November 17, 2006
La couardise des politiques fustigée
Toulouse avait déjà suscité une polémique assez vive à l'occasion de l'annonce et de la préparation d'un congrès, la place de l'enfant dans l'espace du conflit. Toulouse vient maintenant d'organiser un meeting, il est étrange que sa publicité n'a pas été interdite au motif des troubles qu'elle pourrait susciter.
La société semble atomisée, les uns et les autres étant chacuns aveuglés qui par ses croyances, qui par ses convictions. Quelqu'un envisagera-t-il encore le dialogue ou y aura-t-il purement et simplement impasse de la conférence de la dernière chance ? Il est une coutume dans notre société occidentale qui consiste à annoncer la fin du monde en période de crise. Y aurait-il aujourd'hui imposture pour rassembler les hommes, ces animaux aujourd'hui peut être grégaires ?
Pourtant, dans l'émission « A vous de juger » du 16 au soir sur France 2, l'auditoire paraissait inquiet mais surtout lucide et éclairé face aux politiques et leurs discours. Pour ma part, je partage le sentiment de Cukiermann, les participants à ce meeting sont tous des Robert Redeker, ils semblent avoir négligé certains aspects de l'histoire qui ne se résume pas qu'au siècle dernier et encore moins à une pensée et point de vue unique sur cette histoire :
La liberté d'expression défendue lors d'un meeting de soutien à Robert Redeker Le Monde avec AFP, 16.11.06 Robert Redeker, professeur agrégé de philosophie menacé de mort après la publication il y a deux mois dans Le Figaro d'une diatribe sur l'islam intitulée "Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre?", a assisté, mercredi 15 novembre, à Toulouse au meeting de soutien en sa faveur oraganisé par diverses associations. "L'organisation de ce meeting m'émeut profondément", a-t-il expliqué en clôture de la réunion, avant de rappeler les étapes de "l'affaire" et de faire applaudir le travail "formidable" de la gendarmerie qui le protège "24 heures sur 24". Parlant de sa vie actuelle, il a dit avoir été "exfiltré de l'existence", tout comme sa famille, et a rappelé avec force qu'"une opinion sans détracteurs, en démocratie, n'est pas une opinion". Dernier orateur à s'exprimer avant lui, le philosophe Bernard-Henry Lévy avait expliqué que son soutien était "une question de réflexe". "Nous devons le soutenir au nom du légitime choc des opinions", a-t-il martelé. Le réalisateur Claude Lanzmann a évoqué "ce sacripant de Redeker, ce philosophe". "Cet homme est une grande voix que l'on veut faire taire, une lumière que l'on veut éteindre", a déclaré le réalisateur de Shoah. "NOUS SOMMES TOUS DES ROBERT REDEKER" Au cours de la soirée "pour la loi et le droit républicain pour la liberté d'expression", notamment organisée par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), SOS-Racisme et l'hebdomadaire Charlie Hebdo, plusieurs personnalités ont également pris la parole, comme le maire UMP de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, ou le journaliste et écrivain Mohammed Sifaoui, ou par écran interposé comme Marek Halter ou Dominique Strauss-Kahn. Le président du CRIF national, Robert Cukiermann, a fustigé "la couardise des politiques qui acceptent si facilement les menaces des fanatiques", et "l'esprit de Munich, qui pollue tous les esprits", avant d'expliquer "nous sommes tous des Robert Redeker". Dominique Sopo, président de SOS-Racisme, a jugé que l'"on est dans une très sale ambiance depuis quelques mois", rappelant l'affaire des caricatures de Mahomet ou d'un opéra annulé en Allemagne. Depuis les menaces contre Salman Rushdie en 1989, les islamistes, a-t-il expliqué, "ont inventé le concept d'islamophobie qui veut renvoyer toute critique de l'islam à du racisme, c'est un renversement de toute logique". "Nous ne nous laisserons pas impressionner", a-t-il conclu. Dans sa tribune, intitulée « Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ? », M. Redeker affirmait notamment : « Chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran. (...) Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l'islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine. Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran. » L'édition du quotidien dans laquelle figure cette tribune a été interdite de vente en Tunisie et en Egypte. |
L'esprit de Munich
Il existe une contradiction fondamentale entre la partie la plus ancienne du Coran, exprimée par Mahomet à la Mecque quand l'Islam était tolérant et la partie ultérieure, exprimée par Mahomet à Médine lorsque l'Islam conquérant et victorieux ne toléra plus de déviation. Les versets les plus anciens, les "manshuks", sont humains et libéraux. C'est sur eux que s'appuient les érudits qui veulent montrer que l'Islam est une religion tolérante et compatissante. (...) A Munich aussi, nous avions "retiré nos troupes" plutôt que de combattre le nazisme lorsqu'il en était encore temps. On connaît la suite.
Le dogme et l'érésie
C'est sous Constantin converti au lendemain du miracle de Milvius, que le terme « hérésie », du grec haireris qui signifie « choix », cesse de désigner une alternative religieuse et prend le sens péjoratif d'« erreur », selon les dogmes de la nouvelle orthodoxie édictés en 325.
L'inquisition, rempart de la foi ?
Découvertes Gallimard, page 11
En 312, Constantin, qui gouvernait la Gaule et la Grande-Bretagne et qui favorisait les Chrétiens, attaqua Maxence qui, lui, régnait sur l'Italie et l'Afrique. Les armées de Constantin fondirent sur Rome, écrasèrent celles de son concurrent d'abord à Turin, puis au Pont Milvius, dans les faubourgs de Rome, où leur chef trouva la mort, noyé dans le Tibre par où il tentait de s'enfuir avec ses troupes débandées.
Une légende veut qu'avant cette bataille décisive, Constantin ait bénéficié d'une vision du monogramme du Christ, flamboyant dans les nues, accompagné des mots In hoc signo vinces (= "Par ce signe, tu vaincras").
... Avec Constantin, l'Empire prit définitivement la forme d'une monarchie absolue de droit divin. Le rôle du Sénat de Rome fut réduit à celui d'un conseil municipal, concurrencé par celui de Constantinople. Le titre de Consul devint purement honorifique. La cour devint le centre de l'État.
La chancellerie, le consistoire et les grands services disposèrent d'une puissante administration où les représentants du souverain prirent en main tous les rouages de l'État.
... L'œuvre religieuse de Constantin est capitale, puisqu'elle devait aboutir à la constitution d'un Empire chrétien.
Vers 319, Arius, prêtre d'Alexandrie prêchait une doctrine originale concernant la Trinité : seul le Père était véritablement de nature divine ; Jésus, le Fils n'était que la première de ses créatures. Ces idées furent condamnées une première fois, par un synode tenu à Alexandrie où l'on excommunia le prêtre Arius. Le patriarche d'Alexandrie communiqua cette sanction au pape Sylvestre. Mais celui-ci adopta une attitude prudente et attentiste (certains diront chèvre-choutiste), se gardant bien de prendre position dans le conflit idéologique.
Profitant sans doute du silence de celui qui, qu'on le veuille ou non, était reconnu comme la plus haute autorité de l'Église en matière dogmatique, l'hérésie gagna du terrain, entraînant avec elle son cortège de troubles et de violences.
Empereurs romains,
Constantin Ier "le grand"
IVe siècle: la seule religion d’Etat
En quelques années, les chrétiens assistent à un retournement complet de la situation qui prévalait au IIIe siècle: le paganisme est interdit, les païens sont persécutés, et le christianisme devient la seule religion d’Etat. Constantin est le premier empereur romain à se convertir à la nouvelle foi.
l'histoire du christianisme,
Le Temps
Le Monde, 30.09.06 - Un professeur de philosophie menacé de mort pour une tribune sur l'islam 20Minutes.fr avec AFP, 21.10.06 - "La France, pays des Lumières et de la séparation des pouvoirs, est devenue la lampe de poche judiciaire de l'Europe", a lancé M. Barella. |
Posted 19 years, 9 months ago on November 17, 2006
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Derrière l'affaire des caricatures de Mahomet
La tentation totalitaire
Derrière l'affaire des caricatures de Mahomet.
N° 460 Semaine du 11 février 2006 au 17 février 2006
C'est un peu comme pour Ben Laden et la CIA: les Drs Frankenstein voient toujours se retourner contre eux les monstres qu'ils ont conçus. Ce qu'illustre, une fois de plus, l'affaire des pseudo-caricatures, au demeurant gentillettes, du prophète Mahomet. C'est en septembre dernier que le Figaro danois les avait publiées. Alors, pourquoi cette crise d'hystérie cinq mois plus tard? Pour une raison simple: un certain nombre de régimes arabes et musulmans autocratiques avaient soutenu, ou toléré, la guerre d'Irak, contre la quasi-totalité de leurs populations, estimant que le jeu en valait bien la chandelle, puisque l'inéluctable victoire américaine ferait tomber sur eux une mirifique manne en guise de récompense. Mauvais plan! L'opération «Irak» se solde par un cataclysmique fiasco, l'Amérique s'enlise, et l'onde de choc provoque un véritable raz-de-marée islamiste au Koweït, à Bahrein, en Iran, en Egypte, en Irak même et, enfin, en Palestine avec le triomphe du Hamas. Affolement. Sauve qui peut!
C'est alors que les autorités saoudiennes, avec l'accord de l'Egypte et des émirats du Golfe, songent, fût-ce à retardement, à utiliser l'affaire des caricatures de Mahomet comme diversion, pour offrir un exutoire aux fureurs populaires. Informées, les administrations Bush et Blair approuvent, dans un premier temps, l'opération jugée habile: elles stigmatisent les caricatures «infâmes» et approuvent les réactions d'indignation publiques dans les pays musulmans... n'hésitant pas, de la sorte, à lâcher, et même à enfoncer, le gouvernement bushiste danois qui a pourtant envoyé des troupes en Irak. La manipulation connaît, d'abord, un franc succès. Pensez donc: on peut envahir des pays musulmans, occuper des terres musulmanes, bombarder les villages musulmans, massacrer les familles musulmanes, tirer sur les foules musulmanes, arrêter, emprisonner, torturer, exécuter des individus musulmans, qu'importe, du moment que l'on s'interdise de caricaturer le prophète Mahomet!
Dans un deuxième temps, on assiste, évidemment, à un front commun des bigots: se bousculent les poncifs de poncifs, la Curie vaticane, certains évêques, les rabbins orthodoxes et les prêcheurs évangélistes en rajoutant dans l'appel à censurer, désormais, tout ce qui leur apparaîtrait comme une «atteinte au sacré». Cléricaux de tous les pays, unissez-vous! Sortent alors de toutes les basiliques, crosse en main, des enturbannés et goupillonnés de la cervelle qui montrent le poing pour exiger des mises à l'Index.
Mais c'est alors que les apprentis sorciers voient leur création leur échapper.
Dans l'univers musulman, l'extrême droite islamiste renifle la bonne occasion et s'engouffre dans la brèche. Un seul mot d'ordre: tirer, tirer sur la corde à noeuds... ou le chapelet! Seules des minorités, jamais plus de quelques milliers de manifestants (ce qui a été peu souligné), se laissent berner. Mais ces minorités très agissantes se manifestent partout, y compris en Bosnie, et avec une violence extrême.
(...)
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Derrière l'affaire des caricatures de Mahomet.
N° 460 Semaine du 11 février 2006 au 17 février 2006
C'est un peu comme pour Ben Laden et la CIA: les Drs Frankenstein voient toujours se retourner contre eux les monstres qu'ils ont conçus. Ce qu'illustre, une fois de plus, l'affaire des pseudo-caricatures, au demeurant gentillettes, du prophète Mahomet. C'est en septembre dernier que le Figaro danois les avait publiées. Alors, pourquoi cette crise d'hystérie cinq mois plus tard? Pour une raison simple: un certain nombre de régimes arabes et musulmans autocratiques avaient soutenu, ou toléré, la guerre d'Irak, contre la quasi-totalité de leurs populations, estimant que le jeu en valait bien la chandelle, puisque l'inéluctable victoire américaine ferait tomber sur eux une mirifique manne en guise de récompense. Mauvais plan! L'opération «Irak» se solde par un cataclysmique fiasco, l'Amérique s'enlise, et l'onde de choc provoque un véritable raz-de-marée islamiste au Koweït, à Bahrein, en Iran, en Egypte, en Irak même et, enfin, en Palestine avec le triomphe du Hamas. Affolement. Sauve qui peut!
C'est alors que les autorités saoudiennes, avec l'accord de l'Egypte et des émirats du Golfe, songent, fût-ce à retardement, à utiliser l'affaire des caricatures de Mahomet comme diversion, pour offrir un exutoire aux fureurs populaires. Informées, les administrations Bush et Blair approuvent, dans un premier temps, l'opération jugée habile: elles stigmatisent les caricatures «infâmes» et approuvent les réactions d'indignation publiques dans les pays musulmans... n'hésitant pas, de la sorte, à lâcher, et même à enfoncer, le gouvernement bushiste danois qui a pourtant envoyé des troupes en Irak. La manipulation connaît, d'abord, un franc succès. Pensez donc: on peut envahir des pays musulmans, occuper des terres musulmanes, bombarder les villages musulmans, massacrer les familles musulmanes, tirer sur les foules musulmanes, arrêter, emprisonner, torturer, exécuter des individus musulmans, qu'importe, du moment que l'on s'interdise de caricaturer le prophète Mahomet!
Dans un deuxième temps, on assiste, évidemment, à un front commun des bigots: se bousculent les poncifs de poncifs, la Curie vaticane, certains évêques, les rabbins orthodoxes et les prêcheurs évangélistes en rajoutant dans l'appel à censurer, désormais, tout ce qui leur apparaîtrait comme une «atteinte au sacré». Cléricaux de tous les pays, unissez-vous! Sortent alors de toutes les basiliques, crosse en main, des enturbannés et goupillonnés de la cervelle qui montrent le poing pour exiger des mises à l'Index.
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Le 30 septembre 1938, le Français Daladier, le Britannique Chamberlain et l'Italien Mussolini signent avec Hitler les accords de Munich. En cédant une nouvelle fois à la menace, les Occidentaux confirment le dictateur allemand dans la conviction que tout lui est permis. Conférence de la dernière chance.