March 21, 2007
Knut ne sera pas tué
WASHINGTON (AFP) - Le président américain George W. Bush s'est employé mardi à ne pas offrir à ses adversaires démocrates la tête d'un deuxième ministre éminent en moins de cinq mois et à ne rien céder des prérogatives attaquées de toutes parts par la nouvelle majorité au Congrès.La Maison Blanche a ainsi refusé que ses membres déposent sous serment devant les commissions parlementaires enquêtant sur l'affaire qui paraît menacer de plus en plus le ministre de la Justice Alberto Gonzales.
AMSTERDAM (AP) - Les organisateurs d'un festival de rock heavy metal aux Pays-Bas ont obtenu l'autorisation pour une série de concerts en plein air cet été, à une condition: pas de jurons, ni de blasphèmes.
Le festival d'Elsrock avait déclenché un beau tollé l'an dernier lors de sa première édition à Rijssen (120km à l'est d'Amsterdam), petite localité ville où la pratique religieuse est très développée. Deux partis politiques conservateurs avaient dénoncé le heavy metal, musique caractérisée selon eux "par des paroles sur la mort et la décadence, avec des voix oscillant entre hurlements sataniques et grognements".
PARIS (AP) - Le mouvement des enseignants des collèges et lycées contre les suppressions de postes et le décret modifiant l'organisation de leur travail s'essouffle. Le mot d'ordre de grève lancé par plusieurs syndicats du second degré -dont le puissant SNES- a peu mobilisé mardi.
PARIS (AFP) - Le groupe Total s'est défendu mardi, devant le tribunal correctionnel de Paris, d'avoir joué le moindre rôle de gestion dans les heures de crise qui ont précédé le naufrage de l'Erika, niant du même coup toute responsabilité dans le drame.
(...) Mais, selon lui, le capitaine n'a à aucun moment mentionné à Total l'existence de fuites de pétrole à la mer
PARIS (AP) - Interrogé sur les relations entre la France et la Syrie, le maître de Damas Bachar El-Assad a jugé mardi soir que l'"on ne peut pas bâtir des relations entre deux pays sur des émotions personnelles".
La Syrie est isolée sur le plan international depuis l'assassinat du Premier ministre libanais Rafic Hariri, lequel était un ami proche du président français Jacques Chirac. Rafic Hariri a été tué le 14 février 2004 dans un sanglant attentat en plein centre de Beyrouth.
"Isoler la Syrie ne peut avoir de résultats positifs. Qui veut isoler la Syrie, s'isole lui-même des problèmes de la région", a estimé le président syrien sur France-2.
Bachar el-Assad, dont les propos étaient traduits de l'arabe, a noté que les relations avec la France sont interrompues "depuis 2004" et que "ça correspond à la durée de la rupture des relations politiques franco-syrienne. Ce n'est pas une bonne chose pour les relations entre nos deux pays".
Interrogé sur l'implication présumée de Damas dans l'assassinat de Rafic Hariri, Bachar El-Assad a répondu que "personne ne peut accuser sans preuve". "On ne peut pas bâtir des relations entre deux pays sur des émotions personnelles. Elles doivent l'être sur des réalités et des intérêts communs. Cette accusation est totalement inadmissible".
Damas, qui ne cesse de démentir toute implication dans cet assassinat, a mis fin à 29 ans de présence militaire au Liban en 2005 après les manifestations de masse qui ont suivi la mort d'Hariri.
PARIS (AP) - L'hebdomadaire "VSD" a été condamné mardi à 7.500 euros de dommage et intérêts pour diffamation envers l'homme d'affaires libanais Omar Harfouch, a-t-on appris mardi soir auprès de Me Jean-Marc Fedida, conseil du plaignant.
(...) L'affaire remonte à la participation de M. Harfouch, à l'émission de télé-réalité de TF1, "Sortez-moi de là, je suis une célébrité" à laquelle l'homme d'affaire libanais participait. A la même époque, l'hebdomadaire publiait un article intitulé "L'énigmatique Monsieur Harfouch"...
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Re: Knut ne sera pas tué
mardi 20 mars 2007, 16h58
Le "plouf" et le "plop" du caillou qui tombe dans l'eau
PARIS (AP) - Quand on jette un caillou dans l'eau, on entend parfois un "plouf", parfois un "plop". Des chercheurs français se sont très sérieusement penchés sur ce phénomène, montrant que la vitesse d'impact du caillou devait dépasser un certain seuil pour que l'on entende un "plouf" et que le bruit dépend aussi de la surface du caillou.
Une bille hydrophile (qui attire l'eau), par exemple une bille de verre parfaitement polie, ne fait qu'un petit "plop", même à une grande vitesse, alors qu'une bille hydrophobe (qui repousse l'eau), par exemple une bille recouverte d'un revêtement de silane de quelques nanomètres d'épaisseur, produit un gros "plouf" quelle que soit la vitesse d'impact.
Selon les chercheurs du Laboratoire de physique de la matière condensée et nanostructures (CNRS/Université Lyon I), qui ont travaillé pendant plus de six mois sur cette question l'an dernier, cette trouvaille pourrait s'avérer utile dans d'autres domaines.
"Quand un bateau fend les vagues, il y a des pressions très fortes. Le traitement de la surface pourrait induire des choses sur les dégâts", a noté Lydéric Bocquet, professeur de physique à l'université Lyon I, qui a participé aux recherches, sans vouloir toutefois trop s'avancer. "C'est une perche tendue aux gens qui travaillent dans ces domaines", a-t-il précisé à l'Associated Press.
Il a aussi évoqué l'impact dans l'eau d'une torpille air-mer. "Il ne faut surtout pas d'air au bout de la torpille, sinon elle devient aveugle", a-t-il remarqué.
Pour réaliser leur étude, dont les résultats ont été publiés lundi par le CNRS, et récemment dans la revue britannique "Nature Physics", les chercheurs ont notamment filmé la chute de billes et de cailloux dans un aquarium. "Nous avons filmé à 3.000 à 4.000 images/seconde pour voir la différence", souligne-t-il. "Ce sont les détails qui nous intéressent".
"Que de tels détails microscopiques déterminent des phénomènes macroscopiques était inattendu, car cela va à l'encontre des explications qui prévalaient jusqu'ici en physique pour décrire ces phénomènes", note le CNRS. Et d'ajouter: "Etre capable de contrôler la formation de cavités d'air, surtout quand elles sont indésirables, comme lorsque les navires fendent les vagues, devrait s'avérer utile". AP
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Le "plouf" et le "plop" du caillou qui tombe dans l'eau
PARIS (AP) - Quand on jette un caillou dans l'eau, on entend parfois un "plouf", parfois un "plop". Des chercheurs français se sont très sérieusement penchés sur ce phénomène, montrant que la vitesse d'impact du caillou devait dépasser un certain seuil pour que l'on entende un "plouf" et que le bruit dépend aussi de la surface du caillou.
Une bille hydrophile (qui attire l'eau), par exemple une bille de verre parfaitement polie, ne fait qu'un petit "plop", même à une grande vitesse, alors qu'une bille hydrophobe (qui repousse l'eau), par exemple une bille recouverte d'un revêtement de silane de quelques nanomètres d'épaisseur, produit un gros "plouf" quelle que soit la vitesse d'impact.
Selon les chercheurs du Laboratoire de physique de la matière condensée et nanostructures (CNRS/Université Lyon I), qui ont travaillé pendant plus de six mois sur cette question l'an dernier, cette trouvaille pourrait s'avérer utile dans d'autres domaines.
"Quand un bateau fend les vagues, il y a des pressions très fortes. Le traitement de la surface pourrait induire des choses sur les dégâts", a noté Lydéric Bocquet, professeur de physique à l'université Lyon I, qui a participé aux recherches, sans vouloir toutefois trop s'avancer. "C'est une perche tendue aux gens qui travaillent dans ces domaines", a-t-il précisé à l'Associated Press.
Il a aussi évoqué l'impact dans l'eau d'une torpille air-mer. "Il ne faut surtout pas d'air au bout de la torpille, sinon elle devient aveugle", a-t-il remarqué.
Pour réaliser leur étude, dont les résultats ont été publiés lundi par le CNRS, et récemment dans la revue britannique "Nature Physics", les chercheurs ont notamment filmé la chute de billes et de cailloux dans un aquarium. "Nous avons filmé à 3.000 à 4.000 images/seconde pour voir la différence", souligne-t-il. "Ce sont les détails qui nous intéressent".
"Que de tels détails microscopiques déterminent des phénomènes macroscopiques était inattendu, car cela va à l'encontre des explications qui prévalaient jusqu'ici en physique pour décrire ces phénomènes", note le CNRS. Et d'ajouter: "Etre capable de contrôler la formation de cavités d'air, surtout quand elles sont indésirables, comme lorsque les navires fendent les vagues, devrait s'avérer utile". AP
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Re: Knut ne sera pas tué
mercredi 21 mars 2007, 8h23
La grève des enseignants: "un échec grave", pour Gilles de Robien
PARIS (AP) - Le ministre de l'Education Gilles de Robien a qualifié mercredi de "véritable échec" la grève des enseignants des collèges et lycées contre les suppressions de postes et le décret modifiant l'organisation de leur travail.
"C'est une grève en campagne électorale, c'est à but politique mais c'est une grève qui a été un échec" car elle avait de "mauvais motifs", a-t-il assuré sur RTL. "C'est une agitation très faible et un véritable échec de la part de syndicats". Selon lui, "la grande majorité des enseignants approuvent ces textes".
Déplorant "une vraie désinformation" sur la bivalence, Gilles de Robien a répété que "c'est une bonne mesure" pour les élèves, tout comme les décharges sont "une question de justice sociale". "La population soutient les textes que j'ai pris, même s'il y a des candidats qui voudraient les abroger".
Face aux critiques de François Bayrou, le président de son parti, qui lui reproche de ne pas avoir consulté les syndicats enseignants, le ministre (UDF) de l'Education a estimé qu'"il se trompe et ne connaît pas dossier". "Je peux certifier qu'il y a eu des dizaines d'heures de concertation".
"Deux candidats (Ségolène Royal et François Bayrou, NDLR) disent 'on va supprimer le décret' et disent par ailleurs 'la France va mal, il faut tout réformer'", a-t-il analysé. Mais "où est la réforme? Où est la sincérité dans le désir de réforme de notre pays?".
Quant à Nicolas Sarkozy, le candidat de l'UMP à l'Elysée, "sur ce sujet-là, il ne s'est pas encore prononcé et je n'en ai pas parlé avec lui", a conclu Gilles de Robien.
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La grève des enseignants: "un échec grave", pour Gilles de Robien
PARIS (AP) - Le ministre de l'Education Gilles de Robien a qualifié mercredi de "véritable échec" la grève des enseignants des collèges et lycées contre les suppressions de postes et le décret modifiant l'organisation de leur travail.
"C'est une grève en campagne électorale, c'est à but politique mais c'est une grève qui a été un échec" car elle avait de "mauvais motifs", a-t-il assuré sur RTL. "C'est une agitation très faible et un véritable échec de la part de syndicats". Selon lui, "la grande majorité des enseignants approuvent ces textes".
Déplorant "une vraie désinformation" sur la bivalence, Gilles de Robien a répété que "c'est une bonne mesure" pour les élèves, tout comme les décharges sont "une question de justice sociale". "La population soutient les textes que j'ai pris, même s'il y a des candidats qui voudraient les abroger".
Face aux critiques de François Bayrou, le président de son parti, qui lui reproche de ne pas avoir consulté les syndicats enseignants, le ministre (UDF) de l'Education a estimé qu'"il se trompe et ne connaît pas dossier". "Je peux certifier qu'il y a eu des dizaines d'heures de concertation".
"Deux candidats (Ségolène Royal et François Bayrou, NDLR) disent 'on va supprimer le décret' et disent par ailleurs 'la France va mal, il faut tout réformer'", a-t-il analysé. Mais "où est la réforme? Où est la sincérité dans le désir de réforme de notre pays?".
Quant à Nicolas Sarkozy, le candidat de l'UMP à l'Elysée, "sur ce sujet-là, il ne s'est pas encore prononcé et je n'en ai pas parlé avec lui", a conclu Gilles de Robien.
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Re: Knut ne sera pas tué
mercredi 21 mars 2007, 7h17
Honneurs militaires aux Invalides pour Lucie Aubrac
PARIS (AFP) - Les honneurs funèbres militaires seront rendus mercredi à midi, dans la cour d'honneur de l'Hôtel national des Invalides à Paris, à Lucie Aubrac, grande figure de la Résistance disparue mercredi dernier à 94 ans.
La crémation aura lieu "dans l'intimité familiale".
L'Elysée a annoncé vendredi que le président de la République Jacques Chirac présidera mercredi aux Invalides une cérémonie d'"hommage solennel" à Lucie Aubrac décédée mercredi soir à l'Hôpital suisse de Paris, à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine).
Dans la cour d'honneur de l'Hôtel des Invalides, après "La Marseillaise" et "Le Chant des partisans", une petite-fille de Lucie Aubrac et une universitaire prendront la parole en présence de Jacques Chirac qui rendra ensuite hommage à cette héroïne, l'une des dernières grandes figures de la Résistance, décédée à l'âge de 94 ans.
Aujourd'hui, il ne reste que 67 Compagnons de la Libération survivants sur un total de 1.036 nommés dans cet ordre crée en novembre 1940 par le général de Gaulle. Le benjamin, Louis Cortot aura 82 ans dans quelques jours. Le doyen Paul Louis-Dreyfus a 98 ans.
Germaine Tillion, qui a participé à la fondation du tout premier réseau de résistance, celui du Musée de l'Homme à Paris, fêtera son centième anniversaire le 30 mai. Stéphane Hessel, qui avait organisé la couverture radio sur l'ensemble de la Résistance avant le débarquement de juin 1944, a 89 ans.
Le dernier survivant du Conseil national de la Résistance (CNR), Robert Chambeiron, qui en fut le secrétaire général adjoint, a 91 ans. Le premier chef militaire du maquis du Vercors, le général Alain Le Ray, 96 ans, rappelait récemment le rôle de l'Abbé Pierre dans son maquis.
"On ne résiste pas une fois pour toutes. On refuse l'injustice et la servitude une fois pour toutes", répétait souvent Lucie Aubrac dans les lycées et les collèges où elle témoignait en militante inlassable de la Résistance.
En mars 2004, à l'occasion de la célébration du 60e anniversaire du programme du CNR, Lucie et Raymond Aubrac, Germaine Tillion, Stéphane Hessel, Daniel Cordier (secrétaire de Jean Moulin), le philosophe Jean-Pierre Vernant (décédé en janvier à 93 ans) ou l'ancien dirigeant communiste Maurice Kriegel-Valrimont (décédé en août 2006 à l'âge de 92 ans) appelaient les jeunes générations à réagir devant la remise en cause du "socle des conquêtes sociales de la Libération".
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Honneurs militaires aux Invalides pour Lucie Aubrac
PARIS (AFP) - Les honneurs funèbres militaires seront rendus mercredi à midi, dans la cour d'honneur de l'Hôtel national des Invalides à Paris, à Lucie Aubrac, grande figure de la Résistance disparue mercredi dernier à 94 ans.
La crémation aura lieu "dans l'intimité familiale".
L'Elysée a annoncé vendredi que le président de la République Jacques Chirac présidera mercredi aux Invalides une cérémonie d'"hommage solennel" à Lucie Aubrac décédée mercredi soir à l'Hôpital suisse de Paris, à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine).
Dans la cour d'honneur de l'Hôtel des Invalides, après "La Marseillaise" et "Le Chant des partisans", une petite-fille de Lucie Aubrac et une universitaire prendront la parole en présence de Jacques Chirac qui rendra ensuite hommage à cette héroïne, l'une des dernières grandes figures de la Résistance, décédée à l'âge de 94 ans.
Aujourd'hui, il ne reste que 67 Compagnons de la Libération survivants sur un total de 1.036 nommés dans cet ordre crée en novembre 1940 par le général de Gaulle. Le benjamin, Louis Cortot aura 82 ans dans quelques jours. Le doyen Paul Louis-Dreyfus a 98 ans.
Germaine Tillion, qui a participé à la fondation du tout premier réseau de résistance, celui du Musée de l'Homme à Paris, fêtera son centième anniversaire le 30 mai. Stéphane Hessel, qui avait organisé la couverture radio sur l'ensemble de la Résistance avant le débarquement de juin 1944, a 89 ans.
Le dernier survivant du Conseil national de la Résistance (CNR), Robert Chambeiron, qui en fut le secrétaire général adjoint, a 91 ans. Le premier chef militaire du maquis du Vercors, le général Alain Le Ray, 96 ans, rappelait récemment le rôle de l'Abbé Pierre dans son maquis.
"On ne résiste pas une fois pour toutes. On refuse l'injustice et la servitude une fois pour toutes", répétait souvent Lucie Aubrac dans les lycées et les collèges où elle témoignait en militante inlassable de la Résistance.
En mars 2004, à l'occasion de la célébration du 60e anniversaire du programme du CNR, Lucie et Raymond Aubrac, Germaine Tillion, Stéphane Hessel, Daniel Cordier (secrétaire de Jean Moulin), le philosophe Jean-Pierre Vernant (décédé en janvier à 93 ans) ou l'ancien dirigeant communiste Maurice Kriegel-Valrimont (décédé en août 2006 à l'âge de 92 ans) appelaient les jeunes générations à réagir devant la remise en cause du "socle des conquêtes sociales de la Libération".
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Re: Knut ne sera pas tué
mercredi 21 mars 2007, 5h00
La CIA aurait maltraité des détenus soupçonnés de terrorisme, selon un rapport confidentiel de la Croix Rouge
WASHINGTON (AP) - Des terroristes présumés détenus dans des prisons secrètes de la CIA ont subi des conditions de détention et d'interrogatoire indignes, selon un rapport confidentiel du Comité international de la Croix Rouge, basé sur des entretiens avec des détenus qualifiés de "grande valeur" par les autorités américaines.
Selon la Croix Rouge, les 14 prisonniers interrogés ont fait état de techniques dégradantes telles que la privation de sommeil, l'obligation de rester debout et autres "positions stressantes", particulièrement dures à supporter lorsqu'elles étaient conjuguées. Les prisonniers jusque-là sous contrôle de la CIA, ont été transférés en septembre dans une prison de la base navale américaine de Guantanamo Bay, à Cuba.
La CIA utiliserait ce type de méthodes de détention pour mater les détenus et favoriser leurs confidences lors des interrogatoires. Selon les organisations de défense des droits de l'Homme, les conditions de détention extrêmes pratiquées par la CIA et les techniques d'interrogatoires sous la contrainte constituent des actes de torture.
Ce rapport est le premier compte-rendu indépendant des griefs exprimés par les détenus à l'égard de la CIA depuis le début de leur détention et du programme d'interrogatoires auquel ils sont soumis depuis 2002.
Des responsables américains proches du dossier, s'exprimant sous couvert d'anonymat car le document très sensible n'a pas été rendu public, ont affirmé que le rapport est basé sur des compte-rendus d'entretiens avec les détenus et n'a pas fait l'objet de vérifications.
Les allégations de mauvais traitements sont le fait de terroristes présumés qui pourraient être accusés de la mort de civils innocents, a observé l'un d'eux.
Selon le porte-parole de la Croix Rouge, Simon Schorno, les visites du comité aux 14 détenus avaient deux objectifs: évaluer leurs conditions de détention actuelles et leur donner l'opportunité de s'exprimer à propos de leur détention passée.
"Nous ne souhaitons pas communiquer publiquement sur les conclusions de ce rapport. Il s'agit d'un document confidentiel", a déclaré lundi Schorno. AP
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La CIA aurait maltraité des détenus soupçonnés de terrorisme, selon un rapport confidentiel de la Croix Rouge
WASHINGTON (AP) - Des terroristes présumés détenus dans des prisons secrètes de la CIA ont subi des conditions de détention et d'interrogatoire indignes, selon un rapport confidentiel du Comité international de la Croix Rouge, basé sur des entretiens avec des détenus qualifiés de "grande valeur" par les autorités américaines.
Selon la Croix Rouge, les 14 prisonniers interrogés ont fait état de techniques dégradantes telles que la privation de sommeil, l'obligation de rester debout et autres "positions stressantes", particulièrement dures à supporter lorsqu'elles étaient conjuguées. Les prisonniers jusque-là sous contrôle de la CIA, ont été transférés en septembre dans une prison de la base navale américaine de Guantanamo Bay, à Cuba.
La CIA utiliserait ce type de méthodes de détention pour mater les détenus et favoriser leurs confidences lors des interrogatoires. Selon les organisations de défense des droits de l'Homme, les conditions de détention extrêmes pratiquées par la CIA et les techniques d'interrogatoires sous la contrainte constituent des actes de torture.
Ce rapport est le premier compte-rendu indépendant des griefs exprimés par les détenus à l'égard de la CIA depuis le début de leur détention et du programme d'interrogatoires auquel ils sont soumis depuis 2002.
Des responsables américains proches du dossier, s'exprimant sous couvert d'anonymat car le document très sensible n'a pas été rendu public, ont affirmé que le rapport est basé sur des compte-rendus d'entretiens avec les détenus et n'a pas fait l'objet de vérifications.
Les allégations de mauvais traitements sont le fait de terroristes présumés qui pourraient être accusés de la mort de civils innocents, a observé l'un d'eux.
Selon le porte-parole de la Croix Rouge, Simon Schorno, les visites du comité aux 14 détenus avaient deux objectifs: évaluer leurs conditions de détention actuelles et leur donner l'opportunité de s'exprimer à propos de leur détention passée.
"Nous ne souhaitons pas communiquer publiquement sur les conclusions de ce rapport. Il s'agit d'un document confidentiel", a déclaré lundi Schorno. AP
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Re: Knut ne sera pas tué
jeudi 22 mars 2007, 18h45
USA: l'affaire des procureurs tourne à la guerre de tranchées entre Bush et le Congrès
WASHINGTON (AFP) - Les adversaires démocrates du président Bush ont fait monter la pression jeudi dans l'affaire de procureurs limogés pour raisons apparemment partisanes, attisant un scandale qui est l'occasion pour chaque camp d'afficher sa fermeté.
Cette affaire prend de plus en plus l'allure d'une guerre de tranchées entre la Maison Blanche et le Congrès, depuis que les présidents des commissions des Affaires judiciaires de la Chambre des représentants, puis du Sénat, ont obtenu mercredi et jeudi l'autorisation de lancer des citations à comparaître pour des conseillers de George W. Bush.
Or la Maison Blanche refuse fermement de laisser ses collaborateurs, en particulier l'éminence grise du président Karl Rove et l'ancienne responsable des services juridiques de la présidence Harriet Miers, témoigner en public et sous serment.
Le président Bush, accusant ses adversaires de s'embarquer dans "une équipée partisane de tir à vue contre d'honorables serviteurs du public", consent tout juste à laisser ses collaborateurs avoir des entretiens privés au Congrès, sans serment et sans relevé écrit.
Le porte-parole présidentiel Tony Snow a exclu d'amender cette proposition "très généreuse et raisonnable", accusant jeudi M. Leahy de vouloir mener "un procès spectacle, visant non pas à obtenir la vérité, mais à gronder des responsables de la Maison Blanche".
Pour les démocrates nouvellement majoritaires au Congrès, cette affaire apparemment mineure - la nomination de procureurs relève du pouvoir exécutif, il est seulement inhabituel qu'ils soient déchargés de leur fonction en l'absence d'alternance du pouvoir - est une occasion rêvée de s'affirmer face à un président qui pendant 6 ans a détenu tous les leviers du pouvoirs.
L'affaire porte sur le limogeage ces derniers mois de huit procureurs chargés d'affaires politiquement sensibles. Après avoir invoqué des décisions fondées sur des questions de compétence, l'administration a ensuite révélé que Mme Miers et M. Rove étaient personnellement intervenus, tout comme au moins deux parlementaires républicains.
"Au bout d'un moment, on commence à se demander: est-ce que oui ou non le système de la justice est indépendant? Beaucoup de républicains et de démocrates ont mis en cause ce qui se passe, et tout ce que je veux, c'est savoir la vérité", a expliqué jeudi M. Leahy sur la chaîne de télévision NBC.
Depuis dix jours cette affaire, qui a le potentiel de remonter jusqu'à la Cour suprême si la Maison Blanche refuse de se plier à des citations à comparaître, en vient à éclipser le débat sur l'Irak, difficile à gérer ces jours-ci par des démocrates très divisés.
Elle met manifestement mal à l'aise plusieurs élus de la majorité républicaine, qui pour beaucoup renoncent à soutenir M. Gonzales et appellent au compromis, mais elle ravit les soutiens les plus durs la Maison Blanche.
"Pourquoi ne pas partir en guerre contre le Congrès?" interrogeait jeudi le tabloïde New York Post, marqué à droite. "(M. Bush) a le devoir de s'affirmer et de faire le travail pour lequel il a été élu, comme il le juge nécessaire", affirme le quotidien dans un éditorial, avant de rappeler le président à l'ordre: "La guerre est en cours - pas seulement contre les terroristes, mais contre les démocrates".
Sans reprendre à son compte cette vision guerrière de la politique, M. Snow a préféré invoquer les grands principes: "Nous voulons préserver le principe selon lequel les gens qui conseillent confidentiellement le président doivent pouvoir le faire sans avoir à rendre des comptes en public", a-t-il dit.
Par le passé la présidence Bush a déjà invoqué ce "privilège du pouvoir exécutif" mais n'a jamais eu à le défendre en justice, à la différence de la Maison Blanche de Bill Clinton, confrontée pendant de longues années à un Congrès contrôlé par ses adversaires républicains.
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USA: l'affaire des procureurs tourne à la guerre de tranchées entre Bush et le Congrès
WASHINGTON (AFP) - Les adversaires démocrates du président Bush ont fait monter la pression jeudi dans l'affaire de procureurs limogés pour raisons apparemment partisanes, attisant un scandale qui est l'occasion pour chaque camp d'afficher sa fermeté.
Cette affaire prend de plus en plus l'allure d'une guerre de tranchées entre la Maison Blanche et le Congrès, depuis que les présidents des commissions des Affaires judiciaires de la Chambre des représentants, puis du Sénat, ont obtenu mercredi et jeudi l'autorisation de lancer des citations à comparaître pour des conseillers de George W. Bush.
Or la Maison Blanche refuse fermement de laisser ses collaborateurs, en particulier l'éminence grise du président Karl Rove et l'ancienne responsable des services juridiques de la présidence Harriet Miers, témoigner en public et sous serment.
Le président Bush, accusant ses adversaires de s'embarquer dans "une équipée partisane de tir à vue contre d'honorables serviteurs du public", consent tout juste à laisser ses collaborateurs avoir des entretiens privés au Congrès, sans serment et sans relevé écrit.
Le porte-parole présidentiel Tony Snow a exclu d'amender cette proposition "très généreuse et raisonnable", accusant jeudi M. Leahy de vouloir mener "un procès spectacle, visant non pas à obtenir la vérité, mais à gronder des responsables de la Maison Blanche".
Pour les démocrates nouvellement majoritaires au Congrès, cette affaire apparemment mineure - la nomination de procureurs relève du pouvoir exécutif, il est seulement inhabituel qu'ils soient déchargés de leur fonction en l'absence d'alternance du pouvoir - est une occasion rêvée de s'affirmer face à un président qui pendant 6 ans a détenu tous les leviers du pouvoirs.
L'affaire porte sur le limogeage ces derniers mois de huit procureurs chargés d'affaires politiquement sensibles. Après avoir invoqué des décisions fondées sur des questions de compétence, l'administration a ensuite révélé que Mme Miers et M. Rove étaient personnellement intervenus, tout comme au moins deux parlementaires républicains.
"Au bout d'un moment, on commence à se demander: est-ce que oui ou non le système de la justice est indépendant? Beaucoup de républicains et de démocrates ont mis en cause ce qui se passe, et tout ce que je veux, c'est savoir la vérité", a expliqué jeudi M. Leahy sur la chaîne de télévision NBC.
Depuis dix jours cette affaire, qui a le potentiel de remonter jusqu'à la Cour suprême si la Maison Blanche refuse de se plier à des citations à comparaître, en vient à éclipser le débat sur l'Irak, difficile à gérer ces jours-ci par des démocrates très divisés.
Elle met manifestement mal à l'aise plusieurs élus de la majorité républicaine, qui pour beaucoup renoncent à soutenir M. Gonzales et appellent au compromis, mais elle ravit les soutiens les plus durs la Maison Blanche.
"Pourquoi ne pas partir en guerre contre le Congrès?" interrogeait jeudi le tabloïde New York Post, marqué à droite. "(M. Bush) a le devoir de s'affirmer et de faire le travail pour lequel il a été élu, comme il le juge nécessaire", affirme le quotidien dans un éditorial, avant de rappeler le président à l'ordre: "La guerre est en cours - pas seulement contre les terroristes, mais contre les démocrates".
Sans reprendre à son compte cette vision guerrière de la politique, M. Snow a préféré invoquer les grands principes: "Nous voulons préserver le principe selon lequel les gens qui conseillent confidentiellement le président doivent pouvoir le faire sans avoir à rendre des comptes en public", a-t-il dit.
Par le passé la présidence Bush a déjà invoqué ce "privilège du pouvoir exécutif" mais n'a jamais eu à le défendre en justice, à la différence de la Maison Blanche de Bill Clinton, confrontée pendant de longues années à un Congrès contrôlé par ses adversaires républicains.
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Re: Knut ne sera pas tué
samedi 24 mars 2007, 5h06
Affaire des procureurs licenciés: le ministre de la Justice américain a validé les renvois
WASHINGTON (AP) - Le ministre de la Justice américain Alberto Gonzales a approuvé un plan de licenciement de plusieurs procureurs lors d'une réunion en novembre, selon de nouveaux documents révélés vendredi, qui contredisent ses affirmations selon lesquelles il ne s'était pas foncièrement impliqué dans ce dossier.
Lors de cette réunion le 27 novembre dernier, M. Gonzales a signé un plan en cinq points prévoyant le renvoi des procureurs préparé par son directeur de cabinet, ont déclaré tard vendredi des responsables du ministère de la Justice. Le projet en question évoquait notamment la nécessité de se préparer aux critiques que susciteraient éventuellement les licenciements.
Les démocrates, qui estiment que les huit magistrats ont été renvoyés pour des raisons politiques, ont exigé la démission du ministre. Il s'agit du plus récent conflit opposant le Parti démocrate à l'administration du président George W. Bush, qui a réitéré sa confiance à son ministre cette semaine malgré le scandale.
Le directeur de cabinet de M. Gonzales, Kyle Sampson, a présenté sa démission la semaine dernière après le tollé suscité par cette affaire. Il témoignera jeudi prochain devant la Commission judiciaire du Sénat, a déclaré son avocat.
Les documents révélés vendredi indiquent que la réunion d'une heure dans la salle de conférence du ministre, à laquelle participaient au moins cinq autres hauts responsables du ministère de la Justice, est la seule fois où M. Gonzales ait rencontré ses plus proches conseillers qui ont décidé quels procureurs renvoyer, et comment s'y prendre.
La porte-parole du ministère de la Justice Tasia Scolinos a déclaré ignorer dans l'immédiat si M. Gonzales a donné son accord final pour lancer les procédures de licenciement lors de cette réunion. Elle a rajouté que le ministre n'était pas impliqué dans le processus de sélection des procureurs qui ont été licenciés.
M. Gonzales avait évoqué son rôle dans cette affaire le 13 mars devant la presse en expliquant qu'il savait que certains licenciements étaient en cours de discussion, mais qu'il n'était pas impliqué dans ces procédures.
"Je sais que mon directeur de cabinet était impliqué dans le processus visant à déterminer qui étaient les éléments faibles -où étaient les secteurs de par le pays où nous pouvions réaliser de meilleurs performances pour les gens de ce secteur, et voilà ce que je savais", a-t-il déclaré. "Mais voilà en essence ce que je savais sur le processus. (Je) n'étais pas impliqué dans la consultation d'une quelconque note, n'étais pas impliqué dans un quelconque discussion sur ce qui se passait".
Et de rajouter, plus tard: "J'accepte la responsabilité pour tout ce qui se passe ici, dans le cadre du ministère. Mais quand vous avez 110.000 personnes qui travaillent au ministère, évidemment il y aura des décisions dont je ne serai pas au courant en temps réel. De nombreuses décisions sont déléguées".
Un autre porte-parole du ministère, Brian Roehrkasse, interrogé sur la contradiction entre les déclarations de M. Gonzales et son emploi du temps selon les documents révélés vendredi, a souligné de nouveau que le ministre avait chargé son directeur de cabinet du dossier, précisant que M. Gonzales n'avait pas participé à la sélection des procureurs qui seraient remplacés.
La Maison Blanche, de son côté, a renvoyé vendredi toute question sur cette affaire au ministère de la Justice, expliquant n'avoir pas pris connaissance des documents.
Le sénateur démocrate Chuck Schumer, qui dirige l'enquête sur les licenciements, a déclaré pour sa part: "Si les faits confirment que le ministre de la Justice Gonzales savait beaucoup plus sur ce plan que ce qu'il avait admis auparavant, alors il ne peut plus occuper le poste de ministre de la Justice".
Posted 18 years, 7 months ago by Anonymous • • • Reply
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Affaire des procureurs licenciés: le ministre de la Justice américain a validé les renvois
WASHINGTON (AP) - Le ministre de la Justice américain Alberto Gonzales a approuvé un plan de licenciement de plusieurs procureurs lors d'une réunion en novembre, selon de nouveaux documents révélés vendredi, qui contredisent ses affirmations selon lesquelles il ne s'était pas foncièrement impliqué dans ce dossier.
Lors de cette réunion le 27 novembre dernier, M. Gonzales a signé un plan en cinq points prévoyant le renvoi des procureurs préparé par son directeur de cabinet, ont déclaré tard vendredi des responsables du ministère de la Justice. Le projet en question évoquait notamment la nécessité de se préparer aux critiques que susciteraient éventuellement les licenciements.
Les démocrates, qui estiment que les huit magistrats ont été renvoyés pour des raisons politiques, ont exigé la démission du ministre. Il s'agit du plus récent conflit opposant le Parti démocrate à l'administration du président George W. Bush, qui a réitéré sa confiance à son ministre cette semaine malgré le scandale.
Le directeur de cabinet de M. Gonzales, Kyle Sampson, a présenté sa démission la semaine dernière après le tollé suscité par cette affaire. Il témoignera jeudi prochain devant la Commission judiciaire du Sénat, a déclaré son avocat.
Les documents révélés vendredi indiquent que la réunion d'une heure dans la salle de conférence du ministre, à laquelle participaient au moins cinq autres hauts responsables du ministère de la Justice, est la seule fois où M. Gonzales ait rencontré ses plus proches conseillers qui ont décidé quels procureurs renvoyer, et comment s'y prendre.
La porte-parole du ministère de la Justice Tasia Scolinos a déclaré ignorer dans l'immédiat si M. Gonzales a donné son accord final pour lancer les procédures de licenciement lors de cette réunion. Elle a rajouté que le ministre n'était pas impliqué dans le processus de sélection des procureurs qui ont été licenciés.
M. Gonzales avait évoqué son rôle dans cette affaire le 13 mars devant la presse en expliquant qu'il savait que certains licenciements étaient en cours de discussion, mais qu'il n'était pas impliqué dans ces procédures.
"Je sais que mon directeur de cabinet était impliqué dans le processus visant à déterminer qui étaient les éléments faibles -où étaient les secteurs de par le pays où nous pouvions réaliser de meilleurs performances pour les gens de ce secteur, et voilà ce que je savais", a-t-il déclaré. "Mais voilà en essence ce que je savais sur le processus. (Je) n'étais pas impliqué dans la consultation d'une quelconque note, n'étais pas impliqué dans un quelconque discussion sur ce qui se passait".
Et de rajouter, plus tard: "J'accepte la responsabilité pour tout ce qui se passe ici, dans le cadre du ministère. Mais quand vous avez 110.000 personnes qui travaillent au ministère, évidemment il y aura des décisions dont je ne serai pas au courant en temps réel. De nombreuses décisions sont déléguées".
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Une bille hydrophile (qui attire l'eau), par exemple une bille de verre parfaitement polie, ne fait qu'un petit "plop", même à une grande vitesse, alors qu'une bille hydrophobe (qui repousse l'eau), par exemple une bille recouverte d'un revêtement de silane de quelques nanomètres d'épaisseur, produit un gros "plouf" quelle que soit la vitesse d'impact.
Selon les chercheurs du Laboratoire de physique de la matière condensée et nanostructures (CNRS/Université Lyon I), qui ont travaillé pendant plus de six mois sur cette question l'an dernier, cette trouvaille pourrait s'avérer utile dans d'autres domaines.
(...) Il a aussi évoqué l'impact dans l'eau d'une torpille air-mer. "Il ne faut surtout pas d'air au bout de la torpille, sinon elle devient aveugle", a-t-il remarqué
(...) "Que de tels détails microscopiques déterminent des phénomènes macroscopiques était inattendu, car cela va à l'encontre des explications qui prévalaient jusqu'ici en physique pour décrire ces phénomènes", note le CNRS.
BERLIN (AFP) - Knut, un ourson polaire rejeté par sa mère dès sa naissance au Jardin zoologique de Berlin et sur le sort duquel les experts se divisent, ne sera pas tué, ont affirmé les responsables du zoo.
L'Allemagne s'est prise d'affection pour Knut, petite boule de poils blanche devenue une vedette après avoir failli mourir quand sa mère, l'une des ourses polaires en captivité au zoo berlinois, avait refusé de le nourrir, sans raison apparente. Son frère jumeau, aussi rejeté, n'avait pas survécu.
Vétérinaires, défenseurs des animaux et autres experts se divisent sur le sort qu'il faut lui réserver, tandis que les médias suivent avec attention le lent rétablissement de l'ourson soigné par Thomas Dörflein, qui s'occupe de lui depuis sa naissance.
"Le zoo doit tuer cet ourson", a lancé lundi dans le quotidien allemand Bild Frank Albrecht, spécialiste allemand de la défense des animaux, expliquant que Knut souffrira de "troubles du comportement pendant toute sa vie". Pour M. Albrecht, "le contact des mains humaines n'est pas adapté à l'animal, et représente même une grave infraction à la loi du monde animal".
"C'est n'importe quoi", a réagi André Schüle, vétérinaire en chef du zoo, après que des associations de défense des animaux eurent annoncé dans différents journaux que l'animal, né en décembre, devrait être euthanasié car désormais trop proches des humains. "Ces demi-vérités rassemblées me mettent en colère", a-t-il affirmé.
L'été dernier, un autre ours avait fait l'actualité pendant plusieurs semaines, lorsqu'il avait erré entre la Bavière (sud de l'Allemagne) et l'Autriche. Surnommé "Bruno" par les médias, il avait été tué après trois semaines de recherches, les autorités estimant qu'il représentait un danger pour la population.
Knut au zoo de Berlin - AFP/AFP/Archiv Zoo Berlin