November 2, 2006

Le jeu des deux ou trois erreurs

Deux ou trois erreurs au moins se sont glissées dans cette image, à vous de les retrouver :



Du portail de l'association Enfance et Partage,
ce 2 novembre 2006.


Des Actions en France de cette association :

En France la mission globale est de porter assistance aux enfants victimes de maltraitance physique et/ou psychologique et d’abus sexuels : conseils psychologiques et juridiques par téléphone
(N° Vert 0800.05.1.2.3.4), orientation vers d’autres structures, accompagnement juridique, intervention de nos avocats, soutien psychothérapeutique, etc.
Une mission de première importance puisque d’après des statistiques de l’Observatoire National de l’Enfance en Danger, on a recensé 18 500 cas d’enfants maltraités en 2002 et 67 500 cas d’enfants à risque, soit un total de 86 000 enfants en danger.

ENFANCE ET PARTAGE traite chaque année 1 000 dossiers d’enfants victimes de maltraitance ou d’abus sexuels. Aidée par 50 avocats l’Association se constitue régulièrement partie civile au côté des familles et des victimes.


Enfance et Partage
Association régie par la Loi 1901
Reconnue de Bienfaisance

Depuis 30 ans, l’association ENFANCE ET PARTAGE se bat pour protéger, défendre et prévenir les enfants contre toutes formes de maltraitance, que ce soit les violences physiques ou psychologiques, les négligences graves ou les abus sexuels.


- Quatre fois plus de victimes -


Posted 19 years, 2 months ago on November 2, 2006
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Re: Le jeu des deux ou trois erreurs
vendredi 3 novembre 2006, 12h23
Haut-Rhin: une mère accusée d'avoir tué sa fille de 7 ans jugée en janvier 2007

COLMAR (AP) - Tania Parsinari, cette femme de 31 ans accusée du meurtre de sa fille Sophia, 7 ans, sera jugée par la cour d'assises du Haut-Rhin vers la fin janvier 2007, sans doute du 22 janvier au 9 février, apprend-on vendredi de source judiciaire. La jeune femme qui clame son innocence encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

Sophia avait été retrouvée morte le matin du 11 mars 2003 au bord d'un ruisseau, à 200m du domicile maternel à Brunstatt (Haut-Rhin). Sa mère avait signalé sa disparition au commissariat de police la veille à 17h30. Selon les dires de celle-ci, Sophia, qui sortait de l'école, avait décidé de rejoindre son frère aîné Mickael, âgé alors de 10 ans, sur une aire de jeux proche. Sophia n'y a jamais été vue.

Les recherches immédiates furent vaines. Après la découverte du corps, un exhibitionniste fut arrêté puis remis en liberté. L'autopsie avait révélé que Sophia avait été étouffée et non pas noyée, et que son cou révélait la trace d'une main gauche. A l'époque, sa mère avait le bras droit plâtré.

Parmi les éléments à charge, une co-détenue a affirmé que Tania Parsinari lui avait avoué le crime. La mère fut mise en examen le 19 mars suivant, mais ne fut pas autorisée à se rendre aux obsèques de sa fille. Elle avait obtenu de se recueillir quelques jours plus tard sur sa tombe.

De sa cellule, la mère a multiplié les demandes de remise en liberté et entrepris une grève de la faim. Au moment du drame, Tania Parsinari était en conflit avec son ex-mari. AP

bez/se/mw


Posted 19 years, 2 months ago by Bruno KANT • • • Reply
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