February 25, 2007

Une baraque spéciale pour enfants


Ma dernière lettre à la HALDE reste morte. Pour les rapts d'enfants et les méthodes de l'administration française, voir le dossier de Société Civile n°43, iFRAP, janvier 2005. De nombreux parents se plaignent d'enlèvements "légaux" de leurs enfants par l'Allemagne :

CEED - Conseil Européen des Enfants du Divorce
Association de parents enfants et grand-parents victimes d'enlèvements et de rapts internationaux d'enfants
http://www.jugendamt-wesel.com/


D'après le juge pour enfant de Nanterre, les travailleurs sociaux de l'OSE France seraient neutres. C'est une opinion que je ne partage pas.

Lettre ouverte - format PDF

Monsieur le Garde des Sceaux et
Ministre de la Justice,

Le 11 décembre 2006 le ministère de l’intérieur m’a informé qu’il vous faisait suivre l’un de mes envois à l’attention de Monsieur Nicolas Sarkozy, ministre d’état, ministre de l’intérieur. Je souhaite savoir quelle suite a été donnée par vos propres services.

Dans l’attente, ...

Pièces jointes :

- Copie de la lettre du 11 décembre 2006 du ministère de l’intérieur
- Copie d’un récépissé de dépôt de plainte pour « discrimination raciale »


25 aôut 2005 - Vu sur Oasis, l'avis de la CEDH.

11 avril 2006 - Ceux-ci - signalements de l'ASE - se caractérisent essentiellement par « des affirmations souvent à caractère psychologique mais rarement étayées par des faits précis. »





Encyclopédie multimédia de la shoah - Peu après leur libération, des survivants des camps, internés au “Block des enfants 66” de Buchenwald - une baraque spéciale pour enfants. Allemagne, après le 11 avril 1945.

A la Vie ! les enfants de Buchenwald du shtetl à l’OSE
Editions Le Manuscrit
Katy Hazan et Eric Ghozlan
A l'occasion du 60e anniversaire de la libération de Buchenwald, Katy Hazan et Eric Ghozlan ont recueilli les témoignages des "enfants de Buchenwald", ...

« Utiliser le concept de séparation dans une perspective positive, en s'appuyant sur des références diverses et sans orientation idéologique, a été une préoccupation majeure »
« Internat et séparations »
Intervenir auprès des enfants et des adolescents
Richard Josefsberg,
Directeur du château de Vaucelles, à Taverny


U.N. human rights expert faults Israel
AP - Fri Feb 23, 5:34 PM ET
GENEVA - An independent report commissioned by the United Nations compares Israel's actions in the West Bank and Gaza Strip to apartheid in South Africa — charges that have drawn angry rebukes from Israel.

Le Conseil des droits de l'Homme compare l'attitude d'Israël dans les territoires palestiniens à l'Apartheid - GENEVE (AP), 22 février 2007

« Les principes de la République sont notre bien commun (…) Il n’y a pas de place en France pour la haine religieuse ou le racisme » – Allocution du Premier Ministre, Dominique de Villepin, au dîner du CRIF, 23/01/07

Le Monde diplo, mardi 7 février 2006
Israël et l’apartheid
Le quotidien britannique The Guardian a publié, les 6 et 7 février 2006, deux enquêtes approfondies du journaliste Chris McGreal, le premier sur le parallèle possible entre la société israélienne et la société blanche d’Afrique du Sud, le second sur la longue coopération entre le régime de l’apartheid et Israël depuis les années 1950 jusqu’à la chute du régime blanc.

« La République, ce n'est pas donner la même chose à chacun » a déclaré Nicolas Sarkozy, Ministre de l'Intérieur, devant le 89e congrès des maires – AP, 23/11/06.

PARIS (AFP), 22/04/06 - Nicolas Sarkozy, président de l'UMP, a affirmé que "si certains n'aiment pas la France, qu'ils ne se gênent pas pour la quitter", samedi lors d'une réunion à Paris de nouveaux adhérents de l'UMP.


Marianne N°382, Semaine du 14/08/04 – Un système de contrôle archaïque (...) Michel Garel avait tout de ces conservateurs zélés, animés par la double passion de leur métier et du service de l'Etat. (...) Michel Garel connaissait mieux que quiconque le sens du mot sauvegarde. Son père, le Dr Georges Garel, fut l'animateur du principal réseau de sauvetage des enfants juifs, créé en 1942 par l'OEuvre de secours aux enfants (OSE). Au sein de l'association, qui s'occupe aujourd'hui d'enfants de toutes origines, et dont Michel Garel est vice-président, on est assommé par la révélation des forfaits commis à la BNF.


Pétition n° 0038/2006, présentée par Wojciech Pomorski, de nationalités polonaise et allemande, sur la discrimination linguistique liée au droit de visite

Cela dйpasse toutes les bornes. Elle se voit refuser le droit de visiter l'йglise orthodoxe. J'ai dйjа parlй avec Monsieur le Prйsident а ce sujet. Il est aussi restй pantois et a dit: "Eh bien, cela paraоt saugrenu а premiиre vue, mais peut-кtre qu'ils ont leurs raisons?"
Confйrence de presse de V.V.Poutine,
Prйsident de la Fйdйration de Russie,
le 15 janvier 2002, Paris


- Le crime absolu -


Posted 18 years, 8 months ago on February 25, 2007
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Re: Une baraque spéciale pour enfants
Un employé des services secrets français pense avoir été mis en disponibilité à cause de sa conversion à l'islam.
La DGSE très secrète sur les raisons d'une exclusion
Par Christophe BOLTANSKI
Libé, samedi 24 février 2007

De prime abord, Laurent Velé se présente comme «fonctionnaire». Puis, il ajoute à voix basse travailler à la «DGSE». «Depuis vingt ans», précise-t-il. «Avant», il ne divulguait à personne sa véritable activité. «Même mon épouse ne savait pas ce que je faisais.» Aïcha opine : «Je l'ai su il n'y a même pas trois mois.» Aujourd'hui, il se sent libre de parler. Il n'est plus qu'un espion suspendu, un «demi-solde indiciaire, sans prime», qui touche à peine 500 euros par mois.

Le 2 octobre 2003, il a été mis en disponibilité d'office de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), les services de renseignements français, pour une durée de cinq ans. «Dans l'intérêt du service», dit la lettre signée par le ministre de la Défense, Michèle Alliot-Marie. Il a été renvoyé chez lui douze jours plus tard. Aucune raison précise ne lui a été fournie. «Je ne sais pas de quoi on m'accuse, mais j'en ai une idée», avance-t-il. Lors de son passage devant le conseil de direction, avant que le couperet tombe, ses supérieurs lui ont fait un seul reproche : de ne pas les avoir informés immédiatement de sa rencontre avec celle qui allait devenir sa femme, une enseignante marocaine qui a repris des études à la Sorbonne.

Sur écoute. Ils se sont connus sur affection.org en 2000. En 2002, quand leur relation «est passée au stade amoureux», Laurent Velé en a fait part à l'administration centrale par un courrier. «J'ai dit qu'on s'est rencontré fortuitement. Les liaisons par l'Internet, c'était pas encore dans l'air du temps.»

Au siège de l'espionnage français, boulevard Mortier, à Paris, Laurent n'est qu'un simple rouage. Entré à la DGSE en 1985 «par hasard, après le bac, après avoir répondu à une petite annonce», il s'occupe depuis dix ans de maintenance informatique et fait des présentations du matériel à des cadres de la maison. Il ne travaille pas au chiffre. Il n'a pas accès à des données sensibles. Il ne peut même pas consulter les serveurs centraux. Mais la DGSE possède des statuts draconiens hérités de la guerre froide. «Même pour s'inscrire à un club de gym, on doit demander l'autorisation.»
Dans les semaines qui suivent l'envoi de sa lettre, il est interrogé par un enquêteur, puis quelques mois plus tard, par deux colonels du service de sécurité interne. «Un vrai interrogatoire. On m'a posé un certain nombre de questions très intimes.» Laurent Velé comprend que son téléphone est sur écoute, que son ordinateur a été piraté. Ses interlocuteurs font état de conversations privées avec Aïcha. Ils veulent savoir s'il a toujours un problème avec l'alcool, quelle est sa vie sexuelle et, surtout, pourquoi il s'est converti à l'islam.

«Imams». Cet ancien élève d'écoles catholiques explique avoir toujours été croyant. Pour lui, l'islam, c'est une hygiène, un style de vie. «C'était aussi un moyen judicieux de sortir de l'alcool.» Il venait de perdre son père, mort d'un cancer, et sortait d'une cure de désaccoutumance. «Mais tu n'es pas vraiment pratiquant, intervient Aïcha. Moi non plus, mais je ne pouvais pas te présenter à la famille si tu n'étais pas converti.»

Ils se sont mariés le 24 décembre 2003. Elle attend un second enfant. «J'ai toujours adoré ce pays, dit-elle. Si j'avais été une terroriste, j'accepterais d'être guillotinée. Mon père a toujours travaillé en France. Mes frères vivent ici.» Laurent Velé s'exclame : «Nulle part il est écrit que l'on m'accuse d'intelligence avec une ressortissante étrangère. En vingt ans de carrière, je n'ai jamais reçu de blâme, ni d'avertissement.» Pour lui, la raison de son renvoi tient à sa foi nouvelle : «Ils considèrent que je suis vulnérable et que je peux être atteint, via des imams.»

«Diversité». Il est aujourd'hui surendetté. Sa demi-solde sert à payer la pension de son ex-femme. Il a saisi le tribunal administratif de Paris qui l'a débouté et vient de déposer un recours devant le Conseil d'Etat. Il ne sait pas ce qu'il va devenir après ses cinq ans de mise en disponibilité, s'il sera radié, ou réintégré. Aucune autre affectation ne lui a été offerte. «La loi dit qu'on doit me proposer trois postes», proteste-t-il.

«Cette décision n'a rien à voir avec une quelconque forme de discrimination, explique-t-on à la caserne du boulevard Mortier. Avec les missions qui sont les nôtres, on recherche la plus grande diversité parmi nos agents.» Sous-entendu : par temps de terrorisme, la maison recrute aussi des musulmans. Quelle faute a commis Laurent Velé ? Mystère. «M. Velé a été mis en disponibilité pour avoir contrevenu aux obligations de sécurité qui s'imposent à la DGSE.»

Posted 18 years, 8 months ago by Anonymous • • • Reply
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