March 13, 2007
« Le tribunal qui, peut être, a cherché la prescription »
Un extrait du 19-20 région Lorraine du 12 mars au soir, les grands parents de Sébastien, les époux Millet, comparaissaient devant le juge d'instruction. Ils étaient entourés d'un comité de soutien, des anciens fonctionnaires de l'Etat et l'abbé Wiel, accusé à tort dans l'affaire Outreau.
« Le tribunal qui, peut être, a cherché la prescription... » Ce serait alors un peu comme mon affaire. J'ai réclamé un contrôle en 2005 et le dossier de mon aînée a été bouclé, tous mes droits ont été suspendus. « Usez des voies de recours usuelles » m'a-t-on répondu :
Dans le Parisien du jour, il est encore question d'un autre tabou parmis les tabous des missions du service public déléguées au secteur privé : Page 9, audit en cours aux AP-HP « Dans ce contexte électrique où, élections obligent, il est hors de question de se mettre à dos le corps médical, le nouveau directeur général, Benoît Leclercq, ne mâche pas ses mots : même si "la plupart des praticiens respectent les règles du jeu", il n'hésitera pas, si nécessaire, à prendre des "sanctions" » TORONTO (AP) - Après avoir examiné les livres et les résultats retraités de Nortel Networks, la commission américaine des valeurs mobilières, la SEC (Securities and Exchange Commission), a décidé lundi de déposer des accusations de fraude, au civil, contre quatre anciens dirigeants de l'entreprise, dont l'ex-pdg Frank Dunn. La SEC accuse Dunn et trois autres ex-dirigeants (l'ex-directeur des finances Douglas Beatty, l'ancien contrôleur de gestion Michael Gollogly et Mary Anne Pahapill, ex contrôleuse de gestion adjointe) d'avoir comploté, à compter de septembre 2000, afin de "manipuler" la comptabilité de Nortel. Selon les poursuites déposées devant le tribunal du district sud de New York, les quatre ex-dirigeants se sont livrés à une fraude comptable pour masquer les écarts entre la performance réelle de la compagnie, ses objectifs internes et les attentes de Wall Street. La presse internationale fustige le bilan de Jacques Chirac Le Monde, 12.03.07 (...) En attendant, son successeur héritera d'une dette estimée à 1 200 milliards d'euros. Delize - lundi 12 mars 2007 |
Posted 18 years, 7 months ago on March 13, 2007
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Re: « Le tribunal qui, peut être, a cherché la prescription »
A la recherche des diamants d'Anverslefigaro.fr (avec AFP).
Publié le 12 mars 2007
Actualisé le 12 mars 2007 : 18h31
Edmonds/AP
Un voleur ingénieux s'est emparé d'un butin de 21 millions d'euros.
C’est apparemment un "client habituel" de l’ABN Amro Bank, dans la Pelikaanstraat, au coeur du quartier diamantaire d’Anvers, en Belgique. Un homme d’une soixantaine d’années, parlant anglais. Il est le principal suspect dans le vol de diamants d’une valeur de 28 millions de dollars (un peu plus de 21 millions d'euros), la semaine dernière. Pour les retrouver, une récompense de 2 millions d'euros est offerte pour toute information susceptible de permettre à l'enquête d'aboutir.
Pour le parquet, pas de doute, l’homme, qui se disait de nationalité argentine mais qui a utilisé une fausse identité, a "minutieusement préparé son méfait pendant un an, avant de le mettre à exécution avec soin". Les enquêteurs examinent si l'auteur a pu bénéficier de complicités à l'intérieur de la banque. Son portrait-robot a été diffusé.
"Impossible de revendre les pierres volées"
L'homme a été le dernier client à quitter la banque le vendredi précédent les faits et le premier à y retourner le jour du vol, mais il est établi qu'il ne s'est pas laissé enfermer dans la banque pendant le week-end. Il aurait utilisé de fausses clés pour s'emparer du butin, constitué essentiellement des gages servant de garantie pour des crédits accordés par cette banque.
L'Antwerp World Diamond Centre (AWDC), l'association qui représente le secteur anversois du diamant, "informera toutes les bourses du monde, de sorte qu'il sera quasiment impossible de revendre les pierres volées".
En 2003, quatre hommes avaient volé pour une centaine de millions d'euros de bijoux et de diamants dans le quartier très sécurisé où sont concentrés les magasins spécialisés et les ateliers de taille de diamants. Ils ont été condamnés à des peines de 5 à 10 ans de prison ferme deux ans plus tard, mais le butin de ce qui avait été qualifié de "casse du siècle" en Belgique n'a jamais été retrouvé.
Actualité | International
Anvers, un diamant qui prospère loin des projecteurs
ALEXANDRINE BOUILHET.
Publié le 12 mars 2007
Actualisé le 12 mars 2007 : 17h51
La capitale mondiale du diamant est la plus contrôlée au monde. Mais elle n’est pas à l’abri du commerce sale de pierres brutes (publié le 30 janvier 2007).
DANS LA PLUS vieille salle de marché du monde, installée dans un majestueux réfectoire de bois et marbre gris, les négociants comparent l’éclat de leurs pierres à la froide lumière du Nord, aussi essentielle aux diamantaires qu’aux peintres.
Assis en face à face, un tapis de papiers blancs dépliés devant eux, ils scrutent les précieux cailloux à l’ oeil nu et marchandent à voix basse. Chaque transaction s’achève par le traditionnel mazal, le mot hébreu qui scelle la parole donnée. Tout le monde se connaît, se salue d’une main, téléphone de l’autre. L’odeur de la cantine proche ajoute à l’ambiance familiale.
Banlieue de Bombay
Le décor désuet et décontracté ne laisse rien paraître de la crise qui frappe les diamantaires anversois, confrontés à la concurrence asiatique et contrariés par la mauvaise publicité apportée par Blood Diamond.
Le port d’Anvers est mentionné dans le film comme une destination des diamants sales, alors qu’apparaît, en filigrane, le rôle du géant sud-africain De Beers, premier extracteur d’Afrique et fournisseur historique de la place d’Anvers.
« Entre la réalité et la fiction, les gens feront la différence », assure Amit Bhansali, directeur de Rosy Blue, plus gros diamantaire au monde et premier client de De Beers. « Ce film n’aura pas d’impact sur les ventes », affirme l’homme d’affaires indien, les yeux rivés sur ses salles de marchés.
En vingt ans, les Indiens ont détrôné les Juifs orthodoxes et pris le contrôle d’Anvers. Ils détiennent aujourd’hui 60 % du commerce de diamant brut et poli, soit 25 milliards de dollars par an. Tous originaires de la province du Gujerat, ils vivent dans des palais hindous construits dans la banlieue du port flamand.
Ils ont délocalisé la taille des brillants en Inde et fait d’Anvers la banlieue de Bombay. Adeptes du jaïnisme, une religion stricte, ils sont végétariens et prêchent la non-violence. Parler de diamants du sang devant eux relève du blasphème.
De Beers a consacré un budget de communication entier à défendre l’image de la profession. Aux États-Unis, premier marché au monde, où le film est sorti avant Noël, aucun impact significatif n’a été signalé sur les ventes de fin d’année. En Europe, les professionnels ne cachent pas leur inquiétude.
Le Haut Conseil du diamant (HRD), qui représente les intérêts des diamantaires d’Anvers, a invité DiCaprio, la vedette du film, à venir visiter ce centre historique, en fait trois ruelles poussiéreuses jouxtant la gare, par où transitent 80 % des diamants bruts de la planète.
« Nous ne pouvons pas nous permettre que notre réputation soit mise en danger », explique le Belge Freddy Hannard, directeur général du HRD, vitrine et syndicat de la profession. « Anvers a toujours été la place la plus contrôlée au monde », assure cet ancien banquier.
Si la cité portuaire jouit d’une excellente réputation pour la certification et l’évaluation des pierres, elle n’est pas à l’abri du commerce des diamants sales. « Malgré les contrôles, on ne peut pas toujours prouver l’origine géographique d’un diamant », reconnaît un expert local. Global Witness, une ONG établie à Londres, souligne « qu’en Belgique, les contrôles sont plus stricts qu’aux États-Unis, mais Anvers n’est pas infaillible, surtout face à la contrebande en provenance d’Afrique ».
Même si le soupçon pèse, le gouvernement fédéral belge a toujours protégé une place qui pèse 40 milliards d’euros par an, soit 7 % du produit intérieur brut de la Belgique.
Une unité spéciale de police
Unique au monde, une unité spéciale de la police belge, le « Diamond squad », se charge de lutter discrètement contre les diamants sales. Les enquêtes locales ne sont jamais médiatisées. Très peu aboutissent à des procès, à l’exception d’une affaire, jugée en 1994, qui visait des diamants de la guerre au Congo.
Les trafiquants ont écopé de peines de prison et d’une amende de 60 millions d’euros, pour droits de douanes impayés. Aujourd’hui, trois investigations sont en cours, visant des filières d’approvisionnement en Sierra Leone, en Angola et au Congo.
Une enquête a tourné au drame le 7 décembre dernier, quand un négociant indien a succombé à une crise cardiaque lors d’une perquisition à son domicile, à Anvers. Dénonçant les méthodes de la police, les diamantaires indiens ont déclenché la première grève de l’histoire du quartier. « Le gouvernement fait son travail, mais, là, ce ne sont pas des méthodes acceptables », dit Amit Bhansali, en colère.
En 2003, les diamants en provenance des conflits étaient officiellement estimés à 4 % des pierres vendues, alors que les ONG avançaient des chiffres de 15 % à 20 %. Aujourd’hui, le pourcentage de diamants du sang serait tombé à moins de 1 %.
Un miracle attribué au processus de Kimberley, un pacte international conclu en 2000 entre pays producteurs, qui interdit la mise en circulation de diamants en provenance des zones de conflit. Depuis 2003, des certificats « Kimberley », doivent accompagner tous les lots de diamants exportés.
En Afrique, deux pays sont interdits d’exportation : la Côte d’Ivoire et le Congo-Brazzaville. Mais les diamants des conflits passent illégalement par le Ghana, ou la Guinée. L’Union européenne, qui préside le processus de Kimberley cette année, reconnaît que ce système de certification, basé sur la bonne volonté des gouvernements, n’est pas sans défauts.
Mais il a permis un certain « nettoyage » du commerce de pierres brutes et, surtout, une prise de conscience collective des risques du métier.
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Publié le 12 mars 2007
Actualisé le 12 mars 2007 : 18h31
Edmonds/AP
Un voleur ingénieux s'est emparé d'un butin de 21 millions d'euros.
C’est apparemment un "client habituel" de l’ABN Amro Bank, dans la Pelikaanstraat, au coeur du quartier diamantaire d’Anvers, en Belgique. Un homme d’une soixantaine d’années, parlant anglais. Il est le principal suspect dans le vol de diamants d’une valeur de 28 millions de dollars (un peu plus de 21 millions d'euros), la semaine dernière. Pour les retrouver, une récompense de 2 millions d'euros est offerte pour toute information susceptible de permettre à l'enquête d'aboutir.
Pour le parquet, pas de doute, l’homme, qui se disait de nationalité argentine mais qui a utilisé une fausse identité, a "minutieusement préparé son méfait pendant un an, avant de le mettre à exécution avec soin". Les enquêteurs examinent si l'auteur a pu bénéficier de complicités à l'intérieur de la banque. Son portrait-robot a été diffusé.
"Impossible de revendre les pierres volées"
L'homme a été le dernier client à quitter la banque le vendredi précédent les faits et le premier à y retourner le jour du vol, mais il est établi qu'il ne s'est pas laissé enfermer dans la banque pendant le week-end. Il aurait utilisé de fausses clés pour s'emparer du butin, constitué essentiellement des gages servant de garantie pour des crédits accordés par cette banque.
L'Antwerp World Diamond Centre (AWDC), l'association qui représente le secteur anversois du diamant, "informera toutes les bourses du monde, de sorte qu'il sera quasiment impossible de revendre les pierres volées".
En 2003, quatre hommes avaient volé pour une centaine de millions d'euros de bijoux et de diamants dans le quartier très sécurisé où sont concentrés les magasins spécialisés et les ateliers de taille de diamants. Ils ont été condamnés à des peines de 5 à 10 ans de prison ferme deux ans plus tard, mais le butin de ce qui avait été qualifié de "casse du siècle" en Belgique n'a jamais été retrouvé.
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Anvers, un diamant qui prospère loin des projecteurs
ALEXANDRINE BOUILHET.
Publié le 12 mars 2007
Actualisé le 12 mars 2007 : 17h51
La capitale mondiale du diamant est la plus contrôlée au monde. Mais elle n’est pas à l’abri du commerce sale de pierres brutes (publié le 30 janvier 2007).
DANS LA PLUS vieille salle de marché du monde, installée dans un majestueux réfectoire de bois et marbre gris, les négociants comparent l’éclat de leurs pierres à la froide lumière du Nord, aussi essentielle aux diamantaires qu’aux peintres.
Assis en face à face, un tapis de papiers blancs dépliés devant eux, ils scrutent les précieux cailloux à l’ oeil nu et marchandent à voix basse. Chaque transaction s’achève par le traditionnel mazal, le mot hébreu qui scelle la parole donnée. Tout le monde se connaît, se salue d’une main, téléphone de l’autre. L’odeur de la cantine proche ajoute à l’ambiance familiale.
Banlieue de Bombay
Le décor désuet et décontracté ne laisse rien paraître de la crise qui frappe les diamantaires anversois, confrontés à la concurrence asiatique et contrariés par la mauvaise publicité apportée par Blood Diamond.
Le port d’Anvers est mentionné dans le film comme une destination des diamants sales, alors qu’apparaît, en filigrane, le rôle du géant sud-africain De Beers, premier extracteur d’Afrique et fournisseur historique de la place d’Anvers.
« Entre la réalité et la fiction, les gens feront la différence », assure Amit Bhansali, directeur de Rosy Blue, plus gros diamantaire au monde et premier client de De Beers. « Ce film n’aura pas d’impact sur les ventes », affirme l’homme d’affaires indien, les yeux rivés sur ses salles de marchés.
En vingt ans, les Indiens ont détrôné les Juifs orthodoxes et pris le contrôle d’Anvers. Ils détiennent aujourd’hui 60 % du commerce de diamant brut et poli, soit 25 milliards de dollars par an. Tous originaires de la province du Gujerat, ils vivent dans des palais hindous construits dans la banlieue du port flamand.
Ils ont délocalisé la taille des brillants en Inde et fait d’Anvers la banlieue de Bombay. Adeptes du jaïnisme, une religion stricte, ils sont végétariens et prêchent la non-violence. Parler de diamants du sang devant eux relève du blasphème.
De Beers a consacré un budget de communication entier à défendre l’image de la profession. Aux États-Unis, premier marché au monde, où le film est sorti avant Noël, aucun impact significatif n’a été signalé sur les ventes de fin d’année. En Europe, les professionnels ne cachent pas leur inquiétude.
Le Haut Conseil du diamant (HRD), qui représente les intérêts des diamantaires d’Anvers, a invité DiCaprio, la vedette du film, à venir visiter ce centre historique, en fait trois ruelles poussiéreuses jouxtant la gare, par où transitent 80 % des diamants bruts de la planète.
« Nous ne pouvons pas nous permettre que notre réputation soit mise en danger », explique le Belge Freddy Hannard, directeur général du HRD, vitrine et syndicat de la profession. « Anvers a toujours été la place la plus contrôlée au monde », assure cet ancien banquier.
Si la cité portuaire jouit d’une excellente réputation pour la certification et l’évaluation des pierres, elle n’est pas à l’abri du commerce des diamants sales. « Malgré les contrôles, on ne peut pas toujours prouver l’origine géographique d’un diamant », reconnaît un expert local. Global Witness, une ONG établie à Londres, souligne « qu’en Belgique, les contrôles sont plus stricts qu’aux États-Unis, mais Anvers n’est pas infaillible, surtout face à la contrebande en provenance d’Afrique ».
Même si le soupçon pèse, le gouvernement fédéral belge a toujours protégé une place qui pèse 40 milliards d’euros par an, soit 7 % du produit intérieur brut de la Belgique.
Une unité spéciale de police
Unique au monde, une unité spéciale de la police belge, le « Diamond squad », se charge de lutter discrètement contre les diamants sales. Les enquêtes locales ne sont jamais médiatisées. Très peu aboutissent à des procès, à l’exception d’une affaire, jugée en 1994, qui visait des diamants de la guerre au Congo.
Les trafiquants ont écopé de peines de prison et d’une amende de 60 millions d’euros, pour droits de douanes impayés. Aujourd’hui, trois investigations sont en cours, visant des filières d’approvisionnement en Sierra Leone, en Angola et au Congo.
Une enquête a tourné au drame le 7 décembre dernier, quand un négociant indien a succombé à une crise cardiaque lors d’une perquisition à son domicile, à Anvers. Dénonçant les méthodes de la police, les diamantaires indiens ont déclenché la première grève de l’histoire du quartier. « Le gouvernement fait son travail, mais, là, ce ne sont pas des méthodes acceptables », dit Amit Bhansali, en colère.
En 2003, les diamants en provenance des conflits étaient officiellement estimés à 4 % des pierres vendues, alors que les ONG avançaient des chiffres de 15 % à 20 %. Aujourd’hui, le pourcentage de diamants du sang serait tombé à moins de 1 %.
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"La lutte contre l'exploitation sexuelle ne fait pas partie des priorités des pays européens", déplore-t-elle, alors qu'il y a "peu de situations où les droits de la personne humaine sont bafoués à ce point". Les réseaux criminels savent tirer profit de cette relative inaction, se glissant dans "toutes les failles laissées par les Etats européens", dit la coordinatrice.
Affaire Millet : « Si c'était à refaire, on referait pareil »
L'instruction du dossier Millet se poursuit. Hier après-midi, les époux ont été entendus au tribunal de Briey par la juge Carole Mazzacavallo. Une nouvelle occasion d'exposer tout ce qu'ils ont sur le cœur depuis plus de quatre ans et d'expliquer ce qui les a poussés, en 2003, à cacher leur petit-fils.
13-03-2007, Républicain Lorrain
Rapport 2000 du SCPC - Désormais, la notion d’enfant-marchandise est une réalité (cf. articles du 18-1-2001 parus dans le Figaro et le Parisien avec les titres « Jumelles à vendre sur Internet et enfants à vendre sur Internet »). Dans le monde industriel, l’enfant devient un produit rare et donc cher. Certains sont même monnayés.
"L'homme n'est pas une marchandise comme les autres" - Nicolas Sarkozy