Mot(s) clef: Lise
« Il y a des voies de recours », soutiendra JPR ?
Aujourd'hui, au Palais Bourbon, salle 6217, j'ai du me contenir, plusieurs fois, pour ne pas éclater de rire ni jamais exploser, de colère. En fin de matinée, j'ai du me contenir lorsque le Président de DEI-France, le juge pour enfant Jean-Pierre Rosenzweig, semblait encore soutenir que, dans ce pays, la France ou plutôt, la Moldavie française, il existerait des voies de recours, des voies de justice et de recours efficaces. A Anger, cette sorte d'anti-Outreau, tout aurait d'ailleurs très bien fonctionné ; c'est ridicule, à moins qu'on ai déjà tout oublié, des années se sont déjà écoulées.
J'ai pu me retenir tout autant en juillet 2009, à Nanterre, dans le cabinet du juge pour enfant Thierry Baranger ; je crois qu'il arrivait du 9-3, ce même fameux tribunal. J'avais alors déjà lu des publications tout aussi scandaleuses, par exemple, celles de l'AFMJF, nous assurant que « le contradictoire en assistance éducative existe », lui aussi, ou que « le catalogue des horreurs » établi par ATD Quart Monde ne pouvait être qu'une « carricature ». Allons les juges, un peu de sérieux, replongez vous déjà dans vos cours de droit, vos cours de débutants ou de doctorants, approfondissez ensuite quelques dossiers, par exemple, celui-ci, mes observations, pour ce 30 novembre, à Versailles ; puis on en discute !
Par le passé, JPR m'avait déjà irrité au cours d'un colloque du Fil d'Ariane ; il renvoyait alors chacun des parents à leurs situations et difficultés individuelles, ainsi qu'à des voies de justice et de recours parfaitement inefficaces...
Aujourd'hui, avant de partir déjeuner, j'ai remis une copie de ces mêmes et ultimes observations au Président de DEI-France. Je lui ai également remis une copie de l'arrêt rendu ce 20 octobre 2010, par la première chambre civile de la cour de cassation. J'ai tenté de lui expliquer que dans ce pays, les voies de justice et de recours n'existent pas lorsque le juge pour enfant est saisi. Comme le Président de DEI-France ne me parraissait pas très disposé à m'entendre, en insistant plus lourdement sur la seconde option, j'ai fini par lui lancer qu'il était soit naïf, soit malhonnête. « Pas ici », donc pas dans les couloirs de l'Assemblée nationale, m'a-t-il finalement répondu, « je ne peux pas me prononcer sur un dossier individuel sans en avoir pris connaissance », m'avait-il aussi répondu. Je ne peux pour ma part plus qu'insister pour que le Président de DEI-France me lise puis qu'il me réponde bientôt, par exemple, dans le Journal du Droit des Jeunes.
Dans la salle 6217, j'ai également pu discuter quelques instants avec Frédéric Jesu, vice-président de DEI France. Je lui ai d'abord rappellé qu'il avait un jour répondu à Maurice Berger, cet idéologue de droite, peut-être même d'extrème droite, ce « pédopsy en souffrance », tantôt engagé contre la protection de l'enfance, parfois engagé contre la garde alternée ou même contre la « justice » rendue par les JAF. Frédéric Jesu pourrait me lire et me répondre un jour, lui aussi ? Cet après midi, encore dans ces mêmes sous sols de l'Assemblée nationale, mon message à son attention était tout aussi explicite : « la protection de l'enfance, ça ne fonctionne pas ! » Je pense qu'il ne m'a pas pris au sérieux, pas encore.
En fin d'après midi, après une présentation d'activités de théatre forum « avec des mamans et des enfants » puis la projection d'un extrait d'un documentaire, quelqu'un a souhaité souligner « l'absence » des pères. En février dernier, Jean-Marie Bockel établissait lui aussi un constat d'echec, peut-être assez similaire ; « juste en demie-teinte », dira-t-on.
Quelques JDJ-RASJ, dont celui de novembre 2010, le n° 299,
spécial « prévention de la délinquance institutionnelle »
Fini, pfff... enfin
Page 54, j'ai remarqué une erreur, le mauvais document ou date. Ce n'est pas grave. J'en parlerais à l'audience.
Imprimé puis posté, ce 17 au matin. Et pourvu que le facteur n'égare pas tout...
Ajout du 19... Selon la Poste, ces « observations » arrivent à leurs destinataires. En Poitou-Charente, au Conseil régional, un proche de Royal a été informé ; la candidate à la présidentielle m'avait répondu, fin décembre 2006. Cette semaine, le PS a également été informé, j'ai téléphoné rue de Solférino ; le PS est aussi cynique que je pourrais l'être : « la justice, les prétoires, dans ce pays, ça ne fonctionne pas... », m'a-t-on répondu. A l'UMP et selon l'échange que je viens d'avoir au téléphone, le service ou interlocuteur « relations publiques » devrait informer Jean-François Copé, leur secrétaire général : ses prétoires ou ces dépendances, telles que de la protection de l'enfance, vers lesquels on me renvoie encore, produisent essentiellement des constats d'échecs.
Je voulais tourner cette page, en finir avec ces observations, un PDF, pour ce 30 novembre, à Versailles. J'en ai assez de brasser ces écrits et de me relire. Je pense que c'est à peu près bon, pour un tirage et des envois. Je crois que je vais en expédier un exemplaire à sa chancellerie, eventuellement après le 15 et ce remaniement récemment annoncé.
Le sujet est maintenant : comment on gagne... « en 2012 » ? La quille déjà annoncée en décembre 2009, par la chambre des confirmations de Versailles, devra suivre avant. En septembre 2011, mon aînée sera majeure.
Audience du 30 novembre 2010,
Auprès de la 2ème chambre civile, 1ère section
Cour d'appel de Versailles
Suite à renvoi par l'arrêt n° 414
n° RG 10/02431 du 24 juin 2010
En appel d'une décision du juge des tutelles d'Antony,
n° RG 58-04-00052-04 du 15 mars 2010
dossier de KANT Justine
M. Bruno KANT, appelant, ingénieur, en personne, contre :
- Madame Isabelle CLEMENTZ, née BULOW, pasteur,
- Monsieur Pascal CLEMENTZ, médecin généraliste,
- Monsieur Philippe KHUN, assistant, domicilé espace Pierrard, chez Maître HALTER, notaire,
- Madame Sylvie ETROPIE, assistant, domicilée espace Pierrard, chez Maître HALTER,
- le parquet général près la cour d'appel de Versailles,
- sa fille mineure, « protégée », « assistée », Justine KANT *
*) En raison de la nature des informations contenues dans ce document, et pour ne pas choquer sa fille mineure, Justine KANT, plutôt qu'à elle, M. KANT fait parvenir ces observations à son avocat ou cafard d'enfant, Maître Delphine ROUGHOL. Me ROUGHOL a très souvent lu M. KANT.
ses affaires, et me la remettrait à ma majorité.
Inutile de dire que je n'en ai plus jamais entendu parler... »
Sacha GUITRY, Le roman d'un tricheur,
cité en préface de Droit et intérêt n° 49, volume 3, FUSL Bruxelles, 1990,
Droit positif, droit comparé et histoire du droit
Arrêt n° 414, RG n° 10/02431, CA de Versailles, en date du 24 juin 2010,
ou encore « Avant dire droit », Versailles convie le pasteur d'Uhrwiller
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A l'attention du chef de l'Etat et de son Ministre de la Justice
J'ai déjà écrit X fois, ici et la. Ils auront été prévenus, très bien informés, et ne seront plus à une bafouille près.
Ces arrêts de décembre 2008 et d'octobre 2010, à la suite, s'articulent tout deux autour d'un même jugement, rendu en juin 2008, par le juge pour enfant de Nanterre, ainsi qu'autour d'un arrêt de la cour d'appel de Versailles, rendu le 22 mai 2009. Il y a eu « changement » de juge au siège, en octobre 2008, du fait d'une procédure de prise à partie contre le juge pour enfant, ce qui est assez exceptionnel ; puis a suivi cette décision de rejet, en cassation, en décembre 2008. Il y a maintenant eu cassation après, avec renvoi auprès de la cour d'appel, « autrement composée ». A suivre...
Après juin 2008 et une audience provoquée, chez le juge pour enfant, mon aîne finissait par refaire surface. Mon aînée avait comme disparue, depuis début novembre 2005. Nous passions ensuite l'été 2009 en famille. Mais depuis septembre 2009, nous n'avons à nouveau plus la moindre relation avec mon aînée. On fini par se faire une raison.
Dans cette baffouille, à la suite, était-il utile de rappeller qu'en 2008, la Constitution avait 50 ans, la DUDH, 60 ans, et qu'en 2009, la CIDE allait avoir 20 ans ? En décembre 2008, quelques ouvrages flambaient, dans Paris, en contrebas de la BNF. Nous étions quatre à protester, dans le cadre d'un « rassemblement » bien encadré et très officiellement déclaré auprès de la préfecture de Paris. « Saisissez les tribunaux, faites vous mieux conseiller, n'hésitez pas à faire appel, à user et à épuiser les voies de recours »... faudrait-il encore que ça produise autre chose que de tels constats d'échecs !
A l'attention de Monsieur Nicolas Sarkozy,
Président de la République Française
A l'attention de Madame Michèle Alliot-Marie,
Garde des Sceaux
et Ministre de la Justice et des Libertés
Lettre ouverte - Le PDF
Messieurs,
Veuillez trouver ci-joint copie de deux arrêts rendus par la cour de cassation :
• du 17 décembre 2008, de rejet, mais motivé,
• du 20 octobre 2010, tout aussi affligeant, un arrêt qui casse et annule
Aujourd'hui, je ne peux plus que penser que vous même ainsi que certains de vos prédécesseurs avez été d'une naïveté, d'une incompétence ou d'une mauvaise foi crasse - surlignez tout ce qui vous siéra.
Avec mes plus cordiales salutations.
Bruno Kant
http://justice.cloppy.net
Bagneux, 9-2, le 28 octobre 2010
Du 30 au soir... et du lendemain. Ce billet, sa page 1, est quasi reconstitué, suite à l'intervention d'un emmerdeur, dans mon blog ; si nécessaire, pour quelques explications, voir La curée ou le billet Un bug ? J'ai perdu un second billet dans ma rubrique Opinions, après une boulette, ce 30 au matin ; mais c'est sans importance, depuis, l'essentiel est à nouveau publié. Voir par exemple, la page 4, pour une lettre au juge pour enfant de Nanterre, postée ce 29 octobre.
« J'assume », c'était le titre de l'un de mes billets de janvier 2009. A l'époque, écrivant encore ou déjà à l'Elysée, rappelant que ce pays aurait une Constitution, je décrivais un peu ce qui venait de se passer en 2008, à Nanterre, à Versailles puis en cassation, et je posais une question à Monsieur le Président de la République : « croyez vous aux vertus de l’assistance éducative alors que la Direction Nationale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse ainsi que Madame la Secrétaire d’Etat à la famille font eux même montre de sérieuses réserves ? » Je n'ai jamais eu de réponse.
Des spécialistes ainsi que des pinnailleurs pourraient relever quelques broutilles ou bizarreries dans les pages suivantes. Comme d'autres articles ou feuilles, elles ont été assez difficiles à rédiger et à relire. Je suis disposé à en discuter. Et que mes lecteurs ne commettent pas les mêmes erreurs que Maître Eolas ; par le passé, il s'est déjà vautré ; je pense qu'il ne m'avait même pas lu, qu'il ne se doutait pas non plus que la cour de cassation mais également le juge pour enfant de Nanterre allait ensuite rendre des jugements et arrêts qui nous seraient favorables, à mes enfants ainsi qu'à ma famille. Mais des pinnailleurs peuvent se lâcher aussi, nous convoquerons alors également Schoppenhauer et Caraco.
Hé oui, j'assume et, comme d'autres, je me contrefous du qu'en dira-t-on, du tribunal de l'opinion également.
Une photo de voyage, prise ce 3 juin 2010,
au retour d'un prétoire de Lorraine
Surprise, c'est encore un strike !
Ajout du 24 au soir... Je n'avais pas vu. L'arrêt est publié, sans les moyens annexes, rubrique jurisprudence :
Arrêt n° 909 du 20 octobre 2010 (09-68.141) - Cour de cassation - Première chambre civile
CASSE ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l'arrêt rendu le 22 mai 2009, entre les parties, par la cour d'appel de Versailles ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Versailles, autrement composée
Pour le final et après un changement de juge pour enfant, en octobre 2008, j'obtiens donc, aujourd'hui, deux ans plus tard, un renvoi devant la cour d'appel, autrement composée. Le précédent arrêt, rendu le 17 décembre 2008, autour de ce même jugement ou siège, est publié sur Légifrance. Pour en rire plus, dans mon blog : Nos porte voix : « l'Elysée ne répond pas à des allégations mensongères ». Voir aussi parmi mes notes, PS : Royal demande « des sanctions » contre les fraudeurs. Cette réponse d'avril 2007, de la chancellerie, est pas mal aussi : « il convient d'attendre ». En août 2007, énervé, fâché, je finissais donc par écrire à l'Elysée, ainsi qu'au Garde des Sceaux : « Sous couvert de l'indépendance, la place Vendôme et l'Elysée se refusent au dialogue, ne me laissant pas d'autre choix. » En janvier 2010, avait encore suivi un rappel à la loi, en toute discrétion, dans l'entresol du palais de justice de Paris...
Ajout du 26... Je remercie Madame Liliane Bettencourt pour ce fou rire, je pourrais en parler très prochainement, à Versailles, ou même lancer tout à fait similaire à quelques juges et partis : « Qu’est-ce qu’elle a ma [soeur trisomique] ? Je vais bien dans la lutte. Quand c’est plat, je m’emmerde. » « Vous êtes têtu ou alors vous ne comprenez pas vite ? » Madame Bettencourt envisage à présent de s'exiler, au Congo ? Je suis très bien, par ici, à proximité immédiate de Paris. Au printemps dernier, je pense avoir été tout aussi explicite avec le juge pour enfant ainsi que dans une correspondance adressée à la chancellerie : « Je confirme ce que j'écris au juge pour enfant de Nanterre, ma soeur trisomique emmerde maintenant ton ministère public. J'invite les pas contents à trouver un drapeau français. » Je ne pourrais plus écrire la même chose à un magistrat du siège ou au Garde des Sceaux car, aujourd'hui, dans de telles allégations, certains seraient susceptibles de percevoir un outrage à un symbole de cette République, le drapeau. En décembre 2009, dans mes conclusions écrites déposées à la cour d'appel de Versailles, auprès de la chambre des mineurs, j'étais également assez explicite : « La chambre des créatures inférieures pourrait cependant très soudainement se ressaisir et faire montre d'un peu plus de sérieux ? M. KANT le sera alors tout autant. »
Ajout du 26 encore... L'arrêt du 20 octobre est à présent publié sur Légifrance, avec ses moyens annexes. Il est pas mal sous cette forme, avec ses annexes ; il rappelle que « M. X... a accablé la MECS du Château de Vaucelles [ NDLR : on parle aujourd'hui plus pompeusement de la maison d'enfants Elie Wiesel ] », le cloaque de l'OSE France dirigé par Richard Josefsberg. La suspension de tous mes droits « sur » ma fille Justine, « pour exceptionnelle et cruelle qu'elle apparaisse, n'en était pas moins nécessaire dans l'intérêt de la mineure » ? J'adore lire de nouveaux papiers ou productions de ces cours et professionnels, qui qu'ils soient. A chaque fois, on peut en écrire plus ou, tout simplement, étayer mieux de précédents écrits ou publications. Une séparation « exceptionnelle et cruelle » ? J'en reparlerais à l'occasion d'un prochain colloque ou conférence auquel contribuera Françoise Sironi. Oui, je sais, la police m'a assez souvent répété qu'on ne doit pas critiquer l'OSE France, une association reconnue d'utilité publique.
Ajout du 26, dans la nuit... Faut-il avoir de la compassion pour des bourreaux ? En a-t-on pour des pédocriminels ou des crevures ? Maintenant, 'faut assumer, Isabelle, vous voilà condamnés, toi et Pascal. Je sais, vous et Maître Delphine Roughol, cafard d'enfant, avez toujours trouvé la plupart de ces juges et les pros du social si fabuleux...
Ajout du 27 octobre, 17h20. Je viens de téléphoner à l'Elysée, le 01 4292 8100 ; il ne me paraissait plus utile d'écrire à nouveau, là bas. Le château m'a souvent répondu n'importe quoi lorsque mes lettres ou envois à l'attention du Président de cette République ne restaient pas tout simplement lettres mortes. J'ai discuté deux minutes avec une dame. On m'a dit que j'y aurai déjà écrit plus de trente fois - en 6 ou 7 ans - et que mon dossier serait « sorti » ; ce dossier n'est peut être que « égaré ». Cette dame a eu le sentiment que j'aurai « beaucoup de soucis ». J'ai bien insisté : « j'ai cassé Versailles et je ridiculise maintenant ces juges ». Selon ce qu'elle m'a répondu, mon appel devrait être « signalé ».
Je viens de survoler une correspondance et sa pièce jointe, du cabinet Defrenois et Levis, Paris. Je leurs avais confié une décision rendue par Versailles, le 22 mai 2009, j'avais fait appel de décisions rendues par Xavier Serrier. Selon ce qui m'est parvenu, la décision de Versailles a été soumise à la cour de cassation ; elle a rendu un arrêt, ce 20 octobre 2010 : casse et annule, dans toutes ses dispositions, condamne les époux Clementz aux dépends, renvoie à Versailles, auprès d'une cour autrement composée, etc... J'attends encore un complément d'information, de la part de Maître Marc Levis.
Le pasteur d'Uhrwiller, condamné ? Il me semblait bien qu'Isabelle Clementz finirait par plagier Madame Brun.
Faut-il absolument retourner à Versailles, revoir des juges de la chambre des mineurs ou des créatures inférieures ? En juillet dernier, le juge pour enfant de Nanterre avait convoqué mais j'avais décidé de laissé ces gens se débrouiller, entre eux ; je les ai snobé, je ne me suis pas rendu à l'audience, puis je n'ai même plus fait appel. Il faut que j'étudie cet arrêt du 20 octobre, il s'appliquera certainement aussi à ce que Versailles et Nanterre ont rendu après mai 2009.
Dans tous les cas, l'arrêt rendu ce 20 octobre va m'être utile. Je vais le pousser dans la deuxième chambre civile de Versailles, fin novembre prochain. La Cour a convié le pasteur et son époux, le médecin généraliste... la famille d'accueil, la tata et le tonton ou ces « tiers dignes de confiance ». En effet, les époux Clementz s'occupent depuis quelques années de ma fille ainée, une situation qui semble à présent manquer très cruellement de bases légales.
Audience publique du 20 octobre 2010, Cassation,
Pourvoi n° C 09-68.141, Arrêt n° 909 FS-P+B+I
Retourner à Versailles, puis après, à nouveau en cassation ? Ca peut faire travailler des professionnels, livrer une matière intéressante pour des juristes. Mais ça m'apporterait quoi au juste, aujourd'hui ? J'ai plus intéressant à faire. Qu'est-ce que ça pourrait apporter à mes enfants, à ma famille ? Le mal est fait. Dans à peine plus de six mois, mon ainée sera majeure. Pour le moment, j'envisage de laisser les « professionnels » de la Dass, de cette justice du coin, vaquer encore à leur occupations, avec les époux Clementz et l'ARSEA. Je pouvais aussi y retourner, juste pour le fun, recasser encore Versailles et à nouveau Serrier, les arrêts et jugements qu'ils ont rendus, recasser ou faire condamner encore les époux Clementz. Je pense que tout aurait du s'arrêter peu après 2008, alors que je venais de casser la première présidence de Versailles et de moucher Xavier Serrier. Je vais passer pour quérulent, si je continue ? Ce n'est pas sûr. Aujourd'hui, avec cet arrêt qui vient de tomber, je pense plutôt à faire condamner l'Etat français ; à mon avis, la condamnation est acquise.
En novembre dernier, je crois que j'avais été apperçu par Dominique Versini, devant le Barreau de Paris. En tous cas, une femme qui lui ressemblait beaucoup avait détourné son regard de ma banderole - celle qui a ensuite fait l'objet d'une « destruction administrative ». Je pense que le Défenseur des enfants ou des droits pourra s'emparer de cet arrêt du 20 octobre. L'arrêt complétera le rapport de Versini, rendu en 2005 ; je m'y étais référé pour alimenter les écrits et les débats auprès de la cour. Selon le pasteur Clementz, c'est à l'enfant de choisir sa voie... Du rapport 2005 du Défenseur des enfants, page 99 : « Il arrive que les adultes se cachent derrière les voeux exprimés par l’enfant pour échapper à leurs propres responsabilités ou pour faire valoir leur propre point de vue. » Aujourd'hui, le point de vue du pasteur n'a donc plus de base légale. Quand à la base morale, je pense qu'elle est absolument abjecte - suffisant, répondra la paroisse, le village et l'ARSEA Alsace ? « C'est encore motivé par des opinions psychiatriques, par les avis du ministère public ou le politique, par des rapports ou avis de goret du social, ceux de l'OSE France et l'ARSEA, par les prêches d'Isabelle Clementz également », nous diront des magistrats professionnels ? Les époux Clementz vont ils maintenant se faire mieux conseiller ? Ce n'est pas sûr. Je pense qu'ils s'en foutent tous, ils ont « gagné ». Maître Eolas a également « gagné », et à mon avis, un gros lot. Il y a peu, il publiait L'affaire René G..., je l'invite à se relire d'abord, puis à relire ou à lire aussi Un petit pot pourri. Qu'en diront Maître Delphine Roughol, cafard d'enfant, Jean-françois Guthmann, Roger Fajnzylberg et Richard Josefsberg, de l'OSE, Thomas Resch, de l'ARSEA ? Qu'en pensera maintenant le si bon Docteur Magalie Bodon-Bruzel ? Et Madame Claire Davidson, « psycho machin », va-t-elle parler un jour ? Et le substitut Laeticia Felicis, que devient-il, pourquoi n'a-t-il pas répondu aux caméras de France 2, par le passé ? Mon ami G., juriste, va se marrer après s'être arraché les cheveux ; qu'est-ce qu'on en avait chié, pendant des mois... pour un tel fiasco !
L'idée des « psys » - ainsi que de convoquer le pasteur - était celle du juge pour enfant Anne Valentini, elle même une experte, et des professionnels de l'OSE France. Ils insistaient, lourdement. Cette idée ou plutôt, nécessité de « psychiatriser », faute d'autres arguments, avait été confortée par le juge Thierry Reveneau ainsi que par la cour d'appel de Versailles. En 2009, Versailles me refusait encore une « contre expertise » ou l'intervention d'un nouveau bouffon en blouse... Maintenant que cette décision de 2009 est casséee, annulée, j'attends encore et toujours des commentaires sous cet ancien billet, Un cas clinique, histoire d'en rire. Allez, les pros, faites pas les timides !
Pourtant, aujourd'hui, tout est plus simple, tout le monde peut parler, librement. En effet, depuis juin 2008, il n'y a plus aucun journal ou tabloïde, ni la moindre caméra, nul part. Je pense que tout le monde a la trouille, depuis des lustres.
![](/DictionnaireDesCurieux.jpg)
Voir parmi mes références, Le dictionnaire des curieux
Je ne sais pas si je vais retourner à Versailles, auprès de la chambre des créatures inférieures. Je vais y réfléchir, peut être très simplement rappeler trois lignes de mes conclusions déposées en décembre 2009, puis demander aux juges s'ils se foutent de ma gueule ou de celle de ma soeur trisomique : « M. KANT sait surtout que les voies de recours sont réputées illusoires lorsque les décisions de justice sont assorties de l'exécution provisoire (La responsabilité des magistrats, Gwenola Kerbaol, PUF, 2006), ce qui semble plus particulièrement vrai lorsque certains juges sont saisis. » Je pourrais ensuite citer Oswald Baudot, puis prier à nouveau ces pitres de motiver mieux, ce que j'ai déjà fait en décembre 2009. En janvier 2010, les juges de Versailles semblaient m'avoir assez bien compris, ils me refusaient même explicitement une révision, me repprochant de souhaiter remettre en cause des décisions devenues définitives - sans beaucoup plus de précisions. Que feront ces juges ? Ils vont encore devoir s'efforcer de sauver le pasteur et surtout, leur pair Serrier - le pauvre. Mais il n'y a pas de seconde chance, ce n'est pas du pénal, il s'agit « d'assistance éducative ». Depuis début 2009, mes deux filles ont encore beaucoup grandi, nous ne pourront pas nous rendre à Versailles dans l'état où nous nous trouvions avant ledit arrêt, je ne le pense pas. C'est une affaire définitivement foirée, comme d'autres. Mais c'est pas si grave ; par ici, en Moldavie française, c'est naturel, courant ; nous y sommes accoutumé.
Si je retourne au front, je pourrais aussi évoquer l'arrêt n° 2010/293 qui condamnait l'Etat, un arrêt rendu ce 10 mai 2010, par la cour d'appel d'Aix-en-Provence. Voir Un arrêt splendide, je pense enfin lire « mieux » Versailles pour plus de détails : « ... l'écoulement du temps ayant pu avoir effets négatifs sur la possibilité de la requérante de renouer une relation avec sa fille, quel que soit le contexte ; » « N'ayant obtenu en tout et pour tout en dépit de multiples démarches qu'une rencontre... dans des conditions `'délicates"... » ! Après un travail long, lourd, rendu difficile par les « pros » et le pasteur, « garant de la relation père-enfant » et « digne de confiance », un travail contre vents et marées pour déccrocher des décisions de justice favorables et surtout, un travail de fond pour renouer avec Justine, malgré des réticences, l'été en famille, en 2009, s'était finalement très bien déroulé. Puis tout est reparti en vrille, peu après le départ de mon ainée, pour l'Alsace-Lorraine et sa rentré scolaire, dans le pré carré de l'ARSEA, pas trop loin de la paroisse d'Uhrwiller. Bref, le pasteur et toute cette clique ont « gagné ».
Si je décidais de retourner au front, ca va à nouveau chier et on va encore rire - ou geindre, selon le point de vue.
Nous, ici, à Bagneux, dans le 9-2, malgré tout, ça va. Je crois que la cour de cassation ne l'a que trop bien perçu. Depuis quelques temps, je ne sors plus beaucoup, ça ne m'intéresse plus non plus. Mais je crois que j'irais assister à la prochaine conférence ou rencontre avec Boris Cyrulnik, ce 2 décembre. Après la résilence, concept que je maitrise, il devrait nous parler de la honte, concept que je maitrise également. Pourrait-on vraiment mourir de dire ? Comment ne pas s’enfermer dans la honte comme dans un terrier ? Où est passé le ministère public de ce pays, pourquoi ne me répond-il jamais en public ? Ah, je me souviens.. Ludivine m'avait répondu. ici, tout est « d'ordre privé », je dois me débrouiller tout seul.
Mais jouter et jouer avec les juges ne m'intéresse plus. Je n'ai d'ailleurs même pas relancé Lénovo France ; leur avocat m'avait répondu un peu n'importe quoi, puis ma dernière lettre à leur attention est restée morte.
Madame Mireille Millet envisageait de jouter encore ; elle retournerait au front, elle était d'une nature déterminée, pugnace, combative, ses conseils également. Elle a pu déclarer un nouveau pourvoi. En effet, en juin dernier, elle avait à nouveau été condamnée, au retour de la cour de cassation ; voir « C’est pas Auschwitz », c’est juste la Dass. Mais la situation récente de Madame Millet était totalement différente des notres, de celle de ma famille et de mon ainée, « placée ». Madame Millet se défendait finalement au pénal, pour avoir caché Sébastien, par le passé et alors que la justice, une broyeuse assez similaire, le réclamait.
Madame Millet constestait encore et systématiquement des décisions rendues par les juges pour enfant de Nanterre et de Briey, par la cour d'appel de Versailles, des décisions de certains procureurs aussi. Elle critiquait également beaucoup le juge Anne Valentini ainsi que des décisions que ce juge pour enfant de Nanterre avait rendu, des décisions confirmées par Versailles. Face à Madame Millet, les réquisitoires du ministère public que j'ai pu entendre étaient toujours assez courts, succints, je synthétise : « elle conteste encore des décisions du juge pour enfant mais elle a toujours été déboutée ou condamnée, je réclame à nouveau sa condamnation. » Et dans la foulée, effectivement, systématiquement, Madame Millet se faisait débouter ou condamner, même lorsqu'elle revenait de la cassation avec un arrêt qui lui était favorable ; par le passé, Madame Mireille Millet avait été condamnée pour des faits commis par sa fille ! Au retour de la cassation, Madame Millet a été condamnée à une peine similaire... Les juges ont confirmé, motivant autrement ; à Versailles, c'est courant.
Madame Millet aurait souhaité remporter un jour une relaxe, au pénal. Mais elle n'aura pas pu ou su faire valoir « l'état de détresse » de Sébastien, lorsqu'elle a décidé de le cacher. Cet état de détresse était pourtant reconnu selon certains documents et par tous les professionnels, reconnu également dans une ordonnance rendue par le tribunal d'instance de Paris, dans le cadre d'un recours de Madame Millet contre l'Etat.
Un article récent du Républicain Lorrain propose cependant une autre lecture de cette « affaire Sébastien » : « Si la justice n'a pas entendu l'amour de Mireille Millet, son histoire de famille lui donne gain de cause. Depuis deux ans, son petit-fils majeur a rejoint le foyer de ses grands parents. `'S'il n'avait pas cette grand mère, Sébastien serait en foyer", a pourtant insisté Me Olivier Corbas. »
Je viens de téléphoner à mémé Mireille. J'ai eu son mari. Elle en a trop fait, à moins qu'elle n'en ait trop enduré. Le titre de mon billet pourrait maintenant paraitre inapproprié. Tant pis. Tant pis pour certains de ceux qui me liront.
Mais qu'a raconté au juste le procureur Christian Girard, du parquet du Meaux ? J'ai lu le Metro du jour et des doutes m'ont envahi. Je pense que cet article assez succint peut prêter à confusion. « Nous avons estimé qu'un simple rappel de sa culpabilité était nécessaire, a expliqué le procureur » ? Mais Metro précise bien que Marine a été poursuivie puis reconnue coupable. France Soir, un article du 22/10/10 à 10h43, par Sandrine Briclot, est plus explicite :
Marine a « exprimé des regrets et présenté des excuses ». Elle a néanmoins été poursuivie jeudi matin devant le tribunal correctionnel de Meaux dans le cadre d’une « comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité » pour « dénonciation mensongère d’un crime ayant exposé à d’inutiles recherches », infraction punie de six mois de prison et d’une amende, a poursuivi le magistrat lors d’une conférence de presse.
Reconnue « coupable des faits » qui lui étaient reprochés, elle a cependant été dispensée de peine, une décision que Christian Girard a estimée « particulièrement clémente » : « Nous avons estimé qu’un simple rappel de sa culpabilité était nécessaire. »
Je parlerais plutôt d'une condamnation, dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate, avec une dispense de peine, et non d'un « simple rappel ». En janvier dernier, dans l'entresol du palais de Paris, l'un des délégués du proc' m'imposait un simple rappel à la loi. J'envisage d'écrire maintenant au procureur de Paris, pour obtenir des précisions et pour lui demander de bien vouloir faire purger certains fichiers, par exemple, de police ; certaines informations enregistrées à ces fichiers, le 21 novembre 2009, sont erronées. Pour motiver ma demande, je joindrais une copie de cet arrêt du 20 octobre 2010 ainsi qu'une copie de l'arrêt rendu le 17 décembre 2008, également rendu par la cour de cassation. Le précédent arrêt rappellait la constitution, pour son cinquantenaire. Le plus récent arrêt mouche Versailles alors que la CIDE allait avoir 20 ans. Je joindrais aussi le jugement rendu en juillet 2009 ; le juge pour enfant de Nanterre finissait par nous accorder des vacances d'été, en famille. Depuis, Justine a, à nouveau, comme disparue. Bravo, les juges !
Aujourd'hui, je suis sorti pour marcher avec des trans, des folles, des pédés, des gouines et leurs soutiens. On s'est beaucoup marré. Eux même semblent être assez brouillés avec certains courants « psychiatriques ». Ils sont susceptibles de vomir en lisant mon blog... pas plus susceptibles que d'autres de mes lecteurs ?
Au cours de cette marche, Existrans 2010, une pancarte m'a fait beaucoup rire. Qu'en dira le juge pour enfant Xavier Serrier ? En juin 2008, à l'audience, il m'avait lancé que je devais arrêter de parler de droit, un concept que, selon lui, je ne maitrisais pas ; il avait encore ajouté que dans son cabinet, seul importait un peu d'humanité... Je crois que le juge Serrier est à présent bien servi, en droit comme en humanité. Pour le moment, il serait toujours à Nanterre.
Cet après midi, une jolie jeune femme - il faut bien l'admettre - brandissait cette pancarte, « la bite ne fait pas le mec ». Avant de la prendre en photo, je lui ai demandé si elle assumerait. Elle s'est immédiatement cachée, pour la photo, m'expliquant ensuite qu'elle était enseignante, qu'elle n'aurait pas pu se permettre car certains de ses élèves seraient homophobes. Elle m'a remercié de l'avoir prévenue, puis nous avons discuté et en avons rigolé.
Pendant cette marche, mon téléphone a sonné. Oui, mon téléphone peut sonner, même quand je marche avec mon entonnoir sur la tête. On m'informait que j'avais du courrier, de la cassation. Ce n'est que plus tard, dans la soirée, que j'ai appris la mauvaise nouvelle. Mais mémé Mireille nous avait bien dit qu'elle se battrait jusqu'au bout.
Un psy, non merci ! Essayez avec un pasteur ? |
Tiens, voilà que ressurgit ce Maxi
Il y a peu, ailleurs, dans un billet au contenu bizarre, sans mon autorisation, j'ai vu paraitre une photo qui semble avoir été taillée dans ce mag, un Maxi de mars 2008. Un huissier de justice français a vu et enregistré ce montage douteux ou excentrique. Qu'en pensera le proc' du coin, Nanterre ? Depuis quelques temps, j'ai parfois le sentiment d'être « signalé », comme en Russie ou comme depuis Puteaux, par le passé. Pour le moment, je n'ai pas pu contacter un OPJ, pour en discuter encore ; ils étaient manifestement « à la circulation », du fait des conflits sociaux.
Cahiers du MONDE RUSSE
45/3-4 | 2004
Période soviétique et post-soviétique, extraits
Les dernières avancées de la recherche sur l’histoire de l’URSS ont déjà fait voler en éclats beaucoup de préjugés idéologiques, y compris le schématisme et l’extrémisme des courants « totalitariste » et « révisionniste ». [...] Selon le langage de l’époque, leurs auteurs envoyaient des « signaux » aux autorités dans le but d’attirer leur attention sur ce qui n’allait pas dans la vie publique ou privée. Cependant ils s’abstenaient, à de rares exceptions près, de critiquer le pouvoir central. C’était tout le contraire : en manifestant ainsi leur confiance au régime, ils espéraient que les autorités prendraient des mesures contre des comportements déviants de voisins, chefs, collègues, amis ou parents.
Cahiers du monde russe, 45/3-4 | 2004, [En ligne], mis en ligne le 03 juin 2009.
http://monderusse.revues.org/index4201.html. Consulté le 22 octobre 2010.
Peu après la parution de ce Maxi auquel je ne pensais plus, mes droits « sur » ma fille ainée allaient enfin être progressivement rétablis ; pour y aboutir, j'avais fini par sommer le juge pour enfant Xavier Serrier de juger. Ce sont déjà de très vieux souvenirs, de la matière pour des historiens. Les juges m'ont beaucoup reproché cette parution.
J'avais commenté cet article de Maxi. Plus tard, des journalistes de France 2 me suivaient au tribunal, pour Faits divers, le mag. Du reportage diffusé par France 2, il y a 3 ans : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. » Elle a maintenant quasi 18 ans. A mon avis, le ministère public va rester éternellement aphone, il n'a rien à répondre à ces caméras, et le pasteur ne dira rien non plus. Mais que dis-je, « ces caméras » ; les caméras se sont vaporisées
Ce dimanche, à Blois, le procureur Varin nous a beaucoup bercé parlé de présomption d'innocence ; il insistait.
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Maxi n° 1114, du 3 au 9 mars 2008
« Régalez-vous économique ! » J'ai de nouveaux éléments entre les mains et il m'en parviendra encore.
La cour d'appel de Versailles, sa chambre des créatures inférieures, a elle même assez souvent été explicite : « Par ordonnance du 18 novembre 2003, malgré la résistance du père à l'interférence des tiers dans l'éducation de sa fille, en particulier des institutions judiciaires, Justine, enfermée dans un conflit de loyauté qu'elle ne pouvait maitriser seule, était placée à la Maison d'enfants du château de Vaucelles à Taverny, placement qui était renouvelé à compter du 14 avril 2004. » Prétendant « sauver », ces gorets du social ont tout cassé, travaillant plus à rompre, à servir le pasteur et le corbeau de cette histoire, une tata de la Dass, à se défausser et à se couvrir plutôt qu'à aider effectivement mon ainée. Récemment, l'ARSEA Alsace a ajouté une cerise de plus à ce gros gâteau ; ces pros là tenaient absolument, à leur tour, à « orienter » mon ainée ; ils ont réussi à faire foirer également sa scolarité. Et ce n'est pas fini ; d'autres « professionnels » ont fait un peu n'importe quoi dans le cadre de successions... Aux Français et à leurs juges : encore un petit effort, puis vous aurez bien sauvé ou veillé sur tout ! Mais je suis d'accord, on a déjà vu pire. Oui, 'y a toujours pire.
Le ministère public va rester aphone, ou arguer d'abord qu'il s'agirait « d'assistance éducative », ou que tout cela est « d'ordre privé ». J'ai beaucoup étudié et appris au cours de cette dernière année. J'ai, par exemple, étudié des procureurs et des juges ; j'avais surpris un avocat général lorsqu'il s'était apperçu que je l'avais observé au cours de l'audience, alors que les juges lisaient un rapport ; je pense que je surprennais déjà le juge Anne Valentini, dès la mi-2003 et plus encore, après l'été 2004, au cours d'une discussion, lorsqu'elle décidait de ne pas se déssaisir du dossier de ma fille, ce qui m'avait choqué. J'ai ausssi étudié SEFCA Puteaux. Par le passé, j'avais déjà longuement et assez finement étudié l'Enfant d'Abord ainsi qu'une faune qui grouillait dans les forums de aufeminin.com. J'ai étudié ou approfondi de nombreuses matières, travaux et publications, observé plus d'une créature ou association ; des historiens, des juristes et des sociologues s'en sont peut-être apperçu ; les gorets de l'ARSEA s'en sont beaucoup plaint, Richard Josefsberg a également très mal supporté ma carotte. Je recherche encore la « dimension éducative » ou ce qui, dans une telle histoire, profiterait effectivement à ma fille aînée, « l'enfant ». En ce moment, avec SEFCA Puteaux, je buche le pénal et ses préliminaires, des matières que je n'avais pas encore eu l'opportunité d'approfondir.
J'amasse des éléments - concrets, matériels - depuis de très longs mois, voire même depuis des années, tandis que d'autres allèguent, dénigrent, diffament, injurient et accusent depuis début 2009, sur la toile, ainsi que, depuis peu, auprès de la police nationale et du proc', en recherchant des témoins, en réclamant voire même en supposant des condamnations acquises, en exigant des investigations et en réclamant maintenant même un juge d'instruction ? Ces délinquants - un mot qui plait beaucoup à l'UMP - de Puteaux n'ont-ils réellement aucune preuve contre moi, leurs faudrait-il des juges, de vrais juges, pour leurs rassembler des charges ? Les démarches de ces délinquants, en France, auprès du parquet de Nanterre, de la police de Puteaux et, très probablement, auprès des services de police Neuilly aussi, ne m'inquiètent absolument pas. Tout devrait se décanter au cours des prochaines semaines ou mois. Qu'est-ce que cette « gazette de Puteaux », un autre blog également hébergé sur Wordpress.com, encore aux USA ? Cette gazette semble avoir publié ou repris des affabulations et des diatribes de l'association SEFCA Puteaux. J'en parlerais également à la police ainsi qu'à tout juge qui se saisirait des plaintes et complaintes de ces délinquants ou affabulateurs de Puteaux ; je n'ai rien à cacher ; même ce que des professionnels appellent le tribunal de l'opinion ne m'inquiète absolument pas.
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Le Canard, 1er octobre 2008
On rigole souvent lorsqu'on lit le Canard ainsi que d'autres feuilles, moins satiriques. Je rigole aussi, très souvent, lorsque SEFCA Puteaux annonce que des plaintes suivront. Les plaintes de ces délinquants ont parfois été très concrètes, suivies d'effets ; la police du secteur m'a déjà convié pour me demander des explications, en mai dernier. La police pourrait bientôt, à nouveau, me repprocher d'avoir publié des « photos des enfants » de Monsieur et Madame Lorentz. Jean, le « prédésigné », n'est-il plus le fils de Nicolas Sarkozy ? Il semblerait surtout qu'il y a peu, Monsieur Lorentz a détourné une correspondance privée pour la publier, lui-même, sur Internet, tout en m'accusant de l'avoir fait, quelque chose de cette nature... Et il y a peu, la police me priait encore d'attendre ; le proc' de Nanterre doit, un jour, prendre des décisions.
Des photos de ses enfants, publiées sur Internet ? | Des photos avec Jean Sarkozy et Nadine Morano ? |
Ces deux vignettes sont celles de photos d'un constat d'huissier. Je pense que l'association SEFCA Puteaux est brouillée avec ces gens là, mes butineuses - voir ou relire Je crois qu'une bonne piqûre de rappel s'impose. Les huissiers de justice sont pourtant parfaitement compétants pour réaliser des captures, des constats, y compris sur Internet - poser la question à Google. Faire appel à leurs services n'a rien d'un crime ou d'un quelconque délit, en tous cas, pas en France - en principe, dans les grandes lignes, qui pourraient être bientôt déplacées par le proc' et des juges du coin.
Ma compagne rigole souvent, elle aussi. Elle a beaucoup rigolé lorsque Nanterre a décidé d'auditionner un dalmatien. Un juge s'éclaire comme il a envie de le faire ; les juges de Nanterre et de Versailles me l'ont assez bien démontré au cours de ces dernières années ; on dira plutôt des juges qu'ils sont indépendants ; les juges du coin ont mis un temps fou avant de reconnaitre qu'ils avaient dénaturé des éléments du dossier d'assistance éducative de ma fille ainée, ou plutôt, un temps fou à bouger un peu leurs plumes, à relire et à revoir un peu leurs motivations. Ma compagne rigole souvent, mais elle s'inquiète aussi, ces derniers temps ; les juges du coin accepteront-ils ou vont-ils, comme SEFCA Puteaux envisage de le faire, purement et simplement balayer ces constats d'huissier auxquels je me réfère ? Mais le pénal, en public, et l'assistance éducative, à huis clos ou à la dérobée, ce n'est pas du tout la même chose - en principe seulement.
J'étais hilare lorsque j'ai découvert ce PDF, dans ma boite mail, de la part du service contentieux d'Iliad. Combien de truands rêveraient d'être informés avant l'arrivée, chez eux, de la police, de fouineurs, voire même d'un juge d'instruction, en personne et à l'improviste ? « Coucou, c'est pour la fouille, puis on vous embarque ! » Fillipis, ex-PDG de Libé, pourrait en rire ou en pleurer également ; fin 2008, il a été fouillé puis amméné au juge d'instruction, toute la presse était boulversée ; « la garde à vue, ça craint, ces procédés sont inadmissibles ! » Iliad m'envoyait ce fax par mail en me suggérant alors de « prendre les mesures utiles qui s'imposent ». J'ai repeint les WC. Quoi faire d'autre ?
L'essentiel des éléments auxquels je me réfère lorsque je réagis, face aux accusations et aux diatribes de SEFCA Puteaux, est gravé dans les minutes de deux ou trois huissiers de justice français. Le proc ayant aujourd'hui d'assez larges pouvoirs d'investigations, il a probablement déjà pu accéder à ces minutes, vérifier au moins la conformité de ce que je lui ai déjà communiqué, au cours de l'hiver et du printemps dernier. Le proc' et ses services sont peut-être perdus dans ces centaines de pages de constats d'huissier qu'il ont pu découvrir depuis... et noyés dans les fichiers de police, maintenant régulièrement alimentés par SEFCA Puteaux ?
Je n'ai pas simplement fait capturer des extraits des blogs de SEFCA Puteaux, mais des pages entières, parfois des sources aussi, en communiquant simplement des URL à ces huissiers de justice, avec des manières courantes pour y accéder, par exemple, depuis Google ; on ne pourrait que très difficilement m'accuser d'avoir fait capturer des morceaux choisis, puis d'en avoir fait des « montages ». D'où j'ai ces captures réalisées sur Facebook ? Elles sont aux minutes d'un huissier, il s'est enregistré, sur Facebook ; là bas, Monsieur Lorentz avait un mur, lisible par tous, et une liste d'amis, également lisible par tous. Comment j'ai pu me procurer la plainte de Monsieur Françis Painot ? Elle est aux minutes d'un huissier, il l'a trouvée sur la toile, dans un blog de SEFCA Puteaux. Il y avait aussi des bugs, ici et là, mais je n'en parlerais pas ; là encore, l'essentiel est gravé ou noyé dans les minutes d'un huissier ; tout est légal. Il faudrait que je sois débille pour « m'introduire » quelque part et risquer une condamnation. Je ne parlerais pas car je pourrais porter préjudice à Wordpress.com ainsi qu'à Wordpress.org, certainement à Facebook aussi, ce que je ne souhaite pas faire. Mais si le proc' ou un juge insiste, je parlerais et nous rirons encore des allégations de SEFCA Puteaux - 024 076 091 093... 100
If you want it secure, cut the wires - remove the power cord. Il y a quelques temps, pour le Conseil Général du 9-2, Monsieur Françis Painot était lui-même assez explicite, je ne l'ai pas caché, SEFCA Puteaux non plus :
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Internet, ce n'est pas plus confidentiel qu'un couloir, tout peut s'y éparpiller ?
Du chantage ? Mais de quel chantage se plaint SEFCA Puteaux ? Comment pourrais-je faire disparaitre quelque chose qui est depuis des mois comme gravé dans du marbre, chez des huissiers, et qui est déjà communiqué au proc', publié sur Internet aussi ? Pourquoi envisagerais-je de faire disparaitre quelque chose dont je me sers pour me défendre ? Ces plaintes ou accusations fantaisistes qu'on se prend, en retour, sont à mon avis très courantes dans ce genre d'affaires ; ce dimanche, à Blois, le club de la presse en a même parlé ; je suppose que le proc' et la police du coin sont également au parfum. SEFCA Puteaux a relevé des injures et s'en est plaint à un juge d'instruction ? Où sont ces injures dont se plaignent ces délinquants, de quoi s'agit-il ? Il y aurait ici et là, dans mes écrits, quelque chose d'inacceptable, d'inadmissible ? Je ne partage pas ce sentiment. Ce vieux texte de 1881 est vraiment très bien conçu ; son article 1er : « L'imprimerie et la librairie sont libres » ; mais il faut aussi lire les articles suivants.
Comme je l'écrivais déjà le 30 mars dernier, « des lecteurs vont vouloir me parler d'une histoire de tarte aux pommes en me lançant que la justice aurait bien mieux à faire... Mais je ne me plains pas d'un simple « salope » marmonné un jour, dans une boulangerie. » Par ailleurs, SEFCA Puteaux a tout de même réussi à mobiliser la police, le proc' ainsi que le doyen des juges d'instruction du coin. Je crois que cette affaire est aujourd'hui assez sérieuse ? En tous cas, la police de Puteaux semble avoir pris Madame Moreau et Monsieur Lorentz très au sérieux. D'autres vont me lancer qu'il se passe toujours des choses plus graves, ailleurs ; oui, je sais, et pour s'en convaincre, il suffit de parcourir ma rubrique Notes ou ma rubrique Victimes, dans ce même blog. Mais patience, le proc' va peut-être tout classer ; c'est lui, le chef, ici.
Mais que Courroye et ses services classent, une première partie, et ce sera parfait. J'ai d'ailleurs exercé diverses pressions à ces fins, pour les faire bien fouiller. En effet, en mai dernier, auprès de la police qui m'avait demandé des explications, j'ai dépose une plainte contre SEFCA Puteau, Madame Moreau et Monsieur Lorentz, en raison de dénonciations calomnieuses, une plainte que je vais évidement maintenir. En mai dernier, j'exerçais également des pressions à la chancellerie ; voir Référence à rappeler au Ministre : BDC/CP/FM-2010004446638. Plus tard, en juin, Versailles renvoyait, conviant le pasteur... et début septembre dernier, le proc' de Paris finissait par me répondre. Depuis, selon le Métro du 20 septembre, des juges ont appelé à une grève du zèle. A mon avis, le parquet s'affaire. En marge de toutes ces histoires, au tribunal de Nanterre, je me suis aussi plaint d'une doublette, à Puteaux.
récépissé de plainte en raison de dénonciations calomnieuses
Fin mai 2010... depuis, en plus des injures, il pleut les jérémiades de Puteaux
Je note que Jean Sarkozy est à nouveau en campagne. D'après le Parisien, il trime, pour ses études, et « désormais, il refuse toutes les sollicitations des médias. » Va-t-il afficher son franc soutien à SEFCA Puteaux ? Lefebvre ou Poniatowski, un ami d'Emeric Lorentz, sur Facebook, vont-ils s'en charger, pour l'UMP ? 'y a personne, au Parti, pour repécher l'un de ses membres ? Allez, courage Lefebvre, comme vous l'aviez suggéré, en février dernier, on étale tout, on passe enfin à cette ère différente ! Il faut que je retrouve un email de Puteaux adressé à Monsieur Nicolas Sarkozy, notre chantre national... J'ai déjà retrouvé ce qui semble être ce fameux faux, très émouvant, dont Monsieur Painot pourrait s'être plaint. Ah ! Voilà cet email, sur cette page : « Monsieur le Président, Je vous écrie une nouvelle fois, nouveau membre de l'UMP avec ma femme grâce à votre fils Jean Sarkozy. » Quelqu'un va renvoyer l'ascenceur ? Nadine, Ministre de la famille ou des battues (les femmes, à moins que des battues de la Dass), pourrait s'en charger ; la femme et les enfants de Monsieur Lorentz seraient les grandes victimes de cette histoire-ci.
J'ai parfois l'amère impression de faire de la politique, parmi des requins, en marge de mes affaires « d'ordre privées », menées en ce qui serait justice. Je pense que je vais devoir relire les arrêts et jugements rendus par Versailles et Nanterre, de 2007 à 2010 au moins ; je crois que d'une certaine façon, les juges du coin ont pu percevoir quelque chose d'assez similaire, ils ont souvent critiqué mon expression, en public (presse, blog et forums sur le net, télé, manifestations dans Paris, critique des gorets du social, ... alors Xavier Serrier, l'un de leurs pairs, emplafonné fin 2008, puis encore la cassation, n'en parlons même pas, j'ai pu vexer plus d'un juge et de nombreux justiciables).
Paranoïa ? Hé, du calme, les illuminés, les pitres en robe et les bouffons en blouse ! Au cours de ces dernières années, j'ai critiqué à peu près tout le monde, et souvent agit ou réagit, y compris parfois de manière virulente, dans des prétoires. Il me parait donc assez naturel qu'il y ait aussi fréquemment des réactions, en retour, jusqu'à des réactions des plus maladroites. N'est-ce pas, SEFCA Puteaux ? N'est-ce pas, l'OSE France ? N'est-ce pas, l'ARSEA Alsace ? N'est-ce pas, les juges ? CHEESE - Prennez le avec le sourir, ce ne sont que quelques mots. Je propose qu'on en discute ensemble, plus en détail, et qu'on farfouille, histoire d'en rire d'avantage. On pourrait aussi convier des historiens, spécialistes des systèmes ou régimes totalitaires, lire puis commenter ensemble Un cas clinique, histoire d'en rire, un extrait du DSM-IV, paru chez Masson, en 2008 ? Allez, on se remue, on ose, et on parle de tout, sans le moindre complexe ! Enfin... ces histoires d'inflation et d'empreintes génitales, allez en discuter avec qui vous savez.
En janvier 2009, j'envoyais une baffouille au garde des Vélodromes. J'écrivais encore que, « contrairement à ce que le Docteur Magalie Bodon-Bruzel supposait dans un rapport très contestable versé au dossier de Justine en 2006, j’ai conscience des troubles que je crée autour de moi. J’ai également bonne conscience des troubles que d’autres créent et entretiennent autour de moi et de mes enfants. Cet expert missionné par le juge pour enfant de Nanterre aurait du m’entendre ou, à défaut, deviner que j’allais un jour répondre à la hussarde. » Puis nous passions l'été 2009 en famille. Depuis, tout est reparti en vrille... mais c'est du passé, de la matière pour des historiens. En septembre 2009, ma compagne me disait : « écoute... attend, j'ai entendu ça l'autre jour... ça va te plaire... écoute, ça va venir ». J'ai adoré. Pendant quelques temps, j'ai fait la promotion d'un son de Lily Allen, y compris dans Paris, pour les 20 ans de la CIDE. Je crois qu'on m'en a beaucoup voulu :
La cassation doit donc encore rendre une décision. Je me fout de ce qu'elle rendra, mais j'attends. Ce qui pend au nez de certains, d'une manière assez sûre, est une sorte d'affaire Finaly bis. Le pasteur d'Uhrwiller pourrait bientôt plagier Madame Brun et Olivier Echappe, l'un des évèques ? Il me semble que Madame Brun n'a jamais parlé non plus. Qu'est-ce qui motive ce pasteur ? Les professionnels de l'OSE France et de l'ARSEA Alsace ont déjà endossé le rôle des français. On dit de l'affaire Finaly qu'elle avait divisé ce pays. Je pense que cette histoire-ci, où tout est couleur noyade, pourrait un jour fragmenter la France... Dans cette histoire, SEFCA Puteaux est susceptible d'avoir un second rôle, par exemple, de l'un des boulets qui m'ont fait perdre mon temps et des ressources, au cours de ces dernières années - les boulets se reconnaitront, jusqu'à la ville d'Asnières, encore le 9-2, et jusque dans des commissariats aussi.
A Puteaux, la police semble prêter une oreille très attentive à Madame Moreau ainsi qu'à Monsieur Lorentz. Par le passé, ailleurs et un peu partout, on m'a souvent envoyé chier ou pleurer plus loin, par exemple, auprès d'un avocat - « on ne porte pas plainte contre une association d'utilité publique », l'OSE France. Je m'en fout de ce qui se trame à Puteaux, que Madame Moreau et Monsieur Lorentz déposent. Pendant que SEFCA Puteaux poireaute ou s'exprime au commissariat, à ma connaissance, personne d'autre ne braille sur Internet. Tout devrait bientôt se décanter, puis se tasser.
Voir La liste électorale
Parano ou complot ? Foutaise ! D'autres choses sont bien plus certaines.
Par exemple, je n'hésite pas ni à parler, ni à sortir - ni à écrire non plus. Au cours de ces dernières années, je pense avoir mis les pieds un peu partout, même au hamasland, sur les lieux de la catastrophe aussi. Ce dimanche 17 octobre, j'aurai bien aimé me rendre au siège de l'OSE France, pour apprendre comment résister et vivre ; mais j'avais déjà mes billets de train, pour Blois, et de toute façon, j'avais suivi le cours la vie, après la Shoah.
Par le passé, ces délinquants de Puteaux diffamaient et m'injuriaient depuis unblog.fr, un hébergeur franco-suisse. Depuis le printemps dernier, après un grand ménage sur unblog.fr, après le ménage chez NouvelObs.com, ces mêmes délinquants diffament et m'injurient encore, mais depuis Wordpress.com, aux USA, tout en sollicitant maintenant très régulièrement les services de police ainsi que le parquet français. Ces délinquants souhaiteraient que je sois poursuivi, sévèrement puni, et que mon blog, hébergé à Paris, soit « fermé ». Ces jours-ci, ça m'occupe encore un peu. Même si je suis déjà en relation avec les services de Wordpress.com, je ne sais pas si j'arriverais à faire faire le ménage, là bas, aux USA. A l'étranger, les règles, la loterie ou ce cirque sont souvent très différents des notres. Je pense que le parquet confirmera, même des sites de pédopornographie peuvent rester en ligne, y compris après une condamnation. Le dommage ou préjudice sera-t-il irréversible ? Je vais suivre l'affaire Eric Le Moyne de Serigny contre rue89, elle pourrait m'inspirer... J'suis con, c'est un conseiller de Woerth et donc, une justice de tout là haut, de celles qui s'appliquent.
D'ici à la fin novembre, je dois finir de rédiger des conclusions, en prévision d'une audience, auprès de la deuxième chambre civile de la cour d'appel de Versailles. Le fisc vient de me communiquer des informations extraites du cadastre, je vais pouvoir réouvrir le livre foncier(.fr) que je viens de débuguer avec leurs services techniques.
Etc, etc. Puis suivra donc cette audience, à Versailles. Le pasteur d'Uhrwiller viendra-t-il prêcher ou sera-t-il à nouveau dispensé par les juges ? Ca me rappellerait le passé, lorsque Monsieur et Madame Clementz gagnaient à tous les coups, surtout à Versailles, comme à Nanterre. Il faut que je l'évoque, dans mes prochaines observations.
Les suisses, des antisémites ? Je profite de ce billet précis pour lancer à l'écrivain BHL ainsi qu'au cinéaste Yann Moix qu'à mon avis, ce n'est pas la Suisse, mais la France qui avait écarté ses cuisses devant l'occupant nazi. Je me trompe ? Dans ce cas, de nombreuses tondues ou leur descendance vont pouvoir exiger des réparations.
Je vous avertis... De vous tenir toujours en défense [contre le démon]
tremblez même dans la victoire ;
c'est alors qu'il fait ses plus grands efforts,
et qu'il remue ses machines les plus redoutables. • Bossuet
C'est tellement affreux de voir le destin en face. • Henrik Ibsen
Les affabulateurs et faussaires de Puteaux recherchent des « témoignages »
C'est à lire sur Wordpress.com, aux USA, à peu près par ici. Qu'en fera le proc' de Nanterre ?
Ajout du 10 au soir. Je note que les cotes du père et du fils Sarkozy seraient encore une fois au plus bas. Je viens de farfouiller dans mes papiers ; j'ai retrouvé un ancien constat d'huissier de justice et des photos « de famille ». Monsieur Lorentz et Jean Sarkozy pourraient-ils être de très grands amis ? Jean, le prédésigné, témoignera-t-il en faveur de SEFCA Puteaux, ces soit-disantes victimes ? Nadine Morano, peut-être très radicale, témoignera-t-elle aussi, eventuellement en faveur de Madame Lorentz ou Moreau ? Qu'en pensera le proc' de Nanterre, un proche ou ami du père - à moins qu'enfant de coeur - Sarkozy ? Je me demande surtout si Jean Sarkozy se fera un jour injurier, lui aussi, s'il ne témoignait pas fissa en faveur de Madame et Monsieur Lorentz, ces infréquentables.
Ajout du 11, 12h30. Ce matin, par email, de la part du service contentieux d'Iliad s.a., il me parvenait ce qui est peut-être une copie d'une « ordonnance fixant une consignation ». L'ordonnance semble être de Nanterre et datée du 14 septembre dernier. Pour Online SAS, Iliad m'invitait à « prendre les mesures utiles qui s'imposent relatives au contenu de ce site », justice.cloppy.net. Quoi faire ? Je vais attendre de plus amples précisions, s'il en suit un jour.
![](/media/blogs/justice/OrdonnanceConsignation.Septembre2010.jpg)
Ajout du 12. Ma butineuse favorite, un huisser de justice, vient de m'informer qu'un ultime constat de 8 captures vient d'être effectué. J'ai hâte de l'éplucher. Il me parviendra bientôt, par la Poste, si les conflits sociaux ne s'enlisent pas. Depuis février 2009, j'empile des constats, le plus souvent très techniques et précis, ce que la police a pu constater, en mai dernier, alors que Madame Moreau venait de déposer une plainte absurde. Mais sur 18 mois, en les accumulant, ces constats d'huissers s'avèrent également très couteux. « 2 500 euro ? Ah oui, quand même », m'a répondu ma compagne ; il est préférable qu'elle ne sache pas tout ; je pense qu'il s'agit du prix de la liberté d'expression, dans ce pays.
Ajout du 12, fin d'après midi. « Prendre les mesures utiles qui s'imposent », c'est à dire ? J'ai depuis quelques jours pour projet de repeindre les WC, je les trouve un peu défraichis. J'ai déjà la peinture et les rouleaux.
Ajout du 12, au soir. Voilà, les WC sont suspects, le plafond et la tuyauterie sont déjà blanchis. D'ici peu, j'attaque la seconde couche, puis les murs.
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Mon facteur n'est pas en panne
J'ai toujours quelques bafouilles à rédiger et à poster. Je m'en occupe depuis ce week-end, tranquillement :
• pour la Caisse d'Epargne région Lorraine, ils m'énervent,
• une copie au juge des tutelles ou d'application des peines d'Antony, il me contrôle et pourrait un jour se fâcher,
• pour le juge pour enfant de Nanterre, histoire de l'éclairer plus,
• une copie au juge des tutelles de Haguenau, il pourrait bientôt auditionner M ou Mme Clementz,
• pour un opérateur de téléphonie mobile, j'ai un abonnement à résilier, devenu inutile depuis septembre dernier,
• pour la 2ième chambre civile de la cour d'appel du coin, en prévision de novembre prochain,
• pour Maître Halter, je peux maintenant accepter cette succession, sous réserve d'inventaire,
• pour Lenovo France, ca me change les idées et leur facteur fonctionne aussi
Ajout du 14 au soir. Après relectures et quelques petites modifications, je n'ai plus qu'à imprimer puis à engraisser à nouveau la Poste. Par le passé, je pouvais encore espérer quelques changements. Aujourd'hui, je n'attends plus rien de particulier. Je suis simplement impatient, très curieux de découvrir et de lire des réponses ainsi que les prochains délibérés qui me parviendront au cours des 6 à 8 prochains mois. Puis ce sera enfin fini, la Dass aura « sauvé » Justine.
Du 14 encore, dans la nuit... J'ai enfin remis la main sur un lot d'anciennes correspondances. Woerth vient d'être « blanchi » ; selon l'IGF, il n'aurait pas donné la moindre instruction pour « lancer ou arrêter » un contrôle fiscal contre la milliardaire, Liliane Bettencourt. A l'UMP ainsi qu'au château, tout le monde est content, on va pouvoir parler de nos retraites puis réformer encore. L'IGF a surtout du constater l'absence de toutes traces écrites. Que découvrirait l'IGSJ si elle s'aventurait à fouiner un jour dans des dossiers qui concernent ma fille Justine ? Un cas clinique ?
Ajout du 15. Un avertissement : tout ceci ne prouve bien évidemment rien, pour aucun juge de ce pays. Pour certains d'entre eux, c'est tout juste s'il y a parfois des raisons « légitimes » de s'inquiéter ou de se poser quelques questions.
Du 15 au soir, vu sur le Monde... "J'ai peur que ces affaires soient le feuilleton de l'été", soupire Claude Goasguen, député UMP. Le pourrissement de l'image des politiques serait aussi dommageable pour la gauche que pour la droite, estiment les élus UMP. "Dans cette escalade des affaires, nous assistons à la répétition de celle des années 1930 : en pleine crise économique, on risque de voir s'additionner une grave crise politique allumée par une histoire anecdotique [l'affaire Stavisky, NDLR]. Le Front national et les abstentionnistes seront les principaux gagnants de ce climat de défiance, pas le Parti socialiste", estime M. Goasguen, député-maire du 16e arrondissement de Paris.
Ajout du 16. En ce moment, c'est peut-être avec Zoé et les fonctionnaires territoriaux qu'on rigole le plus. Force est de constater que nous ne devrions plus lire ni surtout retenir Montesquieu. En juin 2008, à l'audience, le juge pour enfant avait lui même été explicite avec moi, à l'audience. Il en avait assez de lire mes citations. Depuis, j'ai cité moins, écrit et publié plus. En juin dernier, je citais précisément Montesquieu lorsque j'écrivais à Nanterre. Vu ce contexte, je crois que je fais très bien, pour le moment au moins, de ne plus retourner là bas. J'ai ramassé le Monte et Paris Match. Mais ces jours-ci, j'ai surtout empilé des Monde, notamment pour l'interview de Courroye et la réponse que lui a faite ensuite Joly. « Un magistrat n'a rien à prouver, sauf sa volonté de faire respecter la loi », nous a-t-il lancé. On aura tout lu.
Le Monte - finalement censuré - et Paris Match du moment
Ajout du 17. Hier, pour changer, il n'y avait pas cours de Shoah, mais commémoration. J'ai pu constater qu'en effet, quelques fils et filles de déportés juifs se sont rassemblés, rue de Grenelle. J'ai discuté quelques minutes, d'abord, je me disais que j'allais me taire. On m'a encore répondu que tout serait bientôt fini, dès la majorité de ma fille, donc, fin 2011. J'ai appris que Serge Klarsfeld connaîtrait Jean-François Guthmann. Ce dernier suivrait de « très loin » la progression de mes affaires « d'ordre privé », lui et moi en avions discuté un peu, en novembre dernier, au centre communautaire. Plus j'y pense et d'avantage je suis maintenant rassuré. Fin 2011, tout sera fini. Je n'ai donc plus qu'à prévoir un bon budget. En effet, en mai dernier, les magistrats m'ont apris que d'ici à la quille, je devrais à nouveau mettre la main à la poche, et ca doit encore me coûter « très cher ». Ca ne me fait plus ni chaud ni froid. A présent, j'imprime puis je passe au Louvre.
Au retour de Paris... Ca va, ce n'était pas trop fastidieux, j'avais principalement à copier/coller ou à imprimer des trucs déjà publiés sur Internet. Je n'ai plus qu'à attendre des réponses, des réactions ou de quelconques effets, s'il en suivra. L'opérateur de téléphonie mobile devrait me répondre favorablement, j'avais conclu un accord oral qui devrait se concrétiser après un simple RAR. Après tous ces envois, d'autres vont certainement travailler à s'épouiller à nouveau d'ici à l'hiver prochain ; on verra bien. De ces jours là, je retiendrais principalement qu'on ne doit pas abandonner les chiens, ils pourraient mourir, c'est affreux. Demain, les officiels sont sur le pont, pour commémorer à leur tour et, très probablement, au nom de ce pays. Je vais règler un réveil ou deux. Si je sors du lit, j'aurais sûrement l'opportunité de rencontrer à nouveau quelques hypocrites, par exemple, des représentants de l'OSE France.
A Guantanamo comme à Nanterre ? Bah, la peine ou ces mesures sont pour la plupart prononcées, depuis 2003, définitives, et l'essentiel est déjà derrière nous. « Pas de révision, ni aucune contre-exertise », m'a-t-on encore répondu, en janvier dernier, « la quille suivra ». Qu'attendre alors, sinon plus de papier tamponné et de nouvelles motivations ?
Guantanamo: il va boycotter son procès
AFP, 12/07/2010 | Mise à jour : 21:06, extrait
Le Canadien Omar Khadr, dernier occidental détenu à la base américaine de Guantanamo, a annoncé aujourd'hui devant un tribunal militaire qu'il allait boycotter son procès pour le meurtre d'un soldat américain en Afghanistan, prévu en août. Omar Khadr, 23 ans, en a fait l'annonce après avoir rejeté à nouveau un accord avec la justice américaine, qui lui a proposé de plaider coupable en échange d'une réduction de peine.
Ce vendredi 9, il me parvenait une convocation par courrier simple. Samedi 10, mon facteur me proposait la même chose qui me parvenait par RAR, une convocation du juge pour enfant, pour ce 27 juillet. Le RAR retourne à Nanterre, s'il n'y est pas déjà, avec ma signature et la mention « refusé ». Je ne my rendrais pas. Personne ne se plaindra de mon absence à la fin du mois, le cabinet ou bocal du juge pour enfant est assez petit, d'autres qui l'y retrouveront auront plus d'air frais.
« Obligatoire, absolu, impératif... » Si je reste chez moi, quelqu'un va venir et m'y trainer par une oreille ? « Une décision pourrait être prise même en mon absence » ? Qu'il juge, je suis impatient de lire le délibéré.
« Obligatoire, absolu, impératif... » et quoi encore d'intimidant ou de menaçant ?
Les temps changeraient
« Les temps changent », pouvait-on lire dans Ouest-France de ce 2 juillet. J'ai des doutes. Hier, j'ai découvert un livre de Guy Beaujouan, de 1994 : Comprendre et maîtriser la nature au Moyen Âge. Un chapitre m'a fait repenser au cas des sourds, à « l'assistance éducative » aussi, ainsi qu'à « des juges sourds », un viel article de l'Humanité.
En 1994, Guy Beaujouan estimait que « Des siècles antérieurs, on retient en généralisant que les 'mal-entendants' ont toujours souffert de la domination des 'mal-comprenants'. Les 'mal-comprenants", ainsi certains sourds nous définissent-ils, nous autres qui entendons... Voilà qui situe d'emblée le coeur du problème. Les sourds nous renvoient ce que nous avons longtemps projeté sur eux, l'incapacité à comprendre. »
Les temps changeraient, en janvier 2008, sur LCP, Philippe Houillon était lui aussi plutôt formel. J'en doute, très fort. On a pas le droit de formuler des critiques dans ce pays, les retours sont assez sévères ; je l'exposais sommairement, en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles, certains millieux sont réticents aux observations. Une certaine Zoé Shepard, trop bavarde aussi, et le Conseil Régional de l'Aquitaine viennent encore de nous en faire une belle démonstration, dans le prolongement de l'expulsion de Guillon et de Porte par Val.
Au printemps 2008, je finissais par sommer le juge pour enfant de Nanterre de juger, il refusait d'audiencer. Plus tard, alors que la première présidence de Versailles m'avait suggéré d'aller me faire « mieux conseiller », en me débrouillant tout seul, sans véritable conseil, j'incrustais le parquet général et plusieurs juges dans Légifrance (je récidivais le mois dernier).
Aujourd'hui, tout est un peu différent. Je ne somme plus des juges de juger, j'ai bien enrayé et relancé la machine. Des juges sont maintenant obligés de juger. Mais les temps ont-ils vraiment changés ? Entre la mi-2008 et l'été 2009, mon ainée et nous finissions par renouer, un « nouveau » juge pour enfant avait fini par tolérer des « relations père-enfant ». Ses prédécesseurs avaient durablement interdit toutes relations et correspondances. Depuis septembre 2009, nous n'avons à nouveau plus aucune nouvelle de mon ainée. En juillet dernier, le juge pour enfant de Nanterre a rendu une décision qui allait rester inexécutée ; je m'en suit plaint à la cour d'appel de Versailles, mais elle a confirmé en tous points.
Tout est donc maintenant à peu près pareil qu'à la mi-2008, peut-être même pareil qu'en 2005, à la différence près que j'ai décidé que je ne me rendrais plus à Nanterre, chez le juge pour enfant. A quoi bon, pour qui m'a lu au cours de ces dernières années ? Pour jouer avec les juges et au yoyo, avec mon ainée ? Pour saluer le pasteur d'Uhrwiller ?
Des juges, les travailleurs sociaux ainsi que ses tantes maternelles ne veulent pas de « relations père-enfant » pour Justine. Selon de très nombreux juges et spécialistes de la Dass pour qui ma soeur ainée est trisomique, ça m'aurait affecté, tout est parfait ainsi pour mes enfants. Je suppose que le pasteur d'Uhrwiller se porte toujours autant garant de la « relation père-enfant » de mon ainée, dans son « intérêt supérieur ». J'en saurais bientôt plus, en lisant les prochaines décisions rendues par Nanterre. Avant la fin 2011, il devrait encore m'en parvenir de nouvelles...
Le pasteur d'Uhrwiller pourrait donc aussi bientôt s'occuper convenablement des successions de la famille maternelle de mon aînée, pour son compte et dans son intérêt. Ce serait assez conforme à ce que le pasteur et le corbeau, les deux tantes maternelles de Justine, exigeaient depuis 2003 à 2004 : une « solution durable » (« finale », c'était une autre histoire que celle-ci), la garde exclusive de leur nièce ainsi que l'administration de ses biens et successions. Pour l'administration de ses biens, ces tantes se débrouillent déjà toutes seules ; en France, les banques ne semblent pas être très regardantes. Pour la succession de la maman de Justine, tout est déjà bâclé par sa famille maternelle ; cette sucesssion s'est en partie vaporisée ; les juges et le parquet ont fermé les yeux, il n'y a que moi qu'ils enquiquinent.
Je viens de téléphoner à nouveau à la Caisse d'Epargnes région Lorraine. Je n'espère pas de réponse. Je le fais simplement parce que les juges du coin veulent des « preuves »... à rejeter ensuite. Au printemps 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier me répondait, m'écrivant et signant en personne sa correspondance. En juin 2008, la cour d'appel de Versailles balayait cette « preuve »... pourquoi en rassembler ? Dès la mi-2007, auprès des juges, je me plaignait déjà assez vertement de dénaturation des élements de la procédure par cette justice franco-moldave. En janvier dernier, la cour d'appel de Versailles m'a très bien compris ; en effet, leurs plumes ont un peu bougé, les juges ont quelque peu rectifié leurs motivations. Mais ça ne prouve bien évidemment rien pour cette justice là !
Aujourd'hui, le pasteur d'Uhrwiller ainsi que son mari restent encore « tiers digne de confiance » ; les juges du coin m'ont intimé de respecter « l'autorité de cette chose jugée ». L'OSE France ainsi que le juge pour enfant Anne Valentin avaient identifié ces tiers « dignes de confiance ». Je n'en avais même pas été informé ; une décision de Nanterre ne m'avait pas été notifiée. Plus tard, le juge Anne Valentini confiait Justine au pasteur ainsi qu'à son mari, le médecin généraliste. Je n'étais pas d'accord avec cela, mais je n'ai jamais pu faire appel de ces décisions, cela avait fait l'objet de discussions auprès de la chambre des mineurs de Versailles. Aujourd'hui, on me prie de respecter ces choses supputées « jugées » En janvier dernier, la cour d'appel était explicite : une « révision » est exclue. Soit. Avec le temps, on fini par s'accommoder à tout. De manière non exhaustive, il pourrait encore suivre :
• des décisions du juge pour enfant de Nanterre, il doit proroger, Justine va rester « placée » jusqu'à la fin 2011,
• des décisions de la chambre des mineurs, si je décidais de faire encore appel,
• des décisions du parquet de Nanterre, des plaintes ont fusées au printemps dernier,
• une décison du tribunal de police de Puteaux, j'ai contesté une amende, signalant une usurpation de plaques,
• une décision de la cour de cassation, j'y ai soumis une décison de Versailles, de mai 2009,
• une décision de la 2ième chambre civile de Versailles, il y a eu renvoi à fin novembre prochain,
• des échanges de correspondances avec la Caisse d'Epargne, ça va rassurer le juge des tutelles,
• des échanges de correspondances avec Lenovo France, ils m'amusent
Depuis l'hiver dernier, je m'adressais aussi au parquet de Paris mais je ne recevais aucune réponse. D'après ce que j'ai lu dans des journaux du moment, notamment le JDD, je pense que c'est tout à fait normal et que MAM ou sa nièce Ludivine confirmeraient. Cette justice ne favorise jamais aucun parti ; elle est la même pour tous, pareille pour ceux d'en haut et ceux d'en bas, pareille pour les amis aussi, c'est en tous cas ce qu'on nous martelle. J'ai de gros doutes.
J'ai aussi très bien retenu ce que nous disait Nicolas Sarkozy, en 2006 : « peut-être qu'on s'est trompé », mais dans ce cas, « qu'ils fassent valoir leurs droits devant les tribunaux ». J'ai tout aussi bien lu le juge pour enfant Thierry Baranger, fin septembre 2009 ; « allez donc d'abord à la cour d'appel ». A quoi bon ? J'ai bien entendu ensuite le rapporteur, en décembre 2009 : « la quille suit, en septembre 2011 ». Comme je l'exposais alors moi-même, à la cour d'appel de Versailles, les voies de recours sont réputées illusioires lorsque le juge pour enfant est saisi, seul les professionnels peuvent faire appel ; Jacques Donzelot nous le disait déjà, en 1977 ; Gwenola Kerbaol ou le GIP Recherche Justice nous en disait tout autant, en 2006. On s'y accommode également.
Il y a peu, un OPJ s'était encore interrogé alors que je lui parlais de suspiçions de maltraitance, les tantes maternelles de Justine ainsi que des harpies de la Dass m'avaient un jour accusé. Je lui ai répondu qu'il ne s'agissait que de vent, dont des juges et l'OSE France se sont emparés, en chambre du conseil. L'OPJ n'a pas insisté, il doit connaitre ces maisons.
Je vais peut-être un jour publier des extraits de Faits Divers, le mag, diffusé le 7 juin 2008, sur France 2. Des images ainsi que des sons explicites me plaisent toujours autant. Du reportage de ces journalistes qui m'avaient accompagné jusqu'au tribunal de Nanterre, alors que le juge Xavier Serrier venait enfin de convoquer, suite à mes sommations : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. » En septembre prochain, Justine aura 17 ans.
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Faits divers, le mag, un reportage de France 2, diffusé le 7 juin 2008
Attention, laissez tongs et couvre-chef dans le couloir
Voilà enfin l'été, les très grosses chaleurs et, par endroits, même la canicule. Hier, en Bretagne, un coucou en panne, peut être avec un pneu lisse, est resté sur le tarmac. Pour passer le temps, faute d'un Monde que j'ai fini par trouver aujourd'hui, j'ai ramassé un Ouest-France. Sur sa une, un « commentaire » nous confirmait qu'en France, « des magistrats restent très attachés à l'autorité de la chose jugée » - surtout les choses très soigneusement triées et sélectionnées, seulement celles qui plaisent à la Cour, quels que soient leurs vices, c'est ce que j'ai pu constater.
En pages intérieures d'Ouest-France, j'ai également remarqué une information ou mise en garde à destination de ceux qui seront convoqués au cours de ces prochaines semaines. Comme d'autres, ce service public est aussi en demande de respect : le cas échéant, faites comme à la mosqué ou à l'église, laissez tongs et couvre-chef dans le couloir.
Ouest-France du 2 juillet, « les temps changent »
Trois lettres, puis suivront les vacances, sur fond de laxisme judiciaire
Je vais maintenant envoyer trois lettres, l'une à Lenovo France, il faut que je leurs réponde, une autre à la 2ième chambre civile de Versailles, en prévision de l'audience de novembre prochain, ainsi qu'une lettre pour Maître Charles Halter ; pour cette dernière, j'ai tout mon temps, la 2ième chambre civile de Versailles vient de le confirmer : « ce laxisme judiciaire ne serait pas de nature à préjudicier aux intérêts de la mineure ». Ensuite, il ne se passera probablement plus rien pendant de longs mois, d'abord en raison des vacances judiciaires. On en profitera pour se mobiliser en faveur de victimes, de vrais, par exemple, en faveur de Gilad Shalit dont on nous parle tant ces derniers jours.
Il y a peu, Lenovo France me répondait, estimant que je serais un « consommateur totalement atypique ». Je vais leurs retourner qu'ils ont raison. En effet, il fait ici 29°C et le ventilateur de mon U350 tourne au ralenti, même ou surtout lorsque je l'utilise. Je pense être le seul ou parmi les rares possesseurs à travers le monde d'un U350 à peu près silencieux. Je vais surtout leurs retourner que j'estime pour ma part avoir été trompé par les conditions d'utilisation de Lenovo, soit par ce que les logiciels préinstallés sur cet U350 affichaient à l'écran, lors de son tout premier démarrage. Ca va m'amuser.
Je vais peut-être bientôt écrire aussi au greffe de la chambre des créatures inférieures, si je décidais de faire appel de la toute prochaine décision que rendra le juge pour enfant de Nanterre. Il m'offrira peut-être l'opportunité de saisir à nouveau la première présidence de Versailles ? J'en saurais plus au cours du mois de juillet, si le greffe de ce juge n'a pas oublié mon adresse postale et sait encore comment me notifier des jugements.
Je vais également devoir téléphoner ou écrire au cadastre de Holving, la 2ième chambre civile de Versailles exige des « preuves » ; au cadastre, les fonctionnaires et procédures sont peut-être plus rigoureux qu'ailleurs, j'en saurais plus d'ici quelques mois. Je me demande ce que de tels documents pourraient établir, selon des juges, encore de vrais, alors qu'à Versailles, des correspondances de juges et même d'un notaire, se référant lui même au cadastre et s'adressant à un juge, n'ont jamais rien « prouvé ». Là bas, même des jugements et arrêts ne « prouvent » ni ne démontrent le plus souvent jamais rien. C'est à se demander parfois à quoi servent encore des prétoires, des actes et des sceaux officiels.
Ajout du 27 au soir... Je pense être en colère, probablement comme quelques juifs ou hypocrites peuvent l'être.
Je me demande pourquoi ces magistrats me font aujourd'hui encore tant chier alors qu'ils savent très bien que tous ces recours et procédures ne font que me coûter - et me coûteront encore « très cher », selon leurs propres mots ; quelques milliers d'euro ? C'est autant d'argent qui ne profitera jamais ni à mon aînée, ni à ma cadette. Ce sont des sangsues... pardon, des notables et l'Etat qui s'empliront les poches et les caisses où d'autres se gavent sans la moindre gène.
« Prouvez », me lancent ces juges ! Hé, ducon, aux alentours de 2005, le parquet du coin a « classé d'office » alors que je me plaignais car la succession de la mère de Justine s'était à mon avis en grande partie vaporisée. Un OPJ a en effet dépouillé ma plainte de ses preuves puis ton parquet a « classé d'office » ! Aujourd'hui, tu envisages de désigner le pasteur ou son mari, le médecin, à la place des assistants de Charles Halter, pour t'assurer que son père ne pourra pas spolier la mineure, en niant toutes les carrences de ta justice et l'incurie crasse de la Dass et autres administrations de ce pays, la France ? Qu'est ce que ça signifie ?
Chez Halter, rien n'a bougé au cours des dernières années et cette situation aurait encore pu perdurer, longtemps. Ce n'est pas le pasteur qui a fait appel de la plus récente décision du juge des tutelles, ce qui a maintenant permis de mettre en lumière un certain nombre d'anomalies - « où ça », rétorqueront ces juges ? Ce n'est pas non plus le pasteur qui a signalé qu'il y avait des anomalies à l'inventaire présenté au juge des tutelles, pour approbation, et ce n'est pas le pasteur ni son mari, le médecin, qui a fait rectifier le cadastre de Holving, en 2006 ! « Ca prouve rien » ? Ne serait-ce pas à la famille maternelle de Justine de présenter et de détailler spontannément les éléments de ces successions qu'elle entend se partager un jour ? Va te faire foutre puis torche toi dans ta robe, elle n'est pas noire sans raisons !
Voir dans mes notes ou parmi mes références
Des boches aidés, jaugés et jugés par des juifs « qui ne pardonneront jamais » ? Quelle idée ! Ce pasteur et son mari, tiers dignes de confiance, ainsi qu'admin ad'hoc ? Et pourquoi pas, assis parmi, voire même, à la place des juges ou des juifs - mais évidemment « neutres », selon Anne Valentini - qui nous ont jugé ou plutôt, qui ont pollué le dossier « d'assistance éducative » de Justine, au cours des ces mascarades de procès et d'années de « travail de la relation père-enfant » ? Entre 2003 et 2005, alors que « ça se passait pas bien » pour Justine, au foyer de ces juifs - c'est le choix de Valentini, confirmé par la cour d'appel - de l'OSE France, le pasteur et son mari le médecin ont tous les deux fermé les yeux. Le pasteur d'Uhrwiller a encore fermé les yeux alors que « ça se passait pas bien » dans son presbytère non plus, aux alentours de 2008 - raison pour laquelle Justine optait finalement pour la solution de l'internat scolaire. Le pasteur et son mari ont systématiquement fermé les yeux, ils n'ont jamais bougé, jamais fait appel de quoi que ce soit.
Tu parles d'un médecin, généraliste. Lui-même et sa femme, le pasteur d'Uhrwiller, m'ont très souvent lu et même entendu au cours de ces dernières années, dans ces prétoires. Il n'y a que quelques crevures tel ce bouffon ou Bodon-Bruzel et des ignares tel des magistrats et des professionnels de l'OSE France ou de l'ARSEA Alsace qui pourraient en effet croire ou penser que la trisomie 21 de ma soeur aînée est susceptible de m'avoir affecté. A ces pitres en robe noire en premier, qu'ils soient du parquet, de Nanterre, des chambres ou de la première présidence de Versailles : la trisomie 21 n'a rien à voir avec un rhume et ne vous saute pas à la gorge tel H1N1 !
Le pasteur et son mari, tiers dignes de confiance, et maintenant admin ad'hoc également, mais quelle farce, quelle fumisterie ! J'attends avec impatience le délibéré de Nanterre, pour l'éventuelle opportunité d'un appel et la possibilité de rencontrer Echappe, probablement Olivier, membre du cercle des constitutionalistes et docteur en droit canon, un bon catho. J'ai deux mots à lui dire, en pleine face, s'il ne se dégonfle pas et ne dépèche pas un simple raporteur. J'attends aussi avec impatience la fin novembre prochain et l'opportunité de reparler à ces juges de la 2ième chambre civile.
Le pasteur d'Uhrwiller a bizarrement toujours pu se contenter d'alléguer, de prêcher, de « dire » et « d'expliquer », il n'a jamais eu à démontrer ou à prouver quoi que ce soit ; on doit dire de lui qu'il est « digne de confiance » - et donc bientôt admin ad'hoc aussi, même s'il a tous les dimanches le cul sur des successions de la famille maternelle de Justine ?
Par contre, selon ces mêmes juges, « M. KANT allègue toujours sans jamais rien établir » ou « ne justifie jamais de la réalité des faits dont il fait état ». J'ai le très net sentiment que ces juges de la 2ième chambre civile sont également un chouilla partiaux, comme les autres juges du secteur. J'y suis accoutumé, depuis longtemps. J'en rediscuterais avec la 2ième chambre civile, en novembre prochain ; il faut peut être tout simplement « mieux » éclairer ces juges ?
Leurs inculque-t-on ces moeurs à l'ENM ou au cours des stages qui les amènent sur leurs trônes ? Dans le cadre de l'affaire Bettencourt, d'abord une « affaire de famille », j'avais remarqué une bizarerie de nature assez similaire.
Hier, en me documentant, j'ai appris que Philippe Ingal-Montagnier, actuel procureur général de Versailles, devrait savoir ce qu'est l'antisémitisme. Il pourrait donc également savoir ce qu'est la Shoah ; le CRIF ou des conférenciers ont pu lui en glisser deux mots. Les juges du coin ne retenant le plus souvent pas mes mots, je pense maintenant illustrer mes prochaines conclusions ou observations avec de belles images, des caricatures antisionistes. Celle qui suivent me plaisent beaucoup ; leurs auteurs ont pu s'inspirer d'anciennes caricatures françaises de boches ou anticléricales.
Voir La République et l'Eglise (il y a un siècle)
« Avant dire droit », Versailles convie le pasteur d'Uhrwiller
Le mois dernier, Ludivine, la nièce de MAM ou son chef de cabinet, me suggérait de prendre « un bon » conseil « afin d'examiner avec lui les moyens les mieux adaptés à mettre en oeuvre, de nature à assurer la défense de mes intérêts légitimes devant la juridiction saisie » de cette affaire, des successions de la famille maternelle de mon aînée... Pour ce dossier-ci, chez le juge des tutelles, comme d'autres de mes affaires ou dossiers, ce n'est en effet rien qu'une banale et toute simple ou très courante affaire « d'ordre privé ».
J'ai du encore lâcher un bon pétard dans le prétoire. La cour d'appel ne confirme pas la plus récente décision du juge des tutelles d'Antony, cette justice semble être aujourd'hui à la recherche d'un autre admin ad'hoc pour ma fille aînée. En effet, les juges renvoient, cherchent à désigner un nouvel admin ad'hoc... et convient ou appellent maintenant le pasteur d'Uhrwiller à la rescousse ! Lorsqu'il aura prêché ou improvisé, les juges pourront motiver mieux ?
Versailles renvoie à fin novembre prochain. D'ici là, le juge des tutelles de Hagenau devra entrer sur scène et entendre le pasteur ou son mari, le médecin généraliste. Vu l'évolution - plutôt favorable - de cette affaire, je vais pour ma part réfléchir à ce que seront mes nouveaux « moyens », en novembre prochain ; ca va encore me distraire, très franchement.
En attendant, et maintenant que plusieurs couacs ont été matérialisés par divers arrêts, ordonnances ou jugements et de simples correspondances, je vais tout simplement accepter cette succession Kurt Bulow, pour le compte de ma fille Justine, mais sous réserve d'inventaire - j'attends toujours qu'on m'en présente un qui soit décent.
C'était un appel « contre le ministère public » (et des lampistes). Il y a peu, je critiquais surtout la complaisance du parquet et le travail d'une étude de notaire, sur plusieurs années. Cette décision qui vient de me parvenir a également été notifiée au procureur général de la cour d'appel de Versailles, son avis « tendait à la confirmation de l'ordonnance en date du 20 mai 2010 » rendue par le juge des tutelles d'Antony. Ce parquet n'a, selon moi, rien fait de la décision rendue fin décembre 2008, par la cour de cassation. Que va-t-il faire de cet ultime arrêt rendu par Versailles ?
Ajout du 27 octobre... Je viens de me relire. Il doit y avoir une erreur de plume dans mon blog, il ne s'agissait pas d'une décision de mai 2010, mais, évidemment, d'un appel de cette décision-ci, datée de mars 2010.
Arrêt n° 414, RG n° 10/02431, CA de Versailles, en date du 24 juin 2010
Un Point Shoah : 9€90
Je connaissais la loi et le point Godwin ; je connais maintenant le prix d'un Point Shoah : 9€90. J'avais la même chose à la maison, dans un coffret 3 DVD. Mais, plus globalement, ce Point collector m'a beaucoup plu. « Est-il si nul ? »
Je sortais pour un Monde et l'interview récente de Liliane Bettencourt. J'en ai profité pour ramasser le n° 1 de rue89.com ainsi que Hacker n° 32. Dans ce mag Hacker, une news m'a beaucoup amusé : « les internautes lisent-ils les conditions de vente ? » Ce mag va m'être utile ; je dois répondre à Lenovo France qui pourrait m'avoir pris pour un con - un consommateur « totalement atypique », selon leurs termes. J'ai refusé des CLUF ou conditions d'utilisation et j'ai demandé des remboursements de logiciels qui me sont inutiles ; en retour, Lenovo France me propose simplement de leurs retourner un PC que je viens d'acquérir, s'il est encore « neuf » ; mais je l'ai troué et patché. Ca m'occupe.
J'ai bien indiqué avoir refusé ces CLUF ; mon facteur n'est pas en panne
Ma boite aux lettres et mon facteur fonctionnent très bien, ils ne sont ni en panne, ni en grève. Je n'ai toujours pas reçu de convocation de la part de Nanterre, mais je m'en fous. Selon ma compagne, le juge pour enfant devrait me convoquer ou la décision qu'il rendra prochainement serait illégale. Mais les magistrats du coin ne s'embarasseront pas de tels détails ; si nécessaire, ils motiveront mieux. De toute façon, je n'ai plus l'intention de retourner à Nanterre, je crois que le juge pour enfant m'a très bien lu ; j'attends simplement de découvrir la prochaine décision que rendra ce prétoire.
J'ai eu des nouvelles de Madame Muller. Elle semble être à présent, elle également, dérangée, un peu « parano » ; elle aurait même « sans doute », un jour, pu déprimer... Je pense que depuis début 2009, Madame Muller a surtout beaucoup trop critiqué SOS Villages d'Enfants ainsi que divers services de l'ASE du Nord et des Alpes Maritimes. Heureusement que ces juges pour enfant ont de si bons psys ; pour n'importe quel ignare, tout semblera être parfaitement motivé.
Nanterre pourrait bientôt convoquer
Je peux anticiper, moi aussi, et également dormir bien, comme tout le monde, avec la conscience tout à fait tranquille. Je vais reécrire à Nanterre. Ce prétoire devrait convoquer sous peu, pour fin juin ou tout début juillet.
Cette dernière lettre est prête. Je n'ai plus qu'à l'imprimer un jour et à en faire un petit PDF.
Lettre ouverte - Ajout du 6/6, le PDF, avec des pièces jointes
Monsieur le juge pour enfant,
Fin avril dernier, par lettre ouverte que j’ai postée tardivement, je vous informais que j'avais fait appel d'une décision du juge des tutelles. Ce juge venait encore une fois de rendre une décision sans aucun débat contradictoire, répondant simplement à une correspondance d'une étude de notaire. J'avais alors bien senti qu’il y avait eu un nouveau couac dont mes enfants et ma famille ont bénéficié, surtout Justine.
En effet, une autre décision dite de justice, rendue en mars 2007, par le juge des tutelles, n’a jamais été exécutée. Vous trouverez ci-joint copie de correspondances que Maître Charles Halter, notaire, m’a fait parvenir, il y a peu ; ces correspondances ainsi qu'un récépissé d'un RAR vous confirmeront qu’il y a bien eu d'ultimes couacs dans un dossier qui concerne principalement Justine. Il pourrait y avoir eu détournement de correspondances privées. Ce 24 juin, un ramas de juges de Versailles rendra un délibéré. Si Versailles juge conformément à ses coutumes et usages médiévaux, ce 24 juin, la décision que je contestais sera confirmée en tous points. Il me semble que le nouvel assistant récemment désigné par le juge des tutelles, pour remplacer le précédent administrateur ad'hoc, est notaire. Un notaire et le fonctionnement de telles maisons, des études, est forcément irréprochable, comme le sont tous juges et cabinets ou prétoires, tous sont parfaitement neutres, dignes de confiance, comme tout pasteur ou corbeau, d'utilité publique, comme tout goret du social et ces maisons d'enfant de l'OSE France. Vous pouvez donc déjà balayer tous ces éléments ; ce qui suivra sera encore fabuleux ; qui, hormis moi, pourrait en douter ?
Il me parait important de vous rappeler que ma soeur aînée est trisomique et que vos experts, vos prédécesseurs ainsi que le ministère public, s'emparant de cet « antécédent familial », ont conclu que je serai dérangé, parano et même très dangereux (mais pour qui?), surtout lorsque je parle de tous ces couacs aux divers dossiers qui concernent d'abord ma fille aînée - mais je me sens très souvent un peu concerné, moi aussi.
Je vous informe qu’il y a peu, j’écrivais à Madame Michèle Alliot-Marie (MAM), notre Garde des Vélodromes. Le cabinet du Ministre de cette justice franco-moldave m’a répondu, me retournant ma propre correspondance, avec quelques traces et marques ; quelqu'un pourrait m'avoir bien lu, probablement la ministre ou quelqu'un d'assez proche, éventuellement son chef de cabinet ; je pense que la nièce de MAM a fait une grosse boulette, mais est-ce grave ? Je vous joins un extrait de cet échange. J’ai depuis quelques temps le très net sentiment que la chancellerie a perçu que quelque chose ne tourne pas très rond au voisinage et dans certains prétoires du coin, ainsi que dans divers dossiers ou affaires qui concernent principalement ma fille Justine. Mais vous pouvez aussi balayer tout cela, ce ne sont jamais que des affaires et histoires « d'ordre privées » et surtout des « difficultés familiales ».
Votre greffe devrait sous peu convoquer, pour une ultime audience à Nanterre, à huis clos, chez le juge pour enfant. En effet, en décembre dernier, le magistrat rapporteur de la chambre des créatures inférieures de Versailles affirmait que la quille, ce n'est que beaucoup plus tard. Vos mesures provisoires se prolongeront encore jusqu’à la fin 2011. En janvier dernier, motivant mieux, Versailles confirmait en tous points. Votre greffe devra donc forcement convoquer puis vous jugerez à nouveau, peut-être une ou deux fois encore, histoire de pousser le bouchon, jusqu’à l'automne 2011 au moins.
Je vous rappelle ce qui suit, de mes écrits à votre attention, du mois de mars dernier : « Si vous décidiez de convoquer prochainement une audience pour débattre […], je ne suis pas certain de répondre ni d’ailleurs de me faire représenter. En effet, […], je pense maintenant avoir fourni bien assez d'éléments et je ne supporte plus, ne serait-ce que très occasionnellement, de croiser encore, de discuter toujours avec ou en présence d'obscurantistes, de scientistes, des sortes de révisionnistes, voire, peut-être même, des négationnistes. D'autre part, Justine est aujourd’hui largement en âge de parler elle-même… Mais selon l’issue de ces débats, s'il y en avait, je me réserverais tout de même la possibilité de faire éventuellement appel de votre décision, de faire ensuite l'effort, un très gros, puis de présenter quand même à la Cour de précédents constats d’un ORL, voire un peu plus. »
Je vous rappelle également cet extrait, de mes écrits à votre attention, d'avril ou mai dernier : « Dans votre correspondance du 22 mars 2010, vous me suggériez de contacter l'ARSEA afin, probablement, de leurs parler de ces problèmes de santé dont se plaint ou parle parfois ma fille Justine. Entre juin 2008 et septembre 2009, j'ai bien essayé de discuter avec les gorets de l'ARSEA. Depuis, je n'ai plus aucun contact avec ces professionnels. Eux-même ne me sollicitent ni ne m'informent jamais. Je n'ai plus l'intention d'échanger quoi que ce soit avec ces gens là. »
Pour cette prochaine audience et des débats qui pourraient suivre, je vous rappelle aussi plus globalement mes trois dernières correspondances que je vous adressais vers novembre 2009, en mars, puis en avril ou mai 2010, avec un bilan du moment. Ces correspondances ont peut-être été versées au dossier d'assistance éducative de Justine, sans quoi, tant pis. Dans la présente, vous pourriez encore une fois percevoir un peu de satire, quelques très franches moqueries et railleries, beaucoup de cynisme aussi, autant, sinon plus que dans les précédentes correspondances que je vous adressais. Vous lisez bien et je pense que vous êtes à présent suffisamment éclairé par mes soins. Pour le reste, l'ARSEA Alsace rapportera, Maître Delphine Roughol complètera avec ses persiflages puis, ensuite, le pasteur d'Uhrwiller, lui même toujours très prolixe en chambre du conseil, pourra encore prêcher ou dire et tout vous expliquer, mieux que quiconque.
Je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de mes plus respectueuses salutations.
Copie à MAM, Garde des vélodrômes, Ministre de cette justice
P.S.: J'insiste bien, je maintiens et rappelle l'intégralité de mes correspondances qui vous parvenaient ces derniers mois, même si je n'en cite que des extraits dans la présente, par exemple, celui-ci : « Dans les faits dont vous ignorez peut-être tout, ce sont d'autres que moi qui exercent l'autorité parentale sur ma fille Justine, depuis 2004 au moins. A l'occasion, vous pourriez envisager de me déchoir pour ne plus m'accorder qu'un simple droit très occasionnel et approximatif de surveillance sur ma fille aînée, ce serait plus conforme à ce que je peux encore exercer - car j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays. »
Pièces jointes :
- récépissé d'une correspondance RAR adressée à un administrateur ad'hoc,
- copie de la réponse, des correspondances que Maître Charles Halter, notaire, m’a fait parvenir, peu avant l’audience à la cour d'appel de Versailles, ce 25 mai dernier,
- copie d'une correspondance du chef de cabinet de MAM ainsi qu’une feuille ou deux, de ma propre lettre et pièces jointes, que ce cabinet me retournait, comme annotées
Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice, lorsqu’on va, pour ainsi dire, noyer des malheureux sur la planche même sur laquelle ils s’étaient sauvés. • Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, Montesquieu, 1721
[ Quand les situations n'entrent pas dans le cadre des nouveaux modèles de réussite, quand les enfants ont des réactions et des attitudes qui ne ressemblent pas aux images de « l'enfant du divorce » forgée par notre société, ] ceux qui se tournent vers la justice pour qu'elle dise la norme et tranche un conflit de droit ne rencontrent qu'une institution désemparée. Faute de savoir répondre à leur demande, la justice ne peut que mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour étouffer les différends. Le démariage. Justice et vie privée, Irène Théry, Odile Jacob, 1993, reédition de 2001, pages 239-240.
Encore un constat ?
Ajout du 3 au soir. Je tourne définitivement une page, je vais maintenant me passer de ces constats d'huissiers. J'ai d'abord cru halluciner en feuilletant celui du 28 mai dernier... puis je suis allé voir et revoir, sur la toile. Ce 19 mai 2010, j'ai été reçu par la police nationale ; j'avais alors très longuement discuté de ce qui était déjà perceptible, sur le net, depuis février 2009 ; j'étais convié pour discuter de diverses plaintes plus récemment portées contre moi. Depuis peu, sur la toile, je découvre des trucs assez bizarres, que je ne connaissais pas, pas sous ces formes, ou très mal, parfois des faux ou des documents qui semblent être altérés, probablement des scans de documents officiels aussi, tout ou partie de documents divers dont certains ressemblent à des correspondances privées ou leurs extraits. J'ai le très net sentiment d'avoir déjà amplement répondu à l'essentiel de ces éléments, le 19 mai dernier, au commissariat de police. Fin du mois dernier, dans un blog sur wordpress.com, j'avais découvert ce qui serait un « droit de réponse de Mr KANT » ; je pense qu'il m'est attribué or je n'en ai pourtant envoyé aucun récemment, nul part.
Du 3. J'ai évidemment noté que Le Sénat veut sauvegarder le Défenseur des enfants. Je pense que c'est une bonne chose. Cependant, cette institution ne pouvant intervenir lorsqu'un juge pour enfant est saisi, le nouveau Défenseur des droits - souvent réduits au néant lorsqu'un enfant « bénéficie de mesures de protection » - pourrait éventuellement compléter l'actuel Défenseur des enfants, une maison sûrement bourée de talents et de bonnes âmes, mais qui ne peut parfois que constater, compatir, puis rapporter.
Ajout du 3. Le facteur vient de m'apporter ce fameux constat d'huissier, du 28 mai dernier. Je le lirais plus tard.
Ajout du 2 juin au soir... La cour d'appel de Metz a délibéré et confirmé la condamnation de Madame Millet, une petite peine assortie de sursis. L'avocat général venait d'anticiper au cours de son réquisitoire, rappelant qu'au cours de ces dernières années, à chaque fois, Madame Millet avait été condamnée ou déboutée. Je pense qu'à présent, Madame Millet pourrait prétendre à des indemnités car, par le passé, elle a fait 4 ou 6 jours de détention provisoire. Aujourd'hui, la justice lui a encore beaucoup repproché de ne pas avoir respecté des jugements et les droits des parents de Sébastien. Madame Millet était la seule à l'audience, assistée par deux avocats. Tous les autres protagonistes ou partis de cette histoire n'étaient pas à l'audience. Complément du 3 au soir... Monsieur Millet, le grand-père de Sébastien, était cependant représenté par ces mêmes avocats ; lui-même ne croit plus en cette justice, depuis très longtemps.
Du 2 encore... A Metz, en cours d'audience, il était encore une fois beaucoup question d'un constat d'huissier et de son contenu, des retranscriptions de quelques allégations ou bribes de conversations téléphoniques, uniquement des « voix féminine[s] » et non des dialogues. A partir de ce constat, la justice prête depuis longtemps des propos à une femme précise. J'en ai discuté dans les couloirs, avec un avocat. Ce dernier partageait mon sentiment ; ce constat et de tels procédés sont assez contestables ; personnellement, je n'hésite pas à qualifier de telles pratiques et procédés de moyenageux. Mais ce constat ayant été versé aux dossiers de Sébastien, par le passé, probablement par Nanterre ou Briey, il ne serait maintenant plus possible de l'écarter.
Toujours du 2 au soir. A Grasse, dans le sud, tout semble encore assez différent. Selon ce qui m'a été exposé par mail et par téléphone, Madame Muller est aussi priée de se faire une raison. Dans ses propres affaires « d'ordre privé », les professionnels ont décidé de garder les enfants dans le Nord, à 1200km de Madame Muller, leur mère. Les professionnels de la Dass du 06 vont plutôt commencer à travailler avec les grands-parents des enfants, dans le 59. D'après ce que j'ai compris, ce 31 mai, Madame Muller a fait enregistrer une sorte d'incident d'audience ; elle n'est pas restée jusqu'à la fin, ce qu'un fax et une correspondance tendent à confirmer.
J'attends encore un nouveau constat ; lorsque je l'aurais reçu, je réactualiserais sûrement ce billet. Il pourrait maintenant s'agir du dernier constat d'huissier que je commande. Celui qui me parvenait la semaine passée m'avait encore une fois beaucoup plu ; ils sont à chaque fois très techniques, très riches de détails et d'informations publiques. André Santini et Axel Poniatowski, parmi les amis du président de SEFCA Puteaux ? Avec de telles informations sous les yeux, je ne peux que penser encore au printemps dernier, aux régionales, puis à la fermeté de Frédéric Lefebvre.
France Soir du jour nous confirme ou nous en apprend encore beaucoup. On ne devrait pas publier ni tolérer n'importe quelles publications, sur Internet. Dans ces feuilles, on peut aussi lire que des règles - voire même des décisions de justice - sont parfois difficilement applicables. Je l'avais déjà constaté alors que je me plaignais de billets ou d'informations souvent farfelues, parus sur unblog.fr, un service sur lequel la modération ignore manifestement ses conditions d'utilisation, de grands principes, une charte que leurs blogueurs sont supposés respecter. Depuis quelques temps, je découvre donc également les services de wordpress.com ainsi que les publications et moeurs tolérés par leurs modérateurs.
Il y peu, j'avais écrit que je tournais une page de plus et que je ne me soucierais plus de ce qui allait encore paraître ici et là, sur la toile et surtout sur Wordpress. Mais depuis, vu la nature de certaines nouvelles publications, j'ai changé d'avis. J'ai cru voir des faux, j'ai même cru lire avoir un jour été mis en examen ; pour le moment et alors que sur la toile, les écrits sont souvent très « volatiles », je n'en écris pas plus. Je préfère attendre le dernier constat qui me parvient, puis j'aviserais.
Demain, comme prévu, je vais encore aller me promener, visiter cette fois-ci la cour d'appel de Metz.
André Santini et Axel Poniatowski, sur Facebook ? D'un constat du 21 mai dernier |
Vers une théorie des dysfonctionnements acceptés
Ce soir, à l'hôtel de Ville de Paris, je pense m'être brouillé avec Monsieur Eric Mouzin. Après son propre échange sous les caméras, avec Madame la Ministre, une mère s'est plainte auprès d'elle, puis j'ai haranguée Nadine Morano, à mon tour. Je pense que nos si courageux journalistes nationaux n'auront pas la moindre difficulté à couper cette séquence, mon intervention, au cours de laquelle un proche de Morano - à moins qu'un élu de la mairie de Paris - m'a répondu qu'ils ne pouvaient pas commenter des décisions de justice. Foutaise, mauvaise foi et langue de bois !
Si je leurs avais annoncé qu'un juge ou un greffier m'avait fait libérer par inadvertance ou copier/coller, après un viol puis avoir écorché vif un enfant ou pire, une femme, ces mêmes élus ne se seraient probablement pas gênés ! Je les invitais durement à commenter un arrêt de la première chambre civile de la cour de cassation dont les références - ainsi que le nom du défendeur, Xavier Serrier, juge pour enfant - était placardés dans mon dos, sur mon tee-shirt. N'a-t-on jamais commenté des décisions de justice rendues en faveur de Vanneste ? J'ai pu rêver lorsque j'écoutais la radio, en novembre 2008, et qu'une décision pourtant dite de justice ou rendue par de vrais juges a été longuement critiquée sur les ondes.
Les enfants disparus, c'est sérieux, ou c'est juste une corvée, en prévision de 2012 ?
Plus tard, j'ai parlé à l'assemblé, pour clarifier un peu ce qui s'était passé, leurs exposant surtout que mon aînée avait disparue pendant plus de trois ans, puis qu'elle avait ensuite pu passer l'été 2009 à la maison. Depuis, plus rien. C'est la Dass, celle qui oeuvre en faveur de l'enfance. Ce que j'ai dit ou exposé a pu heurter. D'autres se sont encore souvenus de cette affaire des enfants des bois et de relations mère-enfant aujourd'hui toujours impossible tant elles ont été distendues ; cette histoire a récemment encore une fois été relatée dans un magazine Elle ; il est rangé dans mon placard, avec de vieux journaux. Je pense que dans les milieux professionnels il n'y a plus que des juges pour enfants pour croire encore fermement au merveilleux ou au fabuleux de ce dispositif supposé protéger les enfants. Je peux me tromper, mais il me semble qu'à Aix-en-Provence, au tribunal administratif, ainsi qu'à la CDEH des juges partagent assez mes propres opinions en matière de relations familiales distendues ou durablement et délibérément rompues.
Monsieur Mouzin m'a encore une fois fait savoir qu'il n'adhérait pas aux théories dites du complot. Je n'entre pas plus avant dans ce dont lui et moi avons encore discuté. Mais pour qui suit l'actualité, je crois qu'il est assez clair que les grands théoriciens du complot sont au château, dans l'entourage de notre chantre. On en parlait beaucoup lorsqu'ils accusaient Dominique de Villepin. Puis nous avons encore entendu parler d'un éventuel complot en marge de rumeurs concernant le couple Bruni-Sarkozy. Les complots, je n'y crois pas. Lorsqu'il s'agit de justice et plus particulièrement de protection de l'enfance, je crois plus volontiers d'abords aux boulettes, aux dysfonctionnements ainsi qu'ensuite, aux dérives plus généralisées.
Nadine Morano sait, elle nous a très souvent parlé de dysfonctionnements de la Dass pour promouvoir l'adoption. Nous aurait-elle récemment parlé de ce dispositif de la protection de l'enfance sans rien en savoir ? Que nous a raconté Jean-Marie Bockel, en février dernier, était-il sérieux et crédible ou souhaitait-il juste amuser la galerie ? Notre chantre pourrait savoir, lui aussi. Nicolas Sarkozy ne m'a jamais répondu à une correspondance de fin janvier 2009 : « Question : croyez vous aux vertus de l’assistance éducative alors que la Direction Nationale de la Protection judiciaire de la Jeunesse ainsi que Madame la Secrétaire d’Etat à la famille font eux même montre de sérieuses réserves ? » A l'époque, je lui communiquais aussi cette fameuse décision de la cour de cassation dont les références sont à présent placardés dans le dos de mon tee-shirt. En novembre 2009, pour les 20 ans de la CIDE, je finissais par commettre une offense ou un outrage au chef de l'Etat français ; son parquet l'a très bien perçu, j'ai eu droit à un petit rappel à la loi, en catimini, dans l'entresol du Palais de justice de Paris. J'en garde un souvenir, maintenant placardé sur l'avant de mon tee-shirt.
Par le passé, Nadine Morano m'avait elle même fait part de sa compassion alors que je venais de lui faire parvenir un petit dossier ; j'ai sa lettre, scannée, au fond de mon blog ; elle ne s'en souvient probablement plus. Elle m'avait écrit que « le temps judiciaire n'est pas compatible avec le temps de l'enfance », ce que ma famille a eu tout le temps de percevoir au cours de ces dernières années. « Justice, une lenteur coupable », cet excellent ouvrage figure bien évidemment dans mes étagères et parmi mes références, depuis une éternité déjà.
Je viens encore de constater qu'une décision « de justice » concernant mon aînée n'a pas été exécutée, celle rendue en mars 2007, par le juge des tutelles. Trois années entières se sont perdues ! Un assistant ainsi que Maître Charles Halter me l'ont eux-même récemment confirmé. J'ai aimé les lire. Je n'en demande maintenant pas beaucoup plus au juge des enfants de Nanterre à qui j'écrivais récemment que « j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays. »
Aujourd'hui, à Versailles, alors que je soutenais que personne ne m'informe jamais, la cour me demandait des preuves. Comment prouver qu'on ne m'a jamais communiqué un inventaire de succession conforme à la réalité ? Comment pouvais-je même me permettre d'en réclamer un alors qu'un admin ad'hoc devait s'occuper de cette succession ? Lorsque j'étais moi même en charge de cette même succession, je m'étais un jour fait accuser d'avoir commis des diligences, entre la fin 2004 et début 2005. A cette époque, je n'arrivais pas à obtenir la moindre informations... A l'audience, je parlais un peu de dysfonctionnements, les juges pourraient eux-même avoir bien perçu qu'il y a eu un gros couac, un de plus dans mes divers dossiers qui concernent mon aînée.
Un délibéré va suivre, ce 24 juin prochain. Vers la fin de l'audience, les juges m'ont demandé ce que je pouvais encore avoir à leurs communiquer. Je les ai alors informé que la chancellerie pourrait elle même avoir fait n'importe quoi mais qu'elle semble avoir bien perçu, elle également, qu'il y a eu un couac quelque part, entre Antony (92) et la Moselle (57). Et alors ? La deuxième chambre civile a maintenant trois options au moins, elle pourrait :
1) confirmer en tous points la décision du juge des tutelles d'Antony (92),
2) désigner un autre admin ad'hoc,
3) me confier à nouveau ce qu'un assistant de notaire n'a lui-même pas pu faire avancer plus, depuis mars 2007
Dans l'hypothèse 1) ou 2), un juge m'a dit que cela me coûterait « très cher ». Pour un contrôle et pour une signature ?
En marge de cette journée, devant l'hôtel de ville de Paris, parlant un peu d'injures sur Internet, un proche de Monsieur Mouzin m'a dit qu'il recevait aussi « de tout », sans entrer dans les détails. Ce serait normal lorsqu'on prend position. Il faut donc que je me soucie maintenant juste de cette histoire d'usurpations de plaques, à Puteaux, en octobre dernier.
Après tout ce que j'ai encore pu lire ou entendre et vu ce que j'avais déjà perçu du fonctionnement accepté par tout le monde ou habituel de ces institutions françaises, des couacs, des boulettes et très souvent n'importe quoi aussi, je pense que ma plus récente lettre ouverte à MAM était pas mal, jusqu'à son dernier paragraphe : « Par ailleurs, je vous informe qu'il pourrait y avoir un problème au palais de justice de Paris. En effet, j'ai le sentiment que des services égarent ce que j'essaye de faire parvenir au procureur près ce prétoire (pièce n° 4). Par le passé, celui près le tribunal de grande instance de Nanterre ne recevait pas grand chose non plus. »
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