte que le fait à juger a engendré du mal et de la souffrance, les fonctionnaires de la justice tournent le dos à la raison et au bon sens. Eloge de la barbarie judiciaire Thierry Levy, ed. Odile Jacob 28 janvier 2006 - Le Président de la République s’est enfin résigné à faire disparaître du droit français l’article 4 de la loi du 23 février 2005 qui enjoignait aux enseignants de faire état du rôle positif de la colonisation française. L'aliénation est subtile, elle prend des formes qui évoluent avec leur temps, qui s'essayent à la rendre toujours un peu plus tolérable en l'apprêtant avec des habits civilisés. Cahiers de l'Actif Septembre/Octobre 2000, n°292/293 Dossier: Les travailleurs sociaux ont-is peur du changement? Extrait du contre point. |
Posted 18 years, 2 months ago on August 13, 2007
The trackback url for this post is http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/1562/
The trackback url for this post is http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/1562/
Re: Le lavage de cerveaux en liberté
Reuters - il y a 1 heure 1 minute
LA HAVANE (Reuters) - C'est un Fidel Castro toujours convalescent et éloigné de la gestion quotidienne du pouvoir qui souffle ces lundi ses 81 bougies à Cuba, où ses héritiers s'emploient à desserrer l'étau d'une économie fortement étatisée.
Absent depuis près d'un an de la scène politique pour des raisons de santé, "El Comandate" s'accroche néanmoins à l'idée de continuer à exercer une influence idéologique à travers un pays dont il a façonné les contours.
Dans des tribunes, parfois au vitriol, régulièrement publiées dans un journal communiste, Castro distille ses opinions sur l'état de la planète et les affres de l'économie mondialisée.
Il met ainsi à profit sa retraite forcée pour "méditer sur l'ampleur des problèmes cruciaux qui menacent aujourd'hui l'espèce humaine", selon ses propres termes.
Le chef des barbus de la Sierra Maestra qui nourrissait l'espoir de fonder un Etat sans argent ni classes sociales a été contraint de prendre du recul il y a presque un an jour pour jour, laissant la conduite des affaires du pays à son demi-frère cadet, Raul, ministre de la Défense depuis 1959.
Le chef historique de la révolution cubaine ne s'est jamais vraiment remis de son hospitalisation d'urgence à la suite d'une hémorragie intestinale l'été dernier.
Depuis, Castro a subi plusieurs interventions chirurgicales et son état de santé, à défaut de se dégrader, ne s'est pas amélioré non plus, si bien que les autorités cubaines n'envisagent plus aujourd'hui un retour au pouvoir du "Presidente.
"REFORMES STRUCTURELLES"
Mariela Castro, nièce de Fidel et fille de Raul, a récemment déclaré à la presse que le destin du socialisme cubain était placé désormais entre les mains de son père.
"L'inquiétude de perdre de notre chef se rapproche de plus en plus", a-t-elle confié à l'agence de presse espagnole EFE. Reconnaissant "l'autorité morale" exercée par son oncle, Mariela a, par la suite, rappelé que le pays devait avancer, "avec ou sans Fidel".
Dans l'un de ses discours de référence prononcé le 26 juillet, Raul Castro a voulu marquer son territoire en affirmant que l'économie ne pouvait pas se passer aujourd'hui de "réformes structurelles".
S'aventurant sur le thème de l'agriculture, Raul Castro a qualifié d'absurdes les systèmes de distribution mis en place par son demi-frère, critiquant par ailleurs le faible niveau des salaires cubains.
Dans une société minée par des inégalités et la pauvreté, Raul semble désireux d'insuffler un vent de réformes auxquelles les Cubains sont prêts à adhérer, pétris par l'espoir d'une vie meilleure.
Symbole de cette nouvelle ligne de fracture idéologique, le débat fait rage au sein du gouvernement cubain entre les "réalistes", proches des idées réformatrices de Raul, et les "utopistes", nostalgiques du socialisme d'Etat né de la révolution de 1959.
Pour des diplomates occidentaux, c'est Raul Castro qui tient les rênes du pouvoir et un retour à l'avant-scène politique de son frère aîné est improbable.
Posted 18 years, 2 months ago by Anonymous • • • Reply
Comment Trackback URL : http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/1562/23174/
LA HAVANE (Reuters) - C'est un Fidel Castro toujours convalescent et éloigné de la gestion quotidienne du pouvoir qui souffle ces lundi ses 81 bougies à Cuba, où ses héritiers s'emploient à desserrer l'étau d'une économie fortement étatisée.
Absent depuis près d'un an de la scène politique pour des raisons de santé, "El Comandate" s'accroche néanmoins à l'idée de continuer à exercer une influence idéologique à travers un pays dont il a façonné les contours.
Dans des tribunes, parfois au vitriol, régulièrement publiées dans un journal communiste, Castro distille ses opinions sur l'état de la planète et les affres de l'économie mondialisée.
Il met ainsi à profit sa retraite forcée pour "méditer sur l'ampleur des problèmes cruciaux qui menacent aujourd'hui l'espèce humaine", selon ses propres termes.
Le chef des barbus de la Sierra Maestra qui nourrissait l'espoir de fonder un Etat sans argent ni classes sociales a été contraint de prendre du recul il y a presque un an jour pour jour, laissant la conduite des affaires du pays à son demi-frère cadet, Raul, ministre de la Défense depuis 1959.
Le chef historique de la révolution cubaine ne s'est jamais vraiment remis de son hospitalisation d'urgence à la suite d'une hémorragie intestinale l'été dernier.
Depuis, Castro a subi plusieurs interventions chirurgicales et son état de santé, à défaut de se dégrader, ne s'est pas amélioré non plus, si bien que les autorités cubaines n'envisagent plus aujourd'hui un retour au pouvoir du "Presidente.
"REFORMES STRUCTURELLES"
Mariela Castro, nièce de Fidel et fille de Raul, a récemment déclaré à la presse que le destin du socialisme cubain était placé désormais entre les mains de son père.
"L'inquiétude de perdre de notre chef se rapproche de plus en plus", a-t-elle confié à l'agence de presse espagnole EFE. Reconnaissant "l'autorité morale" exercée par son oncle, Mariela a, par la suite, rappelé que le pays devait avancer, "avec ou sans Fidel".
Dans l'un de ses discours de référence prononcé le 26 juillet, Raul Castro a voulu marquer son territoire en affirmant que l'économie ne pouvait pas se passer aujourd'hui de "réformes structurelles".
S'aventurant sur le thème de l'agriculture, Raul Castro a qualifié d'absurdes les systèmes de distribution mis en place par son demi-frère, critiquant par ailleurs le faible niveau des salaires cubains.
Dans une société minée par des inégalités et la pauvreté, Raul semble désireux d'insuffler un vent de réformes auxquelles les Cubains sont prêts à adhérer, pétris par l'espoir d'une vie meilleure.
Symbole de cette nouvelle ligne de fracture idéologique, le débat fait rage au sein du gouvernement cubain entre les "réalistes", proches des idées réformatrices de Raul, et les "utopistes", nostalgiques du socialisme d'Etat né de la révolution de 1959.
Pour des diplomates occidentaux, c'est Raul Castro qui tient les rênes du pouvoir et un retour à l'avant-scène politique de son frère aîné est improbable.
Posted 18 years, 2 months ago by Anonymous • • • Reply
Comment Trackback URL : http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/1562/23174/
Perso
Articles récents
Au Garde des Sceaux
Décisions disciplinaires
20 novembre 2005
Qu'est-ce que ça signifie ?
Expert psy absent...
Bientôt noel
Bilan, mi avril 2006
Le procès d'un système
18 mai 2006, appel
Procès et similitudes
Arrêts reçus le 15 juillet
20 novembre 2006
Arrêt du 31 mai 2007
Au juge pour enfants
A propos de ce blog
Au Garde des Sceaux
Décisions disciplinaires
20 novembre 2005
Qu'est-ce que ça signifie ?
Expert psy absent...
Bientôt noel
Bilan, mi avril 2006
Le procès d'un système
18 mai 2006, appel
Procès et similitudes
Arrêts reçus le 15 juillet
20 novembre 2006
Arrêt du 31 mai 2007
Au juge pour enfants
A propos de ce blog
Protection de l'enfance
Pignoufs et pignoufferies
La justice de qualité
L'OSE France
Le code et le livre noir
27 mai 2006, manif
Manif(s) du 14 avril 2007
Envoyé spécial
Voleurs d'enfants
Le signalement
La justice de qualité
L'OSE France
Le code et le livre noir
27 mai 2006, manif
Manif(s) du 14 avril 2007
Envoyé spécial
Voleurs d'enfants
Le signalement
Affaires
Commission Outreau
Affaire Emily
Affaire Zakharova
Affaire Sébastien
Le cas Agret
Grève de Lulu
Philippe Fouquez
Le cas de Sophie
Autres affaires difficiles
Affaire Emily
Affaire Zakharova
Affaire Sébastien
Le cas Agret
Grève de Lulu
Philippe Fouquez
Le cas de Sophie
Autres affaires difficiles
Calendrier
« May 2024 » | ||||||
Sun | Mon | Tue | Wed | Thu | Fri | Sat |
1 | 2 | 3 | 4 | |||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 |
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 |
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 |
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 |
Articles récents
Serge Klarsfeld...
Les Français condamnent à...
Le SNES attaque le site...
Les CM2 seront...
Breteau mis en examen
Les Français condamnent à...
Le SNES attaque le site...
Les CM2 seront...
Breteau mis en examen
Sections
Manif(s) du 14 avril 2007
2007, juste le désordre
Le 3919
Actions et manifestations
L'adoption
Affaire d'Anger
Affaire Maddie
Le cas Agret
L'appel des 100
L'Arche de Zoé
Associations et liens
L'astrologie
Le cas Bamberski
En Belgique
Le cas Betancourt
Les bêtes
La justice à Bobigny
Le cas Boukovski
Boulettes
Quai Branly
Le cas Britney
La Caisse d'Epargne
Campagne 2007
Ca se discute
Le cas Enis
Clearstream
Commission Outreau
Les concubines
La corrida
Collusions et corruption
CPE
Les grands crus
Déviants et hérétiques
Discrimination et impostures
Société
Faits divers
Les docu-fictions
Douce France
Affaire EADS
Education nationale
Affaire Emily
Pour un enfant
Envoyé spécial
Le traité d'extradition
Fête des Loges
Le foot
Fusillade à Malakof
Gay prides
Le génocide
Affaire Gettliffe
Guy Drut
Un peu d'histoire
Les huîtres d'Arcachon
L'improbable
L'industrie
Les infirmières bulgares
L'inquisition
Insolite
Arrêts reçus le 15 juillet
Le JPE de Metz
Mais qui est Julie ?
La justice de Bourges
La justice de qualité
La descente de Laffrey
Dérives
Textes et Morale
Le cas des sourds
Le débat
Le Tour
La liste électorale
Le code et le livre noir
Livres, bibliographie
Grève de Lulu
Le mensonge
L'ordre moral
Actualités personnelles
L'OSE France
Outreau
Outreau saison 2
Outreau saison 3
La liste du père Noël
Personnes agées
Pierrot le fou
La place de l'enfant
La plume des psys
Proche orient
La protection de l'enfance
Centres de rétention
La rue
Rumeur et crédibilité
Le scooter de Jean
Affaire Sébastien
Au mémorial de la shoah
Le signalement
Affaires difficiles
Evolutions du site
L'affaire du SMS
Société Générale
Suicides
Tintin au Congo
Tolérance zéro
Troubles urbains
UNICEF
Deux vitesses
Affaire Zakharova
Zéro de conduite
2007, juste le désordre
Le 3919
Actions et manifestations
L'adoption
Affaire d'Anger
Affaire Maddie
Le cas Agret
L'appel des 100
L'Arche de Zoé
Associations et liens
L'astrologie
Le cas Bamberski
En Belgique
Le cas Betancourt
Les bêtes
La justice à Bobigny
Le cas Boukovski
Boulettes
Quai Branly
Le cas Britney
La Caisse d'Epargne
Campagne 2007
Ca se discute
Le cas Enis
Clearstream
Commission Outreau
Les concubines
La corrida
Collusions et corruption
CPE
Les grands crus
Déviants et hérétiques
Discrimination et impostures
Société
Faits divers
Les docu-fictions
Douce France
Affaire EADS
Education nationale
Affaire Emily
Pour un enfant
Envoyé spécial
Le traité d'extradition
Fête des Loges
Le foot
Fusillade à Malakof
Gay prides
Le génocide
Affaire Gettliffe
Guy Drut
Un peu d'histoire
Les huîtres d'Arcachon
L'improbable
L'industrie
Les infirmières bulgares
L'inquisition
Insolite
Arrêts reçus le 15 juillet
Le JPE de Metz
Mais qui est Julie ?
La justice de Bourges
La justice de qualité
La descente de Laffrey
Dérives
Textes et Morale
Le cas des sourds
Le débat
Le Tour
La liste électorale
Le code et le livre noir
Livres, bibliographie
Grève de Lulu
Le mensonge
L'ordre moral
Actualités personnelles
L'OSE France
Outreau
Outreau saison 2
Outreau saison 3
La liste du père Noël
Personnes agées
Pierrot le fou
La place de l'enfant
La plume des psys
Proche orient
La protection de l'enfance
Centres de rétention
La rue
Rumeur et crédibilité
Le scooter de Jean
Affaire Sébastien
Au mémorial de la shoah
Le signalement
Affaires difficiles
Evolutions du site
L'affaire du SMS
Société Générale
Suicides
Tintin au Congo
Tolérance zéro
Troubles urbains
UNICEF
Deux vitesses
Affaire Zakharova
Zéro de conduite
Powered by bBlog
• page 2, « DIT que cette mesure d'assistance éducative en milieu ouvert aura notamment pour objet de permettre à la mineure Justine KANT d'entamer une réflexion personnelle sur l'histoire du lien qui l'unit à son père Bruno KANT, les dysfonctionnements de ce lien, les perspectives de restauration de ce lien, et, enfin, les modalités éventuelles de reprise d'un tel lien, si une telle reprise est possible sans péril pour le psychisme de la mineure et compte tenu des contours de la personnalité de M. KANT ; »
• page 4, « Comme l'avait prévu le Juge des Enfants dans sa décision de novembre 2005, celui-ci devait réexaminer la situation de Justine, ce qu'il faisait à la lumière des conclusions de l'expertise médico-psychologique qu'il avait ordonnée et selon lesquelles Bruno KANT présentait une personnalité de type paranoïaque où l'orgueil, la surestimation de soi, les aspects narcissiques, la méfiance, la psychorigidité et finalement le sentiment d'injustice profonde, sincère, domine le tableau, ce qui pouvait mettre en danger l'équilibre des relations père/fille, voire l'équilibre psychologique de sa fille. »
• page 5, « ... L'affaire était, après plaidoiries, renvoyée en continuation au 3 mai. A cette date, la composition de la cour n'étant pas la même, les débats étaient entièrement repris. »
• page 5, « (...) Questionnée sur son placement au château de Vaucelles, elle - Justine - dit ne pas s'y être sentie bien. »