March 13, 2007

Essai de définition d'un dispositif sectaire, totalitaire et criminel

Cela serait un excellent thème pour une prochaine publication.

BESANCON (Reuters) - Nicolas Sarkozy s'est posé un peu plus en défenseur de l'identité nationale, à Besançon dans le Doubs, en consacrant à la culture un discours qui constituait moins un programme qu'une ode à la France éternelle.

(...) "Il nous faut retrouver cette foi dans l'avenir, cette foi dans les capacités humaines et dans le génie français", a-t-il dit en se référant à "la France des croisades et des cathédrales, la France des droits de l'homme et de la Révolution".

"Je suis venu vous parler de la culture au sens le plus large du terme", a-t-il prévenu en évoquant la culture "ouvrière", "paysanne", celle des "artisans" et la "force créatrice du capitalisme" qui "ne peut pas survivre sans un certain nombre de valeurs spirituelles".


Présidentielle : la défiance au cœur du vote
Le Monde, 13.03.07

Six Français sur dix ne font confiance ni à la gauche ni à la droite pour gouverner le pays. C'est ce que montre une enquête du Centre de recherches politiques de Sciences-Po. Les électeurs prêts à changer de camp sont de plus en plus nombreux, surtout à gauche.

« Ces résultats sont préoccupants car le mécanisme de la confiance est au cœur des institutions de la Ve République, caractérisée depuis 1962 par l'élection du président de la République au suffrage universel, et depuis 1988 par le scrutin majoritaire qui favorise la bipolarisation. Force est de constater la crise profonde du régime politique français. »




Libé, 13 mars, page 18, « Après que son père l'a récupéré,
l'enfant avait tenté de se suicider, puis il avait cessé
de s'alimenter normalement -il pesait 28kg à 13 ans-,
demandant à être de nouveau confié à ses grands parents. »


« Le regain d'activité et de violences de l'extrême droite d'un pays à l'autre au sein de l'Union nous préoccupe beaucoup, confiait récemment Brigitte Zypries à la presse allemande. C'est pourquoi nous voulons à tout prix tenter de définir des critères communs dans la lutte contre l'extrême droite. »
Libé, 17 janvier 2007
L'extrême droite, cible européenne


Présidentielle Française : Un candidat à la poste
Guysen Israël News, jeudi 1 mars 2007

Au lendemain d’une conférence de presse donnée à Paris par Nicolas Sarkozy au cours de laquelle il exprimait sa vision de la politique extérieure française, Guysen Israël News apprenait qu’un timbre israélien à l’effigie du candidat UMP avait été créé par son comité de soutien en Israël.

À l’origine de cette initiative originale, Sylvain Semhoun délégué élu UMP Israël, et conseiller élu à l’assemblée des Français de l’étranger.

"Il s’agit d’un petit geste symbolique destiné à resserrer les liens qui unissent les Français d’Israël à Nicolas Sarkozy. Nous avons pris comme prétexte l’anniversaire de N.Sarkozy, le 28 janvier, pour éditer ce timbre que l’on peut désormais trouver dans les postes israéliennes" indique S.Semhoun.


M. Sarkozy joue l'électorat FN pour le second tour
Le Monde, 13.03.07

Deux fois déjà, il a surpris ses conseillers. En assurant vouloir "se battre" pour aider Jean-Marie Le Pen à obtenir ses parrainages, Nicolas Sarkozy a laissé ses amis dans le doute. Pourquoi prendre cette responsabilité personnelle ? En proposant la création "d'un ministère de l'immigration et de l'identité nationale", en conditionnant le regroupement familial à la jouissance d'un appartement, d'un emploi et de la maîtrise du français, il en a désarçonné quelques-uns. Pourquoi prendre le risque de faire fuir les électeurs de droite modérée à l'heure où François Bayrou grignote son électorat ? Qui lui a soufflé cette idée ? Enquête faite, ils ont dû se rendre à l'évidence : le candidat a décidé seul de cette stratégie. "Il a choisi le moment et la façon dont il fallait parler", dit un de ses conseillers.

Dans l'entourage du candidat, personne ne s'est aventuré à lui faire reproche de ce pas de deux avec le président du Front national. Seul le silence de quelques-uns pourrait passer pour condamnation. ...




Le Monde - Nicolas Sarkozy, le 11 mars 2007





Libé, 13 mars, page 18,
« C'était dans l'Ecole des cadavres, en 1938 »


PARIS (Reuters) - Ségolène Royal a attaqué Nicolas Sarkozy sur le thème de l'identité nationale lundi, quelques jours après l'annonce par le candidat de l'UMP qu'il créerait un ministère de l'Immigration et de l'identité nationale en cas de victoire à l'élection présidentielle.

"La nation ne demande à personne d'oublier d'où il vient, elle invite chacun à dépasser (les particularismes - ndlr). Chacun peut aimer sa Bretagne ou son Algérie natale et être pleinement citoyen français", a déclaré la candidate présidentielle socialiste devant un millier de personnes réunies au gymnase Japy, dans le 11e arrondissement de Paris.

"Le candidat de la droite cherche à faire peur et à lier dans un amalgame insupportable l'immigration et la menace de l'identité nationale", a-t-elle dénoncé, reprenant une expression qu'elle avait utilisée le week-end dernier.

Selon elle, "la nation ne distingue ni blancs, ni noirs, ni jaunes, ni catholiques, ni athées, ni juifs, ni musulmans. Nous sommes tous des citoyens de la République française, à égalité".

"Nous ne sommes pas une addition de communautés, nous sommes le peuple français", a-t-elle martelé.

Plaidant pour une nation "redéfinie, repensée face à la mondialisation et à cet individualisme qui monte et à ce repli sur soi qui nous menace", elle a assuré que "c'est la nation qui nous permet de construire, de tenir bon sur notre destin commun en n'ayant pas peur des autres".

"Avec moi, l'identité nationale ne disparaîtra pas dans la mondialisation ou le repli sur soi", a-t-elle promis.

Ségolène Royal a défendu une "immigration encadrée par des règles justes et respectées et qui respecte les personnes".

"Aux nouveaux venus, je dis 'prenez part à notre société, respectez ses lois et nous garantirons l'égalité de vos droits et de vos chances'", a-t-elle ajouté.

La candidate, qui s'exprimait devant des personnalités des milieux artistiques
, scientifiques et associatifs, a assuré qu'elle voulait "rendre à la culture sa place éminente, centrale, dans la construction de l'identité nationale".

"Ce que Jules Ferry a réalisé pour le calcul et la lecture, nous avons le devoir de le faire aujourd'hui pour l'accès à la culture", a-t-elle ajouté.

La comédienne Jeanne Moreau, assise au premier rang près d'Emmanuelle Béart, a brièvement pris la parole lors d'un tour de micro improvisé. "Je n'ai rien à vous demander, Madame Royal, je suis sûre que vous savez l'importance de la culture", a-t-elle dit.

Les acteurs Charles Berling et Denis Podalydès, le metteur en scène Jean-Michel Ribes, le réalisateur Patrice Chéreau, les historiens Jean-Pierre Azéma et Benjamin Stora, le producteur Dominique Besnehard et la chanteuse Marianne James étaient également présents.


PARIS (AFP) - Cinq prix Nobel d'économie américains estiment, à un peu plus d'un mois du premier tour de l'élection présidentielle, que la France a des atouts mais qu'elle doit laisser respirer son économie et redonner le goût au travail.

Dans une série d'entretiens publiés mardi par les Echos, les économistes dressent un tableau de l'économie française face à la mondialisation.

"J'observe que les Français sont parmi les habitants du G7 (groupe des sept pays les plus industrialisés, ndlr) les moins motivés au travail. C'est incroyable!", affirme l'économiste Edmund Phelps, prix Nobel 2006.

"Les Européens ne croient plus au travail comme moyen d'épanouissement", estime-t-il plus généralement.

Son confrère Robert Solow, prix Nobel de 1987, reconnaît qu'en termes de productivité, la France est très performante.

Mais les 35 heures ont été, selon lui, un échec. "Le nombre d'heures de travail en moyenne n'a guère évolué", indique-t-il, ajoutant que l'impact des 35 heures "a donc été minime".

"Le taux de croissance de l'économie française n'est pas assez élevé. Elle ne s'est pas assez réformée", juge pour sa part l'économiste Gary Becker (prix Nobel 1992), pour qui la France est handicapée par un marché du travail pas assez flexible.

"Les entreprises devraient notamment avoir davantage de marge de manoeuvre pour licencier les employés qui ne leur conviennent pas. Les charges qui pèsent sur le travail sont également trop lourdes. Le salaire minimum, que certains candidats à la présidentielle veulent augmenter, est au contraire trop élevé", considère-t-il, en jugeant que le principal atout de la France est son "capital humain", outre la créativité et une "excellente" fonction publique.

Edward Prescott (Nobel 2004), juge que "l'économie française est en bonne santé", jugeant toutefois qu'il faudrait réduire "la forte pression fiscale".

"Si la France ramenait ses taux d'imposition au niveau américain, le produit des impôts serait du même ordre qu'aujourd'hui, car après une période de transition, la production serait 40% plus élevée", explique-t-il, en jugeant que le pays a tort de craindre la mondialisation.

Enfin, Paul A. Samuelson, prix Nobel 1970, dresse lui un tableau sombre, estimant que "la France fait partie des pays européens au modèle le moins efficace".

"Elle n'a pas su s'adapter aux nouvelles réalités de l'économie mondiale", ajoute-t-il, estimant que "les Français aujourd'hui devraient tolérer la remise en question de certains privilèges et accepter que leur société soit davantage inégalitaire".


PARIS (AFP) - Le candidat FN, Jean-Marie Le Pen, a déclaré lundi soir qu'il pensait "sincèrement" avoir les 500 parrainages à la date du 16 mars pour pouvoir se présenter à l'élection présidentielle, assurant qu'il lui manquait encore "quelques dizaines de signatures".

PARIS (AFP) - Quelque 22,228 millions de téléspectateurs ont regardé dimanche soir l'allocution télévisée du président français Jacques Chirac annonçant qu'il ne briguait pas un troisième mandat, selon les chiffres communiqués lundi par les quatre chaînes ayant retransmis son discours.

PARIS (AFP) - L'UMP a décidé, à mi-parcours de la campagne électorale, d'intensifier ses actions en organisant notamment 1.000 dîners républicains à travers toute la France, a indiqué lundi à Paris Valérie Pécresse, porte-parole du parti.

"Nous lançons depuis une semaine des dîners républicains, avec, pour objectif, 1.000 dîners républicains d'ici la fin de la campagne", a affirmé Mme Pécresse, lors du point de presse hebdomadaire de son parti.

"Nous sommes à mi-parcours de la campagne qui s'intensifie. Jamais, nous n'avions vu pour une campagne présidentielle une telle mobilisation sur le terrain", a argué la députée des Yvelines.

Selon l'UMP, 11,8 millions de tracts, plus d'un million de tracts jeunes, ont déjà été distribués, portant sur le travail, l'agriculture, le pouvoir d'achat, l'inégalité.

"Nous avons tenu depuis le début de cette campagne 1.465 réunions publiques, avec plus de 330.000 personnes, nous avons vu fleurir 814 comités de soutien à Nicolas Sarkozy, et les audiences du candidat atteignent des scores jamais atteints --10.000 à Caen et à Bordeaux, 7.000 à Strasbourg-- des scores deux à trois fois plus importants que ceux qu'on fait habituellement dans ce type de campagne", a-t-elle assuré.


- Toute une industrie, celle du spectacle sur la scène politique -


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Re: Essai de définition d'un dispositif sectaire, totalitaire et criminel
Les investisseurs allemands plus confiants que prévu
Par La Tribune
mar 13 mar, 16h21

L'indice de l'institut Zew, qui compile les attentes du secteur financier pour l'économie allemande, est passé de 2,9 à 5,8 points en mars.
C'est mieux qu'attendu. Les investisseurs allemands sont plus confiants que prévu. En témoigne la publication, ce jour, de l'indice de l'institut Zew, qui compile les attentes du secteur financier pour l'économie allemande. Cet indicateur a augmenté en mars de 2,9 points à 5,8 points. Un niveau supérieur aux attentes. Selon les différentes enquêtes, les économistes s'attendaient à un indice tournant autour de 3,2 points.

L'indice réalise ainsi son quatrième mois de hausse. De ce fait, il atteint son meilleur niveau depuis juillet 2006. Calculé sur la base d'une enquête réalisée entre le 26 février et le 12 mars auprès de 296 analystes et investisseurs institutionnels, le Zew est considéré comme un indice fiable pour évaluer la santé de l'économie allemande, avec l'indicateur IFO du climat des affaires. Il enregistre un rebond par rapport à janvier, mois où il était descendu à -3,6 points.

Selon l'institut Zew, le rythme de remontée de l'indice est toutefois "modéré". Le résultat de mars montre "que la relance de l'économie se poursuit". Les commandes industrielles en provenance de l'Allemagne sont restées stables et la décrue du chômage soutient le moral des consommateurs, malgré le relèvement de la TVA de 16% à 19% en janvier dernier. L'institut relève toutefois le ralentissement des commandes en provenance de l'étranger, observé au début de l'année, qui pourrait être "un signe d'une demande mondiale qui commence à baisser", et pourrait s'avérer très préoccupant pour l'économie allemande, très dépendante de ses exportations.




Hausse des ventes de détail américaines décevante en février
Par La Tribune
mar 13 mar, 15h01

La hausse de 0,1% des ventes de détail est inférieure au consensus des économistes. Hors automobile, les ventes ont au contraire chuté de 0,1% d'un mois sur l'autre.
Les ventes au détail de février aux Etats-Unis déçoivent les économistes. Elles ont progressé de 0,1%, alors que les prévisions tablaient sur une progression de 0,3% d'un mois sur l'autre. Hors automobile, les ventes s'inscrivent même en baisse de 0,1%, inférieures aux attentes du marché.

Par ailleurs, le chiffre des ventes totales pour le mois de janvier est resté inchangé. En revanche, hors automobile, les ventes sont en progression de 0,2% en janvier, contre une progression de 0,3% annoncée initialement.

Sur un an, les ventes du mois de février 2007 sont toutefois en augmentation de 3,2%. Elles progressent de 3,1% hors automobile, tandis que le marché des véhicules à moteur et des pièces détachées automobiles a progressé de 0,9% après une baisse de 0,9% en janvier.

Les achats de matériaux de construction et de matériel de jardinage ont eux baissé de 1,4% après une contraction de 0,2% en janvier, alors que les chiffres initiaux montraient une augmentation de 0,8%. Les ventes d'électronique grand public et d'électroménager sont de leur côté en baisse de 0,3% en février, après un recul de 2,6% en janvier.

Dans l'ensemble, ces chiffres sont révélateurs, pour les économistes, d'un début de ralentissement de la consommation. "Les ventes au détail s'inscrivent un peu plus faibles qu'attendu en février. Nous commençons à ressentir davantage un impact du ralentissement de l'immobilier, qui se traduit par un tassement des ventes de matériaux de construction et d'ameublement. Cela suggère que certains segments de l'économie assistent à une restriction des dépenses de consommation", explique ainsi Gary Thayer, économiste chez AG Edwards and Sons, cité par Reuters.




L'OCDE table sur une croissance mondiale plus équilibrée et plaide contre une hausse des taux
Par La Tribune
mar 13 mar, 13h03

L'organisation internationale demande aux banques centrales américaine, européenne et japonaise de se montrer prudentes sur le relèvement des taux d'intérêt. Les perspectives de croissance des membres de l'OCDE font état d'un "rééquilibrage" au niveau mondial avec un ralentissement des Etats-Unis.
La croissance devrait se rééquilibrer au niveau mondial en 2007 selon Jean-Philippe Cotis. L'économiste en chef de l'Organisation de coopération et de développement économiques a présenté ce mardi les "Perspectives économiques de l'Organisation" et mis en garde les Banques centrales contre les relèvements de taux d'intérêt.

Les Etats-Unis devraient connaître un passage à vide pendant la première moitié de 2007, selon l'OCDE. Jean-Philippe Cotis a en effet présenté une prévision de 2% de croissance en rythme annuel au premier trimestre. Un chiffre peu encourageant comparé aux 3,3% de croissance estimés par l'OCDE pour le pays en 2006. Cette faiblesse de l'activité dans la première économie mondiale trouve sa source, d'après l'OCDE, dans le ralentissement du secteur immobilier, alors même que les créations d'emplois et les exportations restent vigoureuses, a expliqué Jean-Philippe Cotis.

La zone euro s'en sort un peu mieux et confirme une reprise solide, mais elle "devrait ralentir un peu au premier trimestre", en partie à cause de l'augmentation de trois points de la TVA en Allemagne. Les prévisions restent donc inférieures aux performances de 2006 pour le début de l'année. L'OCDE table sur une augmentation du PIB de la zone euro de 2,5% au premier trimestre en rythme annuel contre 2,8% pour l'année 2006. Jean-Philippe Cotis souligne toutefois que la croissance européenne devrait rester supérieure à son rythme habituel grâce au bon moral des chefs d'entreprises et à une accélération des créations d'emplois.

La croissance japonaise a été revue à la baisse en 2006 à 2,2% contre 2,8% précédemment: le PIB est attendu en hausse de 0,5% au premier et au deuxième trimestres 2007 contre +0,7% et +0,3% respectivement en 2006.

Dans ce contexte économique, l'OCDE plaide pour la prudence sur les taux d'intérêt. Elle estime qu'il n'y a pas d'argument convaincant aux Etats-Unis en faveur d'une reprise du resserrement monétaire. Un constat que paraît partager la Réserve fédérale. Cette dernière a estimé la semaine dernière que la croissance américaine a été modérée depuis mi-janvier avec "un certain ralentissement" dans plusieurs régions.

Jean-Philippe Cotis a également jugé qu'une pause dans le relèvement des taux de la Banque centrale européenne (BCE) serait bienvenue, après sept hausses en l'espace de quinze mois. Il a fait valoir que ces augmentations ont largement supprimé le caractère accommodant de la politique monétaire sur fond de croissance supérieure aux attentes. Alors que l'inflation a récemment été plus faible que prévu, les perspectives en matière de stabilité des prix apparaissent assez favorables, ajoute l'économiste en chef, sans toutefois formuler de recommandations précises envers la BCE.

Enfin au Japon, toujours sous la menace d'un retour de la déflation, l'OCDE préconise de ne pas relever les taux tant que les prix n'augmentent pas de manière durable. A noter que les taux d'intérêt japonais sont extrêmement bas, malgré la reprise de la croissance au Japon, le taux directeur de la Banque du Japon étant à seulement 0,50%.
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