La partialité de AP - ou de la police ?

November 19, 2006

La partialité de AP - ou de la police ?

Il n'y aurait pas eu mise en péril de mineur, il n'est plus question d'« abandon » mais d'un « incident ». L'enfant reste confié à la DDASS, le juge pour enfant « investigue » :

STRASBOURG (AP), 10h19 - La mère du petit garçon de quatre mois trouvé vendredi sur la route du Rhin à Strasbourg (Bas-Rhin), s'est présentée à la police plusieurs heures après l'incident, a-t-on appris dimanche de source policière.

Cette femme de 38 ans affirme avoir eu un appel téléphonique sur son portable qui l'a déstabilisée alors qu'elle allait chercher sa fille aînée à l'école. Elle a été remise en liberté mais son bébé reste confié à la DDASS en attendant que l'enquête confiée à un juge des enfants soit terminée. AP

Dans le même temps, des Abrets, on apprend que l'ex compagnon de la mère a avoué avoir tué Nicolas, 10 ans. On apprend aussi que l'enfant vivait en alternance. On pourrait en conclure que ce mode de garde tue. La dépèche est en effet assez confuse et plutôt que de lire que la mère a eu plusieurs compagnons dans sa vie, certains alimentent déja la rumeur en se lançant dans le procès de la RA, confirmant la « catastrophe sanitaire » dont il est question en épilogue du livre noir de la RA (page 221 et suivante).

- L'homme criminel, les femmes mineures ? -

Posted 19 years, 2 months ago on November 19, 2006
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La résidence alternée a tué un enfant;la catastrophe était prédite

"La résidence alternée a tué un enfant;la catastrophe était prédite"
Envoyé par agerbez le 19 novembre à 09:23

AFP 18/11/2006 18H48 : le petit Nicolas a été retrouvé tué aux Abrets ( Isère )... le meurtrier présumé a avoué le crime ... il s'agit de l'ex compagnon de la mère ... selon des sources de proches, l'enfant vivait en alternance entre les domiciles de sa mère et de son père

C'EST DONC BIEN LA RÉSIDENCE ALTERNÉE QUI EST RESPONSABLE,SELON LES GRANDS SPÉCIALISTES

on voit que la "catastrophe sanitaire" en conclusion du livre noir de la garde alternée ( page 221)est une véritable prédiction

on devrait enfermer tous les pères des associations de pères qui sont aussi responsables de soutenir quelque chose qui a tué un enfant !

Posted 19 years, 2 months ago by Anonymous • • • Reply
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Bébé abandonné sur la route du Rhin

samedi 18 novembre 2006, 9h51
Bébé abandonné sur la route du Rhin

STRASBOURG (AP) - Les policiers de Strasbourg recherchent la mère ou des proches d'un bébé d'environ quatre mois abandonné vendredi dans sa poussette, sur la route du Rhin, à Strasbourg (Bas-Rhin).

C'est un passant qui, intrigué, a alerté les secours. L'enfant qui a été examiné à l'hôpital de la ville est en bonne santé.

Blond aux yeux bleus, le bébé était assis sur un sac en matière plastique où est inscrit Kaufland. Il était chaudement habillé d'une veste abricot avec des dessins de voitures, d'un bonnet jaune brodé d'un raton laveur, d'un body gris, d'un pantalon kaki et de chaussons où est inscrit "Câlins de Noël". AP

Posted 19 years, 2 months ago by Anonymous • • • Reply
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Le suspect du meurtre d'un enfant aux Abrets passe aux aveux

dimanche 19 novembre 2006, mis à jour à 09:31
Le suspect du meurtre d'un enfant aux Abrets passe aux aveux
Reuters

Le suspect placé en garde à vue samedi après la découverte du corps d'un enfant dans la commune des Abrets, en Isère, est passé aux aveux, a annoncé dans la soirée le procureur de la République de Bourgoin-Jallieu.

"Nous avons reçu des aveux circonstanciés de l'ancien compagnon de la maman du petit Nicolas, qui a reconnu les faits", a déclaré Bertrand Nadau au micro de France Info.

"Il indique avoir commis le geste d'homicide vers 14h30, 15h00 maximum, en début d'après-midi hier (vendredi)", a-t-il ajouté.

Ses déclarations ont par ailleurs mis "totalement hors de cause" une deuxième personne qui était en garde à vue et "dont les alibis ont été vérifiés", a-t-il ajouté.

Le corps de Nicolas, 10 ans, a été découvert dans la matinée. L'enfant avait disparu vendredi et des recherches avaient été engagées.

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L'ancien compagnon de la mère en garde à vue

samedi 18 novembre 2006, 19h19
Un petit garçon de dix ans retrouvé mort en Isère, l'ancien compagnon de la mère en garde à vue

LES ABRETS, Isère (AP) - L'ancien compagnon de la mère de Nicolas était en garde à vue samedi dans l'enquête sur la mort du petit garçon de 10 ans, disparu la veille aux Abrets en Isère. Interpellé au lever du jour à son domicile, l'homme a conduit les gendarmes de la section des recherches de Grenoble près du stade des Abrets où ils ont découvert le corps de l'enfant dans la matinée.

Selon les premières constatations médico-légales, il semble que l'enfant ait été "étranglé et violenté", a précisé Bertrand Nadau, procureur de Bourgoin-Jallieu, lors d'une conférence de presse. Selon les experts, la mort du garçonnet remonterait à 17h30, vendredi, quelques heures seulement après sa disparition, a-t-il ajouté.

Une autopsie du corps devait avoir lieu samedi soir à l'institut médico-légal de Grenoble. Le parquet de Bourgoin devait ouvrir dimanche soir une information judiciaire pour "enlèvement et meurtre".

Le principal suspect, âgé de 43 ans, avait rencontré la mère de Nicolas, Marie-Cécile Dabon, au début de l'été 2006. D'après sa soeur, Thierry A., qui vit dans un appartement voisin de celui de Marie-Cécile, était séparé de cette dernière depuis quelques jours.

Dès vendredi soir, à 21h30, les gendarmes, "grâce à un témoignage déterminant", avaient acquis la certitude que la disparition de Nicolas était un enlèvement, a précisé Bertrand Nadau.

Dès 6h du matin, samedi, les gendarmes ont procédé à plusieurs interpellations. Plusieurs autres habitants avaient été interpellés, puis remis en liberté après vérifications de leurs emplois du temps.

Les parents de Nicolas, Marie-Cécile et Bruno Dabon, vivaient séparés. Le petit garçon et sa soeur cadette avaient déjeuné vendredi, comme d'habitude, avec leur père, qui en a la garde. Après le repas, Bruno Dabon a déposé son fils à une centaine de mètres de l'école Haroun-Tazieff. Mais l'élève de CM1 n'est pas allé en classe vendredi après-midi.

Sa mère, inquiète de ne pas le voir à l'issue des cours, a donné l'alerte aux gendarmes vers 17h30. Très vite, des recherches pour tenter de retrouver l'enfant ont été entreprises autour des Abrets.

Le dispositif "alerte enlèvement" qui prévoit une large diffusion par les médias du signalement de l'enfant et de son ravisseur n'a pas été activé "car toutes les conditions n'étaient pas réunies, notamment le signalement du ou des ravisseurs", a précisé le procureur. AP

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