December 5, 2005

Les enfants de l'OSE ; leur redistribution


En 1946, Andrée Salomon annonce que plusieurs milliers d'enfants restent à la charge de l'OSE. Il faut les considérer, dit-elle, « comme nos propres enfants », et pourvoir à leur bien être, à leur éducation, être capable d'envisager pour eux un avenir. Il nous faut leurs redonner confiance dans la vie.

L'OSE est confrontée à de nombreuses demandes d'adoptions : il faut examiner minutieusement la possibilité de redonner un foyer aux enfants, tout en tenant compte des difficultés qui risquent de se présenter. L'action de parrainage est, un temps, privilégiée : l'enfant reste placée à l'OSE mais reçoit le soutien moral d'une personne ou d'une famille qui l'accueille de temps en temps.

Extraits de Sauver les enfants, page 170
Vivette Samuel


Les ex-dirigeants de l’U.G.I.F.. récapitulent ainsi les différentes catégories d’enfants :

3) Enfants ayant fait l’objet de mesures d’arrestations par la préfecture de police et dirigés sur l’UG.I.F., au lieu d’être dirigés sur Drancy. Enfants libérés de Drancy sur notre intervention comme enfants isolés, c’est-à-dire n’ayant aucune famille au camp, ou que nous parvenions avec l’aide de la police judiciaire à faire reconnaître comme tels.

Ces enfants devaient rester dans nos maisons sous le contrôle théorique de la police judiciaire et des autorités allemandes, contrôle qui pratiquement ne fut jamais exercé et qui permit ainsi à l’U.G.I.F. d’en disperser un très grand nombre.

Voir l'article l'OSE du blog.

Il n'y a pas eu maltraitance, il n'y a pas eu délaissement, j'ai deux enfants et chacune a sa propre chambre, j'explose les plafonds de revenus, (...) j'ai suivi la scolarité de ma fille née en 1993 et je l'ai même fait soigner jusqu'à ce que le Juge des Enfants intervienne, ce 4 novembre 2005, pour m'interdire toutes relations et correspondance avec elle. L'ensemble de mes droits sur cet enfant sont suspendus ; révision dans un an. Ce 4 novembre 2005 les travailleurs sociaux de l'OSE ont demandé une mesure de protection.

Pour parvenir à cette issue, donner cette enfant à d'autres, les travailleurs sociaux de l'OSE ont simplement versé des allégations au dossier socio judiciaire, calomnieuses, à mon encontre.

Je ne suis rien d'autre qu'un père comme tous les autres. Elle a perdu sa maman en 1999 et les travailleurs sociaux de l'OSE ne souhaite plus que je puisse avoir de relations avec ma fille née en 1993. Dans le même temps, cette enfant est privée de toutes relations avec sa petite soeur née début 2003, sa belle-mère et tous ses amis et proches en région parisienne. Les travailleurs sociaux de l'OSE refuse à cette enfant de pouvoir grandir où est sa place.

Pourquoi et de quel droit ?

Au lieu de lui laisser cela, sa vie à Paris, les travailleurs sociaux ont donné cette enfant à ses tantes maternelles qui résident en Alsace-Lorraine. L'une et l'autre de ces tantes étaient en mal de cet enfant.

Ces tantes étaient en mal de cet enfant mais elles n'ont, pour autant, jamais saisi un Juge aux Affaires Familiales. Un Juge aux Affaires Familiales ne la leur aurait jamais donnée. Solution pour parvenir à leurs fins, obtenir la garde de cette enfant : verser et faire verser des calomnies à mon encontre.

On ne peut rien opposer à la toute puissance des institutions et de Juges pour Enfants, surtout lorsqu'ils refusent le dialogue et les éléments matériels à décharge. Il y a ceux à la suite mais j'en ai encore quantité d'autres.





 

 


Posted 20 years, 2 months ago on December 5, 2005
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