March 13, 2007

« Le tribunal qui, peut être, a cherché la prescription »


PARIS (AFP) - Une rencontre pour mieux coopérer contre la "marchandisation" des êtres humains
"La lutte contre l'exploitation sexuelle ne fait pas partie des priorités des pays européens", déplore-t-elle, alors qu'il y a "peu de situations où les droits de la personne humaine sont bafoués à ce point". Les réseaux criminels savent tirer profit de cette relative inaction, se glissant dans "toutes les failles laissées par les Etats européens", dit la coordinatrice.

Affaire Millet : « Si c'était à refaire, on referait pareil »
L'instruction du dossier Millet se poursuit. Hier après-midi, les époux ont été entendus au tribunal de Briey par la juge Carole Mazzacavallo. Une nouvelle occasion d'exposer tout ce qu'ils ont sur le cœur depuis plus de quatre ans et d'expliquer ce qui les a poussés, en 2003, à cacher leur petit-fils.
13-03-2007, Républicain Lorrain

Rapport 2000 du SCPC - Désormais, la notion d’enfant-marchandise est une réalité (cf. articles du 18-1-2001 parus dans le Figaro et le Parisien avec les titres « Jumelles à vendre sur Internet et enfants à vendre sur Internet »). Dans le monde industriel, l’enfant devient un produit rare et donc cher. Certains sont même monnayés.

"L'homme n'est pas une marchandise comme les autres" - Nicolas Sarkozy

Un extrait du 19-20 région Lorraine du 12 mars au soir, les grands parents de Sébastien, les époux Millet, comparaissaient devant le juge d'instruction. Ils étaient entourés d'un comité de soutien, des anciens fonctionnaires de l'Etat et l'abbé Wiel, accusé à tort dans l'affaire Outreau.

« Le tribunal qui, peut être, a cherché la prescription... » Ce serait alors un peu comme mon affaire. J'ai réclamé un contrôle en 2005 et le dossier de mon aînée a été bouclé, tous mes droits ont été suspendus. « Usez des voies de recours usuelles » m'a-t-on répondu :






Dans le Parisien du jour, il est encore question d'un autre tabou parmis les tabous des missions du service public déléguées au secteur privé :




Page 9, audit en cours aux AP-HP


« Dans ce contexte électrique où, élections obligent, il est hors de question de se mettre à dos le corps médical, le nouveau directeur général, Benoît Leclercq, ne mâche pas ses mots : même si "la plupart des praticiens respectent les règles du jeu", il n'hésitera pas, si nécessaire, à prendre des "sanctions" »


TORONTO (AP) - Après avoir examiné les livres et les résultats retraités de Nortel Networks, la commission américaine des valeurs mobilières, la SEC (Securities and Exchange Commission), a décidé lundi de déposer des accusations de fraude, au civil, contre quatre anciens dirigeants de l'entreprise, dont l'ex-pdg Frank Dunn.

La SEC accuse Dunn et trois autres ex-dirigeants (l'ex-directeur des finances Douglas Beatty, l'ancien contrôleur de gestion Michael Gollogly et Mary Anne Pahapill, ex contrôleuse de gestion adjointe) d'avoir comploté, à compter de septembre 2000, afin de "manipuler" la comptabilité de Nortel.

Selon les poursuites déposées devant le tribunal du district sud de New York, les quatre ex-dirigeants se sont livrés à une fraude comptable pour masquer les écarts entre la performance réelle de la compagnie, ses objectifs internes et les attentes de Wall Street.


La presse internationale fustige le bilan de Jacques Chirac
Le Monde, 12.03.07

(...) En attendant, son successeur héritera d'une dette estimée à 1 200 milliards d'euros.




Delize - lundi 12 mars 2007



- Le ridicule ne tue pas -


Posted 18 years, 7 months ago on March 13, 2007
The trackback url for this post is http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/924/

Re: « Le tribunal qui, peut être, a cherché la prescription »
mardi 13 mars 2007, 8h41
Une rencontre pour mieux coopérer contre la "marchandisation" des êtres humains

PARIS (AFP) - Des représentants de la police, de la justice et d'associations se réunissent mardi à Paris pour mettre en place une meilleure coopération dans la lutte contre l'exploitation sexuelle alors que l'on recense plus de 6.000 victimes en France, un chiffre stable depuis 30 ans.

"Les différents acteurs concernés agissent sans se concerter", explique Matiada Ngalikpima, coordinatrice du projet lancé par le Comité de coopération contre l'exploitation sexuelle, regroupant depuis 2004, à l'initiative de la Fondation Scelles, l'ALC Nice, l'Amicale et le Mouvement du Nid, l'Association contre la prostitution des enfants et le Bureau international catholique de l'Enfance.

Certains parlent même d'une forme de défiance, notamment entre les services de police et les associations.

"Or, dans ce domaine, l'approche multidisciplinaire est indispensable; Certains pays européens comme la Belgique et l'Italie ont compris l'enjeu de l'approche globale et sont devenus les précurseurs de cette nouvelle méthode", ajoute la coordinatrice de cette initiative s'inscrivant dans le cadre d'un plan d'action de l'Union européenne.

Le chef de Office central pour la répression de la Traite des êtres humains (OCRTEH), Emile Lain, participera à la réunion de mardi ainsi que des représentants de la Brigade de répression du proxénétisme, des magistrats instructeurs et procureurs généraux, des avocats, des responsables d'associations, des travailleurs sociaux, des Ddass et des représentants des mairies. Des propositions seront formulées à l'issue de la journée.

Selon les estimations des services spécialisés, quelque 200.000 personnes sont victimes de la traite en Europe, ce phénomène générant des profits équivalents à ceux du trafic de drogue, selon l'OCRTEH. En France, plus de 6.000 personnes prostituées sont sous contrainte d'un tiers en France, un chiffre qui n'a pas diminué depuis 30 ans.

Pour l'année 2005: 4.333 procédures pour racolage ont été lancées, permettant d'identifier 2.859 personnes, dont 39 mineurs, 81,3% de femmes et 81,2% d'étrangères. De ces étrangères, 29,8% étaient originaires des Pays d'Europe Centrale et Orientale (Bulgarie, Roumanie, Moldavie et Albanie) et 31,6% originaires d'Afrique (Nigeria, Cameroun, Sierra Léone). Ainsi La prostitution africaine devance désormais celle d'Europe de l'Est.

"La volonté de lutter contre l'exploitation sexuelle émerge, en France et à l'étranger mais les moyens qui y sont consacrés sont dérisoires devant l'ampleur de cette marchandisation des êtres humains" stimulée par la mondialisation, souligne Mme Ngalikpima.

"La lutte contre l'exploitation sexuelle ne fait pas partie des priorités des pays européens", déplore-t-elle, alors qu'il y a "peu de situations où les droits de la personne humaine sont bafoués à ce point". Les réseaux criminels savent tirer profit de cette relative inaction, se glissant dans "toutes les failles laissées par les Etats européens", dit la coordinatrice.

Selon elle, le dispositif français de lutte contre ce phénomène "ne tient pas suffisamment compte du statut des victimes de l'exploitation sexuelle qui demeurent très vulnérables et mal protégées".

Reste également la "nécessité" de "lutter contre la demande", négligée par tous les pays européens à l'exception de la Suède, souligne M. Ngalikpima. Car "l'exploitation sexuelle ne fait que répondre aux lois mercantiles de l'offre et de la demande".
Posted 18 years, 7 months ago by Anonymous • • • Reply
Comment Trackback URL : http://justice.cloppy.net/b.blog/bblog/trackback.php/924/22862/

Add Comment

( to reply to a comment, click the reply link next to the comment )

 
Comment Title
 
Your Name:
 
Email Address:
Make Public?
 
Website:
Make Public?
 
Comment:

Allowed XHTML tags : a, b, i, strong, code, acrynom, blockquote, abbr. Linebreaks will be converted automatically.

 
Captcha:
captcha image

Please type the content of the above image into the following form-field.