March 22, 2007
Le féminisme, chèvre-émissaire
Le féminisme, chèvre-émissaire
Par Florence Montreynaud, écrivaine (*),
féministe, fondatrice des Chiennes de garde.
L'Humanité, mai 2003
Bombardement médiatique : de nouveau, des micros se tendent vers des femmes connues qui, hier, défendaient le droit de se prostituer comme l’un des droits des femmes. Aujourd’hui, les voilà qui repartent à l’attaque contre " les féministes ", considérées en bloc, sans nuances, comme si une pensée unique inspirait ce mouvement.
Elles amalgament, elles déforment, elles fabulent et surtout elles parlent de ce qu’elles connaissent mal. Ayant acquis une compétence dans un autre domaine, elles portent des jugements définitifs sur les féministes, sans recherches approfondies ni raisonnements rigoureux. Ainsi, elles reprochent aux féministes françaises un prétendu " maternalisme " (priorité donnée à la dimension maternelle des femmes), alors que cette tendance a toujours été très minoritaire. Reprenant des lieux communs erronés, elles agitent l’épouvantail du féminisme des États-Unis dont l’influence nuirait aux si bonnes relations entre hommes et femmes en France, mais elles ne citent que des auteures radicales alors que la réalité est plus diverse.
(...) Depuis deux siècles, au nom de leur idéal féministe, des femmes et aussi des hommes demandent la justice, le respect et l’égalité. De manière non violente, patiente et persévérante, elles et ils veulent obtenir que femmes et hommes soient égaux, en dignité et en droits, et que ces droits soient appliqués. Elles et ils rêvent d’un monde sans prostitution, d’un monde où la sexualité sera au service de l’amour et non de la haine. On respecte les antiracistes ou d’autres personnes engagées pour un monde plus juste, avec Médecins sans frontières ou avec Amnesty international ; au contraire, on se moque des féministes, on les calomnie, on les méprise.
Parce qu’elles et ils mettent en question l’ordre établi sexiste, les féministes dérangent. Certains machistes les haïssent, d’une haine parfois meurtrière. Aux États-Unis, des médecins ayant pratiqué des avortements légaux ont été assassinés parce que le droit d’avorter, l’une des clés de la liberté des femmes, n’est pas encore admis par tous. Le 6 décembre 1989, à l’École polytechnique de Montréal, un homme a massacré quatorze femmes en criant : " Je hais les féministes ! "
...
mercredi 20 décembre 2000, des articles du bureau, par Isabelle Alonso Reçu ceci sur le mail... Il faudrait songer à traîner Philippe de Gaulle devant les tribunaux pour ses propos affligeants (Le Monde du lundi 18/12)... Cordialement Ma réponse : Pauvre Philippe de Gaulle ! ... Philippe, donc, tient sur les femmes les propos suivants (cités dans Libération du 13/12/2000) : "Toutes les découvertes, c’est l’homme, parce que c’est lui qui a l’imagination créatrice. La femme subit un monde qu’elle n’a pas fait." J’aurais tendance à ajouter qu’en plus du monde que nous n’aurions pas fait (au fait, qui FAIT le monde, sinon les femmes ? mais bon, ne surmenons pas l’intellect d’un militaire de carrière...) nous subissons l’intensité de la brillance intellectuelle de ce fleuron du sexe convexe qu’est Philippe de Gaulle, et ça ne fait qu’ajouter à l’épreuve.... Ce n’est pas tout ! Il dit aussi : "L’obstétrique et la gynécologie sont devenues des domaines sérieux à partir du moment où les hommes s’en sont mêlés." Avant que les hommes s’en mêlent, les femmes faisaient les enfants. Pendant que les hommes s’en mêlaient, elles ont continué. Et après que les hommes s’en soient mêlé, elles les font toujours ! Mais c’est pas sérieux ! Ce sont les hommes qui rendent la mise au monde des enfants ’’sérieuse’’. Avec les femmes, ça reste futile, frivole, voire rigolo ! Eh, l’amiral, si tu allais te mêler de l’hélice du porte-avion homonyme de ton papa, hein ? Que ça devienne un peu sérieux ! Ils ont besoin de toi, de ton esprit éveillé, de ta curiosité aventureuse ! Laisse les femmes faire les enfants pas sérieusement, on se débrouille très bien sans l’armée en général et les amiraux en particulier. Et va où le devoir t’apelle ! Va aider les pauvres malheureux fournisseurs de l’armée à claquer l’argent des contribuables. Je sais, ça doit être déprimant de ne pas avoir une guerre à perdre, on doit le trouver long, le temps de paix... Alors on pense sous soi, c’est inévitable... Et on sait pas se taire, quand on est de la grande muette... De l'historique des chiennes de garde : Le déclencheur : les attaques contre des femmes publiques (...) A l’issue de l’Assemblée Générale extraordinaire du 02 04 05, un nouveau bureau a été élu à l’unanimité. Il se compose de Emmanuelle (présidente), Isabelle.C (vice présidente), Severine (Trésorière), Laurence (secrétaire générale), Katie, Yanne, Isabelle.V, Celine, Mathieu (membres du bureau) (voir le rapport moral, le rapport d’activité et le communiqué de la nouvelle présidente) De Sauver sa peau, Une leçon de survie. Une leçon de vie. Quand un groupe en domine un autre, il trouve toujours des excuses, et elles sont rarement à son désavantage, tant qu’à faire ! Aux yeux du dominant, les dominés sont moins intelligents, moins bons, moins cultivés, moins tout. C’est comme ça que pendant des siècles, les filles ont été considérées comme un accident de la nature, à mi-chemin entre l’homme et la bête. Parce que nous étions vaincues, on nous a convaincues que nous étions faibles, mal foutues, stupides et que donc nous méritions notre triste sort. Chez nous, en Europe occidentale, ... En ce qui concerne la supériorité physique, en revanche, les choses sont différentes. Non seulement la supériorité physique masculine apparaît comme une réalité incontestable, mais son affirmation systématique est un élément constitutif de l’identité masculine. Etre un homme, c’est bien sûr faire ces choses que les hommes sont fiers de faire avec leur zizi : pipi debout et bander du bout. Décliner pissance et puissance (!). Ça mange pas de pain. Qu’ils pissent debout, on s’en fout. Qu’ils bandent, ça nous arrange. Mais c’est d’abord et avant tout le fait d’être physiquement plus fort qu’une femme qui les structure dans leur virilité. Vous me direz tout ça est très relatif. ... |
Posted 18 years, 7 months ago on March 22, 2007
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Re: Le féminisme, chèvre-émissaire
samedi 24 mars 2007, 17h30
Manifestation à Paris en faveur d'une loi contre les violences faites aux femmes
PARIS (AFP) - Plus de 2.000 personnes, selon les organisateurs, ont manifesté samedi après-midi à Paris à l'appel d'associations féministes pour exiger une loi-cadre contre les violences faites aux femmes et un ministère d'Etat pour la parité homme-femme, a constaté une journaliste de l'AFP.
La manifestation, de la Place de la République à Opéra, organisée par le Collectif national pour le droit des femmes, et soutenue par les partis de gauche (PS, PCF, LCR, LO, Verts) et des syndicats (FSU, CGT), a reçu l'appui de plusieurs présidentiables, dont José Bové, présent dans le cortège.
Une banderole rappelait que si "le machisme tue tous les jours, le féminisme n'a jamais tué personne". Une autre revendiquait "la défense des associations, une loi-cadre et un ministère d'Etat de la parité homme-femme".
"Aujourd'hui, il y a un problème de droits à faire respecter au niveau privé, mais aussi dans la vie sociale et au travail (...) la question des femmes est centrale", a déclaré José Bové.
"Malheureusement, les gendarmes et la police ne prennent pas suffisamment en compte le problème, la logique machiste continue", a ajouté le leader paysan, venu soutenir en particulier deux dirigeantes de l'association dunkerquoise "Sedire", poursuivies en justice pour avoir hébergé une femme battue et ses enfants.
"Le mari nous attaque, la présidente de l'association, son épouse et moi-même, pour soustraction d'enfants", a indiqué à l'AFP Mauricette Sauvignon, ex-présidente de l'association. "Notre première revendication est d'avoir des lieux d'accueil vraiment protégés pour les femmes victimes de violences".
Laurence Rossignol, secrétaire nationale du PS chargée du droit des femmes et proche de Ségolène Royal, s'en est prise au ministre de l'Intérieur et candidat UMP.
"Nicolas Sarkozy fanfaronne. Il pense avoir fait du bon travail et semble se satisfaire qu'il y ait tous les trois jours, une femme qui meure sous les coups de son compagnon: il continue de considérer que cela relève d'une question de vie privée, et non de sécurité, sinon il serait plus modeste", a-t-elle dit.
"Pour les 5.000 morts sur les routes, il y a une prise de conscience collective qui a conduit à des réformes, mais pas pour les femmes", ajoute-t-elle, en accusant le gouvernement d'avoir réduit "drastiquement" les crédits pour les structures d'urgence.
Dans le cortège, Marie, 51 ans, 5 enfants et un mari violent, témoigne : "Vous savez quand on vous met un fusil entre les jambes et que les gendarmes ne bougent pas, on a des raisons de manifester".
Damarys Maa Marchand, présidente de l'Initiative des femmes africaines de France et d'Europe (IFAFE), mène, elle, deux combats : "avec mes propres soeurs pour qu'elles luttent avec nous" et "contre la stigmatisation des femmes africaines vues comme des polygames".
Posted 18 years, 7 months ago by Anonymous • • • Reply
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Manifestation à Paris en faveur d'une loi contre les violences faites aux femmes
PARIS (AFP) - Plus de 2.000 personnes, selon les organisateurs, ont manifesté samedi après-midi à Paris à l'appel d'associations féministes pour exiger une loi-cadre contre les violences faites aux femmes et un ministère d'Etat pour la parité homme-femme, a constaté une journaliste de l'AFP.
La manifestation, de la Place de la République à Opéra, organisée par le Collectif national pour le droit des femmes, et soutenue par les partis de gauche (PS, PCF, LCR, LO, Verts) et des syndicats (FSU, CGT), a reçu l'appui de plusieurs présidentiables, dont José Bové, présent dans le cortège.
Une banderole rappelait que si "le machisme tue tous les jours, le féminisme n'a jamais tué personne". Une autre revendiquait "la défense des associations, une loi-cadre et un ministère d'Etat de la parité homme-femme".
"Aujourd'hui, il y a un problème de droits à faire respecter au niveau privé, mais aussi dans la vie sociale et au travail (...) la question des femmes est centrale", a déclaré José Bové.
"Malheureusement, les gendarmes et la police ne prennent pas suffisamment en compte le problème, la logique machiste continue", a ajouté le leader paysan, venu soutenir en particulier deux dirigeantes de l'association dunkerquoise "Sedire", poursuivies en justice pour avoir hébergé une femme battue et ses enfants.
"Le mari nous attaque, la présidente de l'association, son épouse et moi-même, pour soustraction d'enfants", a indiqué à l'AFP Mauricette Sauvignon, ex-présidente de l'association. "Notre première revendication est d'avoir des lieux d'accueil vraiment protégés pour les femmes victimes de violences".
Laurence Rossignol, secrétaire nationale du PS chargée du droit des femmes et proche de Ségolène Royal, s'en est prise au ministre de l'Intérieur et candidat UMP.
"Nicolas Sarkozy fanfaronne. Il pense avoir fait du bon travail et semble se satisfaire qu'il y ait tous les trois jours, une femme qui meure sous les coups de son compagnon: il continue de considérer que cela relève d'une question de vie privée, et non de sécurité, sinon il serait plus modeste", a-t-elle dit.
"Pour les 5.000 morts sur les routes, il y a une prise de conscience collective qui a conduit à des réformes, mais pas pour les femmes", ajoute-t-elle, en accusant le gouvernement d'avoir réduit "drastiquement" les crédits pour les structures d'urgence.
Dans le cortège, Marie, 51 ans, 5 enfants et un mari violent, témoigne : "Vous savez quand on vous met un fusil entre les jambes et que les gendarmes ne bougent pas, on a des raisons de manifester".
Damarys Maa Marchand, présidente de l'Initiative des femmes africaines de France et d'Europe (IFAFE), mène, elle, deux combats : "avec mes propres soeurs pour qu'elles luttent avec nous" et "contre la stigmatisation des femmes africaines vues comme des polygames".
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LILLE (AFP) - Le président de l'Unef, Bruno Julliard, a déclaré jeudi à Lille que le syndicat étudiant, qui fête son centenaire, ne voulait "rien renier" de son histoire, "des zones d'ombre aux grandes victoires".
Rappelant les "événements qui ont fait l'Unef", comme "la création des oeuvres universitaires" ou "l'insoumission à la guerre d'Algérie", Bruno Julliard, a affirmé: "De cette histoire, nous ne voulons rien renier".
"Des zones d'ombre aux grandes victoires, le mouvement étudiant est l'héritier des cent années de vie de l'Unef", a-t-il ajouté devant quelque 800 délégués du syndicat, venus de toute la France pour son 80e congrès.
Lettre d’Isabelle Alonso,
Présidente des Chiennes de garde
Vendredi 8 septembre 2000
(...) Je ne reviens pas sur les circonstances de la démission de notre ancienne présidente, car c’est vers l’avenir que les Chiennes de garde sont orientées. J’ai adressé une lettre à Florence Montreynaud le 28 aout 2000. Elle m’a répondu le 1er septembre. Nous confirmons que ses déclarations depuis le 3 mai, date de sa démission, n’engagent qu’elle même.