August 18, 2007
Italie : l'AIDAA appelle à une journée de mobilisation en faveur des chats noirs
Le matin(.ch), L'UDC "fusille" la gauche et les étrangers
ROME (AFP) - Plus de 60.000 chats noirs disparaissent chaque année en Italie, victimes de la superstition qui leur attribue des pouvoirs maléfiques, a affirmé samedi une association italienne de défense des animaux.
"Des cas de chats noirs tués par des personnes bêtement superstitieuses, ou durant des rites ésotériques, voire sataniques, nous ont été signalés", écrit l'association italienne de défense des animaux et du territoire (Aidaa) dans un communiqué.
Le "pic" des disparitions de chats noirs a lieu pendant la nuit d'Halloween, affirme l'association, qui souhaite redonner leur "dignité" aux chats noirs.
"Depuis de trop longs siècles, les chats noirs sont maltraités et perçus comme des animaux qui portent malheur, incarnent le mal ou qui sont liés aux sorcières", regrette l'association, qui appelle à une journée nationale de mobilisation en faveur des chats noirs dans la péninsule, le 17 novembre.
Une date choisie en référence à la fête d'Halloween qui a lieu en novembre et qui entend conjurer le chiffre 17, censé porter malheur dans la culture italienne.
Sur un total de 60.000 chats, 1.500 disparaissent à Milan, Rome et Turin, d'après Aidaa.
On compte près de 9 millions de chats en Italie, dont plus d'un million vivent dans la rue, selon des chiffres cités par le ministère de la Santé.
PARIS (Reuters) - Deux riches familles ont payé la location d'une luxueuse propriété à Wolfeboro, dans l'état américain du New Hampshire, où Nicolas Sarkozy, sa femme, leurs enfants et des amis ont passé leurs vacances. C'est le président français lui-même qui a appelé le quotidien Le Monde vendredi pour confirmer cette information, sur laquelle le journal enquêtait. "Il a expliqué que la villa où il a séjourné 'a été louée par nos amis, les Cromback et les Agostinelli qui nous ont invités à y séjourner avec nos enfants'", précise le quotidien. Les locations dans cette cité huppée s'élèvent habituellement à plusieurs dizaines de milliers d'euros pour le temps passé par les Sarkozy, deux semaines. Le Monde avance le chiffre de 44.000 euros pour la facture de location de l'ancienne résidence de l'ex-président de Microsoft, Mike Appe. Le couple présidentiel devait rentrer ce samedi à Paris. A Toulon, François Hollande n'a pas souhaité s'en prendre au président à ce sujet. "Nicolas Sarkozy a le droit de prendre des vacances où il veut, avec qui il veut. Nous ne sommes pas là pour surveiller et ses destinations et ses dépenses", a-t-il dit aux journalistes. "La seule question, je dirai qu'elle est secondaire, c'est par qui il est invité et qui paie. Et là c'est à lui de faire un effort de transparence. Ce qui est le plus important, ce n'est pas de savoir combien coûtent les déplacements de Nicolas Sarkozy aux Etats-Unis mais combien va coûter la politique de Nicolas Sarkozy aux Français", a-t-il ajouté. Agnès Cromback est présidente du bijoutier Tiffany-France. Roberto Agostinelli est un ancien banquier d'affaires ayant travaillé un temps pour la banque Lazard, proche de l'ancien RPR. Mathilde Agostinelli, son épouse, est responsable de communication de Prada-France et aussi la belle-soeur de Pierre-Jérôme Hénin, porte-parole adjoint de l'Elysée, écrit Le Monde. ROBE PRADA Cécilia Sarkozy portait une robe Prada lors de la cérémonie d'investiture de son mari à l'Elysée, ce qui a été très commenté dans la presse 'people' et largement illustré. "Il n'y a pas de mystère, je n'ai rien à cacher. Mais je trouve infernal d'avoir eu sans cesse en face du ponton de la maison des bateaux couverts de photographes", a dit le président français au Monde, en réponse aux accusations selon lesquelles il souhaiterait garder le secret sur ses vacances. Un début de polémique s'est fait jour en France au début des vacances présidentielles. Le porte-parole de l'Elysée avait alors refusé de répondre au questions, estimant que la question relevait du domaine de la vie privée. La polémique a été brièvement relancée quand la presse a rapporté une altercation le 5 août entre Nicolas Sarkozy et des photographes sur le bateau de ces derniers. Le locataire de l'Elysée y est monté et a un temps retiré manu militari leurs appareils aux photographes en leur reprochant leurs entreprises. Les photos prises malgré tout durant le séjour des Sarkozy ont montré que Rachida Dati, ministre de la Justice et amie proche de Cécilia, était aussi invitée. Une partie de l'opposition socialiste estime que le chef de l'Etat français ne devrait pas se faire financer ses vacances par les représentants d'intérêts privés, qui pourraient à ses yeux y trouver un moyen d'améliorer leurs affaires. La polémique avait déjà commencé dès les jours ayant suivi l'élection victorieuse de mai, lorsque Nicolas Sarkozy et sa femme ont passé quelques jours sur le yacht du milliardaire français Vincent Bolloré, aux frais de ce dernier, qui avait payé tant le déplacement en avion privé que le séjour. Nicolas Sarkozy a expliqué en substance à l'époque que Vincent Bolloré n'avait pas d'affaires avec l'Etat français, ce qui a été ensuite contesté par plusieurs médias. La présidence de la République française dispose de plusieurs résidences entretenues et surveillées constamment sur fonds publics, notamment le fort de Brégançon, dans le Var. |
Posted 18 years, 1 month ago on August 18, 2007
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Re: Italie : l'AIDAA appelle à une journée de mobilisation en faveur des chats noirs
Reuters - Dimanche 19 août, 12h49
PARIS (Reuters) - Rentré de vacances dimanche, Nicolas Sarkozy, fort d'une popularité élevée, repart à l'action lundi sur fond de crise financière après 100 jours de mandat marqués par plusieurs lois populaires et des polémiques naissantes sur son omnipotence, des contrats avec la Libye et sa politique économique.
Après des congés de luxe aux Etats-Unis financés, selon le chef de l'Etat lui-même, par deux riches familles amies, et avant le premier conseil des ministres de vendredi, le président tiendra plusieurs réunions lundi à l'Elysée avec le Premier ministre François Fillon et ses principaux ministres.
Seront abordés les sujets des criminels dangereux, de l'immigration et la situation économique. Les conséquences de l'ouragan Dean aux Antilles devraient aussi être examinées.
Le nouveau président bénéficie d'un état de grâce dans l'opinion, selon les derniers sondages publiés en juillet, qui le créditent de 66% ou 67% de popularité. Ses premières mesures sont approuvées par une majorité encore plus importante, ainsi que l'ouverture à gauche de son gouvernement, plébiscitée par plus de 80% des Français.
Premier haut dirigeant socialiste à faire sa rentrée, le premier secrétaire du PS François Hollande a pourtant estimé à Toulon samedi que les 100 jours "conjuguaient une rupture en termes de style et une facture qui va être payée par tous".
Les fortes turbulences provoquées sur les marchés financiers mondiaux par la crise des emprunts immobiliers américains ont amené le président français à afficher sa "confiance", tout en suggérant une régulation du système.
"Je suis pour la moralisation du capitalisme financier et la moralisation passe par de la régulation, des règles prudentielles, et de la transparence", a-t-il dit.
Les perspectives d'action restent cependant floues, d'autant que la chancelière allemande Angela Merkel, sollicitée par courrier la semaine dernière par Nicolas Sarkozy, lui a répondu sèchement qu'elle avait déjà fait des propositions d'action en ce sens au sommet du "G8" en juin, sans succès.
CROISSANCE RALENTIE
Si la crise financière venait à ralentir la croissance, que le gouvernement croit toujours officiellement pouvoir porter à 2,25% en 2007 et 2,5% en 2008, c'est tout l'échafaudage de la politique économique de Nicolas Sarkozy qui serait ébranlé.
Les allègements fiscaux adoptés durant l'été coûteront au budget de l'Etat près de 14 milliards d'euros en 2008 selon le gouvernement - davantage selon l'opposition - et inquiètent les partenaires de la France dans la zone euro.
Le Conseil constitutionnel a allégé jeudi ce "paquet fiscal" en censurant une mesure chère au président, le remboursement partiel des intérêts des emprunts immobiliers contractés avant la présidentielle. François Fillon devrait expliquer lundi la mesure compensatoire qu'il a promise.
Le PS pense que l'objectif de retour à l'équilibre des comptes publics en 2012, déjà critiqué en Europe, ne pourra pas être tenu et prédit une hausse des impôts et de la TVA.
Autre souci, les syndicats menacent l'Elysée d'une rentrée "chaude", avec d'éventuelles perturbations sur l'organisation de la Coupe du monde rugby en septembre, si le gouvernement maintient l'application du texte encadrant la grève dans les transports publics, validé par le Conseil constitutionnel jeudi.
Sur l'un de ses thèmes favoris, l'initiative de Nicolas Sarkozy d'examiner de nouvelles mesures après l'arrestation à Roubaix d'un récidiviste qui venait de violer un enfant est critiquée par le principal syndicat de magistrats.
Rappelant que qu'un texte sur le même sujet vient d'être promulgué au début de ce mois, après 10 autres lois en 2002-2007, l'Union syndicale de la magistrature ironise sur la "danse de Saint-Guy législative" et demande des moyens.
Le président sera aussi en question sur un autre front, celui de la commission d'enquête parlementaire sur la libération en juillet des infirmières bulgares détenues en Libye.
L'opposition socialiste, qui devrait présider cette commission, souhaite faire la lumière sur le lien éventuel entre l'intervention du couple présidentiel dans cette libération, les ventes de missiles français et les contrats sur le nucléaire civil consentis au régime du colonel Kadhafi. L'audition de Cécilia Sarkozy est envisagée.
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PARIS (Reuters) - Rentré de vacances dimanche, Nicolas Sarkozy, fort d'une popularité élevée, repart à l'action lundi sur fond de crise financière après 100 jours de mandat marqués par plusieurs lois populaires et des polémiques naissantes sur son omnipotence, des contrats avec la Libye et sa politique économique.
Après des congés de luxe aux Etats-Unis financés, selon le chef de l'Etat lui-même, par deux riches familles amies, et avant le premier conseil des ministres de vendredi, le président tiendra plusieurs réunions lundi à l'Elysée avec le Premier ministre François Fillon et ses principaux ministres.
Seront abordés les sujets des criminels dangereux, de l'immigration et la situation économique. Les conséquences de l'ouragan Dean aux Antilles devraient aussi être examinées.
Le nouveau président bénéficie d'un état de grâce dans l'opinion, selon les derniers sondages publiés en juillet, qui le créditent de 66% ou 67% de popularité. Ses premières mesures sont approuvées par une majorité encore plus importante, ainsi que l'ouverture à gauche de son gouvernement, plébiscitée par plus de 80% des Français.
Premier haut dirigeant socialiste à faire sa rentrée, le premier secrétaire du PS François Hollande a pourtant estimé à Toulon samedi que les 100 jours "conjuguaient une rupture en termes de style et une facture qui va être payée par tous".
Les fortes turbulences provoquées sur les marchés financiers mondiaux par la crise des emprunts immobiliers américains ont amené le président français à afficher sa "confiance", tout en suggérant une régulation du système.
"Je suis pour la moralisation du capitalisme financier et la moralisation passe par de la régulation, des règles prudentielles, et de la transparence", a-t-il dit.
Les perspectives d'action restent cependant floues, d'autant que la chancelière allemande Angela Merkel, sollicitée par courrier la semaine dernière par Nicolas Sarkozy, lui a répondu sèchement qu'elle avait déjà fait des propositions d'action en ce sens au sommet du "G8" en juin, sans succès.
CROISSANCE RALENTIE
Si la crise financière venait à ralentir la croissance, que le gouvernement croit toujours officiellement pouvoir porter à 2,25% en 2007 et 2,5% en 2008, c'est tout l'échafaudage de la politique économique de Nicolas Sarkozy qui serait ébranlé.
Les allègements fiscaux adoptés durant l'été coûteront au budget de l'Etat près de 14 milliards d'euros en 2008 selon le gouvernement - davantage selon l'opposition - et inquiètent les partenaires de la France dans la zone euro.
Le Conseil constitutionnel a allégé jeudi ce "paquet fiscal" en censurant une mesure chère au président, le remboursement partiel des intérêts des emprunts immobiliers contractés avant la présidentielle. François Fillon devrait expliquer lundi la mesure compensatoire qu'il a promise.
Le PS pense que l'objectif de retour à l'équilibre des comptes publics en 2012, déjà critiqué en Europe, ne pourra pas être tenu et prédit une hausse des impôts et de la TVA.
Autre souci, les syndicats menacent l'Elysée d'une rentrée "chaude", avec d'éventuelles perturbations sur l'organisation de la Coupe du monde rugby en septembre, si le gouvernement maintient l'application du texte encadrant la grève dans les transports publics, validé par le Conseil constitutionnel jeudi.
Sur l'un de ses thèmes favoris, l'initiative de Nicolas Sarkozy d'examiner de nouvelles mesures après l'arrestation à Roubaix d'un récidiviste qui venait de violer un enfant est critiquée par le principal syndicat de magistrats.
Rappelant que qu'un texte sur le même sujet vient d'être promulgué au début de ce mois, après 10 autres lois en 2002-2007, l'Union syndicale de la magistrature ironise sur la "danse de Saint-Guy législative" et demande des moyens.
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LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 18.08.07
TOULON (Reuters) - François Hollande a estimé samedi que les cent premiers jours de Nicolas Sarkozy au pouvoir se soldaient par une facture lourde pour les Français et non par une rupture, maître mot du chef de l'Etat. (...) "Moi ce que je veux, ce n'est pas d'aller chercher Nicolas Sarkozy sur son lieu de vacances mais sur ses lieux de travail et sur ses résultats", a-t-il expliqué.
TOULON (AFP) - "Le défaut de transparence est ce qui caractérise le plus les 100 jours de Nicolas Sarkozy" engagé dans une "présidence de rupture", a jugé le premier secrétaire du Parti socialiste, François Hollande, samedi à Toulon.
"On ne nous dit pas exactement ce qu'ont été les contreparties de la libération des infirmières bulgares; on ne nous dit pas ce qu'a été le choix économique du gouvernement; on ne nous dit pas ce qu'est la situation de l'endettement du pays", a expliqué M. Hollande, lors d'une conférence de presse de rentrée.
Pour le chef du PS, "ce défaut de transparence annonce, avec la politique qui a été mise en place sur le plan économique et fiscal, une facture qui va être présentée aux Français, peut-être dès la rentrée".
Cette facture se présente, selon M. Hollande, sous la forme des franchises médicales, de "la TVA dite sociale, en fait anti-sociale" et de "la contribution qui va être imposée sur tous les Français, compte tenu du déficit de la sécurité sociale, la CRDS".
Pour M. Hollande, les 100 premiers jours de Nicolas Sarkozy à la tête de l'Etat marquent "une présidence de rupture. Dans le langage d'abord, c'est lui qui parle et présider pour lui c'est parler. Rupture dans la pratique institutionnelle: il n'y a plus de Premier ministre, plus de gouvernement, c'est lui qui décide".
"Et aussi une rupture dans le style, il essaie toujours d'être dans le fracas, dans l'annonce, dans l'incantation", a-t-il encore estimé.