December 22, 2007
Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
A la suite, un certain nombre de documents de référence mis en ligne sur sante.gouv.fr en juin 2007. Ces documents permettent de se détacher quelque peu des débats les plus en vogue, de niche ou de lobbyistes tel que ceux de la garde alternée, de la violence « conjugale », « domestique » ou « faite aux femmes », de la déjudiciarisation et autres « réformes » de la justice.En lisant ces documents, il faut garder à l'esprit qu'il y a parfois des non-dits, des tabous, un décalage entre les productions françaises, le terrain ou l'idée que l'on s'en fait, et les rapports rendus à ces mêmes sujets par des experts indépendants. D'où le rappel de deux articles récents du Monde et un extrait choisi dans « Institutions, organisations et violence » selon lequel le milieu carcéral, un espace privatif de liberté, serait fondé sur « l'usage légitime de la force », « dans le respect des droits de l’homme et de la personne ».
La violence concerne tous les âges de la vie - de la petite enfance à la vieillesse-, se présente sous de multiples formes - violence physique, agression sexuelle, violence institutionnelle, violence contre soi-même - et se situe dans la sphère privée aussi bien que publique. Bien qu’on ne dispose pas, en France, de sources d’informations permettant de quantifier globalement son impact en termes de santé publique, on sait que l’exposition à des phénomènes de violence modifie, même après des années, le cours de la vie et constitue un facteur de risque pour de nombreuses pathologies.
Le rapport de l’OMS intitulé « Rapport mondial sur la violence et la santé » paru en 2002, qualifie la violence de « défi planétaire » dont le coût serait considérable en termes de répercussion sur la santé des victimes et de fardeau pour les établissements de santé. Déclaration confirmée par le Haut comité de santé publique qui, en 2003, constate que « les fruits de la violence apparaissent principalement dans la sphère sanitaire ». Le ministère de la santé a donc jugé nécessaire d’analyser les phénomènes de violence en termes de santé publique et de mettre en œuvre des actions dans ce domaine. La loi n° 2004-806 du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique prévoit ainsi, parmi ses cinq plans stratégiques, un plan national de lutte pour limiter l’impact sur la santé de la violence.
Un comité d'orientation interministériel présidé par le Dr Anne Tursz (directrice de recherche à l'INSERM, pédiatre et épidémiologiste) a conduit les travaux préparatoires à l’élaboration de ce plan. Ce comité a réuni six commissions de travail thématiques:
- Enfants, adolescents et jeunes, présidée par le Dr François Baudier,
- Genre et violence présidée par le Dr Jacques Lebas,
- Institutions, organisations et violence présidée par le Dr Omar Brixi,
- Personnes âgées et personnes handicapées présidée par le Pr Marie-Eve Joël,
- Santé mentale présidée par Mme Anne Lovell,
- Violence, travail, emploi et santé présidée par le Pr Christophe Dejours.
Le rapport de synthèse des travaux sur "Violence et santé", remis au ministre de la Santé et des Solidarités le 18 octobre 2005, servira de base à l’élaboration du Plan violence et santé, qui trouvera une déclinaison dans les plans régionaux de santé publique.
Lire le rapport
Lire le rapport (version anglaise)
Consulter les annexes
Source : www.sante.gouv.fr
Le non-lieu dans l'affaire du double meurtre de Pau souligne les carences de la psychiatrie LE MONDE | 15.12.07 Le passage à l'acte de Romain Dupuy a eu lieu dans les murs de l'institution qui était censée le soigner. Hospitalisé à trois reprises à Pau, en 2003 et 2004, le jeune homme était livré à lui-même depuis plusieurs mois, sans aucun suivi ambulatoire. Il ne prenait plus ses médicaments et se repliait chez lui avec des sabres et des couteaux. Sa mère a expliqué avoir appelé au secours plusieurs fois les psychiatres, en vain. Invariablement, on lui opposait la même réponse sur le manque de place à l'hôpital et l'impossibilité de prendre son fils tant qu'il n'était pas en crise. MONTPELLIER (AP) - Un jeune couple de Belpech (Aude), dont les deux petites filles ont été placées dans deux familles d'accueil après une lettre de dénonciation accusant le père de pédophilie sur la plus jeune, a annoncé samedi son intention de porter plainte. Les enfants ont été rendus à leurs parents après qu'un examen médico-légal a établi que l'enfant n'avait pas subi de sévices. Pour en savoir plus Dossier "violences et santé : quelles actions éducatives ?" Au sommaire du n° 389 de la revue Santé de l'homme de l'Inpes |
Posted 17 years, 9 months ago on December 22, 2007
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
AP - il y a 1 heure 54 minutes
ROUEN - Un homme d'une trentaine d'années soupçonné d'avoir mortellement agressé son ex-compagne enceinte de quatre mois jeudi soir à Rouen (Seine-Maritime) doit être présenté ce samedi au parquet pour une probable mise en examen pour "viol" et "actes de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner", a-t-on appris de source policière.
L'homme, déjà connu des services de police pour violences conjugales, avait été condamné en 2005 à une peine de prison avec sursis assortie d'une mise à l'épreuve.
Jeudi soir, il se serait introduit dans l'appartement de son ex-compagne. Ce sont les voisins qui, ayant entendu la jeune femme appeler à l'aide, ont alerté la police. Les policiers ont interpellé l'auteur présumé des faits au moment où il tentait de s'échapper par la fenêtre, selon cette source policière.
La victime, une jeune femme de 24 ans, enceinte de quatre mois, a été retrouvée dans une mare de sang et a été transportée immédiatement au CHU de Rouen où elle est décédée peu après son admission des suites de ses blessures, selon cette même source. AP
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ROUEN - Un homme d'une trentaine d'années soupçonné d'avoir mortellement agressé son ex-compagne enceinte de quatre mois jeudi soir à Rouen (Seine-Maritime) doit être présenté ce samedi au parquet pour une probable mise en examen pour "viol" et "actes de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner", a-t-on appris de source policière.
L'homme, déjà connu des services de police pour violences conjugales, avait été condamné en 2005 à une peine de prison avec sursis assortie d'une mise à l'épreuve.
Jeudi soir, il se serait introduit dans l'appartement de son ex-compagne. Ce sont les voisins qui, ayant entendu la jeune femme appeler à l'aide, ont alerté la police. Les policiers ont interpellé l'auteur présumé des faits au moment où il tentait de s'échapper par la fenêtre, selon cette source policière.
La victime, une jeune femme de 24 ans, enceinte de quatre mois, a été retrouvée dans une mare de sang et a été transportée immédiatement au CHU de Rouen où elle est décédée peu après son admission des suites de ses blessures, selon cette même source. AP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
AP - Vendredi 21 décembre, 19h38
RENNES - Quatre jeunes gens, dont trois mineurs, ont été interpellés jeudi par la brigade criminelle de la police judiciaire de Rennes à Dinan, dans les Côtes d'Armor, a-t-on appris vendredi de source policière. L'un d'eux, âgé de 24 ans, serait passé aux aveux concernant le meurtre d'un étudiant rennais.
Déféré vendredi matin au parquet, il est connu des services de police pour avoir déjà commis des actes de violence, a-t-on précisé de même source. Il devrait être mis en examen pour vol avec violence et homicide volontaire. Les trois mineurs pourraient être poursuivis mais devraient être remis en liberté.
Le 9 décembre, le corps de Jérémy Quérou, un jeune étudiant de 21 ans, originaire de Saint-Brieuc, avait été découvert, dans un parc du quartier du Blosne à Rennes, par un médecin qui faisait du jogging.
L'enquête a pu aboutir grâce à différentes caméras de surveillance, notamment celles du métro, emprunté par l'agresseur présumé et sa victime peu avant le meurtre, a-t-on expliqué de même source.
"Les caméras filment en quasi continu, pendant l'exploitation du service transports", a indiqué Jacques Bothorel, responsable du service sécurité. "En cas de demande de la police, les cassettes sont mises à la disposition des enquêteurs."
Le soir des faits, Jérémy Quérou faisait la fête avec des copains dans le centre de Rennes, à l'occasion des Trans Musicales. Il aurait fait la connaissance d'un jeune homme et après une soirée bien arrosée, il aurait pris le métro avec lui. Le jeune homme rencontré serait devenu violent et aurait contraint l'étudiant à se rendre à un distributeur de billets, à dévoiler son code et retirer tout son argent.
La vidéo du guichet a enregistré la scène. L'agresseur aurait encore redoublé de violence, étranglant l'étudiant, le traînant dans un parc à proximité, le déshabillant et lui volant ses papiers. L'identification du corps a été possible grâce à des amis de l'étudiant.
Après son acte, le meurtrier présumé -qui a déclaré avoir consommé cette nuit-là beaucoup d'alcool- s'est mis au vert chez des amis à Dinan. Selon les premiers éléments de l'enquête, ces derniers ne semblent pas impliqués dans l'affaire. AP
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RENNES - Quatre jeunes gens, dont trois mineurs, ont été interpellés jeudi par la brigade criminelle de la police judiciaire de Rennes à Dinan, dans les Côtes d'Armor, a-t-on appris vendredi de source policière. L'un d'eux, âgé de 24 ans, serait passé aux aveux concernant le meurtre d'un étudiant rennais.
Déféré vendredi matin au parquet, il est connu des services de police pour avoir déjà commis des actes de violence, a-t-on précisé de même source. Il devrait être mis en examen pour vol avec violence et homicide volontaire. Les trois mineurs pourraient être poursuivis mais devraient être remis en liberté.
Le 9 décembre, le corps de Jérémy Quérou, un jeune étudiant de 21 ans, originaire de Saint-Brieuc, avait été découvert, dans un parc du quartier du Blosne à Rennes, par un médecin qui faisait du jogging.
L'enquête a pu aboutir grâce à différentes caméras de surveillance, notamment celles du métro, emprunté par l'agresseur présumé et sa victime peu avant le meurtre, a-t-on expliqué de même source.
"Les caméras filment en quasi continu, pendant l'exploitation du service transports", a indiqué Jacques Bothorel, responsable du service sécurité. "En cas de demande de la police, les cassettes sont mises à la disposition des enquêteurs."
Le soir des faits, Jérémy Quérou faisait la fête avec des copains dans le centre de Rennes, à l'occasion des Trans Musicales. Il aurait fait la connaissance d'un jeune homme et après une soirée bien arrosée, il aurait pris le métro avec lui. Le jeune homme rencontré serait devenu violent et aurait contraint l'étudiant à se rendre à un distributeur de billets, à dévoiler son code et retirer tout son argent.
La vidéo du guichet a enregistré la scène. L'agresseur aurait encore redoublé de violence, étranglant l'étudiant, le traînant dans un parc à proximité, le déshabillant et lui volant ses papiers. L'identification du corps a été possible grâce à des amis de l'étudiant.
Après son acte, le meurtrier présumé -qui a déclaré avoir consommé cette nuit-là beaucoup d'alcool- s'est mis au vert chez des amis à Dinan. Selon les premiers éléments de l'enquête, ces derniers ne semblent pas impliqués dans l'affaire. AP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
AP - Vendredi 21 décembre, 13h13
PARIS - Le général Guy Parayre, directeur général de la gendarmerie nationale, et Louis Schweitzer, président de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) ont signé vendredi matin une convention lors d'une cérémonie à l'école des officiers à Melun (Seine-et-Marne).
La convention prévoit notamment la publication d'un guide à l'usage de ses personnels destiné à améliorer la constatation des infractions et l'interpellation de leurs auteurs.
"Cet outil rappelle notamment les 18 situations de discrimination liées par exemple au sexe, à l'âge, à l'appartenance syndicale ou religieuse, prévues par le Code pénal", explique le capitaine Nicolas Le Coz, du Bureau de police judiciaire. Le guide doit également permettre une meilleure prise en charge des victimes. "Bien souvent, c'est la parole du discriminé contre celle du discriminateur, d'où la nécessité de récolter des témoignages", précise le capitaine Le Coz.
Depuis le début de l'année 2007, la gendarmerie a déjà pris certaines mesures dans ses centres et écoles de formation pour sensibiliser plus de 6.500 militaires à la lutte contre les formes de discrimination. Ainsi, l'homophobie a fait l'objet de formations particulières.
La gendarmerie et la Halde ont prévu de se réunir régulièrement pour assurer le suivi de la convention et pour promouvoir les différentes actions de lutte contre les discriminations menées par chacun des signataires. AP
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PARIS - Le général Guy Parayre, directeur général de la gendarmerie nationale, et Louis Schweitzer, président de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) ont signé vendredi matin une convention lors d'une cérémonie à l'école des officiers à Melun (Seine-et-Marne).
La convention prévoit notamment la publication d'un guide à l'usage de ses personnels destiné à améliorer la constatation des infractions et l'interpellation de leurs auteurs.
"Cet outil rappelle notamment les 18 situations de discrimination liées par exemple au sexe, à l'âge, à l'appartenance syndicale ou religieuse, prévues par le Code pénal", explique le capitaine Nicolas Le Coz, du Bureau de police judiciaire. Le guide doit également permettre une meilleure prise en charge des victimes. "Bien souvent, c'est la parole du discriminé contre celle du discriminateur, d'où la nécessité de récolter des témoignages", précise le capitaine Le Coz.
Depuis le début de l'année 2007, la gendarmerie a déjà pris certaines mesures dans ses centres et écoles de formation pour sensibiliser plus de 6.500 militaires à la lutte contre les formes de discrimination. Ainsi, l'homophobie a fait l'objet de formations particulières.
La gendarmerie et la Halde ont prévu de se réunir régulièrement pour assurer le suivi de la convention et pour promouvoir les différentes actions de lutte contre les discriminations menées par chacun des signataires. AP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
Agression raciste en Allemagne
Une jeune femme de 19 ans a été rouée de coups par trois sympathisants d'extrême droite à Halberstadt en Saxe-Anhalt dans l'est de l'Allemagne. Gravement blessée, la victime a été transportée à l'hôpital.
Les trois agresseurs, une femme de 21 ans et deux hommes de 24 et 27 ans, connus des forces de l'ordre comme faisant partie de la mouvance d'extrême droite, ont été appréhendés juste après les faits.
Dans la nuit, ils avaient croisé la jeune femme dans un parc et l'avaient traitée de "punaise", selon le communiqué. Puis les deux hommes l'avaient tenue pendant que leur complice la frappait à plusieurs reprises au visage. La victime a aussi été agressée sexuellement par l'un des hommes qui la tenaient.
Les agresseurs, qui étaient sous l'emprise de l'alcool au moment des faits, sont poursuivis pour blessures corporelles dangereuses, tentative de vol, propagation de signes faisant l'apologie du nazisme et agression sexuelle.
Source : AFP
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Une jeune femme de 19 ans a été rouée de coups par trois sympathisants d'extrême droite à Halberstadt en Saxe-Anhalt dans l'est de l'Allemagne. Gravement blessée, la victime a été transportée à l'hôpital.
Les trois agresseurs, une femme de 21 ans et deux hommes de 24 et 27 ans, connus des forces de l'ordre comme faisant partie de la mouvance d'extrême droite, ont été appréhendés juste après les faits.
Dans la nuit, ils avaient croisé la jeune femme dans un parc et l'avaient traitée de "punaise", selon le communiqué. Puis les deux hommes l'avaient tenue pendant que leur complice la frappait à plusieurs reprises au visage. La victime a aussi été agressée sexuellement par l'un des hommes qui la tenaient.
Les agresseurs, qui étaient sous l'emprise de l'alcool au moment des faits, sont poursuivis pour blessures corporelles dangereuses, tentative de vol, propagation de signes faisant l'apologie du nazisme et agression sexuelle.
Source : AFP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
AP - Samedi 22 décembre, 05h10
ROCK SPRINGS, Wyoming - Une femme du Wyoming (nord des Etats-Unis) a poignardé son mari à l'aide d'un couteau de cuisine à la suite d'une dispute ayant débuté lorsqu'elle a accusé son époux d'avoir ouvert en avance son cadeau de Noël, selon les autorités.
(Publicité)
L'homme, Shawn Fay Johnson, 34 ans, a été admis à l'hôpital de Rock Springs pour une blessure à la poitrine, a indiqué la police locale vendredi. Aucune autre information sur son état de santé n'était disponible.
Sa femme, Misty Johnson, 34 ans également, a été arrêtée et accusée d'agression aggravée. Elle a comparu devant un tribunal pour une première audience jeudi, lors de laquelle elle a requis les services d'un avocat commis d'office. Elle a été relâchée en échange d'une caution de 7.500 dollars (5.200 euros).
Selon les autorités, le mari a appelé la police peu avant 1h00 mercredi après que sa femme l'eut poignardé. Il a affirmé à la police qu'elle avait commencé à s'en prendre à lui pour avoir ouvert en avance un cadeau de Noël. La dispute a alors dégénéré et la femme a accusé son mari d'avoir une liaison. S'en est suivi le coup de couteau.
Selon des documents découverts par la police dans l'appartement des deux époux, ils sont mariés depuis la fin septembre. AP
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ROCK SPRINGS, Wyoming - Une femme du Wyoming (nord des Etats-Unis) a poignardé son mari à l'aide d'un couteau de cuisine à la suite d'une dispute ayant débuté lorsqu'elle a accusé son époux d'avoir ouvert en avance son cadeau de Noël, selon les autorités.
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L'homme, Shawn Fay Johnson, 34 ans, a été admis à l'hôpital de Rock Springs pour une blessure à la poitrine, a indiqué la police locale vendredi. Aucune autre information sur son état de santé n'était disponible.
Sa femme, Misty Johnson, 34 ans également, a été arrêtée et accusée d'agression aggravée. Elle a comparu devant un tribunal pour une première audience jeudi, lors de laquelle elle a requis les services d'un avocat commis d'office. Elle a été relâchée en échange d'une caution de 7.500 dollars (5.200 euros).
Selon les autorités, le mari a appelé la police peu avant 1h00 mercredi après que sa femme l'eut poignardé. Il a affirmé à la police qu'elle avait commencé à s'en prendre à lui pour avoir ouvert en avance un cadeau de Noël. La dispute a alors dégénéré et la femme a accusé son mari d'avoir une liaison. S'en est suivi le coup de couteau.
Selon des documents découverts par la police dans l'appartement des deux époux, ils sont mariés depuis la fin septembre. AP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
BREMERTON, Washington - Art Conrad en a vraiment marre des excès consuméristes liés à Noël. Pour l'exprimer haut et fort, il ne s'est pas contenté de bouder les grands magasins et d'éteindre sa télévision: il a carrément crucifié le Père Noël...
Pas de sapin ni de nains dans le jardin: en revanche, cet habitant de l'Etat de Washington a cloué une effigie du vieillard à barbe blanche sur un crucifix de plus de quatre mètres de haut devant chez lui.
"Le Père Noël a été perverti par rapport à ce qu'il était à l'origine. Maintenant, il n'est que le bonhomme que les entreprises utilisent pour nous faire dépenser plus", dénonce-t-il.
Et en guise de cartes de voeux, le grognon pas très politiquement correct a envoyé à ses amis la photo de son Père Noël crucifié, assorti du message suivant: "Le Père Noël est mort pour votre Carte Visa".
Quant aux voisins, certains gloussent et d'autres sont offensés en passant devant chez Art Conrad. Mais la plupart sont juste curieux... AP
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Pas de sapin ni de nains dans le jardin: en revanche, cet habitant de l'Etat de Washington a cloué une effigie du vieillard à barbe blanche sur un crucifix de plus de quatre mètres de haut devant chez lui.
"Le Père Noël a été perverti par rapport à ce qu'il était à l'origine. Maintenant, il n'est que le bonhomme que les entreprises utilisent pour nous faire dépenser plus", dénonce-t-il.
Et en guise de cartes de voeux, le grognon pas très politiquement correct a envoyé à ses amis la photo de son Père Noël crucifié, assorti du message suivant: "Le Père Noël est mort pour votre Carte Visa".
Quant aux voisins, certains gloussent et d'autres sont offensés en passant devant chez Art Conrad. Mais la plupart sont juste curieux... AP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
AP - Dimanche 23 décembre, 20h29
SAINT-ETIENNE - Un enfant de 12 ans, qui se trouvait dans le coffre d'une voiture, est décédé au CHU de Saint-Etienne, après l'accident du véhicule, a-t-on appris dimanche auprès de la gendarmerie.
Jérémy était l'un des six occupants d'une Twingo dont le conducteur, âgé de 16 ans, avait subtilisé les clefs du véhicule à sa mère pour faire un tour dans les rues de Craintilleux (Loire) avec cinq de ses camarades, le 15 décembre.
Lorsque l'adolescent avait perdu le contrôle de la voiture, et était allé percuter un mur, le coffre s'était ouvert sous le choc et le garçon qui se trouvait à l'intérieur avait été projeté sur la chaussée. Souffrant de traumatismes crâniens, il avait été transporté dans le coma au CHU de Saint-Etienne où il est décédé vendredi.
Le jeune conducteur devrait pour sa part prochainement être présenté à un juge en vue de sa mise en examen. AP
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SAINT-ETIENNE - Un enfant de 12 ans, qui se trouvait dans le coffre d'une voiture, est décédé au CHU de Saint-Etienne, après l'accident du véhicule, a-t-on appris dimanche auprès de la gendarmerie.
Jérémy était l'un des six occupants d'une Twingo dont le conducteur, âgé de 16 ans, avait subtilisé les clefs du véhicule à sa mère pour faire un tour dans les rues de Craintilleux (Loire) avec cinq de ses camarades, le 15 décembre.
Lorsque l'adolescent avait perdu le contrôle de la voiture, et était allé percuter un mur, le coffre s'était ouvert sous le choc et le garçon qui se trouvait à l'intérieur avait été projeté sur la chaussée. Souffrant de traumatismes crâniens, il avait été transporté dans le coma au CHU de Saint-Etienne où il est décédé vendredi.
Le jeune conducteur devrait pour sa part prochainement être présenté à un juge en vue de sa mise en examen. AP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
AFP - Dimanche 23 décembre, 19h54
MARSEILLE (AFP) - L'ex-officier de gendarmerie, Paul Barril, est en garde-à -vue depuis jeudi à Marseille, dans le cadre de l'enquête sur une affaire de blanchiment présumé au sein du cercle de jeux parisien Concorde, a-t-on appris dimanche de source proche de l'enquête, confirmant une information du Monde.
Selon cette source, la garde-à -vue de M. Barril doit durer jusqu'à lundi matin. Mis en cause pour association de malfaiteurs, il lui est reproché d'avoir apporté son concours à l'un des groupes de truands désireux de prendre le contrôle du cercle Concorde.
Selon une autre source, le capitaine Barril, qui dit n'être impliqué en rien dans cette affaire et se plaint d'être suspecté à tort, a été mis en cause par l'une des personnes déjà écrouées dans cette affaire.
Contacté par l'AFP, l'avocat de M. Barril, Me Jacques Vergès, n'était pas joignable dimanche après-midi.
L'affaire du cercle Concorde a débuté fin novembre par un vaste coup de filet opéré à Paris, Ajaccio et Marseille qui a notamment permis l'interpellation et l'incarcération de Roland Cassone, considéré comme l'un des grands parrains du sud de la France.
L'enquête est confiée à la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille, en charge du grand banditisme, et qui a compétence de la frontière italienne à la frontière espagnole ainsi qu'en Corse.
M. Barril, qui avait été impliqué dans l'affaire des Irlandais de Vincennes, a été condamné en mars à une peine de six mois avec sursis et 5.000 euros d'amende par la cour d'appel de Paris, dans le cadre de l'affaire des écoutes de l'Elysée.
Il faisait partie de la cellule de l'Elysée qui avait réalisé plusieurs dizaines d'écoutes illégales de personnalités (journalistes, avocats, hommes d'affaires ou artistes) entre 1983 et 1986 et était poursuivi pour "recel de documents".
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MARSEILLE (AFP) - L'ex-officier de gendarmerie, Paul Barril, est en garde-à -vue depuis jeudi à Marseille, dans le cadre de l'enquête sur une affaire de blanchiment présumé au sein du cercle de jeux parisien Concorde, a-t-on appris dimanche de source proche de l'enquête, confirmant une information du Monde.
Selon cette source, la garde-à -vue de M. Barril doit durer jusqu'à lundi matin. Mis en cause pour association de malfaiteurs, il lui est reproché d'avoir apporté son concours à l'un des groupes de truands désireux de prendre le contrôle du cercle Concorde.
Selon une autre source, le capitaine Barril, qui dit n'être impliqué en rien dans cette affaire et se plaint d'être suspecté à tort, a été mis en cause par l'une des personnes déjà écrouées dans cette affaire.
Contacté par l'AFP, l'avocat de M. Barril, Me Jacques Vergès, n'était pas joignable dimanche après-midi.
L'affaire du cercle Concorde a débuté fin novembre par un vaste coup de filet opéré à Paris, Ajaccio et Marseille qui a notamment permis l'interpellation et l'incarcération de Roland Cassone, considéré comme l'un des grands parrains du sud de la France.
L'enquête est confiée à la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille, en charge du grand banditisme, et qui a compétence de la frontière italienne à la frontière espagnole ainsi qu'en Corse.
M. Barril, qui avait été impliqué dans l'affaire des Irlandais de Vincennes, a été condamné en mars à une peine de six mois avec sursis et 5.000 euros d'amende par la cour d'appel de Paris, dans le cadre de l'affaire des écoutes de l'Elysée.
Il faisait partie de la cellule de l'Elysée qui avait réalisé plusieurs dizaines d'écoutes illégales de personnalités (journalistes, avocats, hommes d'affaires ou artistes) entre 1983 et 1986 et était poursuivi pour "recel de documents".
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
AFP - Dimanche 23 décembre, 19h16
POINTE-A-PITRE (AFP) - Trois jeunes gens, âgés de 15 à 18 ans, ont été placés en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur l'incendie d'un magasin de Pointe-à -Pitre, qui a fait vendredi soir sept morts et un blessé grave, a indiqué dimanche le procureur de la République, Jean-Michel Prêtre.
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Dimanche matin, les corps sortis des décombres avaient tous été identifiés, selon lui.
L'enquête confiée aux policiers du commissariat central de Pointe-à -Pitre avance, a indiqué le procureur.
Parmi les personnes entendues depuis la nuit de vendredi à samedi, trois ont été placées en garde vue, a précisé le magistrat. Il s'agit de jeunes âgés de 15 à 18 ans. Leur interrogatoire se poursuit pour tenter de déterminer s'ils ont une responsabilité dans le drame de Pointe-à -Pitre.
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POINTE-A-PITRE (AFP) - Trois jeunes gens, âgés de 15 à 18 ans, ont été placés en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur l'incendie d'un magasin de Pointe-à -Pitre, qui a fait vendredi soir sept morts et un blessé grave, a indiqué dimanche le procureur de la République, Jean-Michel Prêtre.
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Dimanche matin, les corps sortis des décombres avaient tous été identifiés, selon lui.
L'enquête confiée aux policiers du commissariat central de Pointe-à -Pitre avance, a indiqué le procureur.
Parmi les personnes entendues depuis la nuit de vendredi à samedi, trois ont été placées en garde vue, a précisé le magistrat. Il s'agit de jeunes âgés de 15 à 18 ans. Leur interrogatoire se poursuit pour tenter de déterminer s'ils ont une responsabilité dans le drame de Pointe-à -Pitre.
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
AP - il y a 1 heure 59 minutes
PARIS - Le président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer affirme, dans un entretien publié lundi dans "La Croix", que le constat qu'il tire et "qui n'a fait que se confirmer au cours de ses six premiers mois de la législature, c'est que le Parlement n'est pas assez respecté".
"Ce n'est pas spécifique à cette législature, mais cela s'aggrave", souligne-t-il. "Les procédures, notamment la déclaration d'urgence qui est devenue la pratique usuelle, ne permettent pas aux parlementaires de bénéficier des délais et des conditions d'examen satisfaisants".
Selon M. Accoyer, "la capacité d'évaluation et de contrôle s'en trouve amoindrie, et naturellement tout cela rejaillit sur le travail des députés et sur l'image des parlementaires".
Interrogé sur le projet de réforme des institutions visant à revaloriser la place du Parlement, il observe que "l'introduction de délais minimum pour procéder à des études d'impact, l'encadrement de la procédure d'urgence, l'examen en séance des textes modifiés par la commission et non plus du texte du gouvernement, le partage de l'ordre du jour ou la capacité de se prononcer sur la politique étrangère ou de défense par le vote de résolutions sont (...) des avancées considérables qui vont changer de façon radicale le rôle du Parlement". "Elles étaient devenues nécessaires", assure-t-il. AP
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PARIS - Le président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer affirme, dans un entretien publié lundi dans "La Croix", que le constat qu'il tire et "qui n'a fait que se confirmer au cours de ses six premiers mois de la législature, c'est que le Parlement n'est pas assez respecté".
"Ce n'est pas spécifique à cette législature, mais cela s'aggrave", souligne-t-il. "Les procédures, notamment la déclaration d'urgence qui est devenue la pratique usuelle, ne permettent pas aux parlementaires de bénéficier des délais et des conditions d'examen satisfaisants".
Selon M. Accoyer, "la capacité d'évaluation et de contrôle s'en trouve amoindrie, et naturellement tout cela rejaillit sur le travail des députés et sur l'image des parlementaires".
Interrogé sur le projet de réforme des institutions visant à revaloriser la place du Parlement, il observe que "l'introduction de délais minimum pour procéder à des études d'impact, l'encadrement de la procédure d'urgence, l'examen en séance des textes modifiés par la commission et non plus du texte du gouvernement, le partage de l'ordre du jour ou la capacité de se prononcer sur la politique étrangère ou de défense par le vote de résolutions sont (...) des avancées considérables qui vont changer de façon radicale le rôle du Parlement". "Elles étaient devenues nécessaires", assure-t-il. AP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
Il tue son amie à la chasse
Un jeune homme a tué accidentellement sa petite amie hier dans la matinée lors d'une partie de chasse à Doullens (Somme), près d'Amiens, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire.
La victime, âgée de 21 ans, a été mortellement touchée par une balle du fusil de chasse de son ami âgé de 22 ans.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la thèse de l'accident est privilégiée, a indiqué le parquet d'Amiens.
Le coup de feu serait parti alors que l'arme s'était prise dans les branchages.
Source : AFP
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Un jeune homme a tué accidentellement sa petite amie hier dans la matinée lors d'une partie de chasse à Doullens (Somme), près d'Amiens, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire.
La victime, âgée de 21 ans, a été mortellement touchée par une balle du fusil de chasse de son ami âgé de 22 ans.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la thèse de l'accident est privilégiée, a indiqué le parquet d'Amiens.
Le coup de feu serait parti alors que l'arme s'était prise dans les branchages.
Source : AFP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
Institutions : désamorcer la violence.
n° 389 de la revue
Santé de l'homme de l'Inpes
Comment les personnels des institutions sont-ils victimes de violences ? Comment ces institutions génèrent elles-mêmes de la violence ? Omar Brixi, médecin et enseignant de santé publique, président de la commission "Institution, organisation et violence" souligne à quel point cette violence fait l'objet d'un déni.
L'éducation pour la santé a un rôle à jouer dans ce domaine pour ne pas s'en tenir aux symptômes de ces violences, mais remonter aux racines, s'attaquer aux causes réelles, former les professionnels, libérer les paroles, réinstaurer le respect des droits et des personnes, de part et d'autre.
Il illustre son propos en présentant quelques actions rapportées auprès de cette commission.
A la demande du ministère de la Santé et des Solidarités et sous la présidence de Madame Anne Tursz, pédiatre, épidémiologiste et directeur de recherche à l'Inserm, six commissions préparatoires ont produit une somme de réflexions et d'analyses.
Ces travaux ont donné lieu à un rapport final de Madame Tursz : "La prévention et l'éducation pour la santé ont-elles une place dans la lutte contre les violences ?" Les présidents de chacune de ces commissions ainsi qu'Anne Tursz, présidente de l'ensemble de cette mission préparatoire, livrent à "La santé de l'Homme" les points qui ont pu leur paraître les plus marquants.
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n° 389 de la revue
Santé de l'homme de l'Inpes
Comment les personnels des institutions sont-ils victimes de violences ? Comment ces institutions génèrent elles-mêmes de la violence ? Omar Brixi, médecin et enseignant de santé publique, président de la commission "Institution, organisation et violence" souligne à quel point cette violence fait l'objet d'un déni.
L'éducation pour la santé a un rôle à jouer dans ce domaine pour ne pas s'en tenir aux symptômes de ces violences, mais remonter aux racines, s'attaquer aux causes réelles, former les professionnels, libérer les paroles, réinstaurer le respect des droits et des personnes, de part et d'autre.
Il illustre son propos en présentant quelques actions rapportées auprès de cette commission.
A la demande du ministère de la Santé et des Solidarités et sous la présidence de Madame Anne Tursz, pédiatre, épidémiologiste et directeur de recherche à l'Inserm, six commissions préparatoires ont produit une somme de réflexions et d'analyses.
Ces travaux ont donné lieu à un rapport final de Madame Tursz : "La prévention et l'éducation pour la santé ont-elles une place dans la lutte contre les violences ?" Les présidents de chacune de ces commissions ainsi qu'Anne Tursz, présidente de l'ensemble de cette mission préparatoire, livrent à "La santé de l'Homme" les points qui ont pu leur paraître les plus marquants.
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
AP - il y a 37 minutes
SAINT-ETIENNE -  Une mère et sa fille ont été tuées à l'arme blanche lundi soir au Puy-en-Velay (Haute-Loire), dans ce qui apparaît être un drame familial, a-t-on appris mardi de source policière. Il semble que l'auteur présumé des faits, l'ancien compagnon de la jeune femme de 28 ans, se soit ensuite donné la mort.
La fille et sa mère de 59 ans ont été retrouvées mortes dans l'escalier d'un petit immeuble du centre-ville. Dans un appartement situé au troisième étage, les secours ont trouvé l'ex-compagnon de la jeune femme, mortellement blessé au thorax à l'aide d'une arme blanche.
La fille du couple séparé, âgée de trois ans, a été retrouvée en bonne santé dans l'immeuble. AP
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SAINT-ETIENNE -  Une mère et sa fille ont été tuées à l'arme blanche lundi soir au Puy-en-Velay (Haute-Loire), dans ce qui apparaît être un drame familial, a-t-on appris mardi de source policière. Il semble que l'auteur présumé des faits, l'ancien compagnon de la jeune femme de 28 ans, se soit ensuite donné la mort.
La fille et sa mère de 59 ans ont été retrouvées mortes dans l'escalier d'un petit immeuble du centre-ville. Dans un appartement situé au troisième étage, les secours ont trouvé l'ex-compagnon de la jeune femme, mortellement blessé au thorax à l'aide d'une arme blanche.
La fille du couple séparé, âgée de trois ans, a été retrouvée en bonne santé dans l'immeuble. AP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
BORNEL (AFP) - Un père de famille de 37 ans est soupçonné d'avoir tué à l'arme blanche ses trois jeunes enfants, deux garçons et une fille âgés de deux à sept ans, pour des raisons encore inconnues, avant de tenter de se suicider vendredi matin à Bornel, une petite commune de l'Oise.
L'homme, retrouvé avec de nombreuses plaies au bas de son petit immeuble, a été hospitalisé à Beaumont-sur-Oise (Val-d'Oise), mais ses jours ne sont pas en danger. La mère des enfants, âgée de 30 ans et qui n'aurait pas été agressée, a également été hospitalisée.
Les trois victimes sont deux garçons âgés de quatre et sept ans et une fillette âgée de deux ans.
"Le suspect principal est le père", a déclaré le procureur de la République de Beauvais James Juan au cours d'une conférence de presse tenue dans la mairie de Bornel, à environ 35 km de Beauvais.
Selon les premiers éléments, le père de famille aurait tué au domicile familial, pour des raisons encore inconnues, ses trois enfants avec une arme blanche qui n'a pas été précisée, avant de tenter de se suicider au pied de l'immeuble.
"Les enfants ont été retrouvés chacun dans leur chambre sur leur lit", a ajouté M. Juan, soulignant qu'ils présentaient de nombreuses plaies, notamment au niveau du thorax.
"La famille n'avait jamais fait parler d'elle jusqu'à maintenant", a-t-il ajouté, précisant que ni le père, ni la mère n'avaient pu être interrogés vendredi dans la matinée.
"Le scénario reste à déterminer, même s'il est sûr que le père apparaît au premier abord comme le principal suspect, mais tout cela reste à déterminer", a précisé de son côté le lieutenant de gendarmerie Bruno Leneutre.
Les secours ont été prévenus vers 05H30 par des habitants de la résidence où s'est produit le drame pour signaler la présence d'une personne blessée -le père de famille- sur le parking, a précisé l'officier.
"Dans son domicile ont été découverts les trois enfants grièvement blessés. Les secours n'ont pas pu les ranimer", a-t-il ajouté.
Le maire de la commune de 3.300 habitants, Yvan Levasseur, a raconté à l'AFP avoir été "prévenu par un adjoint qui habite dans le même immeuble et qui avait entendu des cris". M. Levasseur a indiqué être arrivé sur les lieux "vers 05H30-06H00".
"Les pompiers sont arrivés devant moi. J'ai vu le père de famille sur le parking de la résidence, où il a apparemment tenté de se suicider en s'égorgeant ou en se coupant l'artère fémorale", a-t-il précisé.
Le maire de Bornel a confié que "la scène devait être horrible". "J'ai entendu un officier de gendarmerie interdire à certains gendarmes d'entrer dans le logement à cause de cela", a-t-il dit.
Selon M. Levasseur, la famille, qui habitait au dernier étage de la petite résidence, était installée depuis environ un an, arrivant d'une commune voisine.
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L'homme, retrouvé avec de nombreuses plaies au bas de son petit immeuble, a été hospitalisé à Beaumont-sur-Oise (Val-d'Oise), mais ses jours ne sont pas en danger. La mère des enfants, âgée de 30 ans et qui n'aurait pas été agressée, a également été hospitalisée.
Les trois victimes sont deux garçons âgés de quatre et sept ans et une fillette âgée de deux ans.
"Le suspect principal est le père", a déclaré le procureur de la République de Beauvais James Juan au cours d'une conférence de presse tenue dans la mairie de Bornel, à environ 35 km de Beauvais.
Selon les premiers éléments, le père de famille aurait tué au domicile familial, pour des raisons encore inconnues, ses trois enfants avec une arme blanche qui n'a pas été précisée, avant de tenter de se suicider au pied de l'immeuble.
"Les enfants ont été retrouvés chacun dans leur chambre sur leur lit", a ajouté M. Juan, soulignant qu'ils présentaient de nombreuses plaies, notamment au niveau du thorax.
"La famille n'avait jamais fait parler d'elle jusqu'à maintenant", a-t-il ajouté, précisant que ni le père, ni la mère n'avaient pu être interrogés vendredi dans la matinée.
"Le scénario reste à déterminer, même s'il est sûr que le père apparaît au premier abord comme le principal suspect, mais tout cela reste à déterminer", a précisé de son côté le lieutenant de gendarmerie Bruno Leneutre.
Les secours ont été prévenus vers 05H30 par des habitants de la résidence où s'est produit le drame pour signaler la présence d'une personne blessée -le père de famille- sur le parking, a précisé l'officier.
"Dans son domicile ont été découverts les trois enfants grièvement blessés. Les secours n'ont pas pu les ranimer", a-t-il ajouté.
Le maire de la commune de 3.300 habitants, Yvan Levasseur, a raconté à l'AFP avoir été "prévenu par un adjoint qui habite dans le même immeuble et qui avait entendu des cris". M. Levasseur a indiqué être arrivé sur les lieux "vers 05H30-06H00".
"Les pompiers sont arrivés devant moi. J'ai vu le père de famille sur le parking de la résidence, où il a apparemment tenté de se suicider en s'égorgeant ou en se coupant l'artère fémorale", a-t-il précisé.
Le maire de Bornel a confié que "la scène devait être horrible". "J'ai entendu un officier de gendarmerie interdire à certains gendarmes d'entrer dans le logement à cause de cela", a-t-il dit.
Selon M. Levasseur, la famille, qui habitait au dernier étage de la petite résidence, était installée depuis environ un an, arrivant d'une commune voisine.
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
MONTPELLIER - La mère du petit Enzo, trois ans, qu'elle avait retrouvé mort samedi matin à son domicile de Saint-Hilaire-de-Brethmas (Gard), et son concubin étaient entendus lundi matin par le procureur de la République d'Alès, après que les secours ont relevé des traces de coups sur le corps du garçonnet, a-t-on appris de la gendarmerie de la communauté de brigades de Vézenobres.
Le concubin, qui n'est pas le père de l'enfant, avait pris la fuite et s'était réfugié dans sa famille, où les gendarmes l'ont interpellé dimanche soir.
D'après Gérard Roux, maire de Saint-Hilaire, Enzo ne se rendait pas à l'école depuis plusieurs semaines et les services sociaux avaient été alertés.
Le procureur de la République d'Alès Christian Pasta devait donner une conférence de presse dans la journée, selon les gendarmes. Il devrait annoncer l'ouverture d'une information judiciaire et communiquer les résultats de l'autopsie, pratiquée ce week-end sur le corps de l'enfant. AP
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Le concubin, qui n'est pas le père de l'enfant, avait pris la fuite et s'était réfugié dans sa famille, où les gendarmes l'ont interpellé dimanche soir.
D'après Gérard Roux, maire de Saint-Hilaire, Enzo ne se rendait pas à l'école depuis plusieurs semaines et les services sociaux avaient été alertés.
Le procureur de la République d'Alès Christian Pasta devait donner une conférence de presse dans la journée, selon les gendarmes. Il devrait annoncer l'ouverture d'une information judiciaire et communiquer les résultats de l'autopsie, pratiquée ce week-end sur le corps de l'enfant. AP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
73 ans d'espérance de vie en Chine
L'espérance de vie en Chine a continué de s'allonger ces dernières années, atteignant 73 ans en 2005, selon l'agence officielle Chine Nouvelle.
L'espérance de vie moyenne est passée de 71,4 ans en 2000 à 73 ans en 2005, a précisé Chine Nouvelle, citant un rapport du ministère de la Santé.
Le taux de mortalité infantile a particulièrement chuté ces dernières années, passant de 25,5 pour 1.000 en 2003 à 15,3 pour 1.000 l'an dernier. Le taux de mortalité maternel est également tombé, de 51,3 pour 100.000 en 2003 à 36,6 en 2007.
Source : AFP
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L'espérance de vie en Chine a continué de s'allonger ces dernières années, atteignant 73 ans en 2005, selon l'agence officielle Chine Nouvelle.
L'espérance de vie moyenne est passée de 71,4 ans en 2000 à 73 ans en 2005, a précisé Chine Nouvelle, citant un rapport du ministère de la Santé.
Le taux de mortalité infantile a particulièrement chuté ces dernières années, passant de 25,5 pour 1.000 en 2003 à 15,3 pour 1.000 l'an dernier. Le taux de mortalité maternel est également tombé, de 51,3 pour 100.000 en 2003 à 36,6 en 2007.
Source : AFP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
AFP - Lundi 7 janvier, 13h20
MARSEILLE (AFP) - Le compagnon de la mère d'un enfant de trois ans découvert mort samedi avec des traces de coups sur le corps a été interpellé et le couple sera présenté lundi au parquet d'Alès (Gard), a-t-on appris auprès de la gendarmerie de Vézénobres.
Le procureur de la République d'Alès Christian Pasta devait faire un point pour les journalistes vers 16H00 sur cette affaire, selon le secrétariat du parquet. Une information judiciaire devait être ouverte en début d'après-midi.
Une autopsie a été pratiquée sur le corps de l'enfant mais les enquêteurs et le parquet se sont refusés pour le moment à tout commentaire sur ses résultats.
Le compagnon de la mère de la jeune victime, qui n'est pas le père du garçonnet, a été interpellé dimanche vers 18H00 à Marguerittes, près de Nîmes, où il avait trouvé refuge dans sa famille, a-t-on précisé à la gendarmerie de Vézénobres, confirmant des informations du quotidien Midi Libre.
Après avoir été placé en garde à vue à Marguerittes, il a été transféré dimanche soir à Alès. Sa compagne avait été placée en garde à vue samedi après la découverte du petit garçon, dont le corps sans vie était couvert d'ecchymoses et de brûlures, à leur domicile de La-Jasse-de-Bernard, sur la commune de Saint-Hilaire-de-Brethmas à 6 km au sud-est d'Alès.
Le corps du petit garçon a été trouvé vers 6H00 samedi. Selon les premiers éléments de l'enquête, les secours auraient été prévenus par la mère. Lundi matin devant la maison de celle-ci, des jouets et un petit camion sur roulettes en plastique restaient éparpillés, à côté d'un canapé délabré.
Selon Midi Libre, l'école où était scolarisé l'enfant s'était inquiétée de son absence depuis la mi-octobre et l'administration avait été alertée.
Le maire de Saint-Hilaire, Gérard Roux, avait expliqué dimanche à Midi Libre que l'enfant "était absent de sa classe de maternelle depuis plusieurs semaines".
"A ma connaissance, il n'y a jamais eu de problème avec cette famille mais on ignorait tout d'eux", avait ajouté le mair
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MARSEILLE (AFP) - Le compagnon de la mère d'un enfant de trois ans découvert mort samedi avec des traces de coups sur le corps a été interpellé et le couple sera présenté lundi au parquet d'Alès (Gard), a-t-on appris auprès de la gendarmerie de Vézénobres.
Le procureur de la République d'Alès Christian Pasta devait faire un point pour les journalistes vers 16H00 sur cette affaire, selon le secrétariat du parquet. Une information judiciaire devait être ouverte en début d'après-midi.
Une autopsie a été pratiquée sur le corps de l'enfant mais les enquêteurs et le parquet se sont refusés pour le moment à tout commentaire sur ses résultats.
Le compagnon de la mère de la jeune victime, qui n'est pas le père du garçonnet, a été interpellé dimanche vers 18H00 à Marguerittes, près de Nîmes, où il avait trouvé refuge dans sa famille, a-t-on précisé à la gendarmerie de Vézénobres, confirmant des informations du quotidien Midi Libre.
Après avoir été placé en garde à vue à Marguerittes, il a été transféré dimanche soir à Alès. Sa compagne avait été placée en garde à vue samedi après la découverte du petit garçon, dont le corps sans vie était couvert d'ecchymoses et de brûlures, à leur domicile de La-Jasse-de-Bernard, sur la commune de Saint-Hilaire-de-Brethmas à 6 km au sud-est d'Alès.
Le corps du petit garçon a été trouvé vers 6H00 samedi. Selon les premiers éléments de l'enquête, les secours auraient été prévenus par la mère. Lundi matin devant la maison de celle-ci, des jouets et un petit camion sur roulettes en plastique restaient éparpillés, à côté d'un canapé délabré.
Selon Midi Libre, l'école où était scolarisé l'enfant s'était inquiétée de son absence depuis la mi-octobre et l'administration avait été alertée.
Le maire de Saint-Hilaire, Gérard Roux, avait expliqué dimanche à Midi Libre que l'enfant "était absent de sa classe de maternelle depuis plusieurs semaines".
"A ma connaissance, il n'y a jamais eu de problème avec cette famille mais on ignorait tout d'eux", avait ajouté le mair
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
USA: 4 enfants jetés d'un pont
Les autorités de l'Alabama (sud) mènent des recherches sous-marines pour tenter de retrouver quatre jeunes enfants jetés d'un pont par leur père, rapporte la presse locale.
Lam Luong, 37 ans, a avoué avoir jeté lundi matin ses quatre enfants du haut d'un pont dans les eaux du Golfe du Mexique, à la suite d'une dispute avec sa femme, selon le Mobile Press Register, qui cite la police locale.
Les autorités devaient reprendre aujourd'hui des recherches dans une zone de 260 kilomètres carrés autour du pont de l'île Dauphin, à 55 kilomètres au sud de la ville de Mobile, après avoir dû les interrompre mercredi en raison d'un brouillard épais.
Les quatre victimes sont âgées de quatre mois à trois ans.
Lam Luong a été arrêté et inculpé de meurtre après sa confession mardi à la police. Une audience devait avoir lieu jeudi pour décider d'une éventuelle remise en liberté sous caution.
Source : AFP
Il laisse sa femme mourir de froid
Un Iranien a laissé son épouse mourir de froid à l'extérieur de sa maison dans la ville d'Ardebil (nord) après une dispute, alors que le pays est touché par une vague d'intempéries, a rapporté l'agence Fars .
La femme, qui s'est retrouvée à la porte de chez elle mercredi soir, a été découverte morte le lendemain matin sous un pont où elle avait tenté de se protéger du froid.
Le médecin légiste a conclu à une mort par hypothermie, les températures extérieures étant bien au-dessous de zéro degré Celsius depuis une semaine dans la moitié nord du pays.
Par ailleurs, un vieil homme a été retrouvé mort de froid jeudi matin après avoir passé la nuit dans un parc d'Ardebil, selon l'agence officielle Irna.
Une vague de froid et des chutes de neige sans précédent depuis plus de 40 ans touche le pays depuis une semaine.
Au moins huit automobilistes pris au piège dans une tempête de neige sur différentes routes d'Iran sont morts de froid, avait annoncé mardi le responsable de l'Organisation chargée des catastrophes naturelles.
Source : AFP
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Les autorités de l'Alabama (sud) mènent des recherches sous-marines pour tenter de retrouver quatre jeunes enfants jetés d'un pont par leur père, rapporte la presse locale.
Lam Luong, 37 ans, a avoué avoir jeté lundi matin ses quatre enfants du haut d'un pont dans les eaux du Golfe du Mexique, à la suite d'une dispute avec sa femme, selon le Mobile Press Register, qui cite la police locale.
Les autorités devaient reprendre aujourd'hui des recherches dans une zone de 260 kilomètres carrés autour du pont de l'île Dauphin, à 55 kilomètres au sud de la ville de Mobile, après avoir dû les interrompre mercredi en raison d'un brouillard épais.
Les quatre victimes sont âgées de quatre mois à trois ans.
Lam Luong a été arrêté et inculpé de meurtre après sa confession mardi à la police. Une audience devait avoir lieu jeudi pour décider d'une éventuelle remise en liberté sous caution.
Source : AFP
Il laisse sa femme mourir de froid
Un Iranien a laissé son épouse mourir de froid à l'extérieur de sa maison dans la ville d'Ardebil (nord) après une dispute, alors que le pays est touché par une vague d'intempéries, a rapporté l'agence Fars .
La femme, qui s'est retrouvée à la porte de chez elle mercredi soir, a été découverte morte le lendemain matin sous un pont où elle avait tenté de se protéger du froid.
Le médecin légiste a conclu à une mort par hypothermie, les températures extérieures étant bien au-dessous de zéro degré Celsius depuis une semaine dans la moitié nord du pays.
Par ailleurs, un vieil homme a été retrouvé mort de froid jeudi matin après avoir passé la nuit dans un parc d'Ardebil, selon l'agence officielle Irna.
Une vague de froid et des chutes de neige sans précédent depuis plus de 40 ans touche le pays depuis une semaine.
Au moins huit automobilistes pris au piège dans une tempête de neige sur différentes routes d'Iran sont morts de froid, avait annoncé mardi le responsable de l'Organisation chargée des catastrophes naturelles.
Source : AFP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
Il jette son enfant du haut d'un pont
Un homme de 23 ans était sous les verrous à Hawaï après avoir, selon la police, lancé le petit garçon dont il avait la garde du haut d'un pont autoroutier, provoquant sa mort, ont rapporté les médias de cet archipel américain du Pacifique.
Matthew Higa, qui souffrirait de problèmes psychiatriques, a jeté cet enfant âgé de deux ans dix mètres en contrebas sur l'autoroute principale traversant la capitale Honolulu, selon les premiers éléments de l'enquête.
"J'ai regardé et j'ai vu comme une poupée qui volait dans l'air (...) Je suis allé voir et j'ai vu un enfant sur l'autoroute", a raconté un témoin, Kraig Hengst, au journal Honolulu Advertiser.
Source : AFP
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Un homme de 23 ans était sous les verrous à Hawaï après avoir, selon la police, lancé le petit garçon dont il avait la garde du haut d'un pont autoroutier, provoquant sa mort, ont rapporté les médias de cet archipel américain du Pacifique.
Matthew Higa, qui souffrirait de problèmes psychiatriques, a jeté cet enfant âgé de deux ans dix mètres en contrebas sur l'autoroute principale traversant la capitale Honolulu, selon les premiers éléments de l'enquête.
"J'ai regardé et j'ai vu comme une poupée qui volait dans l'air (...) Je suis allé voir et j'ai vu un enfant sur l'autoroute", a raconté un témoin, Kraig Hengst, au journal Honolulu Advertiser.
Source : AFP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
VERDUN - Un père de 21 ans a été mis en examen et écroué au cours de la nuit de mercredi à jeudi après la mort de son bébé de quatre mois, victime d'une fracture importante à la tête, apprend-on auprès du parquet de Verdun (Meuse).
Le drame s'est déroulé lundi soir. Les voisins du jeune couple verdunois ont été alertés par les cris de la mère, âgée de 20 ans, qui a hurlé au moment où elle rentrait à son domicile, vers 22h. Prévenu, le Samu n'a pu que constater le décès du nourrisson, dont l'autopsie a révélé une fracture importante à la tête.
Le père a tenté de fuir pour se suicider mais les policiers l'ont rapidement interpellé. Il a été mis en examen pour coups volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, par ascendant, sur mineur de 15 ans.
Il encourt jusqu'à 30 ans de réclusion criminelle. AP
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Le drame s'est déroulé lundi soir. Les voisins du jeune couple verdunois ont été alertés par les cris de la mère, âgée de 20 ans, qui a hurlé au moment où elle rentrait à son domicile, vers 22h. Prévenu, le Samu n'a pu que constater le décès du nourrisson, dont l'autopsie a révélé une fracture importante à la tête.
Le père a tenté de fuir pour se suicider mais les policiers l'ont rapidement interpellé. Il a été mis en examen pour coups volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, par ascendant, sur mineur de 15 ans.
Il encourt jusqu'à 30 ans de réclusion criminelle. AP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
Dépressive, elle noie ses enfants
Une femme de 35 ans, souffrant de dépression, a été interpellée ce matin près d'Augsbourg (sud de l'Allemagne), pour avoir noyé dans sa baignoire deux de ses cinq enfants, un garçon et une fille âgés respectivement de cinq mois et deux ans, a annoncé la police.
Le drame a eu lieu aux premières heures de vendredi, alors que le père des enfants dormait encore. Après avoir tué l'un après l'autre ses deux plus jeunes enfants, la mère a elle-même réveillé le père pour l'informer qu'elle venait de commettre "quelque chose de terrible", selon la police. Le père a alors alerté les secours, qui n'ont rien pu faire pour ranimer les deux jeunes victimes.
Un médecin-expert mandaté par le tribunal a constaté que la jeune femme, qui a été placée vendredi en hôpital psychiatrique, souffrait au minimum d'une altération de son discernement, a précisé le parquet.
Le couple a trois autres enfants, âgés de quatre, six et huit ans.
Source : AFP
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Une femme de 35 ans, souffrant de dépression, a été interpellée ce matin près d'Augsbourg (sud de l'Allemagne), pour avoir noyé dans sa baignoire deux de ses cinq enfants, un garçon et une fille âgés respectivement de cinq mois et deux ans, a annoncé la police.
Le drame a eu lieu aux premières heures de vendredi, alors que le père des enfants dormait encore. Après avoir tué l'un après l'autre ses deux plus jeunes enfants, la mère a elle-même réveillé le père pour l'informer qu'elle venait de commettre "quelque chose de terrible", selon la police. Le père a alors alerté les secours, qui n'ont rien pu faire pour ranimer les deux jeunes victimes.
Un médecin-expert mandaté par le tribunal a constaté que la jeune femme, qui a été placée vendredi en hôpital psychiatrique, souffrait au minimum d'une altération de son discernement, a précisé le parquet.
Le couple a trois autres enfants, âgés de quatre, six et huit ans.
Source : AFP
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Re: Violence et santé, violence et genre, violence institutionalisée
Autriche
Un maire empoisonné par un chocolat à la strychnine
dimanche 10 février 2008, 13h25 | AFP
Le maire d'une commune d'Autriche a été placé dans le coma artificiel par les médecins, après avoir absorbé une friandise empoisonnée à la strychnine offerte par un inconnu, ont annoncé les autorités dimanche.
Maire de la commune du Spitz-an-der-Donau, à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Vienne, Hannes Hirtzberger, un avocat, était dimanche dans un état «stable» mais son pronostic vital restait réservé, selon ses soignants.
L'élu, âgé de 56 ans, avait consommé samedi un chocolat à la liqueur «Mon Chéri» qu'il avait trouvé sur son pare-brise accompagné du message suivant: «Je veux te dire quelque chose d'important, tu es pour moi quelqu'un de très spécial.»
La victime, qui s'était effondrée devant des passants, avait eu le temps de souffler «J'ai été empoisonné» avant d'être héliporté à l'hôpital de Krems.
Les analyses toxicologiques ont établi dimanche qu'il avait été empoisonné à la strychnine, un poison violent entrant dans la composition de la mort-aux-rats, a précisé un porte-parole des enquêteurs, Leopold Etz.
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Un maire empoisonné par un chocolat à la strychnine
dimanche 10 février 2008, 13h25 | AFP
Le maire d'une commune d'Autriche a été placé dans le coma artificiel par les médecins, après avoir absorbé une friandise empoisonnée à la strychnine offerte par un inconnu, ont annoncé les autorités dimanche.
Maire de la commune du Spitz-an-der-Donau, à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Vienne, Hannes Hirtzberger, un avocat, était dimanche dans un état «stable» mais son pronostic vital restait réservé, selon ses soignants.
L'élu, âgé de 56 ans, avait consommé samedi un chocolat à la liqueur «Mon Chéri» qu'il avait trouvé sur son pare-brise accompagné du message suivant: «Je veux te dire quelque chose d'important, tu es pour moi quelqu'un de très spécial.»
La victime, qui s'était effondrée devant des passants, avait eu le temps de souffler «J'ai été empoisonné» avant d'être héliporté à l'hôpital de Krems.
Les analyses toxicologiques ont établi dimanche qu'il avait été empoisonné à la strychnine, un poison violent entrant dans la composition de la mort-aux-rats, a précisé un porte-parole des enquêteurs, Leopold Etz.
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Par Dominique SIMONNOT
Libération, Samedi 26 août 2006 - 06:00
Prisons : un rapport stigmatise à nouveau les pratiques de l'administration française
LE MONDE | 06.12.07 | Extrait
"Traitement inhumain et dégradant." Une nouvelle fois, le Comité de prévention de la torture (CPT) du Conseil de l'Europe stigmatise les prisons françaises. Dans son rapport, qui fait suite à des visites à l'automne 2006, le CPT s'inquiète principalement des conditions de santé, du placement à l'isolement, de la surpopulation carcérale.
Le rapport que Le Monde a pu consulter sera rendu public en même temps que les réponses françaises, quand le gouvernement, qui prépare une loi pénitentiaire, donnera son accord. La précédente visite du CPT, qui se rend régulièrement dans les lieux de détention européens, date de 2003.
Le milieu carcéral, un lieu de violences
Extrait de Institutions, organisations et violence
Dans cet espace fondé sur la privation de la liberté et l’usage légitime de la force dans les cadres réglementaires dans le respect des droits de l’homme et de la personne, la violence, prévue par la loi, est structurellement inscrite.
La privation de liberté constitue en elle-même une violence faite au corps et à l’esprit de celui qu’elle touche. Elle s’exprime et façonne les rapports sociaux entre détenus, entre surveillants, entre surveillants et détenus, et se manifeste par et dans les représentations qu’en a la société.