September 18, 2005
La psychiatrie à la dérive
Un dossier de L'Express du 5/9/2005La guerre des psys, par Gilbert Charles, extraits :
Confortés par la découverte des neuroleptiques, qui permettent, à partir de 1952, de sortir les «fous» des asiles, les psychiatres cherchent alors à concilier la médecine avec les sciences humaines et s'en emparent avec enthousiasme. Le paradigme freudien leur fournit un cadre théorique et pratique qui donnera naissance à la psychiatrie dite «humaniste», dont les principes ont servi jusqu'à ces dernières années de référence à tous les professionnels de la santé mentale. Cette école considère que les symptômes ne traduisent pas forcément la réalité du trouble mental et cherche à appréhender le malade dans son contexte global, en prenant en compte son histoire personnelle et familiale à travers une relation thérapeutique d'écoute et de compréhension. La fréquentation des divans devient une étape incontournable pour les étudiants en psychiatrie qui, une fois formés, se retrouvent souvent eux-mêmes analystes.
Mais, depuis la fin des années 1980, ce modèle humaniste a été mis à mal par des impératifs de gestion et par de nouvelles conceptions de la maladie mentale fondées sur des critères d'efficacité et de rentabilité. Sous prétexte de poursuivre le mouvement antiasilaire initié après guerre, et par souci d'économies, les gouvernements successifs, de droite et de gauche, ont décidé de réduire de façon drastique les services psychiatriques dans les hôpitaux, désormais réservés aux patients les plus lourds ou en crise, et de traiter les autres malades dans des dispensaires, des hôpitaux de jour ou des appartements thérapeutiques. Une réforme des études médicales est lancée, qui ramène les psychiatres égarés dans les sciences humaines dans le giron de la médecine. Les différents plans de santé mentale élaborés ces dernières années prévoient la disparition de 40% d'entre eux d'ici à dix ans et le transfert d'une partie de leurs compétences aux professions paramédicales (infirmières, psychologues, travailleurs sociaux), qui seront chargées du contact avec les malades, pendant que les psychiatres se cantonneront au rôle de superviseurs ou de coordinateurs des soins.
«Le problème, c'est que ces structures alternatives qui devaient accueillir les malades en ville ont été oubliées, remarque Hervé Bokobza, psychanalyste et président de la Fédération française de psychiatrie: 3 000 places seulement ont été créées, alors qu'on a supprimé dans le même temps 30 000 lits d'hôpital. Résultat, les patients se retrouvent souvent à la rue, clochardisés, ou dans les prisons. A Paris, 40% des SDF sont des malades mentaux.» Le psychiatre Edouard Zarifian partage son amertume: «Les listes d'attente s'allongent à l'hôpital comme dans les cliniques et les cabinets privés; on réduit les moyens des psys tout en leur demandant de prendre en charge toute la misère sociale. Le malade devient un ‘‘usager'', un ‘‘consommateur de soins'' dont le traitement s'apparente de plus en plus à la gestion des stocks.» La plupart des hôpitaux psychiatriques ont ainsi mis en place un «programme médicalisé du système informatique» qui consiste à coder la pathologie de chaque patient selon une nomenclature précise qui définit la durée du séjour et la thérapie. On voit mal dans ces conditions comment les principes d'écoute bienveillante prônés par les psychiatres français d'après guerre pourraient perdurer.
Vous ne le savez certainement pas, mais des bénévoles non diplômés, exercent des fonctions d’aides opératoires ou d’aides instrumentalistes dans certains blocs opératoires, ou encore dans des cabinets d’endoscopie dans certaines cliniques privées. Bien souvent, les chirurgiens s’entourent ainsi de leurs épouses ou de leurs secrétaires, sans que celles-ci n’aient reçu de formation spécifique pour exercer de tels soins. Les autorités de santé ont souhaité régulariser la situation de ces 300 à 400 bénévoles en organisant des épreuves de vérification des connaissances. Les recalés seront interdits de bloc, les autres pourront continuer. Doctissimo.fr, 26 août 2005, Source: Communiqué du ministère de la santé, de l’Unaibode et du SML Le Conseil d'Etat a suspendu vendredi "en urgence" l'application du décret et de l'arrêté autorisant des "bénévoles" à exercer, dans les cliniques privées, les fonctions d'aides opératoires. Une victoire pour la sécurité du patient. Mais une victoire partielle seulement ! Car en effet, si "l'application du texte est suspendue jusqu'à ce que le Conseil d'Etat statue définitivement sur (sa) légalité", ont fait savoir plusieurs associations et organisations de soignants, les pouvoirs publics semblent déterminés à passer en force. Ces dernières dénoncent ainsi dans une seconde démarche, "l'arrogance du ministère et du lobby qu'il représente". Yahoo, Destination santé, Sources: AEEIBO, GIPSI, UNAIBODE, CNI, 3 et 5 septembre 2005 |
Libération, 17 septembre 2005
Feu sur Freud, suite à la parution du «Livre noir de la psychanalyse», extraits :
Péremptoire : «Moi, j'applique à la lettre le principe de l'historien Vidal-Naquet. On ne discute pas avec des gens qui veulent vous tuer. On parle d'eux, sans eux. Pas de débat», s'enflamme Elisabeth Roudinesco, historienne de la psychanalyse.
Automne 2003, un député UMP, médecin de formation, s'étonne que n'importe qui puisse mettre une plaque sur le bas de son immeuble pour se déclarer psychothérapeute. Il veut «bien faire». Il dépose un amendement pour réglementer le titre de psychothérapeute (Libération du 25 octobre 2003). Dans sa première version, le bon docteur Accoyer inclut dans cette réglementation les psychanalystes. Fureur d'une grande partie de ces derniers, qui rappellent que Freud et ses descendants se sont toujours construits en marge de l'Etat et des pouvoirs publics. Et que leurs disciplines et pratiques s'autoréglementent autour d'écoles. Après moult réunions et assemblées générales, mais aussi grandes envolées lyriques contre la mainmise des experts et des évaluateurs, un texte anodin est finalement adopté par le Parlement qui exclut les psychanalystes du champ de cette réglementation.
En février dernier un rapport devait être retiré du site du ministère. - Ce rapport, qui avait été rendu public un an auparavant, concluait que les fameuses thérapies comportementales et cognitives (TCC) avaient une efficacité incomparable par rapport aux chemins mystérieux d'une cure analytique. «C'est une honte. On n'a jamais vu un cas de censure scientifique, opéré par un ministre de la République», ont aussitôt protesté les auteurs dudit rapport, appuyés par la direction de l'Inserm et par les tenants des TCC.
«Plutôt qu'un livre noir, j'aurais préféré que l'on parle plutôt des pages sombres de l'histoire de la psychanalyse», tempère Philippe Pignarre, un des auteurs, d'ordinaire spécialisé dans la dénonciation des pratiques de l'industrie pharmaceutique. Non sans raison, il souligne combien le milieu analytique a tardé à «revisiter» des questions importantes, telles l'homosexualité ou la culpabilisation des mères, un temps jugées responsables de l'autisme de leurs enfants. Il dénonce aussi un regard trop fermé des psys sur la toxicomanie, ces derniers ne se souciant guère qu'à l'heure du sida il y ait urgence à éviter d'abord que les toxicomanes ne deviennent séropositifs. De là à affirmer que les fils de Freud sont responsables de la mort de milliers de toxicomanes... Sauf, évidemment, à vouloir faire du bruit.
L'Humanité, Urgence pour la psychiatrie
Par Franck Fabien, 10 décembre 2002
Retour à 1656, l'âge classique de la psychiatrie, extraits :
Depuis la circulaire du 15 mars 1960, la psychiatrie publique en France a évolué considérablement d’une manière hétérogène, certes, mais elle est devenue au fil des ans un grand service public de qualité reconnu bien au-delà de nos frontières. Force est de constater que le dernier projet politique audacieux pour la psychiatrie et la santé mentale date de 1982. Le rapport Demay, impulsé par Jack Ralite, alors ministre de la Santé, avait ouvert des perspectives donnant un nouveau souffle et des moyens à la psychiatrie publique de secteur. Depuis 1984, malgré les efforts considérables des équipes soignantes et de leurs partenaires, les gouvernements successifs ont cassé, restructuré, humilié, méprisé les travailleurs des secteurs psychiatriques, alors que les besoins nouveaux appelaient des réponses novatrices et progressistes. Avec le plan Juppé et les ordonnances de 1996 la situation s’est aggravée, Jospin, avec sa politique, s’est placé dans cette continuation, tout comme Kouchner d’ailleurs, et le positionnement de Mattei n’est pas là pour nous rassurer.
Dans le champ du travail clinique en psychiatrie, on n’exerce pas qu’avec des protocoles d’enfermement : il y a le langage, la parole, les mots, mais faut-il qu’il y ait des infirmiers pour faire que ces mots circulent et prennent sens pour devenir thérapeutiques. Cette casse du service public de psychiatrie, ces restructurations ont eu pour effet, ces dernières années, de démotiver les équipes soignantes, de provoquer le désarroi chez les utilisateurs de la psychiatrie publique. Les valeurs qui ont contribué à la constitution de la psychiatrie publique de secteur sont en train de voler en éclats, des lieux d’écoute et d’accueil de proximité disparaissent faute de moyens, les portes des hôpitaux psychiatriques se referment, mettant en cause parfois les libertés individuelles, les pratiques professionnelles perdent de leur cohésion entraînant vers le bas le niveau de qualité des soins. La psychiatrie française de secteur est au bord du gouffre et nécessite de la part de tous les citoyens une mobilisation sans précédent, et c’est un peu le sens que veulent donner les psychiatres promoteurs des états généraux de la psychiatrie qui se tiendront à Montpellier en juin 2003. Mais la dégradation est telle que c’est tout de suite qu’il faut agir pour inverser le cours des choses. L’État, ses responsables politiques, vont-ils poursuivre aveuglément leur entreprise de destruction ? Allons-nous assister à un recul de civilisation gommant ainsi toutes les évolutions, le travail, l’utopie parfois de ces professionnels courageux, humbles, intelligents et humanistes qui se sont battus pour mettre un terme à plusieurs siècles de relégation des " fous(*) " dans les ghettos asilaires ?
L’enjeu est clair, entre deux possibilités : l’une ouvrant sur des perspectives créatrices et innovantes, l’autre renfermant les professionnels et les usagers dans un nouvel obscurantisme.
*) mandiants, déviants et insensés
LE MONDE | 27.09.05 La fugue d'un patient cristallise les tensions à l'hôpital psychiatrique de Villejuif Extraits : Dans un rapport du 9 juin, l'Agence régionale d'hospitalisation d'Ile-de-France (Arhif) note qu'au moment des faits "aucun infirmier n'était présent dans la salle commune auprès des patients, ce qui constitue un défaut de surveillance". C'est pour ce motif que le directeur a convoqué les cinq infirmiers en conseil de discipline, en faisant valoir que l'UMD n'en était pas à son premier incident : une instruction judiciaire a été ouverte après le décès, le 14 juillet 2004, d'un patient qui avait fait l'objet d'une contention, tandis qu'un autre malade s'est plaint d'avoir subi des violences, fin juin des allégations qui n'ont cependant pas été prouvées. "Tout le monde sait depuis longtemps qu'il existe des dysfonctionnements à l'UMD , affirme le directeur. C'est une forteresse qu'il faut faire évoluer en réinterrogeant les pratiques médicales." Au-delà, c'est le fonctionnement de l'UMD dans son ensemble qui est mis en cause, l'Arhif affirmant que la rénovation n'a pas abouti à la redéfinition d'un "projet médical et d'un projet de soins" . "On nous a dit que la restructuration aboutirait à une plus grande humanisation, mais, aujourd'hui, les patients sont comme des lions en cage , dénonce André Tollendal, infirmier. Avec ces nouveaux locaux, on est plus préoccupés par des problèmes de sécurité que par la qualité des soins." "Le conseil de discipline est un chiffon rouge qu'on agite pour éviter de parler des sujets importants, comme obtenir un véritable projet de soins pour l'UMD , estime Gilles Delbos, conseiller général (PCF) d'Ivry-sur-Seine et président du conseil d'administration. Mais il va bien falloir retomber sur ses pattes et parler des moyens humains et de qualité d'accueil." Pour l'heure, seule la sécurisation accrue du site a été envisagée, dans une optique toujours plus carcérale : les grillages et le mur d'enceinte seront prochainement surélevés, et des systèmes de détecteurs infrarouges et de vidéosurveillance mis en place. |
L'accès direct aux psychiatres remis en cause
Le Figaro, le 1er octobre 2005
Par Catherine Petitnicolas, extraits :
Les psychiatres de ville sont inquiets. Car l'accès direct du patient à un psychiatre, sans passer par l'aval du médecin généraliste, est menacé. Cette mesure avait été annoncée publiquement le 1er juillet dernier lors de la mise en place du parcours de soins, au même titre que l'accès direct au gynécologue et à l'ophtalmologiste.
Si on abandonne l'accès direct au psychiatre, on entérine l'idée que le métier de psychiatre est avant tout celui d'un consultant, d'un technicien qui va exercer en dehors de toute relation thérapeutique avec son patient. «C'est un déni du respect de la singularité de chaque patient et du temps nécessaire à l'écoute», s'insurge le docteur Yves Froger, psychiatre à Lorient en secteur I et secrétaire général de l'Afpep-SNPP. «Car la psychiatrie est une spécialité médicale bien particulière, non réductible à des prescriptions, des rééducations ou encore à des protocoles identiques pour tous. Contrairement à d'autres spécialités bien codifiées.»
Exemple, la dépression, une maladie qui concerne ou concernera 20% de la population, soit un Français sur cinq, à un moment ou un autre de son existence. Si on se contentait de ce que dit la «science» ou la neurobiologie, il suffirait de prescrire selon des protocoles bien précis, un antidépresseur puis un autre, en cas d'échec du précédent, puis encore un autre... «Et on s'en tiendrait là. Sans chercher à savoir ce que la dépression représente pour le malade, dans son système de relation, dans son histoire, dans sa famille, dans son travail, voire même s'il n'a peut-être pas tort de déprimer», analyse le docteur Pierre Cristofari (Hyères). «Car il n'y a pas de patient type et nous, gens de terrain, voulons pouvoir soigner les gens, en leur proposant outre les médicaments, aussi bien un soutien psychologique voire une psychothérapie ultérieure.»
«Mais malheureusement aujourd'hui, nous sommes à une période où la neurobiologie et la pharmacologie cherchent à prendre le dessus», ajoute le docteur Patrice Charbit, psychiatre à Paris. «On cherche à les faire passer pour le nec plus ultra. Alors que les nouveaux médicaments issus de la recherche en neuropharmacologie n'ont guère fait de progrès par rapport à ceux découverts il y a près de cinquante ans, tant au niveau des antidépresseurs que des antipsychotiques», comme l'a maintes fois souligné un universitaire comme le professeur Edouard Zarifian. «Il ne s'agit pas de la science mais des oripeaux de la science», tranche le docteur Pierre Cristofari. «Or le premier devoir de la science, c'est de rappeler le doute et surtout les limites du périmètre auquel ces découvertes s'appliquent.»
Mais aujourd'hui la plupart des jeunes psychiatres sont formés à l'école neurobiologiste. «Si nous dénonçons aujourd'hui l'accès limité au psychiatre, c'est pour éviter que leur exercice soit considéré comme une simple technique, conclut le docteur Loubatière. On cautionnerait le fait que cette spécialité ne soit plus que la prise en compte d'un fonctionnement neurocérébral inadéquat. Alors qu'elle doit demeurer l'alliance entre toutes les disciplines qui la constituent.» Dans l'intérêt des patients.
Posted 20 years, 2 months ago on September 18, 2005
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