Mot(s) clef: avril 2011
Une toute nouvelle icône française : Tristane Banon
Je renseigne ou préviens d'abord mes lecteurs habituels ainsi que ceux qui me découvriront. Tristane Banon est d'un milieu auquel je n'appartiens pas, celui des peoples, des militants approuvés, des romanciers et des journalistes. En cas de pépin, ces gens s'enlisent puis s'enfoncent très bien tous seuls, parfois épaulés par des avocats, ils n'ont pas besoin de mes contributions, bien au contraire. Tristane Banon pourrait avoir beaucoup couché, c'est ce qu'elle exposait ce mercredi soir, pour « Semaine d'enfer ». Mais ce genre de choses n'arrive qu'aux autres, elle n'a jamais couché avec moi et je ne crois pas que je coucherais un jour avec elle, même pas par imprudence ou par inadvertance. Je n'ai donc pas d'intérêts particuliers à faire la promotion de cette nouvelle icône, Tristane Banon. Coucher, j'y ai déjà songé, c'est peut-être une nécessité, quand on a surtout trop couché, voire découché, ces gens finissent parfois par parler de vous, le cas DSK nous l'a amplement démontré. Ces précisions faites, je peux poursuivre, livrer une opinion susceptible d'être assez neutre ?
Comme beaucoup, je lis toujours les journaux et j'écoute des discours des peoples. Par moments, j'ai le sentiment d'halluciner et, souvent, je suis partagé entre hilarité et complaisance, celle qui trahirait qu'au fond de moi, je reste d'abord hilare. Je pouffais encore ce 3 novembre, en découvrant une interview de Banon pour Elle. « Tristane Banon est déterminée, habitée par ses convictions et l’envie que son affaire, tant médiatisée, permette de faire changer les choses. Mais elle reste encore fragile, usée par ces mois de combat médiatico-judiciaire et ces huit ans et demi de `' vie volée " ». N'est-ce pas émouvant ?
Dans cet interview pour Elle, je pouffais encore en lisant que « considérant que la reconnaissance de son statut de victime par le parquet de Paris était suffisante », Banon s'était adressée au château, « avec Olivia Cattan, demandant à être reçues par Nicolas Sarkozy sur cette question », le délai de prescription dans les cas d’agression sexuelle. Pour le moment, Tristane Banon et Olivia Cattan n'auraient pas reçu de nouvelles des résidents du château.
Alexandre, ce gamin de 13 ans qui ne souhaite pas être « placé », a aussi écrit à Sarkozy. Je crois que ce collégien attendait également des « nouvelles », Alexandre et sa soeur, un peu plus jeune, en attendent peut-être encore. Je pense que nous sommes nombreux à écrire ou à nous bousculer parfois aux portillons du château, mais que pas grand monde n'y sera reçu. Ce 26 octobre, une femme tentait de s'y immoler, je pense qu'elle avait aussi été refoulée...
De temps en temps, j'écris ou j'envoie encore des trucs au château, mais je n'attends plus de réponses pertinentes de la part du Président de cette République. En tant que femme, « victime », et profitant d'une entrée de Marie Georges Buffet, Tristane Banon sera peut-être mieux reçue par Sarkozy ? En février 2011, le château avait très bien reçu gilles Patron, le père d'accueil de Laeticia et de sa soeur jumelle, Jessica Perrais... c'était avant que le drame de Pornic n'éclate vraiment, puis suscite un scandale national
Après un « calvaire » de huit ans, une « vie volée », puis quelques mois passés à s'épancher dans la presse ou pour des plateaux people, Tristane Banon a donc enfin remporté un « statut de victime »... et une très simple correspondance du parquet de Paris. On croit rêver, on en reste pantois. Vivons nous dans le même pays ou sa justice est-elle effectivement rendue de façon si différente dans Paris intra-muros, de façon si différente pour la classe ou la caste des people ?
Le 21 mai dernier, dans le JDD et une tribune intitulée « Le retour du mâle dominant », se demandant encore si « L’Omerta serait [...] une tradition française », Olivia Cattan, Présidente de Paroles de femmes, et Fadila Mehal, Mariannes de la diversité, soulignaient, entre autres, que « La présomption d’innocence concernant Dominique Strauss-Kahn fut légitimement érigée par les uns et les autres mais présumer que la victime disait peut-être la vérité ne fut pas envisagé. Seules quelques voix politiques s’élevèrent comme celle de François Hollande, Jean-Luc Mélenchon ou François Bayrou. » Le titre de cette tribune était-il un clin d'oeil à NQF, septembre 2002 ? Où en sommes nous aujourd'hui, après toutes ces semaines et mois au cours dequelles on nous a beaucoup bercé avec ces scandales et affaires dites DSK, puis du Carlton de Lille, ou avec ces affaires qui concernent plus précisément Tristane Banon, qui a dit vrai, qui a dit faux, qui est maintenant discrédité et qui l'est peut-être un peu moins ?
On nous avait parlé d'une tentative de viol, de violence, de la violence de DSK à l'encontre de Tristane Banon. On nous avait parlé de faits très graves, passibles des assises, ou les journalistes nous ont-ils exposé n'importe quoi ? Début octobre dernier, nous apprenions ensuite que la plainte de Banon contre DSK a été classée sans suite. Il semblerait que contrairement à ce qu'elle nous avait pourtant annoncé, Tristane Banon ne contestera pas ce classement par le parquet de Paris. Ce dénouement me surprend alors que la « victime » se voulait toujours très persuasive. Aurais-je loupé des épisodes ou le parquet de Paris ne nous aurait-il pas tout dévoilé des charges susceptibles de peser contre DSK ? Aujourd'hui, et de l'avis même de Tristane Banon, nous ne pouvons plus parler que d'une assez banale agression sexuelle, « un baiser volé », des faits reconnus par DSK, mais du bout des lèvres, et des faits d'ailleurs « prescrits ». Je suppose qu'ici et là, dans des commentaires ou dans des bistrots, certains parleront longtemps encore de violence et d'une tentative de viol... en brandissant donc une simple lettre du parquet de Paris. Dites moi que j'hallucine ou offrez moi un p'tit rouge.
On nous expose que DSK a pu mentir, qu'il a parfois changé de version, qu'aujourd'hui, qu'hormi avoir tenté d'embrasser Tristane Banon, DSK ne se souvient plus de rien, qu'il a pu tout oublier, comme un Mirmand. Je suis vivement déçu, par DSK comme par tristane Banon et leurs soutiens. Pourquoi ne sont ils pas chacun allé au bout de leurs combats, l'un d'eux pour être effectivement « blanchi », l'autre pour obtenir une véritable condamnation, un jugement, autre chose qu'une très banale « lettre du parquet » ? Je suis déçu par DSK comme par tristane Banon, elle n'a pas maintenu sa version non plus. Le premier a tout oublié, ne se souvient plus, et la mémoire de la seconde aurait soudainement également flanchée ? J'ai surtout le sentiment que DSK et Banon sont tous les deux normalement intelligents et qu'ils sont chacuns assez bien entourés et conseillés.
Je suis d'autant plus déçu que j'ai acquis le livre de Tristane Banon, « Le bal des hypocrites ». Je m'étais même précipité pour acquérir ce « roman » dès sa première parution, pensant que de prochaines éditions allaient être « censurées », dépouillées de quelques paragraphes portant atteinte à « l'homme babouin », dépouillées de quelques portions « trop engagées ». Il semblerait maintenant plutôt que Tristane Banon, comme le parquet de Paris, ne pouvaient pas maintenir l'hypothèse ou l'accusation de la « tentative de viol » par DSK, des faits qui n'auraient pas été prescrits, selon les explications qui nous ont été communiquées. « Le bal des hypocrites », aux côtés de quels objets d'études le classer ?
Une simple « lettre du parquet » de Paris, qu'en pensera Nafissatou Diallo, elle qui a finalement été discréditée par le parquet et par un juge de New-York ? D'après ce qui s'est propagé jusqu'en France, la salive de Diallo a été retrouvée mèlée au sperme de DSK... mais du fait des incohérences de Diallo et de son entourage, de leurs revirements ou de changements de versions, le procureur avait préféré abandonner les poursuites. Ne se serait-il pas produit quelque chose d'assez similaire en France, dans le cadre de cette affaire Banon contre DSK, mais sans l'intervention d'un vrai juge ?
Des lettres, des « lettres du parquet », des constats ou des extraits de minutes d'huissiers de justice, des lettres de l'Elysée, d'une étude de notaire, des extraits de cadastre, des lettres du Ministère de la Justice ou de l'Intérieur, de la MIVILUDES, des jugements, des ordonnances, des arrêts, etc, et même de nombreux livres ainsi que des articles de presse et de bonnes vidéos, j'en ai personnellement rassemblé un très gros paquet au cours d'environ dix années et de multiples procédures. Il semblerait que ça ne prouve rien, rien de bien intéressant, en tous cas, pas pour certains juges, pas pour le parquet du coin non plus. Cherchez la cohérence chez ces peoples, journalistes et militants parisiens alors que je n'ai jamais changé de version, parfois d'avis ou d'objectifs, mais jamais de version
Une simple « lettre du parquet » de Paris... Quelques temps après mai 2010 et après avoir soufflé dans des bronches à la chancellerie, le parquet de Paris avait aussi fini par me répondre en me communiquant une « lettre ». L'été dernier, je n'ai pas eu de lettre, j'avais du voler une photo dans le bureau d'un OPJ. Je me demande si Tristane Banon, « victime », et ses soutiens savent ce que peut être un « combat » lorsque la justice est saisie. J'ai des doutes, d'assez sérieux doutes. Au cours de ces dernières années, j'ai connu des gens qui se sont battus, pour déccrocher autre chose que de simples « lettres du parquet ». Mémé Mireille avait même combattu jusqu'au bout, comme ça arrive parfois lorsque la justice est saisie. D'accord, d'accord, des gens comme ça, ou comme moi, nous ne somme pas des journalistes ni des peoples parisiens. Mais mémé Mireille, la grand mère de Sébastien, avait gagné quand même. Bref
Si une « lettre du parquet » suffisait à octroyer un statut de victime, voire même à condamner quelqu'un comme par décrêt, circulaire ou simple correspondance administrative, cela se saurait. Je pense que nous n'hésiterions plus à couper la tête de nos 8 500 magistrats et à les remplacer par d'assez banals employés de bureau ou par des juges pour enfants.
Une « lettre », après des débats, après une confrontation ou avec quelques éléments de preuves en main, c'est en réalité assez facile à écrire. Des avocats ou des experts - tel que des médecins, pas des « psychologues », ni des charlatants - peuvent souvent en produire d'assez pertinentes. Quand le parquet produit un écrit, il est parfois plus joli ; pour le conserver au fond d'un sac à main, c'est évidemment mieux ; mais pour parler librement, ce genres d'écrits, du parquet, sont à mon avis tout de même souvent très insuffisants. Je pense que Tristane Banon ne parlera plus jamais ou que très exceptionnellement d'une « tentative de viol » ; mais je peux me tromper. Elle n'avait peut-être pas besoin de beaucoup plus dans le cadre de ces histoires qui l'opposaient depuis huit ans quand même à DSK. Après sa version, elle a peut-être aussi changé tous ses objectifs ? Depuis ce mercredi, il semblerait que notre nouvelle icône houspille beaucoup Anne Sinclair.
Ces jours-ci, un autre litige a aussi retenu mon attention. Selon une interview pour l'Express, cet été, Tristane Banon critiquait aussi le Cherche Midi. Selon Europe 1 avec AFP, le Cherche Midi a rapidement réfuté les accusations :
L'Express, le 04/07/2011 : Et sur le plan professionnel ?
Tristane Banon : A plusieurs reprises, je me suis retrouvée blacklistée, sans comprendre. Je travaillais dans un endroit et, du jour au lendemain, tout se passait mal. Un exemple: j'étais directrice de collection au Cherche Midi depuis l'été 2009. Tout se passait bien jusqu'au mois de septembre 2010, où tout d'un coup le patron, Philippe Héraclès, me dit que je travaille mal, etc. Je n'ai pas compris. Et il y a peu de temps, sur Internet, j'ai lu une interview de lui révélant qu'il avait un accord de principe avec les collaborateurs de DSK: quand celui-ci annoncerait sa candidature, le Cherche Midi publierait son livre de campagne. Je trouve la coïncidence étonnante. Nous avons rendez-vous aux prud'hommes le 25 octobre pour requalification de contrat.
On apprend que de grosses tuiles en auraient suivies de précédentes ? D'après Europe 1, dès juillet, nous pouvions donc lire une réaction de Philippe Héraclès, PDG du Cherche Midi : « C'est avec stupéfaction que j'ai pris connaissance des propos diffamatoires de Tristane Banon me mettant en cause dans une interview de l'Express ». Puis ce 26 octobre, par exemple sur l'Express, nous pouvions lire que « Le jugement du tribunal des prud'hommes de Paris dans l'affaire qui oppose l'écrivaine Tristane Banon et Le Cherche Midi éditeur sera connu en juin 2012, a indiqué mercredi la maison d'édition, au lendemain d'une audience de conciliation. » Notre nouvelle icône vendrait-elle parfois la peau de l'ours avant de l'avoir tué ? Les journalistes qui la reçoivent ne pourraient-ils pas parfois inciter Tristane Banon à être un peu plus prudente ? Je n'ai pour ma part que très peu parlé d'un litige dont j'ai récemment retrouvé des traces dans des comptes-rendus analytiques de scéances du conseil municipal de la ville d'Asnière-sur-Seine (9-2). Lorsque je n'ai pas de traces, je me tais.
Quand une tuile tombe du toit, il arrive que d'autres suivent. Dans certaines histoires, il peut parfois pleuvoir des tuiles et on peut occasionnellement penser à d'étranges ou « d'étonnantes coïncidences ». Les plus fragiles et les vrai paranos développeront des théories conspirationnistes, ils soutiendront, martelleront que ce sont toujours les mêmes qui font tomber toutes ces tuiles, les jetant les unes après les autres du toit. Des travailleurs sociaux, des juges, des « psychologues » et des « psychiatres » peuvent développer et soutenir des théories tout aussi fantasistes ou farfellues que des conspirationnistes. DSK aurait-il pu tirer des ficelles du Cherche Midi ? Rho, c'est pas possible, « l'homme babouin » aurait-il vraiment osé ?
Début 2004, la ville d'Asnières n'a pas honoré un contract, c'est ce que soutenait une « victime », ma compagne d'alors, qui s'est ensuite tournée vers le tribunal administratif. En 2009 seulement, je crois, le tribunal administratif de Versailles a condamné la ville d'Asnières. Mais malgré cette condamnation, la « victime » était insatisfaite et a donc fait appel. Ce genre de procédures peuvent s'étendre sur des années, ces litiges ne se résolvent pas avec de simples « lettres » du parquet. Voyons donc, en juin 2012, comment notre nouvelle icône s'en sera sortie, contre le Cherche Midi, ou inversement.
Ce monde est petit
Je me doutais qu'un juge pour enfant ainsi que l'ASE et un « expert », un « psychologue », allaient se prendre un gros vent, mais à ce point là... Dans le cadre de la journée mondiale des premiers secours, ce samedi 10 septembre, à Paris, la Croix Rouge enseignait « les gestes qui sauvent ». Mais cette édition du 19/20 de France 3 présentait d'abord une histoire « très sensible », celle d'Arthur et Valentine qui ne souhaitent pas être « placés ». Reportage à Limeil-Brévannes :
Le 19/20 de France 3 région Paris IDF,
samedi 10 septembre au soir
Ce samedi 10 septembre, sur place, j'ai d'abord relevé la lucidité, l'ambiguité, la dangerosité et la virulence de certains slogans et discours. « La violence, si tu te tais, elle te tue, mais si tu parles, la justice t'achève ». « La justice sacrifie les innocents et protège le bourreau »... « Un juge peut-il bafouer les lois ? » Présent, Joseph Rossignol, maire (DVG) de la ville, a proposé d’accrocher les ballons du cortège au fronton de la mairie « jusqu’à ce que Valentine et Arthur aient l’esprit tranquille ». Dans son 19/20, France 3 en ajoutait, présentant d'abord une mobilisation de soutien pour ces deux enfants qui sont sous la menace de l'exécution prochaine ou possible d'une décision de « placement », un « placement » auquel Valentine et Arthur sont opposés, ils souhaitent bien évidemment rester et vivre auprès de leur mère.
Michel Rocard aurait été le bienvenu au cours de cette marche puis pour ce rassemblement, devant la mairie de Limeil-Brévannes. L'ex ministre aurait à nouveau pu plaider en faveur du droit fondamental de dire « n'importe quoi » et de l'immunité ou de l'impunité pour tous
Au dela de tous ces slogans, opinions et discours susceptibles d'être « interprétés », voire même dévoyés, puis retournés contre leurs auteurs et leurs protégés, cette marche puis ce rassemblement de 250 à 300 personnes - dont de nombreux enfants - était un succès. Mais comme je l'ai expliqué à la mère de Valentine et de Arthur, ce succès est evidemment susceptible d'irriter l'ASE et le juge pour enfant actuellement saisi.
Ce samedi 10 septembre, à Limeil-Brévannes, la protection de l'enfance a surtout été surprise en situation d'échec, des échecs multiples et, depuis ce samedi, flagrants. Comment réagiront maintenant le juge pour enfant et l'ASE de Paris ? De façon maladroite et virulente, en retirant bientôt Valentine et Arthur de leur milieu actuel, matérialisant alors un échec de plus, un « placement » non ou très mal préparé ? Face à cette mobilisation dans Limeil-Brévannes, il est aussi possible que l'ASE attende à présent de nouveaux et prochains débats auprès de la cour d'appel de Paris...
Il y a peu, le juge pour enfant ordonnait un placement, un placement déjà confirmé courant août dernier, suite à référé suspension. Une telle décision, « confirmée », s'impose à tous. Mais il semblerait que l'ASE de Paris n'a pas su ou pu préparer « l'accueil » de Valentine et de Arthur, qu'il n'y ait pas de solution sauf « d'urgence », ce qui relèverait bien d'un ultime échec de la Dass. Couac après couac, Valentine et de Arthur finiront-ils prochainement en foyer ou en familles d'accueil, comme l'a récemment exigé le juge pour entant ? Pour le moment, ils restent auprès de leur mère avec cette menace de « placement », une épée de Damoclès, un glaive susceptible de trancher ou non au cours des semaines ou des mois qui suivent. Mais nous devrons bien évidemment parler de « mesures de protection », « en faveur » de ces deux enfants, des mesures tout à fait appropriés et parfaitement adaptées à leur développement, leur épanouissement, etc...
Arthur et Valentine subiraient ces « pressions » ou des menaces de « placement » depuis plusieurs années déjà. Leur père avec qui ils ne veulent plus avoir de relations en raison de « maltraitance » pourrait être à l'initiative de ces mesures « d'assistance éducative », je n'ai pas connaissance de son opinion à tous ces sujets. Selon le Parisien et des discours entendus ce samedi, à Limeil-Brévannes, ces mesures auraient été demandées pour cause « d’aliénation parentale ». Ces enfants ainsi que leur mère se plaignent de faits précis, mais des faits qui n'ont fait l'objet d'aucune sanction ; pour des juristes, pour des juges, ces faits ne sont donc pas « avérés »... Le juge pour enfant de Paris parlera plutôt d'une mère et d'un environnement « toxique » dont il faut éloigner ces enfants, probablement pour qu'ils puissent renouer avec leur père ? D'ici 6 mois, connaissant ces pratiques de sauvages et leurs résultats, très variables et aléatoires, Valentine et Arthur pourraient très bien ne plus avoir aucune relation avec leur mêre et toujours pas de bien meilleures relations avec leur père. Si cette affaire foirait complètement, comme d'autres, nous en dirons que ces enfants n'auront pas su « profiter » du dispositif, ou que leur mère était « vraiment très toxique »...
Cette affaire, également « d'ordre privé », m'intéresse de plus en plus, du fait des acteurs en scène ou dans ses coulisses. Nous retrouvons donc le juge pour enfant Herve Hamon ainsi que le charlatan ou pédo-psychanalyste Claire Davidson, co-auteurs d'un ouvrage rejeté par la cour d'appel de Versailles et le juge pour enfant de Nanterre, la revue Dialogue n° 165, de Erès (rubrique Sciences humaines « et les pratiques qui s'en inspirent »). La cour d'appel de Versailles ne sait qu'instruire et revisiter ou réviser à charge ; en faveur de ma fille Justine, Versailles n'a donc conservé qu'une « expertise » de Madame Davidson et a écarté cette revue. Car Claire Davidson est également intervenue dans mes propres affaires « d'ordre privées », rendant un rapport « en faveur » de ma fille ainée, un document me décrivant moi-même « toxique » ou « dangereux ».
J'ai pour ma part conservé la revue Dialogue n° 165. En regard d'arrêts et de jugements rendus au cours de ces dernières années, par la cour d'appel de Versailles et le tribunal pour enfant de Nanterre, cette revue Dialogue me permet d'affirmer qu'un bon juge ou bourreau pour enfant a pour fonction de définir un cadre dépourvu de bases légales et morales, un cadre qui s'impose à tous, qui plonge les enfants dans une sorte de chienlit éducative et qui intime aux parents de se taire ; tout parent qui s'aviserait de « critiquer », de « faire appel » ou de « rouspéter » sera estampillé « défaillant » ou « toxique », voire même « indigne » ou tout simplement « débile ». En ce sens, j'approuve tout à fait l'un des slogans que j'ai aperçu, ce 10 septembre, à Limeil-Brévannes : « La violence, si tu te tais, elle te tue, mais si tu parles, la justice t'achève », un joli clin d'oeil aux services de communication du Conseil régional de l'Ile-de-France ainsi qu'à des placards affichés dans ses commissariats de police.
J'ai toujours été bavard, prolixe, particulièrement sur Internet, et lorsque j'en avais l'opportunité, auprès de journalistes ainsi que devant des caméras. Au cours des années passés, j'ai souvent pu constater que cette forme de justice, pronfondément inique, rendu par le juge pour enfant ou pour créatures inférieures, ne supporte pas la médiatisation. En retour, les juges se sont fréquemment dévoilés d'autant plus virulents, et très couards ; ils ne m'ont toujours répondu qu'à huis clos, en chambre dite du conseil. « C'est une affaire d'ordre privé », reprendra le ministère de la justice.
En 2005, j'avais bien compris que la Dass et ces magistrats allaient tolérer, ordonner, encourager et même faire n'importe quoi. A l'époque, je protestais et contestais déjà beaucoup ; pour me répondre, les juges ont alors convié un expert psychiatre, un « précieux atout ». En octobre dernier, à Blois, à l'occasion des rendez-vous de l'Histoire, un modérateur m'a confirmé qu'un peu partout à travers le monde, les critiques ou les opposants se font fréquemment traiter de fous par le pouvoir en place... La réaction du juge pour enfant et de la cour d'appel de Versailles n'avait donc rien d'exceptionnel ni de bien inattendu. A défaut d'autres moyens pour me faire taire, un avis psychiatrique tendait à me discréditer, aurait pu me dissuader de bavarder et de publier. Ces palabres indignes d'une femme de ménage ne me touchent pas, ce que j'ai bien fait comprendre, en avril dernier, à la chambre des mineurs de la cour d'appel de Versailles. Peu avant avril dernier, probablement moins naïve ou moins téméraire, une chambre civile de la cour d'appel de Versailles reconnaissait tout de même qu'elle avait perçu une « forte animosité » à mon encontre ; c'est toujours ça.
Beaucoup plus tard, j'apprennais qu'en 2005, l'association OSE France ou l'Oeuvre de Secours aux Enfants faisait face à de sérieuses difficultés financières. A la même période, l'OSE France, ces experts du sauvetage et de la mémoire ou de la Shoah, essuyait déjà le scandale des tomes perdus de la BNF... Je pense qu'en s'efforçant de me discréditer alors que je critiquais déjà beaucoup la Dass, l'OSE, ces professionnels et juges se sont d'abord épargné un gros désastre financier et social (leurs emplois). Mais ces mêmes professionnels et juges martelleront bien évidemment qu'ils ont toujours tout fait et ordonné dans l'intérêt de ma fille aînée, pour sauver son « psychisme ». « Un juge peut-il bafouer les lois ? » Oui, et la morale aussi
Ce 10 septembre, j'ai été surpris par les discours de monsieur Jacques Rousseau. Il disait représenter un collectif d'associations, des associations que je connais pour les avoir beaucoup lues ou étudiées. J'ai le sentiment que ces associations et moi, nous sommes « en froid » ; dans mes propres affaires, ce même collectif serait susceptible de soutenir le pasteur d'Uhrwiller, une femme... Claire Davidson et le juge Anne Valentini sont aussi des femmes. Lise Geraud-Charvet, magistrat, et Magalie Bodon-Bruzel, psychiatre, sont également des femmes. Je pourrais en nommer beaucoup ; selon mes sources, les femmes sont surreprésentées dans le secteur de la Dass ou de la protection de l'enfance, un constat qui peut cependant être nuancé, elles sont souvent chaperonnées par des hommes.
« La justice sacrifie les innocents et protège le bourreau »... Qui sont les bourreaux, dans ces histoires ? Lorsqu'on lit L'Enfant d'Abord et Maurice Berger, pédo-psychiatre, ce ne seraient que très rarement les femmes et systématiquement les hommes. Pour s'en convaincre, il suffit de feuilleter le livre noir de la garde alternée, un contenu qui m'avait inspiré un article peu avant sa parution, en octobre 2005, le Code noir. Claire Davidson, une femme, et le juge pour enfant de Paris vont pouvoir persister et marteller que la mère d'Arthur et de Valentine ainsi que leurs soutiens sont tous très « toxiques », avançant pour preuve qu'ils contestent, protestent, font appel et osent même médiatiser cette histoire, celle de Valentine et Arthur
Début 2005, la chambre des mineurs de la cour d'appel de versailles affirmait que pour son équilibre, Justine devait maintenir des relations avec sa famille maternelle ainsi qu'avec sa famille paternelle. Plus tard, Claire Davidson affirmait que j'empêchais Justine d'aimer les femmes de sa famille maternelle. Aujourd'hui et depuis longtemps déjà, Justine n'a plus la moindre relation avec moi qui suis son père. Je pense que c'est assez représentatif, caricatural même, de ce fabuleux travail dont sont capables ces professionnels de la Dass, de l'Aide Sociale à l'Enfance ou de la Protection de l'Enfance française. « Ne l'écoutez pas, M. KANT est débile, dangereux, indigne », se risqueront les magistrats du coin ?
On baigne dans l'irrationnel. La mère de Valentine et d'Arthur serait-elle moins neutre, plus « toxique » et moins digne de confiance que le pasteur d'Urwiller ? On s'apperçoit surtout qu'effectivement, avec les mêmes idéologies, théories ou « psychologues », les juges pour enfant font la pluie et le beau temps, choisissant un parti, de façon discrétionnaire, puis dénigrant et écartant l'autre des enfants. J'ai tout de même le sentiment que le père de Valentine et d'Arthur pourrait avoir des explications à nous fournir ; pourrons nous les entendre ? Le couple Clementz a toujours refusé de s'exprimer en public, de répondre à des journalistes ; DSK n'a pas parlé non plus, on se demande encore ce qui s'est passé, selon lui, dans la suite du Sofitel, à NYC... « mais rien du tout, le parquet a d'ailleurs abandonné les poursuites. »
Si mon intuition est bonne, si la Dass de Paris travaille comme Nanterre et l'OSE France, d'ici quelques temps, Arthur et Valentine seront finalement « placés », puis pour le juge ou bourreau des enfant de Paris, leur parole sera enfin « authentique » lorsqu'ils accepteront d'être confiés à leur père. Les juges et ces gorets du social savent « réformer » la pensée, comme des chinois ont pu le faire, dans les années 50 (lire
De pressions en pressions, sur les enfants comme sur les parents, les enfants finissent par se détacher de leur milieu de vie, parfois par y renoncer, puis à se résigner à être « placés » ou « déplacés », confiés à quelqu'un d'autre. « Le modèle de toute séparation est celui de la naissance, une renaissance, ailleurs, loin du précédent milieu de vie, jugé toxique », pourrait expliquer Richard Josefsberg, « l’agrippement est à la base à la fois de l’attachement et de la séparation, une fois établie la confiance de l’enfant, la séparation définitive de la mère a lieu soit du fait de la mère soit du fait de l’enfant », poursuivra-t-il.
Mais pour le moment, Valentine et Arthur ne sont pas encore « placés » et refusent encore ces mesures dont ils sont supposés « profiter », bientôt. Je les soutiens dans ce refus. Même si je suis loin de partager les opinions de l'association ARVA, ce 10 septembre, à Limeil-Brévannes, j'ai rempli un bulletin d'adhésion, il sera fondu parmi les autres.
Un arrêt du 18 mai 2005 rappellait le droit des mineurs capables de discernement d'être entendus dans toutes les procédures qui les concernent. Un juge pour enfant peut cependant écarter l'audition d'un mineur, surtout si les palabres de psychologues ou de charlatants tendent à le discréditer. Les juges pour enfant de Nanterre et de Versailles s'éclaireront d'abord auprès de Claire Davidson. En septembre 2008, un juge de Nanterre a réclamé l'audition d'un dalmatien, il avait fait rire la France entière...
Je pense cependant que Arthur et Valentine ont été assez bien reçus par le juge pour enfant de Paris. Ces enfants refusent leur « placement » et l'idée que leur mère pourrait être « toxique », ils refusent également des relations avec leur père. Arthur et Valentine refusent tout simplement le « cadre éducatif » que souhaite leurs imposer le juge pour enfant et Claire Davidson (lire ou relire la revue Dialogue n° 165, « L'autorité parentale et les mutations de l'ordre familial »).
Jusqu'à la mi-2005, ma fille Justine souhaitait rester ou rentrer à la maison. Le juge pour enfant de Nanterre estimait qu'elle était alors inaudible. J'ai foutu le Conseil général du Val d'Oise dans la merde, l'OSE France dans la merde, le juge pour enfant de Nanterre dans la merde... puis les pressions de ces professionnels sur ma fille Justine se sont faites de plus en plus intenses (relire Bulles n°40, la réfome de la pensée, et Richard Josefsberg, « internats et séparations »), pour qu'elle accepte enfin un « placement » en Alsace, dans sa famille maternelle. Tout a basculé en octobre 2005, je venais d'écrire un peu partout, à l'Elysée, à l'IGAS, etc... puis tous mes droits de visite et de correspondance avec ma fille Justine ont rapidement été suspendus. Un peu plus tard, les juges de Versailles ont affirmé que c'était à ma fille de 13 ans (comme Arthur, aujourd'hui) de décider quand elle renouerait avec nous, sa famille naturelle, celle de son père (la mère de Justine est décédée en 1999). Je n'ai pas eu la moindre nouvelle de mon ainée, pendant bien plus de deux ans.
Début 2008, j'ai appris que Justine souhaitait renouer avec nous. Elle avait déjà 15 ans. Les juges ont refusé de l'entendre. J'ai engagé une procédure de prise à parti contre Xavier Serrier, juge pour enfant alors saisi. Il a refusé d'entendre Justine. J'ai fait appel ainsi qu'un référé suspension. La cour d'appel a refusé d'entendre Justine et a blanchi Xavier Serrier (dans la foulée, la cour d'appel et ce juge ont cependant perdu contre moi, en cassation, une première fois). C'était très virulent... mais au cour de l'été 2009, Justine avait tout de même pu passer deux mois à la maison. Elle avait 16 ans. Peu après, Justine refusait à nouveau des relations avec nous et les juges l'ont à nouveau et très volontiers entendue... J'ai alors fini par me faire une raison, Justine allait rester « placée » jusqu'à sa majorité, comme l'avait « recommandé » l'ASE des Hauts de Seine, dès début 2003, puis comme l'avaient exigé ensuite le juge pour enfant de Nanterre et la cour d'appel de Versailles.
Tant que la parole ou les désirs d'un enfant s'opposent au « cadre éducatif » ou à la volonté du juge pour enfant, l'enfant est inaudible, son audition est écartée par les juges, ou les juges n'en conserveront que ce qui est susceptible d'accabler leur(s) parent(s), par exemple, des comportements ou des propos « interprétables » ou dont pourront s'emparer des psychologues, des psychiatres ou des travailleurs sociaux... En novembre 2005, au cours d'une audience très dure, Justine, 12 ans, n'avait pas dit un mot, n'avait qu'un peu pleuré ; le juge pour enfant Thierry Reveneau a « interprété » ou lu dans ses larmes comme d'autres auraient pu lire dans des entrailles d'un poulet : « les larmes de l'enfant démontrent que... » Tous mes droits ont été suspendus. Quoi et comment répondre à ce genre d'allégations, à pareils tyrans ou gurus dans la toute puissance ?
Arthur et Valentine vont devoir se faire une raison, à leur tour, ils ne seront pas entendus tant qu'ils s'opposeront à la volonté du juge pour enfant de Paris ? Sébastien, le petit fils de Mireille Millet n'a pas été entendu non plus. Macha, la fille de Natalia Zakharova, n'a, à mon avis, pas été entendue non plus, on peut le lire dans un arrêt de rejet rendu par la CEDH.
Ce 10 septembre, certains ont parlé du Défenseur des enfants, du Défenseur des Droits également. Je n'ai pas pris la peine d'écrire au second. J'ai parfois écrit au premier. Il y a longtemps, j'ai également écrit à la HALDE ainsi qu'à la MIVILUDES. Je pense que seule la MIVILUDES pourrait m'avoir assez bien lu et compris, elle m'a répondu, en 2006, il me semble.
Ces services n'interviennent pas lorsque le juge ou bourreau pour enfant est saisi, ne réfléchissent ou ne répondent parfois même pas. Le juge pour enfant est souverain, comme dieu tout puissant ; on ne peut que faire appel de ses décisions, user les voies de recours prévues par la loi, mais lorsqu'on fait appel, on ne fera que démontrer à ce même tout puissant ou bourreau pour enfant qu'on s'oppose à sa volonté, au cadre ou la chienlit éducative qu'il impose...
En novembre dernier, une réponse du Défenseur des Enfants me laissait consterné ; je ne suis pas sur qu'il m'ait lu avant de me répondre. Puis en janvier 2011, alors que j'avais fait appel, je faisais désavouer deux juges des tutelles, le parquet se prennait encore un revers et une étude de notaire se prennait une bonne déculottée ; je n'ai pas pris la peine d'en faire part ou de répondre à nouveau au Défenseur des Enfants, ni d'ailleurs à d'autres de ces obéissants ou soumis services non plus.
Il y a peu, ces services et autorités ont tous pu souffler ; mon aînée est aujourd'hui majeure. Cette semaine, j'ai cependant fait appel de l'ultime et dernière décision rendue par le juge pour enfant de Nanterre. Après cela seulement, et lorsque la chambre des mineurs m'aura une fois de plus débouté, ce marathon judiciaire sera enfin derrière moi et tout le monde sera tranquille ?
Pierre Pedron, Yvon Tallec, l'Enfant d'Abord ou Maurice Berger, cet extrémiste pas très rigoureux... ce monde de la protection de l'enfance est assez petit, nous retrouvons très souvent les mêmes acteurs, contributeurs ou intervennants. Avec ces noms, en farfouillant sur la toile, j'ai remis la main sur le rapport de la commission Varinard et ses propositions de réforme de l'ordonnance de février 45. Rachida Dati soutenait ce projet de réforme, elle affirmait alors que la prison dès 12 ans relève du « bon sens », suscitant une polémique assez vive, quelques juges pour enfants, des militants de gauche, DEI-France ainsi que le Défenseur des enfants devraient s'en souvenir.
Ce 10 septembre, à Limeil-Brevannes, on nous a lu une lettre que Arthur, 13 ans, a envoyé à Nicolas Sarkozy, Président de cette République. Arthur lui exposait sa déception, ses désillusions, constatant déjà que les idéaux de justice présentés et décrits au collège ne prévalent plus lorsque le juge pour enfant est saisi. Arthur a déjà pu comprendre qu'il est largement en âge d'être condamné, au pénal, et bien pu percevoir aussi qu'il ne sera pas entendu par les juges... où prévaudront les opinions toutes particulières de Madame Claire Davidson, « psychologue ». J'ai aujourd'hui 43 ans ; récement encore, la cour d'appel de Versailles a une fois de plus refusé de m'entendre, avançant, comme depuis 2005, les palabres du charlatant Davidson. Je doute fort que les juges ou bourreaux pour enfants de Paris entendront d'avantage ou bien différement Athur, 13 ans. Mais attendons la suite, ainsi qu'une éventuelle réponse de l'Elysée à la lettre de Arthur...
Le Défenseur des enfants produisait également des rapports et des avis, parfois des condensés d'opinions, des contenus pas toujours convainquants et tous manifestement inutiles lorsque le bourreau pour enfant est saisi. J'ai souvent évoqué son rapport annuel de 2005, ce que j'en retenais et que je rappellerais récemment encore est aujourd'hui susceptible d'embarasser l'association ARVA, des adultes qui soutiennent Valentine et Arthur, de la page 99 : « Il arrive que les adultes se cachent derrière les voeux exprimés par l’enfant pour échapper à leurs propres responsabilités ou pour faire valoir leur propre point de vue ».
Mais je ne pense pas que ARVA ait à échapper à de quelconques responsabilités ; je n'en dirais pas tant de certains professionnels de la Dass... Quand au point de vue de cette même association, ARVA, j'ai le sentiment qu'il est assez conforme à celui encore promu et enseigné dans nos collèges, ainsi qu'assez conforme également à celui promu par de nombreux spécialistes en matière de droit de la famille et de l'enfant ; et j'en connais donc d'autres, des professionnels moins sérieux ou plus illuminés, qui n'hésiteront pas à lire dans des larmes des enfants pour faire valloir n'importe quoi !
Dans sa présentation, ARVA est suffisamment explicite, avançant d'abord que « Les avis d’Arthur et Valentine ne sont pas pris en compte alors qu’à 13 et 10 ans ils sont capables de discernement ». De nombreux avocats pourraient soutenir un discours assez similaire puis tenter ensuite de le faire valloir dans un prétoire ; des avocats de Mme Bettencourt, la mère, n'en font pas moins ni d'avantage lorsqu'ils dénoncent des irrégularités et contestent des expertises ou leur validité.
Mais comme exposé plus haut, personne ne devrait jamais critiquer le cadre ou la chienlit éducative souhaité et imposé par le juge pour enfant, c'est également valable pour tout représentant, avocat ou cafard pour enfant. Je pense que, avec les magistrats de mon secteur, Maître Delphine Roughol a assez bien défini le rôle ou le parfait profil de l'avocat pour enfant. Certains cafards sont noirs et la plupart ont la réputation de fuir la lumière, était-il utile de le rappeler ?
« Un juge peut-il bafouer les lois ? » Bien sûr ! Ce bourreau pour mineurs ou créatures inférieures dispose d'abord d'un concept mou qui permet voire même encourage toutes sortes de pratiques et dérives, un concept qui pousse aux naufrages : « l'intérêt de l'enfant », son « intérêt supérieur ». La Dass et ce juge disposent encore d'autres outils de mystification, par exemple, le « dossier d'assistance éducative » : « strictement confidentiel », « dans l'intérêt de l'enfant », bien évidemment. La Dass et ce juge disposent également d'une bonne caution : le cafard d'enfant, sa contribution à l'histoire assurera aux plus naïfs que les droits du « mineur protégé » sont systématiquement ou ont toujours été respectés. Au cours de toutes ces années de procédures qui concernaient ma fille aînée, Maître Delphine Roughol n'a jamais critiqué ou contesté la moindre décision du juge pour enfant de Nanterre, ni de la cour d'appel, ça démontre et prouve que les droits de l'enfant ont toujours été respectés...
Il me semble que l'avocat qui représente Arthur et Valentine a également contesté les décisions du juge pour enfant de Paris. Il ne fera certainement pas carrière dans ce milieu, la protection de l'enfance, ces juges pour mineurs et la Dass ne supportent pas les critiques... et vous le rendent bien, il n'y a qu'à lire les jugements de Nanterre et les arrêts de Versailles pour le constater, j'en ai pris plein la tronche, d'abord pour avoir été beaucoup trop « bavard », dans ces prétoires comme en public ou auprès d'autres autorités de ce même pays, la France ou, plus précisément, la Moldavie française. Lorsque la Dass s'occupe si mal d'une famille ou de ses enfants, il faut toujours tout accepter, ne jamais se plaindre ni surtout parler de quoi que ce soit, « ça porterait préjudice aux mineurs concernés », poursuivront les magistrats et les travailleurs sociaux.
Je pense que pour « plaire à la Cour », l'avocat de Valentine et Arthur devra plutôt s'inspirer des stratégies ou des maladresses de Maître Roughol. Il devra se tourner résolument vers l'avenir et ce fabuleux cadre défini pour eux, par le juge pour enfant de Paris. Il devra toujours sourir, saluer et tendre la main à tout le monde, bien maitriser aussi la procédure, surtout celle du renvoi d'audiences aux calendes grecques ainsi que les solutions pour faire capoter les référés. Après un ou deux renvois à la cour d'appel, la Dass de Paris aura enfin pu trouver un nouveau foyer ou des familles d'accueil pour séparer Valentine et Arthur ? Leur avocat devra évidement aussi contribuer à noircir le tableau de leur mère, à édulcorer celui de la Dass, et, si nécessaire, plaider même en faveur du juge pour enfant... ce qui n'est pas très compliqué. La cour d'appel passera systématiquement l'éponge, balayera sous le tapis, fera toujours tout pour emplatrer mieux le « cadre éducatif » qui s'impose à tous.
En 2009, la cour d'appel de Versailles a rendu un arrêt qui pourrait plaire à plus d'un terroriste, à nos politiciens les plus corrompus et à nos ex-magistrats au passé trouble : ponctuellement, il ne pouvait être fait aucun reproche à Maître Roughol, la justice en a conclu que rien ne pouvait donc mettre en doute ses compétences et sa probité. Cet arrêt a cependant été cassé et annulé... et aujourd'hui, le temps ayant fait son oeuvre, toutes ces procédures sont « sans objet », bâclées et bouclées. Entre 2008 et 2010, la cour d'appel de Versailles en a également rendu de bien bonnes en faveur du juge pour enfant Xavier Serrier. Quelle était au juste la mission de tous ces professionnels, « sauver » ou « protéger » ma fille Justine ? Depuis 2003, j'ai d'avantage perçu un milieu constamment hostile à l'enfance et à la famille, ainsi que des professionnels principalement prompts à s'auto-protéger, des spécialistes oeuvrant coûte que coûte à la préservation de leur pré-carré.
Je ne crois pas que ce milieu, cette Dass et pareils prétoires, puisse être apte à faire beaucoup mieux « en faveur » de Valentine et Arthur. De mon point de vue, ce milieu ne pourrait aller et errer à nouveau que de naufrages en fiascos... En tous cas, c'est après avoir assez bien étudié et même longuement éprouvé ce même milieu, des pédo-criminels et des complices, que, ce 10 septembre, à Limeil-Brévannes, j'ai adhéré à l'association ARVA en les assurant de mon soutien, surtout lorqu'ils s'opposent au « placement » de ces deux enfants, à la séparation de la fratrie et à leur séparation d'avec leur mère.
Pages: 1 · 2
567... ça n'en fini plus
123... j'ai pris mes premiers cours de salsa. 567... je pense avoir hacké, peut-être détourné un contenu ou piraté un petit dossier du parquet de Nanterre. Pour la bachata, c'est différent, beaucoup plus simple lorsqu'on débute, plus similaire à de la marche ou de la glisse : une pointe à 4 ainsi qu'une pointe à 8, en faisant tous les pas.
A suivre, comme expliqué plus bas... Je n'ai plus grand chose à ajouter encore dans ce billet dans lequel je souhaite en profiter pour taquiner ou railler également publiquement le cabinet d'avocats Cordelier associés, Paris 7e. Il y a peu, il m'est parvenu un exemplaire d'une « requête » signée par Maître Agathe Cordelier. J'ai d'abord eu l'impression de lire une débutante. Depuis relectures, j'ai plus le sentiment que Maître Cordelier demande à être déniaisée, en tous cas, ce sera fait, bientôt. Il n'est plus question pour moi de me laisser pourrir la vie ou des « dossiers » par ces créatures, des cafards du social ou de la famille qui sévissent près ces prétoires, Nanterre, Versailles, des cafards toujours très vifs et alertes en chambres dites du conseil, mais à chaque fois absents ou silencieux, parfaitement aphones, lorsqu'on s'efforce d'éclairer mieux ces scènes ou milieux.
Sur la droite, si j'ai pu bien lire sur cette photo que je n'avais pas le droit de prendre, une note du parquet de Nanterre au commissaire du coin. Je suis fâché, vraiment très fâché contre cette « justice », et c'est à mon avis motivé ; j'ai le sentiment que ce mardi 26 juillet, la police l'a assez bien perçu. Sans éléments pertinents en main, notament du papier régurgité par cette Administration, on ne peut rien publier, ni d'ailleurs répliquer et encore moins « faire appel ». J'ai donc pris cette photo, très discretement, à la volée, au cours d'un entretien avec la police. A la demande de Nanterre, elle me notifiait une décision du parquet tout en me refusant toute copie, y compris la copie du PV de notification. Pour bien marquer mon mécontentement, j'ai fini par refuser de signer ce PV, ce qui a été duement consigné sous mes yeux. Pour obtenir une copie de ce PV, la police m'a suggéré d'écrire au parquet. Mais je connais ce parquet, il ne me répond plus, toutes mes correspondances à son attention au sujet de plaintes portées entre 2004 et 2005 sont restées lettres mortes. A l'époque, je n'ai eu qu'une lettre de la section financière du parquet de Nanterre, elle m'informait que l'une de mes plaintes avait été classée sans suite, « régularisée d'office » il me semble ; cinq ans plus tard, le vent finissait par tourner, je mouchais tout de même le juge des tutelles et l'étude d'un notaire... car avec du papier entre les mains, des écrits de toute nature, on peut en effet obtenir parfois des résultats assez originaux. |
La photo est plus grande |
Cette note du procureur au commissaire du coin semble avoir été signée par Monsieur Ivon Tallec, elle parait en tous cas porter son tampon. J'ai fait quelques recherches, sur Internet. Selon Legifrance, Monsieur Tallec exerce les fonctions de substitut du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Nanterre. J'ai aussi trouvé quelques coupons de presse instructifs sur le site du Parisien et du Point, peut-être aussi les références d'un article du Canard enchainé n° 4667 du 7 avril 2010... ainsi qu'un rapport à l'Assemblée nationale, autant d'éléments qui pourraient m'être utiles par la suite. J'ai encore lu d'autres choses, beaucoup plus improbables, mais qui m'ont rappelé des ouvrages tel que celui de Pascal Vivet et Samuel Luret, L'enfant proie, un pamphlet très critique envers la justice et la protection de l'enfance.
Il y a quelques temps, Nicolas Sarkozy nous lançait que « en France, la justice est la même pour tous, ceux d'en haut et ceux d'en bas ». J'ai toujours autant de doutes à ce sujet précis. Dans ce pays, la justice pour les pairs, les amis et les princes est elle similaire à celle rendue pour de simples citoyens ? Une réponse suffisamment pertinente pourrait bientôt suivre. En effet, Albert II et Charlène de Monaco viennent de déposer une plainte à Nanterre, précisément... L'Express peut déjà souffler, il est assez probable que Nanterre ne traitera jamais cette plainte si elle a été portée directement auprès le proc', près ces prétoires ? Le prince Albert ayant des moyens dont je ne dispose pas, il est plus certain que l'Express aura l'opportunité de s'expliquer sous peu, dans le cadre d'une procédure après citation directe.
Entre début 2009 et début 2011, je me suis beaucoup plaint de diverses publications, sur Internet, des écrits souvent farfelus, fréquemment diffamatoires, parfois aussi injurieux et calomnieux, des publications ayant également souvent et pendant longtemps porté atteinte à ma vie privée. Ce mardi, par l'intermédiaire de la police, le parquet de Nanterre m'a répondu qu'il ne prennait pas « l'initiative des poursuites en cas de diffamation »... et que aujourd'hui, « les faits sont prescrit ». Ca m'a fâché et ça m'énerve encore. Toujours par l'intermédiaire de la police du coin, j'ai répondu au parquet de Nanterre que, dernièrement, lorsque je déposais une ultime plainte, début 2011, j'avais pris l'initiative et qu'alors, les faits n'étaient pas prescrits. A l'époque, j'en avais discuté avec les juristes de mon assureur, ma démarche leurs semblait alors tout à fait naturelle. Nanterre a donc tout classé ou foiré, comme d'habitude avec mes plaintes.
Fin 2009, alors que je connaissais déjà assez bien les pratiques ou usages des prétoires du coin, Nanterre et sa cour d'appel, Versailles, je finissais par porter une autre plainte encore, mais alors auprès du proc' près le palais de justice de Paris. Plus tard et n'ayant reçu aucune nouvelle, j'avais écrit au Garde des Sceaux. Plus tard encore, le parquet de Paris m'informait que ma plainte avait été transmise à Nanterre... Cette plainte est aujourd'hui très certainement également prescrite !
De mon point de vue et faute d'autres explications, ce genre de tribunaux classent, foirent ou éparpillent à peu près tout ce qu'on leurs envoie. Puis lorsque tout part en vrille, lorsque ça pue un peu trop le cadavre, la grosse boulette, le naufrage judiciaire ou le roussis pour les copains, les pairs ou ces compères, ces prétoires convoquent un psychiatre et vous font passer pour dangereux. Je parle et je publie, je peux être prolyxe, et d'un certain point de vue, je peux donc être d'autant plus dangereux ; à mon avis, le fonctionnaire ou juge pour enfant Xavier Serrier sera parmi les premiers à confirmer, je suis beaucoup trop bavard, donc vraiment dangereux
En mai 2010, je déposais encore une autre plainte, dans ce même secteur, en raison de dénonciations calomnieuses. Je ne pense pas qu'elle soit déjà prescrite. Mais d'ici quelques temps, comme conformément à des usages ou des coutumes, je constaterais qu'il n'y aura pas eu de suite. Toutes ces pages pourront alors être tournées et chacun pourra souffler...
Il me semble que l'idée que je pouvais être très dangereux avait d'abord germée dans l'esprit du juge pour enfant Anne Valentini, ainsi que dans les esprits des travailleurs sociaux de l'OSE France. Je pense que la première trône toujours à Nanterre et qu'aujourd'hui, elle s'abstiendrait de cancaner et d'affirmer qu'elle n'a jamais été désavouée par la cour d'appel de Versailles. Quant aux seconds, ils n'appréciaient pas trop non plus la grande facilité avec laquelle je pouvais déjà accéder à certains dossiers pour en extraire des pièces puis les étaler en ce qui serait justice ainsi qu'en public. Récemment encore, le magistrat Lise Geraud-Charvet était encore extrèmement ennuyé par l'une de ces pièces que j'avais pu me procurer aux alentours de janvier 2005, une pièce plutôt compromettante pour les travailleurs sociaux et quelques magistrats de ce secteur, Nanterre et sa cour d'appel de Versailles.
C'est le juge pour enfant Anne Valentini qui avait très lourdement insistée pour qu'un psychiatre soit missionné et rende une opinion qui lui convienne ; ce magistrat est un expert en ces matières, la justice et la psychiatrie, je crois que c'est indiscutable, mais je la qualife plutôt de crevure. J'attends toujours que quelques professionnels de ces sphères, le social, la justice ainsi que la psychiatrie commentent ce billet précis : Un cas clinique, histoire d'en rire. Plus récemment, plutôt que de se risquer à quelques commentaires à ces sujets, des rapports et opinions dont n'auraient pas eu à pâlir la justice et la psychiatrie sous Brejnev, un collège de la cour d'appel de Versailles présidé par le juge Lise Geraud-Charvet s'est encore contenté de renvoyer d'abord à l'autorité de choses très anciennes et viciées (on parle plutôt de « l'autorité de choses jugés » dans le jargon de ces mêmes professionnels).
Si l'interprétation de l'arrêt Civ. 1re, 20 oct. 2010, FS-P+B+I, n° 09-68.141 par Dalloz est correcte, « les juges du second degré saisis de l'appel d'un jugement en assistance éducative auraient pourtant du apprécier les faits en tenant compte de ceux survenus postérieurement à la décision attaquée. » Depuis juin 2008 (la décision attaquée), la cour d'appel de Versailles avait été cassé deux fois et Xavier Serrier, juge pour enfant attaqué par ma plume et mes procédures, avait perdu contre moi, en cassation. D'autre part, le juge des tutelles d'Antony avait aussi été désavoué (doublement), début 2011. Tout ce qui était ancien avait été cassé, désavoué et embarasse toujours autant tous ces juges et professionnels de la Dass. Comment, dans ce contexte, le magistrat Lise Geraud-Charvet a-t-il pu récement approuver un arrêt de cour d'appel à nouveau motivé d'abord par des choses anciennes et viciées, en balayant de nombreux faits et les éléments que j'avais pu rassembler depuis toutes ces années ? Il faut que j'en rediscute encore avec mon avocat à la cour de cassation.
En janvier denier, ayant probablement un bien meilleur flair que la chambre des mineurs, une chambre civile de la cour d'appel de Versailles rendait pour sa part un arrêt qui me donnait à peu près satisfaction. D'un point de vue stratégique, je n'avais que peu d'intéret à me pourvoir en cassation. Le ministère public aurait pu déclarer un pourvoi, mais il semble s'être abstenu. L'étude de Maître Charles Halter semble s'être abstenue, elle aussi. Depuis quelques temps, cet arrêt de chambre civile du 6 janvier 2011 est à mon avis définitif, il faut que j'en reparle aussi avec mon avocat à la cour de cassation. L'objet métallique qu'on peut voir, sur la photo ci-desous, est un entonnoir, un éteignoir de la raison ; le premier avril dernier, je le remettais sur ma tête pour railler encore la magistrature du coin et surtout la chambre des mineurs de la cour d'appel de Versailles
Au premier plan, un arrêt du 6 janvier 2011 qui infirmait une décision du juge des tutelles
En mars dernier, à l'audience auprès de la chambre des mineurs, j'avais bien perçu que le contenu d'une de mes dernières correspondances au juge pour enfant de Nanterre avait plongé le juge Lise Geraud-Charvet, présidente de la chambre des mineurs, dans un très profond embarras. Ce document et sa pièce jointe doivent encore être dans le dossier du juge pour enfant si la cour d'appel de Versailles et le TGI de Nanterre n'ont pas fini par tout éparpiller (c'est fréquent, par ici, en Moldavie Française). Cette correspondance au juge pour enfant figurait encore au dossier « d'assistance éducative » de mon aînée lorsque la chambre des mineurs était saisie, début mars dernier.
Cette lettre et sa pièce jointe répondaient au jugement rendu par Monsieur Thierry Baranger, le juge pour enfant de Nanterre, en juillet 2010. Le juge, complice ou bourreau pour enfant considérait alors que mon aînée n'avait aucun problème de santé, pas de vertiges, rien qui justifierait le moindre examen ni aucun traitement particulier. Je pense que cette réalité que je décrivais, en octobre 2010, aura suffit pour qu'au printemps dernier, la cour d'appel de Versailles trouve une ultime pirouette afin de ne plus avoir à se prononcer sur le fond de cette affaire, « le placement » ou « le sauvetage » de ma fille ainée : un problème de santé d'un enfant sert à blanchir ces pros de la Dass, et c'est tout, la santé du mineur « assisté », les juges s'en contre foutent. Après m'avoir encore noirci en « révisant » ou « revisitant » l'affaire, la Cour a donc avancé que mon appel était devenu « sans objet ». Je pense que une fois de plus, les juges de la cour d'appel ont oublié quelle était leur mission : ils devaient protéger les enfants, et non des tiers, des professionnels de la justice ainsi que de la protection de l'enfance.
Dans l'arrêt rendu ce 1er avril 2011, j'aurai souhaité que la chambre des mineurs se prononce sur ces défauts de soins dont ma fille ainée a souffert, depuis 2004. Mais il y a donc eu cette ultime pirouette juridique ou de banal procédurier pour épargner à la Cour, à la chambre des mineurs, d'avoir à se prononcer sur le fond... ainsi qu'encore ces rapports de « psy » pour me discréditer, pour justifier toutes ces mesures, pour « motiver mieux » ce « placement durable » de ma fille aînée, jusqu'à sa majorité. Ca me scandalise, comme depuis des années déjà.
En janvier 2011, une chambre civile de la cour d'appel de Versailles finissait donc par reconnaitres qu'elle avait perçu une « forte animosité » à mon encontre ; que personne ne s'en étonne plus, je suis d'abord trop bavard L'OSE France est une association qui oeuvre historiquement en faveur de populations juives défavorisées (ou pourchassées). L'association oeuvre dans le secteur de la protection de l'enfance mais également dans d'autres domaines, tel que celui de la Mémoire, celle aujourd'hui si chère à tous ceux qui nous gouvernent. Cette association, l'Oeuvre de Secours aux Enfants, ne peut que connaitre le programme Aktion T4, mis en oeuvre par le Reich, à partir de 39. Pour certains historiens, Aktion T4 a jeté les bases pour l'éradication systématique des juifs d'Allemagne et d'Europe, pour la Shoah. Aktion T4 a consisté en l'assassinat systématique d'au moins 200 000 à 275 000 aliénés et handicapés pendant la période du nazisme ; une petite dépression pouvait suffir pour être gazé. Plus tard, les juifs handicapés, présentant des déficiences ou des malformations, allaient compter parmi les premiers éliminés... D'accord, ni mon aînée, ni moi, ni aucun membre de ma famille n'avons été « éliminé », nous avons juste été « spolié », ce n'est donc pas très grave
« Pas de révision ! » ® Olivier Echappe, janvier 2010
En mars 2011, je me présentais auprès de la la chambre des mineurs suite à la cassation et à l'annulation de l'arrêt rendu le 22 mai 2009 par la chambre des mineurs de cette même cour d'appel de Versailles. Cette cassation, intervenue fin octobre 2010, « replaçait les parties en l'état du jugement du 30 juin 2008 », un jugement rendu par Monsieur Xavier Serrier, juge pour enfant à Nanterre. J'ai déclaré un ultime pourvoi, je pense avoir des moyens pour faire casser aussi l'arrêt rendu le 1er avril dernier, par la chambre des mineurs ; on verra ce qui suivra, d'ici 6 mois à 2 ans.
L'arrêt rendu en octobre 2010 cassait déjà tous les arrêts rendus par la chambre des mineurs de Versailles, depuis le printemps 2006 et jusqu'à janvier 2010 au moins. Sur cette même période, je n'ai pas chômé. J'ai tout de même pu contraindre ou apprendre au juge Olivier Echappe à compter jusqu'à deux, à lire correctement l'état civil de mes enfants, ainsi qu'à faire comprendre à ce même juge que certains membres de notre famille étaient décédés... Je crois qu'on peut assez raisonnablement utiliser le mot « autiste » lorsqu'on parle de tels juges. En retour, ces mêmes juges et leurs psychiatres ou psychologues martelleront bien évidemment et pendant longtemps encore que je serais « dans le déni »
Cette photo du 26 juillet est en effet | Quelques secondes d'inattention et un bon appareil photo, discret, furtif... clic ! Je sors souvent avec un petit compact dans la poche ou entre mes mains, les prises de notes sont instantanées et le plus souvent de qualité. Hacker la justice, c'est facile ; j'ai déjà plusieurs années de pratique derrière moi. Les compétences en lock picking et en audit de réseaux ou de systèmes informatiques ne sont pas requises, une bonne expérience en social engineering assortie de quelques compétences en droit peut se révéler amplement suffisante. En janvier 2005, j'avais déjà beaucoup hacké à Nanterre ainsi que dans le secteur de Taverny, dans le Val d'Oise. Le résultat était alors déjà insuportable pour Nanterre, pour le Conseil général du Val d'Oise ainsi que pour les travailleurs sociaux de l'OSE France. Pour s'en convaincre, lire ou relire Une main courante, un document « confidentiel ». |
Je me suis en effet aussi beaucoup servi des outils mis à la disposition par cette même Administration, depuis ses fichiers de mains courantes jusqu'à ses vitrines, tel que portail Legifrance, pour y pousser ou en extraire ce qui pouvait m'être utile. Depuis 2003, j'ai donc pu en fourrer jusque dans la jurisprudence de la cour de cassation mais également dans les minutes de différents huissiers de justice. La plupart de ces traces subsisteront maintenant durant des décénies.
Depuis 2005, j'ai aussi hacké le cabinet du Ministre de l'Intérieur, c'était alors Nicolas Sarkozy. J'ai également pu hacker le cabinet du Ministre de la Justice, et bien plus encore... Evidemment, ça dérange, ca dérange énormément cette « justice », ces supputés professionnels du social ou de la protection de l'enfance en premier. Je pense que ça dérange également beaucoup à l'UMP comme à l'Elysée (encore Nicolas Sarkozy). M'a-t-on laissé d'autres choix ? Je ne le pense pas.
Dès 2003, je constatais que la Dass (on parlera plus pompeusement de l'Aide Sociale à l'Enfance) était indigne de confiance. En 2004, je constatais encore que je ne pouvais pas faire confiance ni aux professionnels de l'OSE France et encore moins au juge pour enfant Anne Valentini. Début 2005, je constatais que « faire appel » de décisions du juge pour enfant Nanterre était une démarche tout à fait vaine. Dès la fin 2006, je me référais et citais un petit ouvrage de GIP Recherche Justice, La responsabilité des magistrats : les voies de recours sont illusoires lorsque les décisions contestées ou attaquées sont assorties de l'exécution provisoire... En 2008, je hackais puis je mouchais ou douchais la première présidence de la cour d'appel de Versailles, ainsi que le juge pour enfant Xavier Serrier. Fin 2010, je finissais par hacker encore Lexis Nexis ainsi que la revue juridique AJ Famille de Dalloz... |
Dalloz, AJ Famille, décembre 2010, |
Lorsque les juges, souverains dans leurs seigneuries et baronnies, persistent, récidivent et imposent une forme archaïque de l'appel, il n'y a jamais d'achèvement des procédures en cours, une fois placé, un enfant le restera jusqu'à sa majorité. C'est ce que j'expliquais déjà dans un billet d'octobre 2008, Ca me fait souvent penser à Tchernobyl ; les juges ou ces ronds de cuir de la protection de l'enfance gagnent à tous les coups, surtout lorsqu'ils ont été surpris en flagrant délire.
En 2008, je finissais par hacker également l'instruction de Sarreguemines ainsi que le tribunal administratif de Strasbourg. Ca m'a été utile à ébaucher une définition de la Moldavie française. C'est insoutenable, « c'est pas possible », répondront des juges, « il y a des voies de recours », soutiendra même et malgré tout un juge pour enfant de Bobigny...
Il y a peu, j'ai été convié par un juge d'instruction de Nanterre (encore !), il souhaitait que je témoigne, ce que j'ai volontiers accepté. Je n'ai pu que hacker à nouveau... car, comme à peu près tout le monde, j'ai deux oreilles. Au cours de cet échange, le juge m'exposait suffisamment son propre dossier, mais oralement seulement ; j'en ai appris et j'en retiens de bien bonnes. Je pourrais peut-être parler voire même réagir plus tard, s'il me parvenait un jour une quelconque décision écrite. Ce juge étant saisi, il devra forcément rendre un jour une ordonnance de non-lieu ou de renvoi, que pourrait-il faire d'autre ?
Doutant qu'il me parvienne un jour une quelconque ordonnance, je vais faire hacker le bureau et, si possible aussi, les petits papiers et les cartons de ce juge d'instruction qui m'a fait témoigner. Je vais faire saisir moi-même un juge d'instruction (à Nanterre, forcément ), en raison de dénonciation(s) calomnieuse(s) ou imaginaire(s). Ces démarches sont souvent employées pour exercer des pressions, pour bien faire chercher ceux qui fouinent et farfouillent déjà.
D'ici quelques temps, lorsque tout cela sera également prescrit ou peut-être foiré... j'en conserverais un petit dossier supplémentaire, des élements qui devraient encore une fois replonger le parquet du coin dans l'embarras, surtout s'il suivait des renvois de tiers en correctionnelle, puis des traitements prescrits par des juges indépendants, après un voire même après plusieurs procès en public. S'il ne suivaient que des ordonnances de non-lieu, aucun renvoi, le parquet est susceptible d'être embarrassé également, par exemple, pour n'avoir envisagé de donner suite ou de n'avoir pris très au sérieux, par le passé, que des plaintes, des gérémiades et des déclarations farfelues. Dans tous les cas, à l'issue de ces nouvelles démarches, je pense que le parquet aura bien barbotté encore, dans l'embarras.
« Pirater » l'instruction en saisissant son Doyen est à mon avis une démarche tout à fait légale et vu les élements dont je dispose aujourd'hui, parfaitement légitime aussi. Je vais confier ce « hack » à un avocat ayant pignon dans Paris.
Quiconque a fréquenté des prétoires sait à peu près où se situent et qui porte des robes noires. Par contre, tout le monde ne sait peut être pas ce que peut signifier « hacker » ou « hackeur » alors qu'on nous parle le plus souvent que de « piratage » et de « pirates ». Depuis quelques semaines, France Info retrace « 30 ans de cybercriminalité ». A écouter, pour mieux comprendre et faire quelques distinctions : leur podcast « Hackers chapeaux blancs contre chapeaux noirs ».
« Pirater » la justice ou l'Administration comme je viens de le faire ce mardi 26 juillet, avec un appareil photo, je ne crois pas que ce soit grave. Je viens de trouver un document utile sur concoursattache.canalblog.com (Préparation Concours Attaché Territorial 2011-2012). Ce document d'introduction générale au droit rappelle que les actes juridiques (« manifestation de volonté ayant pour but de la création, la modification ou l'extinction d'un droit ») se prouvent par « une preuve parfaite ». Mais ce document plutôt touffu énumère également des exceptions parmi lesquelles figure « l'impossibilité matérielle ou morale de se procurer une preuve littérale de l'acte juridique. » D'autre part et comme ce mardi, l'Administration ne me remettait aucune copie ou écrit, il me fallait plutôt un début de preuve d'un « fait juridique », la preuve d'un « événement susceptible de produire des effets juridiques » ; comme je l'écrivais plus haut, il me fallait des élements pour pouvoir bavarder, m'exprimer...
En attendant que cet ensemble se décante un peu et soit aussi « prescrit », je vais faire tirer cette belle et grande photo prise ce mardi 26 juillet, au commissariat du coin, puis je vais l'expédier à l'Elysée, à l'attention de notre chantre national, Nicolas Sarkozy. J'y ajouterais une carte de visite, le château connait assez bien mon blog et mes divers « dossiers ». Au dos de cette photo, j'ajouterais une simple question manuscrite : « Selon vous, en s'abstenant de la sorte, en s'abstenant comme toujours lorsque je porte plainte, le procureur de Nanterre a-t-il été suffisamment servile ? » S'il avait donné suite à l'une de mes plaintes, le procureur de Nanterre se serait-il fait sermonner ou rappeler dans les rangs, comme celui de Dunkerque ?
A suivre... Je finirais de rédiger ce billet au cours des prochains jours, comme souvent, dans ce blog. Pour le moment, j'ai mieux à faire que de perdre encore plus de mon temps avec toutes ces salades, par exemple, danser. 123...
Un troisième pourvoi
A suivre, une ultime décision interviendra d'ici quelques 6 mois à 3 ans... Après y avoir mûrement réfléchi et après en avoir un peu discuté avec lui, j'ai envoyé l'arrêt du 1er avril dernier à mon avocat auprès de la cour de cassation.
« C'est donc de faim qu'il va s'agir... »
Ce mercredi 27 avril au soir, au mémorial de la Shoah, j'ai été étonné par l'absence d'intérêt pour la présentation de Michael Tregenza, Aktion T4, un programme dit « d'euthanasie », suivie par la présentation de Jean-Marie Winkler, très (trop, à mon avis) concentrée sur certaines pratiques « administratives » utilisées par les nazis, au château d’Hartheim, en Haute-Autriche. Georges Bensoussan qui animait les débats semblait lui aussi surpris et même plutôt déçu par un tel désintérêt pour ces sujets, l'extermination des handicapés physiques et mentaux par les nazi, une extermination promue et critiquée dès 1933, un « secret d'Etat » pour les nazis, des assassinats d'êtres dont « la vie ne vaut pas d'être vécué », des meutres de masse encadrés par une « fondation » et la bureaucratie nazie, des assassinats commis en « instituts », jusqu'à la fin 1944 (voire plus). Contrairement à d'habitude, peu de personnes s'étaient déplacées pour ces présentations et débats, l'auditorium était très loin d'afficher comble.
Ce soir là, au mémorial, ceux qui ont pris la parole s'accordaient tous à dire que ces assassinats « d'anormaux » et de « déviants » avaient préfiguré l'extermination « systématique » des Juifs, mise en oeuvre à partir de 1942. Le désintérêt pour ces présentations et débats du 27 au soir pouvait donc surprendre et même décevoir. Ce mercredi, j'avais également été surpris par des non-dits assez clairement exprimés au cours de ces présentations, par ce qui pouvait être des sujets tabous, à ne surtout pas développer. Pour une première fois dans cet auditorium, j'ai demandé à prendre la parole, puis j'ai formulé quelques remarques ou critiques, d'abord en m'adressant à M. Tregenza, puis d'une façon plus générale, en crevant les abscès de quelques non-dits ou vaguement-dits, pas beaucoup plus dit que du bout des lèvres.
Depuis, j'ai encore beaucoup pensé et lu ou relu, à ces mêmes sujets, les pratiques, sous ce Reich. Mercredi dernier, j'ai d'abord estimé nécessaire de rappeller que ce Reich était un Etat de droit, à quoi M. Tregenza m'a rétorqué que le Reich était une dictature ; ces échanges ont pu paraître tendus, mais je crois que nous avons su faire converger nos points de vues, le livre Aktion T4 de M. Tregenza est d'ailleurs lui-même suffisament clair à ces sujets précis, le droit, des écrits, tel que des pluies de décrêts émanant du Führer, ainsi leur application par quelques bureaux, offices et zèlées officines.
J'ai ensuite poursuivi en crevant comme un gros abscès, rappelant qu'à cette période, les années 30 à 40, l'Europe et même l'occident tout entier était traversé par des courants et pensées publiquement et très franchement eugénistes. Je précisais alors, pour exemple, que je me référais à La société pure, de Pichot, un ouvrage qui fait encore office de référence. Un extrait explicite, mais voir aussi L’hygiène raciale nazie : le cas des sourds pour d'avantage de détails encore :
LA LISTE DE CHICAGO
Liste des « personnes socialement inaptes » stérilisables
« Est socialement inapte toute personne qui, par son propre effort, est incapable de façon chronique, par comparaison avec les personnes normales, de demeurer un membre utile de la société. (…) Les classes sociales d’inaptes sont les suivantes : 1) les débiles mentaux ; 2) les fous ; 3) les criminels (y compris les délinquants et dévoyés) ; 4) les épileptiques ; 5) les ivrognes ; 6) les malades (tuberculeux, syphilitiques, lépreux, et autres atteints de maladies chroniques…) ; 7) les aveugles ; 8) les sourds ; 9) les difformes ; 10) les individus à charge (y compris les orphelins, les bons à rien, les gens sans domicile et les indigents). » (Rapport du laboratoire psychopathique du Tribunal municipal de Chicago, 1922, cité par A. Pichot in La société pure, p. 215)
Pour étayer ce que je soutenais, ce mercredi, je me réfèrais également à Ordonner et exclure, de Iogna-Prat, ainsi qu'à L'extermination douce, un ouvrage de Max Lafont. Iogna-Prat n'a pas été contesté. Pour moi, ces diverses lectures étaient déjà lointaines, parfois anciennes, et ne faisaient pas forcément autorité. Je m'adressais alors à des historiens, à des chercheurs, des spécialistes à qui j'avais d'ailleurs bien précisé qu'ils me reprendraient si je faisais fausse route, ce qui fût effectivement le cas ? En effet, et même si j'ai eu le sentiment qu'assez globalement, nous pouvions nous comprendre et nous entendre, M. Georges Bensoussan m'a répondu que depuis la parution de l'ouvrage de Max Lafont, en 1987 (reédité en septembre 2000), une historienne, Isabelle von Bueltzingsloeven, s'était longtemps penchée sur la surmortalité des malades mentaux, en France, durant la période de l'Occupation. Pour me répondre, M. Bensoussan me recommandait également Classer/Penser/exclure, le n° 183 de la revue d'histoire de la Shoah, un épais pavé qui m'est depuis parvenu. Je pense que mes références restent assez solides et qu'en tous cas, elles se répondent toutes suffisament bien, les unes aux autres ; les livres qui me parviennent encore s'insèrent assez facilement dans ma bibliothèque.
Je n'ai pas encore eu le temps de lire et d'approfondir Aktion T4, un livre paru en mars 2011. Cependant, dès ses préfaces, l'ouvrage me rappelle une discussion « off » que j'avais eu avec Francis Gillery, réalisateur de La vie après la Shoah. Je crois encore que M. Gillery m'avait très bien compris, fin janvier 2010, lorsque je lui parlais « d'expériences singulières » tout en lui glissant une carte de visite et en l'invitant à me lire.
En préface de Aktion T4, de Michael Tregenza... « c'est le détail qui compte. »
Ce que j'ai exprimé ce 27 avril avait pu déranger, heurter dans cet auditorium, car ce qui a été dit dans le prolongement de ces présentations d'ouvrages et travaux de recherche tendaient à réhumaniser ces politiques et pratiques nazies, mais pas d'avantage que ne le fesait déjà le livre et le discours de Michael Tregenza. Pour le moment, je n'ai donc pu que feuilleter son livre, très critique, à ne pas mettre entre les mains de juristes, de moralistes et de pénalistes... l'ouvrage de M. Tregenza pourrait les faire frémir dès la note sur les terminologies, également en préface. Les pages 291 et 292 pourraient faire sourire mes lecteurs et faire frémir quelques professionnels de la Dass ou des magistrats, ceux là même qui se sont déjà beaucoup plaint de mes discours, écrits et recours, dans des prétoires ; de simples extraits des pages 291 et 292, il semblerait que par le passé déjà, certains rapports ou avis pouvaient également être passés sous silence ou être bourrés dans une broyeuse :
Avec ces nouveaux éclairages, je suis en train de relire L'extermination douce, de Lafont, ainsi qu'en train de lire ces ultimes textes qui me perviennent, plus particulièrement ceux de Isabelle von Bueltzingsloeven. Tout en émettant quelques mises en gardes ou réserves d'usage, l'ouvrage de Max Lafont posait des questions qui me paraissaient assez pertinentes, des questions auxquelles Isabelle von Bueltzingsloeven pourrait avoir répondu ; dans le n° 183 de la revue d'histoire de la Shoah, en quelques premiers paragraphes déjà, l'historienne répond de façon lapidaire à ces militants qui défendaient la cause des « fous »...
Il arrive que le droit ou des lois ne soient pas appliqués, ou que par leurs dévoiements, des effets inverses puissent être observés, ce que soutient d'ailleurs très bien Michael Tregenza dans Aktion T4. Comment une historienne peut-elle alors fonder d'abord une conclusion en s'appuyant sur un vulgaire décrêt, une simple déclaration d'intention dans un monde hostile, un décrêt qui pouvait toujours ne jamais être suivi du moindre effet ? Mais je dois étudier plus en détail les travaux de Isabelle von Bueltzingsloeven et de ceux qui s'en sont inspiré, je les comprendrais probablement mieux.
Classer/Penser/Exclure, revue d'histoire de la Shoah, n° 183,
« ne pas banaliser l'extermination des malades mentaux par les nazis »
Il est pourtant pas mal, ce livre de Max Lafont, écarté par Georges Bensoussan. Le livre est en effet très politisé, engagé, militant, mais souvent fondé sur de simples témoignages, des opinions et des discours, des ouï-dire que des historiens et des juristes balayeront fissa. Mais l'ouvrage de Lafont restitue tout de même assez bien le contexte durant lequel des milliers « d'anormaux » et autres « déviants » ou « indésirables » crevaient la dalle... Sa reédition en 2000 a même pu être utile, ce n'est qu'après cela que des historiens pourraient s'être enfin penchés sérieusement sur ces questions - épineuses, douloureuses et sensibles. C'est à Lafont que j'ai emprunté le titre de ce billet, « C'est donc de faim qu'il va s'agir ».
L'extermination douce, page 89, paru en septembre 2000
Pages: 1 · 2
Lise...
Au cours de ces derniers jours, j'ai encore eu des doutes. J'ai souvent eu des doutes au cours de toutes ces années, parfois aussi des inquiétudes. Mes inquiétudes ont occasionnellement été jugées légitimes, y compris, mais rarement, par le juge pour enfant de Nanterre. Au cours de ces dernières années, j'ai pu lever de nombreux doutes en accumulant des documents, des écrits de toutes natures, qui me permettent depuis longtemps déjà d'étaler quelques certitudes dans ce blog et en public. L'arrêt qui me parvenait, il y a peu, m'a encore permis de lever quelques doutes de plus et, surtout, de m'exprimer d'avantage encore.
Des inquiétudes, au cours de ces dernières années, j'en ai souvent eu pour mon ainée ; « parano », rétorqueront des juges, en premier ! Des inquiétudes et des incertitudes, j'en ai eu énormément lorsque je trainais et répondais au juge pour enfant Xavier SERRIER, en cassation, dans le cadre d'une procédure de prise à partie que j'avais engagée contre lui. Je soufflais enfin, vers la fin décembre 2008, alors que ce juge ainsi que la première présidence de la cour d'appel de Versailles avaient perdu. J'en conserve d'excellents écrits, produits par des professionnels (voir, par exemple, En passant par le portillon du greffe social).
Par le passé, dans des arrêts de la cour d'appel de Versailles, je ne lisais que « Monsieur ECHAPPE ». J'ai souvent pensé qu'il s'agissait d'Olivier ECHAPPE, membre du cercle des constitutionnalistes, spécialiste en droit canon ainsi qu'en populations, minorités, religions ou cultures stygmatisées ; personne ne m'a contredit. Le 4 mars dernier, j'en ai encore eu confirmation, son nom, ECHAPPE, et le rôle de la chambre des créatures inférieures était placardé à son entrée.
Lise... Dans ce dernier arrêt qui me parvenait, de la cour d'appel de Versailles, je ne lisais que « Madame GERAUD-CHARVET ». D'après quelques recherches, sur Internet, cette juge pouvait se prénommer Lise. Ce jour, j'ai téléphoné au greffe de la chambre des mineurs car je souhaitais en avoir la confirmation, lever divers doutes. Le greffe m'a semblé ennuyé par mon appel, agacé même ; j'avais laissé sonner longtemps avant qu'il ne déccroche, j'ai pu le déranger dans son travail... à moins qu'il y ait eu quelques rumeurs, à Versailles, car au cours de ces derniers jours et selon ses statistiques, ce blog a encore une fois été beaucoup lu. Le greffe m'a confirmé que ce juge, Madame GERAUD-CHARVET, se prénomme effectivement Lise. J'ai remercié le greffe pour cette information, puis nous avons mis un terme à cette très brève conversation.
« Lise, quelle importance », me demandera-t-on. D'après ce que j'ai lu sur la toile, cette même juge présidait il y a peu encore, à Caen, rendant des arrêts de chambre sociale, des décisions qu'on peut retrouver dans quelques jurisprudences de cour d'appel. Vu cette précédente nomination, je pense que ce juge, Madame Lise GERAUD-CHARVET a pu assez bien me comprendre lorsque j'évoquais la procédure que j'avais engagée en 2008, contre le juge Xavier SERRIER.
Il y a peu, alors que je venais d'avancer de nombreux éléments anciens et plus récents, des éléments qui ont toujours tous été balayés par le juge pour enfant de Nanterre, une chambre civile de Versailles m'a très bien entendu, elle a infirmé un jugement du juge des tutelles d'Antony. Que s'est il passé récemment, à Versailles, en chambre des mineurs, pourquoi ces juges là n'ont-ils une fois de plus rien souhaité recevoir ou entendre, comme conformément à des usages ou coutumes ?
Au cours de ces dernières années, les juges et toutes ces compositions ou ramas de calomniateurs qui sévissaient en chambre des mineurs ont à chaque fois été suffisamment explicites : hors de question de prendre en considération un quelconque élément à décharge, hors de question aussi d'accepter des contre-expertises et, surtout, strictement exclus de « réviser » quoi que ce soit ! J'ai une fois de plus le très net sentiment d'avoir été encore roulé dans la farine par tous ces professionnels de la Dass. Mais à présent et comme depuis quelques temps déjà, je m'en fous. Ces juges ont des usages auxquels je suis moi-même accoutumé, depuis des années déjà, ce qu'ils rendent ne me touche plus, depuis longtemps.
Dans cet ultime arrêt rendu ce 1er avril courant, plutôt que de s'être placée au moment où elle statuait, comme semblait l'imposer l'arrêt de casssation d'octobre 2010, la Cour « autrement composée » parait, à mon avis, plutôt avoir fait un très grand écart, à charge, en se plaçant entre mars 2011 et tout début 2003. Dans cet arrêt du 1er avril, il apparait en effet à nouveau de très anciennes allégations qui avaient depuis été écartées ou nuancés par des juges, parfois après de très âpres débats, dans ces mêmes prétoires de Nanterre et de Versailles. En effet, après m'avoir encore refusé une « révision », le dossier de mon aînée semble bien avoir été « revisité » par cette cour « autrement composée » et présidée par Lise... Ce résultat a pu plaire aux époux CLEMENTZ, à tous ces goret du social ainsi qu'à Maître ROUGHOL. Qu'est-ce que c'est drôle !
« Avez vous fait appel », va-t-on encore me demander. Mais oui, suffisamment ! « Vous n'aviez pas d'avocat, Madame Lise l'a d'ailleurs bien noté », me fera-t-on encore remarquer. Oui, c'est exact. Là bas, la représentation n'est pas obligatoire et elle ne sert à rien. Manifestement, là bas, selon que les parents soient bien assistés ou non, ces juges vous recommanderont toujours d'aller vous faire « mieux conseiller » ; quelle grossièreté de la part de telles sphères !
J'ai finalement pu démontrer d'avantage et à nouveau en long et en large, que dans tous ces prétoires de la Dass, « faire appel » ou non et être ou non assisté, même avec des élements très pertinents entre les mains, ça ne sert à rien ! Cela a d'ailleurs été très bien documenté par des professionnels de cette même Dass, par exemple, dans un bon et déjà ancien pamphlet de 1977, La police des familles, par Jacques Donzelot (voir Cet ultime arrêt est vraiment très bien, un billet que je publiais en mai 2009, alors que je découvrais l'arrêt finalement cassé et annulé, en octobre 2010 !).
Je vous avertis... De vous tenir toujours en défense [contre le démon]
tremblez même dans la victoire ;
c'est alors qu'il fait ses plus grands efforts,
et qu'il remue ses machines les plus redoutables. • Bossuet
C'est tellement affreux de voir le destin en face. • Henrik Ibsen
Pour moi, il n'était donc plus utile de faire encore appel, fin juillet 2010, ni d'ailleurs utile de me rendre encore à l'audience, en juillet dernier, chez le juge pour enfant de Nanterre. Pour parler de la situation de mon aînée, et de la suite ? De toute façon, ces pros, le corbeau et ce pasteur n'en ont toujours fait qu'à leur tête, depuis huit ans, en me noircissant systématiquement et le plus souvent à outrance... mais uniquement à huis-clos, en catimini ou dans le secret de la chambre du conseil. Depuis le temps que je les provoque, auraient-elles toutes honte de me répondre, d'affabuler et de calomnier aussi en public, ou s'y taisent-elles toutes, « dans l'intérêt de l'enfant », ce concept mou qui permet toutes sortes de pratiques, y compris des plus abjectes ?
En mars dernier et puisque la cour de cassation renvoyait à Versailles, j'y retournais. A l'oral comme dans mes conclusions écrites, je ne demandais plus rien d'autre qu'un banal constat d'échec, ce que la Cour m'a finalement rendu. Je suis content... entendez Droopy, ce personnage de Tex, lui aussi parfois paradoxal, vous lancer : « you know what, I'm happy ! »
Toutes ces pages sont, pour moi, maintenant tournées. Ces pages sont tournées, mais pour moi, elles restent évidemment noircies. Je n'avais pas envie de me taire, comme d'autres, pendant des années. D'aucune façon, je n'aurai pu obéir comme un fonctionnaire, ce que j'ai parfois feind, mais sans que cela ne fasse avancer toutes ces choses plus positivement. Bien au contraire, ce n'est que lorsque je réagissais en retour ou agissais rageusement que des choses évoluaient parfois de façons plus acceptables. Le CRIF soutiendra lui aussi qu'on est jamais obligé d'obéir... comme ces juges ou fonctionnaires sous serment et le pasteur d'Uhrwiller auraient souhaité que je le fasse !
Ces juges et leurs décisions sont pour la plupart des plus grotesques. Dans leur dernier arrêt, ils me reprochent à nouveau de n'avoir pas su assurer la sécurité de mon ainée, en 2003, en raison d'une dépression alors causée... par près de onze mois de harcellement et de fourberies socio-judiciaire ! S'il y avait eu des représentants du ministère public dans cet espace de non droit, la Moldavie française, je n'aurai peut-être jamais déprimé, ponctuellement, et la sécurité de ma fille aurait pu être assurée. Bravo les gars et ces femmes (elles sont nombreuses) de la Dass, chapeau, quel super travail vous avez fait, en faveur des enfants, après avoir écrasé les parents ! Enfin, c'est inexact, puisque je me suis relevé, il y a longtemps déjà.
Cette semaine, j'ai encore lu un ouvrage instructif, de Stéphane Hessel, Indignez vous ! Selon sa bio, il avait été interné à Buchenwald, lui aussi, comme Elie Wiesel, comme Loulek... Ce monde autour du château de Vaucelles et de l'OSE France, ces spécialistes de la Mémoire et de la Shoah est décidément très petit, très peu seulement semblent avoir survécus... Dans la bio de Hessel, on apprend encore que, « A la veille d'être pendu, il parvient in extremis à échanger son identité contre celle d'un français décédé du typhus dans le camp ». Ce français décédé était très certainement un détenu de droit commun, peut être un kapo, à moins qu'un communiste, un opposant, un résistant... A force de m'imprégner de la sorte, il m'arrive parfois de mieux percevoir des choses, par exemple, de mieux comprendre pourquoi Le kapo, cette fiction de Pontecorvo, a été jugée « scandaleuse ». C'est toujours ça de pris ; il me reste encore à découvir à quoi ça pourra être utile, en ces périodes où cette République post ou néo-vichyste s'efforcerait plutôt de retrouver le chemin de l'instruction civique.
Cette semaine, un mot m'est venu à l'esprit, un de ces mots qui pourrait à mon avis tuer, qui pourrait même être fatal, comme le mot cosmopolite l'a été pour Péan : « empaffé ». Terme populaire. Se griser, devenir paf. C'est un joli mot dans d'anciennes oeuvres. « Empaffez-vous honnêtement pour avoir un petit grain de goguette dans la tête, mais ne vous soûlez pas... » Pourquoi ne pas se soûler ? « Maître Jean à la guinguette à ses amis en goguette Chante son refrain chéri... » Plus tard, Brassens chantait : « gare au gorille... » La littérature, c'est une chose, mais ce qui me passionne vraiment en sont d'autres.
« Vous reprennez les pièces, et vous les remontez de façon différente,
le hacking, c'est rien d'autre que cela »
Piratage : les pirates informatiques témoignent ce soir sur France 4
Vendredi 15 avril, 10h04, Premiere, par la rédaction de Télé 7, extrait
Piratage sera diffusé sur France 4 ce soir en deuxième partie de soirée. Ce documentaire réalisé par Sylvain Bergère et Etienne Rouillon s'intéresse au phénomène du piratage informatique à travers trois thématiques : Le hacking est-il un acte politique ?, MP3, Napster, Mods : ce que nous devons au piratage et Les pirates, figures de la culture populaire ?
Entre les hacktivistes qui souhaitent faire d'Internet un espace de liberté total, ceux qui se livrent à cette activité par jeu et ceux dont les intentions sont plus ou moins inavouables, Piratage s'appuie sur les témoignages de certains de ces virtuoses du codage pour comprendre leurs motivations, leurs réseaux de communication et leur champs d'action, tout en mesurant ce qu'Internet leur doit, eux dont les créations, les trouvailles et les innovations sont sans cesse récupérées par l'industrie informatique.
Enfin, Piratage pose la question de la transparence de l'information dans la société contemporaine, ainsi que celle du futur d'Internet.
Avec des mensonges, tout peut paraitre très bien motivé
Comme souvent, j'ai édité ce billet en ligne. Pendant que je le développais, je suggérais la lecture de Sieg Versailles !
Certains de mes lecteurs pourraient souhaiter des explications... De source afmjf.fr, rubrique Contacts - Médias - Colloques • Vous êtes journaliste, chercheur, organisateur d’un colloque, parmi les représentants de l’AFMJF, vous pouvez solliciter : • Catherine Sultan, présidente de l’AFMJF et présidente du tribunal pour enfants de Créteil - tél : 06.18.04.06.48 • Thierry Baranger, président du tribunal pour enfants de Nanterre, ancien président de l’AFMJF et responsable de la revue Mélampous - tél : 06.63.71.48.65 • Martine de Maximy, vice-présidente de l’AFMJF et conseiller à la cour d’appel de Paris - tél : 06.07.18.61.00 • Robert Bidart, ancien président de l’AFMJF et juge des enfants à Pau - tél : 05.59.82.46.29 ou 06.20.19.63.40
A propos du cas Adolf Eichman, que j'évoque, plus bas, voir plutôt sur juger-eichmann.memorialdelashoah.org
Un spécialiste, par Rony Brauman et Eyal Sivan
Cette notion d'obéissance et de serment discutée au cours du procès Eichman peut faire peur. Nos magistrats ont tous prêté serment et nos fonctionnaires ont également tous des obligations, notament un devoir de réserve. Je me suis souvent adressé à des magistrats au cours de mes sorties, certains n'ont pu que compatir ou m'ont parfois encouragé à poursuivre sur des voies où je m'étais déjà engagé... JPR aussi a prêté serment, c'est un magistrat ; en novembre dernier, je lui avais remis un dossier ; je n'ai pas connaissance du moindre commentaire qu'il aurait formulé depuis. Le Défenseur des enfants obéit, lui aussi ; je l'ai souvent informé ou sollicité, et à chaque fois il m'a répondu qu'il ne pouvait pas intervenir car la justice était saisie. Nos élus obéissent également, tous. Quelques élus m'ont répondu, par le passé. Mais depuis la cassation de 2008, il ne me parvient plus grand chose... En mai, l'an dernier, à l'occasion de la journée internationale des enfants disparus, en public, devant l'hôtel de ville de Paris, j'avais interpellé et provoqué Nadine Morano ; mais l'entourage de Morano m'a lancé qu'elle ne pouvait pas formuler le moindre commentaire non plus. Dans ce pays, tout le monde semble obéir ou plutôt, avoir prêté un serment de fonctionnaire... Seul des historiens, à Blois, l'an dernier, m'ont répondu de façon assez courte mais très pertinente. Depuis la cassation d'octobre 2010, j'avais téléphoné plusieurs fois aux Dernières Nouvelles d'Alsace, à Hagenau ; ces journalistes m'ont répondu que cette histoire ou affaire était devenue trop « complexe », j'en ai conclu que ce canard local ne publierait pas autre chose que des articles qui flattent le pasteur d'Uhrwiller ; il est aussi possible que le journalisme d'investiguation soit mort. Au Monde et au Figaro, des spécialistes, des chroniqueurs judiciaires, m'ont plus sobrement répondu que ces sujets, « l'assistance éducative », et des jugements ou des décisions de la cour de cassation dans ces matières ne les intéressaient pas.
J'ai l'impression que la Cour s'est un peu perdue dans ses petits papiers, ou qu'elle s'est une fois de plus vautrée dans cet épais dossier « d'assistance éducative ». Plus je relis cet ultime arrêt, rendu ce 1er avril 2011, par la chambre des mineurs de la cour d'appel de Versailles, et d'avantage j'en rigole. Ce 4 mars, je ne demandais que du papier noirci d'encre, un délibéré, un simple « constat d'échec » ; quoi réclamer d'autre ? Merci les juges ou cette Cour « autrement composée », vous me l'avez rendu !
Le 4 mars dernier, les époux Clementz, ces tiers ou partis au procès mais toujours « dignes de confiance », étaient encore une fois absents et excusés, comme souvent. Pourquoi se seraient-ils déplacé ? A Versailles, même sans s'y déplacer, comme des juges, les Clementz ont aussi l'habitude de gagner à tous les coups, un peu comme le parquet général. C'était moins vrai auprès de la chambre civile, où le pasteur d'Uhrwiller avait été convié. C'était encore moins vrai en cassation, où la cour d'appel de Versailles et le juge Xavier Serrier comme les époux Clementz se sont fait sévèrement moucher, en 2008 et en 2010.
Le parquet général de Versailles doit être content. Il aurait fait observer que l'appel était devenu « sans objet » et, « subsidiairement », demandé la confirmation des dispositions du jugement du 30 juin 2008. Le parquet aurait-il formulé des demandes par écrit ? Ce 4 mars, il ne me semblait pas avoir entendu toutes ces demandes ou elles m'avaient parues un peu différentes, à l'oral. Quoi qu'il en soit... ou à vrai dire, aujourd'hui, je m'en contrefout, l'arrêt de mai 2009 restera cassé et annulé. L'arrêt de janvier 2010 aurait été annulé pour les mêmes motifs, un particularisme de bureaux dont ont profité ceux qui se sont opposés à moi au cours de ces dernières années, à Nanterre, ainsi qu'à sa cour d'appel de Versailles.
Le parquet général de Versailles, l'un des grands gagnants de cette histoire, le « sauvetage » de ma fille aînée, a systématiquement demandé et a à chaque fois obtenu la confirmation des jugements de Nanterre. Devant la chambre civile, en appel d'une décision du juge des tutelles, le parquet général s'était cependant encore une fois pris une bonne rouste ou un revers. Lorsque je faisais appel de la décision du juge des tutelles d'Antony, avec de nombreux écrits indiscutables, dont des jugements d'Antony, les magistrats de la chambre civile ne pouvaient ni tricher et très difficilement tromper...
Un parquet toujours gagnant à Versailles, auprès de la chambre des mineurs, auprès de la première présidence, ainsi qu'à Nanterre, chez le juge pour enfant, des travailleurs sociaux toujours neutres et bienfaisants, une justice et un dispositif de la protection de l'enfance très souvent critiqués en public mais toujours idylliques selon ces magistrats et dans ces prétoires ou bureaux du coin, des tiers ayant des intérêts particuliers dans des successions, des tiers récemment condamnés aux dépens par la cour de cassation, mais des tiers toujours et absolument dignes de confiance, selon le juge pour enfant et la chambre des mineurs, etc... et moi, débile ou parano, alors qu'il y a peu, la chambre civile avait bien relevé une « forte animosité » à mon encontre ? Car comme la cour de cassation qui statuait plus en droit, la chambre civile s'est en effet désolidarisée du juge pour enfant de Nanterre et du parquet. La chambre civile a finalement bien infirmé une décision du juge des tutelles d'Antony.
Fin 2008, alors que le juge Serrier, le parquet et la première présidence de Versailles allaient perdre, au cours de l'audience publique, l'Avocat général de la cour de cassation remarquait déjà qu'il s'agissait d'une affaire « douloureuse » et d'abord « d'assistance éducative ». Je pense que Pierre Vidal-Nacquet aurait pu en pouffer de rire, lui aussi, surtout après avoir lu encore « cruel et exceptionnel » dans l'arrêt rendu par la cour de cassation, fin octobre 2010 !
Ce 4 mars, à la cour d'appel, mon aînée Justine était également absente, c'était parfait ainsi, elle n'aura pas eu à s'exprimer ni surtout à entendre toutes les choses qui ont été dites en cours d'audience. Justine était cependant représentée par Maître Delphine Roughol, son cafard ou avocat d'enfant. Les enfants auraient des droits, un avocat leurs serait donc utile dans ces prétoires et bureaux ; mon ainée a été très favorisée au cours de ces dernières années ; selon des statistiques officielles que j'ai pu lire, rare semblent être les enfants et les parents bénéficiant des prestations d'un cafard, lorsque le juge pour enfant est saisi. Mais aujourd'hui, nous parlerons plutôt de la nécessité absolue de la présence des avocats en cas de garde à vue...
Ce 4 mars, je n'avais vu personne arriver, ni ma fille, ni les Clementz, ni l'ARSEA et ni Maître Rouhol. J'avais aussi pu constater que le juge Olivier Echappe allait présider ; cela m'avait rendu assez nerveux, ce que la Cour a pu constater avant qu'elle ne se retire pour laisser finalement sa place à une autre composition... Maître Roughol n'est arrivée que très tardivement, après le début des audiences ; nous n'avons pas échangé le moindre mot dans les couloirs.
Dans les conclusions que je déposais ce 4 mars, j'exposais moi-même que la présence de Justine dans ces prétoires n'était plus nécessaire car elle pouvait être représentée. Je l'exposais déjà dans des conclusions de décembre 2009. Ce 4 mars, je n'ai d'ailleurs pas exigé un renvoi comme je l'avais fait, en 2009, pour que Justine soit convoquée et pour que le pasteur Clementz puisse se libérer et être présent devant la Cour. Début 2009, alors que Justine et nous avions déjà pu renouer, je souhaitais que la Cour puisse entendre la demande de Justine, en personne ; depuis, nous savons que la Cour avait balayé sa demande, puis que la Cour et sa décision ont été cassées, en octobre dernier... L'audience de début mars dernier ne s'était déroulée qu'en présence de vrais gens de robe.
En décembre 2009, auprès de la chambre des mineurs et un collège présidé par le juge Olivier Echappe, je me plaignais une fois encore car, tout en refusant de m'entendre, des juges avaient dénaturé des éléments de la procédure ou de ce dossier « d'assistance éducative ». Dans son délibéré de janvier 2010, il apparaissait clairement que la Cour s'était un peu ressaisie, comme je le lui avais très vertement suggéré. Puis rebelotte, ce 1er avril 2011, tout repartait en vrille... Dans cet ultime délibéré ou arrêt et après une procédure ou audience pourtant à nouveau supputée contradictoire, il réapparait de très anciennes allégations que j'avais souvent contestées ou critiquées par le passé, et qui avaient finalement été écartées ou présentées avec beaucoup plus de réserves dans les motivations de la chambre des mineurs !
A quoi sert de fréquenter assiduement bureaux et prétoires si des professionnels de la Dass excluent de travailler avec vous, si des juges excluent contre expertises et révisions, mais que les juges s'octroient tout de même la possibilité d'opérer une très soigneuse sélection dans les choses dites jugées, et même la possibilité de revisiter ou de falsifier à nouveau l'histoire ? De 2008 à 2010, je pouvais comprendre pareille nécessité : il fallait absolument sauver le soldat Serrier... Fallait-il aujourd'hui aussi sauver le pair ou camarade Echappe et sauver à nouveau le juge pour enfant Anne Valentini ?
L'arrêt de ce 1er avril est une fois encore des plus croustillants. Lorsque cette forme d'infra-justice pour mineurs ou pour créatures inférieures est saisie, les parents ne peuvent pas obtenir de copies des rapports ou de pièces versées au dossier du juge pour enfant, c'est une loi assez strictement appliquée par les greffes, par tous ces professionnels de la Dass. Pour se défendre ou contrer ces moeurs, il est cependant parfois possible de tricher un peu soi-même, en retour, et d'emporter un dictaphone ou même d'utiliser discretement un appareil photo... Je n'avais même plus cherché à prendre connaissance du rapport de l'ARSEA de juin 2010, mais la Cour vient de me communiquer la substance qu'elle décidait d'en retenir :
Assistance éducative n° 87, arrêt du 1/4/2011, aff. n° 11/00005,
pas d'autre numéro ou référence RG, CA Versailles
D'entrée et comme pour me le reprocher ou pour me renvoyer au moins à une contradiction entre mes choix passés et mes discours actuels, ces gorets ou kapos du social avancent que je n'ai pas repris contact avec eux, ce qui est exact. J'en avais assez de leurs injures aux savoirs, à l'Histoire et à cette histoire, ainsi qu'assez de leurs écrits et propos mensongers, diffamatoires et dénigrants. La réciproque est également vrai, eux même ne m'ont pas recontacté non plus, et ils n'ont pas d'avantage supporté mes critiques publiques, ce qui est plutôt limpide maintenant dans des arrêt rendus par Versailles.
A partir de la mi-2008 et jusqu'à début 2009, j'avais retroussé et très vigoureusement brossé ces travailleurs sociaux, aussi énergiquement que j'avais déboulonné le juge pour enfant Xavier Serrier, un inamovible, un magistrat du siège. Suite à cela, Justine et nous avions enfin pu renouer, tout à fait sereinement, malgré toutes les interdictions pourtant strictement maintenues par ce même juge pour enfant, Xavier Serrier. En 2009, Dominique Wagner, une éducatrice de l'ARSEA, finissait très chaleureusement remerciée et Marieke Romain, aussi de l'ARSEA Alsace, entrait en scène. En septembre 2009, j'avais téléphoné et eu une très longue conversation avec cette dernière. Mais Marieke Romain n'en aura pas retenu grand chose...
Ces kapos du social ou de l'ARSEA Alsace s'imaginaient-ils que j'allais les retourner et les étriller à nouveau, de septembre 2009 à la mi-2010 ? N'y avait-il personne d'autre que moi pour leurs apprendre de meilleures manières ou pratiques professionnelles ? Ces juges et si bons travailleurs pourrait déjà commencer par lire maintenant le Journal des Droits de Jeunes n° 303 de mars 2011, à la page Enfance et respect de la procédure, une page qui aurait à elle seule pu achever mémé Mireille. J'en retiens d'abord la prose de Jean-Luc Rongé : « ... comme si son contenu [les rapports de tels travailleurs] valait par-dessus tout parole d'évangile » ! En 2004, cet arrêt récemment rendu et commenté dans ce JDJ aurait pu être utile à Madame Millet, elle s'était plainte d'une intervention, d'un fax envoyé par un juge, en cours de délibéré : « Qu'en statuant ainsi, au visa d'une pièce qui avait été transmise à la cour d'appel en cours de délibéré... Par ces motifs... Casse et annule ».
Au cours de l'audience, ce 4 mars 2011, et alors que je parlais des problèmes de santé de mon aînée, le juge Geraud-Charvert paraissait être assez ennuyé par ce qu'il avait lu et par ce que j'expliquais. Je ne crois pas qu'il ait lu la prose de Sara Choukroun. La Cour semblait plutôt avoir pris bonne connaissance d'une lettre ou d'un avis médical du 17 février 2005, du Docteur Philippe Babin, exerçant alors à Taverny. Selon l'arrêt du 20 octobre 2010 rendu par la cour de cassation, « il incombait à la cour d'appel de se placer au moment où elle statue pour apprécier les faits ». Mais étrangement, dans son arrêt rendu ce 1er avril 2011, la Cour n'évoque pas ma lettre du 29 octobre 2010 ou de précédents échanges avec le juge pour enfant Thierry Baranger, à ces mêmes sujets, la santé et la scolarité de Justine. A ces sujets, la Cour n'évoque pas non plus le jugement rendu en juillet 2010, par le juge pour enfant de Nanterre, et la Cour n'évoque pas d'avantage cet avis déjà ancien émis par le Docteur Babin. La Cour qui vient de rendre un arrêt supputé contradictoire n'évoque pas non plus une lettre de janvier 2005 de Richard Josefsberg et tronque également ce que j'avais exposé oralement, le 4 mars dernier.
Dans son rapport du 8 juin 2010, l'ARSEA répondait donc à mes « inquiétudes », des inquiétudes qui avaient été jugées légitimes par le juge Thierry Baranger. L'ARSEA affirmait porter une « attention régulière » sur l'état de santé de Justine et « qu'il n'y avait pas d'inquiétude à avoir » ; pour en avoir discuté avec Justine au cours de l'été 2009, je pense que ce ne sont que de gros mensonges. Par le passé, l'OSE France mentait aussi tout en affirmant qu'ils « prendraient toujours soin de Justine (..) comme ils le feraient pour leurs propres enfants. » Les travailleurs socieux de l'OSE France mentaient, de nombreux éléments (avis, attestations, radio, factures ou remboursements, correspondances du chateau de Vaucelles) me permettent encore de l'affirmer aujourd'hui. Les travailleurs sociaux de l'ARSEA seraient-ils vraiment plus sérieux que ceux de l'OSE France ? Je ne le pense pas, et d'ailleurs, selon des délibérés tel que celui rendu en janvier 2010, la cour d'appel de Versailles semble elle-même considérer que tous les travailleurs sociaux font un boulot de goret, ou à peu près de la même manière.
Au retour de la cassation, en octobre dernier, « il incombait donc à la cour d'appel de se placer au moment où elle statue pour apprécier les faits ». Dans l'arrêt rendu ce 1er avril courant, la Cour note qu'en juin 2010, le service AEMO de l'ARSEA « faisait le point sur l'orientation scolaire de Justine en 1ère ; ». C'est encore grotesque. La Cour semble avoir écarté aussi des débats quelques lignes du jugement pourtant rendu en juillet 2010, par le juge pour enfant de Nanterre. Il est ici évident qu'il n'est plus utile de faire appel d'une décision d'un juge pour enfant et qu'il est encore moins utile de se pouvoir en cassation. Mais sans référence à ces éléments récents ou anciens concernant la santé et la scolarité de mon ainée, l'arrêt du 1er avril courant, rendu par un collège « autrement composé », semble être parfaitement motivé, c'est probablement l'essentiel pour des magistrats !
Secteur 8, affaire 808/0170, parquet 0323010135
n° jugement 10/AE/... Nanterre, 27 juillet 2010
Je pense que la Cour a aussi pu se torcher avec les conclusions et les pièces que je lui communiquais, ce 4 mars, et que la Cour a aussi balayé une grande partie de ma plaidoirie. Ce 4 mars, je n'ai pas parlé que de « vertiges ». Ce 4 mars, j'avais aussi beaucoup parlé d'une « forte animosité » à mon encontre, ce qui figure bien dans mes conclusions écrites. Etc, etc...
Devant la Cour comme dans mes conclusions écrites, j'étais explicite. Contrairement à ce que notait finalement la Cour, je formulais une demande bien précise qu'il est d'ailleurs possible de lire ci-dessous, dans le même paragraphe : je demandais « que soit dressé un constat d'échec de la mesure AEMO qui était censée faciliter les relations père/fille ».
Encore de l'arrêt rendu ce 1er avril 2011, par Versailles
Je pense qu'en effet, la Cour et le parquet se sont torché avec mes conclusions et tout ce que j'exposais, par exemple, Voleurs d'enfants, un déjà vieux livre, d'août 2007, par Henri Darbes. J'ai le sentiment qu'assez gobalement, la Cour n'a pas du tout répondu à mes conclusions écrites. Je me référais, entre autres, à l'arrêt n° 2010/293 rendu le 10 mai 2010, par la cour d'appel d'Aix-en-Provence : « ... l'écoulement du temps ayant pu avoir effets négatifs sur la possibilité de la requérante de renouer une relation avec sa fille, quel que soit le contexte ; ». Bientôt 6 ans se sont écoulés depuis la « disparition » de ma fille aînée, chez les époux Clementz, à Uhrwiller. Cette décision d'Aix en provence qui n'est pas très surprenante condamnait l'Etat français. « N'ayant obtenu en tout et pour tout en dépit de multiples démarches qu'une rencontre... dans des conditions `'délicates"... l'exécution du droit de visite assisté avait été rendue impossible par la carence de l'association missionnée pour ces rencontres »... En 2009, lorsque Justine et nous avions à nouveau pu avoir des relations, sans interférences de gorets du social, tout se passait plutôt bien. Puis, soudainement, après l'été 2009, toutes relations avec Justine étaient à nouveau impossibles.
En septembre 2009, Justine replongeait dans le pré carré de l'ARSEA, pas trop loin du presbytère d'Uhrwiller, dans un milieu qui m'est très fortement hostile, depuis des années. Cette magistratüre du coin, ces kapos du social, de l'OSE France ou de l'ARSEA et le pasteur Clementz sont vraiment très drôles, surtout lorsqu'ils soutiennent qu'ils ont pu permettre à mon aînée de renouer avec sa « famille paternelle ». Les tensions et la « forte animosité » remarquée par la chambre civile, à mon encontre ainsi qu'à l'encontre de ma famille, sont perceptibles jusque dans le faire-part de décès de ma mère. En mai 2006, ma fille cadette avait 3 ans. Dans ce faire-part de décès, l'une de mes deux filles est inexistante...
De mon point de vue, quelques juges de Nanterre et des collèges ou ramas de juges de Versailles, des crevures du social et quelques autres créatures bienfaisantes tel que ce pasteur d'Uhrwiller et sa soeur ont plutôt le mérite d'avoir fait exploser ce qui était la famille naturelle, la vrai famille paternelle de Justine. Le 20 décembre 2010, je reçevais encore une lettre du Défenseur des enfants, il regrettait de ne pouvoir « intervenir dans une procédure déjà engagée », puis il concluait « En souhaitant à Justine de pouvoir construire sereinement sa vie d'adulte et dans les meilleures conditions, je vous prie de croire... »
Républicain Lorrain, 3 mai 2006
« Justine ne souhaitait pas revoir son père disant attendre de lui une réponse affective et non uniquement judiciaire et procédurière » ? C'est un laïus qui a été très souvent repris au cours de ces dernières années, notament par le cafard de Justine, Maître Delphine Roughol. Ces juges et professionnels de la Dass ont à mon humble avis un esprit particulièrement limité, et même très franchement étriqué. De la part de travailleurs sociaux, ce n'est pas très surprennant ?
Pareils écrits dans un arrêt de cour d'appel, de la part de magistrats professionnels, c'est assez grotesque aussi. Je croyais les juges aptes à prendre un peu de recul, je les pensais capables de discernement, aptes à prendre un peu de « distance » comme ils le disent parfois, dans leur propre jargon. « Pas d'affect pour sa fille », c'est une allégation qui manquait encore dans la pile de papiers que j'ai rassemblés au cours de toutes ces années. A chaque fois que je rentrais dans un prétoire, j'en ressortais avec de nouveaux écrits. Les juges, le pasteur, le procureur, les travailleurs sociaux et Maître Roughol m'ont assez souvent reproché de les avoir trainé dans des prétoires, d'où ils sont parfois sortis piteux, touchants, vivement déçus... Jamais je n'aurais imaginé qu'ils articuleraient pareils reproches dans une même allégation, une supposée absence d'affect de ma part, pour ma fille Justine, articulée avec le reproche d'avoir trainé des crevures d'abord dans des prétoires, puis jusqu'à la cour de cassation.
Lorsque j'ai expédié « Fuck You » de Lilly Allen, puis des suppositoires à l'Elysée, mes envois ont pu parvenir au chef de l'Etat, à Nicolas Sarkozy, ou au cabinet du président de la république française. A mon avis, ces envois ne sont pas parvenus à ma fille Justine. De même, lorsque j'expédiais un poussin crevé à Rachida Dati, Garde des Sceaux, Ministre de la justice, je ne pense pas que mon paquet parvenait à ma fille aînée. Car dans tout ce brouhaha, je crois distinguer mes enfants de ceux que je provoque parfois, je crois distinguer aussi mes enfants de ceux que j'ai trainé dans des prétoires, après y avoir été moi-même convié, très souvent, non par ma fille Justine, mais par d'autres individus ! Ces individus et le parquet n'assument pas...
Moi, « procédurier », selon des juges et ces travailleurs sociaux ? Qu'est-c'qu'on s'marre lorsque cette justice s'est vautrée ! En janvier dernier, une chambre civile de Versailles a infirmé une décision rendue par le juge des tutelles d'Antony ; sur cette voie souvent pénible et douloureuse aussi, l'étude de Maître Charles Halter a beaucoup et souvent été trainée dans la boue. Pour obtenir ce jugement, en janvier dernier, j'ai du travailler durant cinq années environ. La chambre civile ne m'a pas débouté, ne m'a pas condamné aux dépens, ne m'a pas condamné en raison d'un « abus de l'utilisation d'un droit ». La chambre civile a bel et bien infirmé une décision du juge des tutelles d'Antony. Bien sûr, ça peut faire chier autour de moi, surtout ceux qui échouent ou perdent, mais se défendre dans des prétoires, c'est encore légal et même assez souvent conseillé !
D'ici quelques temps, si Justine se faisait elle-même un peu mieux conseiller, elle pourra tirer profit de cet arrêt rendu par la chambre civil, en janvier dernier, s'en emparer à son tour et présenter une facture à l'étude de Maître Halter. En effet, comme cette étude a parfois travaillé bizarrement, puis n'a rien foutu ou rien pu faire pendant plusieurs années, les juges ont infirmé un jugement d'Antony. Mais ces juges ont tout de même désigné un administrateur ad'hoc, en raison d'une « forte animosité » à mon encontre, dans le cadre d'une succession de la famille maternelle. D'ici quelques temps, cet administrateur ad'hoc pourrait donc lui-même présenter une douloureuse à Justine, en personne...
« Procédurier », c'était une idée originale du juge Anne Valintini, de l'OSE France ou de Claire Davidson (une psychologue ou nicienne). Il fallait bien que ces gens trouvent un moyen pour se défendre, pour me répondre, et pour motiver leurs choix. Je pense que pour ces gens, il était impératif que je sois durablement discrédité, mes discours étaient déjà bien trop incisifs, notament mes discours contre Richard Josefsberg. A l'époque, j'étais à mon avis mal conseillé ; j'aurai du à plusieurs reprises tenter la récusation du juge Anne Valentini, elle tombait à coup sûr, au plus tard, fin juin 2005.
« Procédurier »... C'est bizarre. Début décembre 2008, à la cour de cassation, alors que je me défendais en personne contre le juge Serrier, la Cour ne m'a pas fait de reproches particuliers. Bien au contraire, le 17 décembre 2008, Xavier Serrier et la cour d'appel de Versailles se faisaient moucher par un arret de rejet, mais très bien motivé. Je n'en demandais pas plus. Début 2008, nous Justine et nous n'avions plus de relations depuis près de 3 ans, elles avaient été interdites par les juges. J'avais du sommer Xavier Serrier de juger. A l'époque, j'ai d'abord du convaincre un huisser de justice, il devait délivrer mes sommations. Plus tard, j'ai du convaincre un avoué afin qu'il glisse une requête auprès de la première présidence. Ensuite, j'ai du pousser le tout à la cour de cassation alors que la greffière en chef m'assurait que je me ferais débouter et condamner... Pendant tout ce temps, Justine et nous avions pu renouer. Mes enfants étaient même assez contentes d'avoir pu se retrouver.
« Procédurier » ? C'est un concept, une stratégie de défense que les époux Clementz ont assez souvent adopté, par exemple, en ne se présentant pas à la cour d'appel, en ne répondant pas au téléphone, en ne retirant pas leurs courriers recommandés... Maître Delphine Roughol se débrouille également assez bien à ces jeux là, négocier ou imposer renvois sur renvois, y compris dans le cadre de procédures plutôt urgentes, en référe.
« Procédurier », laissez moi rire, franchement. Les juges se sont-ils relus, cet arrêt serait-il truffé d'erreurs de plume ? Selon ce même délibéré du 1er avril 2011, « En substance j'indiquais en personne que depuis la fin de l'été 2009 je ne faisais même plus appel de la mesure de placement... » Pourquoi faire encore appel, puisque à Versailles, les juges avaient pour usage ou coutume de me débouter, systématiquement ? Je n'ai perçu qu'un réel changement auprès de la chambre civile, surtout après la cassation d'octobre 2010 et alors que je disposais d'une épaisse pile d'éléments matériels dans mes mains. Je crois qu'avec ce qui s'est passé depuis septembre 2009, il apparait plutôt que personne ne revient ou ne s'adresse à moi si je ne fais pas convoquer moi-même des adultes, dans des prétoires !
« Procéduriers », ainsi qu'une « forte animosité » à mon encontre ? Il est vrai que le cabinet du juge Anne Valentini ne fonctionnait que de façon très erratique, jusqu'à oublier parfois de me notifier des décisions, jusqu'à me notifier occasionnellement de façon tardive aussi, etc, etc. Je reste persuadé que ce juge des enfants avait fini par avoir elle même très peur de mes discours, je l'avais d'ailleurs bien perçu, en cours d'audiences. Puis après avoir été affectée dans un autre secteur que le notre, Bagneux, Anne Valentini avait tout de même décidé de conserver le dossier de mon ainée entre ses mains ; Anne Valentini et moi-même vennions alors d'avoir un échange très virulent, dans son bureau.
A la cour d'appel, j'ai plutôt trouvé les juges eux-même toujours très à cheval sur la procédure, très à cheval tout en étant parfois aussi extrèmement restricfifs sur l'interprétation du droit. En décembre 2009, la Cour a refusé mes appels de simples correspondances du juge pour enfant. Pourtant, d'après un guide de la protection de l'enfance, il pouvait être possible de faire appel de simples lettres d'un juge pour enfant. En faisant appel de ces simples lettres, je souhaitais alors d'abord pouvoir me référer à des évènements récents et nouveaux, figurant alors au dossier du juge pour enfant de Nanterre. D'une certaine façon, j'anticipais déjà l'arrêt rendu un an plus tard, par la cassation, nous apprenant que « il incombait à la cour d'appel de se placer au moment où elle statue pour apprécier les faits »...
Selon un article du Monde du 7 janvier 2010, Une encombrante voisine, Madame Clos aurait été procédurière. Je prend l'information avec les réserves qui s'imposent, ce n'est jamais qu'un article du Monde, un lynchage de précaution : « grâce à l'aide juridictionnelle qui assure aux plus démunis une prise en charge par l'Etat des honoraires et frais de justice, Chantal Clos a multiplié les actions, réclamant systématiquement des dommages et intérêts. » Maître Roughol est à l'aide juridictionnelle, versée par l'Etat. Les époux Clementz sont tiers digne de confiance et bénéficient d'une petite enveloppe mensuelle pour s'occuper de Justine. Mais depuis des années, les époux Clementz bénéficient surtout d'un très franc et nauséabond soutien du parquet et de la magistratüre du coin. Les travailleurs sociaux et les psychologues ou psychiatres désignés par les juges ont aussi bénéficié d'enveloppes, pour des missions, ainsi que du franc soutien de magistrats. Deux années de placement d'un enfant à Taverny representent une somme d'environ 100 000 euro, payés par la collectivité.
Je ne suis pas à l'aide juridictionnelle, lorsqu'il me faut un avocat ou le concours d'un huissier, je dois mettre la main à la poche. Sur 8 ans, j'ai du lâcher des euro par milliers. En cassation, en 2008, contre le juge Xavier Serrier, je n'avais même pas envisagé de réclamer des domages et intérêts, j'attendais tout autre chose de cette procédure précise ; la cour de cassation a rappelé le droit et dans le même temps, nous avions pu renouer avec Justine, puis tard, passer l'été 2009 en famille.
Justine souhaitait une « réponse affective » ? Que signifie ce charabia, « pas d'affect » ? D'après des professionnels du social, je n'aimerais pas ma fille ainée, et je ne ferais que m'amuser à répondre, à répondre à leurs mensonges et calomnies... Si ces gorets, le ministère public, ce pasteur et sa soeur n'étaient pas entrés dans nos existances et s'ils n'avaient pas arraché Justine de ma famille et de la région parisienne tout en nous interdisant toutes relations avec elle, je n'aurai pas eu à les faire convoquer et reconvoquer tous dans des prétoires. A versailles, en cours d'audience, des hypocrites en robe noire ont cependant assez souvent rassuré Justine, lui disant : « ton papa t'aime, ou il ne serait plus ici, à la cour d'appel » !
En mars 2008, le magazine Maxi a peut-être été excessif en publiant « je suis coupable d'aimer ma fille », l'auteur ou ceux qui l'ont renseigné se sont peut-être trompé de dossier. Cependant, avec le recul, le magazine Maxi avait éventuellement raison, surtout s'il s'est au préalable adressé au ministère public afin de se faire une idée plus globale de la situation de Justine. Une chose est plus certaine, les juges et Xavier Serrier m'ont beaucoup et souvent repproché la parution de cet article, dans Maxi. Et pour Maxi, la décision de justice était alors « incompréhensible »...
Maxi n° 1114, du 3 au 9 mars 2008
Je pense qu'effectivement, mes « réponses judiciaires » ont pu assez souvent ennuyer ma fille aînée, surtout à partir de son adolescence. Mais je crois que ces mêmes « réponses judiciaires », à chaque fois jugés légitimes par des juges, ont d'avantage ennuyé des adultes auxquels je me suis adressé au cours de ces dernières années, dans des prétoires, ainsi qu'encore dans cet ultime billet, publié sur Internet.
Je pense qu'en guise « réponses » ou de commentaires de cet arrêt du 1er avril 2010, ce sera à présent suffisant. S'il me venait encore quelque chose d'important ou drôle à l'esprit au cours des prochains jours, je l'ajouterais. J'ai maintenant surtout d'autres chats à fouetter, par exemple, sortir, beaucoup encore, et me distraitre également.
On rigole beaucoup à Versailles... et on peut s'amuser à Paris aussi
Il faut que je pense aussi un peu plus sérieusement à la cassation. Depuis que j'ai vu cet arrêt dans le JDJ de mars 2011 et vu mes conclusions déposées le 4 mars dernier, notament la page 30, je crois qu'un bon pourvoi est susceptible de passer à nouveau, un peu comme une lettre simple, par la Poste. Les juges viennent d'estimer que cet ultime passage à la cour d'appel était devenu « sans objet ». Pourtant, la situation actuelle de Justine est encore assez similaire à celle de juin 2008, elle est toujours « placée », en internat, et à mon avis, toujours « placée » sans raisons valables. Lorsqu'on a fini déplucher ces jugements et ces arrêts, leurs « motivations » semblent plutôt être des plus farfelues et fantaisistes.
Il faut également que j'approfondisse maintenant un peu plus le cas Adolf Eichmann, peut-être un personnage d'une assez banale et courante inhumanité administrative, un très zèlé ou dévoué haut fonctionnaire, peut-être un Maurice Papon, ainsi qu'approfondir un peu le procès Eichman qui s'était déroulé à Jérusalem, à quelques controverses ou polémiques sur ces thèmes. J'aimerais surtout éviter d'écrire n'importe quoi, ni risquer de susciter trop l'hilarité parmi des historiens, ni susciter non plus une très franche et virulente indignation au sein de quelques communautées ou associations juives.
Adolf Eichamn a été l'un des principaux architectes de la « solution finale » (Endlösung) ; « architectes » et non « artisants », car cette « solution » de destruction de masses a tout de même été poussée jusqu'à son industrialisation. Papon, s'en souvient-on encore, ou avons nous déjà quelques lacunes ou trous dans la Mémoire ? Papon, c'était d'abord Vichy. Or, pour ce qui concerne ma fille aînée, il ne s'agissait manifestement que d'une très courante « solution durable » et non « finale », une solution occcasionnellement « cruelle et exceptionnelle », mais rien de bien grave ou dramatique, juste des décisions « dans l'intérêt de l'enfant », et un de ces fabuleux « projets » habituellement élaborés et emplatrés par ces gens de robe, des spécialistes et ces professionnels de la protection de l'enfance. « C’est pas Auschwitz », c’est juste la Dass, et ce n'est vraiment que du bout des lèvres qu'il est envisageable de parler de La vie, après la Shoah.
Mais à tous ces sujets, quelques magistrats du coin martelleront que je n'ai rien d'un sachant quelque chose ou d'un pouvant démontrer quoi que ce soit. Par contre, le pasteur d'Uhrwiller, Isabelle Clementz, peut se contenter de « dire » et « d'expliquer », ce même coeur de magistrats confirmera systématiquement. Cependant, pour ce qui concerne la Shoah, l'Histoire et des recherches ou expérimentations plus récentes, il sera à mon avis tout de même préférable de s'adresser à des spécialistes autorisés, par exemple, ceux de l'OSE France. Kathy Hazan, historienne, peut parler de l'après Shoah, elle a contribué à la création de l'exposition « A la vie ! » Richard Josefsberg compte également parmi les autorisés et de vrais experts ou chercheurs de l'après Shoah. En cas de scandale, il faudra plutôt solliciter Jean-François Guthmann, il aura réponse à tout, c'est assez certain ; en 1993, il avait déjà pu préserver des emplois ou la réputation d'un fabricant de rillettes.
Pages: 1 · 2
Prochaine étape : jouer plus avec les scripts Live Helper, de la Debian
Je viens de relire un peu mieux et plus en détail l'arrêt du 1er avril qui me parvenait finalement par la Poste, ce matin. Même si ce qui a récemment été décidé par Versailles me convient, je peux me faire une raison, assez globalement, les motivations que je peux (re)découvrir depuis ce matin m'irritent, beaucoup même. Je vais prendre le temps de relire encore cet ultime arrêt, et de relire à nouveau quelques décisions rendues depuis début 2009, par le « nouveau » juge pour enfant de Nanterre.
En compulsant cet ensemble ainsi que de précédents arrêts ou jugements rendus par Versailles et sa première présidence, je pense pouvoir formuler à nouveau des critiques assez acerbes, des critiques qui feront à nouveau rire ma fille Justine, je l'avais déjà fait rire entre fin 2008 et la mi-2009. Je vais aussi transmettre ce nouveau package à mon avocat, à la cour de cassation ; il sera susceptible d'être déçu lui aussi, par ce qu'il va lire. Il n'y a rien d'urgent, j'ai quelques deux mois devant moi pour la cassation, faire déclarer un pourvoi, ce que le greffe vient de me rappeller, avec une pièce jointe à cet arrêt.
Il y a peu, j'ai redécouvert des outils permettant de créer aisément des DVD ou des images Linux prêtes à booter, sur la plupart des PC actuels ainsi que dans des PC virtuels tel que Virtual box. Ces systèmes, ces outils et ces émulateurs de PC, des logiciels libres comme le moteur de ce blog, b2evolution, sont aujourd'hui particulièrement flexibles, performants et efficaces. Par le passé, MAME ou Multi Arcade Machine Emulator permettait déjà d'émuler parfaitement des machines et des jeux des années 70 à 80. Aujourd'hui et sur du matériel moderne, nous pouvons toujours jouer au casse brique ainsi qu'à Space Invaders, avec des ROM ou programmes d'alors, il y a 40 ans...
Il y peu encore, au Sénat, j'ai fait sourire une spécialiste en droit à l'oubli sur Internet, quelque chose d'assez nouveau. Je lui ai expliqué comment j'envisageais de contourner efficacement le droit et des demandes émergeantes à travers l'Europe et le monde, des demandes susceptibles de porter bientôt atteinte à la liberté d'expression, des sortes de droits à la censure dans cet univers numérique, virtuel ou irréel diront certains, voire même des droits à des suppressions de données, sur Internet, tout simplement. Nous savons qu'à moins d'une perte ou d'une suppression de données, tout ce qui est actuellement publié sur la toile y figurera pour longtemps encore, « à vie » et probablement d'avantage. Pour s'en convaincre, il suffit de visiter archive.org ainsi que leur « way back machine », une machine parfois lente à répondre, mais à la mémoire d'éléphant.
En attendant de savoir quoi penser vraiment ou quoi faire au juste de ce dernier arrêt rendu par la cour d'appel de Versailles, je vais déjà travailler un peu plus avec les scripts Live Helper de la distribution Debian, une distribution stable, professionnelle. On peut évaluer ces outils de personalisation sur debian.net ou approfondir ces scripts chez soi. Je compte évidemment transférer un Linux, l'essentiel, et l'intégralité de ce blog sur un simple DVD. Ce que j'aurais rassemblé ici, au cours de ces dernières années, devrait ensuite être consultable en l'état, à partir d'un simple DVD ou d'une clef USB. Le contenu de ce blog sera donc consultable un peu comme un ouvrage gravé ou couché sur papier, pendant des décénies et bien plus encore, depuis un quelconque PC actuel ou avec un émulateur, lorsque nous aurons oublié ce que pouvait être un PC.
Fin mai 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier m'intimait d'oublier « mes dossiers », soit des affaires, des naufrages et des fiascos judiciaires qui concernent tous mon aînée. Plus tard, la cour d'appel de Versailles confirmait. Aujourd'hui, j'ai le sentiment que les juges du coin ainsi que d'autres personnes qui se sont opposées à moi au cours des dernières années ne souhaitent absolument plus évoquer tout ce passé et en aucun cas le décès de la mère de Justine, à Hospitalor, à Saint-Avold (57), ni de la moindre façon revenir sur ce qui s'est tramé depuis 2003, avec la caution des prétoires du coin. Je pense que c'est loupé et que ce sera d'autant plus vrai d'ici peu, lorsque ce DVD sera publié, sur Internet.
Fin mai 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier me lançait aussi qu'il en avait assez de lire mes citations.
Un top 10 des billets
Ma boite aux lettres semble être en panne, une panne assez sélective. J'attends toujours la notification de l'arrêt rendu ce 1er avril 2011, par la chambre des mineurs. A tout hasard, je vais appeller le greffe et me renseigner, j'espère recevoir bientôt cet arrêt. Mais mon facteur habituel ou celui de la cour d'appel de Versailles pourrait être en congé ou porté pâle ?
Je suis aussi toujours autant amusé par certains butineurs qui viennent s'échouer dans mon blog. Des mots clefs du jour, depuis Google : « trisomique têtu corriger ». En cherchant bien, cet internaute finira peut être par trouver un vieil ouvrage qui figure parmi mes références : L'enfance inadaptée, Anthologie de textes fondammentaux, Claude Wacjman, Privat, 1993. Mais même si ce blog est principalement consacré à des polémiques, à la justice et beaucoup à ce dispositif supposé protéger l'enfance en France, c'est Miss Paris nue qui a remporté le plus franc succès au cours des ces dernières années.
1 | 9458 vues | Kelly Bochenko : Miss Paris nue |
2 | 4425 vues | Sa justice me suggère de faire encore appel, septembre 2009 |
3 | 3860 vues | Pschitt du vol AF-447 : des pilotes accusent | 4 | 3714 vues | Une audience, ce 20 mai... en 2008 |
5 | 2855 vues | Une réponse du juge pour enfant de Nanterre, encore en avril 2008 |
6 | 2315 vues | « Peut-être qu'on s'est trompé », a dit le ministre, en octobre 2006 |
7 | 2177 vues | « Il y a des voies de recours », soutiendra JPR ? |
8 | 2146 vues | Quelques discours, le bon docteur et la naissance du récit noir |
9 | 2125 vues | A l'attention du chef de l'Etat et de son Ministre de la Justice, en octobre 2010 |
10 | 2040 vues | Christiane F., 46 ans, retrouve ses démons |
Je poursuis également mes lectures et mes prises de notes. Certaines m'irritent plus que d'autres.
Ce jour, TF1/LCI a publié un article assez long et particulièrement critique : Garde à vue : ce qui va changer, ce qui inquiète. Je suis rassuré, en cas de garde à vue, le recours à un avocat n'est toujours qu'un simple droit et non une obligation qui s'imposerait à tous. Je préfère avoir le choix, je ne souhaiterais pas un jour avoir l'obligation d'être enfoncé, d'être « assisté », alors qu'il est très souvent assez simple de se défendre en personne, même au cours d'une garde à vue.
Ces dernières années, j'ai souvent provoqué des professionnels de la Dass ou de cette justice ainsi que des autorités françaises, les incitant ou les invitant régulièrement à s'exprimer, à me répondre, à commenter quelques unes de mes publications ou propos. Depuis octobre 2008 et alors que je venais une fois encore de provoquer la chancellerie, ces mêmes professionnels et autorités ne se font plus que très discrètes. En m'aventurant sur ces voies, pousser un magistrat professionnel de son siège, je n'imaginais pas qu'il s'ensuivrait un tel silence, pareille retenue ou réticence de ces sphères.
J'adore la chute de cet article, sur TF1/LCI. Je la trouve particulièrement scandaleuse, indécente en cette période de morosité, voire même de franche austérité qui s'impose à mon avis au plus grand nombre. Une sortie sur Paris, ce 4 mai, pour rejoindre des professionnels de la justice ? Pourquoi pas, je pourrais saisir cette opportunité pour parler encore une fois, de cassation et de brutalité, de sauvagerie judiciaire, de cachoteries, de tromperies et de véritables escroqueries aussi... « très probablement dans l'intérêt de l'enfant », à moins que « c'est pas possible », me répondrait-on encore ?
Garde à vue : ce qui va changer, ce qui inquiète
Par Alexandra Guillet , le 12 avril 2011 à 06h00, mis à jour le 12 avril 2011 à 17:28, TF1/LCI, des extraits, dont la chute
Le Parlement a définitivement adopté mardi la réforme de cette mesure privative de liberté dont la mise en oeuvre, qui inquiète notamment les policiers, pourrait être brutalement accélérée par la Cour de cassation.
[...] Locaux et moyens inadaptés. L'étude d'impact de ce projet de loi évalue à 3.600 le nombre de locaux à aménager afin de pouvoir accueillir les avocats, pour un coût total de près de 21 millions d'euros. Mais aucun calendrier des travaux n'est encore prévu. La plupart des syndicats de police ont mis en garde depuis plusieurs mois sur cette impréparation. Ils ont également mis en avant le manque de moyens humains qui risque de se faire sentir, notamment les nuits et les week-end.
François Fillon a répondu aux craintes des policiers en chargeant récemment les ministres de l'Intérieur et de la Justice d'"une mission d'audit et de suivi" sur la réforme.
[...] La profession, qui a été la première à demander une évolution de la loi, s'inquiète toutefois des moyens attribués à la réforme. Le CNB a d'ailleurs appelé à une manifestation à Paris le 4 mai pour une augmentation du budget de l'aide juridictionnelle. Le ministère de la Justice avait prévu d'augmenter l'enveloppe de 15 à 80 millions par an mais elle est jugée très insuffisante par la profession.
Par Alexandra Guillet le 12 avril 2011 à 06:00
Un tour de manège « sans objet »
Pour un 1er avril, j'ai été servi. J'attends que le délibéré rendu ce jour, par Versailles, me parvienne par la Poste.
Cet après-midi, en cours d'audience et alors que la Cour m'exposait son arrêt, j'ai commencé à rouspéter, puis j'ai mis mon éteignoir de la raison sur la tête. La Cour m'a fait comprendre que c'était « inutile », ce que je savais. A quoi servait alors de rouspéter ou de contester puisque la Cour ne pouvait d'aucune façon revenir sur la décision qu'elle vennait de rendre ?
On pourrait maintenant me conseiller la cassation, un ultime pourvoi, pour pas grand chose de plus... J'ai deux mois pour y réfléchir. A partir de ce jour, j'ai surtout définitivement du temps et l'esprit libre, à consacrer à d'autres choses.
« Conseillez lui l'appel. Je n'y vois pas d'inconvénient... »
Gens de robe, page 250, par C. Rideo, Paris, 1912
Pages: 1 · 2
Au parquet général de Versailles
Comme je l'avais prévu, je vais à nouveau écrire au parquet général de Versailles, le ministère public du coin. Ce 4 mars dernier, je n'ai pas rencontré de difficultés particulières à la cour d'appel, même si j'y arrivais avec mon éteignoir de la raison. Mais pour ce 1er avril qui suit, je préfère avertir que je reviendrais encore une fois avec ce même entonnoir.
Je pense que je vais simplement copier/coller et poster la bafouille qui suit, avec deux pièces jointes.
Ajout du 19... Avant d'imprimer, je dois compléter une phrase au moins, il manque le mot « crevures », « n’ont peut-être que convaincu les crevures, les ouailles ou les oies qui »...
Ajout du 29 mars... C'est (e)posté : LR_20110329_1E00123645737_PD.zip
Lettre ouverte
Messieurs,
Ce 4 mars 2011, après cassation et annulation d’un arrêt rendu en mai 2009, par la cour d’appel de Versailles, j’étais reconvoqué par la chambre des mineurs de cette même cour, encore dans le cadre d’une affaire « d’assistance éducative ». Cette affaire « sensible » et « signalée » concerne beaucoup ma fille ainée, aujourd'hui bientôt majeure.
Je vous rappelle qu'en effet, ma fille ainée a été « placée » et « sauvée » ou « aidée » par des travailleurs ou des gorets du social de l’Oeuvre de Secours aux Enfants France, puis de l’ARSEA Alsace. Au cours de ces dernières années, j’ai très souvent contesté et critiqué le « placement » de mon ainée ainsi que le « travail » accompli par ces mêmes « professionnels », jusqu'en cassation. Cela a encore été discuté ce 4 mars, à Versailles.
Ce 4 mars, j’arrivais à la cour d’appel de Versailles avec un entonnoir. En cours d’audience, cet objet a fini par intriguer l’Avocat général. Il l’a fait examiner par un policier, en présence de la Cour. C’est un très banal éteignoir de la raison, la justice a pu le constater.
Devant la Cour, je mettais aussi ce chapeau du plus fou sur ma tête pour expliquer rapidement que, début septembre 2010, j’avais déjà porté ce même éteignoir devant l’IHEJ et l’ENM de Paris, alors qu’il s’y déroulait une formation sur le thème de la justice et de la « psychiatrie », précisément. J’assume, à huis-clos, en chambre du conseil, ainsi qu’en public, à Versailles et même dans Paris.
Début décembre 2009, je contestais encore le contenu du dossier « d’assistance éducative » de ma fille ainée. Je critiquais à nouveau un très ancien avis ou expertise « psychiatrique » ; cet avis produit début 2006 figure toujours à ce dossier « d’assistance éducative », parmi les éléments qui ont « motivé » le « placement » de ma fille ainée. Début 2010 et malgré toutes mes critiques, la cour d’appel de Versailles me refusait encore une contre expertise « psychiatrique ». J’ai fini accepter cette situation ; plus récemment, je ne réclamais d’ailleurs même plus la moindre nouvelle « expertise » ou contre « expertise ».
Cet avis « psychiatrique » de 2006 me concernant fait état d’un « antécédent familial ». En effet, cet avis souligne d’abord que ma sœur ainée est trisomique. Puis après un court développement et sans plus de précisions, cet avis « psychiatrique » fini par conclure que, « dans certaines situations, sous certaines conditions », ma « personnalité » pouvait faire encourir un « danger » au « psychisme » de ma fille ainée… Je n’avais plus essuyé railleries et débilités similaires depuis l’école primaire, voire même depuis la maternelle, il y a bien plus de 30 ans. Mais j’ai donc fini par accepter cette situation et par assumer, en chambre du conseil ainsi qu’en public.
Je vous rappelle également, une fois de plus, que ma mère a longtemps été « une femme déterminée et très dévouée à la cause des personnes handicapées ». L’AFAEI de Sarreguemines (57) pourrait très certainement vous le confirmer. J’ai moi-même été sensibilisé assez tôt à cette même cause, le handicap, notamment mental, ainsi qu'à certains troubles ou déficiences avérées, telles qu'intellectuelles. Je vous joins une fois encore un faire part de décès paru le 3 mai 2006, dans un quotidien régional, le Républicain Lorrain.
A la présente, je vous joins également des extraits d’un article publié il y a peu, dans mon blog : « Une sortie à Versailles, à l'occasion du 1er avril prochain ». La justice a donc déjà pu examiner mon beau chapeau du plus fou. Je reste à votre disposition si vous souhaitiez un jour également débattre, publiquement et avec « humanité », qu’il s’agisse de « psychiatrie », de palabres ou de « motivations », de « sauvetage » d’enfants, de décisions de justice rendues ces dernières années par Nanterre et par la cour d’appel de Versailles, ou même qu’il s’agisse de liberté d’expression.
Vous finirez peut-être tout de même un jour par mieux lire, puis par souhaiter débattre ? Vous pourriez alors bientôt vous apercevoir que certaines insanités ayant motivé le « placement » de ma fille ainée n’ont peut-être que convaincu les ouailles ou les oies qui les ont rendues, qui ont rapporté ou qui ont requis, dans le secret de la chambre du conseil. Mais s’agissant beaucoup « d’assistance éducative », une affaire « d'ordre privé », vous ne pouvez peut-être pas vous extraire aisément de la chambre du conseil, pour vous lever et requérir en public, comme a souvent été requis à huis-clos.
En octobre 2010, cassant et annulant un arrêt rendu en mai 2009, par Versailles, la cour de cassation renvoyait donc à nouveau à Versailles. Suite à cela, puis après cette audience du 4 mars 2011, devant un collège « autrement composé », ce 1er avril prochain, la chambre des mineurs rendra un ultime arrêt dans le cadre de cette affaire « sensible » et « signalée », le « placement » de ma fille ainée. Je reviendrais alors bien évidemment à la cour d’appel de Versailles avec mon bel éteignoir de la raison. J'ai hâte de prendre connaissance de cet ultime délibéré que rendra très prochainement la Cour.
Je vous prie de croire, Messieurs, en d’assez cordiales salutations.
P.S. : Ce 4 courant, j’ai pu constater que Monsieur Olivier Echappe préside toujours à Versailles. Vous pourriez donc occasionnellement le croiser dans les couloirs. N’hésitez pas à lui présenter aussi ces mêmes salutations.
« Un constat d'échec », a repris le parquet
Correction du 7 mars au soir. Ce vendredi, en publiant ce billet, je me suis trompé de fichier ; on fini par s'y perdre... Ce sont ces conclusions-ci que j'ai commentées puis remises la Cour. Le document faisait 31 pages et non 30. Ce fichier a une page de plus et son contenu, mieux relu, est certainement plus mordant encore. La page de plus rappelle que les voies de recours sont réputées inopérantes, illusoires, lorsque le juge pour enfant est saisi.
En arrivant à Versailles, j'étais surpris car le nom de Olivier Echappe figurait encore sur le rôle, placardé à l'entrée de la salle d'audience. J'en ai fait part au greffier. Mais il m'a assuré que pour cette affaire, le « placement » de Justine, la Cour allait être « autrement composée », et ce fut effectivement le cas.
Comme d'habitude, à l'audience, on m'a souvent demandé d'écourter alors que je plaidais. J'ai même eu du mal, ensuite, pour remmettre des pièces à la Cour. En plaidant, j'avais fini par rappeler que, selon Nicolas Sarkozy, en France, la justice serait la même pour tous, la même pour ceux d'en haut et pour ceux d'en bas. Lorsque notre chantre national est victime, son avocat peut plaider durant trois heures... Je n'ai pas le sentiment d'avoir parlé autant, cet après-midi, à Versailles. Mais j'ai pu être assez bien entendu. Le parquet m'a d'ailleurs repris. En effet, tout comme moi, constant que Justine sera bientôt majeure et vu l'évolution de sa situation depuis juin 2008, l'avocat général a également demandé à la Cour d'établir un constat d'échec. Quoi demander ou requérir d'autre ?
Au moment de sortir des pièces et des conclusions de mon sac, mon entonnoir ou ce chapeau de fou a roulé par terre, faisant un grand bruit. Plus tard, n'y pretant aucune attention, j'ai mis un coup de pieds dedans, ce qui a encore fait raisonner cet entonnoir en métal. L'avocat général a fini par réagir et par m'interroger : « qu'est-ce ? On dirait un micro, dedans. » Je l'ai ramassé, puis le mettant sur ma tête, j'ai expliqué qu'il m'avait servi à faire le fou devant l'IHEJ ; puis j'ai ajouté que je n'avais été ni enfermé, ni interné. Mais rien que cet étouffoir de la raison sur ma tête semblait avoir suffit à scandaliser la Cour... Un policier a ensuite pu vérifier mon entonnoir ; il ne contenait aucun micro ou dispositif d'enregistrement.
Le pasteur Clementz et son époux, le généraliste, n'étaient pas présents. Justine et les gorets de l'ARSEA ou du social n'étaient pas présents non plus. L'absence de Justine n'était pas gênante, cela a été discuté.
Au premier plan, un arrêt du 6 janvier 2011 qui infirmait une décision du juge des tutelles
J'aurai pu parler des heures durant. J'avais d'ailleurs apporté de nombreux écrits et des livres à ces fins : Le droit antisémite de Vichy, Intervenir auprès des enfants et des adolescents pour la prose de Richard Josefsberg, le DSM-IV-TR pour un cas clinique, Croire et détruire, Gens de robe, Voleurs d'enfants, l'Essai sur les lois du doyen Carbonnier, etc...
J'ai peut-être pu plaider ou parler suffisamment. Puis, après une brève plaidoirie de Maître Roughol, le cafard de Justine, j'ai peiné, devant insister pour que la Cour accepte mes conclusions du jour et surtout leurs pièces jointes. Je pense que pas grand monde n'imagine à quel point il peut être dur, voire impossible de faire accepter des éléments à décharge, y compris lorsque ces éléments à décharge sont des décisions de justice dites définitives ou irrévocables.
Délibéré, ce 1er avril prochain.
Nanterre pourrait bientôt convoquer
Je peux anticiper, moi aussi, et également dormir bien, comme tout le monde, avec la conscience tout à fait tranquille. Je vais reécrire à Nanterre. Ce prétoire devrait convoquer sous peu, pour fin juin ou tout début juillet.
Cette dernière lettre est prête. Je n'ai plus qu'à l'imprimer un jour et à en faire un petit PDF.
Lettre ouverte - Ajout du 6/6, le PDF, avec des pièces jointes
Monsieur le juge pour enfant,
Fin avril dernier, par lettre ouverte que j’ai postée tardivement, je vous informais que j'avais fait appel d'une décision du juge des tutelles. Ce juge venait encore une fois de rendre une décision sans aucun débat contradictoire, répondant simplement à une correspondance d'une étude de notaire. J'avais alors bien senti qu’il y avait eu un nouveau couac dont mes enfants et ma famille ont bénéficié, surtout Justine.
En effet, une autre décision dite de justice, rendue en mars 2007, par le juge des tutelles, n’a jamais été exécutée. Vous trouverez ci-joint copie de correspondances que Maître Charles Halter, notaire, m’a fait parvenir, il y a peu ; ces correspondances ainsi qu'un récépissé d'un RAR vous confirmeront qu’il y a bien eu d'ultimes couacs dans un dossier qui concerne principalement Justine. Il pourrait y avoir eu détournement de correspondances privées. Ce 24 juin, un ramas de juges de Versailles rendra un délibéré. Si Versailles juge conformément à ses coutumes et usages médiévaux, ce 24 juin, la décision que je contestais sera confirmée en tous points. Il me semble que le nouvel assistant récemment désigné par le juge des tutelles, pour remplacer le précédent administrateur ad'hoc, est notaire. Un notaire et le fonctionnement de telles maisons, des études, est forcément irréprochable, comme le sont tous juges et cabinets ou prétoires, tous sont parfaitement neutres, dignes de confiance, comme tout pasteur ou corbeau, d'utilité publique, comme tout goret du social et ces maisons d'enfant de l'OSE France. Vous pouvez donc déjà balayer tous ces éléments ; ce qui suivra sera encore fabuleux ; qui, hormis moi, pourrait en douter ?
Il me parait important de vous rappeler que ma soeur aînée est trisomique et que vos experts, vos prédécesseurs ainsi que le ministère public, s'emparant de cet « antécédent familial », ont conclu que je serai dérangé, parano et même très dangereux (mais pour qui?), surtout lorsque je parle de tous ces couacs aux divers dossiers qui concernent d'abord ma fille aînée - mais je me sens très souvent un peu concerné, moi aussi.
Je vous informe qu’il y a peu, j’écrivais à Madame Michèle Alliot-Marie (MAM), notre Garde des Vélodromes. Le cabinet du Ministre de cette justice franco-moldave m’a répondu, me retournant ma propre correspondance, avec quelques traces et marques ; quelqu'un pourrait m'avoir bien lu, probablement la ministre ou quelqu'un d'assez proche, éventuellement son chef de cabinet ; je pense que la nièce de MAM a fait une grosse boulette, mais est-ce grave ? Je vous joins un extrait de cet échange. J’ai depuis quelques temps le très net sentiment que la chancellerie a perçu que quelque chose ne tourne pas très rond au voisinage et dans certains prétoires du coin, ainsi que dans divers dossiers ou affaires qui concernent principalement ma fille Justine. Mais vous pouvez aussi balayer tout cela, ce ne sont jamais que des affaires et histoires « d'ordre privées » et surtout des « difficultés familiales ».
Votre greffe devrait sous peu convoquer, pour une ultime audience à Nanterre, à huis clos, chez le juge pour enfant. En effet, en décembre dernier, le magistrat rapporteur de la chambre des créatures inférieures de Versailles affirmait que la quille, ce n'est que beaucoup plus tard. Vos mesures provisoires se prolongeront encore jusqu’à la fin 2011. En janvier dernier, motivant mieux, Versailles confirmait en tous points. Votre greffe devra donc forcement convoquer puis vous jugerez à nouveau, peut-être une ou deux fois encore, histoire de pousser le bouchon, jusqu’à l'automne 2011 au moins.
Je vous rappelle ce qui suit, de mes écrits à votre attention, du mois de mars dernier : « Si vous décidiez de convoquer prochainement une audience pour débattre […], je ne suis pas certain de répondre ni d’ailleurs de me faire représenter. En effet, […], je pense maintenant avoir fourni bien assez d'éléments et je ne supporte plus, ne serait-ce que très occasionnellement, de croiser encore, de discuter toujours avec ou en présence d'obscurantistes, de scientistes, des sortes de révisionnistes, voire, peut-être même, des négationnistes. D'autre part, Justine est aujourd’hui largement en âge de parler elle-même… Mais selon l’issue de ces débats, s'il y en avait, je me réserverais tout de même la possibilité de faire éventuellement appel de votre décision, de faire ensuite l'effort, un très gros, puis de présenter quand même à la Cour de précédents constats d’un ORL, voire un peu plus. »
Je vous rappelle également cet extrait, de mes écrits à votre attention, d'avril ou mai dernier : « Dans votre correspondance du 22 mars 2010, vous me suggériez de contacter l'ARSEA afin, probablement, de leurs parler de ces problèmes de santé dont se plaint ou parle parfois ma fille Justine. Entre juin 2008 et septembre 2009, j'ai bien essayé de discuter avec les gorets de l'ARSEA. Depuis, je n'ai plus aucun contact avec ces professionnels. Eux-même ne me sollicitent ni ne m'informent jamais. Je n'ai plus l'intention d'échanger quoi que ce soit avec ces gens là. »
Pour cette prochaine audience et des débats qui pourraient suivre, je vous rappelle aussi plus globalement mes trois dernières correspondances que je vous adressais vers novembre 2009, en mars, puis en avril ou mai 2010, avec un bilan du moment. Ces correspondances ont peut-être été versées au dossier d'assistance éducative de Justine, sans quoi, tant pis. Dans la présente, vous pourriez encore une fois percevoir un peu de satire, quelques très franches moqueries et railleries, beaucoup de cynisme aussi, autant, sinon plus que dans les précédentes correspondances que je vous adressais. Vous lisez bien et je pense que vous êtes à présent suffisamment éclairé par mes soins. Pour le reste, l'ARSEA Alsace rapportera, Maître Delphine Roughol complètera avec ses persiflages puis, ensuite, le pasteur d'Uhrwiller, lui même toujours très prolixe en chambre du conseil, pourra encore prêcher ou dire et tout vous expliquer, mieux que quiconque.
Je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de mes plus respectueuses salutations.
Copie à MAM, Garde des vélodrômes, Ministre de cette justice
P.S.: J'insiste bien, je maintiens et rappelle l'intégralité de mes correspondances qui vous parvenaient ces derniers mois, même si je n'en cite que des extraits dans la présente, par exemple, celui-ci : « Dans les faits dont vous ignorez peut-être tout, ce sont d'autres que moi qui exercent l'autorité parentale sur ma fille Justine, depuis 2004 au moins. A l'occasion, vous pourriez envisager de me déchoir pour ne plus m'accorder qu'un simple droit très occasionnel et approximatif de surveillance sur ma fille aînée, ce serait plus conforme à ce que je peux encore exercer - car j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays. »
Pièces jointes :
- récépissé d'une correspondance RAR adressée à un administrateur ad'hoc,
- copie de la réponse, des correspondances que Maître Charles Halter, notaire, m’a fait parvenir, peu avant l’audience à la cour d'appel de Versailles, ce 25 mai dernier,
- copie d'une correspondance du chef de cabinet de MAM ainsi qu’une feuille ou deux, de ma propre lettre et pièces jointes, que ce cabinet me retournait, comme annotées
Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice, lorsqu’on va, pour ainsi dire, noyer des malheureux sur la planche même sur laquelle ils s’étaient sauvés. • Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, Montesquieu, 1721
[ Quand les situations n'entrent pas dans le cadre des nouveaux modèles de réussite, quand les enfants ont des réactions et des attitudes qui ne ressemblent pas aux images de « l'enfant du divorce » forgée par notre société, ] ceux qui se tournent vers la justice pour qu'elle dise la norme et tranche un conflit de droit ne rencontrent qu'une institution désemparée. Faute de savoir répondre à leur demande, la justice ne peut que mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour étouffer les différends. Le démariage. Justice et vie privée, Irène Théry, Odile Jacob, 1993, reédition de 2001, pages 239-240.
Un nouveau voyage
En novembre dernier, l'ARSEA Ostwald rendait un rapport me reprochant d'être « virulent à l'égard des services sociaux en général » et selon lequel j'aurai des « combats » à mener qui, manifestement, ne permettraient pas à notre couple d'élever nos deux enfants, quelque chose de cet ordre - pour plus de détails, voir ces conclusions, déposées à la cour d'appel de Versailles, l'an dernier. Depuis cette période, et selon la proposition qu'ils ont faite au juge pour enfant de Nanterre, ces gorets du social s'occupent d'aider ma fille ainée à « faire le deuil de son père idéal »... un père qui critiquerait, bavarderait et contesterait moins ? L'ainée reste « placée », en Alsace, à l'internat, jusqu'à la fin 2011 ; c'est un juge de la cour d'appel qui l'a affirmé, début décembre dernier. J'ai donc du temps à consacrer à des voyages et sorties.
J'ai lu le verso de l'amende majorée qui me parvenait hier. Je vais rapidement formuler une réclamation « justifiée ». La police nationale n'a pas pu voir mon véhicule personnel à Puteaux, le premier octobre 2009, j'en ai la preuve, assez flagrante - une preuve dont je n'ai pas parlé et que je vais réserver pour cette « réclamation », un placet dont on se souviendra longtemps. Plus tard, je pourrais raconter à mes petits enfants que l'aînée restait « placée », malgré mes critiques « virulentes », et « aidée » par l'ARSEA, le pasteur d'Uhrwiller, un cafard et le juge pour enfant de Nanterre pour me permettre un jour de répondre, comme un truand, à l'Officier du ministère public près le tribunal de police de Puteaux.
En marge de ce nouveau voyage ou périple judiciaire et alors que je viens de relire ces conclusions de décembre dernier, je me dis que je vais bientôt aller déposer une plainte en raison de non représentation d'enfant. Selon le dernier rapport de l'ARSEA que j'ai pu lire, d'après leur propre perception ou interprétation du jugement du mois de juillet 2009, confirmé en tous points en janvier dernier, par la cour d'appel de Versailles, la « mission de ces gorets est d'être intermédiaire entre Justine et son père afin d'organiser les droits d'hébergement ». Cette plainte sera très probablement « classée d'office », voire refusée par la police, c'est classique, à moins qu'elle ne se perde et ne parvienne jamais au ministère public.
Un recommandé m'attend à la Poste ; ce lundi, un huissier de justice est encore parti butiner, sur le net. Ce jour, j'ai découvert le billet d'un autre blogueur, de Puteaux ; il semblerait toujours qu'on ne peut pas publier n'importe quoi.
Le verso d'une amende majorée
Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège
Je ne vais pas attendre la fin mai, une audience à Versailles, puis d'avoir lu l'ultime lettre de cachet que rendra ensuite la cour d'appel. J'ai tranquillement rédigé et vais faire parvenir une lettre ouverte au juge pour enfant de Nanterre. Je suppose que le juge Thierry Baranger, « clinicien judiciaire », est toujours saisi du dossier de ma fille aînée.
Quelques uns de mes lecteurs pourraient encore être scandalisés par ce que j'envoie maintenant à ce magistrat du siège. Je leurs répondrais comme je pourrais répondre à un Mégel, à un Supéri ou leurs soutiens, ces derniers acquiesceraient très certainement : des pros de la Dass ne devraient pas sodomiser les gosses, ce n'est ni merveilleux, ni éducatif.
Ce qui suit est à peine différent des conclusions que je déposais en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles. J'informais ou éclairais alors très bien ces professionnels : « Après avoir plaidé, M. KANT ne se lèvera plus jamais devant aucune Cour ni aucun juge français. » J'assume, tandis que ces cafards se défilent tous ou restent retranchés en chambre dite du conseil. En janvier dernier, je pensais qu'il allait y avoir un changement ; mais je n'ai alors été convié qu'à prendre un thé dans l'entresol du palais de justice de Paris... je venais de commettre une offense au chef de l'Etat français.
Je pourrais lui en écrire ou lui en communiquer plus, éclairer mieux le juge pour enfant. Mais il n'y a pas urgence ni aucun impératif ou nécessité, la quille ou la fin de ce « placement provisoire », c'est en fin 2011. Je n'ai plus qu'à imprimer cette lettre et ses pièces jointes, en deux exemplaires ; dans les prochains jours, je m'arrêterais à la Poste.
Madame Muller a également publié un petit bilan de ses affaires en cours, dans son blog SOS Parents Abusés ou Villages de Marly : Serait-ce de l'acharnement ? Avec d'autres, je continue à la soutenir dans ses démarches, je l'aide à résister ainsi qu'à agir un peu. Cette autre histoire et pratiques « professionnelles » présentent d'étranges similitudes avec les pratiques de l'OSE France et celles de l'ARSEA. Quant aux récents discours de Laurence Ferrari, ils me rappellent beaucoup ceux qui ont été promus par Enfance et Partage, en novembre 2007. Peut-on parler d'impostures ?
Mais ces derniers temps, en attendant des audiences ou d'autres conférences et sorties, je préfère me distraire. Je me suis détaché du flot de l'actualité pour me consacrer à plus utile mais également à beaucoup plus futile aussi. Depuis quelques jours, je regarde souvent pousser mes plantes en me demandant comment exploiter des vieilleries russes.
Lettre ouverte
Monsieur le juge pour enfant,
Par le passé, Madame Carole Bulow, le corbeau de cette histoire, avait affirmé que j'aurais un jour acquis une maison « à Rambouillet », d'une manière douteuse, voire ignoble (pièce n°9). A l'époque, les juges du secteur courraient déjà comme de beaux lévriers après un leurre. Aujourd'hui et malgré mes multiples remarques, je pense que cette correspondance de ce corbeau figure toujours à votre dossier, parmi de nombreuses correspondances et avis ou rapports de nature et aux fonds assez similaires : calomnieux et diffamatoires, à mon encontre. Je pense aussi qu'aujourd'hui, de grands naïfs et des magistrats - dont vous même - courent toujours.
Il y a peu, le juge des tutelles rendait une lettre de cachet (pièce n° 1) en faveur de l'étude de Maître Charles Halter. J'ai fait appel de cette décision ; la cour d'appel a convoqué pour le 25 mai prochain. Je me plaindrais alors de l'inexistence du contradictoire chez le juge des tutelles. Je critiquerais encore une fois le travail de l'étude de Maître Charles Halter. Je sais cependant que cette démarche est vaine ; je connais aujourd'hui très bien les coutumes et les usages de la magistrature de ce pays. La Cour soutiendra le juge des tutelles et blanchira l'étude de Maître Charles Halter, notaire.
Je ne sais pas si vous avez pu lire les conclusions écrites que j'ai déposé, en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles ; si elles vous intéressent, vous les trouverez facilement sur Internet. En octobre 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier, un indéboullonable ou, selon votre jargon, un inamovible, sautait de son siège (pièce n° 6) ; j'avais engagé une procédure de prise à partie contre ce magistrat professionnel ; vous pouvez avoir oublié ou vous pourriez tout simplement nier ce passé, tout ce qui s'est tramé depuis, comme certains de vos compères pairs qui trônent à Versailles. Depuis octobre 2008, vous avez eu de nombreuses opportunités de me lire. Vous m'avez aussi reçu et entendu. Vous avez également lu, reçu et entendu ma compagne.
En mars dernier, je vous informais que ma fille Justine semble souffrir de vertiges, depuis de nombreuses années maintenant (pièce n° 7). Selon votre correspondance du 22 mars 2010 (pièce n° 2), vous paraissez m'avoir compris. Cependant, selon cette même correspondance, je constate que vous avez simplement transmis aux gorets de l'ARSEA. Eu égard aux informations que je vous communiquais, je suis surpris que vous ne leurs ayez pas réclamé une note d'information. Mais par le passé, alors que Justine était placée dans un établissement de l'OSE France, le juge pour enfant de Nanterre et Versailles n'en auraient pas fait beaucoup plus (pièce n°10).
Dans votre correspondance du 22 mars 2010, vous me suggériez de contacter l'ARSEA afin, probablement, de leurs parler de ces problèmes de santé dont se plaint ou parle parfois ma fille Justine. Entre juin 2008 et septembre 2009, j'ai bien essayé de discuter avec les gorets de l'ARSEA. Depuis, je n'ai plus aucun contact avec ces professionnels. Eux-même ne me sollicitent ni ne m'informent jamais. Je n'ai plus l'intention d'échanger quoi que ce soit avec ces gens là. Je ne me fais cependant aucun soucis pour ma fille Justine. Le pasteur d'Urhwiller, la soeur du corbeau, tiers digne de confiance, son avocat ou cafard, Maître Delphine Roughol, ainsi que vous-même, bourreau juge pour enfant, veillez aux intérêts supérieurs de mon aînée. D'autre part, selon la cour d'appel de Versailles, ma fille Justine est aujourd'hui en âge de se faire entendre, de préciser son point de vue et ses opinions. D'ici quelques temps, même si je ne « collabore » pas, vous pourrez donc confirmer ou infirmer les problèmes de santé dont parle ou se plaint parfois Justine.
La mère de Justine est décédée en 1999. Dans une correspondance du 3 décembre 2009 (pièce n° 5), vous me rappeliez que je suis toujours détenteur exclusif de l'autorité parentale sur ma fille aînée Justine - j'adore le cynisme et l'hypocrisie, surtout celui de professionnels de la justice ou de la Dass, n'hésitez pas à m'en renvoyer de pareilles. Dans les faits dont vous ignorez peut-être tout, ce sont d'autres que moi qui exercent l'autorité parentale sur ma fille Justine, depuis 2004 au moins. A l'occasion, vous pourriez envisager de me déchoir pour ne plus m'accorder qu'un simple droit très occasionnel et approximatif de surveillance sur ma fille aînée, ce serait plus conforme à ce que je peux encore exercer - car j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays.
En février dernier, selon France Soir (pièce n° 3), Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat à la justice, a « enfin insisté sur le soutien à l'exercice de l'autorité parentale, en constatant que les mesures prises à Mulhouse avaient eu des résultats `' en demie teinte ", certains parents étant `' totalement déconnectés " . » La chancellerie elle-même pourrait déjà s'être fait une raison : mener des expérimentations ou confier des missions à l'ARSEA, ce n'est peut être pas la panacée. Mais vous êtes indépendant ; vous pouvez encore vous obstiner ou persister et vous référer toujours à ce que des gorets vous rapporteront ainsi qu'à ce que le pasteur d'Uhrwiller vous expliquera. Vous pouvez bien évidemment faire suivre également la présente aux services concernés de l'ARSEA, en Alsace, soit ceux d'Ostwald, dirigés par Monsieur Thomas Resch ; mais je pense qu'ils n'en feront pas grand chose.
Vous pouvez savoir que, depuis 2005, mes paroles et écrits en public comme sur Internet ont fait l'objet de très nombreuses critiques ou complaintes en chambre du conseil, à huis-clos. Fin mai 2008, le ministère public en la personne du substitut Laeticia Felicis, le pasteur d'Uhrwiller et le juge pour enfant Xavier Serrier m'avaient supplié de supprimer mon blog ; en 2009, la cour d'appel de Versailles confirmait en tous points ; en janvier 2010, la cour d'appel de Versailles confirmait à nouveau. Mon blog est toujours en ligne ; récemment, deux huissiers de justice ont matérialisé tout son contenu (pièce n° 4). Pour le moment, je n'ai nullement l'intention de faire disparaitre un jour mon blog d'Internet. La présente lettre ouverte à votre attention est publié dans un billet dont le titre est le suivant : « Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège ».
Dans un billet du 3 avril 2010, je publiais peut-être tout aussi intéressant que la présente, « Un bilan », une synthèse grossière, après sept années « d'assistance éducative ». Je vous en joins l'essentiel (pièce n° 8). Vous remarquerez peut-être qu'avec d'autres, je soutiens une mère qui est elle aussi priée de faire disparaitre son blog ; depuis juin 2009, elle subit de plus en plus de pressions et vient de recevoir une ultime lettre d'intimidation ou de mise en demeure. Un petit procès pourrait suivre à l'occasion duquel elle est susceptible de déterrer de très vieux textes, de 1881, relatifs à la liberté d'expression, ainsi que de plus récents, de juin 2004, relatifs à la confiance dans l'économie numérique.
Vous souhaitant bonne lecture, je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de mes plus respectueuses salutations.
Copie à Madame Michèle Alliot-Marie,
Garde des Vélodromes et Ministre de la Justice
P.S.: Ma soeur trisomique t'emmerde, pas qu'un peu, et elle emmerde tout autant tes pairs et ton ministère public. Si t'es pas content, trouve toi un drapeau français.
Pièces jointes, toutes publiées et commentées, parmi d'autres, sur Internet :
1) Une ordonnance du 15 mars 2010 du juge des tutelles,
2) Une correspondance du 22 mars 2010 de Monsieur Thierry Baranger,
3) Un coupon de presse taillé dans France Soir du 19 février 2010,
4) Un extrait d'un constat d'huissier du 15 mars 2010,
5) Une correspondance du 3 décembre 2009 du juge des enfants,
6) Une correspondance du 28 octobre 2008 du juge des enfants,
7) Une correspondance du 8 mars 2010, au juge pour enfant,
8) « Un bilan », d'un billet du blog http://justice.cloppy.net,
9) Une photo d'une lettre du corbeau, au dossier du juge pour enfant,
10) Une main courante de janvier 2005, un document « confidentiel »