October 9, 2007

L'OSE France ne respectait pas le droit de garde


« Il faut toute fois noter que toutes les situations de séparation ne sont pas équivalentes et que certaines sont plus "agitatrices" que d'autres [...]. » • Richard Josefsberg, Internat et Séparations

Actuellement, lorsqu'un collègue prend une décision, au lieu de le contrôler, les autres magistrats sont solidaires. Une chaîne de solidarité se met en place et le contrôle n'existe plus. • Libé, décembre 2005, Serge Portelli, vice-président du tribunal de grande instance de Paris

Censée agir « dans l’intérêt des enfants », l’action éducative judiciaire peut parfois contribuer à aggraver leurs difficultés. Notamment parce que les acteurs institutionnels restent aveugles aux conséquences de leur action sur la dynamique des liens familiaux. (...) Et si le juge, lors des audiences, donne la parole aux enfants, il est fort rare que celle-ci soit prise en considération lorsqu’elle s’oppose aux avis des enquêteurs sociaux et responsables de l’Aide sociale à l’enfance (ASE). • Michel Giraud, Le placement d’enfants, un remède pire que le mal ?, Sciences Humaines N°181, avril 2007, voir au 28 mai 2007

Selon un article de Maxi de cette semaine, Les enfants seraient les premières victimes lorsque le droit de garde n'est pas respecté, c'est ce que confirment les éléments de mon propre dossier.

L'OSE France ne respectait pas le droit de garde ou de visite et cela contribuait à la manipulation de mon aînée Justine eu égard aux discours qui lui ont été servis : « C'est à cause de ton père que tu ne vois pas ta grand mère »... Ben voyons ! Alors que Justine était placée à Taverny, les travailleurs sociaux de l'OSE France nuisaient à toutes ses relations avec autrui tout en m'accusant moi, son père, d'être le responsable des difficultés auxquelles elle était confrontée.

Les travailleurs sociaux de l'OSE France ont encore eu le culot d'affirmer qu'ils ont du effectuer un travail de « médiatisation » afin de maintenir au mieux une relation père-enfant, cela relevait également du mensonge. Je suppose que le juge pour enfant de Nanterre avait besoin de tels arguments pour que la rupture de la relation père-enfant paraisse légitime et légale.

Les juges de Nanterre et de la cour d'appel de Versailles s'en sont stupidement tenus aux allégations et délires interpretatifs des travailleurs sociaux de l'OSE France et de la famille maternelle de Justine. Stupidement, en effet, car ces juges ne se sont jamais penchés sur les éléments matériels qui montrent que les travailleurs sociaux de l'OSE France ont régulièrement fait et raconté ou rapporté n'importe quoi, notament en matière d'exercice des droits de garde ou de visite.

Dans ce contexte de chienlit du fait des agissements des travailleurs sociaux et de l'indifférence ou du parti pris des juges, j'ai par deux reprises fait inscrire Justine au fichier des mineurs disparus, ce qui n'est pas anodin, mais cela a été balayé du dossier d'assistance prétendue éducative de Justine.

Voir également un ancien article, « Qu'est-ce que ça signifie ? », ou encore « Le but : provoquer un boulversement décisif ».



Débat dans Maxi n° 1093 du 8 octobre
p. 22-24, en kiosque

Les enfants sont les premières victimes du divorce
Améliorons nos relations avec nos ex


De l'encart de la page 23, « Pourquoi certaines femmes agissent ainsi ? »

Beaucoup de femmes médisent sur le père de leurs enfants, ne respectent pas le droit de garde, voire empèchent les pères et des enfants de se voir pour faire payer un mari qui s'est montré infidèle, ou agressif, par exemple. Elles se vengent.

D'autres ne supportent pas la rupture et, à défaut de récupérer leur conjoint, elles maintiennent le lien avec lui en rendant la vie impossible, à travers les problèmes liés aux enfants.

Certaines femmes sont manipulatrices. Elles cherchent à faire souffrir l'autre pour le dominer, le détruire.

...




Maxi n° 1093, p. 22-23




Maxi n° 1093, p. 24


Rachida Dati impose la vision pénale de Nicolas Sarkozy
LE MONDE | 09.10.07 | Extrait

Pendant que l'attention est retenue par sa "peopolisation" et la grogne des magistrats, la ministre de la justice Rachida Dati met en œuvre la politique voulue par Nicolas Sarkozy en matière de justice.


Actualité | France
Une mère défenestre sa fille du 7ème étage
Le Figaro, le 9 octobre, extraits

La fillette, originaire du Haut-Rhin, n’a pas survécu à sa chute. Le père a sauvé de justesse son autre fille de huit ans qui allait subir le même sort.

Placée en garde à vue, elle a expliqué son geste par la peur que son mari la quitte en emmenant leurs trois enfants au Maroc. Le couple était en instance de séparation.


Les futurs magistrats interpellent Rachida Dati • Les élèves de l'Ecole nationale de la magistrature regrettent que la Garde des Sceaux ait annulé un débat avec eux. Ils expriment leurs «inquiétudes» dans une lettre ouverte.
Libé, le 8 octobre 2007

Télécharger la lettre ouverte au format PDF, un texte adopté par les assemblées générales des auditeurs de justice des promotions Bernard BORREL (2006) et Eva JOLY (2007) tenues les 02 et 04 octobre 2007, à la majorité des voix exprimées.


- Les enfants sont les premières victimes -


Posted 17 years, 11 months ago on October 9, 2007
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