March 22, 2007

Selon l'Ined, les immigrées n'y sont « presque pour rien »


MARSEILLE (AFP) - Un automobiliste de l'Hérault, âgé de 54 ans, a fait sept kilomètres à contresens sur l'autoroute A9, à la sortie de Montpellier, pour rejoindre la bretelle qu'il avait ratée, a-t-on appris mercredi auprès des gendarmes.

La collision a été évitée "par miracle", selon eux.

L'automobiliste a commencé par faire demi-tour à la barrière de péage de Saint-Jean de Védas (Hérault). Voulant rouler à droite, il s'est retrouvé à contresens sur la file de gauche.

Pour emprunter la bretelle qu'il avait ratée, il n'a pas hésité à couper la route aux camions et voitures qui arrivaient.

Les caméras de surveillance ont permis son identification plusieurs jours après les faits qui remontent au 13 mars, ont indiqué les gendarmes qui l'ont interpellé à son domicile. L'homme, dont l'identité n'a pas été révélée, a reconnu qu'il conduisait sous l'emprise d'anti dépresseurs. Son véhicule a été saisi et il sera convoqué prochainement devant la justice pour mise en danger d'autrui et conduite en sens interdit.

2.500 véhicules/heure circulent sur l'autoroute A9.

PARIS (AFP) - Le taux de fécondité des Françaises, qui place la France au premier rang des pays européens avec deux enfants par femme, est fort peu lié à la présence des immigrées, très minoritaires parmi les femmes en âge d'avoir un enfant, indique une étude de l'Ined, à paraître jeudi.

La France, qui est passée de 1,7 enfant par femme en 1995 à 2 aujourd'hui, "n'a pas eu besoin de l'Outre-mer, qui n'ajoute que 0,02 enfant au taux de fécondité national", ni des immigrées, dont l'apport au taux de fécondité reste "modeste (+0,1 enfant)", explique l'Institut national d'études démographiques (Ined).

L'Ined bat ainsi en brèche l'idée que "le niveau de fécondité de la métropole est fortement gonflé par l'immigration", une idée qui traduit "la hantise d'un rapport de forces numérique entre Français et étrangers qui deviendrait défavorable aux premiers".

La participation des étrangères à la natalité de la France est certes "importante" avec, en 2006 comme en 2005, environ "100.000 naissances sur 800.000 de mère étrangère, dont la moitié d'unions mixtes".

Mais leur contribution au taux de fécondité (nombre d'enfants par femme) est jugée "faible" par l'Ined.

"Imaginons 75 Françaises avec une moyenne de deux enfants par femme et 25 étrangères avec la même moyenne: ces dernières contribueront aux naissances dans une proportion de 25%, mais sans rien modifier au taux de fécondité", explique l'Ined.

Pour que les étrangères contribuent fortement au taux de fécondité, et pas seulement aux naissances, il faudrait à la fois qu'elles représentent "une part importante des mères et que leur fécondité soit très supérieure à la moyenne", poursuit l'Institut.

Or, si les étrangères font en moyenne 1,5 enfant de plus que les Française (3,3 contre 1,8), elles restent minoritaires parmi les femmes en âge d'avoir un enfant (7%). "Le surcroît de fécondité qui en résulte", résume l'Ined, "ne dépasse guère un dixième d'enfant".

Si l'on passe des "étrangères" aux "immigrées", incluant les étrangères devenues Françaises, "la contribution aux naissances progresse car les immigrées représentaient en 2004 environ 15% des femmes ayant accouché dans l'année", poursuit l'Ined.

Mais l'effet sur le taux de fécondité est "plus limité": les immigrées naturalisées, "dont l'arrivée est souvent ancienne ou à un âge précoce, pratiquent davantage les unions mixtes et se rapprochent des Françaises de naissance par leur comportement de fécondité: 2,1 enfants en moyenne, contre 2,6 pour l'ensemble des immigrées (ndlr: naturalisées et non naturalisées) et 3,3 pour les étrangères", constate l'Ined.

Par ailleurs, croire que la position de la France au premier rang des taux de fécondité en Europe s'explique par l'immigration supposerait qu'il y ait moins d'immigration ailleurs.

"Or, la plupart de nos voisins ont accueilli en dix ans bien plus de migrants que la France: leur population ne croît chaque année que par la migration, alors qu'elle n'explique chez nous que le quart de la croissance", note l'Ined.

La fécondité de l'Europe est proche de 1,5 enfant par femme. "Limitée aux nationaux, elle reculerait encore, si bien que les écarts avec la France, loin de se combler, se creuseraient", explique l'Institut.

« La bite des noirs est responsable de la famine en Afrique »
Vive polémique autour de la phrase que l’animateur français Pascal Sevran a écrite dans son dernier livre
vendredi 8 décembre 2006,
afrik.com


L'animateur Pascal Sevran accusé de racisme et d'"éloge de l'eugénisme"
LE MONDE.FR avec AFP et Reuters, le 08 Décembre 2006

Extrait : Ses propos sur l'Afrique – "La mort est au bout de leur bite" – provoquent une vive polémique. Des associations réclament son exclusion du service public. Dans le Privilège des jonquilles, son dernier livre, l'animateur de télévision Pascal Sevran écrit : "Le Niger. Safari-photo insoutenable. Des enfants on en ramasse à la pelle dans ce pays (est-ce un pays ou un cimetière ?) où le taux de fécondité des femmes est le plus élevé au monde. Neuf enfants en moyenne par couple. Un carnage. Les coupables sont facilement identifiables, ils signent leurs crimes en copulant à tout-va. La mort est au bout de leur bite. Ils peuvent continuer puisque ça les amuse...


L'Humanité du 10 mai 2006
Sarkozy brandit le péril jeune

Justice. Le ministre de l’Intérieur s’apprête à réformer l’ordonnance de 1945 sur la justice des mineurs, en privilégiant le répressif au détriment de l’éducatif.

Extrait : « Haro sur les jeunes ! »


- Un rapport avec le fantasme du « péril jeune » ? -


Posted 18 years, 9 months ago on March 22, 2007
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