October 12, 2007

Des nonnes polonaises frondeuses expulsées de leur couvent

KAZIMIERZ DOLNY, Pologne (Reuters) - La police polonaise a procédé à l'expulsion de 64 religieuses d'un couvent de l'est du pays qu'elles occupaient depuis plus de deux ans au mépris d'une décision du Vatican.

Le mouvement de rébellion de ces religieuses de l'Ordre des Soeurs de Béthanie a débuté lorsque le Saint-Siège a décidé de remplacer leur mère supérieure, qui disait avoir des visions et être en contact direct avec Dieu.

Les nonnes, qui s'opposaient à cette décision ainsi qu'à un ordre d'expulsion, se sont vu couper l'eau et l'électricité en avril dernier, mais les habitants du voisinage les ont aidées en leur apportant des provisions.

Mercredi, peu avant l'arrivée de la police, les soeurs dominicaines ont barricadé la porte de leur couvent, obligeant les forces de l'ordre à escalader la clôture qui l'entoure.

L'archevêque de Varsovie, Kazimierz Nycz, a indiqué que les soeurs pourraient être réintégrées dans la communauté catholique si elles se repentaient et respectaient les règles.

Un policier piège des parents d'élève en se faisant passer pour le CPE du collège • Des parents se sont rendus au collège de leur enfant sur convocation, croyaient-ils, du Conseiller principal d'éducation (CPE). Ils en sont repartis les menottes aux poignets.
LIBERATION.FR : jeudi 11 octobre 2007

... Le couple repart, quand des policiers en civil sortent d'une voiture et leur passent les menottes, direction le commissariat. Interpellé par l'un des CPE qui tente de s'interposer, l'un des policiers lui explique qu'il s'est effectivement fait passer pour le collège pour piéger les parents.

... Selon le rectorat, la famille, de nationalité française, a été remise en liberté. A la préfecture de police de Paris, on indique qu'une enquête est en cours pour déterminer s'il y a eu faute professionnelle de la part des agents, des enquêteurs de la police judiciaire qui « soupçonnent la mère de trafic d'héroïne ».


MARSEILLE (AP) - La famille d'un des mineurs condamnés le 28 septembre dernier à 8 ans de réclusion dans l'affaire du bus incendié à Marseille a été menacée de mort, a-t-on appris vendredi auprès de l'avocate de la famille, Me Anne Carrel.

Un groupe de jeunes armés de bâtons, de couteaux et de tessons de bouteilles a retrouvé le 7 octobre la trace de la soeur du jeune Béchir, 16 ans, dans le quartier marseillais de la gare Saint-Charles, alors qu'elle avait déménagé de la cité où elle résidait à Saint-Jérôme.

Le groupe l'a alors menacée: "On va te tuer. Tu es la soeur de Béchir-la-Balance", confirme une autre source judiciaire. La jeune femme, âgée d'une vingtaine d'années, n'a dû son salut qu'à la présence fortuite d'une mère de famille avec son bébé, affirme de son côté "La Provence" dans son édition de vendredi.

La famille a déposé plainte. Une enquête a été ouverte pour "menaces en réunion et avec armes" et confiée à la Brigade criminelle de la police judiciaire. La jeune femme a déjà été entendue à plusieurs reprises.

Le jeune Béchir est le seul mineur ayant décrit le rôle de chacun pendant l'instruction, tandis que ses complices présumés avaient privilégié la loi du silence, refusant de passer pour des "balances".


- Les soeurs pourraient être réintégrées -


Posted 1 week, 2 days ago on October 12, 2007
The trackback url for this post is http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/1739/

Add Comment

( to reply to a comment, click the reply link next to the comment )

 
Comment Title
 
Your Name:
 
Email Address:
Make Public?
 
Website:
Make Public?
 
Comment:

Allowed XHTML tags : a, b, i, strong, code, acrynom, blockquote, abbr. Linebreaks will be converted automatically.

 
Captcha:
captcha image

Please type the content of the above image into the following form-field.