December 8, 2006

Que faut-il faire ?

J'ai fait appel, une fois encore mais à quoi bon ? C'est moi que ces timbrées ont accusé tout en réclamant la garde de mon aînée et ce sont ces deux timbrées que les juges ont servi, les deux tantes de la mome :

"Des femmes très fières et tant merveilleuses"
Envoyé par impaire le 8 décembre à 13:14

L'une, donc, pas de momes [en 1999], une grossesse extra-utérine [en 97 ou 98] et des problèmes... Réclame même la mienne depuis le jour du décès de sa soeur... L'autre soeur, pas mieux, toute jeune elle s'est fait enlever, séquestrer plusieurs jours, violenter, violer, il y a eu procès aux assises et très lourde condamnation (et enfin expulsion vers l'étranger). Ces femmes doivent adorer les hommes.

Et c'est donc ces femmes là qui ont spolié mon aînée et ma famille de tous leurs droits, y compris des plus fondamentaux. Le juge Anne Valentini a signé puis le juge Thierry Reveneau a contre signé. Un professionnalisme et un niveau d'investigation formidable : pourrir le père et finir en sauvant les meubles.



Les cachets de l'ordonnance



De son vivant, la maman de Justine qualifiait elle même sa soeur, assistante sociale de l'ASE, d'acariâtre... Des tantes qui résident à 400 et 500km de chez nous, ce sont elles qui ont "renseigné" les consoeurs et sociales travailleuses de la région parisienne !

Les tantes ne me connaissent même pas et m'accusent depuis des lustres. L'une, celle qui a maintenant la garde, avait même disparue sans laisser d'adresse... Et ce sont elles qui se sont plaintes parce que je ne respectais pas les relations entre mon aînée et sa famille maternelle ! Jusqu'à la grand-mère maternelle qui a résilié son abonnement téléphonique... Et c'est moi que les travailleurs sociaux accusaient !

Chez le juge... Très bon prince, le juge et les travailleurs sociaux de l'OSE France... Des décisions parfois prises des lustres avant l'audience mais toujours dans l'intérêt de l'enfant vont ils prétendre : un père dépeint au hasard des audiences et des ordonnances comme étant dépressif, abandonnique, voleur, nocif, intrusif, dans le déni et maintenant paranoïaque ? Et ailleurs qu'à Bagneux, tout le monde est parfait, merveilleux, même pas besoin d'investiguer (juste une AEMO sur la fin... AEMO = enfant en danger).

L'histoire est juridiquement établie : Nanterre a apposé son cachet, c'est donc LA réalité.

La discussion avec les services sociaux n'est pas possible et par l'écrit, ça ne passe pas non plus. En audience, le contradictoire à Nanterre, c'est même pas la peine.

D'un échange dans un forum...

> Raisonner hors de l'institution, faire pression
> sur les politiques, encore et encore

Dans ce secteur, Nanterre, le politique, c'est l'UMP.

J'ai distribué des tracts, je leurs ai envoyé des chewing gums, etc, etc. Ce que j'ai écrit là haut, je pense l'envoyer à Clement, il va se torcher avec ou le renvoyer à je ne sais qui pour qu'il le classe. Quatre années que ca dure avec les services sociaux, une mome massacrée, ma famille et nos projets foutus en l'air.

7 ans que la maman de justine est 6 pieds sous terre et quelques temps que tata Carole doit jubiler. Le comble: Valentini et Josefsberg m'ont qualifié d'intrusif, de nocif (à leurs propres petits arrangements ?).

Sur le moment, ça m'énerve. Ca doit être lié à l'actualité de ces derniers jours. J'avais 10 jours pour maudir mes juges, cette période est passée, le jugement a été rendu le 23 novembre.


- Que faut-il faire pour qu'un haut perché s'émeuve ou s'interroge ? -


Posted 19 years, 1 month ago on December 8, 2006
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Re: Que faut-il faire ?
vendredi 8 décembre 2006, 12h34
Clichy-sous-Bois: le patron de l'IGS dénonce une présentation "tronquée" de son rapport

PARIS (AP) - Le directeur de l'Inspection générale des services (IGS), Eric Meillan, a dénoncé vendredi la "présentation tronquée d'une affaire de justice" au travers des extraits de son rapport sur la mort de deux jeunes à Clichy-sous-Bois en octobre 2005 publiés jeudi dans la presse.

"Je veux dire à nos concitoyens que la police nationale est une des institutions les plus contrôlées", a déclaré de son côté le préfet de police de Paris, Pierre Mutz, lors d'une conférence à la préfecture. Il a ainsi souhaité "couper court à une fausse polémique qui semble s'instaurer".

"Les extraits donnent l'impression d'un rapport qui mettrait en cause l'action des policiers", a fustigé M. Meillan. "Les extraits sont des copier-coller. Ils aboutissent à ne pas refléter ce qu'il y a vraiment dedans". Des extraits du rapport ont été publiés jeudi par "Le Monde" sous le titre "La 'légèreté' des policiers dénoncée dans le drame de Clichy-sous-Bois". M. Meillan n'a pas formellement démenti le contenu de cet article.

Le patron de l'IGS a précisé qu'il n'avait engagé de sanctions ou de mise à pied à l'encontre d'aucun des policiers présents lors des faits à Clichy-sous-Bois. "Aucun manquement n'est établi à ce stade de l'enquête", a-t-il insisté, disant cependant attendre la fin de l'enquête judiciaire au cas où elle démontrerait que des fautes ont été commises.

M. Meillan conteste notamment que le rapport parle de "légèreté" des policiers. "Ce mot est employé une fois dans 12 pages sur un point extrêmement précis qui concerne la gestion de certains messages radios", a-t-il précisé.

"Ce que j'ai vu dans la presse ne correspond pas à ce qui est sur le rapport" de l'IGS, a aussi déclaré vendredi matin le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy à l'occasion d'un déplacement en Baie de Somme. "On avait contesté la thèse du vol, elle est confirmée", a-t-il ajouté.

Ce point est contesté par l'avocat des victimes, Me Jean-Pierre Mignard, qui a rappelé jeudi que cette hypothèse avait été écartée dès le début de l'enquête par le procureur de la République.

L'avocat insiste cependant sur le fait que le rapport remis au juge d'instruction qui enquête sur l'électrocution de deux jeunes à Clichy-sous-Bois en octobre 2005 confirme la version des jeunes sur l'existence d'une course-poursuite avec les policiers. Alors que le ministre de l'Intérieur avait nié l'existence de ces faits pendant plusieurs jours allant même jusqu'à qualifier les jeunes de "voyous".

Le 27 octobre 2005, deux jeunes Clichois, Bouna Traoré et Zyed Benna, étaient morts dans un transformateur EDF en tentant d'échapper à la police. Un troisième, Muhittin Altun, était grièvement blessé par brûlures. Le 3 novembre, le parquet de Bobigny a ouvert une information judiciaire pour "non-assistance à personne en danger".

La mort des deux mineurs avait déclenché les premiers troubles dans les banlieues. AP

der/sb
Posted 19 years, 1 month ago by Anonymous • • • Reply
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Et alors ??? exactement, et alors ???
D'un échange dans un autre forum encore...


Et alors ??? exactement, et alors ???
[re: Kerwann]

Moi ca fait un moment que j'affirme que le juge pour enfant est louche et même pas tout à fait droit. Et alors?

C'est écrit partout, ces gens ne respectent pas la loi et le droit proclamé.

On le lisait hier dans le Figaro: Des propos qui exaspèrent Me Muriel Laroque, présidente de l'Association des avocats de la famille. «L'intérêt supérieur de l'enfant est une notion très subjective, c'est un vrai fourre-tout, assure-t-elle. Parfois, l'intérêt de l'enfant contredit même la loi.»

Et on peut le lire sur le site de la CA de Paris, rubrique costumes de la scène judicaire: «Siège (juge ou magistrat du siège) - Désigne les magistrats de l'ordre judiciaire qui tranchent les conflits qui leur sont soumis, par opposition aux magistrats du parquet qui représentent les intérêts de la société et réclament l'application de la loi.»

Quand on lit ensuite dans d'autres documents que les travailleurs sociaux seraient des incapables, le tout est bouclé: «La question des critères qui permettent d’évaluer la nécessité de séparer judiciairement un enfant de ses parents est une question à la fois pertinente et surréaliste. En effet, d’un côté nous avons maintenant des indicateurs précis qui permettent d’avoir une marge d’incertitude réduite. D’un autre côté, nous savons que ces indicateurs sont et seront encore longtemps inutiles pour des raisons affectives.» - JDJ n°212, février 2002


Je fais appel mais je me demande à quoi bon, d'autres intérêts semblent être supérieurs à ceux de l'enfant, de très loin:

'Cliquez Ici'


A partir de là, comment pourrait on encore prétendre qu'il y a des lois, des droits et des responsables?

Ces histoires de transfo à Clichy, ça s'est passé fin 2005. Pourquoi en parlerait-on donc encore? C'est pas déjà enterré? Que la police fasse n'importe quoi ou non, quelle importance?

Posted 19 years, 1 month ago by Anonymous • • • Reply
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