October 15, 2007
Bertrand Wattez, bâtonnier d’Hazebrouck : « En clair, on va foutre le bordel. Après, on verra bien. »
Rassemblement ce 28 octobre sur le parvis de l'Hôtel de ville, à Paris, à l'initiative de Nadine Trintignant. J'y serais pour réclamer un juge impartial, un greffier à l'audience, un débat contradictoire, des enquêteurs et travailleurs sociaux neutres, etc, etc, ce que prévoit la loi.Le Monde avec AFP 15.10.07 | 14h29 | extraits
Un centre d'hébergement pour femmes battues a été officiellement inauguré lundi dans le XVe arrondissement à Paris, en présence de Nadine Trintignant, mère de Marie Trintignant, morte sous les coups de Bertrand Cantat, le jour même de l'annonce de la libération conditionnelle du chanteur.
"Je suis ici pour les femmes battues uniquement. (...). Par la loi un homme qui tue sa compagne ou sa femme pourrait être condamné à 20 ans, 25 ans, perpétuité. Or ça ne dépasse jamais les 8 ans et ils n'en font que quatre", a déclaré Nadine Trintignant à l'AFP, lors de l'inauguration du centre Suzanne Kepès par le maire PS de Paris Bertrand Delanoë et le président PS de la région Ile-de-France Jean-Paul Huchon.
Pour elle, "l'essentiel, c'est l'application des lois. Si les hommes qui battent les femmes savaient qu'ils risquaient 20 à 30 ans de prison non compressibles, il y aurait moins de victimes, moins d'orphelins et moins de meurtriers".
... Mme Trintignant a annoncé un rassemblement le 28 octobre sur le parvis de l'Hôtel de ville où "viendront parler Simone Veil, Maria de Medeiros, Thierry Lhermitte, Lio" pour "faire appliquer les peines qui existent".
Bertrand Cantat, le chanteur du groupe Noir Désir, obtient la liberté conditionnelle LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 15.10.07 | Extraits Cette mesure de libération est conforme au régime français de l'exécution des peines, qui prévoit une possibilité de libération anticipée si le détenu montre un comportement positif en détention, s'il présente des garanties de réinsertion à l'extérieur et a indemnisé complètement ses victimes. (...) Bertrand Cantat remplissant tous ces critères, ni le parquet, ni les psychologues, ni l'administration pénitentiaire ne se sont opposés à sa libération lors de l'audience qui s'est tenue à huis clos le 20 septembre devant un juge d'application des peines. Seule Nadine Trintignant, mère de la victime, qui ne pouvait légalement être représentée à cette audience, a tenté en vain de s'opposer à la sortie de celui qui a provoqué la mort de sa fille, en écrivant notamment au président Nicolas Sarkozy. Elle estimait qu'une libération qu'elle juge prématurée donnerait "un signal négatif" en matière de violences faites aux femmes. |
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Re: Bertrand Wattez, bâtonnier d’Hazebrouck : « En clair, on va foutre le bordel. Après, on verra bien. »
Le Temps I Nouvelles internationales I Article
Bertrand Cantat est sorti de prison
Quatre ans après avoir tué sa compagne, l'actrice Marie Trintignant, le rocker français Bertrand Cantat est sorti de prison mardi peu après minuit, grâce à une mesure de libération conditionnelle qui risque de rallumer les passions autour d'un drame qui avait stupéfié la France.
Mardi 16 octobre 2007 14:13
AFP
Le chanteur français Bertrand Cantat, qui purgeait une peine de 8 ans de prison pour avoir tué sa compagne, l'actrice Marie Trintignant, a regagné dans la nuit de lundi à mardi sa maison dans le sud-ouest, après avoir bénéficié d'une mesure de libération conditionnelle. Et déjà ses proches ont demandé aux médias, qui avaient très largement couvert le drame en 2003, de respecter la "tranquillité" d'un homme qui "a besoin de se reconstruire".
Trouble à l'ordre public
Le chanteur de Noir Désir, groupe phare du paysage musical français des années 90, a quitté peu après minuit le centre de détention du Muret, où il purgeait sa peine depuis septembre 2004. Il en est sorti à bord d'une voiture toutes vitres fermées, conduite par le batteur du groupe, Denis Barthe, et est arrivé à 3h du matin dans sa maison de Moustey dans les Landes. Les gendarmes s'y trouvaient pour "vérifier" qu'il n'y avait pas de "trouble à l'ordre public".
A son arrivée à Moustey, "la voiture du chanteur était suivie par deux véhicules de journalistes, qui ont été contrôlés par les gendarmes. Il n'y a pas eu de souci particulier", a précisé un responsable de la gendarmerie. La maison du chanteur avait été ravagée par un incendie en septembre 2003, soit moins de deux mois après la mort de Marie Trintignant. La piste criminelle avait alors été privilégiée.
Lors d'autorisations de sortie provisoires, Bertrand Cantat, 43 ans, était régulièrement venu dans cette demeure qu'il avait achetée avec son épouse, Kristina Rady, la mère de ses deux enfants. La maison est isolée du bourg, au bout d'un petit chemin de terre dans une pinède. Une voiture de gardiennage privé barre l'entrée.
Intimité utile
Une intimité qui devrait être utile au chanteur, dont l'avocat, Me Olivier Metzner, estimait lundi qu'il allait désormais "devoir faire face à un harcèlement d'une certaine presse qui va rendre sa vie quasiment impossible, en tout cas au début".
Mardi à la mi-journée, Denis Barthe s'est rendu à la rencontre des journalistes qui attendaient à proximité de la maison de Bertrand Cantat. "Bertrand a été libéré hier soir. Il aspire à un minimum de tranquilité, voire à un maximum parce qu'il a besoin de se reconstruire", leur a-t-il dit, avant d'ajouter: "Il faudra le laisser vivre".
Bertrand Cantat avait été condamné en mars 2004 par la justice de Lituanie à huit ans de prison pour avoir mortellement frappé Marie Trintignant, dans la nuit du 26 au 27 juillet 2003, au cours d'une violente dispute dans un hôtel de Vilnius.
Centre d'hébergement pour femmes battues
Plongée dans le coma, Marie Trintignant, mère de quatre enfants, et fille de l'acteur Jean-Louis Trintignant, devait décéder quelques jours plus tard d'un oedème cérébral. Le couple, qui vivait une passion exclusive depuis un an, séjournait depuis deux mois dans la capitale lituanienne, où Marie Trintignant participait au tournage d'un film sur Colette, sous la direction de sa mère, la réalisatrice Nadine Trintignant.
Quelques heures après l'annonce lundi de la libération conditionnelle de Bertrand Cantat, cette dernière inaugurait un centre d'hébergement pour femmes battues à Paris. "Par la loi, un homme qui tue sa compagne ou sa femme pourrait être condamné à 20 ans, 25 ans, perpétuité. Or ça ne dépasse jamais les huit ans, et ils n'en font que quatre", a-t-elle déclaré.
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Bertrand Cantat est sorti de prison
Quatre ans après avoir tué sa compagne, l'actrice Marie Trintignant, le rocker français Bertrand Cantat est sorti de prison mardi peu après minuit, grâce à une mesure de libération conditionnelle qui risque de rallumer les passions autour d'un drame qui avait stupéfié la France.
Mardi 16 octobre 2007 14:13
AFP
Le chanteur français Bertrand Cantat, qui purgeait une peine de 8 ans de prison pour avoir tué sa compagne, l'actrice Marie Trintignant, a regagné dans la nuit de lundi à mardi sa maison dans le sud-ouest, après avoir bénéficié d'une mesure de libération conditionnelle. Et déjà ses proches ont demandé aux médias, qui avaient très largement couvert le drame en 2003, de respecter la "tranquillité" d'un homme qui "a besoin de se reconstruire".
Trouble à l'ordre public
Le chanteur de Noir Désir, groupe phare du paysage musical français des années 90, a quitté peu après minuit le centre de détention du Muret, où il purgeait sa peine depuis septembre 2004. Il en est sorti à bord d'une voiture toutes vitres fermées, conduite par le batteur du groupe, Denis Barthe, et est arrivé à 3h du matin dans sa maison de Moustey dans les Landes. Les gendarmes s'y trouvaient pour "vérifier" qu'il n'y avait pas de "trouble à l'ordre public".
A son arrivée à Moustey, "la voiture du chanteur était suivie par deux véhicules de journalistes, qui ont été contrôlés par les gendarmes. Il n'y a pas eu de souci particulier", a précisé un responsable de la gendarmerie. La maison du chanteur avait été ravagée par un incendie en septembre 2003, soit moins de deux mois après la mort de Marie Trintignant. La piste criminelle avait alors été privilégiée.
Lors d'autorisations de sortie provisoires, Bertrand Cantat, 43 ans, était régulièrement venu dans cette demeure qu'il avait achetée avec son épouse, Kristina Rady, la mère de ses deux enfants. La maison est isolée du bourg, au bout d'un petit chemin de terre dans une pinède. Une voiture de gardiennage privé barre l'entrée.
Intimité utile
Une intimité qui devrait être utile au chanteur, dont l'avocat, Me Olivier Metzner, estimait lundi qu'il allait désormais "devoir faire face à un harcèlement d'une certaine presse qui va rendre sa vie quasiment impossible, en tout cas au début".
Mardi à la mi-journée, Denis Barthe s'est rendu à la rencontre des journalistes qui attendaient à proximité de la maison de Bertrand Cantat. "Bertrand a été libéré hier soir. Il aspire à un minimum de tranquilité, voire à un maximum parce qu'il a besoin de se reconstruire", leur a-t-il dit, avant d'ajouter: "Il faudra le laisser vivre".
Bertrand Cantat avait été condamné en mars 2004 par la justice de Lituanie à huit ans de prison pour avoir mortellement frappé Marie Trintignant, dans la nuit du 26 au 27 juillet 2003, au cours d'une violente dispute dans un hôtel de Vilnius.
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Plongée dans le coma, Marie Trintignant, mère de quatre enfants, et fille de l'acteur Jean-Louis Trintignant, devait décéder quelques jours plus tard d'un oedème cérébral. Le couple, qui vivait une passion exclusive depuis un an, séjournait depuis deux mois dans la capitale lituanienne, où Marie Trintignant participait au tournage d'un film sur Colette, sous la direction de sa mère, la réalisatrice Nadine Trintignant.
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Rien. En clair, on va foutre le bordel. Après, on verra bien. J’avais aussi proposé de séquestrer Rachida Dati, mais malheureusement tous les avocats qui auraient pu assurer sa garde à vue sont en grève. Peut-être la situation évoluera-t-elle dans les jours à venir…
20Minutes.fr, éditions du 15/10/2007
Interview de Bertrand Wattez, bâtonnier d’Hazebrouck, fortement opposé à la réforme de la carte judiciaire et à la fermeture de son tribunal.
Minute n°2007/964 du greffe du tribunal de grande instance de Toulouse, jugement concernant M. Cantat Bertrand, extraits
« Il souligne que sa demande - de libération conditionnelle - a comme principal objectif de s'occuper de ses enfants Alice et Milo, respectivement âgés de 4 et 10 ans, dont la résidence principale se trouve [...] à une soixantaine de kilomètres de son propre domicile... »
« A partir du mois de juin 2006, il a bénéficié sans incidents de plusieurs permissions de sortir, octroyées pour le maintien des liens avec ses enfants... »